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JeunePubliC
le guide desspectacles
SaiSon 2016-2017SpectacleS jeune public
ÉcoleS maternelleS et ÉlÉmentaireS
p. 5 - leS petitS painS // Cie Rouges les Anges
p. 7 - manger // Cie Zygomatic
p. 9 - rock leS mômeS // Captain Parade
p. 11 - Xihiko // Compagnie EliralE
p. 13 - l’ombre de tom // Le bel après-minuit
p. 15 - l’ôtre belle // In Extenso93
p. 17 - louiS XiV et SeS artS // Cie Beaux-Champs
p. 19 - Éo // CréatureS Compagnie
p. 20 - minute papillon // Cie Paul les Oiseaux
CONTACTS
mÉdiatrice jeune public : Magali [email protected] - 05 53 53 18 71
Esplanade Robert Badinter 24000 Périgueux www.odySSee-perigueuX.fr
L’ARRIVÉE AU THÉÂTREÀ votre arrivée dans les différents lieux, les membres de l’équipe d’accueil sont là pour vous aider et s’assurer de votre satisfaction. N’hésitez pas à leur poser des questions et à laisser le personnel d’accueil vous guider. Asseyez-vous parmi votre groupe pour être à même d’intervenir discrètement auprès de vos élèves pendant la représentation. Nous souhaitons que vous puissiez vous aussi profiter de la représentation et apprécier le spectacle. Si les enfants sentent que le spectacle vous intéresse, cela les motivera à rester attentifs.
L’ÉCOUTECertains spectacles demandent une écoute très attentive et d’autres sont un tourbillon d’aventures. Il est tout à fait normal que les spectateurs réagissent à la représentation : rire, sursaut, inconfort, peur, etc. Il est également possible qu’ils soient transportés par l’histoire et aient envie d’intervenir, de parler aux artistes. Voilà où cela devient délicat. Dans certains cas, par exemple les spectacles de clown ou de commedia dell’arte où le public joue un rôle important, la règle change un peu. Si le comédien a ouvert la porte au public, c’est qu’il attend sa réaction ; vous pouvez lui faire confiance. Par contre, si c’est le spectateur qui veut forcer l’ouverture, à vous d’intervenir !
BOIRE ET MANGERExpliquez aux enfants pourquoi il ne faut pas manger et boire dans une salle de spectacle. On pense à tort que c’est une évidence. Le cinéma nous donne d’autres repères que les enfants connaissent bien. Demandez-leur pourquoi c’est interdit au théâtre par exemple ? Vous pouvez abordez la question de la propreté, de la distraction possible pour les autres spectateurs.
LES PHOTOSVos élèves savent-ils pourquoi il est interdit de prendre des photos pendant une représentation ? Le spectacle est une forme d’art ; on ne peut pas en rapporter de petits bouts chez soi sans demander la permission. De plus, les flashs des appareils photo peuvent gâcher certains effets d’éclairage et déconcentrer les artistes. Les photos prises par les spectateurs peuvent révéler des parties du spectacle dont les créateurs veulent garder la surprise pour les prochains spectateurs. Il convient mieux d’utiliser les photos que la compagnie a prises et sélectionnées (brochures, sites internet des compagnies).
le jour du Spectacle :
En tant qu’enseignants, vous jouez un rôle important lorsque vous emmenez des groupes d’enfants dans un lieu de spectacle. Pour répondre aux nombreux souhaits des enseignants de préparer leurs élèves à cette toute nouvelle expérience, et d’imaginer des activités autour de la sortie au théâtre par exemple, nous vous donnons ici quelques suggestions. L’adulte qui va au spectacle avec ses élèves fait plus que les encadrer. Cette sortie s’inscrit dans le processus d’apprentissage des jeunes, et l’enseignant a le pouvoir de lui donner un sens, en créant des liens avec le spectacle et d’autres projets, ou simplement en encourageant les réflexions des élèves et l’expression de leurs opinions. Pour autant, il semble avant tout nécessaire que les enjeux de la préparation veillent à : - préserver le moment de fête que représente la sortie au spectacle ; - rendre un enfant curieux en attente d’une belle aventure ; - faciliter la concentration.
1 PRÉPARER SA VENUE AVEC UNE CLASSE
RASSURERPour les tout-petits dont c’est la première expérience, on peut leur parler de ce qui va se passer, c’est-à-dire de la salle, du noir, des éclairages, de l’écoute… dans le but premier de les rassurer !
ANNONCERNe pas hésiter à annoncer la sortie au spectacle : « Nous allons au théâtre, au concert…». Demander par exemple aux enfants de raconter leur premier souvenir de spectacle…
Sur le teXte ou la muSiQueIl n’est pas forcément souhaitable de lire aux élèves ou de leur faire écouter l’ensemble du spectacle qu’ils vont aller voir. Vous pouvez par contre éveiller leur intérêt par un ou deux extraits choisis. Quelques éléments pour éveiller la curiosité… Proposer une lecture orale et collective du programme qui vous a été distribué. Apprendre aux élèves à décrypter l’information. « L’enveloppe-surprise », que l’enseignant peut préparer à partir des éléments proposés dans le dossier artistique, permettra à l’enfant d’inventer des petites histoires…
Pour chaque spectacle, un dossier pédagogique est mis à votre disposition en téléchargement sur notre site : http://www.odyssee-perigueux.fr/
aVant le Spectacle :
ANECdOTE : LES SUPERSTITIONS AU THÉÂTRE
BONNE CHANCECela porte malheur de souhaiter bonne chance à un acteur ou un membre de la production. Au lieu de cela, pour éviter le désastre, l’expression la plus utilisée est simplement « merde » ! Cette expression daterait de l’époque où les spectateurs se faisaient déposer en calèche devant l’entrée, halte au cours de laquelle les chevaux ne manquaient pas de garnir de leur crottin le parvis du théâtre. Cette « garniture » étant directement proportionnelle au nombre de spectateurs, c’était faire preuve de bienveillance que souhaiter « beaucoup de merdes » aux artistes.
CORdEComme en marine, chaque lien a un nom propre (drisse, fil, chanvre...) mais le mot corde est totalement proscrit (remplacé par guide). Selon les lieux et les époques, le mot est considéré comme « fatal », portant la mort. La seule corde présente dans un théâtre s’appelle la corde à piano. Nullement musicale, elle est faite d’acier de forte résistance pour servir de guide à un rideau.
COULEURLa couleur verte est aussi considérée comme maléfique, dans le monde du spectacle (exception faite des clowns). Il existe plusieurs raisons à cette croyance :
- cette superstition pourrait avoir pour origine les dispositifs d’éclairage de scène du XIXe siècle, qui ne mettaient pas en valeur les tons verts ;- on dit aussi que des comédiens ayant porté à même la peau un costume de couleur verte auraient trouvé la mort, ce qui peut s’expliquer par les effets nocifs de l’oxyde de cuivre utilisé pour l’élaboration de la teinture verte au début du siècle ;- on dit enfin que Molière serait mort dans un costume vert...
Si la couleur verte est réputée maléfique en France, c’est le violet en Italie, le vert et le bleu au Royaume-Uni, et le jaune en Espagne.
SIFFLETNe jamais siffler sur scène ou en coulisses. On prétend que cela attire les sifflets du public. En fait, cette superstition vient de ce que les régisseurs utilisaient autrefois des sifflements codés pour communiquer entre eux les changements de décors. Un acteur sifflant pouvait alors semer la confusion dans le bon déroulement technique du spectacle.
le retour à l’École :
LE CARNET dE BORd dE LA CLASSENous vous invitons à proposer aux enfants d’écrire un carnet de bord personnel ou collectif. Cet outil est un lieu de mémoire et, s’il est partagé, un espace d’échanges. La tenue du carnet de bord permettra à l’enfant (et pourquoi pas à l’adulte) de noter ses impressions. À tout moment, il pourra écrire quelque chose en rapport avec les spectacles qu’il aura vus au cours de la saison.Le carnet de bord peut être un objet visuel, sonore, grand, petit, fabriqué, acheté, réalisé… selon l’imaginaire de chacun.
ÉCRIRE À CHAUd SES PREMIÈRES IMPRESSIONSÀ la sortie du spectacle ou en classe. Juste un autre mot que « c’est bien, c’est nul, c’est beau, j’ai pas aimé... ».
FOIRE AUX QUESTIONSChaque élève écrit une question sur un papier et le dépose dans un pot, une boîte. Le pot passe ensuite d’élève en élève. L’élève qui a le pot prend une question, fixe du regard un élève de la classe pour lui adresser la question ou lance la question à haute voix à l’ensemble de la classe.
NOUVELLE AFFICHEPar groupe, à l’aide de dessins, collages…, réaliser une nouvelle affiche et venir la présenter devant la classe pour justifier ses choix.
ANNONCE RAdIODiscussion collective sur les points forts et les points faibles du spectacle vu. Préparation par groupes d’une annonce radio qui fasse la promo du spectacle ou l’intervention énervée d’un critique mécontent.
LES CINQ SENSAutour d’un visage dessiné distribué aux élèves, à l’endroit de la bouche, des yeux, du nez, de la peau, des oreilles, remplir des bulles où chaque « organe » dit ce qu’il a ressenti pendant le spectacle.
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Créée à Toulouse en 1994, la compagnie Rouges les Anges propose un travail de recherche et d’expérimentation plus particulièrement en direction du jeune public. En faisant cohabiter différentes disciplines artistiques, telles que le théâtre, la marionnette, les chansons, le théâtre d’ombres et la projection d’images, elle a su créer son propre langage.
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Imaginé, construit et interprété par : Jano BoninSous le regard de : Laurence BeletAvec les voix de : C. Pique, S. Guyot-Tabet et D. Lagrâce, Esther, Romane, Eulalie et Martin
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MARIONNETTES
THÉÂTRE VISUEL
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mardi 15, jeudi 17 et Vendredi 18 noVembre 2016 : 9 h / 10 h 30 / 14 h 30 mercredi 16 noVembre 2016 : 10 h
SÉanceS tout public : mercredi 16 noVembre 2016 : 15 h et 17 h 30
Le boulanger vend du pain et des brioches, mais il n’oublie jamais de raconter l’histoire qui va avec.Quand il n’est pas en train de pétrir sa pâte ou de sortir ses croissants du four, le boulanger lit tant et tant de livres, qu’il connaît des tas d’histoires par cœur. C’est aussi pour ça qu’on vient chercher le pain chez lui. Toutes ses histoires parlent un peu de la même chose : comment faire pour vivre ensemble quand nous sommes tous si différents ?
Le spectacle se situe au beau milieu d’un étalage de boulangerie, qui devient théâtre de marionnettes. Elles naissent sous les yeux du public, en un tour de main. Il suffit d’observer de près pour y trouver de quoi fabriquer mille et un personnages, de toutes sortes, formes, tailles et volumes : ours, mulots ou tigre du Bengale. On ne joue pas avec la nourriture… mais presque. Au fil des histoires, les marionnettes sont manipulées à vue, des personnages s’animent sur bande-son ou en ombres chinoises.
La boulangerie, brassant toutes générations et cultures, est l’endroit idéal pour parler des différences : notre taille, notre corpulence, notre couleur ou nos origines. Mais il y un petit endroit, qui ne se voit pas toujours au premier coup d’œil, où se cachent une multitude d’autres différences : notre caractère, notre tempérament, notre façon de voir et d’imaginer les choses.
Avec son monde de marionnettes, l’artiste fait découvrir aux enfants que non seulement la différence n’est pas toujours là où on l’imagine, mais qu’elle est source d’enrichissements, de partage, pour ne pas dire de joie de vivre !
www.rougeslesanges.com
À savoir : Spectacle proposé dans le cadre du Salon International du Livre Gourmand.
Durée : 40 minLieu : Le Palace
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Zygomatic ? Parce que le rire du ventre muscle le cerveau. En quinze ans et déjà plus de 1000 représentations en France et à l’étranger, la Cie Zygomatic explore le territoire humain au fil des créations avec l’humour en éclaireur, pour mieux questionner nos certitudes ou notre indifférence. Et dénoncer les absurdités du monde. « Nous privilégions le passage du rire aux frissons, du divertissement à la prise de position, du théâtre à la réalité ». En abordant les sujets urgents de notre société, ce théâtre de résistance par le rire se révèle incisif. Ses créations sont souvent issues d’un travail d’écriture et de recherche entre humour et poésie, burlesque et tragédie, pour un théâtre résolument vivant, caisse de résonnance de nos sociétés.
cie Zygomatic
Écriture et mise en scène : Ludovic PitorinComédiens-chanteurs : Delphine Lafon, Benjamin Scampini, Xavier Pierre, Ludovic PitorinCréation musicale : Benjamin Scampini
Décors et Accessoires : Xavier PierreCostumes : Delphine LafonProduction : Cie Zygomatic
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THÉÂTRE
TRAGI-BURLESQUE
P S CE2 CM1 CM2
mangercie Zygomatic - ludoVic pitorin (79)
jeudi 24 et Vendredi 25 noVembre 2016 : 14 h 30 SÉanceS tout public : Vendredi 25 et Samedi 26 noVembre 2016 : 20 h 30
Quatre comédiens-chanteurs ont choisi l’arme de l’humour, pour nous plonger dans l’histoire de l’homme et de son alimentation. Ce réquisitoire burlesque nous questionne sur l’industrie agrochimique, l’agriculture productiviste, la société de consommation et la malbouffe. La P.A.C, les O.G.M, l’élevage hors-sol et la maltraitance animale, le réchauffement climatique et la question de l’eau : voici le menu de ce spectacle qui parvient à nous faire rire de tant d’insultes faites à notre planète et à nous-mêmes. Au bout de l’absurdité du système, on trouve bien sûr des solutions de bon sens comme revenir à un approvisionnement de proximité et de saison, préserver sa santé et celle de la terre… notre seul port d’attache ! Revenir au local pour respecter le monde, tout le contraire de la mondialisation.
Ce parcours fantaisiste sur l’histoire nourricière de l’humanité, fable sur la société de consommation, nourrit la réflexion sur l’engagement envers notre environnement. Le mime, le chant, le théâtre et la danse s’unissent pour dénoncer la malbouffe, qui nous menace à travers des scènes de la vie quotidienne. Dans un décor de série télévisée, accessoires clinquants et costumes bigarrés attirent le regard pour nous ouvrir les yeux sur tant de mauvais goûts à notre table.
Ce que le spectateur voit est drôle, ce qu’il entend est vrai. Manger est un terreau idéalement fertile pour la pensée. Le théâtre devient outil de sensibilisation et d’interpellation du public, pour éveiller et élever les consciences. Et cultiver l’espoir. Si ce spectacle était assez fertile pour faire pousser un jardin de bonnes idées ?
http://compagniezygomatic.com
À savoir : Spectacle proposé dans le cadre du Salon International du Livre Gourmand, en partenariat avec une AMAP locale (Associations pour le maintien d’une agriculture paysanne)
Durée : 1 h 10Lieu : Le Palace
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CP CE1M S G S CM1 CM2
Au-delà de leur métier, tous les musiciens sont en contact avec le jeune public. Laurent Paradot intervient dans le cadre d’ateliers d’écriture et de compositions musicales, Matthieu Guerineau est musicien conseil en milieu scolaire et animateur d’Air Guitar, Julien Birot a une longue expérience de professeur de guitare et d’intervenant musicien.
Au fil de leurs rencontres, ils se sont aperçus que les enfants aimaient davantage que les adultes les bruits stridents, les guitares électriques et saturées, les voix de cartoon, les clowneries et les choses qui font peur… Et c’est parfait pour ce trio car c’est aussi ce qu’ils aiment dans la musique !
Le spectacle de Captain Parade est né de l’envie de transmettre leur passion du Rock, musique simple et efficace, faite pour se libérer aussi bien physiquement que moralement.Ainsi, avec le concert Rock les mômes, les 3 artistes ont trouvé l’opportunité de se mettre en scène, faire rire et émouvoir le public. Plutôt que de reprendre des standards du Rock, nous avons souhaité créer des « pop songs » originales, adaptées aux jeunes oreilles, avec des paroles simples et rigolotes toujours à double lecture, qui parlent aux enfants de 5 à 115 ans.
le groupe captain parade
Création : Laurent Paradot (Auteur/ compositeur - Basse/ Chant),Julien Birot (Guitare / Chœurs), Matthieu Guerineau (Batterie / Chœurs)Création technique son : Lorenzo VischettiProduction, diffusion, régie : Séverine ChahuauProduction : Expressions culturelles / Angoulême
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P S M S G S CE2 CM1 CM2CE1CP
rock leS mômeScaptain parade (16)
jeudi 15 et Vendredi 16 dÉcembre 2016 : 10 h /14 h
Ce spectacle adapté aux petites oreilles, est un véritable abécédaire pour les rockeurs en herbe. Armé de sa basse et de sa voix éraillée, Captain’ Parade n’a qu’une obsession : jouer avec ses potes, Juliàn à la guitare et Mamat à la batterie. Une seule devise, la Rock’ N’ Roll attitude ! Il n’a qu’un but, partager sa passion avec les gamins et leur transmettre les secrets du parfait petit rockeur. Tout y passe : solos infernaux, refrains chantés à tue-tête, chorégraphies cosmiques, rythmiques groovy qui font bouger les guiboles, comptines boostées en décibels, sans oublier les ritournelles en anglais parce que : « Oui, c’est ça, la langue du Rock ».
Les chansons abordent avec humour les rendez-vous de la vie comme Rouge comme une tomate, quand on est un peu énervé, mais aussi quand on est timide… Le bavardage du gamin qui a sans cesse quelque chose à dire avec blabla, l’utilisation du mot le plus long de la langue française « anticonstitutionnellement » avec un clin d’œil malicieux au groupe Trust. Les musiciens font aussi les jolis cœurs avec I love you…
Mais un rockeur, c’est aussi quelqu’un d’ouvert, qui s’enrichit d’univers musicaux différents comme le hip-hop, le jazz, la biguine. Rock les mômes est un concert pédagogico-énergique !
www.captainparade.com
À savoir : Ce spectacle est offert aux écoles par la Ville de Périgueux, à l’occasion de Noël.
Durée : 50 minLieu : Le Théâtre
9 CONCERT
ROCk
Née de la volonté de Pantxika Telleria, chorégraphe native de Saint-Jean-de-Luz, la Compagnie EliralE voit le jour en mars 2001. À l’invitation de l’École du Ballet National de Marseille-Pietragalla, elle signe Esquisse pour une vie, pièce chorégraphique pour 15 danseurs, créée en mai 2002 à l’Opéra de Marseille. Suivent notamment Andante, Eden et Exquise Exubérance, présentés avec succès à Saint-Jean-de-Luz, puis en 2003, les pièces Hiruki et Lauki créées au festival Le Temps d’Aimer de Biarritz. Tout en dirigeant la compagnie, elle assure les activités de sensibilisation en direction des enfants, des collégiens et des lycéens ou des danseurs du monde de la danse traditionnelle basque.
pantXika telleria, chorÉgraphe
Interprètes : Arantxa Lannes, Jose Cazaubon, Oihan Indart, Arkaitz Miner, Jokin IrungarayChorégraphie : Pantxika TelleriaAssistants chorégraphiques : Célia Thomas et Johañe EtchebestConseiller danse traditionnelle : Lionel DubertrandAccompagnement en technique Feldenkraïs TM : Laura Beurdeley
Création musicale : Arkaitz MinerCréation Lumières : Javi UllaRégisseur son : Patrick FisherScénographie, accessoires et costumes : Maialen MaritxalarConstruction décors : Carlos P. DonadoAccessoires : Annie OnchaloProduction : Marion Morin
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MUSIQUE
Xihikocompagne elirale (64)
mercredi 18 janVier 2017 : 10 h jeudi 19 janVier 2017 : 10 h /14 h 30
SÉance tout public : mercredi 18 janVier 2017 : 15 hconfÉrence danSÉe : lundi 16 janVier 2017 : 18 h 30
crÉation 2016
La magie légendaire du Pays Basque inspire une chorégraphie qui puise dans la tradition des Sauts, pour la moderniser.Une jeune jument se promène sur le mont Xihiko, peuplé de présences étranges. Seront-elles malfaisantes, bienveillantes ? Révèleront-elles à l’animal le secret du mont Xihiko, auquel seuls les jeunes garçons peuvent être initiés ? La chorégraphie décline le thème de la marche, des Sauts basques, surligné par un superbe jeu d’ombres. Deux musiciens accompagnent tout au long de la pièce les trois danseurs, dans une écriture chorégraphique tout en subtilité et émotion.
Xihiko mendia ou le mont Chico, est un sommet né dans l’imaginaire collectif des danseurs pyrénéens. Il est le mot dérivé de Mutxiko, le jeune homme non marié, en langue basque. D’autres diront qu’il est le dérivé du mot Musika ou musique... Bref, c’est un Saut bien connu puisqu’encore dansé au Pays Basque, mais aussi dans les villages de la chaîne de montagnes des Pyrénées, sous le nom de Mutxikoak en langue basque ou Mochico en langue occitane.
Ce spectacle entre dans le cadre d’un chantier de recherche de la compagnie EliralE, autour du thème des Sauts, partagé avec la compagnie LagunArte. Les Sauts, genre de danse issu du fond européen des Branles du XIVe siècle, ont traversé les siècles pour arriver jusqu’à nous. Xihiko a redynamisé ce système par son écriture chorégraphique et musicale, avec les musiciens Arkaitz Miner et Jokin Irungaray.
www.elirale.orgÀ savoir : Ateliers sur le temps scolaire possibles les lundi 16 et mardi 17 janvier 2017. Infos, tarifs et inscription : [email protected]
Durée : 45 minLieu : Le Palace
11
La compagnie Le bel après-minuit, créée par Bénédicte Guichardon, explore avec curiosité les territoires de l’enfance. Elle défend un théâtre de proximité, destiné à un public familial. Un théâtre qui cherche à faire sens auprès des plus jeunes, tout en faisant écho aux souvenirs et à la sensibilité des adultes.
le bel aprèS-minuit
D’après l’album original : Tom et son Ombre de Zoé GaleronAdaptation et mise en scène : Bénédicte GuichardonInterprétation et manipulation : Daniel Collados et Alexandre Ethève Scénographie : Céline PerrigonVidéo : Mathias Delfau
Illustrations : Claire CantaisCréation sonore : Gaspard GuilbertCréation lumière : Vyara StefanovaCréation costume : Louise CariouProduction : Compagnie Le bel après-minuitCoproductions : Théâtre André Malraux - Chevilly-Larue, Théâtre de la Grange Dimière - FresnesAdministration - Production : Valentine Gérinière
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CP CE1P S M S G S CE2 CM1 CM2
THÉÂTRE d’OMBRE
VIdÉO ET OBjETS
l’ombre de tomle bel aprèS-minuit (94)
mercredi 25 janVier 2017 : 10 hjeudi 26 et Vendredi 27 janVier 2017 : 9 h / 10 h 30 / 14 h 30
SÉanceS tout public : mercredi 25 janVier 2017 : 14 h 30 / 17 h
Avoir peur de son ombre ? Si elle se révèle parfois inquiétante, elle peut aussi être protectrice et bienfaisante. Tom est effrayé par son ombre, qui le suit à chaque pas. Un soir, en rentrant seul de l’école, il se met à courir vite et abandonne sur le trottoir son ombre si pressante. Celle-ci réalise que le petit garçon l’a laissée sur le bord de la route. Désespérée, elle décide de partir en voyage, vers quelqu’un qui n’aurait pas d’ombre. Les années passent, Tom est devenu un vieil homme, sa vie tout seul n’a pas été facile. L’ombre de Tom aussi a vieilli. Elle reprend la route pour le retrouver. Quand Tom et son double sont enfin réunis, des années plus tard, ils ont vieilli l’un et l’autre. D’effrayante, l’ombre se fait rassurante, symbole de sagesse, et devient son guide. Tom a compris qu’il fallait accepter cette part sombre pour pouvoir vivre pleinement sa vie.
Ce conte initiatique s’ouvre sur une dimension fantastique inattendue, l’ombre abandonnée par Tom va s’humaniser. Elle se révèle audacieuse, libre, créative. Elle voyage, fait des rencontres, se marie. En fuyant son ombre, Tom pense échapper à cette peur, mais il perd une part essentielle de sa vie.
Bénédicte Guichardon prend le contre-pied de l’ombre pour en montrer la richesse. L’idée étant de s’adresser aux plus petits, en continuant à explorer leurs inquiétudes.
Après de longues recherches, elle a découvert Tom et son ombre (Ed. Gallimard Jeunesse) de Zoé Galeron. Librement inspiré de cet album, ce conte poétique raconte l’histoire du temps qui passe et de l’amitié éternelle.
www.lebelapresminuit.com
Durée : 35 minLieu : Le Palace
13
crÉation 2016
Catherine Dubois codirige avec François Pilon la Cie In Extenso 93. Elle écrit et met en scène les créations de la compagnie, dont le solo clownesque de Vulcano. Elle est aussi metteur en scène associée de projets extérieurs jeune public. Elle a été élève puis actrice, pendant douze ans, du Théâtre du Mouvement dirigé par Claire Heggen et Yves Marc (compagnie habituée du festival Mimos et programmée cette saison avec Alba).
François Pilon, élève de Jacques Lecoq, a créé en 2001 le personnage de Vulcano, qui a depuis, traversé de nombreuses aventures.
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Écriture, mise en scène et interprétation : François Pilon et Catherine DuboisAuteure associée : Jalie BarcilonCostumes : Olga PappMusique : Francine FerrerScénographie : Baptiste Etard
Lumières : Philippe DeutschRegard extérieur : Harry Holtzman (clown) et Thomas Chopin (mouvement)Chargées de production / diffusion : Nadine Descousis et Claire PradaliéProduction : Compagnie In Extenso 93
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CLOwN
THÉÂTRE
GESTUEL
l’ôtre belle in eXtenSo 93 (93)
jeudi 16 fÉVrier 2017 : 10 h / 14 h
Quand le clown Vulcano revisite La Belle au bois dormant, une histoire de princesse…Un sommeil très profond, un baiser, le réveil, un prince et une princesse… Ce pourrait être l’histoire de La Belle au bois dormant, mais c’est celle du clown Vulcano, qui nous raconte sa Belle à lui. Il la découvre, persuadé que la force de sa propre imagination a fait apparaître une princesse de chair.
Belle a le réveil difficile, insatisfait et exigeant. La voilà bien décidée à écrire sa vie et à savourer sa nouvelle liberté. Elle n’a aucune envie de s’encombrer d’un prince. Vulcano va s’accrocher…
Le conte de Perrault, intemporel et universel, ouvre ici la voie à une interprétation tout autre, inspirant aux interprètes du spectacle une variation gestuelle et clownesque. Ils racontent comment deux êtres vont grandir au contact l’un de l’autre, comment ils trouvent une entente, croisent leurs mondes et leurs désirs, entre fiction et réalité.
Vulcano parle et joue à l’écrivain. Belle s’exprime mieux par le mouvement, alors sa pensée intervient en voix off. Elle s’empare du cahier qui devient l’endroit commun où leurs mots se répondent, où chacun dévoile sa version. Un simple lit sert de support à leurs exploits, lieu géographique mouvant et territoire de l’intime.
Le « prince » Vulcano n’a de charmant que le nom, il oscille entre fiction et réalité, à la fois clown, auteur, prince, ogre... L’Ôtre Belle prend le prince comme il est, avec ses travers et son éternel amour du jeu.
À savoir : Ateliers sur le temps scolaire possibles le vendredi 17 février 2017. Infos tarifs et inscription : [email protected]
Durée : 45 minLieu : Le Palace
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crÉation 2016
Diplômé du Conservatoire National Supérieur de Paris en danse contemporaine en 2002, Bruno Benne est danseur et pédagogue pour Béatrice Massin et Marie-Geneviève Massé depuis 2004. Il a participé à de nombreuses productions lyriques en tant que danseur dont notamment Atys, chorégraphies de Francine Lancelot, Les Ballets de Rameau, chorégraphies de Françoise Denieau et s’est produit avec de nombreux ensembles baroques : Les Arts Florissants, Les Talents Lyriques, Le Concert Spirituel, Les Folies Françoises, Le Concert Étranger… En 2012, il assiste et collabore avec Lucinda Childs pour les chorégraphies du spectacle lyrique Alessandro.
bruno benne, interprète et chorÉgraphe
La compagnie Beaux-Champs création baroque est créée en 2013 par Bruno Benne pour l’élaboration d’un projet chorégraphique et musical, questionnant l’héritage baroque et son interprétation contemporaine. En résidence de recherches et de création au CND Pantin depuis 2013, la compagnie regroupe des artistes et collaborateurs spécialisés en danse et musique baroque, soucieux d’inscrire ce patrimoine dans une actualité résolument moderne.
cie beauX-champS, crÉation baroQue
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MUSIQUE
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mardi 14 marS 2017 : 10 h / 14 h 30
Ballet de cour d’aujourd’hui… Un violoniste, un violiste et deux danseurs révèlent toute la magie de l’univers baroque à travers ce mini-ballet de cour inédit et moderne, jouant de l’anachronisme pour un surprenant divertissement. On sait l’amour sincère que Louis XIV portait aux arts, qu’il pratiquait assidûment, et le rôle qu’il leur donna jusque dans les plus hautes sphères du royaume. Nos quatre jeunes artistes rendent un hommage vivant et original à cette passion royale, au fil de tableaux - architecture, médecine, navigation, astronomie - où se mêlent sérieux, burlesque, poésie et parodie. Lully, Marin Marais, la « belle danse » et même Molière n’ont qu’à bien se tenir !
Sous l’impulsion de Bruno Benne, la compagnie Beaux-Champs sonde au fil de nombreux projets l’héritage baroque et son interprétation contemporaine. Elle signe avec les JMF sa toute première création dédiée au jeune public.
www.beauxchamps.fr
À savoir : Spectacle programmé en coréalisation avec les Jeunesses Musicales de France (JMF).
Durée : 50 minLieu : Le Théâtre
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Conception artistique : Bruno BenneChorégraphies : Bruno Benne et Adeline LermeAssistante à la création : Céline AngibaudDirection musicale : Olivier BriandCostumes : Delphine DesnusMusique : Lully, Charpentier, Campra, Marais…
Avec : Bruno Benne (danse), Adeline Lerme ou Céline Angibaud (danse), Olivier Briand (violon baroque), Andréas Linos (viole de gambe)Coproduction : Compagnie Beaux-Champs / JM France / CNN de Mulhouse - Opéra National du Rhin
CréatureS, compagnie professionnelle composée d’artistes d’horizons et de parcours éclectiques, est animée par Grégoire Charbey, plasticien, et Hubert Jégat, metteur en scène et auteur. Ils font converger leurs énergies dans des projets de création, des espaces de recherches associant l’art de la marionnette, l’écriture et l’image.
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De et avec : Richard Graille et Hubert JégatFacture d’instruments : Charles SpeharConception dispositif sonore : Joseph Jaouen
Construction scénographie : Bernard Jégat et Michel BernadLumières : Paul Foresto
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MUSIQUE
OBjETS
ÉocrÉatureS compagnie (72)
lundi 27 marS 2017 : 15 hmardi 28 marS 2017 : 9 h
mercredi 29 marS 2017 : 10 hjeudi 30 et Vendredi 31 marS 2017 : 9 h /10 h 30 /15 h
SÉanceS tout public : mercredi 29 marS 2017 : 15 h / 17 h 30
Ce spectacle, à destination des enfants à partir de deux ans, donne à entendre l’écho du monde. Une graine, un œuf géant et un vaisseau spécial : Richard Graille et Hubert Jégat proposent une rencontre du troisième type qui interpelle notre oreille secrète, celle du cœur. Ces deux collectionneurs de sons captent la vibration du monde pour qu’elle fasse écho en chacun de nous. Leur machine émet des vibrations, diffuse de l’énergie et propose au vide extérieur une polyphonie d’éveil des sens. L’espace théâtral est habité de sons, de mélodies, d’images, de créatures fantastiques et de marionnettes. Musiques et objets participent à la création d’un univers singulier. Ce vaisseau très spécial fait décoller les rêves les plus fous.
éo célèbre la rencontre d’un marionnettiste et d’un musicien, qui soufflent ensemble sur leurs créatures hybrides pour partager l’infinie richesse de leur langage. Tout est écho à qui sait reconnaître dans la vie le murmure lointain qui enchante le monde au présent... éo puise son univers sonore dans la musique verte, dans la pataphonie ou les lutheries sauvages et expérimentales.
Telle une cabane dans les arbres, une oreille au milieu des bruissements de la forêt, cette structure est habitée de sons et capte également ceux du dehors, dans une étrange interaction. La scénographie se compose d’un espace de jeu de forme ovoïdale, dans lequel les interprètes peuvent se glisser et commander les machines à écho. Cet objet sonore non identifié, posé sur des traces au sol, ondes de sel ou de sable, est composé de matériaux bruts, bois, branches, filasse, crin et toile de jute.
http://cie.creatures.free.fr
Durée : 30 minLieu : Le Palace
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Depuis 1987, Paul les Oiseaux a acquis une reconnaissance nationale et internationale, reposant sur un travail de recherche chorégraphique poétique et intense, portée par une gestuelle délicate et sensible, un art de traverser furtivement les choses plutôt que de les dévoiler. Cet univers, où la fragilité des apparences est une force, oscille entre audace et délicatesse. La compagnie tend aujourd’hui vers une transversalité interdisciplinaire, privilégiant les relations et les échanges entre artistes et pratiques.
paul leS oiSeauX
Chorégraphie : Valérie RivièreInterprètes : Mélissa Blanc, Stéphanie PignonAuteur : Timothée de Fombelle, Anna P, Valérie RivièreMusique : Baloo Productions (Guillaume Siron, Bruno Ralle)Images vidéo : en coursCréation lumière : Eric BlosseCostumes : Hervé PoeydomengeScénographie : Valérie Rivière
Construction décors et accessoires : Jaléo, Jean-François HuchetCoproductions : L’Odyssée, scène conventionnée de Périgueux - Institut national des Arts du Mime et du Geste/Scène nationale du Sud-Aquitain/Office Artistique de la Région Aquitaine/Le Cuvier - CDC d’Aquitaine le Carré - Les Colonnes - Scène conventionnée Saint Médard en Jalles - Blanquefort/Institut Départemental Développement Artistique Culturel
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jeudi 6 et Vendredi 7 aVril 2017 : 10 h / 14 h 30
Composé de trois jolis contes philosophiques dansés, le spectacle se termine par un temps de réflexion et d’échange. Le premier conte, sur le thème de l’amitié, est de Timothée de Fombelle, auteure jeunesse avec laquelle la compagnie a déjà travaillé trois fois. Les deux autres textes sont des contes populaires anonymes. Le premier pointe la face la plus noire de la cruauté des hommes, le second parle de frénésie et de frustration pour mieux faire l’éloge de la lenteur.
L’écriture chorégraphique, au centre de ce projet, se construit de duo en solo, et s’appuie sur une musique originale électro pop, avec certains motifs joués en direct. La parole traverse le spectacle sous différentes formes, collages de voix enregistrées ou en direct.
Les trois contes sont mis en scène sous forme de tableaux successifs, déroulant des univers variés, aux esthétiques différentes faisant appel au chant, à la musique et à des ambiances sonores originales. La scénographie minimaliste, dans une boîte noire, tient en une ampoule suspendue, deux micros et une cabane.
La fin du spectacle glisse vers un débat d’idées spontanées et se prolonge par un temps d’échange avec la salle, pour mettre en perspective les sujets philosophiques abordés. De plus, ce projet s’accompagne d’une réflexion dans le cadre de la médiation, à travers les ateliers pilotes « Un pas de côté » dans les écoles.
www.paullesoiseaux.com
À savoir : Ateliers sur le temps scolaire possiblesInfos tarifs et inscription : [email protected]
Durée : 45 minLieu : Le Palace
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crÉation 2016
l’eSpace, la ScÉnographie
Y’avait-il un décor ? Puis-je le décrire ou le dessiner ?
S’agissait-il d’un lieu unique ou plusieurs lieux étaient-ils évoqués ?
Comment l’espace était-il organisé ?
Les formes et les couleurs avaient-elles de l’importance dans ce spectacle ?
Y’avait-il des sons ? Était-ce :- une bande sonore ?- de la musique interprétée en direct sur scène ?
Si oui, à quoi servait-elle :- créer une atmosphère particulière ?- évoquer un lieu ?- marquer un changement dans l’histoire ?- commenter l’histoire ?- autre chose ?
S’agissait-il de sons « réels » ou « abstraits » ?
Dans ce spectacle, est-ce le texte ou l’imagequi l’emporte ?
Qu’est ce qui composait les images les plus fortes :- le décor ?- les costumes ?- la lumière ?- les accessoires ?- le travail sur les couleurs ?- l’association de plusieurs de ces éléments ?
Qu’est ce qui m’a le plus frappé ?
De toutes ces formules, lesquelles me semblentconvenir :- j’ai cru à l’existence de leurs personnages- j’ai ressenti leurs émotions- ils tenaient compte de notre présence, ens’adressant à nous- ils faisaient comme si nous n’étions pas là
Quels sont les personnages que tu as aimés ?
Quels sont ceux que tu n’as pas aimés ?
muSiQue, Son
relation entre le teXte et l’image
le jeu deS comÉdienS
ANALYSER UN SPECTACLE
Le tableau ci-dessous est une sorte de résumé des questions que l’on peut se poser sur un spectacle. Le compléter après la venue au spectacle, à partir des impressions : il aidera à rédiger des commentaires et une argumentation. Certaines questions peuvent aussi amener à réfléchir différemment au sujet de ce qui a été vu. Il n’est pas nécessaire de répondre à toutes les questions, bien entendu !
le rÉcit (Qu’eSt-ce Que ça raconte ?)
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Y’avait-il un texte dans ce spectacle ?
Quelle était la part du texte (son importance) ?
Qui est l’auteur de la pièce ou du texte ? Est-ce un auteur contemporain ?
Le spectacle était-il fondé sur une histoire que je connaissais ? Laquelle ?
Était-il utile pour comprendre le spectacle de connaître l’histoire au préalable ? Ou bien l’histoire pouvait-elle se comprendre facilement pendant le spectacle ?
J’essaie de dresser une liste des « sujets » dont il est question à mon avis dans ce spectacle.
Certains thèmes étaient-ils surprenants, dérangeants, amusants ? (Lesquels ?)
Certains thèmes étaient-ils intéressants ? (Lesquels ?)
Ai-je remarqué comment l’espace était « découpé », organisé ? Y’avait-il plusieurs parties dans cette histoire ? Lesquelles ?
Y’avait-il des systèmes de découpage en différentes parties (des noirs, des rideaux, des sons, des sorties de personnages...) ?
Ce découpage m’a-t-il ennuyé, troublé ou au contraire l’ai-je trouvé intéressant, original ?
Sur quelle durée l’histoire était-elle censée se dérouler ? Quels moyens étaient employés pour le suggérer ?
leS thèmeS abordÉS danS le Spectacle (de Quoi ça parle ?)
narration, organiSation
CONNAISSEZ-VOUS BIEN LE THÉÂTRE
L’Odyssée, scène conventionnée de Périgueux, dispose de deux salles de spectacle : Le Palace (capacité d’accueil 200 places) et le Théâtre (capacité d’accueil de 800 places).
À partir des photos ci-contre, indiquez dans chaque bulle la lettre correspondant aux éléments suivants :
- le côtÉ cour
- le côtÉ jardin
- le plateau
- leS pendrillonS
- leS gradinS
- la rÉgie
- leS rÉgiSSeurS
- leS retourS
- leS projecteurS
- l’aVant-Scène
- leS couliSSeS
à bientôt à l’odySSÉe pour VÉrifier Si VoS rÉponSeS Sont correcteS !
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NOTES
Licences n° 1-1024902 / 1-1024901 / 2-1024899 / 3-1024898 / 1-1024900 Directrice de la publication : Chantal Achilli
Rédaction des textes : Suzanne Boireau-Tartarat Conception / réalisation : L’Odyssée - service communication - Lucile Mathieu
Impression : Copiplan
Scène conventionnée de Périgueux Institut national des
Arts du Mime et du Geste
Esplanade Robert Badinter 24000 - Périgueux
05 53 53 18 71 www.odyssee-perigueux.fr
