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La biologie de l’amour
Jean-Baptiste Loin
Ne me demandez surtout pas quel rapport il y a entre l’amour et la santé...
L’amour est évidemment déterminant pour votre santé mentale, mais il l’est sans doute tout autant pour votre santé physique.
Voici ce qu’écrit à ce sujet Arthur Janov, le créateur de la fameuse thérapie primale :
« L’amour joue un rôle essentiel dans la formation du système nerveux, le développement des structures cérébrales et de la biochimie du cerveau au cours de la vie fœtale et de la petite enfance. »
« Priver d’amour un nourrisson après sa naissance, au moment même où il a besoin de sentir le contact de caresses affectueuses peut être aussi préjudiciable pour le développement de son intelligence et de sa personnalité
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que le priver de nourriture. »
« Inversement, retrouver l’amour peut, dans certains cas, inverser les effets du passé et libérer les tensions psychologiques sous-jacentes qui nous handicapent depuis l’enfance ».
Le développement du cerveau est donc bel et bien affecté par le manque d’amour depuis la vie intra-utérine, et entraîne ainsi des conséquences psycho-pathologiques qu’aucune circonstance de la vie adulte ne pourra plus changer.
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On a, depuis quelques années, acquis la certitude scientifique que l’empreinte laissée par les événements neurochimiques traversés par le fœtus et le petit enfant est extrêmement profonde.
En fait, la production des neurotransmetteurs, ces véhicules chimiques qui propagent ou bloquent les sentiments, est modifiée par l’expérience prénatale.
Trop de souffrance ou trop peu d’amour entraînent le verrouillage définitif des sentiments.
L’amour et les hormones
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Inversement, le bonheur et l’amour de la mère imprègnent l’organisme du bébé de substances chimiques qui combattent l’anxiété et la douleur.
Et cela le prépare ainsi favorablement non seulement à surmonter le traumatisme de la naissance mais aussi, plus tard, à mieux vaincre l’adversité.
Après la naissance, les effets biologiques de l’amour - ou du manque d’amour - ne cessent évidemment pas.
La carence affective subie par le nouveau-né empêche le développement de ses cellules nerveuses dans certaines structures cérébrales, interdisant ainsi le fonctionnement correct du cortex et du système limbique, autrement dit de la pensée et du sentiment.
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Un bébé privé de rapports émotionnels avec sa mère aura bien du mal non seulement à devenir un adulte capable de manier la pensée abstraite et de planifier l’avenir, mais aussi, tout simplement, de maîtriser ses impulsions et sa coordination.
L’amour ne peut toutefois pas lui être transmis par des mots. Seuls les actes en sont capables.
Au début, on le prendra dans ses bras, on l’embrassera ; plus tard, on lui montrera qu’on l’aime par une multitude de petits détails peuplant la vie quotidienne.
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Mais il n’est rien de pire que de prétendre verbalement aimer un enfant lorsque les actes lui donnent à ressentir le contraire.
L’amour-remède est donc bien quelque chose de concret : de l’acte et du contact physique.
Mais c’est surtout un ensemble d’événements neurochimiques.
Et ce remède là détermine à tel point notre façon de percevoir et d’agir qu’il fixe déjà, à l’aube de l’existence, les limites de notre longévité, les maladies dont nous serons affligés, et le bonheur auquel nous aurons droit.
Privé d’amour durant l’enfance, il nous faudra malheureusement avoir recours à l’alcool, au tabac, aux drogues, aux excès alimentaires, à l’hyperactivité ou
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à diverses activités dangereuses, pour conserver, ensevelie au fond de l’inconscient, cette frustration essentielle.
Et cela nous tuera avant l’heure ! Comme nous tueront l’indifférence et l’incapacité à vivre pleinement !
Mais, nourris de cet amour qui active la sécrétion de dopamine, nous n’aurons pas besoin de cocaïne pour avoir confiance en nous-mêmes ; gorgés de cet amour qui libère la sérotonine, nous n’aurons que faire des analgésiques pour affronter la souffrance...
Si, durant la période prénatale, nous sommes attendus avec joie et amour, si à la naissance nous conservons
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longuement un contact physique aimant avec notre mère, et si, par la suite, l’amour de nos parents nous est constamment montré, tout notre organisme baignera dans l’ocytocine et la vasopressine, les deux grandes hormones de l’amour, qui marqueront de leur empreinte indélébile un système nerveux et un cerveau désormais tout entier dédié à l’amour, à l’intelligence et à la vie.
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Nous avons vu que si l’amour est, bien entendu, avant tout un sentiment, c’est aussi un processus biochimique.
Maître d’œuvre dans ce processus, une hormone, l’ocytocine, produit l’affection et tous les comportements amoureux.
Mais elle joue également un rôle important dans la santé.
Comment fonctionne-t-elle donc ?
Il est de notoriété publique que le Français est une langue qui s’intéresse plus au rationnel qu’à l’émotionnel.
Certaines autres langues comptent souvent des dizaines de mots pour désigner les diverses formes d’amour.
En France, nous ne disposons que d’un mot pour parler de l’amour mystique, de
L’ocytocine, hormone de l’amour
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l’amour sexuel, de l’amour du conjoint, de l’amour des enfants ou de l’amour... de la choucroute.
L’organisme, lui, est loin d’être aussi monolithique, et différencie toutes ces sortes d’amours en mettant en circulation différentes hormones ou différentes combinaisons d’hormones.
Par exemple, une mère qui prend son bébé dans les bras pour lui donner le sein sécrète de l’ocytocine et de la prolactine...
Mais lorsqu’elle fait l’amour avec son partenaire sexuel, elle ne secrète que de l’ocytocine sans prolactine.
Cela dit, même si les associations changent, il semblerait bien que l’ocytocine soit presque toujours présente dans toutes les formes de
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sentiments ou d’actes d’amour.
Cette hormone a été découverte il y a exactement cent ans, et l’on pensa à l’époque qu’elle se limitait à commander les contractions de l’utérus pendant l’accouchement.
Il a fallu attendre 1979 pour qu’une expérience prouve qu’une injectiond’ocytocine dans le cerveau de rates vierges suffisait pour déclencher, chez ces animaux, des réflexes d’amour maternel.
Autrement dit, l’ocytocine joue un rôle essentiel dans le comportement maternel, et même dans toutes les facettes de l’amour puisqu’elle n’est jamais secrétée isolément mais fait toujours partie d’un bouquet aux fragrances aussi variées que le sont les différentes nuances de l’amour.
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L’ocytocine préside à un panel extrêmement large et varié de comportements, de sentiments et même de réactions physiologiques.
La multiplicité de ses effets s’explique par des réactions en chaîne agissant par voie sanguine et par ramification neuronale.
Cette hormone, agissant par voie sanguine, est évidemment en relation avec le système hormonal.
Les œstrogènes, par exemple, augmentent le nombre de récepteurs del’ocytocine et en stimulent la production.
Mais elle agit également avec de nombreux autres neurotransmetteurs.
C’est essentiellement en l’utilisant expérimentalement sous forme
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d’injections, chez les animaux et notamment les rats mais aussi plus d’une fois sur les humains, que l’ocytocine a révélé avoir divers effets physiologiques remarquables.
Ainsi, après une piqûre d’ocytocine, observe-t-on à court terme une augmentation de la tension artérielle, de la vitesse du pouls et du taux des hormones de stress.
Avec des doses répétées, c’est au contraire la réduction de l’ensemble de ces paramètres qui se produit.
On constate d’ailleurs les mêmes
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réactions sur l’appétit, que l’ocytocine réduit à court terme et augmente à long terme.
Par ailleurs, dans tous les cas il y a augmentation de la température du corps, diminution de la tension musculaire, stimulation de la digestion et de la diurèse.
Enfin, l’injection d’ocytocine améliore la cicatrisation et diminue l’inflammation.
Même chose sur le comportement où l’ocytocine favorise et facilite grandement la sociabilité et même l’accouplement, aide à l’apprentissage, y compris chez les individus en difficulté, et diminue la sensation de douleur.
Enfin, à faible dose, on note une augmentation de la curiosité et de la témérité, alliée à une diminution de
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l’anxiété, alors qu’à hautes doses l’ocytocine a un effet calmant voire somnifère.
Une autre forme d’expérimentation a été utilisée pour analyser les effets psychologiques et comportementaux de l’ocytocine : c’est le spray nasal.
Des chercheurs de l’université de Zurich ont en effet réussi à envoyer une dose de cette hormone vers le cerveau par voie nasale, et démontré que l’hormone de l’amour avait pour effet - finalement peut-être fâcheux - d’augmenter considérablement la confiance en l’autre.
Suite à cette découverte, un célèbre économiste a même confirmé l’effet de l’hormone sous forme d’aérosol en la testant sur des investisseurs et des banquiers.
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La vaporisation nasale de l’ocytocine est également quelquefois employée pour stimuler la production de lait chez les jeunes mères souffrant de problèmes d’allaitement.
En dehors des produits à base d’ocytocine - généralement pas très sérieux - proposés sur Internet, il est possible, par des moyens extrêmement simples, d’en stimuler la production par l’organisme.
Le plus simple de tous est évidemment le contact physique dont on sait qu’il
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libère de l’ocytocine chez les animaux, et que l’on suspecte très fortement de faire de même chez les humains.
Mais l’ocytocine est surtout libérée de façon massive dans le corps lors de l’orgasme.
Des études effectuées sur le campagnol, qui nous épate tous à cause de sa fidélité au même partenaire sexuel, démontrent que cette hormone s’exprime particulièrement dans les zones du cerveau très riches en dopamine.
Selon les neurobiologistes, le lien entre la dopamine et l’ocytocine est très important puisque l’étude sur les campagnols laisse penser que la réaction entre les deux hormones est à l’origine du sentiment d’attachement amoureux.
Braves petites bêtes !www.terra-editions.com
Nous avons vu que, plus que pour n’importe qui, l’amour s’avérait indispensable au bébé.
Inversement, les mauvais traitements ou les intoxications diverses subies par la maman se répercutent de manière assez dramatique sur la vie future du nouveau né.
On sait par exemple que :
L’anesthésie de la mère pendant l’accouchement a d’énormes répercutions sur la future personnalité d’un bébé qui, dès lors, aura de fortes chances de devenir apathique, faible et passif.
Un bébé heureux
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Une mère qui fume va souvent donner naissance à un enfant dont l’énergie sexuelle sera, plus tard, relativement diminuée.
La consommation d’alcool ou de tranquillisants durant la grossesse entraîne très souvent l’installation d’états anxieux ou dépressifs chez l’enfant devenu adulte.
Une mère stressée ou angoissée durant la grossesse peut déclencher des réactions hormonales propres à orienter son enfant vers une homosexualité ultérieure.
Un enfant qui a vécu un traumatisme avant, pendant et après l’accouchement, risque fortement de ne pouvoir évacuer la tension qu’à travers une hyperactivité sexuelle, capable même de se transformer en perversion agressive si
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l’enfance a été difficile.
Un enfant maltraité présentera de très faibles taux de sérotonine et démontrera une franche tendance à la violence, qu’elle soit d’ailleurs dirigée contre les autres ou contre lui-même.
Fort heureusement, on sait aussi qu’une mère qui aime son enfant dès avant sa naissance libère des hormones comme l’ocytocine, capables de favoriser, chez le fœtus, l’élaboration d’une physiologie et d’un cerveau beaucoup plus
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vigoureux que ne le seraient ceux d’unindividu qui n’aurait pas eu la chance d’être aimé.
Car c’est bien l’ocytocine libérée par les relations et les contacts qui, non seulement crée des liens émotionnels entre la mère et l’enfant ou entre les conjoints, mais entraîne l’apaisement, favorise la santé ou le retour à la santé, surtout en cas de maladies cardiovasculaires ou dans certains cancers.
L’amour et l’affection sont donc recommandés, mais comme ils ne se commandent pas et perdraient beaucoup à être considérés comme des remèdes, les thérapeutes préconisent deux générateurs d’ocytocine : la caresse et le massage.
Il a été observé qu’un toucher agréable, ou mieux encore une caresse, à une
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fréquence de quarante fois par minute :
réduisait la tension artérielle, élevait le seuil de la douleur,
diminuait le niveau des hormones de stress,
augmentait la croissance chez les animaux jeunes et les adultes, améliorait la sociabilité, et facilitait l’apprentissage.
Le massage, autre grand générateur d’ocytocine, fait, lui aussi, baisser la tension artérielle, le rythme cardiaque et le niveau de l’hormone de stress.
On a remarqué plus d’une fois que les bébés prématurés reprennent plus
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facilement et plus rapidement du poids grâce au massage.
On a également constaté que les enfants régulièrement massés sont plus calmes, ont plus de maturité sociale, moins d’agressivité et moins de petites maladies.
Amour, caresses, massages, mais aussi allaitement puis alimentation saine et bio, sontdonc les garants du bonheur du nouveau né et de sa croissance harmonieuse.
Pour bien cerner tous les besoins d’une vraie maman bio et de son bébé, Françoise Jourdain a compilé 80 pages d’indications 100% pratiques conçues pour accompagner la maman depuis la
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conception jusqu’aux maladies infantiles de son enfant, en passant par :
la grossesse
l’accouchement
l’allaitement
l’alimentation du bébé et du petit enfant
les nutriments indispensables à la croissance…
Dans son guide numérique, « Une maman bio pour un bébé bio », Françoise Jourdain va vous libérer de cette question angoissante qui se pose à tous les parents : « Que faire pour éviter à mon enfant ces médicaments chimiques qui sont presque toujours pires que le mal ? »
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Ce guide vous mènera même sur la voie délicate de la prévention et vous expliquera comment composer l’alimentation de votre enfant pour lui cultiver une santé de fer et lui éviter de tomber inutilement malade.
Tant de solutions naturelles, pourtant relativement simples, sont ignorées des parents !
Même celles et ceux qui connaissent assez bien les médecines douces et les appliquent avec pertinence sur
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eux-mêmes, hésitent bien souvent lorsqu’il s’agit de leurs enfants.
Et c’est bien normal ! Car les remèdes ne sont pas forcément les mêmes et les doses, surtout, sont totalement différentes.
Savez-vous, par exemple, quels types de remèdes, pourtant parfaitement naturels, ne doivent jamais être prescrits au jeune enfant ?
Pendant votre grossesse, avez-vous su ou sauriez-vous comment composer vos repas pour que votre futur bébé accumule un capital santé le préparant à braver toutes les épreuves ?
Connaissez-vous le moyen infaillible pour habituer votre petit enfant à manger de tout… et le faire ainsi profiter de la
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variété nutritionnelle indispensable pour se maintenir en bonne santé ?
Connaissez-vous les proportions de protides, lipides et glucides qui faciliteront la croissance de votre enfant ?
En cas de maladies infantiles, ne serez-vous pas heureuse de pouvoir remplacer les antibiotiques par les phytothérapiques et homéopathiques qui conviennent ?
Voulez-vous savoir évaluer, en fonction de ses maladies, quelles sont les carences minérales de votre enfant ?
Et que diriez-vous de pouvoir choisir, parmi les compléments nutritionnels, ceux qui lui assureront une solide construction osseuse et un bon développement cérébral ?
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Tout cela, vous allez le trouver dans
Une maman biopour un bébé bio
de Françoise Jourdain
Françoise Jourdain, rappelons-le, a plus de vingt ans de journalisme spécialisé à son actif.
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Elle a collaboré avec des naturopathes, des homéopathes et des acupuncteurs, des psychothérapeutes et des enseignants de médecines orientales, rencontré de nombreux acteurs du monde de la bio, etc.
Vous avez pu trouver sa signature dans des magazines comme Médecine Douce, La Vie Naturelle, Médecine Naturelle, Pharmacie Naturelle, etc.
Ce dont elle vous parle, dans « Une maman bio pour un bébé bio », c’est :
de techniques médicales naturelles éprouvées,
de connaissances issues des découvertes les plus récentes en matière de diététique et de nutrition,
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de remèdes et de protocoles homéopathiques empruntés aux meilleurs médecins homéopathes,
de soins naturopathiques inspirés des grandes écoles de naturopathie,
et bien sûr de son expérience de mère…
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Directeur de collection : Naevius SakonRédaction : Jean-Baptiste LoinConception graphique : Nina
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