integration

Présentation de la Société TIC

1. Principaux documents de référence :

Le présent manuel décrit le Système de Management Intégré mis en place par la société TIC

«Technique, Inspection & Contrôle» selon les principaux documents de références suivants :

o Norme ISO/CEI 17020 version 1998

Documents du Conseil National d’accréditation Tunisien TUNAC tels que les DO.I, les DO.G, les DI.I et

les DP.G

Document IAF/ILAC-A4 : version 2004 (# EA 5/01) Guide d’application de l’ISO/CEI 17020

o Norme ISO 9001 version 2008

o Norme ISO 14001 version 2004

o Référentiel OHSAS 18001 version 2007

Toutes les définitions des susdits référentiels ainsi que celles contenues dans la norme ISO/CEI 17000

« Evaluation de la conformité - vocabulaire et principes généraux » sont applicables.

Certaines procédures et particulièrement la procédure maîtrise des documents applicables PQ/DOC-

QUA/01 contiennent des définitions qui sont prises en compte dans le présent manuel.

Encadre par : BJAOUI ABD ELHAMID

2. Structure&gestion du manuel QHSE :

2.1 Structure du Manuel QHSE :

La structure de ce manuel se calque sur la structure de la norme ISO 9001 version 2008. Les

correspondances entre les différents chapitres de ce manuel, la norme ISO 9001 version 2008, la

norme ISO/CEI 17020 version 1998, la norme ISO 14001 version 2004 et le référentiel OHSAS 18001

version 2007 sont reprises en annexe. Les quatre systèmes de management sont présentés sous forme

intégrée.

2.1 Gestion du manuel QHSE :

Les dispositions relatives à la gestion du présent manuel QHSE sont explicitées dans la

procédure de maîtrise des documents applicables PQ/DOC-QUA/01.

3. System de management intégré :

Composition de la pyramide documentaire :


SMI (System de management intégré) pour le TIC :

o ISO 9001

o ISO 14OO1

o OHSAS 18001

Certifie (RSQI).

o ISO 17020

Accrédite (TUNAR).

Inspection : évaluation de la conformée des défauts par apport aux exigences :

o Normatives (ASME)

o Réglementaires

o Particulières (client, procédure)

4. Politique QSE :

o Ecoute et satisfaction de client

o Maitrise des aspects/impact environnement

o Maitrise les risque/ danger

o Améliorations continues de SMI

o Maitrises techniques et organisationnelles

o Recherches et développement

o Evaluations permanentes RH


5. Engagement de la direction :

Afin de fournir le preuve de son engagement au développement et la mise en œuvre du système de

management de la qualité ainsi qu’a l’amélioration continue de son efficacité la direction doit :

Communiquer au sein de l’organisme l’importance à s’satisfaire les exigences des clients ainsi

que les exigences règlementaires et l’égales.

Etablir la politique qualité.

Assurer que des l’objective qualité son établis.

Mener des revues de direction.

Assurer la disponibilité des ressources.

6. Politique qualité :

La direction doit assurer que la politique qualité :

Est adapté à la finalité de l’organisme.

Comprend l’engagement à s’satisfaire aux exigences et amélioré en permanence l’efficacité

du système de management de qualité.

Fournit un cadre pour établir revoir les objectifs qualités.

Est communiquée et comprise au sein de l’organisme.

Etre vu quant à son adéquation permanente.

Le Système de Management Intégré « SMI » de TIC est composé des processus suivants.

o Processus de pilotage :

M1 : Processus Ecoute et Satisfaction des Clients.

A1 : Processus Surveillance et Amélioration Continue.

D1 : Processus Planification Stratégique et Gestion des Objectifs.


o Processus de Réalisation:

P1 : Processus de maîtrise des exigences des clients.

P2 : Processus Planification d’une Prestation.

P3 : Processus Contrôle et Inspection Technique.

o Processus Support :

R1 : Processus Maîtrise des Achats, des Biens et des Services.

R2 : Processus Formation et Qualification.

R3 : Processus Maîtrise des Equipements de Contrôle, Mesure et Essais.

D2 : Processus de Management de l'Environnement Santé & Sécurité au Travail.


Processus de pilotage

Processus de Réalisation

Processus Support

7. Exigences :

Réglementaire.

Parties intéressées (client, état, direction de sécurité).

Demandes inspection : -AO (appel d’offre)

-CV (consultation verbal)

- CST (consultation écrire)

- Email

8. Exigences générales :

Le système de management intégré couvre toutes les activités de TIC. Il est mis en œuvre

selon la cartographie de processus et le tableau d’interaction des processus ci-dessous.

A noter que la description de chaque processus est décrite dans a des fiches processus.




P.P

OT--- CIT ---OM

Chantie

verifier les conditions de travail

installe balisage

exécution de la prestation demande

retour

interpretation

rapports

envoi des rapports

Services Tic

I. Service RSC :

1. Domaine d’application :

RSC est l’abréviation de Réception, Surveillance des Construction métallique.

Ce service est chargé de faire la vérification de dossier réception de

matériaux et de contrôle et suivie de fabrication (construction) métallique. Ce

service utilise les méthodes suivantes :

o Contrôle de peinture : Procédure PQ /RSC-CP/01

o Contrôle par balai électrique : Procédure PQ /RSC-BE/01

o Fitness-For-Service :Procedure PQ /RSC-FFS/01

o « Incotest »: Procédure PQ /RSC-INC/01

o Contrôle dimensionnel de réservoirs : Procédure PQ /RSC-CD/01

o Mesure d’épaisseur : Procédure PQ /RSC-ME/01

o Epreuve d’étanchéité : Procédure PQ /RSC-EE/01

o Examen métallographique : Procédure PQ /RSC-RM/01

o Assistance aux essais mécaniques et analyses chimique

o Contrôle de revêtement

o Vérification de note de calcul

o Contrôle de taux de ferrite

o Contrôle de dureté


2. Les moyens matériels à utiliser :

o Scanner pour le contrôle par LFET (pour le contrôle électromagnétique à basse

fréquence)

o Scorpion B-scan (pour le scannage par le robot scorpion ultrasonique) avec tous

ces accessoires.

o Appareils mesure d’épaisseurs et contrôle de corrosion (DMS 2/DMS2TC

Kawtkrammer)

o Boite à vide

o Appareil de mesure de dureté

o Appareil de contrôle de peinture

o Sonomètre

o Manomètre de pression

o Balai électrique

3. Qualifications :

Afin de satisfaire les besoins de ces clients en termes de Réception,

Surveillance des Construction métallique, TIC met à la disposition de sa clientèle

une équipe RSC

II. Service CND :

1. Examen radiographique :

Applicable après exécution complète des soudures bout à bout à plaine

pénétration et après le contrôle visuel.

Une source émet un rayon X ou γ à la surface à contrôler soumise au dessus

du film. Le défaut se distingue par la couleur sombre du film. En calculant le flou


géométrique fg, le temps d’émission et la densité et en développant le film, on

interprète les coordonnées des défauts.

Le développement du film s’effectue dans la chambre noire équipée de la

lumière U .V.

Le film doit être immergé en en premier lieu dans le révélateur afin de

transformer les cristaux d’halogénure d’argent en argent métal. Ensuite, il doit

être rincé dans un bain d’arrêt constitué d’eau et de 3% d’acide acétique. Le bain

d’arrêt a le pouvoir d’arrêter l’action du révélateur sur le film. Ce dernier sera

immergé dans un fixateur pour éliminer les sels d’argent non exposés et rendre

permanente

Procédure : PQ/CND-RT/01

Rapport : RQ/CND-RT/01

2. Examen par magnétoscopie :

Cette méthode détecte les défauts de surface environ 3mm de

profondeur soit par un aimant permanent ou un électroaimant. Il est

indispensable de nettoyer la surface à examiner avec un solvant pour se

débarrasser de la poussière et la graisse. Ensuite, on applique un fond blanc à la

surface puis d’un révélateur soit sec (des particules ferromagnétiques) ou encore

humide. Enfin on a recours à la phase d’excitation avec l’aiment. Le résultat est

interprétable instantanément en effet les particules du révélateur s’accumule

sous la forme du défaut existant. L’excitation s’effectue longitudinalement et

transversalement et en x aussi par rapport à l’axe de la soudure.

Procédure : PQ/CND-MT/01


Rapport : RQ/CND-MT/01

3. Examen par ressuage :

C’est une méthode de recherche des défauts débouchant de surface et de

localisation des discontinuités à une température comprise entre 5 et 40°c

L’opération dispose de d’un pénétrant de couleur rouge ou fluorescent

possédant le pouvoir pénétrer dans les défauts de surface en fonction du temps.

L’excès du pénétrateur à la surface doit être enlevé par un solvant. Un révélateur

s’applique pour remonter le pénétrant le long du défaut jusqu’à la surface.

L’application du pénétrant s’effectue soit par immersion, un pistolet

pulvérisateur, un pinceau ou un chiffon non peluchant. L’interprétation des

résultats doit être effectuées après séchage à la lumière du jour ou celle

artificielle (450 Lux).

Procédure : PQ/CND-PT/01

Rapport : RQ/CND-PT/01

4. Examen par ultrason :

C’est une méthode de CND appliquée pour détecter les défauts internes en

émettant des ondes ultrasonores. L’appareil est KRAUTKAMER USM 35 constituée

par un palpeur, selon le besoin, soit à :

onde longitudinale pour la mesure d’épaisseur.

onde transversale et onde de surface pour la détection des défauts

internes.


En premier lieu, le palpeur doit être bien étalonné selon le type d’onde. Les

résultats seront affichés à l’écran de l’appareil à travers une courbe dont

l’abscisse marque l’épaisseur et en mm et l’ordonnée celui de l’amplitude A%.

Initialement la courbe présente une forme exponentielle à l’origine et une pique

qui corresponde à la valeur d’épaisseur Chaque crête comprise entre ces deux

courbes corresponde au défaut existant.

Pour interpréter ces coordonnées, on mesure verticalement la profondeur

Pa entre la face interne du palpeur et la pique de la courbe, Ra étant la distance

entre palpeur et défaut. L’appareille nous indique également la valeur de la

longueur d’onde.

Procédure : PQ/CND-UT/01


o Palpeur (droit et angle)

o Pinces de magnétoscopie à courant Y6/Y7/Y8 (MAGANFLUX)

o Témoin de magnétisation

o Appareil ultrason

o Sources radioactives avec accessoires

o SCAR ( Small Carried Area Radiography)

o Crawlers IRIS 6/18 avec sources GAMMA & X

o Tubes à rayon X (Balteau /ICM)

o Négatoscopes (CEGELEC/ TEST /IPSI)

o Chambres de développements mobiles

o Développeuses numériques (AGFA)

o Radiomètres (Automess GmbH/ ALNOR/RADOS/ GRATEZ/ GEIGER)

o Collimateurs

o Projecteurs ultraviolets FC 100/F & /XFE standard

o Appareils Recherche de Default (Krautkrammer USM 25-USM 35/ Karl Deutch,)


6. Qualification :

Le personnel de service CND est qualifie par des certificats comme :

- RT COTEND niveau Il

- UT COTEND niveau Il

- MT COTEND niveau Il

- UT COFREND niveau Il

- … ,

III. Service CIS :

Le principe de service CIS est d’assurer la fiabilité des procédures de

soudage, l’habilité des soudeurs et des opérateurs soudeurs et la qualité

d’exécution des travaux de soudage sur des ouvrages.

1. Approbation de Descriptif de Mode Opératoire de Soudage (ADMOS) :

Il s’agit d’un dossier technique permettant d’approuver la conformité des

paramètres et des variables de soudage : procédés de soudage, traitement

thermique, type de produit, type de soudure, dimensions, position de soudage…

Cette tâche est accomplie par un ingénieur international en soudage(IWE).

Cette prestation consiste à vérifier et identifier tous les paramètres

indiqués et surtout les variables essentiels.

Procédure : PQ/CIS-ADMOS/01

Rapport : RQ/CIS-ADMOS/01


2. Qualification d’un mode opératoire de soudage (QMOS) :

C’est une procédure servant à valider la réalisation d’une soudure

(DMOS).Ceci en :

o Assistant au soudage (l’application du DMOS)

o Contrôle visuel avant soudage :

- Identification des métaux des bases et d’apports

- Vérification des dimensions

- Vérification de type, angle, écartement de chanfrein

o Contrôle visuel pendant soudage :

- Vérification de température de préchauffage

- Vérification de nature de courant et la polarité

- Vérification le début, nature de gaz ainsi que le diamètre de buse

- Mesure la température max entre passes

- Relever les paramètres de soudage (U, I, V) dans chaque passe

- Calcul de l’énergie de soudage

o Contrôle visuel après soudage :

- Les dimensions

- Le profil de la soudure

- Les défauts plans fissuration…,

- Les défauts de la forme

- Les défauts volumiques


Suite à un résultat favorable au contrôle visuel, l’assemblage de

qualification est soumis à des contrôles, examens ou essais, qui doivent être

effectués conformément aux exigences du code / norme applicable et aux

spécifications techniques du client.

Ces contrôles et ces essais sont composés par :

- Des contrôles non destructifs,

- Des contrôles destructifs (Essais mécaniques).

o Contrôle non destructif.

Selon le code de qualification et selon les spécifications des clients, les

essais non destructifs seront sélectionnés et exécutés :

- ressuage

- ultrasons

- magnétoscopie

- Radiographie

Procédure : PQ/CIS-QP/01

Rapport : RQ/CIS-QP/01 : Norme européenne et Tunisienne

Rapport : RQ/CIS-QP/02 : ASME IX

Rapport : RQ/CIS-QP/03 : API 1104

Rapport : RQ/CIS-QP/04 : AWS D1.1/D1.1.M

Si le résultat est acceptable, la soudure est admise à l’essai non destructif

et passe aux essais mécaniques.

o contrôles destructifs (Essais mécaniques) :


L’inspecteur T.I.C. est appelé à assister aux différents étapes des essais

mécaniques.

L’inspecteur est le responsable des essais et de l’interprétation des résultats

o Découpage et préparation des éprouvettes

o Essais mécaniques :

- l’essai de traction

- l’essai de pliage à l’endroit

- l’essai de pliage à l’envers

- l’essai de pliage de coté

- l’essai de texture

- l’examen macrographie

- l’essai de flexion par choc

- l’essai de dureté,

- l’essai de corrosion

NB : Selon le code de qualification et selon les spécifications des clients, les

essais destructifs seront sélectionnés et exécutés

o rapport :

Après la décision favorable des essais et sous l’exigence du code/norme,

un procès verbal de qualification doit être établie, numéroté et enregistré.

Si le DMOS est qualifié le rapport doit contenir :

- Une copie de DMOS,

- Le rapport de qualification du DMOS,


- Le certificat de qualification du soudeur qui a soudé l’assemblage

de qualification,

- Le rapport des essais non destructifs (ressuage, magnétoscopie,

radiographie…),

- Le rapport des essais destructifs,

- Une copie de certificat métal de base,

- Une copie de certificat métal d’apport.

Si le DMOS est disqualifié, le client est informé du résultat via un fax ou un

émail. Par la suite les rapports de contrôle non destructifs et rapports des essais

mécaniques lui seront envoyés.

3. Qualification des soudeurs et des opérateurs soudeurs (QS/QO) :

Cette prestation consiste vérifier l’habilité d’une personne dans

l’exécution d’un travail précis de soudage. Cette vérification est aussi pour

reconnaitre l’aptitude de soudeur à mettra en œuvre des consignes précises

comme la préparation des bords à souder, les respects de passes de soudage

(l’application de DMOS)

o Assister à la qualification

o Contrôle visuel avant soudage :

- Vérifier le DMOS

- Relever et enregistrer l’identité et le repère de soudeur

- les dimensions de l’assemblage


- Type (Bout à bout, Soudure d’angle)

- Vérifier le type de courant et la polarité

o Contrôle visuel pendant soudage :

- Les diamètres et la désignation du métal d’apport utilisé

- Le débit de gaz de protection

- Les paramètres de soudage

- Les séquences de soudage

- La vitesse de soudage

- L’énergie de soudage

- La température entre passes,

- La méthode de nettoyage

o Contrôle visuel après soudage :

- Les dimensions

- Le profil de la soudure

- Les défauts plans fissuration…,

- Les défauts de la forme

- Les défauts volumiques

Suite à un résultat favorable au contrôle visuel, l’assemblage de

qualification est soumis à des contrôles, examens ou essais, qui doivent effectués

conformément aux exigences du code /norme applicable et aux spécifications

techniques du client. Ces contrôles et ces essais sont composés par :

Des contrôles non destructifs,

Des contrôles destructifs (Réalisation des essais mécaniques),

o Contrôle non destructif :


Selon le code de qualification et selon les spécifications des clients, les

essais non destructifs seront sélectionnés et exécutés :

- ressuage

- ultrasons

- magnétoscopie

- Radiographie

o Contrôle destructif.

Selon le code de qualification et selon les spécifications des clients, les essais

destructifs seront sélectionnés et exécutés

o Certificat

Pour chaque soudeur et opérateur qualifié il est établi un certificat de

qualification contenant essentiellement :

- Identification de TIC

- Numéro du certificat

- Identification du document (date d’émission + code unique)

- Nom et repère des soudeurs ayant effectués l’examen de

qualification,

- Client,

- Repère du DMOS

- Code/norme applicable

- Date et lieu d’inspection

- Les détails concernant l’opération de soudage


- Etendue de qualification

- Travaux qui ont été sous traités avec identification des résultats

- Laboratoire des essais mécaniques (si applicable)

- Nom de l’inspecteur, vérificateur et l’approbateur

- Signature et cachet

Procédure : PQ/CIS-QS/01

Rapport : RQ/CIS-QS/01 : Norme européenne et Tunisienne

Rapport : RQ/CIS-QS/02 : ASME IX

Rapport : RQ/CIS-QS/03 : API 1104

Rapport : RQ/CIS-QS/04 : AWS D1.1/D1.1.M

Si le soudeur ou bien l’opérateur est disqualifié, un fax contenant les

résultats des contrôles et essais avec les rapports de contrôle non destructifs et

destructifs seront transmis au client.

4. Supervision des travaux de soudage (STS) :

Il s’agit de :

o Vérification documentaire :

- DMOS (WPS)

- QMOS (PQR)

- Certificat du métal de base

- Certificat du métal d’apport

- Certificat de qualification du soudeur


- Certificat de composition de gaz de protection

- Certificat d’étalonnage de poste de soudage (si applicable)

o Contrôle avant soudage :

- Identification de l’identité et du repère de soudeur.

- Vérification du certificat qualification soudeur

- Vérification de DMOS/QMOS et surtout les variables essentielles

- Contrôle de poste de soudage

- La Position de soudage

- L’épaisseur, diamètre de l’assemblage.

- Le type chanfrein : en V, X, K

o Contrôle pendant soudage :

- Les séquences de soudage

- La vitesse de soudage

- L’énergie de soudage

- La température entre passes,

- La méthode de nettoyage

- Le type des passes

o Contrôle après soudage :

Le superviseur doit vérifier que le laitier a été éliminé manuellement ou

mécaniquement afin d'éviter de masquer les défauts.

Le superviseur doit contrôler les dimensions géométriques du cordon de la

soudure (largeur, surépaisseur, alignement…)


La supervision peut être assistée soit par un ingénieur international en soudage,

un spécialiste en soudage.

o Rapports :

Le rapport doit contenir les informations suivantes :

- Référence TIC du rapport,

- Client

- Non de projet

- Référence du DMOS/QMOS,

- Date d’inspection,

- Nom de superviseur

- Code /norme appliqué

- Nom, repère et identification de (s) soudeur(s)

- Résultat de la supervision

- Signature de superviseur

Cette méthode établit une démarche à suivre ainsi que les moyens à

mettre en œuvre pour la supervision de travaux de soudage.

Procédure : PQ/CIS-STS/01

Rapport : RQ/CIS-STS/01

5. Agrément ou vérification du matériel de soudage :


Un contrôle visuel de l’état de la machine en premier lieu puis

l’étalonnage, ceci en mesurant la valeur de l’intensité de courant délivrée par

l’appareil et la comparer à celle affichée à l’écran.

L’agrément s’effectue par un inspecteur en soudage

C’est de définir les actions à entre prendre pour agréer les postes et machines à

souder.

Procédure : PQ/CIS-MS/01

Rapport : RQ/CIS-MS/01

6. Qualification :

Afin de satisfaire les besoin de ces clients en termes de CIS, TIC est doté

des équipements de hautes technologies et d’une équipe d’inspecteurs qualifiés :

o Ingénieurs international en soudage (IWE)

o Spécialiste international en soudage (IWS)

o Inspecteur en soudage CSWP 3.1 par the welding institut (TWI)

o Welding inspector niveau II par RINA


o Thermomètre infrarouge

o une valise de soudage


o miroir

o loupe

o torche

o calibre de soudage

o pied à coulisse

o pince ampérométrique

o chronomètre…

IV. Service CRS :

1. Domaine d’application : Les contrôles réglementaires préalables ou périodiques des installations de

gaz dans les domaines industriels, les installations électriques dans les domaines

industriels, les appareils de levage et les ascenseurs et les ouvrages de transport

d’hydrocarbures liquides par canalisation (sous catégories B1, B2, B3 et B4 du

susdit article). ;

La réalisation des travaux de contrôles réglementaires préalables ou périodiques

selon l’arrêté du ministère de l’industrie du 22 février 2000

o Le contrôle réglementaire de sécurité concerne :

o Les installations de gaz dans les domaines industriels.

o Les installations électriques dans les domaines industriels.

o Les appareils de levage et ascenseurs.


o Les ouvrages de transports des hydrocarbures liquides par canalisation.

o Prévention et protection contre les incendies.

2. Les moyens matériels à utiliseo Dynamomètres 50t (Tractel DYNAFOR)

o Manilles

o Water bags (01 T à 60 T)

o Cameras infrarouges (FLUKE/ LUMINEX)

o Mégohmmètre (Chauvin Arnoux)

o Contrôleur d’installation (Chauvin Arnoux)

o Contrôleur de boucle (Chauvin Arnoux)

o Explosimètre

o Mano détendeur de gaz

V. Service COS :

1. Domaine d’application :

Effectuer des contrôles officieux réglementaires préalables ou périodiques

selon les critères d’agrément des organismes de contrôle technique et

conformément à l’arrêté du ministère de l’industrie et de la technologie du

22 février 2000.

Le contrôle officiel de sécurité concerne trois types d’appareils et

d’ouvrages : les appareils à pression de vapeur, les appareils à pression de

gaz et les ouvrages de transport de gaz combustibles par canalisation.



o Balances manométriques (DH – Desgranges & Huot)

o Bnregistreurs de pressions avec charts (PMC Equipement Company Inc)

o Sondes de températures (Delta OHM/ CHAUVIN ARNOX)

o Manometers (BOUDRON/WIKA/BUDEMBERG/FIMA/ CONSOLARO SRL)
