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1 La Belle Salima Comme chaque jour, je me rendis dans mon lycée, et dans ce même établissement je passe plus de la moitié de mon temps à travailler sur des cours dont je n’en n’ai rien à faire, et à qui je n’y vois aucun avenir. Je m’appelle Kevin et j’ai 17 ans, je suis élève dans un modeste lycée rempli d’enfants gâtés et de dragueurs invétérés, pendant bien des années je me suis toujours sentis supérieurement sur le plan psychique et intellectuel au-dessus des autres élèves. Mes notes étaient correctes, sans plus, un caractère plutôt neutre, je ne me fis pratiquement jamais remarquer par les professeurs. Au niveau sentimental, je n’étais pas un flagrant séducteur de dames à l’époque (et encore aujourd’hui), les filles ne s’intéressaient pas particulièrement à moi, et s’intéressaient plus aux « bad boys » de la classe, ceux qui se permettaient de les traiter comme de la viande, presque comme du bétail, moi j’étais dans mon coin, je ne cherchais pas vraiment à me faire beaucoup d’amis, seulement mon pote depuis toujours, Matthieu, le seul en qui j’ai réellement confiance. Pour me rendre au lycée il me fallait prendre le train, 15 minutes d’attente chaque matins, chaque fin d’après-midis pour rentrer et sortir de chez moi (avec environ 20 minutes de marche), mais même dans des métros miteux et pourris par la rouille où il se peut qu’un rayon de soleil passe. Elle était incroyablement belle et sexy, très bien conservée pour son âge (qui est de 47 ans), des yeux de biches, des cheveux soyeux, une bouche pulpeuse et une poitrine de rêve. Bien que magnifiquement belle, je sentais une certaine tristesse dans son regard, des cernes entouraient ses beaux yeux. Elle ne devait pas avoir une vie très épanouie. Je ne pouvais pas croire qu’une femme aussi exceptionnelle puisse être aussi malheureuse. Elle commençait et finissait sa journée exactement à la même heure que moi. Mais jamais elle ne me remarquait dans le métro. Pourtant bien des fois j’essayais, mais en vain, plusieurs petites sournoiseries pour qu’elle me remarque, mais sans effet. Bien entendu elle était mariée, une des choses que j’ai remarqué, au moment où me vint l’idée stupide de faire semblant de tomber sur elle, suite aux « turbulences » du métro juste pour qu’un simple regard se croise... Ou un début de conversation, pourquoi pas. Mais juste au moment où je m’apprêtais à mettre en marche cette idée stupide, mes yeux se sont dirigés sur ses mains fines et douces, et en voyant la magnifique bague qu’elle avait, j’ai vite compris qu’elle était mariée à un pauvre type qui ne subvenait pas à ses besoins. Bien que cette décevante nouvelle m’ait mis un coup sur le moral, je ne pouvais m’empêcher de m’asseoir tous les jours devant elle dans le métro. En la regardant de haut en bas, sans jamais m’arrêter. En sortant un livre, je faisais honteusement semblant à lire mon bouquin, mais mon regard se dirigeait sur ses jambes et sa poitrine, je sentis mon sexe monter en érection et je me mis à rougir instantanément dès qu’elle croisa ses jambes. Le fait d’être crispé, de rougir et de croiser moi aussi mes jambes, la fit sourire, puis elle me demanda :

La Belle Salima

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Un jeune lycéen séduit une femme mariée qui l'initie au plaisir.

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La Belle Salima Comme chaque jour, je me rendis dans mon lycée, et dans ce même établissement je passe plus de la moitié de mon temps à travailler sur des cours dont je n’en n’ai rien à faire, et à qui je n’y vois aucun avenir. Je m’appelle Kevin et j’ai 17 ans, je suis élève dans un modeste lycée rempli d’enfants gâtés et de dragueurs invétérés, pendant bien des années je me suis toujours sentis supérieurement sur le plan psychique et intellectuel au-dessus des autres élèves. Mes notes étaient correctes, sans plus, un caractère plutôt neutre, je ne me fis pratiquement jamais remarquer par les professeurs. Au niveau sentimental, je n’étais pas un flagrant séducteur de dames à l’époque (et encore aujourd’hui), les filles ne s’intéressaient pas particulièrement à moi, et s’intéressaient plus aux « bad boys » de la classe, ceux qui se permettaient de les traiter comme de la viande, presque comme du bétail, moi j’étais dans mon coin, je ne cherchais pas vraiment à me faire beaucoup d’amis, seulement mon pote depuis toujours, Matthieu, le seul en qui j’ai réellement confiance. Pour me rendre au lycée il me fallait prendre le train, 15 minutes d’attente chaque matins, chaque fin d’après-midis pour rentrer et sortir de chez moi (avec environ 20 minutes de marche), mais même dans des métros miteux et pourris par la rouille où il se peut qu’un rayon de soleil passe. Elle était incroyablement belle et sexy, très bien conservée pour son âge (qui est de 47 ans), des yeux de biches, des cheveux soyeux, une bouche pulpeuse et une poitrine de rêve. Bien que magnifiquement belle, je sentais une certaine tristesse dans son regard, des cernes entouraient ses beaux yeux. Elle ne devait pas avoir une vie très épanouie. Je ne pouvais pas croire qu’une femme aussi exceptionnelle puisse être aussi malheureuse. Elle commençait et finissait sa journée exactement à la même heure que moi. Mais jamais elle ne me remarquait dans le métro. Pourtant bien des fois j’essayais, mais en vain, plusieurs petites sournoiseries pour qu’elle me remarque, mais sans effet. Bien entendu elle était mariée, une des choses que j’ai remarqué, au moment où me vint l’idée stupide de faire semblant de tomber sur elle, suite aux « turbulences » du métro juste pour qu’un simple regard se croise... Ou un début de conversation, pourquoi pas. Mais juste au moment où je m’apprêtais à mettre en marche cette idée stupide, mes yeux se sont dirigés sur ses mains fines et douces, et en voyant la magnifique bague qu’elle avait, j’ai vite compris qu’elle était mariée à un pauvre type qui ne subvenait pas à ses besoins. Bien que cette décevante nouvelle m’ait mis un coup sur le moral, je ne pouvais m’empêcher de m’asseoir tous les jours devant elle dans le métro. En la regardant de haut en bas, sans jamais m’arrêter. En sortant un livre, je faisais honteusement semblant à lire mon bouquin, mais mon regard se dirigeait sur ses jambes et sa poitrine, je sentis mon sexe monter en érection et je me mis à rougir instantanément dès qu’elle croisa ses jambes. Le fait d’être crispé, de rougir et de croiser moi aussi mes jambes, la fit sourire, puis elle me demanda :

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– Il y a quelque chose qui ne va pas ? (Qu’elle belle voix avait-elle ! Elle s’intéressait à moi !)

– Non, non Madame, je me sens un peu fiévreux, c’est tout ! – Je vois... C’est vrai que tu as l’air de ne pas aller bien, tu es tout rouge !

Soudain elle se leva puis s’assoie à côté de moi, j’avais l’impression de rêver ! Cette magnifique femme se préoccupait de moi ! Elle mit sa main sur mon front, j’étais brûlant à qu’elle point j’étais surexcité, puis elle s’exclama :

– Ah oui, tu as de la fièvre mon poussin ! Veux-tu que je te donne un médicament pour soigner tout ça ? J’ai tout ce qu’il me faut dans mon sac.

J’étais obligé d’accepter, elle m’aurait donné n’importe quoi, je l’aurais avalé !

– Voilà, à partir de maintenant, ça va aller mieux demain – Merci beaucoup Madame... – De rien, dis-moi comment t’appelles-tu mon poussin ? – Kevin, Madame. – Et bien Kevin, moi c’est Salima, appelle-moi par mon prénom maintenant, ce sera mieux. – D’accord Mada... Euh, Salima... – Voilà qui est parfait

J’étais sur un petit nuage, je connaissais enfin son prénom après tous ces mois passés à la mater chaque jour de l’année.

– Écoute, j’ai vu qu’il pleuvait des cordes dehors, veux-tu que je te raccompagne chez toi avec ma voiture qui est devant chez moi ? Je sais le chemin que tu prends, nous prenons tous les jours le même trajet. – Et bien, euh... – Tu as peur de moi, Kevin ? – Non, non, c’est juste que... – Allons, allons, c’est de ma responsabilité, maintenant que je te connais, tu vas attraper une sacré pneumonie si tu fais le chemin jusqu’à chez toi à pied !

C’est sûr que je rêve, j’allai voir l’endroit où elle habitait, mon érection montait en flèche ! Après plusieurs minutes, le métro s’arrêta, et le conducteur annonça « Gare Rue Verte », enfin à destination !

– Nous y voilà, attends que je sorte mon parapluie... Ah le voilà, viens te mettre près de moi, il ne faudrait pas que tu te mouille.

C’était un moment magique, que dire de plus, j’étais à quelques centimètres d’elle, elle me posait tout un tas de questions sur ma vie, sur mes études, mes loisirs, puis soudain, LA phrase :

– Dis-moi, elle doit être contente ta petite amie, tu es si adorable. – Euh... Je n’ai pas de petite amie... – Ah bon ! Tu es pourtant un garçon mignon comme tout, ça m’étonne !

Le fait qu’elle m’ait posé cette question me troubla. Puis ce fut la chute, je trébuche et tombe dans une flaque d’eau, tout le bas de mon jean était mouillé, c’était parfait ! Je n’allais pas entrer dans sa voiture comme ça maintenant.

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– Mon pauvre poussin ! Tu ne t’es pas fait mal ? – Non, non... Ça va... – Mais tu es tout trempé ! Tu vas passer rapidement chez moi pour laisser sécher ton pantalon, je te prêterais un pantalon de mon mari, vous faites la même taille. – Mais... – Il n’est pas là avant la fin de la semaine, ne t’en fais pas, tu me le rendras un peu plus tard, ah mon dieu, moi et mes questions, regarde le résultat (rire).

Elle m’a invité chez elle ! Bon peut-être parce qu’elle se sentait un peu coupable et qu’elle était un petit peu obligée de m’héberger le temps de changer de pantalon, mais c’était un bon début tout ça ! Nous étions arrivé chez elle, je voyais déjà de l’extérieur que son appartement était de grande classe. Nous prenions l’ascenseur, elle habitait au dernier étage, très luxueux, et me regardait avec des petits sourires moqueurs et taquin, j’avais tellement envie de la prendre là tout de suite, elle était si mignonne, et c’était dur de me contrôler...

– Voilà, c’est chez moi ! Comment trouves-tu ? – C’est très beau, un magnifique appartement. – Merci, mon mari se donne beaucoup de mal pour « compenser » en achetant des objets de valeurs. (Compenser ?) Enlève ton jean, je vais te chercher un pantalon – Euh... D’accord.

J’ai retiré difficilement mon pantalon, mais aussi lentement juste pour qu’elle revienne, en me voyant en érection, pour qu’elle voit enfin l’effet qu’elle peut me faire. Comme je prenais mes jeans serrés en forçant pour le faire descendre, mon boxer laissait dépasser mon gland.

– Je t’ai trouvé un panta.... Ohh, excuse-moi ! Je me retourne le temps que tu te déshabilles et que tu mettes le pantalon. Dis donc, tu n’es plus du tout un enfant...

Cette phrase m’a émoustillé, m’a libéré, je me suis rapprochait d’elle encore en boxer, en érection. J’étais derrière elle, puis je l’ai pris dans mes bras en frottant mon sexe sur sa jambe, en gémissant.

– Non, tu ne peux pas... – Salima... Je n’en peux plus... Cela fait des mois que je te regarde dans le métro, et je me masturbe le soir en pensant à toi... – Je ne savais pas que je te faisais autant d’effet, mon poussin, mais ce n’est pas bien, j’ai plus du double de ton âge ! Je pourrais être ta mère ! – S’il te plaît, je deviens dingue à force ! Tu m’excites terriblement... Je ne veux plus souffrir autant ! – ... – Pitié Salima.... Pitié...

Je pleurais en la serrant tendrement, mais fermement, dans mes bras, je ne voulais pas la lâcher, je n’ai jamais autant pleurniché de ma vie !

– Allons Kevin, ne pleure pas mon bébé... Elle se retourna puis m’embrassa tendrement en me câlinant dans ses bras. Qu’elle était douce et si gentille avec moi… J’étais l’homme le plus heureux du monde.

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– Je t’aime Salima... – Voyons mon poussin, ne dit pas ça, on ne se connaît même pas – Tu ne peux pas savoir tout ce que j’imaginais faire avec toi, je suis tombé fou amoureux de toi dès que je t’ai vu la première fois dans le métro… – Ne t’en fais pas mon bébé, je vais bien m’occuper de toi...

Elle sécha mes larmes, et continuait à m’embrasser tendrement, elle glissa délicatement sa langue entre mes lèvres. Nous nous sommes échangé un fougueux baisé pendant de très longue minutes, les plus belle de ma vie. Elle commença à me baisser mon boxer, ce qui fit dégager mon sexe qui ne pouvait plus respirer depuis plus d’une heure.

– Oh comme c’est mignon, tu es vraiment excité à ce que je vois ! Je n’en reviens pas que c’est moi qui t’ai mis dans cet état !

Elle le prit en main, et commença une lente et douce masturbation, en continuant à m’embrasser.

– Que c’est bon, Salima… – Tu aimes ? – Oui… J’aime trop…

Elle s’y prenait avec tant de douceur, que je pouvais m’empêcher de gémir de plaisir dès les premiers mouvements de va-et-vient.

– S’il te plaît Salima, suce-moi s’il te plaît, j’en ai tellement envie... – OK, mon poussin

Elle s’abaissa, et goba mon sexe brûlant dans sa magnifique et tendre bouche. Elle le suçait, le léchait, le tripotait, en me susurrant des mots doux. Je gémissais beaucoup, puis n’en pouvant plus :

– Salima, je vais jouir !!! – Viens dans ma bouche, mon bébé, fais-toi plaisir...

J’ai pris sa tête entre mes mains et j’ai serré jusqu’au fond de sa gorge. Ça ne l’a pas gêné, elle appréciait le fait qu’elle me donnait tant de plaisir. Un long jet de sperme sorti de mon sexe, Salima s’empressa d’avaler tout mon foutre, en se léchant les babines.

– Voilà Kevin, ça t’a fait du bien ? – Oh oui, Salima, beaucoup de bien...

Je commençais déjà à rebander dès que Salima mit sa langue dans ma bouche.

– Dis donc, tu reviens vite à la charge ! Plus vite que mon mari en tout cas. – Tu es tellement belle et excitante... – Tu es mignon tout plein... Hmm, plus long et plus gros aussi. – Je veux te faire l’amour... – D’accord mon poussin, viens dans ma chambre.

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Je la pris dans mes bras dans le lit conjugal en l’embrassant pendant de très longues minutes. Je descendais lentement, pour prendre ses deux magnifiques seins dans ma bouche, je la tétais avec tellement d’amour qu’elle s’exclama :

– Oh oui, que c’est bon mon bébé ! Continue à me lécher les tétons, j’aime énormément... Au fur et à mesure, je descendis de plus en plus bas, j’embrassais fougueusement son nombril, ses hanches, puis jusqu’à arriver à son magnifique sexe, un véritable joyau brillant, dégoulinant d’un liquide sucré, que je m’empressais de laper, de lécher, et de sucer cette merveille de la nature.

– Oh, oh oui continue, c’est merveilleux mon poussin ! Continue, continue encore ! J’y mettais de l’amour et de la tendresse, que c’était magnifique de lui procurer tant de plaisir avec ma langue et ma bouche, de lui offrir autant d’amour de ma part.

– C’est si bon de sentir ton sexe, Salima... – Continue, je sens que ça vient...

Après avoir mis toute mes forces (je ne sentais plus ma langue) à lui donner du plaisir, elle prit ma tête et me plaqua contre son sexe, en se tordant comme un arc. Son vagin se mit à spasmer de manière incontrôlée. Elle soupira de plaisir en s’écroulant sur le lit, et me dit :

– Merci mon bébé, tu viens de m’offrir un magnifique orgasme, que je n’avais pas eu depuis bien des années, pour te dire franchement mon mari n’a jamais pu.

Je la pris dans mes bras en la serrant très fort en me frottant contre elle, elle remarqua :

– Oh mais je l’ai oublié celui-là ! Aller viens, prends-moi mon ange... Tu l’as bien mérité maintenant.

Elle prit mon sexe et me montra et la direction vers son vagin, je n’en pouvais plus, je l’ai pris sauvagement, mais amoureusement, en l’embrassant et en la câlinant de toute mes forces. Je ne voulais arrêter ça pour rien au monde. C’était magnifique. Après plusieurs minutes de ces mouvements répétés, je n’en pouvais plus de plaisir insurmontable.

– Salima, je n’en peux plus, je viens !!! – Oh oui ! Jouis en moi mon poussin ! Envoie-moi tout ! – Ahhhhh.... !

J’ai jouis dans son doux et fabuleux vagin. J’étais sur un petit nuage, dans un autre monde, jamais je n’ai été aussi heureux de ma vie. Puis à cause de la fatigue, n’en pouvant plus, je me suis endormi dans ces bras.

– Repose-toi mon petit chéri, tu en as besoin. – Je t’aime, ma Salima… – Moi aussi, mon bébé. Moi aussi…

Je dormis une bonne heure, puis pour me réveiller elle m’embrassa avec une telle tendresse que j’étais tout retourné sur le coup. Que c’était bon se faire réveiller de cette façon.

– Réveille-toi mon bébé, il est 20H.

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Je bondis hors du lit, ma mère va s’inquiéter ! Elle rentre du boulot à 19H30.

– Écoute, si tu veux tu peux dormir avec moi cette nuit, je risque de me sentir bien seule sans toi... J’étais fou d’elle, j’ai failli tomber dans les pommes, de bonheur tellement j’ai apprécié qu’elle me dise ça. Je me suis collé contre elle en lui chuchotant :

– Bien sûr que je resterais avec toi ma Salima, mais peux-tu s’il te plaît me laisser passer un coup de fil ? – Bien sûr, mon ange.

J’ai pris le téléphone pour appeler chez moi.

– Oui allô ? – M’man ? C’est Ké.... – Kevin ! Je me suis inquiétée, où tu étais passé ? – Je suis chez Matthieu, il m’a invité à dormir. – Ah d’accord ! Mais tu aurais pu me prévenir !

(Soudain, Salima se colla derrière moi et commença à me caresser les fesses et le sexe) – Euhhh... Ça ne te dérange pas ? (Salima commença à me masturber) – Non, non mais bon, fais attention quand tu rentreras demain, il a beaucoup plu. – Ou... Oui oui, M’man. – Qu’est-ce qui t’arrive Kevin ?

(Salima glissa un doigt délicatement entre mes fesses) – Rien, rien juste que j’ai un peu mal au crâne, Matthieu a des Aspégic, ne t’en fait pas, j’ai tout ce qu’il faut. – OK, mais fais attention hein ! – Oui, oui, bisous. – Bisous et bonne nuit

À peine raccroché, je pris la bouche de Salima.

– Mmmhh... Kevin, ça te fais du bien ce que je te fais ? – C’est gênant... Mais oui, ça me fait du bien. – Je vais m’arrêter là, on fera quelques fantaisies plus tard si tu veux bien, j’ai préparé à manger.

Nous nous asseyons côte à côte, je dévore le magnifique repas qu’elle m’a préparé, en lui complimentant sur sa beauté, je pourrais faire ça toute la nuit durant avec elle. C’était la première fois que j’avale si vite un plat.

– Et ben, tu avais faim, mon chou ! – Oh que oui, tu cuisines merveilleusement ! – Merci... Tu veux que l’on se fasse un petit câlin dans le lit avant de commencer nos petites fantaisies... – Mmmh oui, Salima...

On se prit l’un l’autre dans les bras dans le lit en s’embrassant fougueusement et tendrement, de longues et douces caresses, nous étions tous les deux parfaitement en symbiose. Puis elle commença à me caresser l’anus, à le tripoter.

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– Salima... – Laisse-moi faire, tu vas voir à quel point c’est bon... – Oh oui... C’est si bon, c’est quelque chose de si bon... Masturbe-moi lentement en même temps, s’il te plaît... – Comme tu voudras, mon bébé.

Elle prit mon sexe tendu dans sa main gauche et entama un va-et-vient.

– Je suis si heureux avec toi. – Moi aussi, tu aimes ça hein ? – Oh que oui... Ça me fait tellement de bien... – Très bien... Est-ce que tu pourrais me faire une petite faveur ? – Tout ce que tu voudras. – Ça fais tellement longtemps que l’on ne m’a pas prise par derrière et ça me manque terriblement, ça fais si longtemps que l’on ne s’est pas occupé de moi...

(Ça m’a étonné, pas le fait qu’elle me le demandait, mais le fait que ça faisait longtemps pour elle, qu’elle ne s’est pas faite prendre depuis longtemps)

– Bien sûr... Je ferais tout pour te combler ma Salima…. – Et bien alors, qu’est-ce qu’on attend mon Kevin ?

J’en ai seulement entendu parlé grâce à mes camarades de classe qui s’amusent souvent à parler des « culs des filles » et qu’ils aimeraient bien les « prendre par derrière », même si je ne me suis jamais intéressé à leurs conneries de conversations, c’était un des seul sujet où j’avais prêté attention. Salima me montrait ses magnifiques fesses rondes et douces, tout prêt de mon visage.

– S’il te plaît mon bébé, j’ai tellement envie que tu m’encules, fais-ça pour moi... – D’accord Salima... Mais je ne sais pas comment m’y prendre…

Je décalottais mon sexe, puis je m’approchais de son anus, très excité et impatient d’entrer en elle.

– Non, non mon poussin, il faut que tu me lubrifies l’anus, avant d’entrer en moi... Sinon tu vas me faire mal… – Mais comment ? Je ne sais pas quoi faire… – Laisse donc ton imagination faire place...

Je réfléchie une 10e de seconde, puis j’eus l’idée de me baisser, puis de commencer à lui lécher délicatement l’anus, l’embrasant, le suçant, et en essayant de faire rentrer ma langue à l’intérieur, pour que mon sexe puisse coulisser. Je ne vais pas vous mentir, ça ne sentait pas très bon par-là, mais j’aimais tellement Salima et je voulais tant lui procurer ce plaisir, que je m’en fichais totalement, elle était quand même une femme très propre. J’enfonce très doucement mon index dans son petit trou en léchant le contour de son anus.

– Mmmh, tu as compris comment faire, continue s’il te plaît, je veux te sentir tout au fond de moi Je bandais comme un fou, je n’en pouvais plus, j’ai toujours été attiré par ses magnifiques fesses depuis que j’ai commencé à la mater dans le métro. Après avoir entrés deux de mes doigts, je mis ma langue à l’intérieur, et je l’embrassais à pleine bouche amoureusement comme nous l’avons fait précédemment dans le lit conjugal, quelle impression splendide.

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– S’il te plaît, arrête de me titiller l’anus avec ta langue mon chéri, je vais devenir dingue, je veux te sentir gonfler en moi, encule-moi,... – Salima....

Bien que tout petit, son anus pouvait contenir mon sexe facilement, je commençais par entrer délicatement mon gland. Quelle sensation exceptionnelle, c’était étroit mais incroyablement doux et chaud à l’intérieur. Puis ce fut mon sexe en entier dans ses jolies fesses. J’étais comme aspiré par son beau derrière, elle s’exclama :

– Mon bébé, tu m’as enculée, tu es au fond de moi, c’est si bon, accélère la cadence s’il te plaît… J’étais comme son esclave, dès qu’elle me demandait quelque chose, j’exécutais son ordre sans restriction. J’entamai un long va-et-vient en gémissant de plaisir.

– C’est si bon Salima, j’aime tant ça ! J’aime tant te prendre par derrière ! C’est magnifique ! – Tu l’aimes l’enculer ta Salima, hein ? Fais-toi plaisir, mon amour, tu es si gonflé en moi... – Je sens que je vais jouir.... – Éjacule au fond de moi, mon bébé ! Jouis dans mon cul ! – Oh ouiiiii !!!

J’ai éjaculé dans son anus, qu’elle sensation, j’étais dans les nuages, mais je ne voulais pas la quitter, pas maintenant en tout cas, nous étions unis tous les deux, nous avions fusionné nos corps.

– Salima... – Oui, mon ange ? – Laisse-moi rester dans ton cul pendant quelques minutes, s’il te plaît, je me sens si bien. – OK, profites-en, mon petit chéri.

Je suis resté pendant 35 minutes dans son anus, j’aurais pu y rester pendant des jours entiers tellement le plaisir était là. En ressortant de son derrière, un long fil de sperme accompagna mon sexe. Au bout de 20 minutes dans son anus, j’ai été très vite excité une fois encore, j’ai jouis une deuxième fois dans ses fesses, c’était intensément émouvant. Je pris Salima dans mes bras en lui susurrant des mots doux à l’oreille :

– Salima je t’aime tant, jamais je ne veux te quitter, je veux toujours rester à tes cotés… – Je t’aime aussi, mmh... Tu as trouvé ça comment ? D’être dans mon cul ? – C’était si doux, si agréable, je suis tombé amoureux de cet endroit. – On le refera quand tu le voudras, je ne m’en lasse jamais d’être enculée.

Elle me lécha le lobe de l’oreille pendant que je caressais ses doux seins.

– Tu as l’air de beaucoup les aimer… – Oui, comme je les aime …. – Attend que je te fasse un petit cadeau.

Puis elle descendit jusqu’à ma taille et prit mon sexe entre ses deux seins. C’est si bon de sentir mon sexe entre ses deux mamelles. Soudain je m’excitais totalement, je me frottais au milieu de ses deux globes sans m’arrêter.

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– C’est si bon, c’est si bon ! – Ça te plaît, je le savais. – Je sens que ça monte… – Laisse-moi terminer.

Elle prit le relais, en me masturbant et en me prenant dans sa bouche, au bout de quelques minutes, je pris sa tête et je forçais jusqu’au fond de sa gorge en jouissant.

– Je viens !!! Mon sexe évacua le peu qu’il me restait de foutre, que Salima ne pouvait pas s’empêcher d’avaler d’un trait. Elle aimait ça, et moi aussi j’aimais la voir m’avaler complètement…

– Mmmh… Ton sperme chaud a toujours aussi bon goût. – Je t’aime Salima. – Je t’aime aussi, mon ange

Nous avons tous les deux fait couler des larmes de joie et de bonheur, tellement c’était un des moments les plus beaux de notre vie. Et ce n’étais pas prêt de se terminer.

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