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Imagerie parasitaire et tropicale
Séance organisée par le GREF
Responsables: Philippe Rouleau, Bruno Kastler
Objectifs pédagogiquesPrésentation par les équipes hospitalières et hospitalo-universitaires des résultats de leurs travaux de recherche et de leur expérience en imagerie tropicale, neurologique et ostéo-articulaire.
Modérateurs: Pierre Ongolo-Zogo, Claude Marsault
outre les encoches durales multiétagées plus marquées en extension(80 %), une aputation du fourreau duraI (34 %) et des signes de conflitdiscoradiculaire (44 %). Les lésions TDM étaient dégénératives discovertébrales multiétagées (66,6 %) associées ou non à une sténosecanalaire centrale (20 %), foraminale (22 %) ou périphérique (30 %).Une discopathie protrusive monoétagée était retrouvée dans 30 % descas. La CNI était plus associée aux lésions multiétagées (70 %) alorsque les radiculalgies étaient plus associées aux atteintes monoétagées.Conclusion: Le CLE est une pathologie fréquente chez le sujet derace noire au, delà de la cinquantaine. La CNI, son principal signe,est plus associée aux ADD multiétagées. Le myéloscanner offre unebonne étude des disques, du canal rachidien et de son contenu alorsque la saccoradiculographie reflète les rapports discoduraux enorthostatisme.
Mots clés: Rayons X - Rachis, arthrose et lésion dégénérativeNerfs périphériques, compression
10 h 30 Durée: 7 minutes10 h 50 Durée: 7 minutes
ASPECTS RADIOLOGIQUES DU CANAL LOMBAIREETROIT A YAOUNDE~L Mvogo Minkala, P Ongolo-Zogo, JP Kamga,EHell MedjoYaoundé - CamerounCorrespondance: [email protected]
APPORT DE L'IRM DANS LE TRAUMATISME DU RACHISCERVICAL A L'HOPITAL PRINCIPAL DE DAKARTO Soko, A Ndiaye, CT Diouf, A Mbengue, A Fall,IC DiakhatéDakar - SénégalCorrespondance: [email protected]
Objectifs: Décrire les aspects radiologiques du canal lombaire étroit(CLE) et les corréler à la clinique.Matériels et méthodes : Cent cinquante dossiers de saccoradiculographie et 30 dossiers de myéloscanner de patients explorés pour CLEen 12 mois ont été revus. Age moyen: 61 ans (42-75 ans) pour unsex ratio (f/m) de 1,8.Résultats: La claudication neurologique intermittente (CNI) était leprincipal motif de consultation (60 %) elle était associée ou non à unelomboradiculalgie (32 %) ou à une lombalgie (8 %). les anomalies dela statique rachidienne étaient dominées par la scoliose (35 %). Lesatteintes dégénératives discovertébrales (ADD) multiétagées étaientretrouvées dans 80 % des cas alors que l'arthrose zygapophysairel'était chez 38 % des patients. La saccoradiculographie retrouvait
Durée: 7 minutes
Objectifs: Souligner l'importance de l'imagerie dans l'explorationdes suppurations collectées crânio-encéphaliques, dans leur prise encharge et enfin dans leur suivi évolutif.Matériels et méthodes: Notre étude, sur une période de 5 ans, comprenait une cohorte de 40 patients. L'âge moyen de nos patients étaitde trente trois ans avec des extrêmes de cinq mois et soixante seizeans. Il existait une prédominance masculine avec un sexe ratio de 2,08(27 H/l3 F). Tous les patients ont bénéficié d'un scanner crânioencéphalique et 6 d'entre eux avaient eu, au préalable, une radiographie standard.Résultats: A la radiographie standard, il y avait un épaississementdes sinus dans 3 cas, une déminéralisation osseuse chez 3 patients,
IMAGERIE DE SUPPURATIONS COLLECTEES CRANIOENCEPHALIQUES AU CHU YALGADO OUEDRAOGO :A PROPOS DE 40 CASo Diallo, A Kabre, LC Lougué-Sorgho, C Napon, M Ouéda,YA BamounL RZoungrana, AM Napon, B Ouattara, RCisséOuagadougou - Burkina FasoCorrespondance: [email protected]
11 h 00
APPORT DE LA TOMODENSITOMETRIE DANS LE BILANETIOLOGIQUE DES COMAS NON TRAUMATIQUESA ABIDJANN Kouamé, AM Ngoan-Domoua, A Setcheou, AN Konan,RD Ngbesso, AK KeitaAbidjan - Côte d'IvoireCorrespondance: kngoran@yahoo,fr
Objectifs: Préciser l'apport de la tomodensitométrie dans la prise encharge des comas non traumatiques. Répertorier les principales étiologies des comas non traumatiques en Afrique noire.Matériels et méthodes: Etude rétrospective sur une durée de 2 ansde janvier 2006 à décembre 2007 réalisée au service de radiologiegénérale du CHU de Yopougon. Elle a concerné 80 patients ayantbénéficié d'un scanner encéphalique pour motif de trouble de la conscience. Les examens ont été effectués à l'aide d'un scanner hélicoïdalmonobarrette de GE. Tous nos patients étaient hospitalisés au servicede neurologie du CHU de Yopougon.Résultats: L'âge des patients variait entre 28 et 84 ans avec unemoyenne de 51,4 ans et une prédominance de la tranche d'âge de 30à 40 ans. Il existait une prédominance masculine avec un sexe ratiode 4/3. Les étiologies infectieuses surtout parasitaires (toxoplasmose)prédominaient (31,25 %) suivies des accidents vasculaires ischémiques (25 %) et des hématomes parenchymateux (12,5 %). Dans31,25 % la tomodensitométrie encéphalique était normale.Conclusion: La tomodensitométrie encéphalique a permis de retrouver plus des deux tiers des causes de comas non traumatiques avecpour corollaire, une prise en charge immédiate de la pathologie.
Mots clés: Scanographie - Cerveau - Troubles de conscience
Durée: 7 minutes
Objectifs: Décrire les lésions retrouvées chez les traumatisés durachis cervical à Dakar.Matériels et méthodes: Etude rétrospective de mars 2007 àfévrier 2009. Etait inclus tout traumatisé du rachis cervical adressé enIRM. Etait exclu tout patient dont le dossier radiologique n'a pas étéretrouvé sur le PAC'S. Les paramètres étudiés étaient: âge et sexe,indication clinique de l'IRM, lésion(s) retrouvée(s).Résultats: Trente quatre hommes et 6 femmes ont été colligés. L'âgemoyen était de 40,4 ans. Les indications cliniques étaient: tétraplégie(n =13), tétraparésie (n =4), paraplégie (n =5), névralgie cervicobrachiale (n = 3), diparésie (n = 2), syndrome de Brown Séquard(n =1), compression médullaire cervicale (n =1), aucun déficit neurologique (n = 2) et tableau clinique non précisé (n = 9). Les lésionsétaient: œdème médullaire (n =27), hématome (n =1), myélomalacie(n =4), rupture discale (n =8), hernie discale (n =7), rupture ligamentaire (n =10), luxation articulaire postérieure (n =10), fractureluxation articulaire postérieure (n =2), entorse grave (n =2), fracturevertébrale (n = 9).Conclusion: L'IRM permet un bilan précis des atteintes traumatiques médullaires et extramédullaires. Les lésions médullaires sont lesplus fréquentes, suivies par les lésions discales, les luxations et lesruptures ligamentaires.
Mots clés : IRM - Rachis, traumatisme - Afrique
10 h 40
1466