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Conseil de Développement de la Loire-Atlantique Conseil de Développement de la Loire-Atlantique C ahier n° 6 Emploi Avril 2009 en Loire-Atlantique L’INSERTION DES JEUNES Les cahiers

Insertion des jeunes en Loire-Atlantique

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Cahier sur l'insertion des jeunes en Loire-Atlantique - Document rédigé par le Conseil de Développement de la Loire-Atlantique

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ueConseil de Développement de la Loire-Atlantique Cahier n°6

EmploiAvril 2009

en Loire-AtlantiqueL’insertion des jeunes

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Qu’est qu’un apprenti?

Un apprenti est un jeune profes-sionnel qui suit une formation en alternance entre une entre-prise et un centre de formation. Originaires de l’artisanat, qui forme encore aujourd’hui la ma-jorité d’entre eux, les apprentis sont aujourd’hui présents dans tous les métiers. Au cours de leur contrat d’apprentissage, généralement d’une durée de deux ans, ils préparent un di-plôme allant du CAP à bac +5. On les retrouve aussi bien dans les petites que les grandes en-treprises. La France compte en 2006 environ 380 000 apprentis.

LE SYSTÈME ÉDUCATIF

Regards sur nos structures

Jusqu’à la fin du collège, tous les élèves suivent un parcours com-mun : maternelle (non obliga-

toire), école primaire ( ou élémentaire) à partir de 6 ans, puis 1er cycle ( collège).Pour rappel, la fin de la scolarité obli-gatoire est fixée à 16 ans. Une caracté-ristique régionale est la part importante de l’en-seignement privé dont la part est d’environ 40%.

Après le collège, le pre-mier palier d’orientation permet aux col-légiens de choisir soit la voie générale et technologique au lycée soit l’enseigne-ment professionnel en lycée profession-nel ou en apprentissage. Dans l’académie de Nantes, un jeune sur deux poursuit en seconde générale et technologique.

Le lycée professionnel : un accès direct au monde du travailLe lycée professionnel prépare en deux ans au BEP ( Brevet d’étude profession-nel) ou au CAP ( Certificat d’aptitude pro-

fessionnelle), diplômes qui donnent un premier niveau de qualification (niveau V) pour se pré-senter sur le marché du travail. Certains poursui-

vent leurs études jusqu’au baccalauréat professionnel (niveau IV) qu’ils préparent en deux ans. Aujourd’hui se pose la ques-tion d’accéder au bac professionnel en 3 ans au lieu de passer par les deux étapes (4 ans). Cette méthode permettrait un accès plus rapide au bac pro. Ce projet se révèlerait intéressant pour les formations du tertiaire dont l’insertion est très diffi-cile au niveau V.

Répartition des élèves par type de BAC

*55 % des élèves se pré-sentent au bac général,* 26 % au bac technolo-gique,* 20 % au bac profession-nel,*63  % des jeunes d’une même classe d’âge passe le baccalauréat.

« Un jeune sur deux fera une seconde générale

ou technologique »

Un autre mode de forma-tion : l’apprentissage

Un apprenti est un jeune professionnel qui suit une formation en alternance entre une entreprise et un centre de formation. Mode de formation origi-naire de l’artisanat, qui forme encore aujourd’hui la majorité d’entre eux, les apprentis sont aujourd’hui pré-sents dans tous les métiers et à tous les niveaux. Au cours de leur contrat d’apprentissage, généralement d’une durée de deux ans, ils préparent un diplôme pouvant s’échelonner (en France) du CAP au bac +5. On les re-trouve aussi bien dans les centres de formation technique que dans les uni-versités ou les grandes écoles. Ils sont également présents aussi bien dans les petites que les grandes entreprises qui doivent désormais, selon la loi fran-çaise, employer un quota minimum d’apprentis. La France compte en 2006 environ 380 000 apprentis selon les chiffres du gouvernement.

2 Conseil de Développement de la Loire-Atlantique - Cahier n°6 - Thème Emploi

3 bacs, 3 orientations

Les études menées par le rectorat ne concernent que les sortants de bacs technologiques et de bacs professionnels car les sortants de bacs généraux sont très peu nombreux à se présenter sur le marché du travail. Le bac professionnel quant à lui a été créé à la demande du monde du travail. Le diplôme, à la base, n’était pas prévu pour être suivi d’autres études, il s’agissait d’un accès direct au monde du travail. Pour-tant, un certain nombre de jeunes souhaitent pour-suivre au delà de ce diplôme, souvent en BTS.

Le bac : quelle valeur aujourd’hui ?

En 2006, dans l’académie de Nantes, 66% d’une gé-nération est titulaire du Baccalauréat (contre 64% au plan national) : 36% ont un baccalauréat général, 17% un baccalauréat technologique, 13% un baccalauréat professionnel.L’académie est une des mieux classée pour le taux de réussite aux examens du Baccalauréat : 86,5% contre 82% en France en 2006.

Ces constats sont encore loin des objectifs du gouver-nement de voir 80 % des jeunes d’une même classe d’â

La Loire-Atlantique bonne élèveAu sein de l’académie de Nantes, 66 % d’une génération est bachelière, les résultats du bac général sont de l’ordre de 91 % de réussite, les résultats du bac pro sont également bien au des-sus de la moyenne, ce qui démontre un système éducatif performant.

BAC GENE 2006

BAC TECHNO

2006

BAC PRO 2006 Ensemble 2006

LOIRE-ATLANTIQUE 37,7 16,7 11,5 65,9

Académie de NANTES 35,9 17,2 13,3 66,3FRANCE METROPOLITAINE 34,8 17,2 12,3 64,3

LOIRE-ATLANTIQUE 90,8 84,0 78,1 86,5Académie de NANTES 90,6 84,3 79,2 86,5

FRANCE METROPOLITAINE 86,8 77,6 77,6 82,3

Proportions de bacheliers dans une génération

taux de réussite par type de baccalauréat

Proportion de bache-liers et taux de réus-site au baccalauréat

Source : Rectorat

Cahier n°6 - Thème Emploi - Conseil de Développement de la Loire-Atlantique 3

Les enquêtes d’inser-tion dans la vie active des lycéens ( IVA ) et

des jeunes sortants d’appren-tissage ( IPA) sont pilotées par le ministère de l’éducation nationale et sont réalisées chaque année dans toutes les académies. Les jeunes sont interrogés sur leur situation au 1er février de l’année en cours, 7 mois après leur sortie du système de formation initiale. Seuls les jeunes sortant des formations technologiques et profession-nelles et ne poursuivant pas d’études sont interrogés.

L’insertion, une pro-blématique de lon-gue date

L’insertion des jeunes a com-mencé à devenir un sujet pré-occupant à partir des années 80. C’est p o u r -quoi, dès 1 9 8 3 , u n e i m a g e de leur sortie du système sco-laire est analysée. Cette en-quête fait apparaître une amé-lioration de l’insertion pour toutes les formations initiales en 2007.

Une insertion rapide des apprentis

Il apparaît que les sortants de bacs professionnels s’inse-rent plus rapidement que les autres. En effet, les apprentis

côtoient déjà le milieu de l’en-treprise dans leur formation et cela favorise leur insertion. Environ1/3 d’entre eux tra-

vaille dans l ’ e n t r e -prise dans l a q u e l l e ils ont ef-fectué leur

apprentissage.Outre la proximité de l’entre-prise, d’autres facteurs ex-pliquent cette insertion très rapide. Tout d’abord, il s’agit la plupart du temps d’une po-pulation masculine qui accède plus facilement à l’emploi. En-suite, un facteur essentiel de cette insertion rapide des ap-prentis est la formation suivie en elle même : être formé à un métier de production est gage d’une insertion rapide dans le monde du travail.

« Être un homme et être formé dans la production facilite l’accès à l’emploi.»

RÉSULTATS DE L’ENQUÊTED’INSERTION

Des filières professionnelles efficaces

Des CDI pour les apprentis

Les apprentis auront pour avantage d’entrer dans le monde du travail avec le plus souvent un contrat à durée indéterminé en poche. In-versement, les sortants du lycée commenceront fréquemment leur vie active avec des contrats à durée déterminée ou des contrats d’intérim. Toutefois, l’amélioration du marché du travail en 2007 a permis une augmentation de signatures de CDI pour les sortants de lycée (comparative-ment à 2006).

Femmes/Hommes : le déséquilibre

Que ce soit au lycée ou en apprentissage, femmes et hommes ne suivent pas les mêmes formations :Les jeunes femmes sortant du lycée avec une faible qualification peuvent rencontrer des diffi-cultés dans l’accès à l’emploi. Tout d’abord la pro-blématique du temps de travail : plus les qualifi-cations seront faibles, plus le temps partiel sera présent. Ensuite, la formation en elle-même, les femmes sont formées en grandes majorité sur des métiers de services et ce n’est pas dans ce sec-teur que se compte la majorité des embauches.

4 Conseil de Développement de la Loire-Atlantique - Cahier n°6 - Thème Emploi

EN BREF

56 % des hommes en apprentis-sage se forment à la production contre 11 % aux métiers de ser-vices.

2/3 des formations en apprentis-sage concernent la production, 1/3 les services. Les rapports s’in-versent pour les formations au ly-cée.

Le profil lycée correspond à une femme formée aux services tandis que le profil apprentissage corres-pond plutôt à un homme formé à un métier de production.

A tous les niveaux, le taux d’inser-tion des jeunes femmes est infé-rieur à celui des jeunes hommes

Un taux d’insertion en hausse pour toutes les ca-tégories en 2007

- En 2007, les taux d’insertion ont été supérieurs aussi bien pour les services que pour l’ap-prentissage, la production et les scolaires. Toutefois, les sortants de formation de production ont toujours un net avantage.

- La sortie du lycée avec un bac technologique permettra une bonne insertion s’ il y a poursuite d’études. Quant aux sorties du système scolaire avant le CAP, ce sont souvent des hommes et des femmes qui peuvent connaître des difficultés sur le marché du travail

Les femmes plus tou-chées par le temps partiel:

Au plus faible niveau de qua-lification, 1 femme sur 2 est à temps partiel. Ce taux diminue avec l’augmentation de la qua-lification.

Cahier n°6 - Thème Emploi - Conseil de Développement de la Loire-Atlantique 5

Taux d’emplois des sortants par formations en Loire-Atlantique en 2007(%)

Commerce & Vente

Comptabilité & Gestion

Accueil/ Hotellerie & Tourisme

Electricité & Electronique

Secrétariat & Bureautique

Agro-alimentaire & Cuisine

Bâtiment : finitions

Moteur & mécanique auto

67%

73%

73%

76%

60%

72%

74%

74%

L’INSERTION EN LOIRE-ATLANTIQUE

Vision de notre département...

A vec 12 300 réponses à l’enquête proposée, les résultats sont considérés comme fiables. Ces résultats mettent en évidence une insertion des apprentis particuliè-

rement réussie puisque 80 % d’entre eux, tous niveaux confondus, sont en emploi à la suite de leur apprentissage contre 66 % des jeunes qui sortent du système scolaire clas-sique. Sur le département, 39 groupes de formations sont représentés, toutefois, plus de la moitié des diplômés se répartissent dans 8 groupes de spécialités. Lesquelles

En Bref

IVA / IPA 2007 en Loire-Atlantique

81%

81%

82%

82%

83%

83%

84%

84%

84%

86%

Moteurs et mécanique auto

Finances banque assurance immobilier

Batiment : construction et couverture

Mécanique générale et de précision, usinage

Transport, manutention, magasinage

Travail du bois et de l'ameublement

Spécialités pluritechnologiques mécaniqueélectricité

Technologie de commandes destransformations industrielles

Énergie génie climatique

Mines et carrières, génie civil, topographie

Les groupes de spécialités les plus favorables à l’emploi en LOIRE - ATLANTIQUE

Source : Rectorat

6 Conseil de Développement de la Loire-Atlantique - Cahier n°6 - Thème Emploi

Habillement

Agronomie/Agriculture

Secrétariat/ Bureautique

Coiffure/Esthétique/ SAP *

Spécialités plurivalentes de SAP

Travail social

Commerce& vente

Imprimerie & édition

45%

35%

35%

29%

29%

27%

26%

26%

Taux (%) de chomâge les plus élévés en Loire-At-lantique selon les spécialités de formations

Les secteurs peu favorables à l’emploi 45% des sortants issus des formations de l’habillement sont encore en re-cherche d’emploi 7 mois après leur sortie de formation

Les secteurs les plus favorables à l’emploi

Toutes les formations qui relèvent du génie civile, de l’énergie, de la méca-nique, du bâtiment sont favorables à une insertion rapide dans le monde du travail.

* Définition propre à l’enquête

Cahier n°6 - Thème Emploi - Conseil de Développement de la Loire-Atlantique 7

En croisant ces deux indicateurs, difficultés de recrutement et taux de tension (nombre de demandes enregistrées rapporté au nombre d’offres d’emploi déposées), apparaît quatre cas de figure pour lesquels voici quelques exemples de métiers :

1 Difficultés de recrutement* et Ten-sions quantitativesMaçons qualifiés,Métalliers, serruriers indus-triels qualifiés, Conducteurs grands routiers, Bouchers, charcutiers

2Difficultés de recrutement sans tension quantitativePeintres et ouvriers qualifiés des finitions du bâtiment, Agents de gardiennage et de sécurité, Cadres de l’hôtellerie et de la restauration, Ouvriers qualifiés de l’électricité et de l’électronique (câbleurs, plateformistes, contrôleurs…)

Peu de difficultés de recrutement et tensions quantitativesOuvriers non qualifiés de la chimie, Caissiers, employés de libre-service, Ouvriers non qualifiés travaillant par enlè-vement ou formage de métal

3Peu de difficultés de recrutementsans tensions quantitativesSecrétaires, assistantes, Professionnels des spectacles, photographes, stylistes, décorateurs, Vendeurs en équipement de la personne et articles de sport

4* Les difficultés de recrutement sont celles exprimées par les employeurs

DÉSÉQUILIBRES SUR LE MARCHÉ DU

TRAVAIL ET DIFFICULTÉS DE RECRUTEMENT

L’ influence structurelle et conjoncturelle sur l’insertion des jeunes

Le lien entre conjoncture et taux d’inser-tion n’est plus à démontrer. Mais est-il possible d’ affirmer pour autant qu’il y a

un lien entre les taux d’insertions des jeunes et les difficultés de recrutement ?

Tension et difficulté, deux notions complémentaires

Les difficultés de recrutement exprimées par les entreprises sont mesurées dans l’enquête Besoins de main-d’oeuvre de l’Assédic. Les en-treprises sont interrogées sur leurs prévisions d’embauches et les difficultés à satisfaire leurs offres d’emploi. Leurs réponses permettent d’es-timer des taux de difficultés de recrutement par groupe de métiers.

Globalement, ce taux de difficulté tourne autour de 50 %, tous métiers confondus. Ce pourcen-tage évolue d’un groupe de métiers à l’autre. Les métiers de la métallurgie et le BTP avoisinent 80 % de difficultés de recrutement. A cela plusieurs explications possibles : qualifications inadap-tées, manque de main d’oeuvre, recherche trop ciblée... tous ces éléments peuvent se croiser et se cumuler à de nombreux facteurs individuels.

Par ailleurs, la tension sur le marché du travail informe sur l’équilibre ou les déséquilibres quantitatifs du marché du travail entre offres déposées à l’Anpe et demandes d’emploi enre-gistrées.

8 Conseil de Développement de la Loire-Atlantique - Cahier n°6 - Thème Emploi

Conjoncture et Insertion

L’analyse du déséquilibre sur le marché du travail exprime bien le lien entre la conjoncture et l’insertion. Car si l’inser-tion des jeunes peut bénéficier de cer-taines pénuries de main d’oeuvre, une conjoncture négative entraînera une baisse de recrutement et les jeunes seront parmi les premiers à ressentir ces difficultés. Outre l’aspect conjonc-turel, l’aspect structurel est également à prendre en compte. Les métiers de la production offriront toujours plus de possibilités d’insertion que les métiers de services

Source : Rectorat

Cahier n°6 - Thème Emploi - Conseil de Développement de la Loire-Atlantique 9

EMBAUCHES, PARCOURS ET MOBILITÉ

Les premiers pas dans le monde du travail

Une majeure partie des embauches pour les personnes déjà en emploi

Pour pallier à ces problèmes de difficultés de recrutement, une des premières solutions qui vient à l’esprit serait de vouloir augmenter les effectifs au sein des formations qui facilitent

l’accès à l’emploi. Toutefois, cela n’aurait, à quelques exceptions prêt, que peu d’efficacité. En effet, parmi les candidats potentiels à une offre d’emploi, il y a bien sur, les sortants de formation initiale comme également les sortants de formation continue, et les deman-deurs d’emplois. Mais la grande majorité des recru-tements va concerner des personnes qui sont déjà en emploi. Il ne reste qu’une très faible part de marché pour les jeunes sortant de for-mation initiale. Le système est en quelques sortes à sens unique car autant l’insertion des jeunes peut être facili-tée par les besoins d’embauches, autant les difficultés de recrutement ne seront pas résolues uniquement par le nombre de sortants de formations initiales.

« La majeure partie des embauches concernent des personnes déjà en emploi. »

Des parcours professionnels de plus en plus diversifiés

Cinq ans après la sortie des études, seule 1 personne sur 2 exerce une activité en lien di-rect avec sa formation d’origine. Force est de constater qu’une certaine mobilité existe, qu’elle soit voulue ou subie. La mobilité est très présente dans le monde du travail. Il y a des mobilités entre certains groupes de métiers

plutôt proches du fait de compétences mises en oeuvre : une personne formée aux métiers du commerce peut trouver un emploi dans l’accueil, ou bien encore un méca-

nicien industriel peut évoluer vers le pilotage d’installation de production. Toutefois, malgré ces mobilités professionnelles nombreuses, peu de transferts se font entre les métiers de ser-vices et les métiers de la production.

Les différents modes d’accès à l’emploi

EMBAUCHES

Sortants de for-mation initiale

Immigrants

Sortants de for-mation continue

Actifs en emploi

Deman-deurs d’em-

ploi

Inactifs

10 Conseil de Développement de la Loire-Atlantique - Cahier n°6 - Thème Emploi

Aujourd’hui, concernant les jeunes qui sortent par exemple de formation mécanique auto, environ 1/3 d’entre eux seulement travaillent à la suite de leurs études dans une entreprise de la réparation automobile, une faible part travaillent dans l’in-dustrie mécanique, et une bonne moitié restante travaille dans d’autres secteurs d’activité. S’il y a des difficultés de recrutement dans la réparation automobile, il ne faut donc pas regarder unique-ment le nombre de jeunes en formation initiale, mais plutôt s’interroger sur les raisons de ces mo-bilités

Cahier n°6 - Thème Emploi - Conseil de Développement de la Loire-Atlantique 11

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Rectorat de l’académie de Nantes4 chemin Houssinière44300 NANTESMail : [email protected]: 02 40 37 37 37 Fax : 02 40 20 52 40

Mme Sonia DEHIER, chargée d’études à l’observatoire de l’insertion professionnelle, divi-sion de l’analyse de gestion et des etudes (DAGE), rectorat de l’académie de Nantes.

M. Hervé BLANCHETIERE, char-gé de mission emploi-forma-tion, CARIF-OREF.

Les cahiers du Conseil de Développement de la Loire-Atlantique

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