1

Je Veux que ma Femme soit une Salope

Je suis marié depuis trois ans. Depuis quelque temps, j’ai envie que ma femme devienne vraiment une salope, pour être direct, même si sexuellement, entre nous, tout va pour le mieux.

Un jour, je me suis lancé et je lui ai demandé :

– Ma chérie, je peux te demander quelque chose ?

– Oui bien sûr, que veux-tu ?

– Ce n’est pas quelque chose de facile à demander à sa femme.

– Tu peux tout me demander, tu le sais bien.

– Oui mais là, ce n’est pas quelque chose de simple ... tu vas sûrement refuser ...

– ça, tu ne peux pas le savoir si tu ne me le demandes pas, allez dis-moi ce que tu veux !

– Bah ... j’aimerais que ... j’aimerais te partager ...

– Je ne comprends pas ... explique un peu.

– J’aimerais ne plus être le seul mec avec qui tu couches ...

– Tu veux que je te trompe ?!

– Pas juste me tromper ...

– Mais explique-toi ... je ne peux pas deviner !

– Bah je veux que tu couches avec plein de mecs, que, en boite, tu les chauffes tous, que tu en suces dans les toilette etc. ... Voilà ce que j’aimerais ...

– Tu veux que je fasse la salope ?!!!

– Non pas que tu fasses la salope ... que tu sois une SALOPE !!!

– C’est pareil !

– Non ! Si tu fais la salope, c’est que tu n’en as pas envie, mais si tu es une salope c’est que tu en as envie.

– Bref c’est pareil pour moi et puis, tu peux rêver et oublier ça, je ne serais pas une salope !

Puis elle s’en alla se coucher et dormir en faisant la gueule.

Le lendemain, elle ne reparla pas du sujet de discussion que l’on a eu la veille et faisait même comme si je ne lui avais jamais rien demandé.

Mais voilà, quelques semaines plus tard, c’est elle qui vint me reparler de ce que je lui avais demandé, nous étions dans le canapé, à regarder la télé quand elle me dit :

– Tu te souviens de ce que tu m’as demandé il y a quelques semaines ?

Surpris par cette question, je n’ai pas tout de suite fait le rapport avec ma demande !

– je t’ai demandé quoi il y a quelques semaines ?

– Tu sais bien ... que tu voulais que je sois une ...

– Ah tu parles de ça, oui je me souviens très bien, tu m’as dit d’oublier et que tu ne le ferais jamais.

– Oui je sais, et je ne le ferais jamais, c’est sûr, mais j’aimerais que tu m’expliques en détail ...

2

– Que je t’explique en détail, mais pourquoi ?

– Je veux savoir ce que tu voudrais que je fasse ...

– Bon, d’accord, tu veux que je te l’explique comment ?

– Tu me fais faire avec toi ce que tu aimerais que je fasse avec d’autre ?

– D’accord, je commence par ce que je veux que tu fasses en boîte ?

– Oui ! Donc je suppose que je dois danser comme si j’étais en boîte ?

– Exactement, je vais bien t’expliquer.

Alors, elle se lève et commence à danser au milieu du salon comme si elle était en boite, elle joue vraiment le jeu, puis je me lève aussi et danse à côté d’elle et je lui dis :

– Alors moi je suis un inconnu qui danse aussi dans la boite, tu devrais aller danser avec lui en te frottant bien contre lui pour le chauffer.

Elle s’approcha alors de moi, collant bien ses fesses contre mon pantalon, elle sait comment faire puisqu’elle fait tout le temps avec moi.

– Comme ça que tu veux ? Le faire bander c’est ça ?

– Oui, mais ce n’est pas tout, quand tu sens une bosse contre tes fesses, tu devrais te mettre face à lui et en dansant très près de lui, tu glisses une main dans son pantalon.

Elle se colla donc face à moi et glissa donc une main dans mon pantalon et prit mon sexe en main.

– Mais tu bandes ? Ça veut dire que je fais bien ce que tu me demandes ?

– Tu fais exactement ce que j’aurais voulu, oui, n’importe qui banderait si tu te frottes comme ça !

– J’essaie de faire de mon mieux, mais il y a un problème, s’il y a plusieurs mecs qui dansent avec moi, je fais quoi ?

– Bah, tu fais la même chose à tous ceux qui dansent avec toi.

– Ah d’accord, ensuite je fais quoi avec ma main dans les pantalons ?

– Bah, tu les branles un peu dans leur pantalon.

– Comme ça ? Me dit-elle en masturbant mon sexe dans mon pantalon.

– Oui comme ça, c’est parfait, mais tu devras les emmener vers les toilettes.

Elle me tira alors vers les toilettes de l’appart en me disant :

– Viens avec moi, je vais te faire du bien.

– Ah, tu imagines vraiment comme si tu le ferais certainement ?

Elle ne répondit pas et nous sommes donc dans les toilettes et elle se mit à genoux devant moi, ouvrit mon pantalon et puis le baissa, elle masse mon sexe à travers le boxer et dit :

– Mmmh !!! Je vais me régaler !

Elle baissa ensuite le boxer et prit mon sexe en bouche et me suça comme elle le fait si bien, je ne mis pas longtemps à éjaculer dans sa bouche et je suis surpris de la voir avaler et me dire :

– Une salope, ça avale non ?

– Oui, ça avale tout le sperme qu’on lui met dans la bouche.

– D’accord, je dois faire quoi maintenant ?

– C’est tout, en boite, t’aurais fait juste ça, mais avec plein de mecs.

3

– Ah d’accord, combien au maximum ?

– Il n’y a pas de maximum, Tu devrais en sucer le plus possible.

– Je ferais ça pendant toute la soirée ? Et tu serais avec moi en boite ?

– Oui, je serais là pour observer et en profiter.

– J’aurais l’estomac plein de sperme alors à la fin de la soirée ?

– C’est le but, le sperme serait la seule chose que tu avales en boite.

On retourna ensuite au canapé, mais je lui dis :

– Mais ce n’est pas tout

– Ah bon ? Bah continue d’expliquer alors.

– D’accord, quand on a des amis qui viennent chez nous boire un coup ou autre chose…

– Ah oui ça arrive souvent que des potes à toi viennent regarder le foot avec toi.

– Oui, dès que tu auras vu une bosse dans un pantalon, tu devras aller vers le mec, lui ouvrir le pantalon et le sucer sans rien lui dire.

Elle recommença à faire comme si la situation se passait réellement et vint s’accroupir entre mes jambes, ouvrir mon pantalon et me sucer alors que je suis encore assis dans le canapé.

– Mais là, tu ne l’aurais pas fait éjaculer dans ta bouche.

– J’aurais dû faire quoi alors ?

– tu te serais ensuite assise sur ses genoux mais face à lui.

– Ah, je comprends ...

Elle s’assit alors sur mes genoux face à moi, puis se relève un peu et vient s’empaler sur mon sexe et bougea son bassin pour le faire entrer en elle, et je bougeai aussi le mien en même temps, puis j’éjaculai cette fois en elle.

– C’est exactement ça que tu aurais dû faire, les faire éjaculer en toi.

– Mais si j’aurais fait ça avec un, les autre auraient aussi une bosse dans le pantalon ...

– Tu devrais donc reproduire ça avec tous ceux qui ont une bosse.

– Ah d’accord, c’est tout ou il y encore autre chose ?

– Ah bah non, il y a encore autre chose, ce n’est pas tout…

Elle revint s’asseoir à côté de moi et me regarda en me disant :

– Alors, continue de m’expliquer.

– Tu devrais aussi te faire baiser par un maximum de mecs tous les jours dans la deuxième chambre de notre appart.

– Des mecs que j’aurais rencontrés comment ?

– Comme tu l’aurais voulu : Internet, amis, dans la rue...

– Ah d’accord, et j’aurais pu faire avec plusieurs mecs en même temps ?

– Ce n’est pas que si tu aurais pu, tu DEVRAIS le faire avec plusieurs mecs ! Parfois un seul, mais si possible 3-4 en même temps !

– Ah carrément ... et ça une fois par jour ? Et si tu serais à l’appart en même temps ?

4

– Non ! Plusieurs fois par jour, j’ai dit un maximum de mecs ! Bah si je serais rentré en même temps, je pourrais assister à la scène, mais quand tu aurais fait ça dans la journée sans que je sois là, tu me préviendrais par SMS que tu allais te faire baiser et préciser le nombre de bites aussi !

– Je te préviendrais si je me faisais baiser par 5 bites par exemple ?

– Oui, tu me dirais par SMS : « J’ai ramené 5 mecs a l’appart pour me baiser », et à chaque fois même si c’est plusieurs fois par jour.

– Et si je t’envoyais une photo de moi avec tous les mecs qui me baiseraient ?

– Ce serait super !

– Et donc à chaque fois, je le ferais avec ou sans capote ?

– Oui, sans capote bien sûr, pour que ta chatte et ton cul débordent de sperme.

– Ah, avec le cul aussi ?

– Oui ! Double pénétration aussi.

– Oh d’accord ...

– Et puis pour faciliter tout ce que je viens de t’expliquer, tu t’habillerais tout le temps en minijupe et surtout SANS sous-vêtements !

– Ah d’accord ... une vrai salope qui ne veut que baiser, c’est ça ?

– Exactement !

– Heureusement que j’ai dit non alors ... je ne veux jamais faire ça !

– OK..., Mais si finalement tu changes d’avis, préviens-moi !

– Ça ne risque pas d’arriver !

Mais voilà que quelques jours plus tard, pendant que je regardais la télé dans le canapé, elle est venue s’asseoir à côté de moi mais elle était habillée d’une minijupe, d’un haut très sexy et elle prit une de mes mains et la fit passer sous sa jupe pour me faire sentir qu’elle n’avait rien en dessous puis elle me dit :

– A partir de maintenant, je suis une salope et toi, un mari cocu !

– Ah, tu as enfin changé d’avis !

– Oui, quand tu m’as tout expliqué ça m’a trop excitée, et maintenant je veux faire tout ce que tu m’as dit !

– Alors, chérie, tu as vraiment décidé d’être une salope, une vraie, rien que pour moi ?

– Totalement ! Je te l’ai dit, ça m’a beaucoup excitée quand tu m’as expliqué tout ce que tu voulais que je fasse.

– Tu sais quel jour on est ?

– Samedi, non ?

– Alors, on va aller en boite, si tu vois ce que je veux dire.

– D’accord, j’ai hâte de te montrer que je peux le faire !

Je me changeai rapidement, histoire de ne pas être refoulé à l’entrée de l’établissement. Pour elle, par contre, il n’y avait aucun risque : petites bottines New Rock, bas qui montaient jusqu’à mi-cuisses, petite jupe plissée suffisamment courte pour que le moindre coup de vent permette de voir qu’elle n’avait pas de culotte, chemisier avec suffisamment de boutons ôtés pour que le décolleté ne laisse

5

aucun doute sur l’absence de soutien-gorge, ras du cou et gants de velours qui montaient jusqu’aux coudes. Tout en noir, parfaitement assorti avec ses longs cheveux de la même couleur. Elle était parfaite !

Un peu avant d’entrer dans la boite de nuit que j’avais choisie, je lui demandais quand même confirmation :

– Tu veux vraiment le faire ?

– Absolument.

– Tu avaleras tout ?

– Oui, tout : ce n’est pas ce que font les salopes ?

– Si, et sans limite : tous ceux qui te le demanderont...

– J’avalerai tout, promis, me coupa-t-elle. Je t’ai dit qu’à partir d’aujourd’hui, je suis une salope, donc je me comporterai en salope : je sucerai et vidangerai tous ceux qui le voudront ce soir dans les toilettes de cette boite, et j’espère bien que tu ne rateras rien du spectacle, car je veux que tu sois fier de moi.

– Ok, alors allons-y, ma petite salope, et montre-moi comme tu aimes le foutre !

Je payais l’entrée, et nous entrâmes. À peine arrivés, le videur faisait déjà un sous-entendu sur le fait que Pauline, car tel est le prénom de ma femme, n’avait sûrement pas besoin de payer un vestiaire. Elle piqua un fard.

Immédiatement, elle se jeta sur la piste de danse, et commença à onduler. Pendant ce temps, je m’installais au bar, et sirotais une bière en admirant le spectacle. Elle se frottait sur tous les mecs qui passaient à proximité, et déjà certains montraient un vif intérêt pour elle. Ses fesses se collaient langoureusement aux pantalons, ses tétons, qui commençaient à pointer sous son chemisier, frôlaient les torses. Certains lui parlaient parfois à l’oreille : en général, cela la faisait rire, puis elle répondait quelque chose. À chacune de ses réponses, son interlocuteur se faisait plus pressant.

À un moment, collée à l’un de ses admirateurs qui commençait manifestement à avoir la gaule, Pauline fit un mouvement descendant en dansant : la minijupe resta accrochée à la ceinture du gars. Du coup, comme elle avait les cuisses légèrement écartées à ce moment-là, les quelques danseurs qui se trouvaient face à elle ne devaient sûrement n’avoir rien raté de sa jolie chatte à la fine toison sombre parfaitement taillée. L’avait-elle fait exprès ? Je ne sais pas, mais l’effet fut certain : plusieurs danseurs se rapprochèrent.

– Eh ben, lâcha le barman derrière moi, y a de la sacrée salope sur la piste !

– Vous parlez de la brunette ? Demandais-je innocemment.

– Ouais... je ne serais pas étonné qu’elle se face culbuter dans les chiottes avant la fin de la nuit.

– Qui sait ?

Les propos du barman me remplirent de fierté. Pauline remplissait déjà bien son rôle.

– Elle est plutôt jeune celle-là, en plus : à peine 25 ans à vue d’œil, reprit le barman

– Depuis un mois à peine.

– Quoi ?

– Je disais qu’elle a 25 ans depuis à peine un mois.

– Tu la connais ?

– Ouais.

6

– Et tu la baises ?

Le côté direct de la question me désarma quelques instants.

– Dès que j’en ai l’occasion. C’est ma femme, on s’est marié il y a trois ans.

– Veinard : elle doit être chaude, non ?

– Une vraie petite salope.

– C’est ce que je disais, ouais...

Sur la piste, elle se retourna, et colla sa main sur la bosse de celui sur lequel elle se frottait. Je ne suis pas sûr, de là où j’étais, mais il me sembla que la bosse grossit. Elle insinua alors une main dans le pantalon du type. Parfait : elle suivait le scénario point par point. Pour une première, cela partait bien : elle faisait tout ce que j’avais demandé. Le mouvement de sa main était sans ambiguïté : elle le branlait !

Un des autres danseurs, un peu plus entreprenant, passa une main entre ses jambes. Pauline écarta légèrement les cuisses en continuant sa chorégraphie serpentine. Son autre main plongea dans un autre pantalon, tandis qu’un autre gars se colla à elle dans son dos, et commença à lui caresser le ventre pour doucement remonter jusqu’à ses seins.

À partir de ce moment, cela commença à devenir confus : trop d’hommes autour d’elle pour que je continue à l’admirer à l’œuvre depuis le bar. Le groupe s’ébranla alors doucement : Pauline traînait deux de ses partenaires par la ceinture, non sans encourager les autres à suivre. En passant devant moi, ma chérie me gratifia d’un grand sourire et d’un clin d’œil complice en se passant la langue sur les lèvres. Je me hâtais de suivre le groupe qui se dirigeait vers les toilettes pour hommes.

Pauline fit mine d’inspecter la propreté des cabines avant d’en choisir une, histoire de me laisser le temps de m’installer aux premières loges pour ne rien rater du spectacle. Une fois que je fus en place, elle s’installa à genoux, lançant à la ronde :

– Alors, lequel de ces messieurs profitera de ma bouche en premier ?

L’un des hommes s’avança. Ma chérie s’attaqua à sa ceinture, et bientôt, son pantalon et son boxer furent sur ses chevilles, tandis que sa bite était déjà entre de bonnes lèvres.

Je n’y croyais pas : Pauline le faisait vraiment. Ma chérie venait d’allumer des inconnus sur une piste de danse et commençait à les sucer dans les chiottes, incroyable ! Et elle y mettait du cœur : le gars bandait déjà très fort tandis qu’elle lui tétait le gland, lui léchait la hampe, engloutissait son membre dans sa bouche.

Elle ne le quittait jamais des yeux, si ce n’est pour parfois me lancer des œillades perverses où je pouvais constater à quel point elle était excitée par le fait que je sois moi-même également excité de l’admirer en train de sucer un inconnu ; car excité, je l’étais effectivement au plus haut point : Pauline ne pouvait pas rater la bosse qui déformait mon pantalon. Jamais je n’avais du bander à ce point !

Très vite, les mains du mec se crispèrent dans les cheveux de ma femme. Il grommela plusieurs fois en se tétanisant : manifestement, il se vidait dans sa bouche. Pauline n’en perdit pas une goutte. Quand elle relâcha la bite du gars, elle le fixa de nouveau dans les yeux et avala le tout.

– J’adore les suceuses qui avalent... T’es une bonne salope, toi, lâcha-t-il.

– Merci, je suis flattée. Qui est le suivant ?

– Je vous la conseille, les mecs : sa bouche c’est du velours !

Une bite déjà bien raide se présenta devant elle et Pauline ma chérie l’enfourna sans même regarder son propriétaire, suçant encore avec vigueur et savoir-faire. Je ne pouvais détacher mon regard de ses lèvres qui allaient et venaient autour de cette deuxième bite.

7

Elle le faisait : elle suçait et avalait le foutre d’inconnus dans les chiottes d’une boite comme une vraie bonne salope ! J’étais de plus en plus fier d’elle, et de plus en plus excité. Et le plus fort, c’est qu’elle y prenait manifestement du plaisir. En effet, imperceptiblement, l’une de ses mains s’était glissée entre ses cuisses, et elle se caressait tout en suçant le membre qui lui était offert. Pauline prenait plaisir à faire la salope : ma femme chérie était enfin une vraie bonne petite salope, à 25 ans. Encore une fois, le gars dont elle s’occupait se vida les couilles dans sa bouche.

– Tiens, salope, tiens, avale mon foutre, tiens !

Elle n’en perdit encore une fois pas la moindre goutte, aspirant tout, nettoyant le gland à coups de langue consciencieux, et avala la semence de ce deuxième inconnu, cette fois-ci en me regardant. J’ai adoré ! Elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit, que déjà une troisième bite s’enfonçait dans sa bouche. Plusieurs gars autour avaient commencé à s’astiquer en admirant le spectacle. Les commentaires commençaient à se faire entendre :

– Putain, elle avale tout !

– Première fois qu’on profite d’une salope pareille ici !

– Je ne sais pas combien de bites elle a l’intention d’essorer, mais je ferai partie du lot, y a pas moyen !

– La vache, ce regard de chienne qu’elle a quand elle avale !

Plus les commentaires étaient graveleux, plus Pauline semblait apprécier, car je remarquais que sa main s’agitait avec plus d’énergie, à chaque fois, entre ses cuisses. Elle s’acharna tant et s’y bien que très vite, elle eut sa troisième dose de foutre à avaler. Elle déglutit encore une fois.

– Oh putain, j’en peux déjà plus... Ouvre ta bouche, grosse salope !

Le gars s’approcha en se branlant, bousculant celui qui s’était vidé. Ma chérie obtempéra de suite : elle tourna le visage vers le mec et ouvrit grand sa belle bouche. Juste à temps pour recevoir les giclées blanches sur sa langue généreusement offerte. Le gars eut une éjaculation abondante, et le foutre, recouvrant entièrement la langue de Pauline, commençait à se déverser dans sa bouche.

Elle resta comme ça quelques secondes, s’offrant en spectacle aux téléphones qui filmaient la scène depuis déjà un moment. Sans honte, elle s’exhibait la bouche pleine d’un foutre inconnu qu’elle allait avaler.

– C’est bien, tu peux avaler, maintenant, petite pute, lui dit alors le mec qui venait de lui remplir la bouche.

Elle avala lentement en me regardant, laissant les vidéastes amateurs ne rien manquer du spectacle.

– Reste la bouche ouverte, chiennasse ! Lança un autre type.

Un groupe de cinq mecs, manifestement potes, tous la bite à l’air, s’approcha. Pauline les regardait en ouvrant grand sa bouche. Ils se branlaient autour d’elle.

– Tu vas prendre notre foutre à tous les cinq dans la bouche, sans avaler : tu attendras qu’on te le dise pour le faire, ok ?

– D’accord, remplissez ma bouche de salope !

Un à un, les cinq potes se vidèrent sur sa langue. Pauline laissait ensuite tout couler dans sa bouche. Elle avait un peu de mal à respirer vers la fin avec la bouche ouverte et pleine du foutre de plusieurs mecs, mais elle garda la pose, bien cambrée, bien offerte, toujours en train de se tripoter le minou de la main gauche. Certains des gars avaient déboutonné son chemisier, et lui tripotaient les seins sans vergogne.

8

Pour ma part, j’avais également sorti mon téléphone et filmais les cinq éjaculations qui se déversaient à tour de rôle dans la bouche offerte de ma salope. Jamais je n’avais trouvé Pauline aussi jolie, aussi bandante ainsi offerte au foutre de nombreux inconnus. Elle était merveilleuse.

– Bien, lâcha un des 5 types, regarde-moi maintenant, chienne !

Elle s’exécuta.

– C’est bon, putain, tu peux tout avaler maintenant !

D’un seul trait, Pauline avala les cinq doses généreuses de foutre qui lui emplissaient la bouche. Puis ses épaules s’affaissèrent, elle baissa la tête, elle fut comme prise de spasme : allait-elle vomir ? S’en était trop pour elle ? Non. Ses gémissements et ses contractions apportèrent une réponse plus intéressante : elle jouissait. Se tripoter la chatte, se faire tripoter les seins, tout en avalant le foutre d’inconnus qui la traitaient de salope, de chienne ou de pute la faisait jouir ! Et pas qu’un peu, car il s’agissait manifestement d’un sacré orgasme !

Pauline était encore un peu pantelante de son plaisir quand un gros type qui avait l’âge d’être son père l’attrapa par les cheveux, lui colla d’autorité sa bite entre les lèvres, et commença à lui baiser la bouche à grands coups de reins. Ma chérie se laissa faire.

– Regarde-moi, sac à foutre !

Elle ouvrit les yeux, et fixa le regard de celui qui tringlait sa bouche sans ménagement.

– Elle est bonne ta bouche, putain !

Un filet de bave coulait au coin des lèvres de ma chérie. Ses joues se distordaient à chaque fois que le gros type lui enfonçait sa queue profondément dans la bouche. Mais elle encaissait, elle se laissait faire docilement, le regard rivé sur les yeux du salop qui lui défonçait la mâchoire. Comme les autres, il finit par décharger.

– Tiens, prends, bouffe mon foutre comme un bon vide-couilles !

Pauline semblait presque étouffer, mais encore une fois, elle avala tout, avec application : pas une seule goutte de sperme n’avait été jusque-là perdue. Tout était dans son estomac. Encore une fois, le gars qui l’avait gratifiée de sa semence la filmait à l’œuvre.

– Regarde-moi, maintenant !

Elle s’exécuta.

– Ça t’a plu ?

– Oui.

L’affluence dans les chiottes se fit de plus en plus importante : manifestement, certains de ceux qui avaient eu le plaisir de donner à boire à ma femme devaient passer le mot à leurs potes qu’il y avait moyen de se vider les couilles gratuitement dans la bouche d’une avaleuse de foutre, pleine de bonne volonté dans les chiottes pour mecs. Du coup, les volontaires intéressés s’empressaient de venir. Je crois même que pendant la soirée, j’ai pu repérer quelques types qui sont revenus se soulager dans la bouche de ma petite salope plusieurs fois !

Pour ma part, je ne ratais rien du spectacle que Pauline m’offrait. Je ne ratais rien des regards qu’elle me lançait régulièrement, cherchant manifestement mon approbation. Les grands sourires que je lui renvoyais, la bosse énorme dans mon pantalon et la fierté qui devait se lire dans mon regard illuminait son visage à chaque fois qu’elle venait d’avaler une éjaculation, et elle repartait de plus belle, faisant dégorger dans sa bouche une bite de plus.

Les éjaculations s’enchaînèrent ainsi jusqu’à 4 heures du matin. Tantôt Pauline prenait tout dans la bouche, les lèvres rivées au membre qui se vidait, tantôt elle s’offrait tête en arrière, bouche grande ouverte, langue avidement tendue pour recevoir les giclées de foutre. Elle avalait directement, ou

9

alors laissait parfois les téléphones immortaliser sa bouche ouverte, pleine de sperme avant d’avaler en fixant un objectif ou un autre. Un moment, elle accepta même de recevoir dix éjaculations dans la bouche avant de déglutir. Il y a avait tellement de sperme que ça débordait presque de sa bouche. Elle était parfaite, sexy, bandante.

Elle jouit plusieurs fois pendant la soirée en se tripotant. Quand elle n’en put plus d’être à genoux, Pauline s’assit sur la cuvette, cuisses bien écartées, offrant le spectacle de sa chatte trempée à ses usagers.

Au petit matin, c’est le videur qui vint mettre fin à sa prestation pour annoncer la fermeture de l’établissement. Il vira tout le monde sans ménagement.

– Avant de partir, ça ne vous dit pas de profiter aussi de ma femme ? Lui demandais-je.

Il la regarda : torse nue, les seins en avant, les tétons dressés, les cuisses béantes, la chatte trempée, la bouche entrouverte, et un regard de salope à damner un curé !

– Je ne dis pas non, qu’est-ce que tu en dis la salope ?

– Viens me faire boire ta liqueur, je suis là pour ça !

Ce fut la dernière queue qu’elle épongea dans les chiottes.

Pauline se rhabilla, et nous sortîmes. Nous retournâmes à la voiture sans un mot. C’est une fois en route qu’elle me demandait :

– Alors, j’ai été une bonne salope ?

– Parfaite mon amour, tu as été parfaite ! Au-delà de mes espérances !

– Ça t’a plu alors ?

– Tu as remarqué comme je bandais ?

– Oui, et ça m’a terriblement excitée de voir que tu adorais que je sois une telle chienne. Je peux voir les vidéos ?

– Tiens ! Je lui donnais mon téléphone, j’ai saturé la mémoire tellement je voulais garder des traces de ta performance !

Elle zappa d’une vidéo à l’autre, se contemplant en train d’avaler, et d’avaler encore du foutre d’inconnu.

– Tu es un pervers, tu as vraiment filmé les moments les plus vicieux !

– Que veux-tu, tu es tellement belle quand tu as la bouche pleine de foutre, tellement belle quand tu suces... tellement bandante quand tu avales tout ça !

– Tu filmes aussi beaucoup quand je me fais insulter ?

– Ce ne sont pas des insultes : tu t’es comportée en salope, alors c’est ainsi que tu t’es fait appeler. Mais j’avoue que ça m’excitait beaucoup de les entendre de traiter comme ça. Tu avais l’air d’aimer, non ?

– Je ne sais pas... Je dois admettre que sac à foutre et vide-couilles me dérangeaient un peu.

– C’est pourtant ce que tu as été ce soir, non ?

– Oui, je sais... c’est bien pour ça que cela m’a aussi beaucoup excitée !

– Vu le nombre de fois où tu as joui, je suppose que ça t’a plu à toi aussi, cette petite séance ?

– Énormément ! J’ai pris un pied d’enfer !

10

– C’est bien... tu n’as pas fait la salope alors, tu l’as été.

– Oui, et j’en suis assez fière.

– Tu peux l’être. Je le suis aussi ! 79 bites d’épongées pour une première, bravo !

– Comment ça ?

– Je les ais toutes comptées ! Ce soir, tu as avalé 79 éjaculations, venant de plus de 60 mecs différents ! Plus de 60 inconnus t’ont fait avaler leur foutre... parfois plusieurs fois, et tu as tout avalé consciencieusement, tu as pris du plaisir à le faire : tu peux être fière de toi, en effet !

– Quelle salope je fais ! Je suis contente que tu m’ais raconté ton fantasme, tiens. Mais il manque quelque chose.

– Quoi ?

– Toi : je ne t’ai pas encore vidé les couilles... et avec toi, ça ferait 80, alors si tu veux bien te garer...

Je manquai d’avoir un accident tellement je me garai brusquement sur le bas-côté de la route. Pauline se jeta sur mon pantalon. Je bandais encore, vu notre conversion. Elle me suça voracement. J’allumais le plafonnier :

– Regarde-moi.

Elle leva les yeux vers moi.

– Tu as une bonne bouche de salope, tu sais ?

Elle acquiesça.

– Tu es une bonne petite putain, maintenant, hein ?

Elle acquiesça encore une fois. Elle s’interrompit juste le temps de me dire :

– Et je serais toujours partante pour te servir de vide-couilles, parce que je suis heureuse d’être un bon sac à foutre à ton service. J’ai hâte de me faire défoncer la chatte et le cul par plein de bites maintenant.

Je vis dans ses yeux qu’elle pensait chaque mot qu’elle venait de prononcer. Je luis agrippais la tête, replongeai ma bite entre ses lèvres, et dans un spasme de plaisir, je me vidais dans sa bouche, une quantité de sperme bien supérieure à ce dont je l’avais jamais gratifiée. Elle avala lentement, avec un plaisir manifeste :

– 80. Je suis définitivement la reine des salopes, et toi, le roi des cocus !

*****