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COMMISSION ETHIQUE 1/10/2015 TJDE HISTORIQUE DU TAI JITSU DO BROCHURE ETHIQUE

HISTORIQUE DU TAI JITSU DO BROCHURE ETHIQUELes bases de travail sont définies en utilisant les attaques de base utilisées en Aikido et Ju-Jitsu. ... du KARATE, de l’AIKIDO, mais

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COMMISSION ETHIQUE 1/10/2015

TJDE HISTORIQUE DU TAI JITSU DO

BROCHURE ETHIQUE

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Ce document a pour objet :

Dans sa première partie, de rappeler l’historique du TAI-JITU-DO et plus

généralement la genèse du TAI-JITSU. Il convient que chaque pratiquant en soit

informé et connaisse d’où vient son art martial

Dans sa deuxième partie, de clarifier la notion d’éthique dans la pratique

du Tai-Jitsu-Do (TJD) afin que chaque club s’en inspire dans son enseignement et

sa pratique.

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PREMIERE PARTIE :

Historique du TAI-JITSU, à l’usage des pratiquants de TAI-JITSU DO

Au moment où nous opérons un recentrage sur l’éthique dans notre discipline, il semble opportun

d’en profiter pour repréciser les origines du TAI-JITSU.

Ce document servira de support aux enseignants afin qu’ils diffusent un message clair et précis à

nos pratiquants. La transmission de ce message est partie intégrante de l’enseignement. Une

évaluation de ces connaissances sera intégrée à l’atelier « Culture et Tradition ».

Grâce, ou à cause, de l’accès à l’information en temps réel, on peut lire et entendre toutes sortes de

définitions plus ou moins éclairées sur la genèse de notre discipline. Celles-ci conduisent à un flou

« artistique » lorsqu’ il s’agit de définir les origines et les fondamentaux du TAI-JITSU DO.

L’une des grandes interrogations actuelles sur la naissance du TAI-JITSU est de savoir si c’est un art

martial ancestral venu du Japon ou s’il a été créé en Europe par une équipe de pratiquants français

d’arts martiaux traditionnels.

Existait-il une discipline martiale japonaise, du nom de TAI-JITSU que nous aurions

« copiée » et aménagée ?

Existait-il un pratiquant de cette discipline (J.Alcheik), qui aurait diffusé ses connaissances à

l’un de ses élèves (R.Hernaez) ?

Est-ce une discipline purement française ?

A toutes ces questions il n’existe pas aujourd’hui, de réponses impératives, mais plutôt des

interprétations personnelles qui évoluent au fil du temps et des opportunités.

La connaissance des origines de notre discipline que nous allons vous livrer, repose sur le vécu et les

participations de certains à la naissance du TAI-JITSU.

Tout commence dans les années 60 et le début des années 70...

Début des années 50, Roland Hernaez alors jeune professeur de Judo, Karaté Do et Aikido, forme un

grand nombre d’élèves dans ces trois disciplines. Certains, successivement élèves, assistants et

enseignants, tout en pratiquant régulièrement les trois écoles, s’orientent plus ou moins vers l’une

ou l’autre en fonction de leurs affinités.

En 1967, sous son impulsion, et à la demande de quelques anciens, (pratiquants depuis 1958 et 1962

pour la plupart) il est décidé de réfléchir à une méthode de « self défense française ».

Le groupe de travail au départ regroupe entre autres pionniers : R . Hernaez, G.Hernaez, D.Dubois,

S.Eisenhuth, C. Doudou, R.Duboust, G.Eisenhuth ... dans une moindre mesure : JP.Serta, A.Da

Cuna, et d’autres selon l’avancée des travaux.

Des réunions de travail se tiennent dans une petite salle derrière la gare de Rueil Malmaison (92).

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A l’époque il n’est pas question du nom de TAI-JITSU inconnu pour la plupart des participants.

R.Hernaez, en avait peut être connaissance par son travail avec J.Alcheik, mais il n’en a pas informé

le groupe de travail et de ce fait n’a pas influencé sa réflexion en ce sens.

La recherche s’appuie sur des constats :

Efficacité en self défense

Utilisation des techniques appropriées de chaque discipline que nous pratiquions

Créer une attirance pour les nouveaux élèves

Simplicité de pratique par rapport aux disciplines japonaises alors très strictes

Situation où la vie du pratiquant peut être mise en danger.

Complémentarité de chaque discipline

Les bases de travail sont définies en utilisant les attaques de base utilisées en Aikido et Ju-Jitsu.

Les défenses utilisent les atémis du Karaté Do, les clés de l’Aïkido et les projections du Judo,

transformés et réadaptés aux circonstances de la self-défense. Par exemple : travail différent des

déplacements, projections plus spécifiques et directes, etc. … afin d’obtenir rapidement le maximum

d’efficacité.

Il est décidé aussi pour des raisons d’attractivité auprès des européens, de ne pas introduire de Kata

au départ de cette discipline.

Au fur et à mesure des travaux, R.Hernaez par sa qualité d’enseignant sportif, propose une méthode

pédagogique structurée, aidé et accompagné en cela par D.Dubois. Le groupe la veut, non figée,

évolutive et surtout praticable par tous quelle que soit la morphologie, la force physique et la

préférence technique

Des contacts avec le Maitre Minoru MOCHIZUKI, éclairent différemment l’approche.

Il semble qu’au Japon le mot « TAI-JITSU » existe bel et bien. Ce n’est pas un art en soi mais un

terme générique utilisé dans de nombreuses écoles de JU-JITSU pour définir la pratique à mains

nues.

Dès lors et après accord du Maitre M.MOCHIZUKI, il est décidé d’opter pour le nom TAI-JITSU

(TAI=Corps, JITSU=Technique) comme appellation de la méthode, pour en faire une discipline

martiale à part entière.

L’association TAI-JITSU, prend forme dans « BUDO- ACADEMIE» fin 1967 et regroupe les divers

membres du groupe de travail et les pratiquants.

En 1972 un stage au Japon auquel participent R.Hernaez, G.Hernaez et D.Dubois confirme cette

appellation et apporte la vision technique du Shorinji-Kempo, qui influencera plus tard une branche

du TAI-JITSU.

Pendant 4 années à partir de ce stage le groupe de travail s’attelle à réellement structurer la

méthode. Les deux principaux instigateurs et moteurs en sont R.Hernaez et D.Dubois qui de ce fait

en font les deux co-fondateurs.

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Le TAI-JITSU ORIGINEL, discipline martiale, est né.

Cette première partie répond de manière précise aux questions sur les origines :

OUI. Le nom TAI-JITSU existait au Japon bien avant que la discipline soit créée en France,

mais c’est un terme générique et non une discipline.

NON. L’équipe n’en était pas informé au départ des travaux.

OUI. Le TAI-JITSU est bien une méthode créée par des pratiquants français.

OUI. Le TAI-JITSU, s’appuie à l’ origine sur une combinaison de techniques venues du JUDO,

du KARATE, de l’AIKIDO, mais transformées et adaptées techniquement et structurées en

une progression pédagogique.

NON. De ce fait, ce n’est pas un Art Martial Japonais au sens stricto sensu du terme mais

bien une méthode française tirant son inspiration d’Arts Martiaux Traditionnels japonais.

La Fédération Française de TAI-JITSU (FFTJ) vivra librement jusqu’en 1977, sous la forme d’une

Association de loi 1901.

En 1977, le Ministère de La Jeunesse et des Sports français délègue ses pouvoirs au Karaté Do et à

l’Aïkido (jusqu’à lors sous l’égide de la Fédération de Judo « FFJDA ») leur permettant ainsi de créer

leur propre fédération délégataire. Pour des raisons d’affinité un protocole d’accord est signé avec

la toute nouvelle FFKAMA dans le but d’assurer le développement rationnel du TAI-JITSU, de faire

reconnaitre les grades au niveau national et de permettre la préparation et l’obtention de diplôme

d’état pour les enseignants. La FFTJ disparait et devient une association affiliée à la FFKAMA.

Ce protocole implique que des évolutions techniques soient apportées à la méthode traditionnelle

pratiquée jusque là :

Structuration de bases techniques avec défenses par atémis, clés, projections

prédéterminées.

Obligation d’intégrer des KATAS.

Le TAI-JITSU évolue alors :

8 Techniques de bases sont instaurées en remplacement des attaques « Aikido,

ju-jitsu »utilisées jusqu’alors.

3 Katas sont créés : 1°Kata par R. Hernaez, 2°Kata par G. Hernaez, 3° Kata par D. Dubois afin

de répondre aux exigences du DTN

De 1977 à 1985, le TAI-JITSU se développe au sein de la FFKAMA, sous une seule et unique entité.

Des divergences de vue obligent R.Hernaez à quitter la FFKAMA en 1985. L’association reprend alors

son autonomie sous la forme de Fédération Française de Tai-Jitsu avec un Président élu en

Assemblée Générale : S. EISENHUTH (1986-1988).Des rapprochements sont effectués par la FFTJ

auprès de la Fédération Française de Judo mais n’aboutissent pas. Le TAI-JITSU ORIGINEL reste au

sein de la FFKAMA sous la direction technique de D.Dubois et membre du Comité Directeur.

L’association ETJE verra le jour au cours de cette période.

Des déboires juridiques contraignent R.Hernaez à prendre une autre appellation pour sa discipline et

à envisager son retour au sein de la FFKAMA.

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Ses contacts avec des maitres Japonais illustres, lui permettent d’obtenir la possibilité d’appeler son

école : NIHON TAI-JITSU. A partir de ce moment, la technique de celle-ci va diverger du TAI-JITSU

ORIGINEL pour intégrer des formes de corps et des mouvements proches du Shorinji Kempo et de

la forme chinoise. D’autres différences techniques s’ajouteront au fil du temps par l’apport de

l’enseignement du Maitre MOCHIZUKI.

En 1988, le NTJ retourne sous la tutelle de la FFKAMA au sein du KARATE JITSU et la Fédération

Française de Tai-Jitsu (FFTJ), disparait par la suite.

On voit alors cohabiter deux formes de TAI-JITSU au sein de la FFKAMA. L’ORIGINEL et le NIHON.

La FFKAMA impose petit à petit des changements qui perturbent les dirigeants du TAI-JITSU :

Obligation d’intégrer des formes de corps et des techniques plus KARATE

Passage de grade avec une partie KARATE obligatoire

Compétitions

Sport de combat au détriment de l’Art Martial

Pour garder au TAI-JITSU son essence et ses valeurs, D.Dubois décide de quitter la tutelle de la

FFKAMA en 1999.

Au sein de la FFKAMA devenue FFKDA, de nouveau deux écoles cohabitent ; le Nihon Tai-Jitsu

s’inspirant de formes « kempo » et des pratiques martiales MOCHIZUKI et une forme de Karaté-Jitsu

qui abandonne les fondamentaux du TAI-JITSU au profit d’une approche plus sport de combat.

D.Dubois crée alors une structure européenne de TAI-JITSU (TJDE) et appelle son école

TAI-JITSU DO. Il rejoint la FEKAMT en 2000

Le choix du « terme DO » n’est pas anodin. Il rappelle que cette école se conforme à la « voie »

dans tous les sens du terme :

- La conception originelle

- La voie du BUDO

- Le Respect des valeurs créatrices du TAI-JITSU.

Le TAI-JITSU DO est aujourd’hui le style de TAI-JITSU qui tout en évoluant pour s’adapter à notre

société, est resté le plus proche des critères et objectifs souhaités par ses fondateurs.

S.EISENHUTH Responsable

COMMISSION ETHIQUE TJD

FFKAMA : Fédération Française de Karaté et Arts Martiaux Affinitaires

FFKDA : Fédération Française de Karaté et Disciplines Associées

FEKAMT : Fédération Européenne de KaratéDo et Arts Martiaux Traditionnels.

FFTJ : Fédération Française de Tai-Jitsu AFTJ : Association Française de Tai-Jitsu

TJDE : Tai-Jitsu Do Europe TJD : Tai-Jitsu Do NTJ : Nihon Tai-Jitsu ETJE : Europe Tai-Jitsu Extension

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DEUXIEME PARTIE :

Le suffixe « DO » suffit en lui-même pour rappeler à TOUS les devoirs et obligations concernant les attitudes à adopter sur (et hors !) les tatamis. *La Commission sera toujours attentive aux dérives éventuelles (internet, blog…) et se réunira annuellement (vidéo conférence, réunion …) et/ou ponctuellement si un besoin d’urgence s’en fait sentir.

Définition de l’ETHIQUE (sens figuré) :

Ensemble des règles de conduite propres à un milieu.

« Aucune confusion n'est plus courante, ni plus grave, que celle entre l'éthique et la morale.

Dans le langage courant, on utilise indistinctement l'un et l'autre terme pour désigner ce qu'il serait

« bien » de faire. Or il est deux sens très différents dans lesquels il peut être « bien » d'agir d'une

certaine manière. Ce peut être: Ou bien la manière dont un individu préfère agir, à un moment

donné, parce qu'il juge ses conséquences meilleures que celles de toute autre action possible;

ou bien la manière dont tout individu devrait toujours agir, parce que ne pas agir ainsi serait

« mal » agir.

Le premier cas correspond à l'éthique, c'est-à-dire aux préférences de chaque individu quant à sa

propre vie.

Le second cas correspond à la morale «Jérémie T. A. Rostan »

De même, éthique et étiquette sont trop souvent mélangées. Elles forment ensemble les codes,

les devoirs et règles comportementales mais ne doivent pas être confondues.

L’éthique interroge sur les valeurs morales et les principes moraux qui devraient orienter nos actions,

dans le but d'agir conformément à ceux-ci. -L'éthique s’inspire de SHIN-GI-TAI et conditionne celui-ci.

Elle est inspirationnelle et pas normative. Elle ne peut souffrir aucune concession. C’est une manière

d’être

L'étiquette est normative. C’est un ensemble de conventions de civilités et de protocoles. Elle touche

à des éléments visuels, relationnels et matériels : ceinture, logo, saluts etc. Elle découle de l'éthique

mais peut changer demain car relève d'une décision. On peut concevoir des concessions prenant en

compte le contexte ou les situations (ex. salut simplifié) C’est plus un savoir vivre.

Dans le cas de notre discipline le TAI JITSU DO, même s’il existe des valeurs communes aux arts

martiaux en général, Nous insistons sur le « DO » « la VOIE »

« Arrêtons-nous un instant sur cette « voie » qui différencie le TAI-JITSU-DO des autres écoles.

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C’est le moine japonais Dôgen (1200 -1253) dont le nom signifie « origine de la voie »

qui offre pour la première fois une synthèse des différentes interprétations : le but et la

pratique ne sont qu’un.

DÔ est donc une notion dynamique de progression à l ’intérieur d’un domaine particulier

dont la découverte ne vient que par l ’expérience et la persévérance.

Dans la pratique du Taï Jitsu Do, le DÔ s’apparente à la recherche de l ’harmonie

spir ituelle, physique et comportementale comme de l ’appartenance à l ’équipe.

Son enseignement intègre la valeur d’exemplarité que doivent véhiculer tout dir igeants,

professeurs et hauts gradés mais aussi tout pratiquants, aussi bien dans le cadre de

sa pratique que dans la vie de tous les jours ». (Extrait du mémoire 5°dan de

S.Eisenhuth)

« L’Art Martial est la voie qui permet de se découvrir soi même et de se construire en tant

qu’être humain… » Me Nobuyoshi Tamura

Les documents suivants présentent quelques fondamentaux sur lesquels s’appuient les axes de

travails et de réflexions qui guident notre éthique.

LE COMPORTEMENT et LES VALEURS

L’IMAGE

BUSHIDO = VOIE DU GUERRIER

RESPECT (REI) : Sans respect aucune confiance ne peut naître

SINCERITE (MAKOTO) : Etre franc, loyal et de bonne foi

HONNEUR (MEIYO): Etre fidèle à la parole donnée,

HUMILITE (KYOKEN): Rester modeste et sans orgueil

RAPPEL de l’ETHIQUE et de la mise en pratique de la BASE du SHIN

Même si il n’est pas question d’omettre et de remettre en cause les témoignages d’amitiés et

de fraternités qui caractérisent l’esprit et les relations entre pratiquants de notre discipline,

force est de constater que certains comportements en ternissent la notoriété, le sérieux et la

voie martiale(DO).

Accolades et embrassades sur les tatamis ne peuvent plus être tolérées. Seul le salut

est de rigueur.

Réservez celles-ci aux parties communes de la salle d’entraînement mais en

aucun cas dans le DOJO.

L’apprentissage du SHIN commence avec le respect du DOJO et du TATAMI

pour tous les pratiquants quel que soit leur niveau.

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CONCRETISATION DE CES VALEURS « SHIN » DANS LA PRATIQUE

COMPORTEMENT

Il est bon de rappeler l’importance des saluts dans la pratique d’un art martial et plus

particulièrement dans celle du TAI-JITSU-DO :

• RESPECT DU DOJO : Salut en entrant et en sortant du DOJO et du TATAMI (si possible en

direction du SHOMEN)

• RESPECT ENTRE PRATIQUANT :

• SALUT EN GROUPE

• SALUT ENTRE PARTENAIRES

SALUT EN GROUPE

Deux formes de salut : debout et à genoux

Disposition des pratiquants sur le TATAMI

Commandements

Attitudes: Attention à la différence des pivots entre les saluts « debout » et « à genoux »

Debout : pivot dans le même sens de tous les « sensei (s) »

A genoux: pivot des assesseurs vers « le sensei »

SALUT ENTRE PARTENAIRES

Au début du travail à 2:

Pieds ouverts en V à 30°.

Inclinaison légère sans regarder le partenaire

Prononcer: (conseillé)

DOZO (s’il vous plait) Notion d’apprentissage partagé et d’échange

• A la fin du travail:

Même attitude mais prononcer:

ARIGATO (Merci) Respect de l’échange

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• RESPECT DES CONSIGNES ET DE L’ENSEIGNEMENT :

• Contrôle, attention et positionnement.

• Ne pas travailler une autre technique que celle montrée par l’enseignant sans

son accord.

• Comportement martial sur les tatamis :

• Silence

• Ecoute

• Partage

• travail

• RESPECT DU TATAMIS : Ne pas quitter le TATAMI sans l’accord de l’enseignant ou de ses

assistants. Ne pas remonter sur le TATAMI sans l’accord de l’enseignant. (position d’attente

digne sur le bord)

• RESPECT DES GRADES et de leurs implications : Humilité, respect, saluts

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UTILISATION DU JAPONAIS

L’utilisation du japonais rappelle l’origine de l’enseignement suivi par les fondateurs et celle

des techniques et valeurs fondatrices de notre art martial.

Nous le pratiquons

• Lors des saluts en groupe

• Lors des saluts entre partenaires

• Pour compter:

• 1 ICHI

• 2 NI

• 3 SAN

• 4 SHI

• 5 GO

• 6 ROKU

• 7 SHICHI

• 8 HACHI

• 9 KU

• 10 JU

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L’IMAGE

Il est fondamental que nous véhiculions une image attirante tant pour le public que pour les

futurs pratiquants. L’importance de notre comportement, de notre aspect en général reflète le

sérieux de notre discipline. Les bases en sont :

• LA TENUE

• LES CEINTURES

• LES DIPLOMES

TENUE et CEINTURES

• TAI JITSUGI Blanc (pliage traditionnel)

• ECUSSON FEDERAL / CLUB sur le COEUR

Autre sur épaule gauche même hauteur

Lors des passages de grade ou de manifestation tel que « tournoi » par exemple les membres du jury

portent un brassard : BLANC avec l’inscription « JUGE » en ROUGE et les « kanjis TAI JITSU DO »

en NOIR.

CEINTURE NOIRE

TAI JITSU DO brodé en kanji dorés sur un bout

Niveau du DAN brodé en kanji doré sur l’autre bout.

Au fur et à mesure nous souhaitons que l’ensemble des pratiquants se conforme à ces règles

aussi bien dans leur club respectif que lors de participation aux stages régionaux et nationaux.

Cela créera une identité de groupe et une forme de reconnaissance vestimentaire.

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EXEMPLE de DIPLOMES

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DIPLÔME de JUGEPassage de grade

A participé au stage de formation SHIN-GI-TAÏ et a satisfait aux épreuves de fin de stage.

Nom …………………………………………………………………………

Prénom ………………………………………………………………….

Le titulaire

Homologué le …. / …. / ……….

à ………………………………………….

Le dirigeant

DIPLÔME de JUGETournoi

A participé au stage de formation SHIN-GI-TAÏ et a satisfait aux épreuves de fin de stage.

Nom …………………………………………………………………………

Prénom ………………………………………………………………….

Le titulaire

Homologué le …. / …. / ……….

à ………………………………………….

Le dirigeant

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