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1 La Débauche de Ma Femme Je m’appelle Stéphane. Stéphane Nakache, dirons-nous. Et je vais vous conter quelques morceaux choisis de ma vie de couple avec ma femme, Hanane. J’ai 45 ans, et suis chirurgien-dentiste. Je suis ce qu’on appelle un homme mûr, mais malgré mon léger surpoids je reste encore pas mal. Enfin, c’est ce que j’entends dire de moi. Je suis grand, 1m85, brun aux cheveux cours aux tempes grisonnantes. Hanane, quant à elle, n’a que 32 ans. C’est un sacré petit lot, je dois l’avouer. Elle est d’origine algérienne, de taille moyenne, cheveux châtain clair .Elle a de jolis yeux verts en amande et un petit nez droit. Elle a une poitrine assez imposante, un 95 D. Bien qu’elle se soit elle aussi légèrement arrondie ces dernières années, ce qui me plaît beaucoup d’ailleurs, elle a toujours de longues jambes galbées et un cul tout à fait adorable. Nous nous sommes rencontrés il y’a dix ans. Elle était en fac de médecine, dans laquelle je donnais quelques cours. Sa réputation sulfureuse, et je suis gentil, était arrivée jusqu’à mes oreilles. Quand je dis que je suis gentil, je n’exagère pas puisque ce qui se disait sur elle en tant que fille plus que facile était assez salé. C’en était assez pour que cela donne l’envie à un queutard comme moi de vérifier cette réputation par lui-même. Je passerai sur les détails de la manière dont je l’ai abordée, mais sachez seulement que quelques heures après lui avoir adressé la parole pour la première fois, cette salope avalait déjà mon foutre avec entrain, les seins à l’air, sous mon bureau. Tout est allé assez vite ensuite. L’année suivante elle abandonnait la médecine pour se consacrer à ma queue, et je dois dire qu’elle était bien plus douée pour ça que pour ses études. De toute façon mes seuls revenus étaient largement suffisants pour faire vivre notre foyer. Elle se trouva tout de même un emploi à mi-temps dans un magasin de décoration. Comment avons-nous décidé de nous mettre réellement en couple et de nous marier ? C’est simple. Hanane était une salope, et moi un beau salaud, et nous avions tous deux la même notion de ce que devait être un couple libéré. Au fil du temps, Hanane s’est montrée incapable d’être fidèle, justifiant cela par ses besoins sexuels hors normes .Je me suis fait une raison, et de toute façon j’ai toujours plus eu envie d’épouser une vraie cochonne qu’une femme fidèle. Bref. Trois ans plus tard nous officialisions les choses, ce qui ne changea rien à notre style de vie. Hanane m’était toujours soumise, et de plus en plus dévouée à ma bite et à celle des mecs par qui je décidais de la faire baiser, pour son plus grand plaisir. Ainsi, j’étais cocu jusqu’à l’os, mais au moins avec mon consentement, et ma participation. Nous avons donc un style de vie assez particulier. D’une part, nous avons des connaissances de confiance qui connaissent tout et participent à notre débauche, et une vie en société des plus respectables d’autre part. Voilà pour les présentations, et le contexte. Nous sommes un vendredi soir de juillet 2007. Il est 18H00 et je viens de terminer ma dernière consultation. Il a fait une chaleur écrasante toute la journée. Et toute la journée j’ai pensé à ma femme et à la manière dont j’allais la baiser. Je lui passe un coup de fil avant de quitter le cabinet.

La Débauche de Ma Femme

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Ma femme Hanane est une grosse salope soumise qui prend plaisir dans sa dépravation.

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La Débauche de Ma Femme

Je m’appelle Stéphane. Stéphane Nakache, dirons-nous. Et je vais vous conter quelques morceaux choisis de ma vie de couple avec ma femme, Hanane. J’ai 45 ans, et suis chirurgien-dentiste. Je suis ce qu’on appelle un homme mûr, mais malgré mon léger surpoids je reste encore pas mal. Enfin, c’est ce que j’entends dire de moi. Je suis grand, 1m85, brun aux cheveux cours aux tempes grisonnantes. Hanane, quant à elle, n’a que 32 ans. C’est un sacré petit lot, je dois l’avouer. Elle est d’origine algérienne, de taille moyenne, cheveux châtain clair .Elle a de jolis yeux verts en amande et un petit nez droit. Elle a une poitrine assez imposante, un 95 D. Bien qu’elle se soit elle aussi légèrement arrondie ces dernières années, ce qui me plaît beaucoup d’ailleurs, elle a toujours de longues jambes galbées et un cul tout à fait adorable.

Nous nous sommes rencontrés il y’a dix ans. Elle était en fac de médecine, dans laquelle je donnais quelques cours. Sa réputation sulfureuse, et je suis gentil, était arrivée jusqu’à mes oreilles. Quand je dis que je suis gentil, je n’exagère pas puisque ce qui se disait sur elle en tant que fille plus que facile était assez salé. C’en était assez pour que cela donne l’envie à un queutard comme moi de vérifier cette réputation par lui-même. Je passerai sur les détails de la manière dont je l’ai abordée, mais sachez seulement que quelques heures après lui avoir adressé la parole pour la première fois, cette salope avalait déjà mon foutre avec entrain, les seins à l’air, sous mon bureau.

Tout est allé assez vite ensuite. L’année suivante elle abandonnait la médecine pour se consacrer à ma queue, et je dois dire qu’elle était bien plus douée pour ça que pour ses études. De toute façon mes seuls revenus étaient largement suffisants pour faire vivre notre foyer. Elle se trouva tout de même un emploi à mi-temps dans un magasin de décoration. Comment avons-nous décidé de nous mettre réellement en couple et de nous marier ? C’est simple. Hanane était une salope, et moi un beau salaud, et nous avions tous deux la même notion de ce que devait être un couple libéré.

Au fil du temps, Hanane s’est montrée incapable d’être fidèle, justifiant cela par ses besoins sexuels hors normes .Je me suis fait une raison, et de toute façon j’ai toujours plus eu envie d’épouser une vraie cochonne qu’une femme fidèle. Bref. Trois ans plus tard nous officialisions les choses, ce qui ne changea rien à notre style de vie. Hanane m’était toujours soumise, et de plus en plus dévouée à ma bite et à celle des mecs par qui je décidais de la faire baiser, pour son plus grand plaisir. Ainsi, j’étais cocu jusqu’à l’os, mais au moins avec mon consentement, et ma participation.

Nous avons donc un style de vie assez particulier. D’une part, nous avons des connaissances de confiance qui connaissent tout et participent à notre débauche, et une vie en société des plus respectables d’autre part. Voilà pour les présentations, et le contexte.

Nous sommes un vendredi soir de juillet 2007. Il est 18H00 et je viens de terminer ma dernière consultation. Il a fait une chaleur écrasante toute la journée. Et toute la journée j’ai pensé à ma femme et à la manière dont j’allais la baiser. Je lui passe un coup de fil avant de quitter le cabinet.

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– Allo ma chérie ? Ça va ? T’as passé une bonne journée ?

– Ouais. Tranquille. Et toi ?

– Moi j’ai grave envie de te baiser là. Enfile une tenue sexy pour m’accueillir. Tu ne vas pas être déçue.

Hanane rit.

– Eh ! Au cas où t’aurais oublié, y’a Michel qui vient dîner ce soir !

Merde ! Michel ! C’est vrai que je l’avais complètement oublié. Michel est un très vieil ami, rencontré lorsque j’étais en fac. Il fait vraiment partie de mes meilleurs potes. Malgré cela je ne l’ai plus vu depuis deux ans. Il est commercial dans le sud de la France. Il doit venir voir un gros client dans l’est et en profite pour passer chez nous. Bref, Michel ne fait pas partie des types à qui je livre ma femme en pâture, et il n’est pas au courant de notre vie de débauchés. Il connaît bien Hanane mais est à mille lieues de s’imaginer quel genre de salope elle peut être. Une idée folle me traverse l’esprit, et je dis à ma compagne :

– Et alors ? Fais-toi belle quand même, ma chérie. On te baisera tous les deux !

– Oui. Bien sûr ! T’as pensé aux conséquences ? Michel est un ami proche. Qui connaît tous nos amis proches. C’est hors de question. Il y’a certaines personnes aux yeux desquelles je n’ai franchement pas envie d’être cataloguée comme une salope !

Elle a raison. Ce n’est pas raisonnable. Mais je n’en ai rien à foutre, et suis très excité. Je prends un ton qui se veut dur :

– Je ne crois pas t’avoir demandé ton avis. Habille-toi sexy, point barre !

Je raccroche immédiatement alors que le combiné me transmet encore ce que j’imagine être des protestations.

Moins d’une demi-heure plus tard, je passe la grille de notre propriété. Dans l’allée de gravier je vois la 306 de Michel, qui est déjà arrivé. Je gare ma BMW derrière .Quand j’entre dans la maison j’entends des rires qui proviennent de la terrasse de derrière. Je traverse le salon salle à manger, puis entre dans la véranda dont les portes vitrées s’ouvrent sur la terrasse et notre grand jardin.

Michel et Hanane sont assis côte à côte à la table en tek. Michel n’a pas beaucoup changé. C’est un homme blond aux yeux bleus, aux cheveux en bataille et à la barbe un peu négligée. Il est de taille moyenne. Il semble avoir pris un peu de bide depuis la dernière fois où nous nous sommes vus. Hanane, quant à elle, a finalement cédé à ma demande. Elle a attaché ses cheveux en chignon sur une baguette en bois. Elle est très maquillée, un gloss rose aux lèvres et un mascara profond cerne ses yeux verts. Elle porte un top beige au large décolleté empire, très profond, et qui révèle l’absence de soutien-gorge pour soutenir sa forte poitrine.

Elle se lève pour m’accueillir et je vois qu’elle a mis sa jupette blanche plissée et très courte. Elle s’est également chaussée de mules blanches à talons aiguilles. Elle vient m’embrasser rapidement. Un petit baiser sur la bouche. Michel se lève à son tour pour me donner une franche accolade.

– Stéphane ! Depuis le temps ! Ça fait super plaisir ? Comment vas-tu ?

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Nous discutons ainsi, pendant quelques minutes, ravis de nos retrouvailles. Ma femme a servi une bière à Michel tandis qu’elle sirote un Martini.

– Je vais me chercher un truc à boire, leur fais-je alors, je reviens.

Puis, d’un signe de la tête je fais comprendre à Hanane de me suivre. J’entre dans la cuisine et me saisis de la bouteille de whisky. Hanane est là, tout près. Je me sers et me retourne vers elle.

– Eh bien. Tu sembles avoir changé d’avis. Ce n’est pas une tenue sexy ça ! C’est carrément une tenue de pétasse !

– J’avais le choix ?

– Non.

– J’espère que tu es conscient de ce que tu fais, me dit-elle en faisant la moue.

Je me contente de lui sourire et de venir me coller contre elle. Je passe ma main sous sa jupe et la soulève. Elle se laisse faire, docile. Je découvre un micro string léopard. Je passe derrière elle et lui palpe les fesses, avant de commenter :

– Ouais. Une vraie tenue de pouffiasse. De vulgaire pouffiasse. Je suis sûr que t’attends que ça en fait. Qu’on te baise. Tous les deux.

Je passe une main sous son top aux fines bretelles et me mets à lui tripoter les nichons. Je renchéris, en lui chuchotant à l’oreille :

– Dis-le que t’en as envie. Salope. Hein ? Dis le ma pute.

Sa respiration s’accélère tandis que je lui pince un téton. Je sais qu’elle aime ça, quand je lui parle ainsi. Dominée et humiliée, la chienne qui me sert d’épouse ne contrôle plus rien et est capable de tout .Elle me répond tout de même, déjà essoufflée.

– Tu sais. Tu sais que ce n’est pas raisonnable. Arrête. Arrête ça s’il te plaît.

– Arrêter ? Tu sais que Michel est divorcé depuis trois ans. Si ça se trouve il n’a pas baisé depuis des mois. Je ne vais pas le priver de ma p’tite salope attitrée. Ce serait trop cruel.

– Michel. Je l’aime bien. Mais il parle trop. Tous tes amis. Tous nos amis le sauront.

Je repasse devant ma femme. Son top a de très fines bretelles et est vraiment échancré. Le décolleté se termine par trois boutons. J’en fais rapidement sauter les deux premiers. Sa tenue est maintenant plus qu’obscène.

– Non. S’il te plait. Stéphane.

Je lui saisis le poignet alors qu’elle essaie en vain de se reboutonner. Je la force à se retourner et lui claque le cul en lui disant :

– Allez. Ne faisons pas attendre notre invité.

Je suis Hanane jusqu’à la terrasse, admirant son cul qui se balance sous mes yeux. L’apéritif se prolonge. Nous buvons plusieurs verres. Je m’aperçois que Michel a bien du mal à détourner son regard du décolleté vertigineux de mon épouse. Et je me rends compte que celle-ci l’a remarqué. Elle semble se détendre un peu après quelques martinis, une lueur de malice dans le regard. Et moi, je commence à être impatient.

– Ma chérie, dis-moi, si tu commençais à nous préparer le repas.

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– C’est vrai qu’il se fait tard ! Vous commencez à avoir faim ?

Faim, oui, j’ai faim de son cul. Elle se lève et nous laisse, Michel et moi, finir notre verre. Pendant quelques minutes nous discutons, de tout, de rien, du passé. Puis je dis à mon ami, assez brutalement :

– Tu penses quoi d’Hanane ?

Michel est gêné, ne sait trop comment aborder cette question.

– Ben. J’la trouve super sympa. Pourquoi ?

– Ça fait un bail qu’on se connaît, hein ?

– Ouais. C’est clair.

– Physiquement. Tu la trouves comment ?

Là, je vois que sa gêne s’accentue.

– Physiquement ? Je dirais que t’es un mari comblé ! Non ? C’est quoi ces questions à la con ?

J’éclate de rire.

– Tu crois que je t’ai pas vu la reluquer mon salaud ?

– Attends. C’est difficile de faire autrement ! C’est humain non ? Faut dire qu’elle ne s’habille pas comme ça d’habitude !

– En fait. Tu la connais mal.

Je le regarde droit dans les yeux avant de lui sortir :

– Ça te dirait de la baiser ?

Michel reste sans voix pendant quelques secondes. Il boit une gorgée de bière avant de réagir.

– T’es malade ou quoi ? C’est ta femme. Je la respecte. Je vous respecte !

– Si tu n’as pas envie .Tant pis ! Tu sais, ça va la décevoir. Elle n’attend que ça. Qu’on la baise tous les deux. Comme tu l’as dit si bien, elle ne s’est pas habillée comme d’habitude. Tu crois que c’est un hasard ?

Je vois une lueur lubrique traverser le regard de mon ami. Il commence à imaginer ce que cela pourrait être. Mais il ne semble pas céder. C’est vrai que c’est un peu difficile à croire. Nos rapports sont si bien établis, bien délimités, depuis tant d’années. C’est ma femme qui va achever de le convaincre. J’entends dans mon dos le claquement de ses mules sur le carrelage. Ses mains se posent sur mes épaules. À cet instant je lui dis :

– Tiens. Quand on parle du loup.

Elle éclate de rire et me fait :

– On en voit la queue, c’est ça ?

Nous éclatons de rire. Puis elle se penche sur moi pour me donner un baiser profondément sexuel, très langoureux. Je me rends compte qu’elle maintenant chaude comme la braise. Je connais cette attitude Elle a envie de cul, et je sais que l’idée de baiser avec Michel a insidieusement fait son chemin dans son esprit. Pendant qu’elle m’embrasse je jette un coup d’œil à Michel. Il a l’air excité. Il me semble en tout cas. Hanane se redresse.

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– Ma chérie. J’étais en train de dire à Michel à quel point tu pouvais être une petite salope. Il ne veut pas me croire.

Hanane rougit de cet exquis mélange de honte et d’excitation. Sa respiration s’accélère. D’une voix un peu saccadée elle dit alors à notre invité, le regardant droit dans les yeux :

– C’est vrai Michel ?

Elle fait le tour de la table, lentement, s’approchant de lui de manière féline. Michel ne dit rien mais ne rate rien du spectacle. Il semble ailleurs.

– Pourtant Stéphane a raison. T’as vu ? Je suis fringuée comme une pute non ?

Michel ne répond pas. Hanane se penche, pose sa main gauche sur son épaule tandis que je vois la droite se diriger vers l’entrejambe de mon ami. Ma femme approche son visage tout près de celui de Michel.

– Hmmm. Ta queue te trahit. Tu bandes mon salaud !

Puis Hanane me regarde :

– Mon chéri. J’ai le droit de sucer ton ami. J’en ai très envie tu sais.

Je prends le ton autoritaire qui rend mon épouse complètement incontrôlable :

– Bien sûr. Ce n’est pas un droit. C’est un devoir. N’est-ce pas Michel. Tu veux que ma salope te pompe ?

Michel sort enfin de son silence et nous dit d’une voix rauque :

– Si c’est ce que vous voulez.

Cette approbation suffit à Hanane et je vois ses deux mains s’affairer immédiatement sur la braguette de mon pote. Michel recule sa chaise et écarte les jambes pour qu’Hanane puisse se mettre à genoux. Je me lève, et emmenant ma chaise je viens m’asseoir à côté de Michel, pour ne rien rater du spectacle. Ma chérie est surexcitée. Très rapidement elle fait jaillir la queue bandée de Michel. Celui-ci a une pine large et assez longue comme ma femme les aime. Immédiatement Hanane attrape la base du gros pénis et commence à en lécher le gland. Michel pousse un soupir. C’est très étrange.

Cette situation m’excite beaucoup plus que quand Hanane suce les queues d’inconnus ou d’habitués à son statut de salope. En un instant, l’idée que se faisait un ami intime de notre respectable couple vient de basculer dans la perversité. Hanane regarde Michel droit dans les yeux en donnant des coups de langue sur sa hampe et en lui malaxant les burnes.

– Alors Michel, t’en penses quoi ? C’est une salope ou pas ma femme ? Allez lâche-toi ! Elle adore ça qu’on lui fasse comprendre quel genre de femme elle est !

Michel se lâche complètement.

– En fait. Je dois l’avouer. Je me doutais bien que ta femme était une p’tite chienne !

– Ah oui ?

– Ouais. C’est clair .J ’t’aime bien Hanane mais, m’en veux pas, la vérité c’est que je t’ai toujours trouvée allumeuse.

– Oh, je ne crois pas qu’elle t’en voudra. Bien au contraire .Hein ma chérie ?

Hanane rit. Elle se met à pomper et à parler alternativement :

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– Hmmm. Je le prends comme en compliment. Tu sais Michel. Ta queue est bonne. Hmmm. Oui. Si bonne. Allumeuse. Le mot est faible. Disons que je suis plutôt. Une p’tite pute. Une p’tite pute suceuse de bites. Une vraie cochonne avide de foutre. Hmmm.

Michel est maintenant surexcité.

– Alors suce ! C’est ça salope suce ma queue. Oui. Comme ça. Pompe. Pompe ma salope.

Hanane gémi. Je sais qu’elle est aux anges. Sa pipe redouble de profondeur. Bouffer de la queue en se faisant traiter comme une vulgaire pétasse, voilà quelque chose qu’elle affectionne particulièrement. Et moi, je bande comme un âne. Il me vient une idée. Je me lève et leur dis :

– Je reviens.

Je vais dans le salon et me dépêche de fouiller dans le sac d’Hanane. J’y trouve son téléphone portable. Quand je reviens c’est pour voir mon ami se faire manger la queue jusqu’aux couilles. Michel a tiré sur le top de ma femme, lui mettant les loches à l’air Ses grosses loches qu’il tripote avec entrain.

– Ma chérie, ça te dirait que je dise à Momo de passer après manger ?

– Hmmm. Oui. Si tu veux. Plus on est de fous.

– Je vais lui envoyer un petit film, pour le motiver, OK ? Comme ça c’est toi qui vas l’inviter.

Mohamed est un type que nous avons rencontré il y’a quelques mois en discothèque. C’est désormais un habitué des trous de mon épouse. Michel ne dit rien. Il a compris. Je commence à filmer la scène et lance :

– Salut Momo ! Ça va ? Je t’envoie un petit film. Ma femme a un truc à te demander.

Hanane arrête de pomper, et tout en continuant à branler Michel, regarde l’objectif.

– Coucou Mohamed ! Tu vois là je suce une bonne queue. Comme une grosse pute ! Mais bon, on est que trois et. Ta grosse tige me manque un peu si tu vois ce que je veux dire. Alors si tu veux passer me troncher.

Elle se remet à pomper comme une dératée, gémissant en enfonçant le pieu de Michel jusqu’à la luette .Mon pote l’attrape par les cheveux et se met à gueuler :

– Allez salope ! Pompe, pompe ! Je vais te juter à la gueule cochonne ! Putain si j’avais su !

Il pousse un râle de plaisir.

– Putain avale ! Oui c’est bon avale tout mon foutre pouffiasse ! Oui. Hmmm

Il donne carrément des coups de reins et sous mon objectif se met à se vider les burnes dans la bouche de ma femme. Tandis qu’elle tente de ne pas en perdre une goutte, je rajoute :

– Bon, Momo. Passe vers 21H30.Si ça te dit.

Puis, tandis que la queue de Michel ramollit dans la bouche de mon épouse, je recherche Mohammed dans les contacts. J’envoie le film. Je suis sur le point de reposer le téléphone, tandis que Michel et Hanane reprennent leur respiration, cette dernière récupérant avec ses doigts le foutre qui dégouline sur son menton pour l’ingurgiter, quand un des contacts attire mon attention. « Gérard ».C’est le chef de rayon d’Hanane. Si j’osais. Je dois être fou. Je ne sais pas ce qui me prend. En quelques clics j’envoie le film à son patron, changeant

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radicalement les futurs rapports que mon épouse et ce cher Gérard entretiendront par la suite.

À peine ma salope d’épouse a-t-elle lâché la queue de Michel qu’elle pivote sur ses genoux pour venir se placer entre mes jambes.

– Donne-moi ta queue, me fait-elle, haletante. J’ai encore envie de bite !

Je fais sauter le bouton de mon jean puis Hanane s’empresse d’achever la tâche et de sortir ma pine gonflée à bloc. Tout cela m’a sérieusement excité. Ma femme commence alors par lécher mon gourdin de haut en bas tout en la reniflant bruyamment. Je regarde Michel qui observe la scène, sa queue redevenue molle toujours à l’air. Il a les yeux dans le vague et semble incrédule, reprenant son souffle.

– T’aime ça la queue hein ma chérie, lui dis-je, faisant un clin d’œil à Michel.

– Ouais... Ouais j’aime ça ! J’adoooore ça même... Bordel, ça fait si longtemps que je n’ai pas été excitée à ce point !

Ces paroles prononcées elle entreprend de pomper mon gland du bout des lèvres, me regardant droit dans les yeux. Soudain, le téléphone d’Hanane sonne. Je m’en saisis. C’est un SMS de Mohamed. « Peux pas venir ce soir, suis en week-end dans ma famille ! Amusez-vous bien, dis à ta femme qu’elle ne perd rien pour attendre ! ».

J’annonce la mauvaise nouvelle à Hanane. Elle arrête de me sucer un instant, gardant cependant toujours ma tige dans sa pogne.

– Merde, soupire-t-elle, déçue... Il me baise si bien ! En plus ce soir j’ai une de ses soifs de bite !

– T’as envie d’être vilaine ?

– Ouais...

– Très vilaine ?

– Carrément !

– L’idéal, pour Hanane, fais-je alors à Michel, c’est d’avoir trois queues sous la main. N’est-ce pas ma chérie ?

– C’est clair, me répond-elle tout en se retournant pour sourire à Michel... Même plus...

Michel ne dit toujours pas un mot. Je comprends que tant de révélations sur des amis de longue date le scotchent un peu. Soudain, la sonnerie du téléphone se fait à nouveau entendre. C’est l’accusé de réception du MMS que j’ai envoyé au chef de rayon d’Hanane. Elle continue à me branler machinalement et me lance un regard interrogateur. Que faire ? Lui mentir ? Elle le saura bien de toute façon... Et j’ai envie qu’elle le sache... Et ça m’exciterait tellement que ma femme se fasse baiser sous mes yeux par son supérieur... Un vieux fantasme macho sûrement...

– Tu me fais confiance, ma chérie ?

– Euh... Oui... Enfin, pourquoi ?

– Tu la veux ta troisième bite ?

– Oh que oui !

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– Il n’y a pas que Michel qui vient d’apprendre que t’es une pute...

– ...

– Le film, je l’ai envoyé à quelqu’un d’autre...

Je la mate avec un sourire pervers. Elle cesse un instant de me masturber. Son expression est mêlée de curiosité et d’appréhension. D’excitation aussi, j’en suis sûr...

– À qui ?

Je lui réponds par une question :

– Dis-moi... Ton chef, Gérard Grangeot... Tu m’avais pas dit que tu le trouvais plutôt beau mec ?

Elle a un mouvement de recul, écarquille les yeux et lâche ma bite.

– QUOI ? ! T’as pas fait ça quand même ?

– Si !

Je rigole, attendant la suite de sa réaction !

– Mais t’es vraiment trop con !

– Je croyais que tu voulais de la bite !

– Mais... Mais...

Elle est estomaquée, met quelques temps à trouver ses mots avant de continuer :

– Mais je vais passer pour quoi, moi, au taf ?

– Ben... Pour une salope ! C’que t’es, non ? Et entre nous, t’as pas hésité trop longtemps à pomper Michel.

Là je touche un point sensible. Même s’il est vrai que j’ai quand même bien insisté, je sais que ça lui a finalement plu. Mais à cet instant je ne sais pas comment va réagir Hanane. Ça va être quitte ou double. Ou j’ai foutu la soirée par terre, ou ça va être une nuit mémorable. Je suis aux anges quand j’entends Hanane me dire :

– Et d’abord... Qu’est ce qui te dit que Gérard va être dispo ? Et peut-être qu’il n’en aura pas envie !

– Aaaah ? Donc finalement tu envisages qu’il puisse te baiser ?

– Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? Tu lui envoies un film de moi où je me comporte comme la dernière des catins ! C’est un peu trop tard pour faire machine arrière, non ?

Connaissant bien ma femme, je sais que cela veut dire oui, même si elle ne l’avoue qu’à demi-mot. Et j’entends bien que sa voix chevrote, non de peur, mais d’excitation. Elle transpire l’excitation. Mais cette réponse ne me plait guère. Je veux un oui franc.

– Donc, tu ne serais pas contre ?

– ...

– Tu veux que je propose à Gérard de venir oui ou merde ? Tu sais, ce message ne lui était pas adressé... Il a sûrement cru qu’on lui avait envoyé par erreur... Ça m’étonnerait qu’il

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appelle ! Alors que je suis sûr qu’il crève d’envie de niquer une belle salope comme toi...C’est à toi de voir...Si tu veux ta troisième bite...

Elle met deux ou trois secondes avant de me répondre :

– Vas-y... Fais-le ! C’est toi qui l’auras voulu... Tu veux que je sois une chienne aux yeux de tout le monde ? T’as gagné, fais-le !

– T’en crèves d’envie !

– ...

– J’me trompe ?

– Bordel ! Je crois bien que je suis née salope...Ça doit être ça... Oui... C’est sûrement mon destin de vider des couilles bien juteuses...

Puis dans un soupir elle rajoute :

– Vas-y... Appelle...

– Michel... Mon vieux, je crois qu’on va bien s’amuser ce soir !

– Vous ne vous emmerdez pas, quand même ! répond-il en se marrant...

Il semble enfin détendu, et a compris qu’il n’y a pas de raison de se prendre la tête... D’ailleurs il n’a pas remballé sa bite qui semble se gorger de sang à nouveau.

J’appelle Gérard, et mets le micro pour que tout le monde entende. Ma femme, sans que je le lui aie demandé, se jette à nouveau sur ma queue qui menaçait de se mettre en berne.

– Trois sonneries, puis Gérard décroche.

– Allo ?

– Allo, Monsieur Grangeot. ?

– Oui ?

Sa voix est un peu hésitante.

– C’est le mari d’Hanane Nakache au téléphone...

– ...

– Vous m’entendez ?

– Oui, oui... Je vous entends...

Il est méfiant. Il ne me connait pas. Et il ne connaissait pas Hanane sous l’angle que je viens de lui faire découvrir. Je décide de ne pas tourner autour du pot, et prends volontairement un ton très amical et rassurant :

– Dites-moi... Vous avez bien reçu le petit film que ma femme vous a envoyé ?

Hanane, sans cesser de téter ma tige me lance un regard du genre « tu exagères », en entendant ce mensonge. À l’autre bout de la ligne Gérard Grangeot émet un petit rire nerveux :

– Oui... J’ai bien reçu le message... Mais je ne crois pas qu’il m’était destiné...

Il ne se livre pas alors que je suis sûr que ça l’a excité.Ca l’a forcément excité.

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– Mais détrompez-vous, rétorqué-je, comme ce « Momo » n’était pas disponible ce soir, ma femme a absolument tenu à ce que l’on vous envoie cette invitation... Voyez-vous, cette pute m’a avoué qu’elle mouillait constamment, au boulot, en imaginant que vous la baisez !

Entendant comment je l’insulte devant son patron, Hanane se met à pomper plus avidement encore. L’humiliation, décidément, est son péché mignon et le détonateur le plus efficace de sa libido.

– Eh bien... Je ne sais que dire... Attendez une minute, restez en ligne, me fait Grangeot.

J’entends un bruit de porte que l’on ferme, puis il reprend :

– Ce n’est pas si simple, Monsieur Nakache... Je suis Marié...

– Trouvez un prétexte... Attendez, je vous passe ma femme... Vous ne savez pas ce que vous perdez !

Je passe le portable à ma femme en disant bien fort :

– Eh, cochonne ! Dis-lui comme t’es chaude !

Hanane est maintenant surexcitée, son regard est pétillant de lubricité. Elle joue le jeu à fond, brisant les dernières barrières de son amour propre. Elle prend la voix lascive que je lui connais :

– Tu sais Gérard... J’ai vraiment envie de ta queue... J’ai trois orifices... Pour seulement deux bites...Fais un effort... Franchement... Ça ne te dit pas de venir me sauter là...

– OK, ma salope... C’est ce que tu veux ? Ben si je m’attendais à ça !

– Cool ! fait Hanane.

– Je serai là vers dix heures... Je vais trouver une excuse bidon... Mais prépare-toi... Je ne te savais pas si salope, mais toi, tu n’imagines même pas comme je peux être un gros porc... Je te préviens, je ne vais pas faire le déplacement pour rien !

– Hmmm tu m’excites Gérard... Ne tarde pas trop !

– A tout à l’heure.

Hanane raccroche et entreprend de me sucer à nouveau. Je l’en empêche :

– Je me garde pour tout à l’heure ma p’tite pute... Vas plutôt nous nous servir.

Elle se relève, remballe ses loches dans son top. Elle se dirige vers la cuisine.

– Attends, lui fais-je. Ta culotte !

Très sensuellement, sexuellement même, elle se débarrasse de son string léopard de putain, et le jette sur la table, devant moi. Je le saisis. Il est trempé comme une éponge. Je le hume et souris avant de le jeter à Michel qui fait de même.

Le moins que l’on puisse dire, c’est ce que repas est étrange. Nous mangeons, et buvons, un peu trop certainement, comme si de rien n’était. Nous avons des conversations presque banales, rions beaucoup, pourtant la tension est palpable. Nous sommes tous impatients.

21H45. Nous venons de finir le plat principal. Je sens Hanane nerveuse.

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– On passe au dessert ? nous demande-t-elle. J’ai acheté une glace.

– Ah, bon ? Ce n’est pas toi le dessert, lui réponds-je ?

Tout le monde se marre. Puis je propose :

– On a qu’à attendre Gérard, ce sera plus sympa. Y’en aura bien pour trois. De la glace, je veux dire !

– Si tu veux, me dit Hanane. Bien. En attendant, je vais aller me refaire une beauté. Je ne sais pas pourquoi je me sens poisseuse.

Elle me fait un clin d’œil et disparaît, nous laissant, Michel et moi. Je nous ressers un verre de vin. Il fait bon maintenant, rien à voir avec la canicule de la journée, et un petit vent frais vient atténuer la moiteur de l’air.

– Je commence à en tenir une bonne, me dit Michel.

– Moi aussi ! Eh, tu vas assurer j’espère !

– T’inquiète. Une salope pareille, ça ferait bander un mort ! Euh. Quand même, t’es sûr que ça ne la dérange pas que je la traite comme ça ? Moi ça me plait mais.

Je l’interromps immédiatement :

– Mais non ! Combien de fois faudra que je te le dise. Elle aime ça ! Elle veut ça ! Et c’est une salope ! Un point c’est tout ! Si tu savais toutes les saloperies qu’on fait. Et elle en veut toujours plus !

– Ah ouais ? Par exemple, me demande-t-il, curieux ?

– Il y’a tellement de choses à raconter. Entre autres, elle adore aller faire la pute.

– La pute ?

– Ouais, la pute ! Elle s’habille comme une pouf’, et je l’emmène tapiner sur un parking la nuit. Ou dans un bois. Elle se fait troncher par des inconnus, pour un euro symbolique. J’ai filmé plein de trucs. Je te montrerai. D’ailleurs, ce soir, je crois que je vais filmer aussi.

Michel est sur le cul. Il finit son verre d’un seul trait.

J’entends le bruit d’une voiture qui remonte l’allée de la maison.

– Tiens. Voilà ce cher Gérard.

On sonne. Je me lève et me dirige vers la porte pour aller ouvrir. En passant dans le hall, je gueule :

– Ma chérie ! T’es prête ?

– Encore cinq minutes !

Je jette un œil à ma montre. Ça fait un quart d’heure que ma chérie m’a dit : « cinq minutes ». Ça nous a laissé le temps de faire connaissance, avec Gérard. Effectivement, c’est un mec plutôt beau. La quarantaine, brun, cheveux courts, grand et bien bâtit. Je comprends que ce type ne laisse pas Hanane indifférent. Il a tout de suite été à l’aise, et même plutôt sûr de lui. Tant mieux, Hanane aime ça, et ça a complètement décomplexé Michel. Je les ai laissés discuter tandis que je débarrassais la table pour apporter les assiettes à dessert.

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Nous sommes maintenant tous les trois attablés, sirotant un verre de vin rouge. Nous attendons. Les propos graveleux sur ma femme vont bon train. Ça me fout une trique dingue. Puis Gérard me sort, assez directif :

– Bon, qu’est-ce qu’elle fout ta cochonne ? Je croyais qu’elle voulait de la bite ? Elle se dégonfle ou quoi ? Je n’ai pas raconté des couilles à ma femme pour rien j’espère...

Je lui réponds avec un sourire rassurant :

– Je vais la chercher.

Je les abandonne et me rends à l’étage. Je sais très bien ce que fait Hanane. Elle se bichonne. Dans ces moments, elle se veut parfaite. Sur le palier je prends à gauche la porte du bureau, pour y chercher mon caméscope numérique. Puis je vais à la salle de bain. Ma femme est face au miroir, achevant de se maquiller. Je l’admire, la détaille, tandis que peaufinant son rouge à lèvres, elle me regarde du coin de l’œil, exprimant un air libidineux.

Hanane a détaché ses cheveux. Elle porte ses grandes boucles d’oreilles en anneau. Elle a encore plus insisté sur l’eyeliner et le mascara que tout à l’heure. En plus du gloss rose, elle est en train de rajouter un fin liseré couleur prune sur le pourtour de ses lèvres. Elle a fini. Elle se retourne vers moi et me sourit.

J’adore. Elle fait salope, très salope. Mais ce qui me rend fou de désir, c’est surtout la tenue qu’elle a choisie. Elle est uniquement vêtue de noir, de « vêtements » que nous avons achetés dans des sex-shops. Un bustier de vinyle très serré à la taille, qui s’arrête sous sa poitrine et laisse nus ses nibards, les soulevant et faisant pointer ses tétons. Ses seins sont déjà gros. Là, ils paraissent énormes, d’autant plus que le bustier lui donne une taille de guêpe. À la guêpière, qui s’arrête juste au ras de sa fente surmontée d’un triangle bien délimité de poils drus, et au quart supérieur de sa croupe que mon épouse a laissée nue, est intégré un porte-jarretelles, auquel sont suspendus une paire de bas noirs aux larges résilles. Elle a chaussé ses bottes de cuir très pointues et au fin talon aiguille.

Et, pour parachever le tout, elle a mis un collier. Ou plutôt devrais-je dire « le » collier. Le collier de chien orné de pointes de métal. Ce dernier détail fait toute la différence. C’est un code entre nous. C’est Hanane, et uniquement elle qui décide quand elle veut le mettre. Et quand c’est le cas, cela signifie qu’elle m’appartient, totalement, et sans condition. Elle livre donc son corps à mon esprit tordu.

Je pointe le caméscope sur ma femme et commence à filmer.

– Alors, mon amour... Parle-moi un peu... Comment ça se fait que t’es accoutrée comme ça ?

Elle ne parle pas tout de suite. J’en profite pour la filmer de plain-pied, puis je zoome sur son visage. Elle me répond alors d’une voix assez grave qu’elle se force à contrôler :

– Eh bien... Puisque je vais me faire sauter par mon boss et ton meilleur ami... Autant mettre les petits plats dans les grands.

– Onhon... Continue ma chérie...

Elle se lèche les babines et poursuit, s’approchant de la caméra.

– J’ai trop envie là... Envie de baiser... De me faire baiser comme une chienne...

Je la laisse parler.

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– Tu sais mon chéri... Si ça se trouve, à cause de toi, c’en est fini de ma réputation... Définitivement... Michel va sûrement parler... Et peut-être que Gérard va raconter à tout le monde au boulot quel genre de traînée je suis.

Elle me nargue, tourne sur elle-même et se penche en avant, accoudée au lavabo. Tournant la tête vers l’objectif, elle enchaîne :

– Qu’est-ce que t’en penses ? Ça te plaira que je passe pour la salope du quartier ? Que tout le monde pense que t’as épousé un sac à foutre ?

– Mais tu es la salope du quartier ma chérie... Et tu es un sac à foutre.

– Hmmm... Oui... C’est ce que je suis... Et tu sais quoi ? Ça me plait...

Hanane me tend encore plus son cul, écarte largement les cuisses. C’est affolant comme la guêpière fait paraître son fondement encore plus plein et généreux.

– C’est ça ma cochonne... Tends-moi bien tes miches... Ton gros cul à sodo... Reste comme ça... Ne bouge plus.

Je pose la caméra sur le meuble de la salle de bain. Je vérifie le cadrage et laisse tourner l’enregistrement. Je m’approche d’Hanane. Je lui pince une fesse, assez fort. Elle sursaute. Puis je palpe sa moule, sans douceur.

– T’es trempée... Cochonne...

– Oui... Ça mérite une punition non ?

En disant cela elle désigne la mallette noire qui est au pied du lavabo. Je la saisis et l’ouvre. Parmi les ustensiles qui s’y trouvent, je prends la laisse de cuir, et la cravache. J’attache la laisse au collier. J’ai envie de lui fouetter le cul, là, tout de suite. Mais ce serait égoïste. Il faut que les invités en profitent.

– Prends la mallette, ma chérie, et descendons.

Au passage je récupère d’une main le caméscope qui filme toujours. De l’autre, je tiens la cravache, et ma femme devant moi en laisse.

Quand une minute plus tard nous arrivons à la terrasse, nos invités en restent bouche bée.

Je dois dire que je m’en doutais, nos « invités » ne veulent pas de glace. Et ma femme non plus. Un quart d’heure plus tard, Hanane se bâfre de bonnes bites bien raides, son dessert préféré. Elle a eu ce sourire lubrique quand Gérard lui a exhibé sa queue, une bonne tige bien raide et gorgée de sang, bien plus grosse et large que la mienne, et qui n’a rien à envier à celle de Mohammed.

Les deux hommes se sont débarrassés de leur pantalon ainsi que de leur caleçon. Ils sont assis dans côté à côte dans leur chaise, sur la terrasse, et ma chienne est postée entre eux deux, à genoux. Je suis derrière les deux mecs, la caméra d’une main avec une superbe vue plongeante, et ma bite dans l’autre. Hanane est aux anges. Je suis excité comme un animal en rut, tandis que je filme sa petite gueule de chienne et ses gros seins. Elle pompe alternativement les deux hommes, gobe leurs couilles comme une vulgaire pute affamée de bite, elle branle leurs tiges maintenant luisantes de salive et de liquide séminal.

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Michel apprécie le moment presque silencieux. Gérard ne cesse de lui tripoter les loches tout en la gratifiant des pires d’obscénités. Il a tout de suite compris quel genre de garce Hanane est réellement, comment elle aime être traitée. Il s’en donne à cœur joie.

– Suce ! Suce-moi bien sale pute ! C’est çaaaa ! Comme çaaaa ! T’aime ça sucer de la bite, hein ? Putain si j’avais su, je t’aurais baisée depuis longtemps au magasin !

– Ben tu pourras rattraper le temps perdu maintenant, lui réponds-je ! Maintenant qu’elle a fait connaissance avec ta queue, elle pourra plus s’en passer, crois-moi ! N’est-ce pas ma chérie ?

– Onhon !

– Eh arrête de sucer un peu, la goulue, et réponds moi ! T’auras envie que Gérard te baise ?

Une queue dans chaque main, elle regarde vers l’objectif, les joues rouges, les yeux brillants.

– Oui... Gérard pourra me baiser... Tous les jours...Et Michel aussi, c’est quand il veut...

– Super ma salope, fait Gérard... Possible que t’aies une augmentation. Stéphane, mon salaud, t’as dégotté une perle !

– Ouais, je sais... Hein ma chérie, t’es la perle des salopes, non ? Parle-moi, dis-moi tout, dis à la caméra c’que t’es !

– Je suis... Je suis une petite pute... Une salope... Une traînée...

– Nan... T’es une GROSSE pute, une GROSSE salope, une GROSSE traînée, un SAC À FOUTRE ! DIS-LE !

Totalement déjantée, mon épouse se lâche :

– Ouais, t’as raison mon chéri... Je suis une grosse pute à défoncer ! Une grosse salope à baiser ! Une grosse traînée à faire tourner... Je mérite que ça, être traitée comme un bon sac à foutre docile !

À cet instant, Gérard attrape ma femme par la tignasse et lui introduit brutalement sa grosse bite dans la bouche. Il se met à baiser sa bouche comme si c’était sa chatte. Je dis à Michel :

– Allez mon cochon, lâche-toi ! Mets-lui aussi ta queue, y’a de la place pour deux la dedans !

Il s’exécute. Je me branle comme un fou tandis que le caméscope ne perd pas une miette de la scène. Avec un peu de difficulté, Hanane accueille les deux chibres dans son orifice buccal. Quelle vision de paradis ! Elle a les joues déformées, les yeux écarquillés, elle bave comme une chienne. J’adore.

J’adore la voir ainsi. C’est comme ça qu’elle doit être et c’est pour ces moments que j’aime être avec elle. Parce qu’elle est belle, bonne, et encore plus belle et bonne quand elle prend son pied à jouer à la pétasse en manque.

Hanane subit ce traitement pendant encore dix bonnes minutes, pompant, branlant, gobant comme une dératée. Puis Gérard ne peut plus tenir. Il se lève et se branle au-dessus de sa tête.

– Putain, je vais tout décharger ! Ouais, ouvre la bouche salope.

Trois longs jets de sperme viennent s’écraser sur le visage de ma femme, maculant son front, son nez, et ses cheveux. Puis un quatrième et dernier jet vient inonder son gosier. Vu la

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quantité, ça doit faire longtemps qu’il ne s’est pas vidé les bourses. Michel suit bientôt, visant ses nibards. L’éjaculation est plus modeste. Il faut dire que ma femme lui a épongé le poireau il y’a deux ou trois heures.

Tout le monde reprend son calme et son souffle, sauf Hanane, qui paraît surexcitée par ce traitement.

– Bien, ma salope, lui dis-je. À nous deux ! T’as mérité une bonne punition non ? Qu’en penses-tu ?

– ...

– Alors ? Jouer la pute comme tu viens de le faire ça mérite une punition... NON ?

– Si... Si...

Je m’adresse aux deux mecs :

– Vous allez voir, je vais vous montrer ce que je fais avec cette suceuse de bites...Qui veut filmer ça ? Michel ? Tiens !

Je me dirige vers la mallette et l’ouvre. Une vraie boîte de pandore. J’y prends une paire de menottes, un gros plug noir à forme conique et qui se resserre vers le bas, ainsi qu’une poire d’angoisse munie de lanières en cuir. J’attrape fermement ma chienne par sa laisse, et lui passe l’objet destiné à lui obstruer la bouche, serrant les lanières derrière son crâne. Pas un mot n’est prononcé, et ce silence est presque aussi excitant que d’entendre ces flopées d’injures que ma femme affectionne tellement. Michel est concentré sur sa tâche de caméraman. Puis je positionne Hanane le dos tourné aux mâles, à quatre pattes. Je me saisis de ses poignets pour les menotter dans son dos.

Ainsi, ma chère et tendre épouse se retrouve le cul bien tendu en arrière, le buste penché en avant et ses grosses mamelles pendant dans le vite, frôlant le sol. Je me saisis du plug, le montre à Michel.

– Regardez bien... Regardez bien ce qu’elle va se prendre dans le fion...

Je m’accroupis à côté d’Hanane. Elle tremble d’excitation, me jette un regard de chiennasse, et tend son derche vers l’arrière. Prendre des gros calibres dans l’anus, ça la rend dingue. Je crache sur son petit trou, étale bien ma salive, recueille sa mouille qui coule entre ses cuisses afin de finir de lubrifier son sphincter. Sans douceur j’y plante un doigt. Son cul a déjà pris tant de queues que je n’ai pas besoin de la préparer outre mesure. Je décide d’y aller franco.

D’un coup sec je rentre le premier tiers du plug dans son orifice. Hanane pousse un grognement. Puis je finis de lui dilater l’oignon en y mettant le reste de l’engin, qui se retrouve aspiré par son rectum, laissant juste la base dépasser afin de pouvoir le retirer. Cette dernière opération ne l’a pas fait broncher. Elle est magnifique ainsi, docile, soumise, fringuée comme une pute, le visage et les nichons dégoulinants de sperme, et le cul comblé à souhait. Et ce n’est que le début.

– Les mecs, un petit cognac, ça vous dirait ?

Ils sont étonnés, mais acceptent. Laissant Hanane dans cette position humiliante, je m’en vais deux minutes pour nous servir trois digestifs. Quand je reviens, je me saisis de la cravache. Puis je glisse une troisième chaise entre mes deux compères et m’y installe. La séance peut commencer. Hanane est à bonne distance pour se faire cravacher le cul.

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– À votre santé les amis !

Nous trinquons et mes deux invités se marrent. Je vois que leurs verges commencent à reprendre vie. Tout en buvant une première gorgée de Cognac, je lance un premier coup de badine sur le cul de ma femme. Michel sirote tout en filmant. Quant à Gérard, il lui reste une main de libre pour se pignoler.

Je continue à fouetter le cul de ma pétasse, fermement, mais sans trop insister pour l’instant. Elle ne bronche toujours pas, mais sa cyprine commence à dégouliner à nouveau. Hanane a toujours mouillé très vite, et abondamment. Je frotte le bout de la cravache sur sa chatte exposée, écartant bien les grandes lèvres gorgées de sang.

– Regardez-moi cette pouffe comme elle suinte de la cramouille ! Et vous savez que ma « chérie » matte nos films quand je ne suis pas là ? Elle se matte en train de se faire tringler comme une traînée, elle branle sa chatte et son cul et laisse de la mouille partout sur le canapé. Pas vrai ma chérie ?

Elle émet un vague grognement en hochant la tête. Sans prévenir je mets un coup sec sur sa chatte. Elle tressaute et couine. Je lui mets cinq ou six autres coups, progressivement plus fort et qui ont à chaque fois le même effet. Puis je me remets à m’occuper plus sérieusement de son cul. Cette fois j’insiste un peu plus. En même temps, du pied droit je m’applique à presser sur le plug pour l’enfoncer d’avantage dans son trou du cul. Et pendant ce temps ma salope couine et me tend son arrière train pour bien sentir l’objet.

Je finis mon Cognac d’un trait et pose le verre par terre. Son cul est bien rouge maintenant. Il est temps que je m’occupe de ses seins.

– Retourne-toi. Voilà. Reste à genoux, relève la tête et tends-moi tes loches ! Voilà.

Je me penche et la débarrasse de la poire d’angoisse. À mes côtés, Michel et Gérard rebandent comme des ânes.

– T’as aimé ?

Elle prend une voix timide, chargée de honte mais aussi de luxure.

– Oui...

– T’en veux encore ?

– Oui...

– Sur tes seins ?

– Oui... Sur mes seins... Où tu veux, en fait...

– Bien...

Elle a gueulé et couiné tandis que je faisais rougir et grossir ses tétines et ses bons gros nichons. Et à chaque coup de cravache je la complimentais à ma façon, suivi par mes deux acolytes, qui n’en revenaient pas.

– Sac à foutre ! Salope ! Garage à bites ! Pouffiasse ! Traînée ! Suceuse de queues !

Tout cela dure un certain temps, jusqu’à ce que mon envie de lui bourrer la gorge se fasse trop insistante. Je jette la cravache, tire sur la laisse pour obliger Hanane à emboucher ma pine. Ma main libre saisit sa tignasse derrière sa nuque, et j’entreprends de faire coulisser mon chibre dans sa bouche.

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Je suis en rut, comme rarement, et là je n’ai pas envie qu’elle me suce, mais je veux lui niquer sa gueule de manière bien humiliante. Je manipule sa tête d’avant en arrière, me servant de son gosier pour m’y branler. Hanane crachote, suffoque, mais elle est bien entraînée et en a bouffé de plus grosses. Ma pine et mes couilles sont inondées de sa bave qui dégouline à flots. Une fois de plus j’aimerais me décharger dans sa gorge mais je résiste. Je n’en ai pas fini avec elle. Je relâche ma prise.

– Bon... Si on s’occupait d’elle tous les trois ? Ça vous dit les mecs ?

– Tu m’étonnes, fait Gérard.

– Carrément, lance Michel en même temps.

Je force ma femme à se relever, et la penche sur le ventre, toujours menottée en travers de la table en tek, laissant juste dépasser son cul d’un côté et sa tête de l’autre.

– Allez-vous faire sucer les mecs, pendant que je lui travaille le fion.

Il ne faut pas leur dire deux fois. Michel et Gérard se mettent debout face à elle, Michel ayant toujours le caméscope en main. Ils se font pomper par ma putain, frottent leurs queues partout sur son visage, lui fouettent la tronche de leurs chibres. Soudain, brutalement, je retire le plug du cul d’Hanane. Elle hurle.

J’ai une vision paradisiaque de son trou à merde béant. J’en profite pour lui enfiler ma queue directement. Ça rentre comme dans du beurre. Comme un salaud, je me mets à lui bourrer le fion. Je la pistonne à fond, jusqu’aux couilles, lui claquant les miches comme elle aime. La table est secouée de partout et la vaisselle se brise au sol. Mon épouse commence à gueuler :

– Oh oui ! Oh oui putain mon chéri ! Vas-y baise-moi ! Bourre-moi le cul ! Oh c’est si booooonnnn ! Oui, OUI, OUI !!! BAISE-MOI, ENCULE-MOI, JE SUIS UNE SALE PUUUTE, TA PUUUUUUTE !!!!

Michel et Gérard la font rapidement taire en lui baisant le gosier comme des bâtards. Puis je sens un jet de cyprine gicler sur mes cuisses. C’est à ce moment que j’éjacule tout le foutre accumulé dans mes bourses, bien au fond de ses intestins. Quand je me retire, j’admire le trop plein de sperme qui s’échappe de son troufignon béant et rougi.

J’ai ensuite laissé nos invités baiser Hanane pendant une bonne demi-heure, récupérant le caméscope pour immortaliser cette scène jusqu’au bout. Ils l’on tringlée dans tous les sens, par tous les trous et à plusieurs reprises, la faisant hurler de plaisir, comme une chienne. À la fin, je les ai rejoints. On s’est tous finis sur sa gueule de pétasse en manque, la souillant d’un paquet de foutre épais, tandis qu’elle s’en gargarisait.

Le lendemain, j’émerge tranquillement. Ma femme a déjà quitté le lit. Je jette un œil au radio-réveil. Bientôt 10H00... Il est rare que je dorme autant. Je repense à la soirée d’hier. Après cette séance de baise acharnée, Gérard est rapidement rentré chez lui. Ma femme s’est douchée et aussitôt couchée, exténuée. Michel et moi avons encore discuté une bonne heure en sirotant quelques verres de cognac. Il avait du mal à réaliser, après coup, avoir baisé Hanane de la sorte.

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Je me lève. J’ai mal au crâne. Je descends les escaliers, nu. Je vais vers la cuisine, me sert du café, déjà prêt. Je farfouille dans la boite à pharmacie puis avale un cachet de paracétamol que je fais descendre avec une gorgée de café.

Hanane est dehors, sur la terrasse. Profitant que la chaleur soit encore relativement clémente à cette heure, elle lit un de ses magazines féminins, allongée dans un transat. Elle ne porte que son peignoir de satin crème. Quand elle me voit arriver, elle me sourit et me demande :

– Alors ? Bien dormi ?

– Moui... Un peu mal au crâne... Et toi ?

– Moi, j’ai surtout mal au cul !

Elle éclate de rire. Je me penche sur elle pour l’embrasser, matant en même temps dans son décolleté. Hanane tend le cou et joint ses lèvres aux miennes avant d’introduire sa langue dans ma bouche. Cette salope sent le foutre. Je commence à bander. Je dénoue la ceinture de son peignoir et en écarte les pans, tout en continuant à lui rouler une pelle gourmande. Je caresse un instant ses seins d’une main, puis je me relève, et en observant son corps nu d’un œil vicieux je lui fais la remarque :

– Tu sens le sperme...

Hanane sourit à nouveau et me dit avec malice :

– je ne pouvais tout de même pas laisser ton ami Michel partir à son rendez-vous les couilles pleines, mon chéri...

– Tu l’as pompé ce matin ?

– Ben... Oui... Et j’ai tout bien avalé... Fallait pas qu’il tâche son costume... Tu comprends ?

– Je comprends surtout que t’es vraiment une grosse cochonne ! Avec ce qu’on t’a mis hier, t’es pas encore rassasiée... Je vois que tu n’as plus besoin de ton collier pour te transformer en chienne docile !

– Eh bien, parlons-en de ce collier... N’est-ce pas un peu... hypocrite ? Hier, en m’offrant à ton meilleur ami, et mon supérieur hiérarchique, tu nous as fait franchir un cap... Non ?

– Tu veux dire « nous » avons franchi un cap... Assume, un peu...

Je ricane. Comme si ça avait été un calvaire, alors qu’elle avait pris un pied d’enfer à être traitée comme une pute.

– Soit...reprend-elle. Ce que je veux te dire, c’est que... Je n’ai pas besoin de ce collier pour être ta chienne, ou celle de qui tu voudras. À présent, je n’ai plus qu’une seule envie : être une chienne 24/24... Toujours à ta disposition... Tu sais, mes besoins sont de plus en plus... énormes... Je ne vois pas comment je pourrais revenir en arrière. J’ai vraiment envie d’être une chose, TA chose... Que tu décides, seul, de mon usage au quotidien. Je... Je ne sais pas expliquer pourquoi... Mais je n’envisage plus rien d’autre... Je ne pense qu’à ça, tout le temps...

Je ne dis rien, sirote encore un peu de café. Au fond de moi, je me rends compte que c’est ce que j’ai toujours voulu : avoir comme épouse une catin docile, dénouée de tout amour

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propre et qui se livre aveuglement à moi, sans condition, qui me donne d’elle-même les pleins pouvoirs sur son existence.

Je pousse un soupir, puis claque des doigts et lui désigne ma queue en érection. Hanane se lève, vient se positionner à genoux devant moi. Je fais glisser le peignoir de ses épaules, tandis qu’elle prend mon gland en bouche. Elle le pompe et branle ma tige d’une main, l’autre s’affairant sur mes bourses. Sans me préoccuper d’elle, je continue à boire mon café, debout, et regarde notre beau et grand jardin, ses parterres de fleurs, et ses arbustes. Hanane me suce plus vigoureusement, semblant très excitée, et respirant fort par le nez.

– Tu veux que je te traite comme... comme une merde, ma chérie ?

Elle opine du chef sans arrêter de sucer

– Bien...

Le samedi matin, je vais faire un jogging dans le bois attenant à notre demeure, pendant que mon épouse va faire les courses, ou s’occupe à la maison.

– Je vais aller courir... Une petite heure... À mon retour, salope, je ne réponds plus de rien.

Là, elle stoppe sa fellation, et me fait :

– Mon amour... Emmène-moi avec toi...

– Mais... Tu détestes courir... T’as pas fait de sport depuis des lustres !

– Hmmm, je déteste courir, oui... sauf si tu me cours après...

Son regard lubrique est dévastateur.

– Bien... pourquoi pas... Pour l’instant, tu la fermes, et tu me pompes.

Honteuse, mais excitée, remise à la place qui est la sienne, elle se remet à l’ouvrage en s’appliquant. Je la laisse sucer ainsi cinq bonnes minutes, tandis que je gamberge, puis lui fais signe d’arrêter. Elle attend, à genoux. Je me penche sur elle, et sans l’avertir lui crache un mollard noirci de café au milieu du front. Elle ne bronche pas tandis que j’étale ma salive sur son beau visage. Puis je lui ordonne :

– Debout salope... Va te refaire une beauté et te préparer.

Elle s’exécute et je lui claque le cul pour accélérer le mouvement.

Hanane reprend une douche, ce que je m’abstiens de faire. Pendant ce temps, j’enfile un short et un T-shirt, sans mettre de sous-vêtements. Je suis en train de boire un jus d’orange en bas quand j’entends ma femme pester, dans notre chambre.

– Merde, et merde !

Je monte.

– Qu’est-ce qu’il se passe ma chérie ?

– Regarde, la couture a craqué !

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Elle me montre le shorty qu’elle n’a pas mis depuis 2 ans et qui est effectivement lacéré sur sa hanche. Pour le haut, ça n’est pas mieux, ses seins sont ridiculement, et certainement très inconfortablement comprimés. Je me marre :

– Tu vois bien que ça n’ira pas, trouve autre chose.

– Je crois que je n’ai rien d’autre pour le sport...

Elle soupire, fait coulisser la porte de l’armoire et se met à farfouiller parmi sa garde-robe, faisant ce petit commentaire :

– C’est sûr, des tenues de salope, ça, j’en ai à foison !

Elle sourit, se tourne vers moi et me fait :

– Mais, qu’est ce qui m’empêche de mettre une tenue de salope, en fait ? Hein ? Ça ne m’empêchera pas de courir !

– C’est juste que t’auras intérêt à courir vite, lui dis-je en riant, puis je lui fais d’un ton plus ferme : bon, dépêche-toi, je t’attends en bas.

Quelques minutes plus tard, Hanane est prête. Elle est sublime, maquillée comme une gagneuse, les cheveux maintenus en queue de cheval par un élastique. La jupe plissée blanche qu’elle a choisi peine à couvrir ses fesses et sa paire de loches est indécente dans un petit top noir aux bretelles ténues nouées dans la nuque qui ne cache que le minimum. Pas de soutif. Je soulève la jupe : rien au-dessous. Elle me fait :

– Faut que je fasse prendre l’air à ma moule, ça lui fera pas de mal...

Je tiens en main un plug de métal, en forme d’ogive, et dont le diamètre le plu large dépasse les cinq centimètres. Elle ne dit rien quand je lui intime l’ordre de se pencher et d’écarter les jambes, résignée. Résignée et excitée, à en croire l’humidité de sa moule velue. Sans douceur, j’introduis le plug dans son trou du cul, encore meurtri des coups de bites de la veille. Hanane grimace mais ne dit rien.

– Bien, en route salope !

Nous sortons de la maison, et prenons la direction du sentier qui parcourt le bois.

Peu de temps après, nous sommes en train de courir, lentement, à son rythme. Il y a là quelques joggers, et promeneurs qui tournent la tête de manière équivoque en nous croisant. Certains sont même des connaissances et nous lancent un « bonjour » poli, mais étonné. Un coureur qui nous suit ralentit même sa course un instant pour rester derrière nous et mater le cul de ma femme. Il faut dire que le spectacle vaut le détour...

À chaque foulée, la jupette se soulève et l’on devine en quasi-totalité la croupe d’Hanane, un œil avisé pouvant même apercevoir le socle du plug. Puis le jogger nous dépasse, nous dévisage un sourire aux lèvres qui en dit long, et au passage son regard se perd sans qu’il s’en cache dans le décolleté vertigineux d’Hanane. À chaque impact au sol sa grosse poitrine libre ballotte en tous sens, et ma femme doit sans cesse réajuster les bretelles qui glissent sur ses épaules, ou remonter le tissu pour éviter qu’un de ses nichons ne se fasse la malle. Je suis aux anges, Hanane respire fort, et transpire à grosses gouttes.

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Hanane s’arrête. À cet instant l’endroit est désert. Pliée en avant elle tente de reprendre son souffle.

– Je... J’ai un point de côté... et le plug me fait un peu mal au cul...

– Marche un peu, ça va passer...

Je la laisse récupérer, l’air narquois. La sueur colle les tissus à sa peau, son maquillage a un peu coulé. Je bande comme un cerf devant Hanane qui m’apparaît ainsi comme une pute ayant servi de vide-burnes à une armée de bites. Je passe une main sous sa jupe. Les poils de sa chatte son trempés de gluante cyprine.

– Saaloope ! Tu mouilles comme une truie !

– Je... Je...

– Ça t’excite tous ces mecs qui te reluquent, hein, salope !

Je masse sa chatte, elle écarte les jambes et regarde alentours pour voir si nous sommes toujours seuls. Je joue avec le gros plug dans son cul. Hanane tremble de plaisir...

– J’en peux plus, me dit-elle. Stéphane, j’en peux vraiment plus, j’ai besoin de ta queue, là, maintenant. Depuis ce matin j’ai envie que tu me baises... On s’écarte du chemin, tu veux ?

– T’as récupéré ?

– Oui !

– Ça va mieux alors ?

– Oui, je te dis !

Elle essaie de m’entraîner derrière les arbres.

– Non ! , fais-je avec autorité. Allez, cours sale pute, on est là pour remodeler un peu ton gros cul.

– Mais...

La gifle est partie rapidement, Hanane ne l’a pas vu venir. Elle porte une main à son visage, un peu abasourdie, les larmes aux yeux. Je n’en peux plus de bander ainsi, mais je veux lui montrer que c’est moi qui décide quand je la baise ou non.

– Tu veux que je te traite comme de la merde, oui ou non ?

– Euh... oui...

– C’est ce que tu m’as réclamé ce matin, OUI OU NON ?

– Je... Oui...

– Alors cours salope, t’inquiète, tu l’auras ta ration de coups de bite !

La pute se met en branle et se remet péniblement à courir. Je reste juste derrière elle, tout près, et l’encourage à ma façon.

– Allez grosse vache, bouge tes fesses ! Avance sale pute !

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Je suis sûr que mes petites remarques ne manquent pas de lui faire fondre la prune. Dans cette partie de la forêt nous ne rencontrons personne. Au bout de quelques petites minutes, Hanane s’arrête déjà.

– Je... sérieux, j’en peux vraiment plus...

– Tu me déçois ma chérie... tu me déçois énormément !

– Je suis désolée mon chéri, je...

– Bah, t’es bonne qu’à sucer des pines, c’est tout, et à te faire tringler... Je n’en ferai pas une affaire...

Je lui dis de pénétrer dans le bois, et la suis sur une petite vingtaine de mètres, jusqu’à ce que nous atteignions l’ombre d’un chêne au large tronc. Je prends très sérieusement la situation en mains.

– Mets tes mains dans le dos, salope.

Je défais rapidement un de mes lacets de chaussures, et m’en sers pour lui attacher solidement les mains.

– Penche-toi en avant ! Encore ! Jambes tendues, et écartées. Bien.

Hanane attend, l’excitation se lit sur son visage. Je profite du moment, tourne lentement autour d’elle. Je regarde son corps moite, ses gros seins qui attirés par le sol. Elle essaie de me suivre du regard.

– Baise les yeux !

– Oui mon amour.

– Tu veux de la bite, connasse ?

– Oui... Oh, oui, j’en veux... J’en peux plus...

– Salope !

– Oui, mon chéri, je suis une salope... Viens me prendre...

– Tais-toi !

Je me positionne derrière elle, relève la jupe. Vue imprenable sur son gros derche rempli du plug, et sa chatte poilue et gluante, aux grandes lèvres distendues. Je joue doucement avec l’objet de métal, m’amusant à le pousser le plus loin possible, et à tirer dessus jusqu’à ce qu’il soit à la limite de sortir de son trou du cul.

Puis je me fais plus brutal, commençant à agrémenter mes mouvements de déplacements latéraux, lui déformant la rondelle. Ma femme couine un peu. J’y reconnais un mélange de plaisir et de douleur. Sans crier gare, je retire le plug d’un coup sec, ce qui a pour effet d’arracher un cri strident à Hanane. Un cri qui a sûrement été entendu. Ma pétasse suffoque, tandis que je regarde son anus se refermer très lentement. je me remets devant elle, tends vers sa bouche le plug souillé.

– Il sent bon ton cul, salope... Avale !

Elle obéit sans discuter. Je m’accroupis, mon visage tout près du sien tandis qu’elle maintient sa position d’attente, les jambes bien droites, et le buste parallèle au sol. J’attrape

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son menton entre l’index et le pouce et plante mon regard dans le sien. D’une voix basse, contenue, dans laquelle transparaît très explicitement le mépris, je lui fais, en prenant tout mon temps :

– Bien... Bien, bien, bien... Puisque tu veux vouer ta petite existence à être la dernière des chiennes, je vais exhausser ton vœu... Je vais faire de toi une bonne grosse truie à bites, une bonne bassine à jus... Tu es toujours d’accord, n’est-ce-pas ?

Elle secoue la tête de haut en bas, l’urgence se lit sur sa face de chienne.

– OK, connasse... À partir de maintenant, je vais te baiser, et te faire baiser à outrance... Je vais te faire démolir et bien élargir ta chatte et ton cul, t’auras les trous dilatés à vie, en permanence. À tel point qu’il n’y aura que les énormes calibres qui te feront jouir. Tu verras, tu pourras plus jamais t’en passer.

Je me relève et retourne derrière elle. Une claque sur le cul la fait sursauter. Je constate que l’intérieur de ses cuisses est envahie de mouille grasse, presque jusqu’au-dessus des genoux. Je me mets rapidement nu, et positionne mon chibre en érection juste derrière Hanane. je récupère un peu de cyprine avec mes mains, et en étale sur la raie de son cul. J’introduis un de mes doigts, puis deux dans son trou de balle. Je m’amuse un peu, puis écarte sans douceur son anneau de mes deux pouces.

Mon gland rentre facilement dans son rectum. Mon bras gauche ceinture mon épouse, tandis que ma main droite vient se saisir de sa queue de cheval. Ainsi, je bloque Hanane contre moi, bien cambrée, cul et tête relevés. Je m’enfonce lentement en elle, jusqu’à ce que mes balloches rentrent en contact avec sa vulve. Je la besogne lentement, profondément, de toute la longueur de ma tige, augmentant sensiblement le rythme de mon coït à chaque va-et-vient. Ma bite attendri progressivement la chair, préparant Hanane à une sodomie sans concession.

Au bout d’une ou deux minutes, la chienne commence à grogner. Je la serre de plus en plus fort, raffermis ma poigne sur sa tignasse, et mes couilles gluantes de cyprine viennent ballotter contre sa cramouille brûlante. Je me fais plus brutal et commence à l’enculer sévèrement. Chaque coup de reins provoque un râle étouffé par le plug.

– Je vais te démonter le fion pouffiasse ! Tu vas marcher en canard pendant une semaine ! Petite conne ! Petite enculée !

Je baise désormais son bon gros pétard comme un barbare. La pute a du mal à tenir sur ses cannes mais mon étreinte suffit à la maintenir debout. Hanane couine, gémit, gargouille, doit très certainement serrer les dents sur le plug. Mes assauts redoublent de violence tandis que je sens que je ne vais pas tarder à lâcher la purée. Je veux encore garder mes burnes bien pleines. Je lui donne un dernier gros coup de bite et la lâche au même moment. Elle bascule en avant et chute dans la terre, roule sur le dos dans la mousse et les feuilles mortes.

Je la regarde. Elle est obscène. Jambes écartées, jupe relevée, ses poils de chatte collés, l’entrecuisse dégoulinante, ses loches se sont échappées du petit haut noir. Elle reprend sa respiration. Je lui ordonne de se mettre accroupie, ce qu’elle parvient à faire tant bien que mal, avec les mains attachées dans le dos. Je prends le plug et me penche pour le remettre directement dans son trou du cul encore ouvert. Je présente ma queue face à elle en agrippant à nouveau sa queue-de-cheval.

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– Regarde ! Regarde comme elle est crade ! T’as chié sur ma pine, cochonne !

De ma main libre je saisis mon braquemard, frotte mon gland bruni sur ses lèvres, sur ses joues, sous ses narines.

– Sens-la ! Renifle-la comme une bonne chienne.

Elle s’exécute, immonde, ridicule, et tremblante de désir dit tout bas :

– Elle sent bon... J’adore... Elle sent ta sueur...Et elle sent bon mon gros cul de chienne.

Un craquement dans les sous-bois. Ça vient de derrière Hanane. Elle l’entend aussi. je distingue une silhouette d’homme qui tente de se dissimuler derrière un buisson, à une dizaine de mètres. Je me demande depuis combien de temps il nous matte.

– Y a un type qui nous observe, fais-je à Hanane tout bas.

– Oui, j’ai entendu...

– Ne te retourne pas... Ça t’excite ?

Elle répond « oui », sans la moindre hésitation. Elle a une lueur obscène dans le regard.

– Tu veux que je lui dise d’approcher ?

– Oui...

– Tu veux... Qu’il te baise ?

– OUI !

– Ça t’exciterai de te faire troncher par cet inconnu ?

– Oui mon chéri, mille fois oui ! Et surtout, je veux que tu me traites comme une grosse pute devant lui... Lâche-toi comme un salaud, montre-lui quel genre de chienne je suis...

Je lui adresse un sourire qui en dit long.

– Bien... Alors suce-moi salope !

Je prononce cet ordre suffisamment fort pour que notre intrus puisse l’entendre. Hanane gobe ma bite. Je la maintiens toujours d’une main. De l’autre je fais signe au type d’approcher. Je dois réitérer mon geste pour qu’il se décide. Tandis qu’il approche, je peux le détailler physiquement. Gros, obèse même, une gros barbe poivre et sel. Il est en tenue de bûcheron. À mon avis, notre ami ne doit pas sentir le savon. J’en fais part à ma pute, qui me rétorque :

– Tant mieux si c’est un sale gros porc... Ça me fait sentir encore plus truie.

Puis elle se remet à dévorer ma queue avec deux fois plus d’entrain.

L’homme est tout près désormais, il ne rate pas une miette de la scène. je décide de le tutoyer tout de suite.

– Alors, mec, faut pas faire ton timide. Je te présente Hanane, ma femme... ma pute... Enfin, la chose qui sert à vider mes burnes !

L’homme reste stoïque. Tandis qu’elle me pompe avec acharnement, Hanane plante son regard dans les yeux du type. Je décide de ne pas tourner autour du pot.

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– Tu veux te la taper ?

– Euh... C’est une blague ?

Enfin, on entend le son de sa voix, grasse, rauque.

– Non, ça me fait plaisir ! Et elle ça lui rend service ! C’est une putain de nympho, faut toujours qu’elle se trouve de la bite, sinon, elle déprime.

– ...

– Bon, salope, dis-lui toi-même, tu seras plus convaincante !

Elle se tourne vers l’homme, et lui fait d’une voix de garce finie :

– Mon mari a raison... Je suis une pute... Une sale grosse pute de merde... Je veux de la bite... Tout le temps... Et là, mec, Je veux TA bite !!! Allez, sors ta queue et viens baiser ma petite bouche de salope !

Le mec sourit enfin, me jette un coup d’œil en défaisant sa braguette. Une grosse pine en semi-érection, sort de sous sa bedaine velue. Hanane s’en approche immédiatement, la renifle comme elle l’a fait avec la mienne. Elle donne de petits coups de langue sur le gland qui me paraît bien sale. Puis elle lui lèche et lui gobe les burnes jusqu’à ce que le type ait une trique d’enfer.

Pendant cinq minutes, je matte ma femme pomper ce parfait inconnu, pendant que ce dernier lui malaxe les loches. Elle lui réclame des insultes, et il finit par lui déverser le torrent d’injures que la connasse réclame, se mettant ensuite à lui baiser sérieusement la bouche, comme si c’était une chatte. Ma bite en main, je me délecte de cette scène. La salive dégouline du menton d’Hanane, souillant ses gros nichons, alors qu’elle s’étouffe sous le gros ventre du type. Je vois qu’Hanane suffoque, à deux doigts de vomir. Cette pouffiasse ne s’arrêtera pas, je fais au type :

– Tu peux baiser sa chatte si tu veux...

Le temps de se mettre en position, et la voilà debout, jambes écartées, prise en levrette par ce gros porc. Moi, je suis devant elle, et je la tiens à nouveau par les cheveux.

– Regarde-moi ! Regarde-moi salope ! T’aimes ça, hein, te faire déglinguer comme une traînée, dans les bois ? Hein salope ? Réponds !

Elle prend son pied, secouée par les coups boutoirs.

– Ouiiiii ! Oui, c’est booooooon ! Oh putain ! Chéri, c’est bon, il me défonce ! J’suis une pute, une merde, une grosse meeeerde ! Ah Ah ! AAAAAaaaah !!!

Je la fais taire en enfonçant ma bite dans son gosier. Il m’est difficile de dire combien de temps nous la baisons ainsi, la secouant comme une vulgaire poupée gonflable, l’homme lui saccageant la chatte, moi lui tringlant la bouche. Je ne tiens plus, je m’enfonce le plus possible dans sa gorge. Quand j’éjacule, j’ai l’impression d’éjecter des litres de foutre. La pouffiasse en avale le maximum. Ça déborde, je me retire. Je finis de me vider sur sa gueule et ses cheveux. Je la tiens toujours pendant que l’homme fini de lui déglinguer la moule en redoublant d’efforts, lâchant la purée au plus profond de sa chatte.

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Hanane est sur le sol, souillée de sperme, éreintée, terrassée mais souriante, satisfaite... L’homme commence à remballer sa queue. Moi je m’approche d’Hanane. Je lui crache au visage. Je tiens ma queue au-dessus d’elle.

– Ouvre la bouche, connasse...

Elle sait ce que je vais faire. Elle ouvre la bouche immédiatement. Je me mets à uriner, dirigeant le jet sur son visage. Elle ne bronche pas, déglutit pour avaler le plus possible de pisse. Je la souille entièrement, tronche, nibards, puis je m’en prends à sa chatte explosée et dégoulinante de jus de couilles. Cette pute écarte les jambes et gémit de plaisir, tandis que je pisse directement dans sa chatte béante. Le gros homme à mes côtés semble ne pas en revenir.

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