Le magazine des locataires de l’Office municipal HLM de la ville de Nanterre • JUIN 2017 • N° 52

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LA FOURRIEREENTRE EN SCENE

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Le magazine des locataires de l’Office municipal HLM de la ville de Nanterre • JUIN 2017 • N° 52

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LA FOURRIEREENTRE EN SCENE

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Sommaire

N°52

04 Dossier

STATIONNEMENT>

Bulletin de l’OMHLM de la ville de Nanterre • N° ISSN 125-5622 • 93, avenue Joliot-Curie 92000 Nanterre

Tél. : 01 47 25 66 66 • Fax 01 47 21 77 70 • E.mail : siege@ophlm-nanterre.fr

Directeur de la publication : Véronique Monge • Rédacteur en chef : Thierry Desfresnes • Rédacteur en chef Adjoint: Sonia Marcelle

Photographies : Olivier Perrot • Publicité : HSP Tél. : 01 55 69 31 00 • Imprimerie : L.N.I. Gennevilliers 92635 CEDEX

Tirage : 11 000 exemplaires • Distribution gratuite.

08Actualité

MEDIATION

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EN vUE

L’USH mécontente !

L'Union sociale pour l'habitatdéplore que le Gouvernement telqu'annoncé aujourd'hui ne place

pas la question du logement et de la poli-tique de la ville au cœur des priorités dunouvel exécutif » : c’est par ces mots quel’USH a tenu à s’exprimer dès l’annonce du nou-veau gouvernement de M. Macron.

A l’occasion de la dernière campagne pour l’é-lection présidentielle, l’Union, qui rassemblequelque 730 organismes HLM, avait conduit uneopération de communication auprès de l’ensem-ble des candidats, pour souligner le rôle majeurjoué par le logement social en France, et l’atta-chement que lui portaient très majoritairementles citoyens français.

Rappelant que le logement social investit chaqueannée 16 milliards d'euros sur l'ensemble desterritoires, et loge plus de 11 millions de nosconcitoyens, le mouvement HLM continueranéanmoins à « agir sur le terrain et auprèsdes pouvoirs publics pour défendre le droitau logement pour tous ».

«

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Éditorial

L’Office conforté dans son rôle social près plusieurs mois d’investigations, l’ANCOLS (Agence Nationale de COntrôle duLogement Social) vient de nous remettre son rapport définitif sur la gestion de l’Office.

C’est une tradition dans le monde du logement social : à intervalle régulier, nos organismes sontcontrôlés soit par l’ANCOLS (ex-MIILOS), soit par la Chambre Régionale des Comptes.

Reconnaissant que la situation financière de l’Office « se caractérise par une exploitation vertueu-se, adossée à des coûts de gestion limités et une politique modérée des loyers… », l’AgenceNationale délivre un satisfecit à notre organisme, indiquant de surcroît que « le rôle social de l’OPHde Nanterre est indiscutable ».

Pour les administrateurs et l’ensemble des salariés de l’Office, il s’agit là d’une belle satisfaction quivient récompenser une gestion à la fois rigoureuse et entièrement tournée vers la satisfaction de noslocataires, même si nous mesurons bien qu’il reste encore des marges de progrès.

Comme dans toute inspection, certains points demandent encore à être améliorés ici ou là, dont unepartie est d’ailleurs en passe d’être réglée. Il en est un toutefois qui ne nous surprend pas, c’est laremontrance faite à l’Office au sujet de l’application des surloyers.

Depuis son avènement datant de la Loi Boutin à la fin des années 2000, l’Office a toujours cherché àappliquer a minima cette mesure technocratique qui vise à chasser les familles les moins défavori-sées du parc HLM. Mais la récente loi « Egalité et Citoyenneté » nous contraindra certainement à met-tre en œuvre cette mesure qui pourrait toucher quelques centaines de familles de notre patrimoine,au mépris de tout enjeu de mixité sociale.

Nous aurons bien sûr l’occasion de revenir sur ce sujet d’autant plus sensible que les bailleurs telsque l’Office ne bénéficient que d’une infime partie des produits récoltés, et sont utilisés comme col-lecteurs d’impôts par l’Etat. Vous trouverez dans ce Cité-Mag' quelques informations complémentai-res sur ce rapport de l’ANCOLS qui se trouve, bien entendu, sur notre site Internet.

Bonnes vacances à tous, et nous nous retrouverons dès le mois de septembre pour nos visites desecteur.

Marie-Claude GARELPrésidente de l’Office

A

Entretien au Parc

Partage de l’espace public

Hommage à André Landrain…

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ous l’avions an non cédans Cité-Mag' defévrier : la commis-

sion stationnement s’est miseen place à l’Office, pour tra-vailler sur un des chantiersles plus complexes de l’orga-nisme, à savoir la question dustationnement. Un sujet com-plexe, car il doit répondre d’a-bord aux attentes légitimes denos locataires, dans uncontexte contraint et un envi-ronnement très réglementé.

Dossier

STATIONNEMENT : CE QUI VA CHANGER…

Les problématiques auxquelles doit seconfronter la commission sont diver-ses et sont soulignées par nos locatai-res eux-mêmes : en premier lieu lesdifficultés de stationnement dans cer-tains secteurs, et la présence de plusen plus envahissantes de véhiculesindésirables : les ventouses qui nebougent pas ou presque pas… Lesvoitures-épaves, qui se sont dévelop-pées sur nos aires de parkings, etd’une façon générale les véhiculesabandonnés ou qui n’ont rien à fairesur les aires de stationnement réser-vées à nos résidents.

Une première mesure a été prise, avecla signature d’une convention avec unfourriériste qui sera directement sollici-té par l’Office. Celui-ci se chargera del’ensemble de la procédure, en lienavec les services de police, jusqu’à lapossible destruction du véhicule.

Les premiers enlèvements commen-cent dès cet été, notamment sur lesecteur du Petit-Nanterre et à Koma -

N

rov ; ils seront de nature à améliorersensiblement la situation du stationne-ment dans ces secteurs, et se pour-suivront très vite sur l’ensemble desaires de stationnement de notre patri-moine.

D’autres sujets seront aussi traités :c’est le cas des parkings souterrainsqui, à l’inverse de leurs cousins enaérien, rencontrent certaines difficultéspour se remplir. A l’heure où les villesmétropolitaines telles que la nôtre lut-tent chaque jour pour fluidifier la circu-lation et trouver des solutions au sta-tionnement, il est paradoxal que nosparkings souterrains ne trouvent pasdavantage preneurs : 40 % des places

enterrées sont aujourd’hui disponiblesdans les parkings souterrains del’Office. La question des tarifs de cesparkings, celle de leur entretien et deleur sécurisation, tout cela doit êtreremis en débat pour avancer concrè-tement sur des solutions qui aurontvite un impact certain sur la qualitéenvironnementale dans nos quartierset dans notre ville.

De premières pistes de travail sontdévoilées dans les articles suivants,qu’il faudra, pour certaines d’entreelles, préciser, chiffrer, et éventuelle-ment expérimenter dans l’avenir, enlien avec la ville et les autres bailleurs :nous n’en sommes bien qu’au début…

Allée Georges-Politzer dans le secteur Joliot-Curie

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Dossier

QUELQUES CHIFFRES…La gestion du stationnement est un dos-sier à la fois stratégique et statistique.Voici quelques chiffres (*) permettant àchacun de mieux mesurer les enjeux quise posent, tant à la ville qu’à l’Office. • Nombre de places en location à l’Office :5 606 places (quasi exclusivement des par-kings souterrains)

• Taux d’occupation : 59,20 %• Nombre de places sur l’espace public deNanterre : environ 11 000 places

• Nombre de véhicules enlevés (ventouses etépaves notamment) sur voirie : 3 142 véhi-cules (au titre de l’année 2015)

• Taux de motorisation : 0.81 (ces résultatsregroupent des données collectées entre2011 et 2015).

(*) Avec la collaboration du service déplacementsde la ville de Nanterre

LA FOURRIÈRE ENTRE EN SCÈNEIls polluent les aires de stationnement de nos résidences depuis déjà trop longtemps : ils, ce sont ces véhicu-les abandonnés, pour des raisons diverses, que leurs propriétaires ont jugé préférable de laisser sur des par-kings privés, hors de portée de la fourrière municipale. Ce sera demain terminé, l’Office vient de signer uneconvention avec une entreprise agréée, spécialisée dans l’enlèvement de voitures indésirables.C’est le revers de la médaille : envoulant garder cet aspect ouvert deses parkings, l’Office s’exposait à cegenre de phénomènes que l’on retro-uve un peu partout. Auparavant, lafourrière et la police intervenaient detemps à autre sur notre patrimoine, ànotre demande, mais ce n’est pluspossible aujourd’hui pour des ques-tions de responsabilité.

Le Conseil d'Administration a doncdécidé, suite aux nombreux dysfonc-tionnements signalés, de prendre encharge directement l’enlèvement deces véhicules perturbateurs.

La nouvelle fourrière de l’Officedevrait entrer en scène dès le débutde cet été…

Attention : si votre véhicule est resté statique trop longtemps sur un par-king aérien de l’Office, il est susceptible d’être ciblé par le service de la four-rière. N’hésitez pas à le changer de place régulièrement (sur la voiepublique, un véhicule immobile peut être enlevé au bout de 7 jours !) et, àdéfaut, pensez à consulter fréquemment votre courrier…

LE FONCTIONNEMENT DE LA FOURRIÈRETout agent de l’Office a la possibili-té de signaler, le plus souvent à lademande d’un locataire, la présen-ce d’un véhicule « suspect » surune aire de stationnement : onentend par suspect, tout véhiculedétérioré, avec des pneus crevés,présentant des signes évidentsd’immobilisme, non assuré ou dontle contrôle technique est expiré.

Le signalement du véhicule est alorsadressé à notre fourriériste, avec lamarque, les caractéristiques et l’im-matriculation du véhicule. Celui-cidispose d’un agrément et peut tra-vailler directement avec les servicesde police, ce que l’Office ne peut

faire lui-même. Deux courriersrecommandés successifs sont alorsadressés au propriétaire du véhicule,fourni par les services de police, et àdéfaut de réponse celui-ci peut êtreenlevé en toute légalité.

Le véhicule sera entreposé à la four-rière de Nanterre, rue des Agglomé -rés : si le propriétaire vient le recher-cher, il devra régler les frais d’enlève-ment et de gardiennage, les éven-tuelles amendes de police et les fraisde levée de fourrière.

S’il ne vient pas reprendre son véhi-cule, celui-ci est alors expertisé, etsuivant sa valeur, sera soit vendu auxDomaines, soit détruit après dépollu-tion.

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« Louer un parking, c’est tropcher… ! ». « Je préfère voir monvéhicule stationné depuis ma fenê-tre d’appartement ». Telles sont lesréflexions que l’on entend fréquem-ment lorsque l’on interroge nos loca-taires. Les parkings souterrains n’ontpas vraiment la cote lorsque l’onévoque les difficultés rencontrées parles bailleurs pour répondre auxdemandes légitimes de résidentsattentifs à leur voiture.Pourtant, nous savons bien que nousne pouvons pas étendre encore lesparkings de surface : dans nos villesde la métropole parisienne, le foncierest rare et cher… sans doute tropcher pour simplement y loger un véhi-cule. Les parkings souterrains ont été ima-ginés pour répondre à ce défi : lors-qu’ils fonctionnent bien, ce qui est lecas pour un certain nombre de par-kings de l’Office, ils donnent une vraiebulle d’oxygène au quartier. Mais cen’est pas toujours le cas, et nousconstatons aujourd’hui que, sur l’en-

MIEUX REMPLIR LES PARKINGS SOUTERRAINSC’est un des paradoxes de la situation du stationnement à l’Office : on peut constater dans quelques endroitsde la ville, comme au Petit-Nanterre par exemple, qu’il est difficile de trouver une place de stationnement enpied d’immeuble, alors que des parkings souterrains sont insuffisamment remplis… Problème de tarification ?D’attractivité des parkings souterrains ? Voire d’un sentiment d’insécurité ? C’est sans doute un peu tout celaà la fois… Etat des lieux des réflexions en cours.

LE PETIT-NANTERRE, TERRE D’EXPÉRIMENTATIONBeaucoup de résidences de l’Office rencontrent des difficultés de stationnement. Mais il est un quartier, le Petit-Nanterre, où ce problème semble plus prégnant pour ses habitants, au point que les locataires se sont organi-sés pour demander des améliorations à son bailleur. Aussi, lorsqu’un accord a été trouvé avec le fourriériste,la commission stationnement de l’Office a choisi tout naturellement de commencer par ce secteur.

semble du patrimoine, 4 emplace-ments souterrains sur 10 (40,10 %exactement) ne sont pas loués.

Organiser la place de la voiture« Lorsqu’une famille achète un ca -na pé, par exem ple, elle sait à l’a-vance où elle l’installera dans sonappartement, avance Marie-ClaudeGarel. Il faut que chacun réfléchis-se de la même façon avec sa voitu-re… ». On ne peut plus aujourd’hui,comme c’était le cas auparavant,acheter un véhicu-le en imaginantsimplement quel’on trouvera bienchaque soir uneplace pour le ga -rer… Les bail leurs,comme la ville,doivent imaginerdes solutions àproposer pourrationnaliser cepro blème comple -

xe, qui soient abordables pour lescitoyens. Et les quelque 5 414 placesde parkings souterrains que proposel’Office offrent des possibilités.Alors, que faire ? Instaurer une secon-de place à demi-tarif ? Harmoniser lestarifs, par quartier ou sur la ville ?Engager un programme de rénovationdes parkings ? La question se pose en des termesfinanciers, bien sûr, mais il s’agiraavant tout de mieux organiser la placede la voiture en ville pour le mieux-êtrede tous.

Depuis la rénovation du quartier duPetit-Nanterre, et en particulier de sesespaces publics, la demande se faitde plus en plus pressante, en particu-lier lors des visites automnales orga-

nisées dans tous les quartiers : quefait concrètement l’Office pour débar-rasser le quartier de tous ces véhicu-les abandonnés qui restent sur lespoches de stationnement ?

Préoccupés, les résidents, avec lesservices de la Ville et la GestionUrbaine de Proximité, ont organisédes tournées pour relever les caracté-ristiques et les emplacements de ces

Parking souterrain de Zilina

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Dossier

UN TARIF RÉSIDENTIEL PROVISOIRE SUR KOMAROVL’ensemble du secteur Komarovconnaît depuis l’an passé une trans-formation urbaine importante, portéepar la SEMNA pour le compte de laville de Nanterre. Le passage en sta-tionnement réglementé a changébeaucoup d’habitudes : qui ne sesouvient pas des difficultés pour trou-ver une place de stationnement dansce secteur situé, il est vrai, à proximi-té de la gare RER, avec ses véhiculesventouses et ses épaves sur voirie ?

Aujourd’hui, la situation s’est large-ment pacifiée dans le quartier, dumoins sur la voie publique, mais noslocataires peinent encore parfois àtrouver une place sur le parking gra-tuit de leur résidence, où se réfugienttoujours des véhicules qui n’ont rienà y faire, et avec la présence de véhi-

cules épaves réduisant le nombre deplaces disponibles.

Tout cela est plus tendu encore lorsde la réalisation de travaux de réno-vation des parkings : après le grandparking de plus de 100 places l’anpassé, deux autres aires de station-nement seront remises en état cet étéet donc fermées le temps des tra-vaux, réduisant ainsi fortement lenombre de places disponibles.

C’est pourquoi la ville de Nanterre aaccepté de poursuivre l’initiative prisel’an passé à la même époque, per-mettant de fournir, aux locataires del’Office qui le souhaitent, un titre lesautorisant, provisoirement et durantles deux mois de fermeture des 2parkings, à stationner leur véhicule

sur la voie publique au prix de 2 € parsemaine.

C’est la première fois qu’une expé-rience partenariale de ce type est lan-cée à Nanterre à grande échelle, surun secteur de logements collectifspermettant d’offrir une alternative destationnement à nos résidents.

véhicules. Mais l’Office s’est vite heur-té aux difficultés d’enlèvement desvéhicules, et tous les efforts réalisésen termes de repérage sont tombés àl’eau. Du moins provisoirement…

Ils étaient ainsi plusieurs dizaines, cesvéhicules accidentés, non roulants,ne disposant plus d’immatriculation,qui se détérioraient paisiblementdepuis plusieurs mois sous les fenêt-res de nos résidences…

« L’intervention de la fourrière,ciblée dans un premier temps surles épaves, va permettre de viteclarifier cette situation très préju-diciable pour les locataires duPetit-Nanterre, indique Marie-Claude Garel. Je viens de leur écri-re pour les informer, et pour queles propriétaires indélicats pren-nent leur dispositions avec leursvéhicules ». Une occasion d’ailleurspour rappeler à tous que le stationne-

ment des voitures doit être assurécorrectement, sur les places dessi-nées à cet effet, sans gêner lesaccès-pompiers ni dégrader lespelouses et les bordures.

D’ici la prochaine visite d’automne,prévu pour fin septembre, le paysage

des parkings du Petit-Nanterre devraitêtre modifié. Il restera toutefois d’aut-res actions à conduire, comme unemeilleure utilisation des parkings sou-terrains, ou la lutte contre la méca-nique sauvage, ce qui nécessite quele groupe de travail du quartier restepleinement mobilisé.

Sur les parkings aériens du Petit Nanterre

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Actualité

Depuis son origine, fin 2013, le dispositif de médiation de nuit ne cesse de se développer àNanterre. Il est soutenu par les instances de l’Office, toutefois son mode de financement a faitdébat, d’abord au sein du Conseil d'Administration, puis avec nos locataires. Après une pério-de de flou, le Conseil Central de Concertation Locative a tranché : c’est le budget central del’Office qui prendra le service en charge.

Une ligne nouvelle est apparue endébut d’année sur l’avis d’échéanced’une large partie de nos locataires : leplus souvent d’un montant de 2,25 €par mois, elle représentait la participa-tion des locataires à la prise en chargedu service de médiation de nuit, finan-cé de façon paritaire par la Ville deNanterre et l’ensemble des bailleursde Nanterre.

Cette nouvelle ligne avait l’ambition depermettre une plus grande transparen-ce dans le montant des charges deslocataires : ce montant, variable sui-vant la typologie des logements, étaitauparavant intégré, pour ne pas diredilué, dans les « charges générales »des différentes résidences. Lors duchangement d’affectation comptable,les charges générales ont été sensi-blement allégées, ce qui fait qu’aucunlocataire concerné n’a déboursédavantage. CQFD…

Malgré cette modification, la situationrestait contestable, la prise en chargedes coûts d’un service de médiationne figurant pas expressément dans laliste établie en 1986 des charges récu-pérables auprès des locataires.

L’Office a donc souhaité se mettre par-faitement en conformité avec la régle-mentation, en décidant de prendre encharge, sur son propre budget, sa par-ticipation de 143 000 € au dispositif.En contrepartie, une décision budgé-taire modificative de ce même mon-

LA MÉDIATION DE NUIT CHANGE DE STATUT

tant diminuera le volume des grandstravaux annuels 2017. La participationd’un peu plus de 2 € sollicitée auprèsdes locataires, au titre des chargesrécupérables, sera donc suppriméesur l’avis d’échéance de fin juillet, et

les sommes prélevées au titre descharges récupérables depuis le débutde l’année seront prises en comptelors du calcul de la régularisation decharges 2018.

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Actualité

Vêtus de leurs traditionnels gilets verts,déambulant par deux ou trois, ilsconnaissent parfaitement la ville et leslieux fréquentés en soirée par lesNanterriens. Mais pas d’ambigüité surle rôle des médiateurs : ce ne sont pasdes agents de sécurité, ils sont avanttout des médiateurs, comme leur noml’indique. Ils ont pour mission de pré-venir tout conflit avant qu’il ne surgissevraiment, ou de faire baisser la pres-sion. « Nous ne sommes pas làpour assurer l’ordre et la sécuritédans la ville, prévient Djamel, leresponsable de l’équipe. « C’est lerôle des services de police, etd’ailleurs nos agents ne sont pasformés à ce genre de tâche ».

Aucun recours à la force, la parole et le

dialogue sont les deux outils qu’utili-sent les médiateurs dans le cadre deleurs missions : « nous connaissonsbien la plupart des jeunes quenous rencontrons dans nos quar-tiers, poursuit Djamel, et parfoisdepuis un bon moment. Ce quenous voulons, c’est les empêcherde provoquer des nuisances auxhabitants. Alors, nous allons verseux, nous les écoutons, nous leurdonnons des conseils et nous leurrappelons les principes du vivre-ensemble ».

L’équipe de médiation de nuit a pro-cédé au total à 1 127 interventions en2016, dans des domaines divers telsque les interventions sur le patrimoinedes bailleurs, les mauvaises utilisa-

tions des espaces publics, ou lescomportements routiers répréhensi-bles : un chiffre qui devrait grossir en2017, puisque le quartier du Parc nefait partie des secteurs couverts parl’équipe que depuis l’automne 2016. Un travail discret mais efficace, donton ne pourrait plus se passer aujourd’-hui, et qui participe à l’amélioration duvivre-ensemble dans notre ville.

Pour joindre la médiation de nuit :Vous constatez un rassemblementbruyant au pied de votre immeuble, unmauvais usage des espaces publics,des dégradations ou des incivilités ?Le service de médiation de nuit est joi-gnable en permanence au01.47.29.53.81 avec un répondeurdans la journée.

SERVICE DE NUIT…Depuis 2013, les médiateurs de nuit de Nanterre effectuent une tâche un peu ingrate : sillonnantles rues, les espaces publics, les halls d’immeubles, ils utilisent la seule arme qu’ils ont à leurdisposition : la parole. Les résultats sont contrastés, parfois, mais l’équipe a su devenir incontour-nable dans le dispositif de tranquillisation et de vivre-ensemble développé sur notre ville.

Résidence Zilina, la nuit

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RÉGULARISATION DES CHARGES :LA BONNE SURPRISE POUR LES LOCATAIRES

LE RAPPORT DE L’ANCOLS

Tout au long de l’année, le service« gestion générale » veille à la bonnerépartition du montant des chargesgénérales dans chaque résidenceselon ses spécificités (chauffage col-lectif, ascenseurs, électricité, nettoya-ge et hygiène, espaces verts, désin-fection, dégorgement)… Tous les mois, au même titre que laconsommation d’eau, chaque locatai-re s’acquitte d’une provision de char-ges générales et une fois par an, c’estla régularisation (avis d’échéance dejuin, payable début juillet). Nous avons demandé quelqueséclaircissements à Félicia MELICUC-CI, Directrice du service « gestiongénérale ».Cité-Mag : cette année, la régulari-sation des charges généralesserait plus favorablepour les loca-taires ?Félicia MELICUCCI : effectivement,

2016 est marquée par une baisse descharges locatives. Par exemple, lesimmeubles dont le mode de chauffageest collectif bénéficient de la renégo-ciation des contrats chauffage, d’unhiver 2015/2016 doux et du prix du gazlégèrement à la baisse. C’est vrai aussi de l’électricité quiconcerne l’éclairage des parties com-munes mais également le fonctionne-ment des ascenseurs. Cité-mag : les nouvelles sourcesd’énergie sont également concer-nées ?Félicia MELICUCCI : C’est vrai pour lesolaire. En effet, le coût du réchauffa-ge de l’eau assuré dans quelques rési-dences équipées de panneaux solai-res est également en baisse.Cité-Mag : Pas de hausse, cetteannée alors ?Félicia MELICUCCI : notons tout demême une légère hausse du poste

« nettoyage et hygiène » ainsi que dela taxe d’enlèvement des orduresménagères (TEOM). Cité-Mag : les locataires devraientavoir une bonne surprise sur leurquittance ?Félicia MELICUCCI : Oui, une bonnesurprise car il y aura des rembourse-ments dans 96% des résidences. Lesrégularisations à la hausse serontdonc rares. Depuis plusieurs années maintenant,l’ajustement des charges s’effectuequasiment chaque mois, notammentlorsqu’il s’agit de hausse ou de baissesignificative de l’énergie. Avec un patri-moine constitué de près de 70% delogements en chauffage collectif, ondoit être très attentif. Ce choix nous apermis ces dernières années d’éviteraux locataires des régularisations tropimportantes, notamment au momentdes vacances d’été.

Le dernier rapport de l’ANCOLS estparvenu début juin à l’office. Il a étéprésenté le 28 juin au Conseild'Administration comme la législationl’impose.En soulignant le rôle social et lesérieux général dans la gestion de l’or-ganisme, l’ANCOLS reconnaît que l’of-fice HLM de Nanterre est une maisonsérieuse et particulièrement stable auniveau de ses indicateurs financiers etdes indicateurs sociaux.Bien entendu, sont aussi abordés despoints que l’ANCOLS juge nécessaired’améliorer, voire de faire évoluer etrelève ce qu’il peut considérer commedes dysfonctionnements.« Nous ne contestons pas l’essen-tiel de ces points à améliorer,indique Véronique Monge, DirectriceGénérale. D’ailleurs, depuis les pre-miers échanges avec les contrô-

leurs, nous avons remédié à plu-sieurs situations, ce que reconnaîtl’ANCOLS dans son rapport défini-tif. Nous allons poursuivre dans cesens ». Certains sujets font aussi l’objet d’in-terprétations différentes : on peut noterla question des surloyers(*), avec l’exi-gence d’une mise en œuvre immédia-te de la loi sur cette question, ainsi quela nécessité de procéder à la générali-sation des DAPP (DiagnosticsAmiante dans les Parties Privatives). Sur ce point, l’office a déjà réalisé l’en-semble des DTA (DiagnosticsTechniques Amiante) pour les partiescommunes qui entrent dans le cadrede la réglementation et semblent allertotalement dans le bon sens. Pour lesDAPP, à ce jour, « cela demeure desdiagnostics a minima, inefficaceset insuffisants pour s’attaquer aux

véritables méfaits de l’amiante »,ajoute Marie-Claude Garel. Elle rap-pelle que « en 5 ans, le conseil d’ad-ministration dans le budget aconsacré plus de 500 000 eurospour traiter cette problématiqueamiante». Actuellement, ces diagnos-tics (DAPP) sont réalisés au fil de lalibération des logements.Ces contrôles réguliers sont toujoursconstructifs et permettent de bien sevoir conforter dans la pleine réalisationdes missions confiés à un organismecomme l’office municipal HLM deNanterreLe rapport définitif de l’ANCOLS estconsultable sur le site Internet del’Office à l’adresse suivante :www.ophlm-nanterre.fr

(*) Voir aussi l’éditorial de Marie-Claude Garel, page 3

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Actualité

LORILLEUX : QUEL PROJET POUR L’AIRE DE JEUX ?Lors des visites de terrain de l’automne dernier, Marie-Claude Garel a promis de retourner à la rencontre deslocataires du 38, rue de Lorilleux, pour définir un projet de réaménagement de l’aire de jeux pour enfants. Cerendez-vous a eu lieu le 8 Juin dernier, en présence des techniciens de la Ville et de l’Office.

Le contrat signé l’an passé avec laVille de Nanterre sur l’entretien desaires de jeux permet en premier lieud’assurer toutes les visites de sécuritéet de contrôle nécessaires à la bonnetenue des jeux pour nos bambins.Mais il permet également, une fois paran environ, de réaménager des airesde jeux qui ne conviennent plus, où sur

lesquelles des travaux plus importantssont à envisager : c’est ainsi quel’Office a pu refaire l’an passé cellesituée au Champ-aux-Melles.Le petit square situé en face du 38,Lorilleux a la particularité d’être com-posé en deux parties, la partie supé-rieure et déjà aménagée étant dédiéeaux tout petits, alors que la partie infé-

rieure est plutôt réservée aux plusgrands : cette dernière est libre de toutjeu, ce qui permet à de jeunes pré-adolescents de se livrer régulièrementà des parties de ballon effrénées etgénératrices de nuisances diversespour les locataires. C’est ainsi que plu-sieurs barrières ont été descellées, etdevront être remplacées.Un autre terrain de sport, plus vaste etmieux adapté, étant situé à une centai-ne de mètres, Marie-Claude Garel aannoncé que cette partie inférieureserait aménagée autour d’un jeuconçu pour de plus grands enfants de6 à 10 ans, de type « araignée » parexemple. Un nettoyage en profondeur seraentrepris sur la partie haute dont lesjeux ne seront pas modifiés.Une nouvelle rencontre sera organiséeun mercredi, au début de l’automne,pour qu’un choix puisse se faire encompagnie des enfants eux-mêmes.

À PROPOSDU DIAGNOSTIC AMIANTE Locataire d’un logement dont lepermis de construire a été déposéavant le 1er juillet 1997 Vous pouvezretirer la fiche récapitulative concer-nant les parties communes de votreimmeuble à la loge du gardiendepuis début juin. Attention, durantl’été, il ne sera pas possible au gar-dien de se rendre à la loge de soncollègue en congés. Il faudra atten-dre la rentrée.

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Vie des quartiers

TOURS AILLAUD : ÇA BOUGE… !

QUAND PICASSO S’AFFICHE…

La Ville de Nanterre a décidé de lancer un vaste projet de rénovation dusecteur des tours Aillaud, comprenant à la fois la réhabilitation thermiquedes bâtiments, et de possibles changements d’affectation de certainesdes tours qui pourraient trouver un autre usage : une deuxième rencont-re a été organisée avec les amicales de locataires du secteur, au Théâtrepar le Bas.

C’est en effet un projet d’ampleur, quitrouvera sa place dans le cadre duprojet de renouvellement urbain duParc, et accompagnera la construc-tion prochaine du 11ème quartier deNanterre situé aux Groues. En lienavec les deux bailleurs du secteur,notre Office et Hauts-de-SeineHabitat, la Ville a fait le constat quel’avenir de ce quartier, dessiné à l’é-poque par l’architecte Emile Aillaud,méritait d’être réfléchi et d’évoluervers une plus grande mixité.

La rentrée de septembresera à cet égard détermi-nante, puisque à la foisle maître d’œuvre de laréhabilitation sera sélec-tionné, et l’équipe lau-réate de l’Appel àManifestation d’Intérêt,pour les possibles chan-gements d’usages destours, sera elle aussi

retenue. En parallèle, le bureau d’étu-des en charge de l’étude urbaineaura lui aussi rendu sa copie.

Cette période d’automne sera doncconsacrée à la restitution de toutesces études aux habitants. La réuniona permis de bien mesurer l’intérêtporté par les amicales à ce projet, etd’intégrer trois représentants asso-ciatifs au Comité Scientifique, chargéde fournir des avis consultatifs surl’ensemble de ces études.

Une initiative à retenir, et à inscrire surnos agendas. Sur proposition de M.et Mme Grimaud, locataires aux toursAillaud, et de l’amicale AILTA, uneexposition sera organisée fin septem-bre avec les affiches retraçant la vieet l’œuvre de Pablo Picasso. Elle setiendra dans le LCR de la tour 11allée des Demoiselles d’Avignon, du23 septembre au 13 octobre. Voir affi-che en dernière page.

Le planning des visites d’automneComme chaque année, l’autom-ne sera consacré aux visitesorganisées par Marie-ClaudeGarel et les équipes de l’Officepour préparer les GrandsTravaux du budget 2018 del’Office.

Voici le planning prévisionnel deces visites :• Mardi 12 Septembre 14h30Berthelot• Jeudi 14 Septembre 9h00Les Provinces-Françaises• Mardi 19 Septembre 9h00Petit-Nanterre• Mardi 3 Octobre 9h00Mont-Valérien 1• Mardi 10 Octobre 9h00Mont-Valérien 2• Jeudi 12 Octobre 9h00Mont-Valérien 3• Mardi 17 Octobre 9h00Centre-Ville• Mardi 7 Novembre 9h00Hôtel-de-Ville• Mardi 14 Novembre 9h00Lorilleux• Mardi 21 Novembre 9h00Tours Aillaud• Jeudi 23 Novembre 9h00Terrasses-Préfecture• Mardi 28 Novembre 9h00Champs-Pierreux• Jeudi 30 Novembre 9h00Champ-aux-Melles• Mardi 5 Décembre 9h00Chemin-de-l’Ile • Mardi 12 Décembre 9h00Rouget de Lisle-Hoche

Les cheminements, lieux de ren-dez-vous,… seront affinés ultérieu-rement : pour en savoir davantage,nous vous invitons à consulterrégulièrement le site Internet del’Office : www.omhlm-nanterre.fr

Réunion des amicales au Théatre par le Bas

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Cité mag • juin 2017 • N°5213<

Vie des quartiers

LES VOISINS FONT LA FÊTE !

LES JOLIS TONS DU MUGUET NOUVEAU…

Malgré un temps incertain, les locataires de l’Office n’ont pas manqué le traditionnel rendez-vous de la Fête des Voisins, le Vendredi 19 Mai dernier : verre de l’amitié, spécialités culinai-res, bonne humeur étaient à nouveau au rendez-vous, au 19, Avignon comme dans de nomb-reux points de la Ville.

Lorsqu’on traverse le quartier duPetit-Nanterre et qu’on approche ducentre commercial, on remarque toutde suite le changement de look de larésidence du Muguet. Félicitons leslocataires qui ont choisi cette palettede couleurs chaleureuses proposéepar le coloriste habitué à travailleravec l’Office depuis quelquesannées. Les quelques immeublesachevés ont vraiment fière allure.Commencés à l’automne dernier, lestravaux se poursuivront cet été pournormalement s’achever fin octobre.A suivre…

Avant… Après…

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« jeune scène humour »

Venez découvrir et encourager de jeunestalents du stand up primés, cette année,dans le festival Rire de Nanterre duThéâtre par le bas et le festival Arti’Showde l’association Article X de l’universitéParis Nanterre. Venez partager votrepique-nique et passer un bon momentensemble ! Programmation en partenariat avec leThéâtre par le basEsplanade Charles De Gaulle, kiosque deverdure - gratuitBuvette et restauration dès 20h avec l’as-sociation Jeu de cordes (à confirmer)11 août à 21h : Moorad et YazidMdahoma, lauréat du Prix de public duFestival Arti-show 18 août à 21h : Moorad et Amin Dridi, lau-réat du Prix de public du Festival Rire deNanterre

Vendredi 21 juilletLa vacheUn film de MohamedHamidi – comédie -1h32 –2016Avec Fatsah Bouyamed,Lambert Wilson, Jamel

Debbouze...Quand un paysan algérien débarque àMarseille en compagnie de sa vacheJacqueline avec pour seul objectif d’atteind-re à pied le salon de l’agriculture à Paris, celadonne une fable formidable, simple et hila-rante… LA comédie surprise de l’année 2016!

Vendredi 28 juilletLe monde de DoryUn film d’Andrew Stanton,Angus MacLane – anima-tion, comédie - 1h37 -2016Second rôle du Monde deNemo et désormais star,

Dory, le poisson chirurgien à la mémoire

immédiate défaillante, nous entraîne dansdes aventures subaquatiques émouvantes etdrôles. Un bonheur de chaque instant...

Vendredi 4 aoûtLe cerveauUn film de Gérard Oury -comédie, policier – 1h55 -1968 Jean Paul Belmondo etBourvil réunis dans unecomédie policière deGérard Oury, forcément le

résultat est exceptionnel ! Le grand Bébel etle doux Bourvil y font des étincelles, en cam-brioleurs miteux.

Vendredi 11 aoûtInsaisissables 2Un film de Jon M. Chu –thriller, action comédie –2016 – 2h10Les quatre magiciens sontde retour pour tenter dedénoncer les méthodespeu orthodoxes d’un

magnat de la technologie à la tête d’unevaste organisation criminelle. Action, magie,suspense, élégance : un cocktail estival plusqu’agréable !

Vendredi 18 aoûtChocolatUn film de Roschdy Zem –drame, biopic – 2h - 2016Du cirque au théâtre, del'anonymat à la gloire, l'in-croyable destin du clownChocolat, premier artiste

noir de la scène française. Sous les traitsd’Omar Sy, le film retrace l’histoire de cetartiste hors du commun.

Apéros concerts de l’Agora En terrasse de l’Agora, une invitation auvoyage en musique et en toute convivialité.En lien avec le festival « La terre est à nous »,des concerts gratuits, en plein air, à partir de19h, chaque jeudi de juillet : 6 - 13 – 20 & 27juillet.

Le réseau des médiathèquesVenez jouer dans les médiathèques ! Venez goûter aux joies des jeux de sociétéet des jeux vidéo, pour tous les âges,découvrir des usages ludiques et créatifsdes tablettes numériques.

Tournoi Just dance (équipe de 4 maxi-mum ou individuel)Médiathèque Pierre-et-Marie-Curie :samedi 1er juillet à 15h

Ateliers jeux vidéo :Médiathèque Pierre-et-Marie-Curie : v e n -dredis 7 juillet, 4, 11, 18 et 25 août de 16hà 18hMédiathèque du Petit-Nanterre : m e r -credis 12 et 26 juillet de 10h à 12h

Atelier jeux de société :Médiathèque du Petit-Nanterre :samedis 8, 22 et 29 juillet de 15h à 17h

Atelier tablette numérique « Silence ontourne ! »Médiathèque du Petit-Nanterre :mercredi 5 juillet à 10h

Conte numérique sur tabletteMédiathèque du Petit-Nanterre :mercredi 19 juillet à 10h30

Toutes les médiathèques seront ferméesles vendredi 14 et samedi 15 juillet ainsique le mardi 15 août.

Médiathèque des Fontenelles :du 29 juillet au 21 août 2017

« CINÉ SOUS LES ÉTOILES ! » CET ÉTÉ À NANTERRE…En partenariat avec le Cinéma Les Lumières, 5 séances de cinéma gratuites, en plein air auront lieu les ven-dredis à la tombée de la nuit.Elles se dérouleront sur l’esplanade Chales-de-Gaulles (RER A Nanterre-Préfecture), au kiosque de verdure. Encas de mauvais temps, la séance peut être reportée ou annulée. Se renseigner au 39 92 le jour même.

A votre service

Pour davantage de précisionssur les activités d’été, rendez-vous

sur le site de l’Officeou celui de la mairie de Nanterre

www.nanterre.fr

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Expressions libres

Les gilets vertsen grands travaux ?

Ce mois de juin amène une bonne nouvellepour les locataires ! L’Office HLM de Nanterrevient d’abandonner, sous la pression des asso-ciations de locataires, la récupération illégaledes médiateurs de nuit dans les charges locati-ves et sur les quittances de loyer. Fini la lignesupplémentaire de 2,25 � chaque mois ! Les sommes prises aux locataires depuis jan-vier 2017 devront être remboursées via les char-ges locatives de 2017 soit en juin 2018. Les 140000 � nécessaire pour les médiateurs de nuitde 2017 seront ainsi pris sur le budget desgrands travaux réduisant encore le budget deces travaux pourtant indispensable à l’améliora-tion du bien vivre dans les résidences. Nous sommes ravis de cette avancée de la partde l’Office HLM, après plus de 3 ans d’existen-ce des « gilets verts », mais nous continuons àdemander le remboursement des sommespayées indûment dans les charges locativespar les locataires des résidences concernées.

Ce mois de juin sent aussi le début de l’été etdes vacances notamment pour les petits nan-terriens qui profiteront bientôt d’une journée à lamer ou d’après-midi à la plage. Mais, cette sen-teur d’été amène aussi diverses incivilitéscomme l’ouverture des bouches à incendie.Nous tenons à la rappeler que l’ouverture d’unebouche à incendie met la vie en danger deslocataires avoisinants notamment en cas d’in-cendie et d’inondation mais aussi provoquedes coupures d’eau dans les logements. Nejouons pas avec la vie des nanterriens !

Il vous reste quelques semaines pour aller récu-pérer votre fiche de diagnostic amiante de votrecage d’escalier. Cette fiche vous indiquera laprésence ou non d’amiante dans un ou plu-sieurs éléments de vos parties communes. Afinde vous aider à comprendre cette fiche et vousrenseigner plus amplement sur le sujet, l’UNLINanterre est à votre entière disposition afin detravailler avec vous. Contactez-nous pour endiscuter ensemble !

Un problème ? Une question ?Un conseil ? Envie d’améliorervotre quotidien et votre quartier ? Contactez l’UNLI Nanterre !

Nous contacter ou nous rencontrer :Courrier : UNLI de Nanterre3 rue Jean Moulin 92000 NANTERREMail : contact@unli-nanterre.frTéléphone : 06 26 29 56 68Permanence sur rendez-vous : Reprise débutseptembre dans nos nouveaux locauxSite internet : www.unli-nanterre.fr

Le logement et le logementsocial doivent être une prioriténationale !

Le premier gouvernement Macron vient d’êt-re mis en place. Celui-ci ne comporte niministère du logement ni même un secréta-riat d’état au logement. C’est dire si cettequestion primordiale pour la vie des ména-ges de notre pays est prise avec sérieuxalors que nous vivons une crise du logementsans précédent !Dans son « programme » le nouveauPrésident de la République n’a jamais évo-qué cette situation critique et ses proposi-tions remettent notamment en cause lesdroits des locataires: droit au maintien dansles lieux, encadrement des loyers, etc.Des propositions qui nuiront aux 4 millions demal-logés, 2 millions de familles en attented’un logement social et 15 millions defamilles fragilisées dans leur vie quotidienne.Il est temps de changer de braquet, de revoircomplètement la politique du logement et desortir des vieilles recettes mise en œuvre ces40 dernières années. Ce gouvernement sem-ble pourtant reprendre cette direction désas-treuse en ne donnant pas au logement laplace qu’il faut.Plus que jamais le logement social doit êtredéveloppé et doit être universel.Il faut un véritable service public du loge-ment !La CNL appelle les habitants, les citoyens àpeser par leur expression pour exiger uneautre politique du logement. Il faut qu’àl’Assemblée nationale ces idées et exigen-ces soient portées avec force.Elle appelle les locataires, les mal logés, ettous les gens épris de justice sociale à serassembler et agir avec la CNL pour défend-re ces droits fondamentaux.

Vous pouvez compter sur la CNL, ses mili-tants et ses structures pour ne rien lâcher !

Confédération Nationale du LogementConseil Local de Nanterre66, rue des Amandiers92000 NanterreTel : 01.47.21.60.99

06.95.09.84.95Courriel : lacnl.nanterre@gmail.comSite ; www.cnl-nanterre.com

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