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Investir sur les marchés financiers avec son assureur Les Essentiels

Investir sur les marchés fi nanciers avec son assureur€¦ · Il est également possible d’investir sur les marchés fi nanciers dans l’optique de préparer sa retraite. Les

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Investir sur les marchés fi nanciers avec son assureur

Les Essentiels

Page 2: Investir sur les marchés fi nanciers avec son assureur€¦ · Il est également possible d’investir sur les marchés fi nanciers dans l’optique de préparer sa retraite. Les

Vous mettez de l’argent de côté pour fi nancer un projet ou pour préparer votre retraite. Connaissez-vous les meilleures solutions pour investir votre épargne ?

Prenez le temps de répondre à ce quiz pour vérifi er vos connaissances…

4. Qu’est-il possible de faire depuis l’amendement Fourgous ?

a Transformer son PERP en contrat d’assurance-vie.

b Transformer son contrat d’assurance-vie en euros en un contrat multisupport sans perdre l’antériorité fi scale du contrat.

c Transformer son contrat d’assurance-vie multisupport en un contrat en euros sans perdre l’antériorité fi scale du contrat.

3. Quand peut-on récupérer son épargne sur

un contrat d’assurance-vie multisupport ?

a À tout moment.

b Uniquement lorsque l’épargne investie affi che

une plus-value.

c Uniquement au bout de 8 ans.

6.Qu’est-ce qu’une garantie plancher dans un contrat d’assurance-vie multisupport ?

a La garantie de récupérer au bout de 8 ans un capital minimum.

b La garantie de récupérer au bout de 8 ans au minimum les sommes investies sur le contrat.c La garantie de transmettre à son décès au minimum les sommes investies sur le contrat.

Testez vos connaissances

2.Combien d’unités de compte peuvent être choisies dans un contrat d’assurance-vie multisupport ?

a Une seule mais on peut en changer quand on veut.

b Toutes les unités de compte proposées par son assureur mais il faut les choisir à l’ouverture du contrat.

c Toutes les unités de compte proposées par son assureur avec la possibilité d’en changer à tout moment.

ns t ??

5. Qu’est-ce qu’un arbitrage ?

a La possibilité de transférer son épargne d’une unité

de compte vers une autre unité de compte.

b La possibilité de transférer l’épargne placée sur le

fonds en euros vers une ou des unités de compte.

c La possibilité de transférer l’épargne investie sur une

ou des unités de compte vers un fonds en euros.

7.Peut-on souscrire un Plan d’épargne en actions (PEA) auprès de son assureur ?

a Non, seuls les établissements bancaires proposent des PEA.

b Oui, les assureurs proposent des PEA assurances identiques aux PEA bancaires.c Oui, les assureurs proposent des PEA assurances cumulant les caractéristiques d’un PEA bancaire et certains avantages du contrat de capitalisation.

1.

a Un contrat d’assurance-vie offrant plusieurs supports

d’investissement.

b Un contrat d’assurance-vie investi uniquement

sur les marchés fi nanciers.

c Un contrat d’assurance-vie investi pour moitié dans un

fonds en euros et pour moitié sur les marchés fi nanciers.

Qu’est-ce qu’un contrat d’assurance-vie

multisupport ?

Les informations communiquées dans ce guide n’ont pas de valeur contractuelle. Elles sont fondées sur la réglementation en vigueur et ne constituent pas un conseil ou un avis juridique ou fi scal.

ÊTES-VOUS SÛR D’AVOIR BIEN RÉPONDU À L’ENSEMBLE DE CES QUESTIONS ?

Votre conseiller SMAvie est à votre disposition pour vous aider à tester vos réponses et faire le point sur vos objectifs en matière d’épargne.

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Vous mettez de l’argent de côté pour fi nancer un projet ou pour préparer votre retraite. Connaissez-vous les meilleures solutions pour investir votre épargne ?

Prenez le temps de répondre à ce quiz pour vérifi er vos connaissances…

4. Qu’est-il possible de faire depuis l’amendement Fourgous ?

a Transformer son PERP en contrat d’assurance-vie.

b Transformer son contrat d’assurance-vie en euros en un contrat multisupport sans perdre l’antériorité fi scale du contrat.

c Transformer son contrat d’assurance-vie multisupport en un contrat en euros sans perdre l’antériorité fi scale du contrat.

3. Quand peut-on récupérer son épargne sur

un contrat d’assurance-vie multisupport ?

a À tout moment.

b Uniquement lorsque l’épargne investie affi che

une plus-value.

c Uniquement au bout de 8 ans.

6.Qu’est-ce qu’une garantie plancher dans un contrat d’assurance-vie multisupport ?

a La garantie de récupérer au bout de 8 ans un capital minimum.

b La garantie de récupérer au bout de 8 ans au minimum les sommes investies sur le contrat.c La garantie de transmettre à son décès au minimum les sommes investies sur le contrat.

Testez vos connaissances

2.Combien d’unités de compte peuvent être choisies dans un contrat d’assurance-vie multisupport ?

a Une seule mais on peut en changer quand on veut.

b Toutes les unités de compte proposées par son assureur mais il faut les choisir à l’ouverture du contrat.

c Toutes les unités de compte proposées par son assureur avec la possibilité d’en changer à tout moment.

ns t ??

5. Qu’est-ce qu’un arbitrage ?

a La possibilité de transférer son épargne d’une unité

de compte vers une autre unité de compte.

b La possibilité de transférer l’épargne placée sur le

fonds en euros vers une ou des unités de compte.

c La possibilité de transférer l’épargne investie sur une

ou des unités de compte vers un fonds en euros.

7.Peut-on souscrire un Plan d’épargne en actions (PEA) auprès de son assureur ?

a Non, seuls les établissements bancaires proposent des PEA.

b Oui, les assureurs proposent des PEA assurances identiques aux PEA bancaires.c Oui, les assureurs proposent des PEA assurances cumulant les caractéristiques d’un PEA bancaire et certains avantages du contrat de capitalisation.

1.

a Un contrat d’assurance-vie offrant plusieurs supports

d’investissement.

b Un contrat d’assurance-vie investi uniquement

sur les marchés fi nanciers.

c Un contrat d’assurance-vie investi pour moitié dans un

fonds en euros et pour moitié sur les marchés fi nanciers.

Qu’est-ce qu’un contrat d’assurance-vie

multisupport ?

Les informations communiquées dans ce guide n’ont pas de valeur contractuelle. Elles sont fondées sur la réglementation en vigueur et ne constituent pas un conseil ou un avis juridique ou fi scal.

ÊTES-VOUS SÛR D’AVOIR BIEN RÉPONDU À L’ENSEMBLE DE CES QUESTIONS ?

Votre conseiller SMAvie est à votre disposition pour vous aider à tester vos réponses et faire le point sur vos objectifs en matière d’épargne.

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L’assurance-vie et la baisse du fonds en euros

Lorsque l’on pense assurance-vie, on pense traditionnellement fonds en euros. Mais du fait de la baisse historique des taux obligataires, le rendement de ce support tend à diminuer depuis plusieurs années. Et le mouvement devrait se poursuivre.

Une performance en déclin

La baisse de rendement du fonds en euros risque de se poursuivre pendant encore quelques années compte-tenu de la chute durable des taux obligataires.

Cette conjoncture doit amener chacun à refaire le point sur ses placements. La recherche de performance pour contrer la diminution des taux passe désormais par la diversifi cation et l’investissement d’une partie de son épargne sur les marchés fi nanciers. En contrepartie, l’épargnant doit accepter de prendre une part de risque car les sommes investies ne sont pas garanties (contrairement au fonds en euros) et peuvent subir de fortes fl uctuations en fonction des variations de la Bourse.

PERFORMANCE DES SUPPORTS DE L’ASSURANCE-VIE(moyenne du marché français)

ÉVOLUTION DU TAUX À 10 ANS POUR LA FRANCE sur les 24 derniers mois

2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

14,4 %

5,2 %

11 %

8,2 %

5,9 %

4,1 %

-7%

3,6 % 3,4 % 3 % 2,9 % 2,8 % 2,5 % 2,3 %

Fonds euros* Unités de compte*net de frais de gestion et brut de prélèvements fi scaux et sociaux

Source : Agence France Trésor Source : FFA

Les caractéristiques du fonds en euros Le fonds en euros a largement contribué au succès de l’assurance-vie. Il présente en effet deux atouts principaux :

la sécurité de l’épargne : le capital placé est garanti quelle que soit l’évolution des marchés fi nanciers ;

les intérêts versés chaque année sont défi nitivement acquis et produisent à leur tour des intérêts au cours des années suivantes. C’est ce qu’on appelle l’effet cliquet.

Ces atouts ont une contrepartie pour les assureurs : ils ne doivent pas prendre de risque sur leurs placements pour pouvoir offrir cette garantie

permanente sur le capital. Ils investissent donc en grande partie sur des obligations et des emprunts d’État, des actifs moins risqués que les actions. Or le rendement de ces placements n’a cessé de baisser au cours des dernières années, ce qui pèse inévitablement sur le rendement servi par le fonds en euros. L’OAT* 10 ans est ainsi passée en France au cours de l’été 2016 sous la barre des 0,20 % !

* OAT (Obligation assimilable du Trésor) : titre d’emprunt négociable émis par l’État français

Juil. Sept. Nov. Jan. Mars Mai Juil. Sept. Nov. Jan. Mars Mai Juil. Sept. 2014 2014 2014 2015 2015 2015 2015 2015 2015 2016 2016 2016 2016 2016

2 %

1,5 %

1,0 %

0,5 %

0 %

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L’assurance-vie et la baisse du fonds en euros

Lorsque l’on pense assurance-vie, on pense traditionnellement fonds en euros. Mais du fait de la baisse historique des taux obligataires, le rendement de ce support tend à diminuer depuis plusieurs années. Et le mouvement devrait se poursuivre.

Une performance en déclin

La baisse de rendement du fonds en euros risque de se poursuivre pendant encore quelques années compte-tenu de la chute durable des taux obligataires.

Cette conjoncture doit amener chacun à refaire le point sur ses placements. La recherche de performance pour contrer la diminution des taux passe désormais par la diversifi cation et l’investissement d’une partie de son épargne sur les marchés fi nanciers. En contrepartie, l’épargnant doit accepter de prendre une part de risque car les sommes investies ne sont pas garanties (contrairement au fonds en euros) et peuvent subir de fortes fl uctuations en fonction des variations de la Bourse.

PERFORMANCE DES SUPPORTS DE L’ASSURANCE-VIE(moyenne du marché français)

ÉVOLUTION DU TAUX À 10 ANS POUR LA FRANCE sur les 24 derniers mois

2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015

14,4 %

5,2 %

11 %

8,2 %

5,9 %

4,1 %

-7%

3,6 % 3,4 % 3 % 2,9 % 2,8 % 2,5 % 2,3 %

Fonds euros* Unités de compte*net de frais de gestion et brut de prélèvements fi scaux et sociaux

Source : Agence France Trésor Source : FFA

Les caractéristiques du fonds en euros Le fonds en euros a largement contribué au succès de l’assurance-vie. Il présente en effet deux atouts principaux :

la sécurité de l’épargne : le capital placé est garanti quelle que soit l’évolution des marchés fi nanciers ;

les intérêts versés chaque année sont défi nitivement acquis et produisent à leur tour des intérêts au cours des années suivantes. C’est ce qu’on appelle l’effet cliquet.

Ces atouts ont une contrepartie pour les assureurs : ils ne doivent pas prendre de risque sur leurs placements pour pouvoir offrir cette garantie

permanente sur le capital. Ils investissent donc en grande partie sur des obligations et des emprunts d’État, des actifs moins risqués que les actions. Or le rendement de ces placements n’a cessé de baisser au cours des dernières années, ce qui pèse inévitablement sur le rendement servi par le fonds en euros. L’OAT* 10 ans est ainsi passée en France au cours de l’été 2016 sous la barre des 0,20 % !

* OAT (Obligation assimilable du Trésor) : titre d’emprunt négociable émis par l’État français

Juil. Sept. Nov. Jan. Mars Mai Juil. Sept. Nov. Jan. Mars Mai Juil. Sept. 2014 2014 2014 2015 2015 2015 2015 2015 2015 2016 2016 2016 2016 2016

2 %

1,5 %

1,0 %

0,5 %

0 %

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Les solutions pour investirsur les marchés fi nanciers

Pour faire fructifi er son patrimoine sur le long terme, il est conseillé de diversifi er ses placements. Une partie de son épargne peut alors être investie sur les marchés fi nanciers. Différents produits le permettent.

Le compte-titres

L’assurance-vie multisupport

Le PEA

Le contrat de capitalisation multisupport

Quelles solutions choisir ?

Il permet d’acheter et de vendre des titres de tout pays et de toute nature : actions, obligations, OPCVM… L’investisseur passe en direct ses ordres de Bourse et gère lui-même son portefeuille. Ceci suppose de suivre étroitement l’actualité fi nancière, de bien connaître les mécanismes boursiers et de disposer d’une bonne culture économique.

L’ensemble des revenus générés par un compte-titres (dividendes d’actions, coupons d’obligations) et les plus-values réalisées lors de la cession de titres sont soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux.

Le contrat d’assurance-vie multisupport présente toutes les caractéristiques d’un contrat d’assurance-vie en euros : disponibilité de l’épargne, souplesse des versements et fi scalité attractive. Seule différence, il permet de répartir son épargne entre plusieurs supports d’investissement : un support en euros garantissant le capital investi et des unités de compte placées sur les marchés fi nanciers (sans garantie en capital et sujettes à fl uctuation en fonction de l’évolution de ces marchés).

Il appartient ainsi à l’épargnant d’allouer son épargne entre ces supports en fonction de sa stratégie patrimoniale, de son appétence au risque et de ses objectifs de performance à moyen et long terme.

Le Plan d’épargne en actions (PEA) est une enveloppe fi scale qui permet d’investir dans des actions françaises et européennes en direct ou dans des OPCVM (sous certaines conditions). Les versements sont plafonnés à 150 000 euros par plan (300 000 euros pour un couple soumis à imposition commune). Les dividendes et les plus-values de cession ne sont pas imposables en cas de retrait uniquement au bout de 5 ans (à l’exception des titres non cotés pour lesquels l’exonération est plafonnée chaque année à 10 % du montant des titres). En revanche, les revenus du PEA sont soumis aux contributions sociales (CSG, CRDS) quelle que soit la date des retraits.

Un PEA peut être souscrit auprès d’un établissement bancaire mais également auprès d’un assureur. Le PEA Assurance a alors la particularité de cumuler les avantages du PEA bancaire avec ceux du contrat de capitalisation en matière de transmission de patrimoine et de fi scalité.

Si vous détenez un PEA bancaire, vous pouvez transférer les sommes qui y sont déposées sur un PEA Assurance. L’opération n’entraîne aucune sanction fi scale et vous conservez l’antériorité de votre PEA. Seule réserve : le transfert doit porter sur l’intégralité des sommes fi gurant sur le PEA bancaire.

Le contrat de capitalisation peut être souscrit sous une forme multisupport. On peut y investir sur des unités de compte et sur un support en euros. La différence avec l’assurance-vie réside au niveau de :

la base de calcul de l’ISF : il s’agit de la valeur nominale du contrat (cumul des versements bruts hors intérêts capitalisés) sans que soient prises en compte les plus-values ;

les donations : un contrat de capitalisation peut faire l’objet d’une donation, du vivant du titulaire, tout en conservant son antériorité fi scale ;

la transmission : un contrat de capitalisation ne comporte pas de clause bénéfi ciaire, contrairement à l’assurance-vie. Les capitaux investis sur un contrat de capitalisation intègrent la succession du titulaire à son décès. Ils sont légués à ses héritiers qui ne paient que les droits de succession sur la valeur du rachat du contrat (après abattements). Les héritiers sont alors considérés comme les nouveaux titulaires du contrat.

Ces différents produits permettent d’investir sur les marchés fi nanciers. Lequel choisir ? Comment optimiser ses investissements en utilisant les spécifi cités de chacun d’entre eux ?

L’assurance-vie est la solution la plus souple. Elle s’intègre parfaitement dans tout patrimoine quels que soient les projets de l’épargnant. Ensuite, en fonction de ses objectifs, il est possible de diversifi er ses placements avec un produit complémentaire :

contribuables soumis à l’ISF : un contrat de capitalisation présente un vrai atout puisque les intérêts ne sont pas soumis à l’ISF ;

personnes souhaitant s’impliquer dans la gestion fi nancière de leur portefeuille : le PEA est une solution complémentaire à privilégier. Il permet à l’épargnant de choisir lui-même les actions ou les OPCVM dans

lesquelles il souhaite investir et de prendre seul les décisions d’achat, de vente, d’arbitrage…

épargnant préparant sa retraite : il peut souscrire un produit dédié uniquement à cet objectif du type PERP ou contrat d’épargne-retraite Madelin s’il est TNS ou alimenter, s’il en bénéfi cie, son contrat d’épargne-retraite entreprise. Il profi tera en plus d’avantages fi scaux sur ses versements. Plus sa date de départ à la retraite sera éloignée, plus il pourra investir une part de son épargne sur des unités de compte.

Chassez les idées reçues…

« Je n’ai pas assez d’argent pour investir sur les marchés fi nanciers. »

Inutile d’attendre d’avoir un capital important à placer pour investir sur les marchés fi nanciers. Les solutions présentées ci-dessus sont accessibles dès quelques centaines d’euros seulement (150 € par exemple pour ouvrir un contrat d’assurance-vie multisupport SMAvie).

Il est d’ailleurs préférable de commencer très tôt, même avec de petites sommes, et d’investir ensuite régulièrement. C’est la meilleure façon de profi ter de la performance des marchés fi nanciers sur le long terme (voir page 15).

TRANSFORMEZ VOTRE CONTRAT D’ASSURANCE-VIE EN EUROS EN CONTRAT MULTISUPPORT

Vos projets ont évolué ? Vous possédez un contrat en euros et vous aimeriez pouvoir maintenant investir sur les marchés fi nanciers ? Vous pouvez transformer votre assurance-vie en euros en contrat multisupport sans pour autant en perdre l’antériorité fi scale. Le dispositif dit « Fourgous » offre cette possibilité à condition de transférer chez le même assureur l’intégralité de l’épargne de son contrat en euros vers le contrat multisupport et d’investir au moins 20 % de cette épargne sur des unités de compte.

LE SAVIEZ-VOUS ?

Il est également possible d’investir sur les marchés fi nanciers dans l’optique de préparer sa retraite. Les contrats d’épargne-retraite individuels (PERP, contrat Madelin pour les TNS) ou collectifs (Plan d’épargne retraite entreprise) permettent en effet d’investir sur des unités de compte comme au sein d’une assurance-vie.

Pour en savoir plus sur l’assurance-vie, ses atouts et sa fi scalité, demandez à votre conseiller SMAvie le guide « Gérer son patrimoine ».

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Les solutions pour investirsur les marchés fi nanciers

Pour faire fructifi er son patrimoine sur le long terme, il est conseillé de diversifi er ses placements. Une partie de son épargne peut alors être investie sur les marchés fi nanciers. Différents produits le permettent.

Le compte-titres

L’assurance-vie multisupport

Le PEA

Le contrat de capitalisation multisupport

Quelles solutions choisir ?

Il permet d’acheter et de vendre des titres de tout pays et de toute nature : actions, obligations, OPCVM… L’investisseur passe en direct ses ordres de Bourse et gère lui-même son portefeuille. Ceci suppose de suivre étroitement l’actualité fi nancière, de bien connaître les mécanismes boursiers et de disposer d’une bonne culture économique.

L’ensemble des revenus générés par un compte-titres (dividendes d’actions, coupons d’obligations) et les plus-values réalisées lors de la cession de titres sont soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux.

Le contrat d’assurance-vie multisupport présente toutes les caractéristiques d’un contrat d’assurance-vie en euros : disponibilité de l’épargne, souplesse des versements et fi scalité attractive. Seule différence, il permet de répartir son épargne entre plusieurs supports d’investissement : un support en euros garantissant le capital investi et des unités de compte placées sur les marchés fi nanciers (sans garantie en capital et sujettes à fl uctuation en fonction de l’évolution de ces marchés).

Il appartient ainsi à l’épargnant d’allouer son épargne entre ces supports en fonction de sa stratégie patrimoniale, de son appétence au risque et de ses objectifs de performance à moyen et long terme.

Le Plan d’épargne en actions (PEA) est une enveloppe fi scale qui permet d’investir dans des actions françaises et européennes en direct ou dans des OPCVM (sous certaines conditions). Les versements sont plafonnés à 150 000 euros par plan (300 000 euros pour un couple soumis à imposition commune). Les dividendes et les plus-values de cession ne sont pas imposables en cas de retrait uniquement au bout de 5 ans (à l’exception des titres non cotés pour lesquels l’exonération est plafonnée chaque année à 10 % du montant des titres). En revanche, les revenus du PEA sont soumis aux contributions sociales (CSG, CRDS) quelle que soit la date des retraits.

Un PEA peut être souscrit auprès d’un établissement bancaire mais également auprès d’un assureur. Le PEA Assurance a alors la particularité de cumuler les avantages du PEA bancaire avec ceux du contrat de capitalisation en matière de transmission de patrimoine et de fi scalité.

Si vous détenez un PEA bancaire, vous pouvez transférer les sommes qui y sont déposées sur un PEA Assurance. L’opération n’entraîne aucune sanction fi scale et vous conservez l’antériorité de votre PEA. Seule réserve : le transfert doit porter sur l’intégralité des sommes fi gurant sur le PEA bancaire.

Le contrat de capitalisation peut être souscrit sous une forme multisupport. On peut y investir sur des unités de compte et sur un support en euros. La différence avec l’assurance-vie réside au niveau de :

la base de calcul de l’ISF : il s’agit de la valeur nominale du contrat (cumul des versements bruts hors intérêts capitalisés) sans que soient prises en compte les plus-values ;

les donations : un contrat de capitalisation peut faire l’objet d’une donation, du vivant du titulaire, tout en conservant son antériorité fi scale ;

la transmission : un contrat de capitalisation ne comporte pas de clause bénéfi ciaire, contrairement à l’assurance-vie. Les capitaux investis sur un contrat de capitalisation intègrent la succession du titulaire à son décès. Ils sont légués à ses héritiers qui ne paient que les droits de succession sur la valeur du rachat du contrat (après abattements). Les héritiers sont alors considérés comme les nouveaux titulaires du contrat.

Ces différents produits permettent d’investir sur les marchés fi nanciers. Lequel choisir ? Comment optimiser ses investissements en utilisant les spécifi cités de chacun d’entre eux ?

L’assurance-vie est la solution la plus souple. Elle s’intègre parfaitement dans tout patrimoine quels que soient les projets de l’épargnant. Ensuite, en fonction de ses objectifs, il est possible de diversifi er ses placements avec un produit complémentaire :

contribuables soumis à l’ISF : un contrat de capitalisation présente un vrai atout puisque les intérêts ne sont pas soumis à l’ISF ;

personnes souhaitant s’impliquer dans la gestion fi nancière de leur portefeuille : le PEA est une solution complémentaire à privilégier. Il permet à l’épargnant de choisir lui-même les actions ou les OPCVM dans

lesquelles il souhaite investir et de prendre seul les décisions d’achat, de vente, d’arbitrage…

épargnant préparant sa retraite : il peut souscrire un produit dédié uniquement à cet objectif du type PERP ou contrat d’épargne-retraite Madelin s’il est TNS ou alimenter, s’il en bénéfi cie, son contrat d’épargne-retraite entreprise. Il profi tera en plus d’avantages fi scaux sur ses versements. Plus sa date de départ à la retraite sera éloignée, plus il pourra investir une part de son épargne sur des unités de compte.

Chassez les idées reçues…

« Je n’ai pas assez d’argent pour investir sur les marchés fi nanciers. »

Inutile d’attendre d’avoir un capital important à placer pour investir sur les marchés fi nanciers. Les solutions présentées ci-dessus sont accessibles dès quelques centaines d’euros seulement (150 € par exemple pour ouvrir un contrat d’assurance-vie multisupport SMAvie).

Il est d’ailleurs préférable de commencer très tôt, même avec de petites sommes, et d’investir ensuite régulièrement. C’est la meilleure façon de profi ter de la performance des marchés fi nanciers sur le long terme (voir page 15).

TRANSFORMEZ VOTRE CONTRAT D’ASSURANCE-VIE EN EUROS EN CONTRAT MULTISUPPORT

Vos projets ont évolué ? Vous possédez un contrat en euros et vous aimeriez pouvoir maintenant investir sur les marchés fi nanciers ? Vous pouvez transformer votre assurance-vie en euros en contrat multisupport sans pour autant en perdre l’antériorité fi scale. Le dispositif dit « Fourgous » offre cette possibilité à condition de transférer chez le même assureur l’intégralité de l’épargne de son contrat en euros vers le contrat multisupport et d’investir au moins 20 % de cette épargne sur des unités de compte.

LE SAVIEZ-VOUS ?

Il est également possible d’investir sur les marchés fi nanciers dans l’optique de préparer sa retraite. Les contrats d’épargne-retraite individuels (PERP, contrat Madelin pour les TNS) ou collectifs (Plan d’épargne retraite entreprise) permettent en effet d’investir sur des unités de compte comme au sein d’une assurance-vie.

Pour en savoir plus sur l’assurance-vie, ses atouts et sa fi scalité, demandez à votre conseiller SMAvie le guide « Gérer son patrimoine ».

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Les UC ne présentent pas de garantie en capital et leur performance est directement liée aux variations des marchés fi nanciers. Mais en contrepartie, elles permettent d’améliorer dans le temps le rendement de son épargne.

Les unités de compte, mode d’emploi

Qu’est-ce qu’une UC ? Peut-on changer d’UC au cours de la vie de son contrat ?

Quelles UC choisir ?

Une UC, ou unité de compte, est un support d’investissement fi nancier composé de valeurs mobilières telles que des OPC ou des parts d’OPC (SICAV, FCP…). Ces OPC peuvent être investies dans des actions, des obligations, des supports monétaires…

La performance d’une UC est directement liée aux variations des marchés fi nanciers et peut fl uctuer à la hausse comme à la baisse. Les sommes investies sur les unités de compte ne sont pas garanties et peuvent donc présenter un risque de perte en capital. Cependant, les perspectives de performances peuvent se révéler plus élevées sur le moyen/long terme.

Les UC peuvent être souscrites dans le cadre d’un contrat multisupport en assurance-vie, capitalisation ou épargne-retraite.

Un contrat multisupport doit pouvoir évoluer au gré des variations des marchés fi nanciers et des objectifs du souscripteur. Il est donc possible de changer l’allocation de son contrat en réalisant des arbitrages entre les supports : entre le fonds en euros et les UC et entre les UC. Réaliser un arbitrage peut même s’avérer nécessaire pour gérer au mieux son contrat. Si, par exemple, suite à une hausse des marchés fi nanciers, les unités de compte deviennent prépondérantes dans le contrat, il conviendra d’en arbitrer une partie vers le fonds en euros pour conserver une répartition équilibrée et sécuriser les plus-values.

Il existe deux types d’arbitrage : l’arbitrage libre que l’épargnant effectue quand il le souhaite et l’arbitrage programmé qui se déclenche automatiquement en fonction d’éléments défi nis à l’avance avec l’assureur (poids des UC dans le contrat, horizon d’investissement…).

Les assureurs proposent différentes unités de compte qui permettent d’investir sur des zones géographiques spécifi ques (zone euro, États-Unis, Japon, marchés émergents…) et sur des classes d’actifs différentes (actions, obligations…).

De leur exposition découlera leur échelle de risque : du moins risqué pour les UC investies sur des supports monétaires au plus risqué pour les UC investies sur des actions ou des matières premières.

Il est possible de choisir plusieurs unités de compte au sein d’un même contrat afi n, par exemple, de panacher les niveaux de risques.

L’épargnant défi nit d’abord la part d’épargne de son contrat qu’il souhaite investir sur des unités de compte puis il choisit une ou plusieurs UC parmi l’offre proposée par son assureur. Il doit pour cela défi nir au préalable son profi l d’investisseur et tenir compte de ses projets fi nanciers, de son horizon d’investissement et de son appétence au risque. Cette démarche peut être diffi cile à mener seul. C’est pourquoi, il est important de se faire accompagner et d’échanger en toute transparence (et confi dentialité) avec son conseiller. Ses questions permettent d’évaluer les objectifs, les connaissances et l’expérience en matière fi nancière de chaque épargnant.

DIVERSIFIER SON ÉPARGNE TOUT EN LA SÉCURISANT

Certains contrats multisupports (dont ceux commercialisés par SMAvie) proposent une « garantie plancher ». Si l’épargnant décède à la suite d’un accident ou d’une maladie et que son contrat est en moins-values, les bénéfi ciaires du contrat sont ainsi assurés de récupérer au moins le montant des versements effectués, même en cas de baisse des marchés (dans la limite de 800 000 € tous contrats confondus souscrits auprès de SMAvie et jusqu’au 80 ans du souscripteur). Une sécurité à ne pas négliger…

LE SAVIEZ-VOUS ?

Chassez les idées reçues…

« Les plus-values réalisées sur les UC lors d’un arbitrage sont imposables. »

Faux… tant que les sommes arbitrées restent investies dans le contrat, elles ne sont soumises à aucun impôt. De même, un arbitrage ne donne pas lieu au paiement des prélèvements sociaux. C’est uniquement lors des rachats ou du décès de l’épargnant que se déclenchent l’imposition et le paiement des prélèvements sociaux sur les unités de compte (sur le fonds en euros, les prélèvements sociaux sont déduits chaque année sur les intérêts).

Il ne faut donc pas craindre de réaliser des arbitrages selon l’évolution des marchés fi nanciers.

Analyser les fonds servant de support aux unités de compte Les fonds présentent des différences à étudier de près pour choisir ses UC :

l’indice de référence : il s’agit de l’étalon auquel on peut se référer pour analyser la performance du fonds (CAC 40 pour des fonds investis en actions françaises, Eurostoxx 50 pour des actions de la zone euro…)

stratégie d’investissement : ce sont les méthodes qu’appliquera le gérant pour atteindre son objectif. Il peut, par exemple, privilégier les titres offrant de forts dividendes ou préférer des actions présentant de faibles valorisations…

profi l de risque : c’est l’estimation du risque que présente le fonds. Il est souvent évalué sur une échelle (de faible à élevé). Le risque s’apprécie aussi à travers la volatilité du fonds qui permet d’évaluer les fl uctuations de sa rentabilité dans le temps. Un fonds aura un risque d’autant plus faible que la rentabilité offerte année après

année sera stable. Inversement si la rentabilité connaît une évolution irrégulière avec des années de gains élevés et d’autres années de fortes pertes, son risque sera jugé élevé et sa volatilité sera donc importante.

performance : l’historique de la performance du fonds est un indicateur essentiel. Il permet d’apprécier le comportement du fonds dans différents environnements de marché et de le comparer à d’autres fonds de la même catégorie.

Les performances passées ne permettant pas de préjuger des performances futures, un risque de perte en capital est possible même pour des UC ayant généré des plus-values importantes sur l’historique considéré.

Page 9: Investir sur les marchés fi nanciers avec son assureur€¦ · Il est également possible d’investir sur les marchés fi nanciers dans l’optique de préparer sa retraite. Les

Les UC ne présentent pas de garantie en capital et leur performance est directement liée aux variations des marchés fi nanciers. Mais en contrepartie, elles permettent d’améliorer dans le temps le rendement de son épargne.

Les unités de compte, mode d’emploi

Qu’est-ce qu’une UC ? Peut-on changer d’UC au cours de la vie de son contrat ?

Quelles UC choisir ?

Une UC, ou unité de compte, est un support d’investissement fi nancier composé de valeurs mobilières telles que des OPC ou des parts d’OPC (SICAV, FCP…). Ces OPC peuvent être investies dans des actions, des obligations, des supports monétaires…

La performance d’une UC est directement liée aux variations des marchés fi nanciers et peut fl uctuer à la hausse comme à la baisse. Les sommes investies sur les unités de compte ne sont pas garanties et peuvent donc présenter un risque de perte en capital. Cependant, les perspectives de performances peuvent se révéler plus élevées sur le moyen/long terme.

Les UC peuvent être souscrites dans le cadre d’un contrat multisupport en assurance-vie, capitalisation ou épargne-retraite.

Un contrat multisupport doit pouvoir évoluer au gré des variations des marchés fi nanciers et des objectifs du souscripteur. Il est donc possible de changer l’allocation de son contrat en réalisant des arbitrages entre les supports : entre le fonds en euros et les UC et entre les UC. Réaliser un arbitrage peut même s’avérer nécessaire pour gérer au mieux son contrat. Si, par exemple, suite à une hausse des marchés fi nanciers, les unités de compte deviennent prépondérantes dans le contrat, il conviendra d’en arbitrer une partie vers le fonds en euros pour conserver une répartition équilibrée et sécuriser les plus-values.

Il existe deux types d’arbitrage : l’arbitrage libre que l’épargnant effectue quand il le souhaite et l’arbitrage programmé qui se déclenche automatiquement en fonction d’éléments défi nis à l’avance avec l’assureur (poids des UC dans le contrat, horizon d’investissement…).

Les assureurs proposent différentes unités de compte qui permettent d’investir sur des zones géographiques spécifi ques (zone euro, États-Unis, Japon, marchés émergents…) et sur des classes d’actifs différentes (actions, obligations…).

De leur exposition découlera leur échelle de risque : du moins risqué pour les UC investies sur des supports monétaires au plus risqué pour les UC investies sur des actions ou des matières premières.

Il est possible de choisir plusieurs unités de compte au sein d’un même contrat afi n, par exemple, de panacher les niveaux de risques.

L’épargnant défi nit d’abord la part d’épargne de son contrat qu’il souhaite investir sur des unités de compte puis il choisit une ou plusieurs UC parmi l’offre proposée par son assureur. Il doit pour cela défi nir au préalable son profi l d’investisseur et tenir compte de ses projets fi nanciers, de son horizon d’investissement et de son appétence au risque. Cette démarche peut être diffi cile à mener seul. C’est pourquoi, il est important de se faire accompagner et d’échanger en toute transparence (et confi dentialité) avec son conseiller. Ses questions permettent d’évaluer les objectifs, les connaissances et l’expérience en matière fi nancière de chaque épargnant.

DIVERSIFIER SON ÉPARGNE TOUT EN LA SÉCURISANT

Certains contrats multisupports (dont ceux commercialisés par SMAvie) proposent une « garantie plancher ». Si l’épargnant décède à la suite d’un accident ou d’une maladie et que son contrat est en moins-values, les bénéfi ciaires du contrat sont ainsi assurés de récupérer au moins le montant des versements effectués, même en cas de baisse des marchés (dans la limite de 800 000 € tous contrats confondus souscrits auprès de SMAvie et jusqu’au 80 ans du souscripteur). Une sécurité à ne pas négliger…

LE SAVIEZ-VOUS ?Chassez les idées reçues…

« Les plus-values réalisées sur les UC lors d’un arbitrage sont imposables. »

Faux… tant que les sommes arbitrées restent investies dans le contrat, elles ne sont soumises à aucun impôt. De même, un arbitrage ne donne pas lieu au paiement des prélèvements sociaux. C’est uniquement lors des rachats ou du décès de l’épargnant que se déclenchent l’imposition et le paiement des prélèvements sociaux sur les unités de compte (sur le fonds en euros, les prélèvements sociaux sont déduits chaque année sur les intérêts).

Il ne faut donc pas craindre de réaliser des arbitrages selon l’évolution des marchés fi nanciers.

Analyser les fonds servant de support aux unités de compte Les fonds présentent des différences à étudier de près pour choisir ses UC :

l’indice de référence : il s’agit de l’étalon auquel on peut se référer pour analyser la performance du fonds (CAC 40 pour des fonds investis en actions françaises, Eurostoxx 50 pour des actions de la zone euro…)

stratégie d’investissement : ce sont les méthodes qu’appliquera le gérant pour atteindre son objectif. Il peut, par exemple, privilégier les titres offrant de forts dividendes ou préférer des actions présentant de faibles valorisations…

profi l de risque : c’est l’estimation du risque que présente le fonds. Il est souvent évalué sur une échelle (de faible à élevé). Le risque s’apprécie aussi à travers la volatilité du fonds qui permet d’évaluer les fl uctuations de sa rentabilité dans le temps. Un fonds aura un risque d’autant plus faible que la rentabilité offerte année après

année sera stable. Inversement si la rentabilité connaît une évolution irrégulière avec des années de gains élevés et d’autres années de fortes pertes, son risque sera jugé élevé et sa volatilité sera donc importante.

performance : l’historique de la performance du fonds est un indicateur essentiel. Il permet d’apprécier le comportement du fonds dans différents environnements de marché et de le comparer à d’autres fonds de la même catégorie.

Les performances passées ne permettant pas de préjuger des performances futures, un risque de perte en capital est possible même pour des UC ayant généré des plus-values importantes sur l’historique considéré.

profi l de risque : c’est l’estimation du risque que présente le fonds. Il est souvent évalué sur une échelle (de faible à élevé). Le risque s’apprécie aussi à travers la volatilité du fonds qui permet d’évaluer les fl uctuations de sa rentabilité dans le temps. Un fonds aura un risque d’autant plus faible que la rentabilité offerte année après

année sera stable. Inversement si la rentabilité connaît une évolution irrégulière avec des années de gains élevés et d’autres années de fortes pertes, son risque sera jugé élevé et sa volatilité sera donc importante.

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