RESSOURCES HUMAINES DU DEPARTEMENT DE BIOLOGIE

SOMMAIRE

Page 1.

Editorial; Collation des grades; Res-sources humaines.

Doctorat

Page 2.

Organisation des enseignements; Nos partenaires; Publi-

cations; Scandale.

Page 3.

Non à la brimade; La Plante du mois; Echos de la Fac; Danger; Infos du

Cames.

Page 4.

S o u v e n i r d e l’USTM; Acquisi-tions; CAN 2012;

Décoration.

ENSEIGNANTS DU DEPARTEMENT Dr Nicaise A. LEPENGUE, Chef de Département (MA), Pathologie et toxicologie végétales; Pr Bertrand MBATCHI (PT), Biologie et Physiologie végétales; Pr Alain SOUZA (MC), Physiologie Animale et Pharmacologie; Dr IBRAHIM (MA), Physiologie animale et Electrophysiologie; Dr Patrick MICKALA (MA), Phy. A et Neurophysiologie; Dr Christiane ATTEKE (MA), Biochimie, Biologie moléculaire; Dr Etienne KOMBILA M. (MA), Biotechnologies; Dr Hortense MOUNZEO (MA), Botanique; Dr Judicaël LEBAMBA (MA) , Ecologie tropicale; Dr André MULOWAY K. (retraité), Génétique; Dr Jean Fabrice YALA, Microbiologie; Dr Thiery NDONG MBA, Génétique moléculaire; Dr Stéphane PADZYS, Phy. A et Neurophysiologie; Dr Sylvie Brizard ZONGO, Ecologie marine; Dr Linda OMOUENDZE, Phy. A et Neurophysiologie; Dr Hilaire KENGUELE M., Biochimie et Biologie moléculaire; Dr Landry Erick MOMBO, Physiopathologie; Dr Stéphane NTIE, Biologie de la conservation; Dr Arnaud PAMBO, Phy. A et Neurophysiologie; Dr Cyrille BISSEYE, Immunologie et Biologie moléculaire; Dr Assane NDIAYE, Zoologie; Dr Alix Nno Mabiala, Biologie des populations; Dr Jean F. MBOUMBA (en recrutement), Zoologie.

VACATAIRES NATIONAUX HORS USTM Pr Henri BOUROBOU B. (IPHAMETRA); Pr NGOUNGOU Edgard (USS); Pr Jean Bernard LEKANA DOUKI (USS); Pr Maryvonne KOMBILA (USS); Pr Touré FOUSSEYNI (CIRMF); Dr Jacques François MAVOUNGOU (IRET); Dr Alfred NGOMANDA (IRET); Dr Nestor ENGONE (IRET); Dr Ludovic MEWONO (ENS); Dr Eric LEROY (CIRMF); Dr Augustin MOUINGA ONDEME (CIRMF); Dr Richard ONANGA (CIRMF); M. Yves ISSEMBE (IPHAMETRA).

VACATAIRES EXPATRIES Pr Laurent AKE ASSI, Abidjan, Côte d’Ivoire; Pr Comlan DESOUZA, Lomé, Togo; Pr Sévérin AKE, Abidjan, Côte d’Ivoire; Pr Alain CANARD, Rennes, France Pr Jean Jacques YAO DATTE, Abidjan, Côte d’Ivoire; Pr Nestor SOKPON, Parakou, Bénin; Pr Justin YATTY KOUADIO, Abidjan, Côte d’Ivoire; Pr Thibaud DECAENS, Rouen, France Pr Jonas NAGAHUEDI, Kinshasa, RDC; Pr Olivier HARDY, Bruxelles, Belgique.

COLLATION DES GRADES

EDITORIAL: Doucement mais surement l’USTM étrenne ses nouveaux galons de fleuron de l’Université gabonaise en cette fin d’année 2012. Les faits semblent lui donner raison, si l’on s’en tient aux forts taux d’admission des enseignants au CA-MES, au basculement réussi au système LMD, à l’ouverture des cycles supérieurs et aux nombreuses productions scientifiques de ces dernières années. Certes tout n’est pas encore parfait, mais sur le territoire national et même au niveau sous régional, l’USTM peut se targuer de détenir le système LMD le moins boiteux. Aujourd’hui, il n’est plus question de s’expatrier pour passer une licence, un master ou un doctorat en sciences pures. Tous ces diplômes peuvent désormais s’obtenir à l’USTM. Les forts taux de succès des étudiants de 2nd cycle, les résultats de ceux orientés à l’EDR, la réussite des co-encadrements, mon-trent que la formation initiale est de bonne qualité. Cette année par exemple, tous les jeunes docteurs recrutés au Département de Biologie sont des anciens étudiants de cette structure. Plutôt que de nous lamenter de ce qui ne marche pas encore, bâtis-sons sur ce qui marche déjà. C’est le souhait de la Bio-Info de l’USTM pour cette nouvelle année 2013.

Dans un an, les Départements de Biologie et de Mathémati-ques-informatiques accueilleront leurs tout premiers docteurs formés à l’USTM. Même si les débuts ont été difficiles, la mayonnaise a pris et les autres départements ont déjà emboî-té le pas. Plus personne n’ose aujourd’hui remettre en cause l’ouverture de ces classes. En attendant les soutenances, rendons hommage à toutes les personnes qui ont appuyé cette initiative. Félicitation notamment aux étudiants, et aux autorités décanales et rectorales de l’USTM. Gratitude spé-ciale à Monsieur le ministre de tutelle Séraphin MOUN-DOUNGA qui en avait fait son cheval de bataille. Son implication a entre autre permis l’octroi des bourses et allo-cations doctorales. Merci encore, Monsieur le ministre.

DOCTORAT: MERCI AU MINISTRE

Le Département de Biologie est plus qu’à l’honneur en cette fin d’année 2012. Après l’élévation du Profes-seur Bertrand MBATCHI en 2011 au poste de Secré-taire Général du CAMES, deux autres enseignants, M. Judicaël LEBAMBA et M. Alain SOUZA ont été promus aux grades respectifs de Maître Assistant (MA) et Maître de Conférences (MC) à la dernière session du CAMES. Pour féliciter les récipiendaires et susciter l’émulation à l’USTM, le Département de Biologie a organisé le 07 décembre passé une cérémonie officielle de collation des grades, à laquelle a pris part Monsieur le Secrétaire Général du CAMES en person-ne.

Grace à l’UE libre d’a-ménagement écologique, le Département de Biolo-gie a fait peau neuve, en embellissant sa cour de belles fleurs déodorantes.

EMBELISSEMENT

Département de Biologie

Salle Polyvalente

La Bio-Info de l’USTM, Bulletin d’information du Département de Biologie. Parution du 30 /12/ 2012 La Bio-Info de l’USTM

Département de Biologie

La Bio-Info de l’USTM

Amphi C-Biologie

ORGANISATION DES ENSEIGNEMENTS EN BIOLOGIE P a g e 2

Le Département de Biologie compte à ce jour tous les 3 cycles du système LMD. Les étudiants sont reçus en première année (CBG1) sur pré-

sentation d’une attestation de baccalauréat (série C ou D) ou d’un diplôme équivalant. Chaque année est subdivisée en 2 semestres de 300 heu-

res chacun, correspondant à 30 crédits. L’étudiant est admis en 2e année, sur décision d’un jury après avoir validé totalement ou partiellement

(plus de 75%) ses crédits. A la fin du premier semestre (S3) de la deuxième année, les étudiants sont orientés soit en Chimie, en Biologie ou en

Géologie. Ceux orientés en Biologie ont le choix d’inscription au semestre 4 entre la Biologie Cellulaire et Physiologie (BCP) et la Biologie Géné-

rale des Sciences de la Terre (BGST). En Licence 3 les étudiants réalisent un premier stage d’immersion d’une semaine dans une station de

recherche située à l’’extérieur de Franceville. Ils n’accèdent en master que sur avis technique du Département, après avoir validé tous les cré-

dits des 3 premières années. Deux options s’offrent aux candidats retenus: la BCP et la BPE (Biologie des Populations et des Ecosystèmes).

A ce niveau, ils passent un second stage (individuel ) de 2 mois dans un laboratoire ou entreprise de recherche, pour la familiarisation avec le

matériel usuel de recherche. Ce stage correspondant à 21 crédits est ponctué par un rapport écrit. Les étudiants admis en Master 2 disposent

d’une multiplicité de choix optionnels: Génétique et Biotechnologies Végétales, Génie Biologique et Pharmacologie, Qualité Hygiène Sécurité et

Environnement (pour l’option BCP); Ecophysiologie et Agroforesterie, Biodiversité et Dynamique des Microorganismes au sein des Ecosystè-

mes Tropicaux, et Biologie et Ecologie des Communautés Animales (pour l’option BPE). Au second semestre, les apprenants effectuent un

nouveau stage de pré recherche de 6 mois sanctionné par une soutenance publique à l’USTM. L’admission au doctorat est conditionnée non

seulement par l’obtention d’une moyenne annuelle satisfaisante, mais aussi par l élaboration d‘un projet

de thèse soutenu par un financement identifié. Les enseignants encadreurs doivent au minimum avoir le

grade de Maître de Conférences CAMES, ou se prévaloir d’une habilitation à diriger la recherche (HDR).

Le cycle doctoral dure 3 ans et obéit aux directives pédagogiques définies par la charte doctorale.

P A R T E N A I R E S D U D E P A R T E M E N T

P U B L I C A T I O N S 2 0 1 2

Depuis le basculement de notre université au système LMD, plusieurs entreprises, centres de recherche et ONG ont collaboré à la formation des étudiants de Biologie. Nous les remercions chaleureusement et les encou-rageons à pérenniser ce partenariat. Ce sont: L’URAB (Unité de Recherche en Agrobiologie), Franceville; Le Labo-ratoire de Phytopathologie, USTM; Le Labo de Biodiversité, Biologie et Physiologie végétale, USTM; Le Labo de Pharmacologie, USTM; Le Labo des sciences du sol, USTM; Le CIRMF Franceville; Le WCS Franceville; La SOBRAGA Franceville; La Fondation AMISSA BON-GO Franceville; L’Hôpital Chinois, Franceville; Le Centre Médical de l’USTM, Franceville; Rougier Gabon, Franceville; L’IRET, Libreville; L’ANPN, Libreville; Le Parc national de Mayumba; La CEB, Las-toursville; La COMILOG, Moanda; La WWF, Libreville;

L’IPHAMETRA, L i br e v i l l e ; L e CNDIO, Libreville; Le Laboratoire de Parasitologie (USS), Libreville; SUCAF G a b o n ; L ’ E D R , Franceville;

La SODEPAL, Bakoumba; SmithSonia Gamba; Shell Gabon, Gamba; Le Parc national de la Lopé; ELF Gabon, Port Gentil; Le Parc national de l’Ivindo, Makokou; L’ENEF, Libreville; Le Parc national de WAKA; L’ENS, Libreville; L’IRAF, Libreville; Le Parc national de Minkébé; Le Laboratoire National, Librevil-le; L’IRT Ntoum; La SNBG, Libreville; Le Parc national des Plateaux Batéké; La Fondation Albert Schweitzer, Lambaréné; Le Parc national de Moukalaba doudou; (A suivre)

LEPENGUE A.N., NGOMANDA A., ENGONE OBIANG N., MAVOUNGOU J.F., MOUARAGADJA I., AKE S. et M’BATCHI B. (2012) : Augmentation de la biomasse de la roselle (Hibiscus sabdariffa L. var. sabdariffa) par des traitements à l’acide borique, au Gabon. Int. J. Biol. Chem. Sci. 6 (1) 202-209

KONATE K., MAVOUNGOU J. F., LEPENGUE A.N., AWO-RET SAMSENY RR., HILOU A., SOUZA A., DICKO M. and M’BATCHI B. (2012) : Antibacterial Activity against beta lactamase producing methicillin and ampicillin-resistants Staphylococcus aureus: fractional inhibitory concentration index (FICI) determination. Ann Clin Microbiol Antimicrob 11 (18): 1- 12

LEPENGUE A.N., SOUZA A., MOUARAGADJA I., KONE D., AKE S. et M’BATCHI B. (2012) : Effet du NaCl sur le développement des cultivars de la roselle (Hibiscus sabdariffa L. var. sabdariffa, Malva-ceae) en zone côtière au Gabon. Agronomie Africaine 24 (1) : 1-10.

Le monde de la recherche est certainement celui qui renferme les plus gros scandales du siècle, vu les supercheries, arnaques et trom-peries qui y sévissent. Le Gabon n’est pas épargné. Une de nos meilleures plantes édulcorantes (sucre permettant la fabrication des coca light et autres traitements antidiabétiques), Pentadiplandra brazzeana (Ilenga en langue Nzébi), endémique à l’Afrique Centra-le, a été frauduleuse-ment soustraite et brevetée par un pseudo touriste Amé-ricain depuis 1989. Soyons vigilants.

S C A N D A L E

A L’USTM on dénonce quand rien ne marche; Mais on apprécie également les bonnes œuvres. Chapeau à Monsieur le Recteur, Isaac MOUARAGADJA qui a enfin paré l’USTM de ses premières allées fleuries et dignes d’une université respectable. Merci Monsieur le Recteur. Nous attendons maintenant que les Départements et Laboratoi-res soient d a v a n t a g e équipés en produits chi-miques et appareils de recherche.

Etudes botaniques au parc de Lékédi

Labo de Biologie moléculaire

Cour du bâtiment rectoral

MERCI MONSIEUR LE RECTEUR

La Bio-Info de l’USTM

Département de Biologie

La Bio-Info de l’USTM

P a g e 3

A n n é e 2

PENSEE POUR NOS ETUDIANTS LA PLANTE DU MOIS

INFOS DU CAMES LA FAC EN FORCE DANGER

NON A LA BRIMADE

Les soutenances des étudiants de Masters 1 et 2 BPE et BCP de cette année ont particulière-ment été palpitantes. Tous ceux qui avaient témérairement pensé qu’il ne s’agissait que d’une simple formalité ont vite déchanté. Le président, les examinateurs et même les rap-porteurs ne sont pas allés de main morte. Le public profane a parfois pensé à un règlement de compte. Accumulés et assaillis de questions, les étudiants ont été soumis à rude épreuve. Normal, car la formation de qualité y en dé-pend. Mais malgré tout cela ,nos jeunes cher-cheurs se sont admirablement défendus. Au final, ils s’en sortent plutôt bien car, à l’una-nimité, les jurys reconnaissent la qualité des travaux effectués, même si la rédaction laisse parfois à désirer. Cette année, on enregistre encore 100% de succès aussi bien en Master 1 qu’en Master 2. Bravo aux jeunes.

Les futurs candidats aux différents grades du CAMES devront rapidement s’accom-moder aux nouvelles conditions diffusées récemment par internet. Les postulants devront entre autre procéder à une double inscription. A l’envoi classique des dossiers (version papier) s’ajoute une inscription en ligne suivant les directives édictées par le formulaire. Une autre nouveauté est l’in-terdiction de compléter les dossiers après la date limite de leur dépôt. Les candidats devront auparavant remplir toutes les an-ciennes conditions (classiques), notamment produire respectivement 2 et 6 articles dans des revues à comité de lecture et/ou in-dexées, pour le passage des grades de Maî-tre Assistant et Maître de Conférences (CTS Sciences Naturelles). Pour les Profes-seurs titulaires, l’encadrement d’au moins un doctorant jusqu’à la soutenance est exigé, entre autre.

Cette fin d’année a été particulièment prolifi-que en soutenances. Tous les Départements se sont mis au régime des jurys, avec des thémati-ques aussi riches que diversifiées. A entendre les différentes analyses, bon nombre de ces travaux pourront faire l’objet de publications et/ou être expérimentés en sciences appliquées. L’Université par la Faculté commence à jouer véritablement son rôle premier, celui de réflé-chir sur les problèmes de la société et proposer des réponses théoriques, susceptibles d’appli-cation. La gestion des ordures ménagères est par exemple une question de société qui a déjà trouvé un embryon de réponse au Départe-ment de Biologie.

Dans le cadre des formations biologi-ques complémentaires beaucoup de nos étudiants se sont expatriés depuis quelques temps. Nous leur souhaitons beaucoup de succès et un bon retour au pays. Nous pensons particulière-ment à ceux qui sont en Europe de l’EST, en Amérique du Sud, et sur-tout en Extrême Orient: M. EBANG ELLA Ghislain, Japon; M. MANGAMA K. Lilian, Japon; M. MINDONGA N. Loïc, Japon; Mlle MAPENDA M. Meïne, Chine

L’oseille ou roselle (Hibiscus sabdariffa L. var. sabdariffa, Malvaceae) est une plante à multiples vertus médicinales. Consommez régulièrement cette plante alicamentaire. Elle est notamment riche en minéraux (calcium 128 ppm; potassium 216 ppm); en protéines, en fibres et en vitamine C. Elle est également diurétique, réfrigérante, sédative, antis-corbutique, tonifiante, anti cholestérol, régulateur du rythme c a r d i a q ue , d i g e s t i v e , antiseptique, pu r g a t i v e , t ra nq u i l l i -sante etc.

Le Département de Biologie confronté au récurrent problème de vétusté de matériel et de manque de produits chimiques est depuis peu confronté à un autre embarras: la fissuration de la toiture de son bâtiment. Vous avez bien compris! Cet édifice jeune d’à peine 15 ans suinte, dégouline et ruisselle de partout. Ce qui a déjà entrainé la fermeture de certains laboratoires, dont celui de pharmacologie. Plus inquiétant encore, l’écoulement des eaux sem-ble suivre le circuit des câbles électriques. Quand on sait que les deux ne font pas bon ménage, on peine à retenir son souffle. Enfin, la salle de collection biologique, le seul patrimoine national existant dans ce domaine, est largement déjà entamé par cette calamité. A ce rythme, on risque de la perdre définiti-vement.

Au lycée les élèves orientés en série scientifique ont tou-jours suscité l’admiration et symbolisé le sérieux et la discipline. Aussi pense t-on souvent (à raison) que les scientifiques sont des travailleurs désintéressés aux futili-tés. A l’USTM, cela ne semble plus être le cas. Sitôt le seuil de l’université franchi, une année d’échec en poche, l’haleine antithétique, nos braves enfants se transforment en monstres ignobles et indignes de leur glorieux passé. On n’en revient pas! Comment des étudiants au sérieux avéré et généralement responsables dans leurs familles respecti-ves arrivent-ils à déchoir à ce point? Malgré les mesures de dissuasion et de rétorsion appliquées, le problème n’est pas prêt de s’arrêter. Pourtant tout le monde s’y est mis: les enseignants, les étudiants chrétiens, les chefs de dépar-tement, les directeurs d’établissement, le Recteur, le mi-nistre lui-même aidé par les medias. Rien n’y fait. La brimade a la peau dure à l’USTM. Réagissons vite, avant qu’il ne soit tard.

BRAVO AUX MASTERS

A QUAND LA LIVRAISON? Il est beau et majestueux avec ses airs de château royal. Seulement voilà, cela fait un moment qu’on attend sa livraison officielle. Cet amphi, puisque c’est de lui qu’il s’agit, commence à exaspérer au-tant les étudiants que les enseignants, avec ses al-lées interdites, ses salles calfatées et ses bureaux inaccessibles. Avec l’accroissement vertigineux des effectifs à la Faculté des sciences, on craint qu’il ne

s o i t d é j à dépassé a v a n t m ê m e d ’ ê t r e livré.

ASSURANCE QUALITE

Le Département de Biologie reçoit chaque année plus d’une centaine d’invités de marque, parmi lesquels figurent des ministres et autres autorités des pays frères. Pour leur assurer une meilleure réception et convenir aux règles d’assurance qualité, le Département s’est doté d’un salon de réception conforta-ble. Ce qui agrémenterait leur séjour s en terre gabonaise.

Département de Biologie

Nouvel amphi Oseille de Guinée

Labo de Physiologie végétale Salle de collection

La Bio-Info de l’USTM

La Bio-Info de l’USTM

La Biologie au

cœur de la vie

Rédacteur :

Dr Nicaise LEPENGUE

Chef de Département de Biologie

lepengue_nicaise@yahoo.fr

Tel: (00241) 07684362 / 06764738

SOUVENIR DE L’USTM 1994 PLANTES CARNIVORES

ACQUISITIONS CAN 2012: MERCI A L’USTM

REVERENCE

- Livres de Génétique (Broussal, Viaud et Mbatchi) 4e Edition Flam-marion ; - Livre d’Ecologie tropicale (2011). - Blouses de laboratoire USTM; - Polos du Département de Biologie; - Tee shirts du Département de Biolo-gie; - Films sur Gnetum africanum 2010 (France 2); - Films du stage à Bakoumba édition 2009 à 2012; - Films sur l’INSAB, édition 2010; - Films de la Journées Biologique éditions 2010 à 2012; - Films des soutenances des étudiants de Master 1 et Master 2, 2012;

Il n’ya pas que dans le règne animal que sévissent les espèces carnivores. On en rencontre également dans le règne végétal. Mais soyez rassurés, pour vous-même et pour vos animaux do-mestiques. Les éléphants, biches, babouins et autres vipères du Gabon peuvent également dormir en paix. Qui sont ces végétaux carnivores, et comment procèdent–ils? Ce sont généralement des plantes munies d’organes préhenseurs, permettant la capture de petits insectes, tels que les mouches, les moustiques ou les abeil-les. Elles secrètent ensuite des protéases qui permettent la diges-tion des captures et la mise à disponibilité de l’azote. Les organes préhenseurs peuvent être en forme d’urne (cas du Népenthès ou de l’utriculaire), de poils (cas de la Drosera) ou de griffes (cas typique des Dionées).

Il ya déjà un an ou presque, que le Gabon co-abritait la coupe d’A-frique des nations. A Franceville, comme le monde entier l’a remar-qué il n’y avait pas que les Drogba, Ayew et autres Aubameyang qui faisaient le spectacle. Dans les tribunes, drapés dans leurs blouses blanches, propres au bénéfice du doute, les étudiants de Mbaya pris à première impression pour des infirmiers militaires en grève, ont plus qu’assuré le show. Chorégraphie époustouflante, sifflet ef-frayant et dissuasif, tamtam nerveux et maraboutique, les universi-taires de Franceville ont éclaboussé la CAN de tout leur talent. Dommage que la Fégafoot ne leur a pas accordé la place qu’ils méri-taient dans ce tournoi; Car à Franceville, le match contre le Mali ne se serait jamais passé ainsi. Des regrets pour une symphonie inachevée.

Cette année le Département de Biologie a ajouté à son matrimoine pédago-gique 3 nouveaux vidéo projecteurs, 3 balances ménagères de capacité 5 kg, et 10 loupes de terrain. Des tableaux noirs à craie ont été remplacés par des équivalents blancs à feutre. Les couloirs ont également été meublés de bacs de fleurs naturelles.

RENFORT AU DEPARTEMENT

Le Département de Biologie a fait fort ces deux dernières années en recru-tant pas moins de 10 jeunes enseignants chercheurs gabonais. A peine tren-tenaires, titulaires d’un doctorat, ces anciens étudiants de l’USTM ont débarqué avec leurs sacs à dos surchargés et leurs visages poupon extraordi-nairement juvéniles. Des vrais bleus quoi. Tant mieux, cela nous change un peu des visages classiques des ‘‘ngwamutu’’, Ya Bertrand, Ya Thom, Ya Jacques, Ya Benoît, Ya Tchick, Ya Ndob etc.

SOUVENIRS DES STAGES VENDUS AU DEPARTEMENT

JEUX: trouver l’intrus

Après des décennies de bons et loyaux services rendus à la nation, ils ont tiré leur révérence, pour faire valoir leurs droits à la retraite. Merci à Dr André Muloway Kalen-da, Mme Emane Christine et Mme Ndob Lissoune. Respect.

DECORATION DU PRFESIDENT

Le Chef de l’Etat gabonais SEM Ali Bongo Ondimba a été élevé à la dignité de Grand-Croix de l’Ordre international des palmes académiques du CAMES, au 16e concours d’a-grégation de médecine tenu à Libreville en novembre 2012.

DANGER A BAKOUMBA

Naja melanoleuca

EFFECTIFS

Echantillonnage au parc de Lékédi

Suivi des buffles par voie directe

La Bio-Info de l’USTM

LE DEPARTEMENT DE BIOLOGIE VOUS SOUHAITE BONNE ANNEE 2013

P a g e 4

Etudiants de l’USTM

La Bio-Info de l’USTM

RECONNAISSEZ VOS ENSEIGNANTS ACTUELS

ARRET SUR IMAGE

Licence 1 CBG: 689 Licence 2 CBG: 369 Licence 3 BCP: 12 Licence 3 BGST: 32 Master 1 BCP: 13 Master 1 BPE: 21 Master 2 BCP: 9 Master 2 BPE: 15 Doctorat 1ere Année: 5 Doctorat 2e Année: 7

Enseignants de l’USTM