INVENTAIRE DES FACTEURS DE LA POLLUTION DU CAPTAGE …infoterre.brgm.fr/rapports/83-SGN-088-HNO.pdfTAB DES MATIERES PAGE 1 - INTRODUCTION 1 1.1. Caractéristiques du captage et de

INVENTAIRE DES FACTEURS DE LA POLLUTIONDU CAPTAGE DES BRUYERES A BERNAY

f-i

VtUI 01 HMMAV ttrvtc« Géologique Régional

HAUTE - NORMANDIE

Agence Financière de Bassin

SEINE - NORMANDIE


par J. CHEMIN et J.P. HOLE

maquette et dessin de M.PECKRE

Résumé Rapport 83 SGN 088 HNO

En Haate.-NoAmanitU., Its copíogcA d'âa ^\jf>¿cuUca daiM, tz ka/i&t c/utyojux ÁotU a^êctlÁ pan. une. tuJihJMXt exc^ói^Lve, CqaXûaju ont étí mupi'i d'imeíuine de. tiuUXemeMt tiit& ontiiííL&e., L' Agence f-incMcUÂKe. de Bo&aâji SeÀne-Nonmandie. qal éubventconne ce type, d' ûUpement Aouhaifi^ ¿e JiOi^mÂ diuiimejttà de. compcuuvUon enVie. te. tiuLÎXement au captage. et de^ amênagementà A ¿* amont aa niveau c¿e¿ caiue.& de la pottution,

le boÁÁin du captage de^ ¿ounjicé de^ Btui/èîeA à Se/inay a ítí chol&l pooK qu'y ¿olt xëxtlloé VlnventaOïe dt& iacteuiu de Vappa/Utljon di Ca tux-ÎxUti deÁ eaux óoa£eA/uune¿. Cette étude, qui patente, un aviaatVie pitóte pouJi ta fiéglon a. ttt confiée eux SeAvlce GÜotoglque. íléglonal Haute -UoAjnandle. du B.R.G.M. pan ¿'Agence flnancWie. de. Boà^ln SeJne-Nonmandle, qui en oAÁU/ie. te. financement,

LeÂ tnavaux 4e ¿ont déAjoutii dt iévHleA. 79S2 â janvltn. 1983, îtA ont débute pan. un te.Ce.vé plézométAJjiue et deé expéAlencc& de tnaçage a^ln dedètlmlteA te boÁéln d* atimentatlon du captage.. ?wih a éti dne^ÁAé un Inventaire. deÁ bétolAts et de l'occupation du hot poun ialne appa/uLctAe. le¿zoneÁ ÁenólbleÁ à ¿^éAOÁlon. En^ln I* obÁenvatlon de¿ ¿pl&odeÁ de, AxU&ÁeZtejnent peAmeX d'analyê/L le. comportement du ba&Áln ve/uant et de. pfiopOÁeAdjtM ÁolutlonÁ texJinlque.Á ,

La tuAblAltz A 'averie e-t'ie la conhéqwenct de. V évolution récente, et naplde de V ofiganl&atlon du AjuU&eZtejmnt áouá V el{¡et du Kemembfiejnent eX deV OÁÁalnl&Áement, Ceó aménagements coniâÁ pou/i amêJUorCL ta pfuodxxctlvlZé deJt e,xploltatljonÁ og/UcoteÁ ne tiennent pOÁ compte, de la ¿enÁlbllltédeÁ Á0Í6 et da ÁOUÁ-Áol aax procc&6uA a* éAo¿lon,

tei KéÁultatÁ obtenuó aprí& une année, de. tnavalt áu/l le. teAAoln ¿eAvl/iont cíe base à une. seconde phase de l' étude-pilote visant à dé^lnlJi lesprincipes d'un aménagement nouveau avec te souci de. satisfaire simultanément £eó IntéAêXs jusqu'à présent con^tlctuets deJ> agrlcuttcuAS ct de¿consoirtnatexirs d'eau, dans le melJttejjJi rapport coût/eîlcadté pour la cottectlvlté.

VILLE DE BERNAY Service Géologique Régional Agence Financière de Bassin

HAUTE - NORMANDIE SEINE - NORMANDIE


par J. CHEMIN et J.P. HOLE

maquette et dessin de M.PECKRE

Résumé Rapport 83 SGN 088 HNO

En Haate.-NoAmanitU., Its copíogcA d'âa ^\jf>¿cuUca daiM, tz ka/i&t c/utyojux ÁotU a^êctlÁ pan. une. tuJihJMXt exc^ói^Lve, CqaXûaju ont étí mupi'i d'imeíuine de. tiuUXemeMt tiit& ontiiííL&e., L' Agence f-incMcUÂKe. de Bo&aâji SeÀne-Nonmandie. qal éubventconne ce type, d' ûUpement Aouhaifi^ ¿e JiOi^mÂ diuiimejttà de. compcuuvUon enVie. te. tiuLÎXement au captage. et de^ amênagementà A ¿* amont aa niveau c¿e¿ caiue.& de la pottution,

le boÁÁin du captage de^ ¿ounjicé de^ Btui/èîeA à Se/inay a ítí chol&l pooK qu'y ¿olt xëxtlloé VlnventaOïe dt& iacteuiu de Vappa/Utljon di Ca tux-ÎxUti deÁ eaux óoa£eA/uune¿. Cette étude, qui patente, un aviaatVie pitóte pouJi ta fiéglon a. ttt confiée eux SeAvlce GÜotoglque. íléglonal Haute -UoAjnandle. du B.R.G.M. pan ¿'Agence flnancWie. de. Boà^ln SeJne-Nonmandle, qui en oAÁU/ie. te. financement,

LeÂ tnavaux 4e ¿ont déAjoutii dt iévHleA. 79S2 â janvltn. 1983, îtA ont débute pan. un te.Ce.vé plézométAJjiue et deé expéAlencc& de tnaçage a^ln dedètlmlteA te boÁéln d* atimentatlon du captage.. ?wih a éti dne^ÁAé un Inventaire. deÁ bétolAts et de l'occupation du hot poun ialne appa/uLctAe. le¿zoneÁ ÁenólbleÁ à ¿^éAOÁlon. En^ln I* obÁenvatlon de¿ ¿pl&odeÁ de, AxU&ÁeZtejnent peAmeX d'analyê/L le. comportement du ba&Áln ve/uant et de. pfiopOÁeAdjtM ÁolutlonÁ texJinlque.Á ,

La tuAblAltz A 'averie e-t'ie la conhéqwenct de. V évolution récente, et naplde de V ofiganl&atlon du AjuU&eZtejmnt áouá V el{¡et du Kemembfiejnent eX deV OÁÁalnl&Áement, Ceó aménagements coniâÁ pou/i amêJUorCL ta pfuodxxctlvlZé deJt e,xploltatljonÁ og/UcoteÁ ne tiennent pOÁ compte, de la ¿enÁlbllltédeÁ Á0Í6 et da ÁOUÁ-Áol aax procc&6uA a* éAo¿lon,

tei KéÁultatÁ obtenuó aprí& une année, de. tnavalt áu/l le. teAAoln ¿eAvl/iont cíe base à une. seconde phase de l' étude-pilote visant à dé^lnlJi lesprincipes d'un aménagement nouveau avec te souci de. satisfaire simultanément £eó IntéAêXs jusqu'à présent con^tlctuets deJ> agrlcuttcuAS ct de¿consoirtnatexirs d'eau, dans le melJttejjJi rapport coût/eîlcadté pour la cottectlvlté.

VILLE DE BERNAY Service Géologique Régional Agence Financière de Bassin

HAUTE - NORMANDIE SEINE - NORMANDIE

TABŒ DES MATIERES PAGE

1 - INTRODUCTION 11.1. Caractéristiques du captage et de la pollution 11.2. Rappel du processus de la pollution 11.3. Buts de Tétude-pilote 2

2 - ORGANISATION DU RUISSELLEMENT DANS LE BASSIN VERSANT 22.1 . Morphologie karstique et aménagement ancien 22.2 . Aménagement contemporain 42.3. Observations après Vorage du 10.06.1982 4

3 - DEFINITION DU BASSIN D'ALIMENTATION ' 53 .1 . Piézométrie 53.2 . Expériences de traçage 53.3. Incertitudes ä lever 6

4 - CARTOGRAPHIE DES FACTEURS DE LA POLLUTION 64 .1 . Occupation du sol 64 . 2 . Inventaire des bétoires 74.3 . Hiérarchisation des bétoires 7

5 - CONCLUSIONS 85.1 . Principaux résultats de V étude-pilote 85.2. Nécessité d'une quantification des phénomènes 85.3. Reflexions pour un aménagement nouveau 8

ILLUSTRATIONS

Planche n" 1 : Erosion de terres cultivées à Caorches-St-Nicolas suite ä l'orage du 10.06.1982.

Planche n° 2 : Erosion du fossé d'assainissement et del'effondrement du Buisson à Courbépine suite à l'orage du10.06.1982.

S I T U A T I O N D U B A S S I N E T U D I E A 1 / 5 0 0 0 0 0

Carte n° 1Carte n° 2Carte n° 3Carte n° 4Carte n° 5Carte n° 6Carte n° 7

ANNEXES

Définition du bassin d'alimentationTopographieOrganisation du ruissellementInventaire des bétoiresOccupation du solPente du solSurface imperméabilisée

Annexe I : inventaire communal des principales bétoiresdu bassin d'alimentation des sources des Bruyères.

Annexe II : Résultats des expériences de traçage à lafluorescéine.

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1 - INTRODUCTION

1.1. Caractéristiques du captage et de la pollution

le captage d'A.E.P. de ta vllte de Bernay eó-C situé au lieu dit "Les Bruyércà" en limite Ouest de, V agglomération.

Ses coordonnées LambeAX hlord sont : x = 471, S4 y = 155,57 z = 112 m. îl porte. l'Indice national 14S-3-40.

il s'agit d'an puits de 3 m de diamètre et S m de profondeur qui Intercepte., dans une fissure de ta craie large d'un mWte, l'écoulementsouterrain qui atimente te grlîon principal des sources des Sruylres. Jl a été réaJUsé en 1975 en remplacement du captage de la SociétéBemayenne sua un autre gri^ôn à 200 m à l'aval {Indice 14S~3-19) .

Le nouveau captage est exploité, en régie directe par le Service des Eaux lûnicipal, la V.V.E. en assure la maîtrise d'oeuvre.

La V.V. A. S. S. a établi un historique de la qualité de l'eau captée (/) qui montre qu'elle est fréquemment a^êctée par deux types de pol¬lution parfois concomittants :

- une pottution bactérienne traduite par ta présence de germes d'origine Recate en grande quantité. Le traitement continu par Injection dechlore aux crépines des pompes évite que cette contamination n'a^êcte la quotité de l'eau distribuée.

- une turbidité élevée, quelque ôls accompagnée de teneurs excessives en ier et rnatléres organiques. La turbidité peut atteindre plusieurscentaines de gouttes de mastic, une eau aussi trouble est Impropre à. certains usages Industriels et n'engage pas le particulier à l'utitlserpour son alimentation et son kygléne.

L' explûltant a observé que les épisodes de turbidité se déclenchent aprts de portes pluies sur le plateau et durent de quelques heures àplusieurs jours.

1.2. Rappel du processus de la pollution

Le captage des Bruyères a {âlt l'objet d'une recherche des causes de sa pollution dans le cadre d'une étude régionale portant sur vingt cap¬tages [î].

A cette occasion, ll a été mis en évidence que l'aquifère crayeux est de nature karstique dans le bassin d'alimentation des sources des Bru¬yères. C est-à-dire que les fissures de ta craie ont été développées par dissolution du calcaire pour former un réseau de conduits aboutis¬sant aux sources. Les bétolres à ta sur{¡ace du plateau sont des regards sur ce réseau. Cela est attesté par la taille de la fissure rencontréetors du creusement du captage et par une expérience de coloration qui a prouvé l'existence de circulation très rapide des eaux de la bétolre deta Croix Rouge aux Sources des Bruyères {voir Îche de la bétolre en annexe I et tableau des colorations en annexe II).

Vans ce contexte, -ta turbidité peut être engendrée par les eaux de ruissellement à trois niveaux :

- en surface par érosion des terres cultivées

- entre le sol et la nappe, par recatlbrage des cheminées de bétolres- dans la nappe par reprise de dépôts anciens à l'Intérieur des conduits de la craie.

La part de chaque origine est dl^^f^ldlement détenitlnable et doit varier d'un épisode de ruissellement à un autre, selon la localisation et l'In¬tensité des pluies.

(M : Rapport V.V. A. S. S. w" 225-S2 du 29. 01. 19S2 par A. BOURÏAUO

(2) : Rapport B.R.G. tÁ. n° 81 SGN 677 HhlO par J. CHEMIN et J.P. HOLE.

- 1 -

1 - INTRODUCTION

1.1. Caractéristiques du captage et de la pollution

le captage d'A.E.P. de ta vllte de Bernay eó-C situé au lieu dit "Les Bruyércà" en limite Ouest de, V agglomération.

Ses coordonnées LambeAX hlord sont : x = 471, S4 y = 155,57 z = 112 m. îl porte. l'Indice national 14S-3-40.

il s'agit d'an puits de 3 m de diamètre et S m de profondeur qui Intercepte., dans une fissure de ta craie large d'un mWte, l'écoulementsouterrain qui atimente te grlîon principal des sources des Sruylres. Jl a été réaJUsé en 1975 en remplacement du captage de la SociétéBemayenne sua un autre gri^ôn à 200 m à l'aval {Indice 14S~3-19) .

Le nouveau captage est exploité, en régie directe par le Service des Eaux lûnicipal, la V.V.E. en assure la maîtrise d'oeuvre.

La V.V. A. S. S. a établi un historique de la qualité de l'eau captée (/) qui montre qu'elle est fréquemment a^êctée par deux types de pol¬lution parfois concomittants :

- une pottution bactérienne traduite par ta présence de germes d'origine Recate en grande quantité. Le traitement continu par Injection dechlore aux crépines des pompes évite que cette contamination n'a^êcte la quotité de l'eau distribuée.

- une turbidité élevée, quelque ôls accompagnée de teneurs excessives en ier et rnatléres organiques. La turbidité peut atteindre plusieurscentaines de gouttes de mastic, une eau aussi trouble est Impropre à. certains usages Industriels et n'engage pas le particulier à l'utitlserpour son alimentation et son kygléne.

L' explûltant a observé que les épisodes de turbidité se déclenchent aprts de portes pluies sur le plateau et durent de quelques heures àplusieurs jours.

1.2. Rappel du processus de la pollution

Le captage des Bruyères a {âlt l'objet d'une recherche des causes de sa pollution dans le cadre d'une étude régionale portant sur vingt cap¬tages [î].

A cette occasion, ll a été mis en évidence que l'aquifère crayeux est de nature karstique dans le bassin d'alimentation des sources des Bru¬yères. C est-à-dire que les fissures de ta craie ont été développées par dissolution du calcaire pour former un réseau de conduits aboutis¬sant aux sources. Les bétolres à ta sur{¡ace du plateau sont des regards sur ce réseau. Cela est attesté par la taille de la fissure rencontréetors du creusement du captage et par une expérience de coloration qui a prouvé l'existence de circulation très rapide des eaux de la bétolre deta Croix Rouge aux Sources des Bruyères {voir Îche de la bétolre en annexe I et tableau des colorations en annexe II).

Vans ce contexte, -ta turbidité peut être engendrée par les eaux de ruissellement à trois niveaux :

- en surface par érosion des terres cultivées

- entre le sol et la nappe, par recatlbrage des cheminées de bétolres- dans la nappe par reprise de dépôts anciens à l'Intérieur des conduits de la craie.

La part de chaque origine est dl^^f^ldlement détenitlnable et doit varier d'un épisode de ruissellement à un autre, selon la localisation et l'In¬tensité des pluies.

(M : Rapport V.V. A. S. S. w" 225-S2 du 29. 01. 19S2 par A. BOURÏAUO

(2) : Rapport B.R.G. tÁ. n° 81 SGN 677 HhlO par J. CHEMIN et J.P. HOLE.

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1.3. Buts de l'étude-pilote

Le réseau de surveillance de la qualité de la nappe de la craie dans l'Eure exploité par le S.R.G.U. depuis 1979 montre que de nombreux pointsd'eau du département connaissent des problèmes semblables à celui de Bernay, en particulier dans le Lieuvin et le Pays d* Ouche (3).

La solution qui consiste à traiter les eaux polluées au captage a été mise en oeuvre dans quelques cas. Elle s'avère coûteuse en investissementet en {fonctionnement, de plus elle n'est parfois pas totalement ei{^lcace.

L' Aqence financière de Bassin Seine-Normandie qui subventionne ce type d'équipement souhaite, avant de poursuivre l'aménagement des points d'eauconcernés par ta turbidité, se donner des éléments de comparaison entre te traitement aa captage et des aménagements à l'amont au niveau descauses de pollution. Le bassin du captage des Bruyères a été choisi pour entamer cette démarche parce qu'il est relativement bien connu et parceque la ville de Bernay non seulement y était favorable mais apportait le concours matériel de ses Services Techniques,

Pour définir et dimensionner techniquement et {financièrement tes travaux à envisager, H est nécessaire dans un premier temps de préciser lesprocessus mis en évidence et le domaine géographique concerné par des observations de terrain puis d' InvtntoAler les ¿acteurs de l'apparition dela turbidité.

C'est la tâche qui a été confiée au Service Géologique Régional Haute-Normandie du B.R.G. 1^. L'étude s'est déroulée de ¿évrler 19ÎÎ à janvier19S3.

Cette étude a donc un caractère pilote pour la région et présente un Intérêt Immédiat en permettant de choisir des aménagements qui réduisent lapollution du captage des Bruyères dans le meilleur rapport coût/ -eUlcaclté pour ta collectivité.

1 - ORGANISATION DU RUISSELLEMENT

2.1. Morphologie karstique et aménagement ancien

Le plateau qui sépare les vallées de la Charentonne et de l'Orblqaet est parcouru par des réseaux de vallées sèches, témoins d'une période oùl'écoulement superficiel était plus abondant.

Vans le bassin versant superficiel des sources des Sruuères, ta longueur cumulée des vallées atteint 50 km.

Le iond des thaùuegs est tapissé de colluvions arqlto-Cimaneuses épaisses de un à quelques mètres recouvrant la craie.

Cette ¿ormatlon est traversée par des bétolres, entûroiolrs dont le {¡ond cormunlqae avec des ¿l&sures de la craie.

Les eaux de ruissellement s'y engouffrent et leur action corrosive agrandit, les fissures. Il peut se ioAmer des conduits qui amènent rapidementles eaux de surface dans la nappe située à quelques mètres de profondeur.

Entre les vallées sèches, les limons et la formation résiduelle à silex qui couvrent la craie sur plus de 10 m d'épaisseur sont également a{{ec~tés de dépressions pouvant atteindre ta craie.

Leur origine peut être naturelle {soutirage de la couverture au-dessus d'un vide karstique de ta craie] ou artificielle {e¿{¡ondrement du toitd'une ancienne mamlère] .

3] : Rapport B.R.G.H. n* 82 SGN 392 HNO par J. CHEMiN.

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1.3. Buts de l'étude-pilote

Le réseau de surveillance de la qualité de la nappe de la craie dans l'Eure exploité par le S.R.G.U. depuis 1979 montre que de nombreux pointsd'eau du département connaissent des problèmes semblables à celui de Bernay, en particulier dans le Lieuvin et le Pays d* Ouche (3).

La solution qui consiste à traiter les eaux polluées au captage a été mise en oeuvre dans quelques cas. Elle s'avère coûteuse en investissementet en {fonctionnement, de plus elle n'est parfois pas totalement ei{^lcace.

L' Aqence financière de Bassin Seine-Normandie qui subventionne ce type d'équipement souhaite, avant de poursuivre l'aménagement des points d'eauconcernés par ta turbidité, se donner des éléments de comparaison entre te traitement aa captage et des aménagements à l'amont au niveau descauses de pollution. Le bassin du captage des Bruyères a été choisi pour entamer cette démarche parce qu'il est relativement bien connu et parceque la ville de Bernay non seulement y était favorable mais apportait le concours matériel de ses Services Techniques,

Pour définir et dimensionner techniquement et {financièrement tes travaux à envisager, H est nécessaire dans un premier temps de préciser lesprocessus mis en évidence et le domaine géographique concerné par des observations de terrain puis d' InvtntoAler les ¿acteurs de l'apparition dela turbidité.

C'est la tâche qui a été confiée au Service Géologique Régional Haute-Normandie du B.R.G. 1^. L'étude s'est déroulée de ¿évrler 19ÎÎ à janvier19S3.

Cette étude a donc un caractère pilote pour la région et présente un Intérêt Immédiat en permettant de choisir des aménagements qui réduisent lapollution du captage des Bruyères dans le meilleur rapport coût/ -eUlcaclté pour ta collectivité.

1 - ORGANISATION DU RUISSELLEMENT

2.1. Morphologie karstique et aménagement ancien

Le plateau qui sépare les vallées de la Charentonne et de l'Orblqaet est parcouru par des réseaux de vallées sèches, témoins d'une période oùl'écoulement superficiel était plus abondant.

Vans le bassin versant superficiel des sources des Sruuères, ta longueur cumulée des vallées atteint 50 km.

Le iond des thaùuegs est tapissé de colluvions arqlto-Cimaneuses épaisses de un à quelques mètres recouvrant la craie.

Cette ¿ormatlon est traversée par des bétolres, entûroiolrs dont le {¡ond cormunlqae avec des ¿l&sures de la craie.

Les eaux de ruissellement s'y engouffrent et leur action corrosive agrandit, les fissures. Il peut se ioAmer des conduits qui amènent rapidementles eaux de surface dans la nappe située à quelques mètres de profondeur.

Entre les vallées sèches, les limons et la formation résiduelle à silex qui couvrent la craie sur plus de 10 m d'épaisseur sont également a{{ec~tés de dépressions pouvant atteindre ta craie.

Leur origine peut être naturelle {soutirage de la couverture au-dessus d'un vide karstique de ta craie] ou artificielle {e¿{¡ondrement du toitd'une ancienne mamlère] .

3] : Rapport B.R.G.H. n* 82 SGN 392 HNO par J. CHEMiN.

- 3 -

Vans les deux cas, ces vides n'absorbent pas de débit notable puisqu'ils iont en dehors d'axes de ruissellement. Ils constituent cependantdes points où ta nappe est vuîijuLbie à. un Ktjet dans le sous~iol du -[ait de l'absence f^c la couverture aralleuse protectrice.

En dehors de tout cm ^na^j épient hw>âln, te fuUssclteiênt gagne le sous-àol par ¿es bétolres situées dans les thalioegs. Elles ant été calibrées

Bétoires en formationérosion intense

Fosse

Formationó Silex

Orare

Bétoire ancienneérosion foible

Ecoulement peu fréquent

Vers source

í^(í conçoit donc qu'après d' évcntaeti amém.gejt\ents du bassin en vue de réduire les conséquence^^ des actlvlt.és humaines sur la turbidité, llSubsistera un "bruit de ¿ond" naturel dû à ces phénomènes d'érosion du izarst.

Vans ce contexte géologique, l'aménagement rural [4] qui s'est mis en ptace depuis le Moyen Age aax dépends da couvert ¿orestleA originel aprofité des possibilités d'évacuer les eaux dans tes bétoires.

(4) : L'évolution de V agriculture de l'Eure, SeAvice de StatUtlque, V.V. A. de l'Eure.

- 3 -

Vans les deux cas, ces vides n'absorbent pas de débit notable puisqu'ils iont en dehors d'axes de ruissellement. Ils constituent cependantdes points où ta nappe est vuîijuLbie à. un Ktjet dans le sous~iol du -[ait de l'absence f^c la couverture aralleuse protectrice.

En dehors de tout cm ^na^j épient hw>âln, te fuUssclteiênt gagne le sous-àol par ¿es bétolres situées dans les thalioegs. Elles ant été calibrées

Bétoires en formationérosion intense

Fosse

Formationó Silex

Orare

Bétoire ancienneérosion foible

Ecoulement peu fréquent

Vers source

í^(í conçoit donc qu'après d' évcntaeti amém.gejt\ents du bassin en vue de réduire les conséquence^^ des actlvlt.és humaines sur la turbidité, llSubsistera un "bruit de ¿ond" naturel dû à ces phénomènes d'érosion du izarst.

Vans ce contexte géologique, l'aménagement rural [4] qui s'est mis en ptace depuis le Moyen Age aax dépends da couvert ¿orestleA originel aprofité des possibilités d'évacuer les eaux dans tes bétoires.

(4) : L'évolution de V agriculture de l'Eure, SeAvice de StatUtlque, V.V. A. de l'Eure.

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Cependant da ioJX de V extension des surfaces toujours en herbes dans les ¿onds de vallées, de la pratique des labours en planches sur tesplateaux et de l'absence de revêtements de ta voirie, les débits produits par l' assainissement rural restaient de l'ordre de ceux da ruissel¬lement naturel et la conservation des sols était assurée.

Ve plus, le faeio-cn de stocker l'eau dans des mares permettait de décanter et d'écréter tes pointes de crue. Les terrains les plus pentus éXalentcouverts de bols ou de pâtures. Les talus et les haies qui sillonnaient les thalwegs limitaient les possibilités d'érosion lors des ¿orts ruls-seltejfiients , Les bétolres recevaient des débits pour lesquels elles étalent déjà calibrées. L'organisation naturelle du ruissellement n'était pasbouleversée el V assainissement agricole tirait parti des particularités de la morphologie karstique.

2.2. Aménagement contemporain

Cet équilibre a été progressivement rompu par la conquête de surfaces toujours plus grandes par les labours depuis 1955 {5), en particulier., surdes terrains en pente ¿orte et dans tes ¿onds de vallées sèches. Autour de 1975, le remembrement a supprimé tes haies et les mares qui ne subsis¬tent pl^ qu'autour des hameaux Í6), La mise en ptace à la même époque des ¿ossés d'assainissement des terres agricoles et de réseaux de drainsenterrés a permis de cultiver des sols hydromorphes autrefois toujours en herbe. Les ¿ossis qui reçoivent en outre tes eaux des routes etchemins d' exploitation dont le revêtement s'est généralisé, dirigent vers les bétolres des débits pour lesquels elles ne sont pas calibrées.

Il s'en Suit une accélération spectaculaire de l'érosion des cheminées argileuses et la création de nouveaux points d* absorption de part etd'autre des bétolres saturées. La mise en charge brutale des conduits karstiques Impose aux eaux souterraines des vitesses d'écoulement sui¿l-santes pour que d'anciens dépôts terrigènes soient remis en suspension*

Les hivers particulièrement pluvieux que connaît ta région depuis 1977 ont accru V Intensité de ces phénomènes. L'existence de surfaces labou^rées nues à cette saison sur des sols pentus a permis à ces pluies d'emporter des matériaux limoneux jusqu'aux bétolres. L'aménagement futrat adonc ¿avorlsé une recrudescence de l'érosion aux trois niveaux oû la turbldllé peut être engendrée. L'objectli poursuivi était l' améllúratlonde ta productivité agricole, aucun compte n'a été tenu de l'Impact sur ta quotité, des eaux souterraines. A long terme les conséquences serontégalement défavorables à l'agriculture puisque la conservation des sols est aotrpromlse.

2.3. Observations aprës l'orage du 10.06.1982

Aa

ierme de Chesney sur la commune de St- Mords -de- Tresne Indique qu'il est tombé $3 mm de pluie entre 19 h el 21 h. Le ruissellement vloioMt maisbrei provoqua une onde de crue dans tous les {¡ossts situés à l'amont des bassins. Les premières bétolres rencontrées ¿urent rapidement saturéespar te débit de pointe et l'écoulement se pour&duJJlt\f^'*t s Ca partie aval des SfûJULées sèches. Les planches 1 et 2 en illustrent les coinéquencu.s¿es plus spectaculaires.

A C(wrches-St-Nlcolas {planche 1], les ¿ossés du C.V. 131 aboutissent dans des chxanps de blé et de betteraves qui occupent le tjewp/sm. Les eauxde ruissellement s'y sont engouíírées en un ¿tot suéÁlsaiment concentré el rapidt pour provoquer une érosion Importante, en particulier dans lechamp de betteraves. Un premier groupe de bétolres {Ucke n" 129-3] situé un peu à l' écart de l'axe d* écoulement a absorbé une partie dij débitpar Surverse. Après avoir déposé plusieurs mitres cuoes de matériaux dans une zone peu pentue, les eaux limoneuses ont saturé deux bttôlrescreusées dans des pâtures [¿Iche 129-1] à 1,300 m à V.aval de la sur¿ace érodée. Au delà, le ¿lot résiduel s'est étalé dans une zone i>olsée etherbeuse oû d'anciennes bétolres totalement colmatées n'ont pas été déstabilisées , Les eaux se sont Inilltrées sur une distance d'envlTQft fOO m

abandonnant en sur¿ace un ¿ln dépôt limoneux, kicun ruissellement n'a rejoint la. volite de la Charentonne. , ni à partir de ce thalweg ,' nl à partirdes autres malgré l'Importance eX l'Intensité des précipitations.

A Courbéplne {planche 2), un ¿ossé d' assolnlssimetU agrlcote creusé au début da printemps aboutit à un grand e¿¿ondrement au lieu dit "Le Buis¬son". Un volume d'eau très Important en provenance du ruissellement sur les terres agricoles encore non drainées s'y est engouí¿ré. Partielle¬ment colmaté par des déchets agricoles, V eÁÁondrajoenX^qul ne recevait pas jusque là de débit notable a été temporairement saturé, puis décolmaté

/

(5) : Le point sur l'utilisation du territoire 1965-1974 Service de Statistique, V.V, A, de l'Eure,

Í6) : Le point sur V utilisotion du territoire 1975-19S0 Service de Statistique, V.V. A, de l'Eure.

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Cependant da ioJX de V extension des surfaces toujours en herbes dans les ¿onds de vallées, de la pratique des labours en planches sur tesplateaux et de l'absence de revêtements de ta voirie, les débits produits par l' assainissement rural restaient de l'ordre de ceux da ruissel¬lement naturel et la conservation des sols était assurée.

Ve plus, le faeio-cn de stocker l'eau dans des mares permettait de décanter et d'écréter tes pointes de crue. Les terrains les plus pentus éXalentcouverts de bols ou de pâtures. Les talus et les haies qui sillonnaient les thalwegs limitaient les possibilités d'érosion lors des ¿orts ruls-seltejfiients , Les bétolres recevaient des débits pour lesquels elles étalent déjà calibrées. L'organisation naturelle du ruissellement n'était pasbouleversée el V assainissement agricole tirait parti des particularités de la morphologie karstique.

2.2. Aménagement contemporain

Cet équilibre a été progressivement rompu par la conquête de surfaces toujours plus grandes par les labours depuis 1955 {5), en particulier., surdes terrains en pente ¿orte et dans tes ¿onds de vallées sèches. Autour de 1975, le remembrement a supprimé tes haies et les mares qui ne subsis¬tent pl^ qu'autour des hameaux Í6), La mise en ptace à la même époque des ¿ossés d'assainissement des terres agricoles et de réseaux de drainsenterrés a permis de cultiver des sols hydromorphes autrefois toujours en herbe. Les ¿ossis qui reçoivent en outre tes eaux des routes etchemins d' exploitation dont le revêtement s'est généralisé, dirigent vers les bétolres des débits pour lesquels elles ne sont pas calibrées.

Il s'en Suit une accélération spectaculaire de l'érosion des cheminées argileuses et la création de nouveaux points d* absorption de part etd'autre des bétolres saturées. La mise en charge brutale des conduits karstiques Impose aux eaux souterraines des vitesses d'écoulement sui¿l-santes pour que d'anciens dépôts terrigènes soient remis en suspension*

Les hivers particulièrement pluvieux que connaît ta région depuis 1977 ont accru V Intensité de ces phénomènes. L'existence de surfaces labou^rées nues à cette saison sur des sols pentus a permis à ces pluies d'emporter des matériaux limoneux jusqu'aux bétolres. L'aménagement futrat adonc ¿avorlsé une recrudescence de l'érosion aux trois niveaux oû la turbldllé peut être engendrée. L'objectli poursuivi était l' améllúratlonde ta productivité agricole, aucun compte n'a été tenu de l'Impact sur ta quotité, des eaux souterraines. A long terme les conséquences serontégalement défavorables à l'agriculture puisque la conservation des sols est aotrpromlse.

2.3. Observations aprës l'orage du 10.06.1982

Aa

ierme de Chesney sur la commune de St- Mords -de- Tresne Indique qu'il est tombé $3 mm de pluie entre 19 h el 21 h. Le ruissellement vloioMt maisbrei provoqua une onde de crue dans tous les {¡ossts situés à l'amont des bassins. Les premières bétolres rencontrées ¿urent rapidement saturéespar te débit de pointe et l'écoulement se pour&duJJlt\f^'*t s Ca partie aval des SfûJULées sèches. Les planches 1 et 2 en illustrent les coinéquencu.s¿es plus spectaculaires.

A C(wrches-St-Nlcolas {planche 1], les ¿ossés du C.V. 131 aboutissent dans des chxanps de blé et de betteraves qui occupent le tjewp/sm. Les eauxde ruissellement s'y sont engouíírées en un ¿tot suéÁlsaiment concentré el rapidt pour provoquer une érosion Importante, en particulier dans lechamp de betteraves. Un premier groupe de bétolres {Ucke n" 129-3] situé un peu à l' écart de l'axe d* écoulement a absorbé une partie dij débitpar Surverse. Après avoir déposé plusieurs mitres cuoes de matériaux dans une zone peu pentue, les eaux limoneuses ont saturé deux bttôlrescreusées dans des pâtures [¿Iche 129-1] à 1,300 m à V.aval de la sur¿ace érodée. Au delà, le ¿lot résiduel s'est étalé dans une zone i>olsée etherbeuse oû d'anciennes bétolres totalement colmatées n'ont pas été déstabilisées , Les eaux se sont Inilltrées sur une distance d'envlTQft fOO m

abandonnant en sur¿ace un ¿ln dépôt limoneux, kicun ruissellement n'a rejoint la. volite de la Charentonne. , ni à partir de ce thalweg ,' nl à partirdes autres malgré l'Importance eX l'Intensité des précipitations.

A Courbéplne {planche 2), un ¿ossé d' assolnlssimetU agrlcote creusé au début da printemps aboutit à un grand e¿¿ondrement au lieu dit "Le Buis¬son". Un volume d'eau très Important en provenance du ruissellement sur les terres agricoles encore non drainées s'y est engouí¿ré. Partielle¬ment colmaté par des déchets agricoles, V eÁÁondrajoenX^qul ne recevait pas jusque là de débit notable a été temporairement saturé, puis décolmaté

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(5) : Le point sur l'utilisation du territoire 1965-1974 Service de Statistique, V.V, A, de l'Eure,

Í6) : Le point sur V utilisotion du territoire 1975-19S0 Service de Statistique, V.V. A, de l'Eure.

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et violemment érodé. Plusieurs mètres cubes de limons ont gagné le sous-sol en queques heures. Le lendemain, 11.06,1982, les eaux des captagesdes Bruyères, du Gord et du Val íÁonnard étalent trës troubles. La distribution ¿uX 'interrompue pendant quelques heures et les réservoirs durentêtre curés. Les conséquences de cet orage, préjudlclabtes aussi bien pour les agriculteurs que pour les consotmateurs d'eau, sont dues à desdé¿auts d'aménagements conçue et ml& en oeuvre en ¿onction d'objectl¿s trop étroits, l'assainissement d'une raute dans le premier cas, de tenresagricoles dans îe second.

Sur le plan technique, des solutions simples, viennent à l'esprit après ces observations du ruissellement :

- à Caorches, prolongement du ¿ossé et dispersion des eaux du C.V. 131 dans le bols de Montenay- à Courbéplne, bassin de retenue et confortement de l* e¿¿ondrement ou prolongement du ¿ossé vers un point absorbant adaptable au rejet.

3 - DEFINITION DU BASSIN D'ALIMENTATION

îl est classique dans le karst de la craie que les bassins versants super¿lclels et les bassins d'alimentation des sources ne se superposent pasLe développement du réseau de conduits souterrains ne correspond pas à celui des vallées sèches, des phénomènes de captures ont été observés.?our dé¿lnlr le cadre géographique d'éventuels aménagements du ruissellement, ll ¿oui connaître les tùniXes du bassin d'alimentation de la sour¬ce captée. Veux méthodes d'approche ont été utilisées ^î d'abord la piézométrie, ensuite les traçages.

3.1. Piézométriet

L'Inventaire des puits et ta mesure des niveaux ont porté, sur 80 puits répartis sur 60 km2, débordant donc largement du bassin super¿lclel[40 Km2] . La carte piézométrique qui en résulte correspond aux très hautes eaux de mars 1982. Elle est Intégrée sur la ¿Igure n^l à celle étab¬lie pafi le BURGEAP, ¿ors de l'Inventaire des ressources hydrauliques en 1969 (7).

Les ¿Ignes de partage des eaux souterraines n'apparaissent nettement qu'à l'amont du bassin qui semble se développer vers l'Ouest aux dépends decelui des iources de Courtonne-tes-Veux-Egtlses'. Ad Nord et au Sud les limites avec les bassins des captages du Gord et du Val Monnard sont trèsfloues. La piézométrie, bion qu'étant la plus <lne possible, ne su¿¿lt pas a détsAmlner la destination des eaux absorbées en bétolres.

3.2. Expériences de traçage (cf. tableau en annexe II)

La technique employée consiste à Injecter de la fluorescéine dans un point absorbant et ta récupérer sur charbon actl¿ à t' exutoire. Les cinqexpériences réalisées confirment la piézométrie et apportent des données nouvelles sur la géométrie du bassin d' alimentation. La ¿Imite amontest e¿¿ectlvement décalée d'environ 500 m vers l'Ouest. Cela su¿¿lX pour que les eaux engou¿¿rées dans une Importante bétolre {¿Iche n" 564-3]!>ltuée dans un ¿ossé d' assainissement du bassin superficiel voisin se dirigent souterralnement vers la source des Bruyères. Par contre âneautre bétolre {¿Iche 564-6] plus à l'aval sur le mme réseau de ¿ossés communique avec les sources de Courtenne-les -deux-églises. Un déîlacementde la limite^ par exemple lors d'un étiage ¿cv^fic , pourrait remettre en cause ces relations.

A Courbéplne, l' e¿¿ondrement du Buisson observé tors de l'orage du 10.06.1982 [cf, planche 2] s'avère être situé dans le bassin d'alimentationde la source captée du Gord à Menneval. L' orientation des écoulements souterrains diverge tutoiement de celle de la grande vallée sèche ou setrouve le Buisson {c¿. carle n"!). Le découpage dits bassins versants super¿lclets ne permet pas de présumer de celui des bassins d'alimentationdes exutoires de la nappe de la craie,

ta bétolre de la Croix Rûge {¿Iche m" 564-1] à St-Mards-de-Eresne est une des plus Importantes du bassin par ses dimensions et le débit qu'ellereçoit. Corne l'Indique ta carte piézométrique {carte n'i] elle est proche de l'axe de drainage de la nappe. Le traçage réalisé pendant un épi¬sode de ruissellement abondant a démontré que la relation avec le captage des Bruyères se ¿ait à une vitesse supérieure à 420 m/h. Ve plus laSurveillance de l'ensemble des gri¿¿ons connus aux Bruyères y compris l'ancien captage de la Société Bemayenne, a mis en évidence que le con¬duit karstique dans lequel â eu lieu ¿'Injection les alimente tous avec un temps de transit identique. Cela semble Indiquer que le captage deBernay est situé Aur le gî¿on le plus Important d'un ensemble à con¿lguratlon "delXalque" qui constitue l'exutoire du basSAJi d'alimentationque nous tentons de délimiter.

Í7) : Rapport BURGEAP n" E 9 R 19 par A. HOUOAÎLLE.

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et violemment érodé. Plusieurs mètres cubes de limons ont gagné le sous-sol en queques heures. Le lendemain, 11.06,1982, les eaux des captagesdes Bruyères, du Gord et du Val íÁonnard étalent trës troubles. La distribution ¿uX 'interrompue pendant quelques heures et les réservoirs durentêtre curés. Les conséquences de cet orage, préjudlclabtes aussi bien pour les agriculteurs que pour les consotmateurs d'eau, sont dues à desdé¿auts d'aménagements conçue et ml& en oeuvre en ¿onction d'objectl¿s trop étroits, l'assainissement d'une raute dans le premier cas, de tenresagricoles dans îe second.

Sur le plan technique, des solutions simples, viennent à l'esprit après ces observations du ruissellement :

- à Caorches, prolongement du ¿ossé et dispersion des eaux du C.V. 131 dans le bols de Montenay- à Courbéplne, bassin de retenue et confortement de l* e¿¿ondrement ou prolongement du ¿ossé vers un point absorbant adaptable au rejet.

3 - DEFINITION DU BASSIN D'ALIMENTATION

îl est classique dans le karst de la craie que les bassins versants super¿lclels et les bassins d'alimentation des sources ne se superposent pasLe développement du réseau de conduits souterrains ne correspond pas à celui des vallées sèches, des phénomènes de captures ont été observés.?our dé¿lnlr le cadre géographique d'éventuels aménagements du ruissellement, ll ¿oui connaître les tùniXes du bassin d'alimentation de la sour¬ce captée. Veux méthodes d'approche ont été utilisées ^î d'abord la piézométrie, ensuite les traçages.

3.1. Piézométriet

L'Inventaire des puits et ta mesure des niveaux ont porté, sur 80 puits répartis sur 60 km2, débordant donc largement du bassin super¿lclel[40 Km2] . La carte piézométrique qui en résulte correspond aux très hautes eaux de mars 1982. Elle est Intégrée sur la ¿Igure n^l à celle étab¬lie pafi le BURGEAP, ¿ors de l'Inventaire des ressources hydrauliques en 1969 (7).

Les ¿Ignes de partage des eaux souterraines n'apparaissent nettement qu'à l'amont du bassin qui semble se développer vers l'Ouest aux dépends decelui des iources de Courtonne-tes-Veux-Egtlses'. Ad Nord et au Sud les limites avec les bassins des captages du Gord et du Val Monnard sont trèsfloues. La piézométrie, bion qu'étant la plus <lne possible, ne su¿¿lt pas a détsAmlner la destination des eaux absorbées en bétolres.

3.2. Expériences de traçage (cf. tableau en annexe II)

La technique employée consiste à Injecter de la fluorescéine dans un point absorbant et ta récupérer sur charbon actl¿ à t' exutoire. Les cinqexpériences réalisées confirment la piézométrie et apportent des données nouvelles sur la géométrie du bassin d' alimentation. La ¿Imite amontest e¿¿ectlvement décalée d'environ 500 m vers l'Ouest. Cela su¿¿lX pour que les eaux engou¿¿rées dans une Importante bétolre {¿Iche n" 564-3]!>ltuée dans un ¿ossé d' assainissement du bassin superficiel voisin se dirigent souterralnement vers la source des Bruyères. Par contre âneautre bétolre {¿Iche 564-6] plus à l'aval sur le mme réseau de ¿ossés communique avec les sources de Courtenne-les -deux-églises. Un déîlacementde la limite^ par exemple lors d'un étiage ¿cv^fic , pourrait remettre en cause ces relations.

A Courbéplne, l' e¿¿ondrement du Buisson observé tors de l'orage du 10.06.1982 [cf, planche 2] s'avère être situé dans le bassin d'alimentationde la source captée du Gord à Menneval. L' orientation des écoulements souterrains diverge tutoiement de celle de la grande vallée sèche ou setrouve le Buisson {c¿. carle n"!). Le découpage dits bassins versants super¿lclets ne permet pas de présumer de celui des bassins d'alimentationdes exutoires de la nappe de la craie,

ta bétolre de la Croix Rûge {¿Iche m" 564-1] à St-Mards-de-Eresne est une des plus Importantes du bassin par ses dimensions et le débit qu'ellereçoit. Corne l'Indique ta carte piézométrique {carte n'i] elle est proche de l'axe de drainage de la nappe. Le traçage réalisé pendant un épi¬sode de ruissellement abondant a démontré que la relation avec le captage des Bruyères se ¿ait à une vitesse supérieure à 420 m/h. Ve plus laSurveillance de l'ensemble des gri¿¿ons connus aux Bruyères y compris l'ancien captage de la Société Bemayenne, a mis en évidence que le con¬duit karstique dans lequel â eu lieu ¿'Injection les alimente tous avec un temps de transit identique. Cela semble Indiquer que le captage deBernay est situé Aur le gî¿on le plus Important d'un ensemble à con¿lguratlon "delXalque" qui constitue l'exutoire du basSAJi d'alimentationque nous tentons de délimiter.

Í7) : Rapport BURGEAP n" E 9 R 19 par A. HOUOAÎLLE.

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ia cinquième experience de traçage a porté iur une bétolre {¿Iche n" 60S-3] àltuée dans te village de St- Victor- de- Chrétlenvllle et dans unevallée sèche aboutissant aux Bruyères. L'organisation des écoulements souterrains dans cette zone est partlcutiZrment complexe puisque tecolorant Injecté est apparu à deux exutoires dl¿¿¿rents à des v-itesses dl¿¿írentes bien que tes distances apparentes soient les mêmes, ies eauxíngou¿¿rée6 à cet endroit peuvent donc contojnlner aussi bien te captage des Bruyères que celui du Val Monnard.

3.3. Incertitudes à lever

Seule la limite ainont du bassin est relativement bien située mais un déplacement de 500 m selon la direction Est-Ouest de la Ligne de partagedes eaax souterralneà pourrait ¿aire changer de bassin les bétolres proches de la ¿ImiXe. ia limite Nord n'est pas connue car la piézométrie nemontre pas de ligne de partage des eaux. îl ¿audralt encore plusieurs traçages sur cette zone pour préciser l'organisation des écoulements sou¬terrains vers les dl¿¿érenti' exutx}'ijies. Au Sud ti n'y a pas de ligne de partage des eaux souterraines, le traçage e¿¿ecXué dans cette zonemontre l'Interconnexion des roseaux karstiques entre les exutoires.

îl apparaît nécessaire d'envisager de nouvelles expériences de traçage pour déterminer le domaine géographique dans lequel ll ¿audra agir pourréduire la po¿lutlon du captage des Bruyères. îl sera de toute évidence plus étendu que te bassin super{lclel pour garantir l e¿¿lcaclté desmesures prises.

4 - CARTOGRAPHIE DES FACTEURS DE LA POLLUTION

Etant donné le grand nombre de renseignements collectés au cours de l'étude, le document cartographique a été conçu corme un jeu de cartes sursupport transparent, chacune regroupant les données d'un thème à l'échelle du 1/25.000. ieur superposition {en utilisant les repères de calage)permet de relier entre eux deux ou plusieurs ¿acXeurs de la pollution. Les ¿onds utilisés sont ceux de lll. G.N.

4.1. Occupation du sol

L'avancement des travaux d' assainissement et de remembrement est variable d'une commune à une autre. îl en résulte une grande diversité des ac¬tivités des exploitations agricoles et de V occupation du sol. ia carte n" 5 Indique les trois grands types d'utilisation du sol : bols,prairies, cultures {céréales, mais, Un, betteraves...] . îl apparait des dl¿¿érences notables d'occupation du sot d'une vallée à une autre etde l'amont vers l'aval, ia partie amont du bassin est occupée par des prairies et des cultures qui &e développent aux dépends des sur¿aces enkerbe suite à la mise en place du drainage, ies terres sont peu pentues {carte n^6) mais les ¿ossés d' assainissement qui ¿arment un réseau de19 Km de longueur sont par¿ols le ¿lege d'une érosion due à des problèmes de calibrage, de pro¿lt ou de stabilité. îls se terminent en entrantdans la partie médiane des vallées tnieux marquées où l'écoulement des eaux est plus aisé, ies pentes des coteaux sont vulnérables à V érosÁon"'l'sque les sols Jf^nf labourés el laissés nus en hiver.

ies bois occupent entièrement les cinq demiers kAlometres des grandes vallées très encaissées qui convergent vers Bernay. ies í>ous-bols enherbe et broussallteux ne présentent pas de trace d'érosion. Certains thalxoegs sont pratiquement exempts de labours, les prairies parsemées demares et entrecoupées de haies eX de talus donnent mie Idée du paysage oiêrljpar l'ensemble des vallées sèches il y a 20 ou 30 ans.

ies sur¿aces Imperméabilisées {construction, voirie] sont ¿Igurées sur la carte n* 7. Elles ont un développement très dl¿¿érent selon tes val¬lées.

En rapprochant les d^¿¿erents documents, lt est possible d'estimer l'importance relative des eaux de ruissellement de dl¿¿érentes origines danschaque vallée : eaux de voiries, eaux de terres tradables ou stables, drainées ou non... ia même estimation au niveau d'une bétolre nécessiteraun changement d'échelle et un examen de terrain plus détaillé dans son oXre d' alimentation, i' Inventaire qui a été dressé à l'automne 1982 estun instantané d'une région en pleine évolution. En particulier au cours du printemps 1985, des ¿ossés sont creusés, des drains sont enterréssous des dizaines d'hectares de terres qui changent alors de vocation, des haies sont abattues et des mares sont comblées, dévolution de l'amé¬nagement agricole se poursuit donc, les conséquences pour les eaux ¿outerralnes et ¿a con¿>eAvatlon des sols s'aggravent.

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ia cinquième experience de traçage a porté iur une bétolre {¿Iche n" 60S-3] àltuée dans te village de St- Victor- de- Chrétlenvllle et dans unevallée sèche aboutissant aux Bruyères. L'organisation des écoulements souterrains dans cette zone est partlcutiZrment complexe puisque tecolorant Injecté est apparu à deux exutoires dl¿¿¿rents à des v-itesses dl¿¿írentes bien que tes distances apparentes soient les mêmes, ies eauxíngou¿¿rée6 à cet endroit peuvent donc contojnlner aussi bien te captage des Bruyères que celui du Val Monnard.

3.3. Incertitudes à lever

Seule la limite ainont du bassin est relativement bien située mais un déplacement de 500 m selon la direction Est-Ouest de la Ligne de partagedes eaax souterralneà pourrait ¿aire changer de bassin les bétolres proches de la ¿ImiXe. ia limite Nord n'est pas connue car la piézométrie nemontre pas de ligne de partage des eaux. îl ¿audralt encore plusieurs traçages sur cette zone pour préciser l'organisation des écoulements sou¬terrains vers les dl¿¿érenti' exutx}'ijies. Au Sud ti n'y a pas de ligne de partage des eaux souterraines, le traçage e¿¿ecXué dans cette zonemontre l'Interconnexion des roseaux karstiques entre les exutoires.

îl apparaît nécessaire d'envisager de nouvelles expériences de traçage pour déterminer le domaine géographique dans lequel ll ¿audra agir pourréduire la po¿lutlon du captage des Bruyères. îl sera de toute évidence plus étendu que te bassin super{lclel pour garantir l e¿¿lcaclté desmesures prises.

4 - CARTOGRAPHIE DES FACTEURS DE LA POLLUTION

Etant donné le grand nombre de renseignements collectés au cours de l'étude, le document cartographique a été conçu corme un jeu de cartes sursupport transparent, chacune regroupant les données d'un thème à l'échelle du 1/25.000. ieur superposition {en utilisant les repères de calage)permet de relier entre eux deux ou plusieurs ¿acXeurs de la pollution. Les ¿onds utilisés sont ceux de lll. G.N.

4.1. Occupation du sol

L'avancement des travaux d' assainissement et de remembrement est variable d'une commune à une autre. îl en résulte une grande diversité des ac¬tivités des exploitations agricoles et de V occupation du sol. ia carte n" 5 Indique les trois grands types d'utilisation du sol : bols,prairies, cultures {céréales, mais, Un, betteraves...] . îl apparait des dl¿¿érences notables d'occupation du sot d'une vallée à une autre etde l'amont vers l'aval, ia partie amont du bassin est occupée par des prairies et des cultures qui &e développent aux dépends des sur¿aces enkerbe suite à la mise en place du drainage, ies terres sont peu pentues {carte n^6) mais les ¿ossés d' assainissement qui ¿arment un réseau de19 Km de longueur sont par¿ols le ¿lege d'une érosion due à des problèmes de calibrage, de pro¿lt ou de stabilité. îls se terminent en entrantdans la partie médiane des vallées tnieux marquées où l'écoulement des eaux est plus aisé, ies pentes des coteaux sont vulnérables à V érosÁon"'l'sque les sols Jf^nf labourés el laissés nus en hiver.

ies bois occupent entièrement les cinq demiers kAlometres des grandes vallées très encaissées qui convergent vers Bernay. ies í>ous-bols enherbe et broussallteux ne présentent pas de trace d'érosion. Certains thalxoegs sont pratiquement exempts de labours, les prairies parsemées demares et entrecoupées de haies eX de talus donnent mie Idée du paysage oiêrljpar l'ensemble des vallées sèches il y a 20 ou 30 ans.

ies sur¿aces Imperméabilisées {construction, voirie] sont ¿Igurées sur la carte n* 7. Elles ont un développement très dl¿¿érent selon tes val¬lées.

En rapprochant les d^¿¿erents documents, lt est possible d'estimer l'importance relative des eaux de ruissellement de dl¿¿érentes origines danschaque vallée : eaux de voiries, eaux de terres tradables ou stables, drainées ou non... ia même estimation au niveau d'une bétolre nécessiteraun changement d'échelle et un examen de terrain plus détaillé dans son oXre d' alimentation, i' Inventaire qui a été dressé à l'automne 1982 estun instantané d'une région en pleine évolution. En particulier au cours du printemps 1985, des ¿ossés sont creusés, des drains sont enterréssous des dizaines d'hectares de terres qui changent alors de vocation, des haies sont abattues et des mares sont comblées, dévolution de l'amé¬nagement agricole se poursuit donc, les conséquences pour les eaux ¿outerralnes et ¿a con¿>eAvatlon des sols s'aggravent.

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4.2. Inventaire des bétolres

il a consisté à parcourir tes thalwegs et les ¿ossés {ci. cartes n^î et 3] pendant les épisodes de ruissellement, afin de pouvoir déceler lesbétolres que la végétation et le colmatage rendent Invisibles par temps sec. Pour un développement de 50 Km, les axes de ruissellement recoupent85 bétolres. Leur répartition géographique {c¿, carte n*4l n'est pas unliorme. Certaines vallées sèches en possèdent peu {amont de St-VlcXor-de-ChréXlenvlXle, aval de St- Mards-de- Eresne) . Par contre la vallée qui va de ta Bouchonnière ou Tilleul en contient 32, Sur 3 Km entre Chrétien-ville et Caorches on en rencontre 18, 22 autres sont situées de part et d'autre de ta limite amont du bassin sur une bande large de 1 à 2 Km.

Les possibilités d' absorption des bétolres sont très variables. Les 23 plus importantes par leur taille ou le débit reçu ¿ont l'objet de fichesdescriptives en annexe î. Ces ¿Iches sont conçues pour être complétée tors d'avant-projets de travaux d'aménagement* Ùe sont en géhral desgroupes de bétolres dont l'une est très ancienne, de grande dimension et stabilisée par des blocs de silex. Cette " bétolre-mère" est entourée debéXolres plus récentes de petites dimensions et en pleine érosion, en particulier à l'amont de ta bétolre principale. Un exemp¿e spectaculaireen est donné par le groupe de bétolres de la Croix Blanche {¿lehe. n' 460-1] . A Vovat de la Croix Blanche d'une part et à l'aval de Bosc l'Abbéd'autre part, chacune des deux vallées principales du bassin versant entre dans une zone boisée avec quelques pâtures. Les thalwegs y sont mar¬qués par des dépressions dont 9 sont carjocXérlstlqaes de bétolres totalement colmatées, non ¿oncXlonnelles depuis longtemps.

Le comportement d'une bétolre ¿ace au ruissellement dépend de l'occupation du sot dans son aire d'alimentation, de sa position dans te bassinversant et de son état d'évolution donc de son ancienneté. Par conséquent, chacune des 85 béXolres Inventoriées en 1981 est un cas paxtUjuller.Ve plus, l'érosion régressive souterraine peut en faire apparaître de nouvelles à proximité des anciennes, en particulier dans tes zones solli¬citées par un abondant ruissellement de sur¿ace,

'^.3: Higrarchisation des bétolres

Motaré ¿a diversité des situations, la morphologie l&OAÁtlque eX ta zonalité dt VoccupaXlon du sol entraînent une certaine hlérarchlsatXon desbétolres au cours des épisodes de rulssettement, CtfUt permeX d'envisager un ordre de priorité dans la mise en oeuvre d' éventuels tMvaux d'omé-

^naêment. En dehors des bétolres soumises à des r^tjtls essentiellement d'origine routière conme celle de la Porge à Capeile-les -Grands [fiche:«*' 730-2) ou celte de la ?lleXte sur ta comnune de Bernay {¿Iche n" 056-1], les premières bétolres sotticlXées lors d'un éplsodede rulàsellerjr^nt sont situées à Vamont du bassin, pour la\ptufárt dans des ¿ossés d' assdinlMemnt,

^Les plus ¿orts débits et tes plus longues périodes de ruissellement sont obse^vSs sur les fossés qui sont Implantés dans la partie Hci'vS^0uest^ bassin versant entre St-Mards-de-Eresne et St~ Vincent-du-Boulay . îls ¿ont p<irtle d'un ensemble d'ouvrages qui rayonne autour de là: fyiê duPlAnquay, seul relle¿ dépassant 200 m d' alXlXude dans ti Lieuvin. Les sols trti hydromorphes et riches en grisons eX les pluies peuittH;^ plusabóndanteá qu'aux alentours ont motivé Ici la mise en place précoce du drainait'-

[Hàtûns que certains ouvrages Mmt des collecteurs eicte^fU^ ce oui limtte tes j^btSmes d'érosion et de venues d'eaux de voirie. Lis ^:c&w&ements¡ífcütA cette zone sont quasi-permanents ces deûilères années . L'hypothèse d* af0euremént de la nappe autour du bols des Bruyères peut êtrà, ^

envisagée. Vans cette région oû les sols sont pratlciuemnt toujours saturés en eau, les pluies provoquent rapidement une crue danÁ Iza. fossés,¡me les eaux viennent du ruissellement sur les terres non drainées ou des réseaux de drains enterrés. A chaque pluie, les bétolres. de ¿àt Croix^KOuge, de la Bouchonnière et d'Orlgny {¿Iches 564-1, î et 3) absorbent des diol^ de plusieurs dizaines de titres par seconde sons tbve: SaturéesAu delà d'un seuil variable d'une bétolre à l'autre, et selon le colmatage p^voqaé par les agriculteurs à la saison sèche, lt y .a saMraXlontt mise en charge des cheminées argileuses. Les écoutaients se poursuivent à Vaval dts ¿ossés. Les taux d'Orlgny quittent le bassin d'àtlmtn-tatlon des Bruyères, Celles dt la Croix Rouge et de ta Bouchonnière con¿luenC tt saturent rapidement quelques points peu absorbants mal^r tnpleine évolution. Le flux parvient à ta bétolre de ta Croix Blanche {¿Iche 460-1). Sa capacité d'absorption, rtniorcée par celle des "bSXolres-fltles" que l'érosion ouvre aux environs, est telle qu'il est rare que le rulssettement alite au-delà, V après les riverains, cela ne s4 Pô-dulAalX pas tous les ans... Lorsque c'est le cas, le fossé amène le débil réstduel {qui peut être de l'ordre dt 100 l/s en pointe] dans.^te boisdu Tilleul, Les taux s'inflttrent dans une peuplerait sur 700 m de longueur sanà que les bétolres colmaties présentes ne soient activées,

tt apparaît dans cette dit&&fxt^tlon détaillée que dans la vallée sèche la plus ^«^tM/UALunale du bassin versant, ta turbidité est t^ pâmr é^é4«e-mment engendrée au niveau des bétolres les plus à l'amont, que les bétolres mtdlants les moins sotticltéts évoluent cependant sensiblement sousl'effet de l'érosion, enfin qu'il existe à l'a\kil dts possibilités de dispersion dts toux en sur¿ace. Vans les autres vallées sèches, la mêmehiérarchisation est observée mais le rulssettement y est moins ¿réquent eX moins abondant dans l'état acXuel des aménagements. Les bétolres

? -

4.2. Inventaire des bétolres

il a consisté à parcourir tes thalwegs et les ¿ossés {ci. cartes n^î et 3] pendant les épisodes de ruissellement, afin de pouvoir déceler lesbétolres que la végétation et le colmatage rendent Invisibles par temps sec. Pour un développement de 50 Km, les axes de ruissellement recoupent85 bétolres. Leur répartition géographique {c¿, carte n*4l n'est pas unliorme. Certaines vallées sèches en possèdent peu {amont de St-VlcXor-de-ChréXlenvlXle, aval de St- Mards-de- Eresne) . Par contre la vallée qui va de ta Bouchonnière ou Tilleul en contient 32, Sur 3 Km entre Chrétien-ville et Caorches on en rencontre 18, 22 autres sont situées de part et d'autre de ta limite amont du bassin sur une bande large de 1 à 2 Km.

Les possibilités d' absorption des bétolres sont très variables. Les 23 plus importantes par leur taille ou le débit reçu ¿ont l'objet de fichesdescriptives en annexe î. Ces ¿Iches sont conçues pour être complétée tors d'avant-projets de travaux d'aménagement* Ùe sont en géhral desgroupes de bétolres dont l'une est très ancienne, de grande dimension et stabilisée par des blocs de silex. Cette " bétolre-mère" est entourée debéXolres plus récentes de petites dimensions et en pleine érosion, en particulier à l'amont de ta bétolre principale. Un exemp¿e spectaculaireen est donné par le groupe de bétolres de la Croix Blanche {¿lehe. n' 460-1] . A Vovat de la Croix Blanche d'une part et à l'aval de Bosc l'Abbéd'autre part, chacune des deux vallées principales du bassin versant entre dans une zone boisée avec quelques pâtures. Les thalwegs y sont mar¬qués par des dépressions dont 9 sont carjocXérlstlqaes de bétolres totalement colmatées, non ¿oncXlonnelles depuis longtemps.

Le comportement d'une bétolre ¿ace au ruissellement dépend de l'occupation du sot dans son aire d'alimentation, de sa position dans te bassinversant et de son état d'évolution donc de son ancienneté. Par conséquent, chacune des 85 béXolres Inventoriées en 1981 est un cas paxtUjuller.Ve plus, l'érosion régressive souterraine peut en faire apparaître de nouvelles à proximité des anciennes, en particulier dans tes zones solli¬citées par un abondant ruissellement de sur¿ace,

'^.3: Higrarchisation des bétolres

Motaré ¿a diversité des situations, la morphologie l&OAÁtlque eX ta zonalité dt VoccupaXlon du sol entraînent une certaine hlérarchlsatXon desbétolres au cours des épisodes de rulssettement, CtfUt permeX d'envisager un ordre de priorité dans la mise en oeuvre d' éventuels tMvaux d'omé-

^naêment. En dehors des bétolres soumises à des r^tjtls essentiellement d'origine routière conme celle de la Porge à Capeile-les -Grands [fiche:«*' 730-2) ou celte de la ?lleXte sur ta comnune de Bernay {¿Iche n" 056-1], les premières bétolres sotticlXées lors d'un éplsodede rulàsellerjr^nt sont situées à Vamont du bassin, pour la\ptufárt dans des ¿ossés d' assdinlMemnt,

^Les plus ¿orts débits et tes plus longues périodes de ruissellement sont obse^vSs sur les fossés qui sont Implantés dans la partie Hci'vS^0uest^ bassin versant entre St-Mards-de-Eresne et St~ Vincent-du-Boulay . îls ¿ont p<irtle d'un ensemble d'ouvrages qui rayonne autour de là: fyiê duPlAnquay, seul relle¿ dépassant 200 m d' alXlXude dans ti Lieuvin. Les sols trti hydromorphes et riches en grisons eX les pluies peuittH;^ plusabóndanteá qu'aux alentours ont motivé Ici la mise en place précoce du drainait'-

[Hàtûns que certains ouvrages Mmt des collecteurs eicte^fU^ ce oui limtte tes j^btSmes d'érosion et de venues d'eaux de voirie. Lis ^:c&w&ements¡ífcütA cette zone sont quasi-permanents ces deûilères années . L'hypothèse d* af0euremént de la nappe autour du bols des Bruyères peut êtrà, ^

envisagée. Vans cette région oû les sols sont pratlciuemnt toujours saturés en eau, les pluies provoquent rapidement une crue danÁ Iza. fossés,¡me les eaux viennent du ruissellement sur les terres non drainées ou des réseaux de drains enterrés. A chaque pluie, les bétolres. de ¿àt Croix^KOuge, de la Bouchonnière et d'Orlgny {¿Iches 564-1, î et 3) absorbent des diol^ de plusieurs dizaines de titres par seconde sons tbve: SaturéesAu delà d'un seuil variable d'une bétolre à l'autre, et selon le colmatage p^voqaé par les agriculteurs à la saison sèche, lt y .a saMraXlontt mise en charge des cheminées argileuses. Les écoutaients se poursuivent à Vaval dts ¿ossés. Les taux d'Orlgny quittent le bassin d'àtlmtn-tatlon des Bruyères, Celles dt la Croix Rouge et de ta Bouchonnière con¿luenC tt saturent rapidement quelques points peu absorbants mal^r tnpleine évolution. Le flux parvient à ta bétolre de ta Croix Blanche {¿Iche 460-1). Sa capacité d'absorption, rtniorcée par celle des "bSXolres-fltles" que l'érosion ouvre aux environs, est telle qu'il est rare que le rulssettement alite au-delà, V après les riverains, cela ne s4 Pô-dulAalX pas tous les ans... Lorsque c'est le cas, le fossé amène le débil réstduel {qui peut être de l'ordre dt 100 l/s en pointe] dans.^te boisdu Tilleul, Les taux s'inflttrent dans une peuplerait sur 700 m de longueur sanà que les bétolres colmaties présentes ne soient activées,

tt apparaît dans cette dit&&fxt^tlon détaillée que dans la vallée sèche la plus ^«^tM/UALunale du bassin versant, ta turbidité est t^ pâmr é^é4«e-mment engendrée au niveau des bétolres les plus à l'amont, que les bétolres mtdlants les moins sotticltéts évoluent cependant sensiblement sousl'effet de l'érosion, enfin qu'il existe à l'a\kil dts possibilités de dispersion dts toux en sur¿ace. Vans les autres vallées sèches, la mêmehiérarchisation est observée mais le rulssettement y est moins ¿réquent eX moins abondant dans l'état acXuel des aménagements. Les bétolres

- 8 -

sont sollicitées lorsqu' elles sont sous l'ln¿luence de surfaces Imperméablllséts ou après dt ¿orXts pluies cotmt tors dt l'orage du 10.06,1982,îl semble que les travaux d'aménagement du ruissellement pourraient être programmés sur trois zones dt priorité décrolssantt :

- Orlgny - Croix Rouge - Croix Blanche oû parait être engendrée la plus grande part de la turbldlXé des eoixx des sources des Bruyères.

- Chrétlenvllle - Bosc l'Abbé où aboutissent d'Importants ¿ossés agricoles ou routiers

- Les béXolres sous l'Influence de la voirie

Bien évidemment, la programmation ne pourra s' appuyer que sur une connaissance plus quantitative de cette hiérarchisation [débit, ¿lux de .MES,

¿réqutncts,,.], et sur unt délimitation plus complètt du bassin d'alimentation du captage des Bruyères,

5 - CONCLUSIONS

5.1. Principaux résultats de l'étude-pilote

La carte piézométrique el tes cinq expériences de traçage apportent des connaissances nouvelles sur ta géométrie de l'aquifère karstique,

- capture d'une partie du bassin dts sources de Courtonne-tes -Veux-Eglises

- Interconnexion des réseaux de conduits entre tes bassins des sources dts Bruyères, du Vat Monnard et du Gord,

- circulation souterraine très rapide dans l'axe de drainage.

L'Inventaire des bétolres eX l'observation des épisodes de ruissellement montrent qu'il existe une hiérarchisation des bétolres de l'amont à

processusrecatlbrage des bétolres et des "coups de bélier" dans le karst.

5,2. Nécessité d'une quantification des phénomènes

desprovoque lt

Les observations qualitatives e¿¿ectuées ou cours de l'année 1982 ont porté sur un petit nombre d'épisodes de ruissellement dont celui provoquépar le gros orage du 10.06,1982, ît convient de les replacer dans un historique de ta pluviométrie pour apprécier ta fréquence et ta représenta¬tivité des phénomènes analysés. Le choix et le dimensionnement des dispositifs susceptibles de limiter la production de la turbidité ne peuventêXrt ¿ails que sur ta base d'une quantification des flux mis en jeu. Cela permettrait d'autre port de mieux repérer les zones les plus sensiblesau ruissellement pour orienter la prograimatlon des travaux. Le domaine géographique de ces Interventions doit être précisé par des traçagescomplémentaires judicieusement répartis pour lever les dernières Incertitudes sur ta délimitation du bassin d' allmtntatlon.

5.3. Réflexions pour un aménagement nouveau

La turbidité des eaux du captage des Bruyères est la conséquence d'aménagements récents sur un milieu naturel sensible aux processus d'érosion.L'aménageur avolX pour but l'amélioration de ta productivité des exploitations agricoles et s' est attaché à résoudre les problèmes d'assainisse¬ment des terres, premier ¿acteur limitant dans cette région. Les solutions mises en oeuvre ne tiennent pas compte dts partlcularlXés dts sols etdu sous-sot, ct qui est préjudiciable aussi bien pour la qualité dts taux souterraines que pour ta conservation des sois. Les principes d'unaménagement nouveau sont à dé¿lnlr avec le souci de satls¿alre simultanément les Intérêts jusqu'à présent con¿llctuels des agriculteurs tt desconsomnatexirs d'eau, lt dtvra tirer parti des caractéristiques du karst crayeux en s' Inspirant des pratiques ancestrales.

- 8 -

sont sollicitées lorsqu' elles sont sous l'ln¿luence de surfaces Imperméablllséts ou après dt ¿orXts pluies cotmt tors dt l'orage du 10.06,1982,îl semble que les travaux d'aménagement du ruissellement pourraient être programmés sur trois zones dt priorité décrolssantt :

- Orlgny - Croix Rouge - Croix Blanche oû parait être engendrée la plus grande part de la turbldlXé des eoixx des sources des Bruyères.

- Chrétlenvllle - Bosc l'Abbé où aboutissent d'Importants ¿ossés agricoles ou routiers

- Les béXolres sous l'Influence de la voirie

Bien évidemment, la programmation ne pourra s' appuyer que sur une connaissance plus quantitative de cette hiérarchisation [débit, ¿lux de .MES,

¿réqutncts,,.], et sur unt délimitation plus complètt du bassin d'alimentation du captage des Bruyères,

5 - CONCLUSIONS

5.1. Principaux résultats de l'étude-pilote

La carte piézométrique el tes cinq expériences de traçage apportent des connaissances nouvelles sur ta géométrie de l'aquifère karstique,

- capture d'une partie du bassin dts sources de Courtonne-tes -Veux-Eglises

- Interconnexion des réseaux de conduits entre tes bassins des sources dts Bruyères, du Vat Monnard et du Gord,

- circulation souterraine très rapide dans l'axe de drainage.

L'Inventaire des bétolres eX l'observation des épisodes de ruissellement montrent qu'il existe une hiérarchisation des bétolres de l'amont à

processusrecatlbrage des bétolres et des "coups de bélier" dans le karst.

5,2. Nécessité d'une quantification des phénomènes

desprovoque lt

Les observations qualitatives e¿¿ectuées ou cours de l'année 1982 ont porté sur un petit nombre d'épisodes de ruissellement dont celui provoquépar le gros orage du 10.06,1982, ît convient de les replacer dans un historique de ta pluviométrie pour apprécier ta fréquence et ta représenta¬tivité des phénomènes analysés. Le choix et le dimensionnement des dispositifs susceptibles de limiter la production de la turbidité ne peuventêXrt ¿ails que sur ta base d'une quantification des flux mis en jeu. Cela permettrait d'autre port de mieux repérer les zones les plus sensiblesau ruissellement pour orienter la prograimatlon des travaux. Le domaine géographique de ces Interventions doit être précisé par des traçagescomplémentaires judicieusement répartis pour lever les dernières Incertitudes sur ta délimitation du bassin d' allmtntatlon.

5.3. Réflexions pour un aménagement nouveau

La turbidité des eaux du captage des Bruyères est la conséquence d'aménagements récents sur un milieu naturel sensible aux processus d'érosion.L'aménageur avolX pour but l'amélioration de ta productivité des exploitations agricoles et s' est attaché à résoudre les problèmes d'assainisse¬ment des terres, premier ¿acteur limitant dans cette région. Les solutions mises en oeuvre ne tiennent pas compte dts partlcularlXés dts sols etdu sous-sot, ct qui est préjudiciable aussi bien pour la qualité dts taux souterraines que pour ta conservation des sois. Les principes d'unaménagement nouveau sont à dé¿lnlr avec le souci de satls¿alre simultanément les Intérêts jusqu'à présent con¿llctuels des agriculteurs tt desconsomnatexirs d'eau, lt dtvra tirer parti des caractéristiques du karst crayeux en s' Inspirant des pratiques ancestrales.

- 9 -

Après une année d' observation dans le bassln-pltote des Bruyères, V hi^drogéologue peut apporter quelques propositions techniques dans te cadredu débat pturl-dlsclpilnalre engagt àur ce àujet par l'Agence Elnanclere de Bassin Seine-Normandie :

- organisation des ¿ossés d' assaliuss ement des terres et des routes a¿ln qu'Us ne se déversent plus sur des sols vulnérables à l'érosion

- aménagement des bétolres les plus Importantes pour pru¿lXeA de leur possibilité d'absorption sans provoquer d'érosion selon le schémaSuivant :

Bassin de retenuesur zone stable

Débit compatible avec les possibilités d'absorption,Sinon bassins et bétoires en série

Formationd Silex

Craie

mphssage naturel et/ou artificielstabilisant les parois et régularisant

l'écoulement

- étanchéité ou dérivation des ¿ossés au droit des points absorbant peu mais en pleine évolution, mise en ptace de busts enterrées lors de lacréation de nouvexuxx collecteurs.

- priorité à la dispersion des eaux chaque ¿ois que cela est possible en partlculltr dans les zones boisées et en herbes à l'aval des valléessèches

- modÁ.¿lcatlon des praXlques culturales sur les sols les plus pentus a¿ln d'en limiter la vulnérabilité à l'érosion. Ce dernier volet des Inter¬ventions proposées nécessite une étude spécl¿lque et la prise de conscience du monde agricole de la nécessité d'une meilleure gestion du soldans V Ifitérêl de tous,

La quantl¿lcatlon des phénomènes mis en évidence par cette premiere phase de l'étude pilote permettra la dé¿ljuXlon précise des travaux puisleur dimensionnement technique et ¿Inonder. La ville de Bernay, maître d'ouvrage, aura alors en mains les éléments du ciiolx ejitre les dl¿¿é'rentes solutions aptes à réduire la turbidité des eaux de son captage. ies nombreuses collectivités confrontées à ce type de problème dans unmilieu hydrogéologique et rural comparable auront à leur disposition un oulÀl nouveau pour appréhender les processus de la pollution et choisirles solutions présentant le meilleur rapport coùX/tiflcaxUXé.

J. CHEMîN ET J.P. HOLE

ÎNGENÎEURS HWROGEOLOGUES AU B.R.G.M,

- 9 -

Après une année d' observation dans le bassln-pltote des Bruyères, V hi^drogéologue peut apporter quelques propositions techniques dans te cadredu débat pturl-dlsclpilnalre engagt àur ce àujet par l'Agence Elnanclere de Bassin Seine-Normandie :

- organisation des ¿ossés d' assaliuss ement des terres et des routes a¿ln qu'Us ne se déversent plus sur des sols vulnérables à l'érosion

- aménagement des bétolres les plus Importantes pour pru¿lXeA de leur possibilité d'absorption sans provoquer d'érosion selon le schémaSuivant :

Bassin de retenuesur zone stable

Débit compatible avec les possibilités d'absorption,Sinon bassins et bétoires en série

Formationd Silex

Craie

mphssage naturel et/ou artificielstabilisant les parois et régularisant

l'écoulement

- étanchéité ou dérivation des ¿ossés au droit des points absorbant peu mais en pleine évolution, mise en ptace de busts enterrées lors de lacréation de nouvexuxx collecteurs.

- priorité à la dispersion des eaux chaque ¿ois que cela est possible en partlculltr dans les zones boisées et en herbes à l'aval des valléessèches

- modÁ.¿lcatlon des praXlques culturales sur les sols les plus pentus a¿ln d'en limiter la vulnérabilité à l'érosion. Ce dernier volet des Inter¬ventions proposées nécessite une étude spécl¿lque et la prise de conscience du monde agricole de la nécessité d'une meilleure gestion du soldans V Ifitérêl de tous,

La quantl¿lcatlon des phénomènes mis en évidence par cette premiere phase de l'étude pilote permettra la dé¿ljuXlon précise des travaux puisleur dimensionnement technique et ¿Inonder. La ville de Bernay, maître d'ouvrage, aura alors en mains les éléments du ciiolx ejitre les dl¿¿é'rentes solutions aptes à réduire la turbidité des eaux de son captage. ies nombreuses collectivités confrontées à ce type de problème dans unmilieu hydrogéologique et rural comparable auront à leur disposition un oulÀl nouveau pour appréhender les processus de la pollution et choisirles solutions présentant le meilleur rapport coùX/tiflcaxUXé.

J. CHEMîN ET J.P. HOLE

ÎNGENÎEURS HWROGEOLOGUES AU B.R.G.M,

2 bisr^Lnn^tit. I

Depofoir agricole(Souches , bidons .SQc»)

fíempJ/5Soqe /tmoneux

Béfoii

Béfoire. \

\\

ñejel partiel /iejef final fo^. r.n^

AFFouillemeni dons blé

C

Bétoire parficll^mentcolmatée

}/enues deau du CD par chemin aqnco/e

Erosion

}/enaes d'eoux d'unvollon offiu^nt aprèsSaturation d'une bétoife

Atterrissemenfs.

y/ Ibis

Erosiof) de terres ct////Vces d CaorchesS* nicolas Suite d l'oroife dtt IO.Ob.8L

£etrees des eaux dans lo -zone boisee oprésSuturaiion de deun autres bétoires

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Atterrissemenfs.

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taux

ration de deux outresTone bot she aptes

niveou en crue

PLAhcNC 2

érosiondes bercés

fossé creusé queloue¿semaines avant

l'orale

£aut deruissellementroutier

Soutirooe de limonsdans les vides .sous-jacents

((I «.

jH 600 ^Glissements duterroir) limoneuxdons lo bétoire

Profondeur3m

Erosion du fossé d'assainisst ment ct de ta i>étoire.

du buisson d Courbépt ne suited f oraoe du /0.06.i¿

Bétoire

V

fossé plus ancien enherbe et stable

(Croin blanche ^ Plainvillej

Zone mondée , cultures détruites

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CARTE N*>6

PENTE DU SOL

Limite de zone à pente >3%sens de la pente

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CARTE. NO T^<Foulon

CARTE. NO T^<Foulon

CARTE N°5

* * •

ECHELLE. 1/25 000

OCCUPATION DU SOL

A A ABois

Prairie

Culture

Principales fermes

V

CARTE N° L

INVENTAIRE DES BETOIRES

• Betoire

• Betoire colmatée

V Bétoire importante par le4 débit reçu

n° de fiche

ECHELLE. 1/2S 000

CARTE N° 3

\

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ORGANISATION OU RUISSELLEMEN1

Tolwtg

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Principóte» mort«

[ECHELLE. 1/2S0001

CARTE N°

TOPOGRAPH

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__ :,fii¡ ni:ENTE CU SOL

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la Mue Bonu - ' SURFACE IMPERMEABILISEEGcafid-Camp

Capene-tírands

ECHELLE.1/25 Geo-

C A R T E N° 1

du Val Monnard

DEFINITION DU BASSIN D'ALIMENTATIONDU C A P T A G E DES B R U Y E R E S

Réíation prouvée par ùne~\l. expérience de coloration

' x, L imrt^ç—" superficiel

ECHELLE-1 /50 000

Courbé pieiortíétrique(Niveau en Mars 1982)

ANNEXE 1

INVENTAIRE COMMUNAL DES PRINCIPALES BETOIRES

DU BASSIN D'ALIMENTATION DES SOURCES DES BRUYERES

N° INSEE des communes concernées

- BERNAY 056

- CAORCHES-ST-NICOLAS 129

- CAPELLE-LES-GRANDS 130

- PLAINVILLE 460

- ST-MARDS-DE-FRESNE 564

- ST-VICTOR-DE-CHRETIENVILLE 608

FICHE BETOIRE : 056-1

- Conmune BERNAV

- Coordonnëes 449,07

Lieu-dit : LA PILETTE

y 156, t3 z - t62

"'- - Fossé de route : foie Coiimmaiz

- Fossé d'assainissement --

- Ecoulement naturel : Ru¿i4e¿íeme)i£ iuA. cuJUune.

Profondeur de la nappe : e.nvin.on 25 n

Distance au captage : 3 km

Expérience de coloration : NEANT

- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : PitU ôa en boidu,xz de notUe. t) SO cm) , iouA la.ctdiuJie. de la. p.xop'Líítí Uo/itl.Ce. qvU. n'ut pa¿ abioibi ccufe iun la .xawti ii pan.un chemin cieux, aAA-ivi jaiqu'à ta voie. S.N.C.F. où.Lt y aumait une oxtfie bitoin.e..

Pollution : Leiiiuage de. inwte. iwiXoat.

Superficie du bassin versant :

Débit absorbé :

Aménagement possible :

FICHE BETOIRE : I29-I

- Connune : CAORCHES-ST-NICOLAS Lieu-dit : LE BOSC-L'ABSE

-Coordonnées: x» '»6<,95 . y« 154,37 z» * Mt

- --. . Fossé de route ii chauiiie du Hameau de 80SC-L'AB8E

- Fossé d'assainissement

- Ecoulement naturel : du ¿ond de MoJUon ¿aîu de ST-l/ICTûR

- Profondeur de la nappe : envinan 15 m

- Distance au captage : 3,1 bm

- Expérience de coloration : NEANT

- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Vípne¿i¿on dam un henbane [t 3 â ( ml , exactementdam l'ax.e du vallon, obiinuie en iun/¡ace pan. deiiagoti, bnancliei eic... Cette, bitoine a ¿tí iatun.íetona de t'onage de juin lltî, tei icoulementi iepouAiui.vant dam ce ¿ond de vallon jusiju'à une zoned' abionption dii¿uie à 600 m à l'aval lit ne iembiepo* qu'il y ait en léoçtiuation de bitoine à l'aval).

)

Pollution : Leiiivage de nouti et de teA/iz agniwle.


- Débit absorbé :

- Aménagement possible

FICHE BETOIRE : 129-2 FICHE BETOIRE : 'Z9-3 FICHE BETOIRE : 129-4

Comune : CAORCH£S-ST-NICOLAS Lieu-dit : Bo*A de Alonienoi/

Coordonnées : . x « 461,04 y 154,14 z . + 159 m

':: - Fossé de route

. - Fossé d'assainissement

- Ecoulement naturel eZ ioai d' anaininejnent à l'amont du bouin

Profondeur de la nappe : envinan 17 m.



- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Au moim deux, dipneaioni t î m, pnoôndt de 1,5 m

dam l'axe du vallon. tUa pnemnent toutei leieaax de nuiiieltement dei tenAei iituiei à l'avalde ta. lemiie de UOKTBNM. Lom de la viiite, tniiimpontaïLtz couche de Omon lv,iivi dam le boii3. l'amont ijmidiat de cette, bitoine.

Pollution : Luiivage dti teAAei agnicalti.


Débit absorbé :


Commune : CAORCHES-ST-NICOLAS Lieu-dit : Soii de MONTENAV

Coordonnées: x - 467,6é y- 754,23 z» 16)

'.. - Fossé de route : C.V. J3I depuis ST-UICTOR ei aa-deti


- Ecoulement naturel : dei vatlom à l'amont de ST-l/ICTOR

Profondeur de la nappe : enuiAon 12 m

Distance au captage : 4,3 fcm


- Date :

- Vitesse :

- Description des lieux A l'aval du. chemin (15 m] dipneaion de 10 x 5 m,comblée de iouchei d'anbnei, un peu 3. l'icaM del'axe du vallon, abionbe pan dibondement. A l'amontdu chemin (20 m) dipneaion de 7 à t m de diamltnz,pnoionde de 0,5 m ; eWe abionbe diUiciZement.Autne bitoine plui petite (I 0,lml à. tO m i l'amont,liglmunent i. V icant du icoulementi 'dam ce vallon.

Limons dei tennei agniaolei et leaivage de nouti dam unemoindne meiune.

Pollution


Débit absorbé :


Conmune : CAORCHES-ST-NICOLAS Lieu-dit : LES HESNIERES

Coordonnées : x » 46i,5l y . 154,43 z . * 160

"'. - Fossé de route = C.P; 13/ et voinit de totinement


- Ecoulement naturel :

Profondeur de la nappe : envinan 25 m

Distance au captage : 3,2 km


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Bitoine peu nette, dam le ¡oui le long du C.V. 131ielon la V.V.E., abionptian aaez impontante. Cettebitoine pnend lei E.P. de la voinie du totinementet une pantie dei E.P. du C.O. 131. Bit ce qu'il nei'agit poi d'une abionption dam te nemblai du C.V. 131.

Pollution : Leiiivage de nouti eiientizltement.


Débit absorbé :


ANNEXE 1

INVENTAIRE COMMUNAL DES PRINCIPALES BETOIRES

DU BASSIN D'ALIMENTATION DES SOURCES DES BRUYERES

N° INSEE des communes concernées

- BERNAY 056

- CAORCHES-ST-NICOLAS 129

- CAPELLE-LES-GRANDS 130

- PLAINVILLE 460

- ST-MARDS-DE-FRESNE 564

- ST-VICTOR-DE-CHRETIENVILLE 608


- Conmune BERNAV

- Coordonnëes 449,07

Lieu-dit : LA PILETTE

y 156, t3 z - t62

"'- - Fossé de route : foie Coiimmaiz

- Fossé d'assainissement --

- Ecoulement naturel : Ru¿i4e¿íeme)i£ iuA. cuJUune.

Profondeur de la nappe : e.nvin.on 25 n



- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : PitU ôa en boidu,xz de notUe. t) SO cm) , iouA la.ctdiuJie. de la. p.xop'Líítí Uo/itl.Ce. qvU. n'ut pa¿ abioibi ccufe iun la .xawti ii pan.un chemin cieux, aAA-ivi jaiqu'à ta voie. S.N.C.F. où.Lt y aumait une oxtfie bitoin.e..

Pollution : Leiiiuage de. inwte. iwiXoat.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : I29-I

- Connune : CAORCHES-ST-NICOLAS Lieu-dit : LE BOSC-L'ABSE

-Coordonnées: x» '»6<,95 . y« 154,37 z» * Mt

- --. . Fossé de route ii chauiiie du Hameau de 80SC-L'AB8E


- Ecoulement naturel : du ¿ond de MoJUon ¿aîu de ST-l/ICTûR


- Distance au captage : 3,1 bm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Vípne¿i¿on dam un henbane [t 3 â ( ml , exactementdam l'ax.e du vallon, obiinuie en iun/¡ace pan. deiiagoti, bnancliei eic... Cette, bitoine a ¿tí iatun.íetona de t'onage de juin lltî, tei icoulementi iepouAiui.vant dam ce ¿ond de vallon jusiju'à une zoned' abionption dii¿uie à 600 m à l'aval lit ne iembiepo* qu'il y ait en léoçtiuation de bitoine à l'aval).

)

Pollution : Leiiivage de nouti et de teA/iz agniwle.


- Débit absorbé :

- Aménagement possible

FICHE BETOIRE : 129-2 FICHE BETOIRE : 'Z9-3 FICHE BETOIRE : 129-4

Comune : CAORCH£S-ST-NICOLAS Lieu-dit : Bo*A de Alonienoi/

Coordonnées : . x « 461,04 y 154,14 z . + 159 m

':: - Fossé de route

. - Fossé d'assainissement

- Ecoulement naturel eZ ioai d' anaininejnent à l'amont du bouin

Profondeur de la nappe : envinan 17 m.



- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Au moim deux, dipneaioni t î m, pnoôndt de 1,5 m

dam l'axe du vallon. tUa pnemnent toutei leieaax de nuiiieltement dei tenAei iituiei à l'avalde ta. lemiie de UOKTBNM. Lom de la viiite, tniiimpontaïLtz couche de Omon lv,iivi dam le boii3. l'amont ijmidiat de cette, bitoine.

Pollution : Luiivage dti teAAei agnicalti.


Débit absorbé :


Commune : CAORCHES-ST-NICOLAS Lieu-dit : Soii de MONTENAV

Coordonnées: x - 467,6é y- 754,23 z» 16)

'.. - Fossé de route : C.V. J3I depuis ST-UICTOR ei aa-deti


- Ecoulement naturel : dei vatlom à l'amont de ST-l/ICTOR

Profondeur de la nappe : enuiAon 12 m



- Date :

- Vitesse :

- Description des lieux A l'aval du. chemin (15 m] dipneaion de 10 x 5 m,comblée de iouchei d'anbnei, un peu 3. l'icaM del'axe du vallon, abionbe pan dibondement. A l'amontdu chemin (20 m) dipneaion de 7 à t m de diamltnz,pnoionde de 0,5 m ; eWe abionbe diUiciZement.Autne bitoine plui petite (I 0,lml à. tO m i l'amont,liglmunent i. V icant du icoulementi 'dam ce vallon.

Limons dei tennei agniaolei et leaivage de nouti dam unemoindne meiune.

Pollution


Débit absorbé :


Conmune : CAORCHES-ST-NICOLAS Lieu-dit : LES HESNIERES

Coordonnées : x » 46i,5l y . 154,43 z . * 160

"'. - Fossé de route = C.P; 13/ et voinit de totinement






- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Bitoine peu nette, dam le ¡oui le long du C.V. 131ielon la V.V.E., abionptian aaez impontante. Cettebitoine pnend lei E.P. de la voinie du totinementet une pantie dei E.P. du C.O. 131. Bit ce qu'il nei'agit poi d'une abionption dam te nemblai du C.V. 131.

Pollution : Leiiivage de nouti eiientizltement.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : ^30-1 FICHE BETOIRE : '30-2 FICHE BETOIRE : '30-3

Conmune : CAPELLE-LES-GRANOS Lieu-dit : Au Sud de ta ¿eAme da HA/

Coordonnées : x « 463,92 y « 153,04 z » +1S4 m

"'.. - Fossé de route


- Ecoulement naturel iunpnainie et ievtei


Distance au captage : S, 3 fem


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Vipneaion dam un keAbage {( 3 ml fnoônde de 20à 30 cm avec un tnou abionbant au cent/ie.

- Conmune : CAPELLE-LES-GRANOS Lieu-dit : La Tonge

Pollution : Leiiivage de tennei agnicolei.


Débit absorbé :


Coordonnées X - 464,26 y « 152,20 z « +IÍ6 m

"-.. - Fossé de route C.V. 131



Profondeur de la nappe : envinan 16 n

Distance au captage : t,3 km


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : T/iou de 20 cm de dixmltne dam le ¿oai le long duC.V. 131, a envinan 60 m du canAeioun.

Pollution : ICAiivage de noutz ;


Débit absorbé :


- Conmune : CAPELLE-LES-GRANOS Lieu-dit : LA WLLAIE

- Coordonnées : x 462,34 y 152,55 z » *1S6

- "'., - Fossé de route : chemin communal


- Ecoulement naturel hua tenne et pnainiz


- Distance au captage : 9,9 fcm [cette bitoine ie tnauve dam le baain ve/nantiupeniiciet dt l' Onbiqutt]


- Date :

- Vitesse :

- Description des lieux : en bondune d'une noutt peu impontante ; cuvette' ionmantmont dt 4 à 5 m dz dijmltne, avec nomtkeuiti iondei etbnanckei d'anbnei.

Pollution : Itaivagt de noutt zt zniAainemznt dz teAAzi agnÂjcatzi.


Débit absorbé :


Conmune : PLAINVILLE

Coordonnées :


Lieu-dit : LA CROIX-BLANCHE

X " 465,13 y 156,31 Z " +170 m

--.. . Fossé de route : c/iemini conmunaux eX. C.V. îî poun paAtiz.

- Fossé d'assainissement iav. dz ta. bouchannilne


Profondeur de la nappe : znvinon 13 m

Distance au captage : 6 fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Tnou dam lz ¿oat d' anaininement avec eiiondnement0 2 m). empli dz gnoi iiZex et pantietlement colmatépan dzi dibnii végétaux tt dei dichtti [iaa, bidoni,¿innailtei...]. Sua 150 m à l'amont, le ¿oiié titpeAci pan tnaii conduiti iubventicaux de 10 a 30 cm

de diamîtAz aux panoii iimoneuiei tAii navinézi.

Pollution : itiiivage de noute, entnainement de ¿inti dzi teAnei agnicolei ;aaainiaement dz tennti agnicolzi.


Débit absorbé :



Conmune : PUINI/ILLE Lieu-dit : LE LIEU PE BAS

Coordonnées : x 465,10 y 154,40 z » ^172

"-.. - Fossé de route .- Chemin coimiunai.


- Ecoulement naturel : doni un ¿ond dz valtan

Profondeur de la nappe : envinan lî m.

Distance au captage : 6, / fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Bitoine dz i 1,5m, léginement i l' icant du ¿ond dc ,

vatton ; un ¿oui iecondaine bien aménagé amène lei i

eaux depuii le ¿oui pnincipal ; abionption nzlativementimpontantz. \

Pollution : Leiiivage de noutt, de ¿tnmt, enXAoinement dt tennei agnicolei.


Débit absorbé :



Commune : PLAINl/ILLE Lieu-dit : LE VAL AUGER

Coordonnées : x 464,6Î y . 153,76 z « /7i

"'.. - Fossé de route ! Chemin cotimunat


- Ecoulement naturel : iuA tznnzi agnicolei et ¿enmti

Profondeur de la nappe : enuiAon 10 m.



- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Îoac ¿onmant bitoine : 16 m, pno¿ondeun 3 m ; toujoumun peu d'eau au ¿ond. Réactivation tom dt nuiaeZlt-ment impontant

Pollution : Lciiiuage de noutt, ¿enme.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : ^30-1 FICHE BETOIRE : '30-2 FICHE BETOIRE : '30-3

Conmune : CAPELLE-LES-GRANOS Lieu-dit : Au Sud de ta ¿eAme da HA/

Coordonnées : x « 463,92 y « 153,04 z » +1S4 m

"'.. - Fossé de route


- Ecoulement naturel iunpnainie et ievtei


Distance au captage : S, 3 fem


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Vipneaion dam un keAbage {( 3 ml fnoônde de 20à 30 cm avec un tnou abionbant au cent/ie.

- Conmune : CAPELLE-LES-GRANOS Lieu-dit : La Tonge

Pollution : Leiiivage de tennei agnicolei.


Débit absorbé :


Coordonnées X - 464,26 y « 152,20 z « +IÍ6 m

"-.. - Fossé de route C.V. 131



Profondeur de la nappe : envinan 16 n

Distance au captage : t,3 km


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : T/iou de 20 cm de dixmltne dam le ¿oai le long duC.V. 131, a envinan 60 m du canAeioun.

Pollution : ICAiivage de noutz ;


Débit absorbé :


- Conmune : CAPELLE-LES-GRANOS Lieu-dit : LA WLLAIE

- Coordonnées : x 462,34 y 152,55 z » *1S6

- "'., - Fossé de route : chemin communal


- Ecoulement naturel hua tenne et pnainiz


- Distance au captage : 9,9 fcm [cette bitoine ie tnauve dam le baain ve/nantiupeniiciet dt l' Onbiqutt]


- Date :

- Vitesse :

- Description des lieux : en bondune d'une noutt peu impontante ; cuvette' ionmantmont dt 4 à 5 m dz dijmltne, avec nomtkeuiti iondei etbnanckei d'anbnei.

Pollution : Itaivagt de noutt zt zniAainemznt dz teAAzi agnÂjcatzi.


Débit absorbé :


Conmune : PLAINVILLE

Coordonnées :


Lieu-dit : LA CROIX-BLANCHE

X " 465,13 y 156,31 Z " +170 m

--.. . Fossé de route : c/iemini conmunaux eX. C.V. îî poun paAtiz.

- Fossé d'assainissement iav. dz ta. bouchannilne


Profondeur de la nappe : znvinon 13 m

Distance au captage : 6 fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Tnou dam lz ¿oat d' anaininement avec eiiondnement0 2 m). empli dz gnoi iiZex et pantietlement colmatépan dzi dibnii végétaux tt dei dichtti [iaa, bidoni,¿innailtei...]. Sua 150 m à l'amont, le ¿oiié titpeAci pan tnaii conduiti iubventicaux de 10 a 30 cm

de diamîtAz aux panoii iimoneuiei tAii navinézi.

Pollution : itiiivage de noute, entnainement de ¿inti dzi teAnei agnicolei ;aaainiaement dz tennti agnicolzi.


Débit absorbé :



Conmune : PUINI/ILLE Lieu-dit : LE LIEU PE BAS

Coordonnées : x 465,10 y 154,40 z » ^172

"-.. - Fossé de route .- Chemin coimiunai.


- Ecoulement naturel : doni un ¿ond dz valtan

Profondeur de la nappe : envinan lî m.

Distance au captage : 6, / fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Bitoine dz i 1,5m, léginement i l' icant du ¿ond dc ,

vatton ; un ¿oui iecondaine bien aménagé amène lei i

eaux depuii le ¿oui pnincipal ; abionption nzlativementimpontantz. \

Pollution : Leiiivage de noutt, de ¿tnmt, enXAoinement dt tennei agnicolei.


Débit absorbé :



Commune : PLAINl/ILLE Lieu-dit : LE VAL AUGER

Coordonnées : x 464,6Î y . 153,76 z « /7i

"'.. - Fossé de route ! Chemin cotimunat


- Ecoulement naturel : iuA tznnzi agnicolei et ¿enmti

Profondeur de la nappe : enuiAon 10 m.



- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Îoac ¿onmant bitoine : 16 m, pno¿ondeun 3 m ; toujoumun peu d'eau au ¿ond. Réactivation tom dt nuiaeZlt-ment impontant

Pollution : Lciiiuage de noutt, ¿enme.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : 564-1 FICHE BETOIRE : 5Í4-2 FICHE BETOIRE 564-3

- Conmune : ST-MARDS-DE-FRESNE Lieu-dit : LA CROIX ROUGE

- Coordonnées : x - 464,42 y > 156,24 z » ^180

-'--. . Fossé de route : chemin communal

- Fossé d'assainissement des terres agricoles


- Profondeur de la nappe : '\' 15 ra

- Distance au captage : 7,4 km

- Expérience de coloration : oui, positive

- Date : juin 1981

- Vitesse : environ 420 m/h. (temps de transit 17h).

- Description des lieux : Elargissement d'un fossé d'assainissement sur unedizaine de mètres avec plusieurs trous d'absorption.Erosion relativement importante des talus autourde la bétoire freinée cependant par les racines d'arbresInstallation d'un seuil pour mesure de débit avecappareil enregistreur OTT 16, le 11.01.83.

Pollution : Lessivage de route, ruissellement sur ferme et terres agricoles ;Assainissement de terres agricoles.


Débit absorbé :


Conmune : ST-JIAROS-PE- FRESNE Lieu-dit : LA BOUCHONNIERE

Coordonnées : x 463,70 y 156,0) z ISI

"'.. - Fossé de route ! chemim cowmmaux

- Fossé d'assainissement : oiiez impontant


Profondeur de la nappe : 10 a 12 m

Distance au captage : S, 2 fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : E¿iondnementi dam le ¿ont d' aaaininejnent .- t 3 m

poun tz ptui impontant, quzlquti autxti tAoui iun unzdizaine de mitne dt tongutun. SuA¿act aaainit tniiimpontante. : itoulemtnt depuii tz boii dti Snuyinzi.

Pollution : Leiiivage de noute [hameau de ta Boucfionniite) , nuinellement iuAmaiiom (EU) 5e.imei tt anaininement dt ttnnti agnicolei.


Commune : ST-HARPS-OE-FRESWE Lieu-dit : ou Nond du Caitel

Coordonnées : x » 46î,60 y . 155,63 z « * 'S3

'.. - Fossé de route : chemin coimunal

- Fossé d'assainissement de ttnnts agnicotti


Profondeur de la nappe : inijaîeuê à 10 m

> Distance au captage : 9,2 fcm

Expérience de coloration : ue/ii lti iouncei dti Bnuyinei.

- Date : 25.0).i2

- Vitesse : 3S5 m/h > v > 55 m/h

Description des lieux : E¿iondAejnenti dam te ¿oui iuA 10 m de long [tnouidt f 20 à 30 cm) avtc début d'ÎAOiion dti tatui.

Débit absorbé :

Aménagement possible

Pollution : Tennei agnXcolzi : nuiaeULement ztdnainagz.


Débit absorbé :



Conmune : ST-/.1AR0S-0E- FRESNE Lieu-dit : à l'Outit du CaiteJL

Coordonnées : x 462,67 y . )55,0» z « '«2

"'.: - Fossé de route

- Fossé d'assainissement : X



Distance au captage : 9, 1 fcm dam le baain vemant iupeA¿icieJt dt t'Onbiquet.


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : 2 petiti tnoui [f 15 a 20 cm) dani le ¿ouid' anaininement, Í envinan 30 m i l'amont d'unbouquet d'anbnei. Encone peu ¿onctionnel a l'époquede tl viiitt.


Commune : ST-A(ARPS-PE-FRESNE Lieu-dit : Châttau dt ST-MARPS

Coordonnées: x« 462,39 y. )54,26 z« '79

''i - Fossé de route


- Ecoulement naturel : j¡ua pnainiei zt haJbitatiom

Profondeur de la nappe : envinan 10 n.

Distance au captage : 9,5 km dam tz baain vemant iupen¿icitl dt t'Onbiquzt.

Expérience de coloration : WEANT

- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Pztitt dipneaion f/inméz, I 2 a 3 m, pno¿onde dz30 à 40 cm où aboutit te tnop pttin dti moAti duchâteau.


Conmune : ST-MARPS-OE-FRESNE Lieu-dit : CHATEAU VE ST-MARPS

Coordonnées : x « 462,57 y > (53, Í3 z « +)Î2 m

-'.- - Fossé de route Chemin communat tt dépanXtmental [C.V. 606)

- Fossé d'assainissement : depuii la Vitiait

- Ecoulement naturel : íua lt hameau dz ta VitZaiz

Profondeur de la nappe : en*ie 10 et 15 m

Distance au captage : 9,4 fcm : cetXe bétoinz tit dam lt baain iupeniicieZde t'Onbiquet.

Expérience de coloration :

- Date : II ocXobne /9S2

- Vitesse : iupinizune ou égale à lîO m/h veAi COURTONNE- LES-PEUX-EGLISES. .

Description des lieux : Tnou dt f 50 cm dam lt ¿oiié d' anaininement le longdt ta noutt. L' énoiion i' accentue autoun dt la bitoint

Pollution : Tennei agnicolei nuinzltement et dnainage.


Débit absorbé :


Pollution : Leiiivage de pnoinit zt ¿enme.


Débit absorbé :


Pollution : Leiiivage de noutz, nuintUement iun un hameau.Anaijiincment de teAAti agnicolei.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : 564-1 FICHE BETOIRE : 5Í4-2 FICHE BETOIRE 564-3

- Conmune : ST-MARDS-DE-FRESNE Lieu-dit : LA CROIX ROUGE

- Coordonnées : x - 464,42 y > 156,24 z » ^180

-'--. . Fossé de route : chemin communal

- Fossé d'assainissement des terres agricoles


- Profondeur de la nappe : '\' 15 ra

- Distance au captage : 7,4 km

- Expérience de coloration : oui, positive

- Date : juin 1981

- Vitesse : environ 420 m/h. (temps de transit 17h).

- Description des lieux : Elargissement d'un fossé d'assainissement sur unedizaine de mètres avec plusieurs trous d'absorption.Erosion relativement importante des talus autourde la bétoire freinée cependant par les racines d'arbresInstallation d'un seuil pour mesure de débit avecappareil enregistreur OTT 16, le 11.01.83.

Pollution : Lessivage de route, ruissellement sur ferme et terres agricoles ;Assainissement de terres agricoles.


Débit absorbé :


Conmune : ST-JIAROS-PE- FRESNE Lieu-dit : LA BOUCHONNIERE

Coordonnées : x 463,70 y 156,0) z ISI

"'.. - Fossé de route ! chemim cowmmaux

- Fossé d'assainissement : oiiez impontant


Profondeur de la nappe : 10 a 12 m

Distance au captage : S, 2 fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : E¿iondnementi dam le ¿ont d' aaaininejnent .- t 3 m

poun tz ptui impontant, quzlquti autxti tAoui iun unzdizaine de mitne dt tongutun. SuA¿act aaainit tniiimpontante. : itoulemtnt depuii tz boii dti Snuyinzi.

Pollution : Leiiivage de noute [hameau de ta Boucfionniite) , nuinellement iuAmaiiom (EU) 5e.imei tt anaininement dt ttnnti agnicolei.


Commune : ST-HARPS-OE-FRESWE Lieu-dit : ou Nond du Caitel

Coordonnées : x » 46î,60 y . 155,63 z « * 'S3

'.. - Fossé de route : chemin coimunal

- Fossé d'assainissement de ttnnts agnicotti


Profondeur de la nappe : inijaîeuê à 10 m

> Distance au captage : 9,2 fcm

Expérience de coloration : ue/ii lti iouncei dti Bnuyinei.

- Date : 25.0).i2

- Vitesse : 3S5 m/h > v > 55 m/h

Description des lieux : E¿iondAejnenti dam te ¿oui iuA 10 m de long [tnouidt f 20 à 30 cm) avtc début d'ÎAOiion dti tatui.

Débit absorbé :

Aménagement possible

Pollution : Tennei agnXcolzi : nuiaeULement ztdnainagz.


Débit absorbé :



Conmune : ST-/.1AR0S-0E- FRESNE Lieu-dit : à l'Outit du CaiteJL

Coordonnées : x 462,67 y . )55,0» z « '«2

"'.: - Fossé de route

- Fossé d'assainissement : X



Distance au captage : 9, 1 fcm dam le baain vemant iupeA¿icieJt dt t'Onbiquet.


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : 2 petiti tnoui [f 15 a 20 cm) dani le ¿ouid' anaininement, Í envinan 30 m i l'amont d'unbouquet d'anbnei. Encone peu ¿onctionnel a l'époquede tl viiitt.


Commune : ST-A(ARPS-PE-FRESNE Lieu-dit : Châttau dt ST-MARPS

Coordonnées: x« 462,39 y. )54,26 z« '79

''i - Fossé de route


- Ecoulement naturel : j¡ua pnainiei zt haJbitatiom

Profondeur de la nappe : envinan 10 n.

Distance au captage : 9,5 km dam tz baain vemant iupen¿icitl dt t'Onbiquzt.


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Pztitt dipneaion f/inméz, I 2 a 3 m, pno¿onde dz30 à 40 cm où aboutit te tnop pttin dti moAti duchâteau.


Conmune : ST-MARPS-OE-FRESNE Lieu-dit : CHATEAU VE ST-MARPS

Coordonnées : x « 462,57 y > (53, Í3 z « +)Î2 m

-'.- - Fossé de route Chemin communat tt dépanXtmental [C.V. 606)

- Fossé d'assainissement : depuii la Vitiait

- Ecoulement naturel : íua lt hameau dz ta VitZaiz

Profondeur de la nappe : en*ie 10 et 15 m

Distance au captage : 9,4 fcm : cetXe bétoinz tit dam lt baain iupeniicieZde t'Onbiquet.

Expérience de coloration :

- Date : II ocXobne /9S2

- Vitesse : iupinizune ou égale à lîO m/h veAi COURTONNE- LES-PEUX-EGLISES. .

Description des lieux : Tnou dt f 50 cm dam lt ¿oiié d' anaininement le longdt ta noutt. L' énoiion i' accentue autoun dt la bitoint

Pollution : Tennei agnicolei nuinzltement et dnainage.


Débit absorbé :


Pollution : Leiiivage de pnoinit zt ¿enme.


Débit absorbé :


Pollution : Leiiivage de noutz, nuintUement iun un hameau.Anaijiincment de teAAti agnicolei.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : 564-7 FICHE BETOIRE : 564-Í FICHE BETOIRE : 60Í-)

Commune ; ST-AIARPS-PE-FRESNE Lieu-dit : LE BOIS BO^JUET

Coordonnées : x - 463,54 y 753,7) z - ^¡«3

"-.. - Fossé de route


- Ecoulement naturel : íua pnainiti et cuttunti

Profondeur de la nappe : environ 15 m

Distance au captage : s, 5 fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Petite dépnenion dam l'hznbagz [0 Z m) frtoôndede 30 cm. Autxt dipneaion à 150 au Sud-Oueit[f 10 m, pno¿ondeuA 3 m).

Pollution : Leiiivage dt pnaiAie et cultunt


Débit absorbé :


Conmune : ST-MARPS-PE- FRESNE Lieu-dit : CANTEPIE

Coordonnées : x 464,33 y 155,72 z « 177

-'..- - Fossé de route : chemin communal, tnop pttin dt manei

- Fossé d'assainissement'


Profondeur de la nappe : )7 m



- Date :

. - Vitesse :

Description des lieux -.Petix tnou en bondunt dt noutt, dam la hait bandantla ¿tnmt.

Pollution : Leiiivage de Aou.tc, couA de ¿eAme ; eaux uiiti dt la maiion ?

Ruintllement íua tinAti agnicottiSuperficie du bassin versant :

Débit absorbé :


Commune: ST-CICTOR-PE-CHRETIENVILLE Lieu-dit : LE BOURG

Coordonnées : x » 467,20 y » 154, )5 z - +767 m

"'.. - Fossé de route = C.O. 13) et 22 et voiti communalti

- Fossé d'assainissement : dam le bowig de St-ViCTOP.

- Ecoulement naturel : dam lei ¿cndi depuii l'Epinette et tt champ dt laPiCAAt.

Profondeur de la nappe : envinan 13 m. [puiti à 30 m dz cette bitaiAi) .

Distance au captage : 4, S km

Expérience de coloration : Paiiage iimuttanê iuA lei Bnuylnei et lz Vat HONNARP

- Date : 27 dicembnz 19S2

- Vitesse : 275 m/h < v < 300 m/h

Description des lieux : Taou dt ( 20 cm dam tz ¿ond du vallon (hcAboge) ;auXAt point d'abionption à 100 m à l'aval.

Pollution : Leiiivage de Aouie, ieiiivage du bouAg de ST-VÎCTOR (EU ),Kuiiitllement iuA pnainXe tt cutíate.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : 601-2 FICHE BETOIRE : 60Í-3 FICHE BETOIRE : 60t-4

Conmune : ST-l/ICTOR-PE-CHRETIENCILLE Lieu-dit : UÛKTENAV

Coordonnées : x » 467,56 y > 753, 6Í z « *16t

''.: - Fossé de route . chemin communat tnentiellement

- Fossé d'assainissement .- depuii ta Uant AugeA





- Date :

- Vitesse :

Description des Heux : Pêpteiiion ¿onmant le point d' aboutinement d'un ¿ouid' anaininement [zont d'abionption di¿¿uit) .

Pollution : Leiiivage de nohte, teaivagz du hameau dz ChnétienviUt.Ruinetlement íua tennei agnicolei.


Débit absorbé :


Conmune : ST-l/ICTOR-PE-CHRETIENVILLE Lieu-dit : CHRETIENWLLE

Coordonnées : x « 467,13 y » )S3,43 z ^ 171 m

'': - Fossé de route .- chemin commial

- Fossé d'assainissement depuis la AloAe AugcA


Profondeur de la nappe : eiiviAon 12 m

Distance au captage : 5, 7 fcm

Expérience de coloration : [paaage iimuitané iuA lti Snuyinzi et tz Val-Alonna.idl .

- Date : 25 novembne 79Í2

- Vitesse : Compniiz entAz 11 et 42 m/h juiqu'aax BnuyéAZi, entnt S et11 m/h juiqu'à VAL HONNARP.

Description des lieux : Taou dt t 15 cm dani lt ¿oné d'anoMiinement.Abionption impontante en pintade dt ptuit.

Pollution : Tennei agnicotti : nuiazllemtnt tt dnainage ; Itaivagt d'unt¿enme à ta AloAe AugeA, au point dt dipant du ¿oui, ttnivagt -loutt.

Superficie du bassin versant : j

Débit absorbé : :

Aménagement possible : '

Conmune : ST-VICTOR-PE-CHRETIENI/ILLE Lieu-dit : La MoAe AugM

Coordonnées : x 466,00 y « 757,14 z < +1Í0

"'- - Fossé de route ' chemim communaux



Profondeur de la nappe : envinan 75 m [bitoine dam le baain vemantiuptn¿icitt du VAL HONNARP)

- Distance au captage : 6,9 fcm

- Expérience de coloration : NEAUT

- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Vip-xtnion en ¿onmi dz mant [f 5 m), emplie debnanchagei, dam un ancien chemin cneux.

Pollution : Leiiivage dz chemijii, nuinellement iun teAnei agnicotti.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : 564-7 FICHE BETOIRE : 564-Í FICHE BETOIRE : 60Í-)

Commune ; ST-AIARPS-PE-FRESNE Lieu-dit : LE BOIS BO^JUET

Coordonnées : x - 463,54 y 753,7) z - ^¡«3

"-.. - Fossé de route


- Ecoulement naturel : íua pnainiti et cuttunti

Profondeur de la nappe : environ 15 m

Distance au captage : s, 5 fcm


- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Petite dépnenion dam l'hznbagz [0 Z m) frtoôndede 30 cm. Autxt dipneaion à 150 au Sud-Oueit[f 10 m, pno¿ondeuA 3 m).

Pollution : Leiiivage dt pnaiAie et cultunt


Débit absorbé :


Conmune : ST-MARPS-PE- FRESNE Lieu-dit : CANTEPIE

Coordonnées : x 464,33 y 155,72 z « 177

-'..- - Fossé de route : chemin communal, tnop pttin dt manei

- Fossé d'assainissement'


Profondeur de la nappe : )7 m



- Date :

. - Vitesse :

Description des lieux -.Petix tnou en bondunt dt noutt, dam la hait bandantla ¿tnmt.

Pollution : Leiiivage de Aou.tc, couA de ¿eAme ; eaux uiiti dt la maiion ?

Ruintllement íua tinAti agnicottiSuperficie du bassin versant :

Débit absorbé :


Commune: ST-CICTOR-PE-CHRETIENVILLE Lieu-dit : LE BOURG

Coordonnées : x » 467,20 y » 154, )5 z - +767 m

"'.. - Fossé de route = C.O. 13) et 22 et voiti communalti

- Fossé d'assainissement : dam le bowig de St-ViCTOP.

- Ecoulement naturel : dam lei ¿cndi depuii l'Epinette et tt champ dt laPiCAAt.

Profondeur de la nappe : envinan 13 m. [puiti à 30 m dz cette bitaiAi) .

Distance au captage : 4, S km

Expérience de coloration : Paiiage iimuttanê iuA lei Bnuylnei et lz Vat HONNARP

- Date : 27 dicembnz 19S2

- Vitesse : 275 m/h < v < 300 m/h

Description des lieux : Taou dt ( 20 cm dam tz ¿ond du vallon (hcAboge) ;auXAt point d'abionption à 100 m à l'aval.

Pollution : Leiiivage de Aouie, ieiiivage du bouAg de ST-VÎCTOR (EU ),Kuiiitllement iuA pnainXe tt cutíate.


Débit absorbé :


FICHE BETOIRE : 601-2 FICHE BETOIRE : 60Í-3 FICHE BETOIRE : 60t-4

Conmune : ST-l/ICTOR-PE-CHRETIENCILLE Lieu-dit : UÛKTENAV

Coordonnées : x » 467,56 y > 753, 6Í z « *16t

''.: - Fossé de route . chemin communat tnentiellement

- Fossé d'assainissement .- depuii ta Uant AugeA





- Date :

- Vitesse :

Description des Heux : Pêpteiiion ¿onmant le point d' aboutinement d'un ¿ouid' anaininement [zont d'abionption di¿¿uit) .

Pollution : Leiiivage de nohte, teaivagz du hameau dz ChnétienviUt.Ruinetlement íua tennei agnicolei.


Débit absorbé :


Conmune : ST-l/ICTOR-PE-CHRETIENVILLE Lieu-dit : CHRETIENWLLE

Coordonnées : x « 467,13 y » )S3,43 z ^ 171 m

'': - Fossé de route .- chemin commial

- Fossé d'assainissement depuis la AloAe AugcA


Profondeur de la nappe : eiiviAon 12 m

Distance au captage : 5, 7 fcm

Expérience de coloration : [paaage iimuitané iuA lti Snuyinzi et tz Val-Alonna.idl .

- Date : 25 novembne 79Í2

- Vitesse : Compniiz entAz 11 et 42 m/h juiqu'aax BnuyéAZi, entnt S et11 m/h juiqu'à VAL HONNARP.

Description des lieux : Taou dt t 15 cm dani lt ¿oné d'anoMiinement.Abionption impontante en pintade dt ptuit.

Pollution : Tennei agnicotti : nuiazllemtnt tt dnainage ; Itaivagt d'unt¿enme à ta AloAe AugeA, au point dt dipant du ¿oui, ttnivagt -loutt.

Superficie du bassin versant : j

Débit absorbé : :

Aménagement possible : '

Conmune : ST-VICTOR-PE-CHRETIENI/ILLE Lieu-dit : La MoAe AugM

Coordonnées : x 466,00 y « 757,14 z < +1Í0

"'- - Fossé de route ' chemim communaux



Profondeur de la nappe : envinan 75 m [bitoine dam le baain vemantiuptn¿icitt du VAL HONNARP)

- Distance au captage : 6,9 fcm

- Expérience de coloration : NEAUT

- Date :

- Vitesse :

Description des lieux : Vip-xtnion en ¿onmi dz mant [f 5 m), emplie debnanchagei, dam un ancien chemin cneux.

Pollution : Leiiivage dz chemijii, nuinellement iun teAnei agnicotti.


Débit absorbé :


Résultats des expériences de traçage à la fluorescéine Annexe 2

POINT D' INJECTIONPOINT D'OBSERVATION

COKMLiNE

DESIGNATION

NATURE

St Mards deFresne

La Croix Rouge

Bétoi renaturelle

I.G.N. 1/25000

Bernay 2

COORDONNEES

464,43

156,24

POSITION

LlJ

C9O_]OIC

C£S

3-O

edrainage

.oo 1

oUJt3

LP

RS.

C2

COTE

DU

SOL

+ 180

o

oLl-O

1

-^ 165NGF

o

(-o

1/6/8116h

2 kg

Ul

t/1 Oí«t

7 n3/hencontinu

écoule-nentnaturel

5 =

+> -o

r- >.O- W

LP

RS :

C3 :

C2 :

L

Limons jt

foranticn à silex t

craie du turonien

craie Ju' cânomanien

ST-MARDS-DE-FRESNE

Bétoire dans unfossé d'assai¬nissement

(fiche bétoire564-3)

X 462,60

y 155,52

Limonzt fornation àjilex3ur crai

o

0)

«V

¥ 183 ^ 171 25.01.810h30

IKg

COWIUNE

INDICENATURE

ce:ooo

COTE DE

LA NAPPE

UlUJ "-3

DATE D'OBSERVATION

HEURE

RESULTAT (positif ))(négatif -)

VITESSE

DE

CIRCULATION

m/ h

sernay

148-3-16

BernayCaptageChoucartDidier

BernaySee dans.ruisseau

Sourcede laMadeleine

Source

Sourcedes Bruyère;

BernayCaptage oesbruyères148-3-40

Bernay148-3-19

, Bernay¡148-3-14et 15

Source

, Anciencaptagecommunal

Ensembledes source:;du ValMonnard

1 à 21/s BERNAY148-3-40

BERiNAY

148-3-15

Sourcecaptée desBruyères

COURTONNE-LESDEUX-EGLISES(Calvados)

CORDEBUGLE

PONT DU CD

135irfllvaHo<;l

Sourcecaptée duVal (to^nnard

Source lafontaine .

(Lavoir)

Ecoulementdu vallon'de la -

Bunoserie

Source dela Totin^Î ère

471,53io5,36

m-'i

471,80155,60

-H12

471,84155,57

fll2

471,8'155,5;

H12

472, 0¿

155, 6íun

472, OC

155, 3S

H12

47l;84155,57

-f 114

f 112

^ 112

t- 112

f 111

* 112

471,76154.97

457,001155,24

457,01155,28

457,44

159,31

7,1 km

7,4 km

7,4 km

1/6/81

16h30

2/6/31

llhSO

19/6/81

lOh

1/6/81 2/6/81

16h30 16h

19/06/81

1/6/81 2/6/81

16h30 ,19/06/81

« : Coloration visible â Toeil nu

de lOh à 18h le 2/5/81

7,4 kn

7,6 kn

7,5 kn

-f 112

f 112

+ 120

+ 120

-^ 140(source)

1/6/81 2/6/8116h30 «

19/06/81

1/6/81 . 2/6/8116h30 »

19/06/81

1/6/81 2/6/81 19/06/8116h30 llhl5

9,25 kn

9,25 kn

5,6 km

5,6 km

6,3 km

v^^ 420 m/h

25.01.82 26.01.82 1.02.82-^

6.05.82Capteur perdu

Capteur/ disparu

385- >V> 55

Résultats des expériences de traçage à la fluorescéine Annexe 2

POINT D' INJECTIONPOINT D'OBSERVATION

COKMLiNE

DESIGNATION

NATURE

St Mards deFresne

La Croix Rouge

Bétoi renaturelle

I.G.N. 1/25000

Bernay 2

COORDONNEES

464,43

156,24

POSITION

LlJ

C9O_]OIC

C£S

3-O

edrainage

.oo 1

oUJt3

LP

RS.

C2

COTE

DU

SOL

+ 180

o

oLl-O

1

-^ 165NGF

o

(-o

1/6/8116h

2 kg

Ul

t/1 Oí«t

7 n3/hencontinu

écoule-nentnaturel

5 =

+> -o

r- >.O- W

LP

RS :

C3 :

C2 :

L

Limons jt

foranticn à silex t

craie du turonien

craie Ju' cânomanien

ST-MARDS-DE-FRESNE

Bétoire dans unfossé d'assai¬nissement

(fiche bétoire564-3)

X 462,60

y 155,52

Limonzt fornation àjilex3ur crai

o

0)

«V

¥ 183 ^ 171 25.01.810h30

IKg

COWIUNE

INDICENATURE

ce:ooo

COTE DE

LA NAPPE

UlUJ "-3

DATE D'OBSERVATION

HEURE

RESULTAT (positif ))(négatif -)

VITESSE

DE

CIRCULATION

m/ h

sernay

148-3-16

BernayCaptageChoucartDidier

BernaySee dans.ruisseau

Sourcede laMadeleine

Source

Sourcedes Bruyère;

BernayCaptage oesbruyères148-3-40

Bernay148-3-19

, Bernay¡148-3-14et 15

Source

, Anciencaptagecommunal

Ensembledes source:;du ValMonnard

1 à 21/s BERNAY148-3-40

BERiNAY

148-3-15

Sourcecaptée desBruyères

COURTONNE-LESDEUX-EGLISES(Calvados)

CORDEBUGLE

PONT DU CD

135irfllvaHo<;l

Sourcecaptée duVal (to^nnard

Source lafontaine .

(Lavoir)

Ecoulementdu vallon'de la -

Bunoserie

Source dela Totin^Î ère

471,53io5,36

m-'i

471,80155,60

-H12

471,84155,57

fll2

471,8'155,5;

H12

472, 0¿

155, 6íun

472, OC

155, 3S

H12

47l;84155,57

-f 114

f 112

^ 112

t- 112

f 111

* 112

471,76154.97

457,001155,24

457,01155,28

457,44

159,31

7,1 km

7,4 km

7,4 km

1/6/81

16h30

2/6/31

llhSO

19/6/81

lOh

1/6/81 2/6/81

16h30 16h

19/06/81

1/6/81 2/6/81

16h30 ,19/06/81

« : Coloration visible â Toeil nu

de lOh à 18h le 2/5/81

7,4 kn

7,6 kn

7,5 kn

-f 112

f 112

+ 120

+ 120

-^ 140(source)

1/6/81 2/6/8116h30 «

19/06/81

1/6/81 . 2/6/8116h30 »

19/06/81

1/6/81 2/6/81 19/06/8116h30 llhl5

9,25 kn

9,25 kn

5,6 km

5,6 km

6,3 km

v^^ 420 m/h

25.01.82 26.01.82 1.02.82-^

6.05.82Capteur perdu

Capteur/ disparu

385- >V> 55

POINT INJECTION POINT D" OBSERVATION

: co:';:!.'NE

, DESIGNATION

j NATURE

1 COURBEBImEBe'toirerecevantun fosséd'assainisse¬ment

ST-rARDS^DE-FRESNEBétoire dansun fossé lelong de laroute

(fiche bétoire1 554-5)

1 ST-VICTOR-DE-CHRETIENVILLEBttoire dansun fossé

1 d'assainisse¬ment àCHRETIEHVILLE

f l'i che bétoire( 608-3) 1

COORDONNEES

x : 469,79y : 159.56

X : 452,57y : 153,82

X : 467.13

y : 153,43

POSITION

UJ

CD

°On:o-ci:

S

co

m>

Í.0}

m

plateau

plateai!

UJ» «

tDO-JSta

Limonetforma¬tion âsilexsurcraie

limon

priva¬tion àsilexbur crai

forma¬tion âsilexsur

craie

COTE

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+ 166

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5.10.8215h

11.10.82

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1 LU O)

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2 kg

2 Kg

1 kg

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0,5 â

n/scontinu

1 à 2

l/scontinu

n/srontinufossé)

1 COHMUNE

i INDICE

i1

i-1

1

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148-3-12'

CORDEBUGLE

BERNAY148-3-40

MENNEVAL143-3-12

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COURTONNEi.FS nnivEGLISES''

CORDEBUGLEPont du CD

135

BERNAY148-3-40

BERNAY

148-3-15

NATURE

CaptagedesBruyères

Captagede lafontainedu Gord

Captage desBruyères

Captage dela fontainedu Gord

See captéedu ValMonnard

La fontaine(lat/oir)

See de laTotinière

Le captagedesBruyères

Captage duVal Monnard

1

!

t/lUJLU

zi s

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S

471,84155.57

47-",,50; 156,65

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1

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1

COTE DE

LA NAPPE

-^ 112

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1

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1 »-

UJUl --stJ zz 1-1^ otoI-»a

4,5 km

5.5 km

DATE D'OBSERVATION

HEURE

RESULTAT (positif +)(négatif -) '

6.10.82 7.10.82 11.10.8214h 9h 13h

6.1C.C2 ii.io.o:12h / 16h

+"* *

11.10.829.85 kJ. l^h

8.3 km

11 km

8,3 km

f;? k"

6.2 km

5,1 km

5,1 km

1

1

13.10.82 20.10.82 25.11.82llh30 llh45

il

...VITESSE

DE

CIRCULATION

m/h

.

^>252

nh20 25.11.82 30.12.82 Reliquat coloration5.10.82 ?

++ ^-^ -h -f ???

llhSO 25.11.82

13h3Ó

?.'h+ +

12h

26.11.82 30.11.82 14.12.32 22.12.32'.llh

22.12.82f

V > 120 j

i

i

42>V>11

i

11 >v>8 !

POINT INJECTION POINT D" OBSERVATION

: co:';:!.'NE

, DESIGNATION

j NATURE

1 COURBEBImEBe'toirerecevantun fosséd'assainisse¬ment

ST-rARDS^DE-FRESNEBétoire dansun fossé lelong de laroute

(fiche bétoire1 554-5)

1 ST-VICTOR-DE-CHRETIENVILLEBttoire dansun fossé

1 d'assainisse¬ment àCHRETIEHVILLE

f l'i che bétoire( 608-3) 1

COORDONNEES

x : 469,79y : 159.56

X : 452,57y : 153,82

X : 467.13

y : 153,43

POSITION

UJ

CD

°On:o-ci:

S

co

m>

Í.0}

m

plateau

plateai!

UJ» «

tDO-JSta

Limonetforma¬tion âsilexsurcraie

limon

priva¬tion àsilexbur crai

forma¬tion âsilexsur

craie

COTE

DU

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1 COHMUNE

i INDICE

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BERiiAY14C-3-40

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CORDEBUGLE

BERNAY148-3-40

MENNEVAL143-3-12

BERtWY148-3-15

COURTONNEi.FS nnivEGLISES''

CORDEBUGLEPont du CD

135

BERNAY148-3-40

BERNAY

148-3-15

NATURE

CaptagedesBruyères

Captagede lafontainedu Gord

Captage desBruyères

Captage dela fontainedu Gord

See captéedu ValMonnard

La fontaine(lat/oir)

See de laTotinière

Le captagedesBruyères

Captage duVal Monnard

1

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S

471,84155.57

47-",,50; 156,65

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COTE DE

LA NAPPE

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4,5 km

5.5 km

DATE D'OBSERVATION

HEURE

RESULTAT (positif +)(négatif -) '

6.10.82 7.10.82 11.10.8214h 9h 13h

6.1C.C2 ii.io.o:12h / 16h

+"* *

11.10.829.85 kJ. l^h

8.3 km

11 km

8,3 km

f;? k"

6.2 km

5,1 km

5,1 km

1

1

13.10.82 20.10.82 25.11.82llh30 llh45

il

...VITESSE

DE

CIRCULATION

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nh20 25.11.82 30.12.82 Reliquat coloration5.10.82 ?

++ ^-^ -h -f ???

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13h3Ó

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12h

26.11.82 30.11.82 14.12.32 22.12.32'.llh

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11 >v>8 !

Documents

INVENTAIRE DES FACTEURS DE LA POLLUTION DU CAPTAGE …infoterre.brgm.fr/rapports/83-SGN-088-HNO.pdfTAB DES MATIERES PAGE 1 - INTRODUCTION 1 1.1. Caractéristiques du captage et de