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La lettre des chasseurs charentais N°8 La Fédération Départementale des chasseurs de la Charente a mis en place, cette année, des actions, des outils permettant, nous l'espérons, de faciliter la vie des chasseurs. Ce fut, tout d'abord, une réforme dans la distribution des bracelets. Afin d'éviter une perte de temps et des déplacements longs pour certains d'entre vous, nous avons pensé qu'un envoi direct chez les présidents ou les délégués permettrait une simplification de cette operation. Nous avons réuni les délégués sangliers pour avoir leur sentiment. Si certains étaient réticents à cette idée, la majorité a trouvé l'idée très bonne. Bien évidemment, rien n'est figé. Des améliorations peuvent encore être apportées et si les inconvénients s'avéraient supérieurs aux avantages, nous reviendrions à l'ancienne formule. Les nouvelles technologies existent et nous saurions nous en passer. La FDC 16 doit aller de l'avant et utiliser tous les outils mis à sa disposition. Pour la prochaine saison, les délégués des différentes unités de gestion, les présidents vont pouvoir saisir en ligne les fiches correspondant aux prélèvements de grands gibiers. L'information va circuler plus vite et chaque responsable pourra suivre, au fil du temps, l'évolution de son plan de chasse. La possibilité de prendre son permis en ligne va également dans ce sens. Libérer du temps pour nos personnels afin d'exécuter des tâches plus gratifiantes permettra la rationalisation du travail de chacun et des économies de fonctionnement. Nous devons tout faire pour que la chasse reste un loisir populaire accessible à un plus grand nombre. Dans les prochaines années, nous continuerons dans cette voie en vous proposant d'autres outils innovants. Nous sommes conscients que l'utilisation de ces nouvelles techniques peut rebuter quelques uns d'entre vous. Les progrès ont toujours été source de discussions, de controverses, de rejets de la part de certains. Rien n'est imposé, tout se fait sur la base du volontariat. Chaque nouvel outil fera l'objet d'une évaluation. Il faut savoir aller de l'avant, utiliser tout ce qui peut permettre au chasseur de lui simplifier la vie, lui permettre d'être pleinement acteur de son loisir et d'être associé à la vie de sa fédération. Encore quelques semaines d'attente et nous pourrons à nouveau vibrer pour notre passion. Je vous souhaite un excellent été. B. MEUNIER, Président de la Fédération des Chasseurs de la Charente.

La lettre des chasseurs charentais N°8 · 2017. 7. 28. · La lettre des chasseurs charentais N°8 La Fédération Départementale des chasseurs de la Charente a mis en place, cette

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  • La lettre des chasseurs charentais N°8

    La Fédération Départementale des chasseurs de la Charente a mis en place, cette année, des actions, des outils permettant, nous l'espérons, de faciliter la vie des chasseurs.

    Ce fut, tout d'abord, une réforme dans la distribution des bracelets. Afin d'éviter une perte de temps et des déplacements longs pour certains d'entre vous, nous avons pensé qu'un envoi direct chez les présidents ou les délégués permettrait une simplification de cette operation.

    Nous avons réuni les délégués sangliers pour avoir leur sentiment. Si certains étaient réticents à cette idée, la majorité a trouvé l'idée très bonne. Bien évidemment, rien n'est figé. Des améliorations peuvent encore être apportées et si les inconvénients s'avéraient supérieurs aux avantages, nous reviendrions à l'ancienne formule.

    Les nouvelles technologies existent et nous saurions nous en passer. La FDC 16 doit aller de l'avant et utiliser tous les outils mis à sa disposition. Pour la prochaine saison, les délégués des différentes unités de gestion, les présidents vont pouvoir saisir en ligne les fiches correspondant aux prélèvements de grands gibiers. L'information va circuler plus vite et chaque responsable pourra suivre, au fil du temps, l'évolution de son plan de chasse.

    La possibilité de prendre son permis en ligne va également dans ce sens. Libérer du temps pour nos personnels afin d'exécuter des tâches plus gratifiantes permettra la rationalisation du travail de chacun et des économies de fonctionnement. Nous devons tout faire pour que la chasse reste un loisir populaire accessible à un plus grand nombre.

    Dans les prochaines années, nous continuerons dans cette voie en vous proposant d'autres outils innovants.

    Nous sommes conscients que l'utilisation de ces nouvelles techniques peut rebuter quelques uns d'entre vous. Les progrès ont toujours été source de discussions, de controverses, de rejets de la part de certains.

    Rien n'est imposé, tout se fait sur la base du volontariat. Chaque nouvel outil fera l'objet d'une évaluation.

    Il faut savoir aller de l'avant, utiliser tout ce qui peut permettre au chasseur de lui simplifier la vie, lui permettre d'être pleinement acteur de son loisir et d'être associé à la vie de sa fédération.

    Encore quelques semaines d'attente et nous pourrons à nouveau vibrer pour notre passion. Je vous souhaite un excellent été.

    B. MEUNIER,

    Président de la Fédération des Chasseurs de la Charente.

  • Le 28 mai dernier, la société de chasse recevait les associations en projet associatif petit gibier. Cinquante-sept participants représentant 26 territoires engagés dans le projet associatif petit

    gibier, étaient présents à cette journée organisée par la fédération des chasseurs.

    Les chasseurs de Genac ont présenté les actions menées sur leur territoire notamment avec la perdrix royale. Des actions qui portent leurs fruits puisque au printemps dernier, pas moins de 18 couvées de perdrix rouges ont été dénombrées sur la commune.

    Cette rencontre a permis aux différents responsables des territoires de chasse engagés dans des programmes d’amélioration de la qualité des lâchers de petit gibier, d’échanger sur les problèmes rencontrés en termes de pratique de lâchers, d’amélioration du cantonnement des oiseaux, de limitation des espèces nuisibles…

    Cette journée a également permis d’envisager cette action d’amélioration des lâchers

    dans un cadre plus global, avec une prise en compte de la qualité environnementale du territoire. Différents exemples concrets d’aménagements possibles, suite à la réalisation d’un

    diagnostic de territoire, ont été montrés aux participants sur les territoires de Genac et de Vars : Conservation de corridors écologiques pour le petit gibier : entretien des

    repousses de haies, plantations de haies, mise en place de bandes enherbées et de bandes mellifères..

    La journée des projets

    associatifs à GENAC

  • -Aménagements possibles des emprises de pylônes de transport d’électricité avec la mise en place de couverts buissonnants.

    Entretien des bords de chemins communaux sur la base d’une convention avec la commune

    Problématique de l’enherbement du vignoble. Cette rencontre a été enrichie de nombreux échanges entre les participants qui pour

    la plupart ont fait part de leur souhait d’aller plus loin en matière de gestion du petit gibier, notamment en essayant d’agir sur la qualité de leur territoire.

    Après les diagnostics de territoires, les actions voient le jour.

    Depuis la mise en place du projet associatif petit gibier, plus de quarante diagnostics de territoires ont été réalisés par la fédération des chasseurs. Sur les bases des conclusions et de l’évaluation de la qualité des milieux pour la perdrix rouge ou grise de ces territoires, les chasseurs en partenariat avec les agriculteurs et certains conseils municipaux, sont rentrés dans la phase active du projet avec la mise en place d’actions concrètes d’aménagement de leur commune, soutenues par la Région Poitou Charentes.

    Ainsi, ce sont plus de 160 ha d’inter cultures (CIPAN biodiversité) qui seront mises en place sur 7 territoires en fin d’été, avec pour objectif de limiter les terres nues en automne hiver par la mise en place de couverts faunistiques.

    Afin de valoriser les couverts environnementaux mis en place par les agriculteurs et

    intégrés dans leurs surfaces en éléments topographiques ouvrant droit à prime dans le cadre de la PAC, ce sont environ cinquante hectares de couverts mellifères qui ont été implantés au printemps ou qui le seront à l’automne.

    La mise en place

    de ces aménagements doit accroitre la capacité d’accueil du territoire pour la faune et donc permettre le maintien voire le développement du petit gibier sur ces mêmes territoires

  • C’est un volontaire, mandaté par les présidents des associations de chasse tant communales que privées, les agriculteurs, les forestiers de l’unité de gestion.

    Le Délégué est le représentant des détenteurs de droit de

    chasse, adhérents du Groupement. Il n’est pas détenteur

    du droit de chasse par son mandat.

    L’unité de gestion - C’est un regroupement de territoires - Ce sont des objectifs communs de gestion déterminés par les chasseurs,

    les agriculteurs et les forestiers locaux - Le groupement constituant l’unité de gestion n’est pas une super

    association, sauf GIC et GIASC, donc le délégué n’est pas un super président mais une personne dévouée, pour faciliter le fonctionnement de l’unité de gestion

    Le délégué obtient sa légitimité - Par le mandat qui lui est conféré par ses pairs - Par l’arrêté préfectoral portant schéma départemental de gestion cynégétique - Par les résultats de son action

    Le délégué est chargé - De la communication avec tous les territoires de l’unité de gestion - D’adresser les convocations par l’intermédiaire de la Fédération des chasseurs après contact avec l’agent de développement aux chasseurs, forestiers, agriculteurs, administrateur de la Fédération des chasseurs pour les réunions de l’unité de gestion - D’animer ces réunions, de rédiger et diffuser les comptes-rendus - De rester en contact permanent avec l’agent de développement fédéral de son secteur - D’assurer la délivrance des bracelets - De suivre les prélèvements et de suivre avec la Fédération Départementale des Chasseurs l’évolution des dégâts sur son unité de gestion - De rencontrer, si besoin s’en fait sentir, les représentants des autres territoires de l’unité de gestion

    Le rôle du délégué de

    groupement sanglier

  • Dans sa mission, le délégué de l’unité de gestion aura les mêmes rapports avec les sociétés communales de chasse et les chasses privées qui composent l’unité de gestion.

    Le délégué du groupement prendra soin d’éviter de prendre position sur des débats liés à l’organisation et la gestion associative. Le seul thème de son action est la gestion du grand gibier et l’équilibre grand gibier - économie agricole.

    Le groupement (et son schéma local), n’est pas une structure qui a pour vocation de réglementer, c’est une structure d’application.

    Chaque groupement élaborera son système de prise de décision soit : à partir d’une méthode conciliée à partir d’une représentation de territoire décidée à l’unanimité à partir d’une représentation de territoire décidée à la majorité

    Chaque délégué ou représentant peut faire appel à des personnes ressources : l’agent de développement de son secteur le technicien fédéral de son secteur

    Le schéma départemental et local de gestion cynégétique sanglier est un transfert de compétences et de responsabilités du niveau départemental vers le niveau local

    Chasseurs locaux, agriculteurs locaux, forestiers locaux prennent en charge leur

    avenir dans l’intérêt commun.

    Merci à ceux qui s’engagent, pour leur dévouement.

    Tous les responsables de territoire et les chasseurs ont le devoir de

    soutenir leur action bénévole.

  • LA FEDERATION DES CHASSEURS DE LA CHARENTE COMMUNIQUE

    L’E.Validation du Permis de chasser : tout en un clic

    Dix ans après la création du Guichet Unique de validation du permis de chasser,

    qui a mis fin à des démarches administratives fastidieuses et coûteuses, une

    nouvelle étape vient d’être franchie dans la simplification de la procédure.

    Grâce au Guichet Unique, les chasseurs avaient déjà la faculté, soit de recevoir à

    domicile leur bon de commande et leur titre de validation, soit de commander et

    payer par Internet pour recevoir ensuite leur titre de validation.

    L’accord récent des Ministères de l’Ecologie et des Finances, permet dorénavant

    d’aller encore plus loin dans la simplification, en éditant à domicile le titre de

    validation que l’on a commandé par Internet.

    Dès lors, rien de plus simple que de répondre à une invitation de dernière minute,

    ou de pallier un oubli la veille de l’ouverture !

    Le système mis en place est très simple, il suffit de se connecter sur le site Internet

    de la Fédération : www.fdc16.com, compléter en ligne sa commande, régler le

    montant par carte bancaire et, lancer l’édition du titre une fois les contrôles

    réglementaires effectués.

    Validation en poche, départ à la chasse sur-le-champ !

    Avec l’e-validation la chasse continue sa cure de jouvence !

  • Le réseau « Sécurité à la chasse » de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) publie chaque année le bilan des accidents de la saison écoulée (du 1er juin 2013 au 31 mai 2014), après en avoir analysé la nature et les circonstances. Ces informations permettent d’améliorer la formation des chasseurs à la sécurité.

    Pour la saison 2013/2014, le nombre total d’accidents s’élève à 114 dont 16 mortels. Il

    s’agit là du meilleur bilan enregistré depuis quinze ans (pour rappel, la moyenne des accidents mortels était de 18 ces cinq dernières années). Il confirme la tendance à la baisse constatée ces dernières années et montre que le travail de formation mené au sein des fédérations départementales des chasseurs et en lien avec la division du permis de chasser de l’ONCFS porte ses fruits. L’analyse détaillée de ces chiffres montre que 90% des victimes sont des chasseurs (parmi lesquels on déplore 31% d’auto-accidents). Les non-chasseurs représentent 10% des accidents (soit 12 personnes parmi lesquels on déplore deux accidents mortels). Analyse du gibier tiré au moment de l’accident : la chasse au grand gibier entre pour 68% du chiffre total et le petit gibier 32%. Pourtant, là encore, l’étude détaillée des chiffres du nombre d’accidents pour ces deux types de chasse sur les deux dernières saisons cynégétique indique une baisse du nombre d’accidents et une meilleure prise en compte des consignes de sécurité à la chasse : on passe de 93 à 48 accidents au petit gibier entre les saison 2012/2013 et 2013/2014 et pour la même période, de 86 à 61 pour la chasse au grand gibier. Enfin, il est important de redire qu’une bonne prise en compte des consignes élémentaires de sécurité permettrait d’éviter la quai-totalité des accidents qui surviennent à la chasse. Lors de la dernière saison, sur 114 accidents, on relève 109 fautes de sécurité (96% des accidents) et seulement 5 accidents imprévisibles (4% des accidents), le ricochet malgré l’observation de l’angle des 30° par exemple.

    ACCIDENTS DE CHASSE,

    Meilleurs résultats depuis 15 ans

  • Les 109 fautes de sécurité observées (96% des accidents de la saison cynegetique 2013/2014 se répartissent ainsi :

    - tirs sans prise en compte de l’environnement : 23% - tirs dans l’angle des 30°: 20% - mauvaise manipulation de l’arme : 16% - chute : 12% - tirs dans la traque : 7% - tirs sans identifier : 6% - éclatement des canons (non vérification de l’état) : 6% - arme chargée à la bretelle : 5% - arme chargée lors du franchissement d’obstacle (barrière, haie, fossé) : 3% - arme chargée rangée dans la voiture : 2%.

    Rappel des principales règles de sécurité

    Il est interdit de chasser à tir :

    - Sur les stades, dans les cimetières, dans les jardins publics, dans les jardins privés des tiers, dans les terrains de campings, sur les routes, sur les voies ferrées et emprises, enclos et dépendances des chemins de fer ; - Dans les parcelles agricoles en cours de récolte ; - En état d’ébriété ou sous l’emprise de stupéfiants.

    Il est interdit de faire usage d’une arme à feu :

    - Sur les routes, chemins publics, voies ferrées, emprises et enclos en dépendant (le fossé fait parti de l’emprise de la route) ; - Dans un rayon de 150m autour des stades, lieux de réunions publiques, bâtiments et construction dépendants des aéroports, usines, ateliers, ainsi qu’habitations particulières des tiers (sauf autorisation écrite du tiers) ; - En direction des routes, chemins publics, voies ferrées, emprise et enclos en dépendant, lignes téléphoniques et électriques, bâtiments agricoles, habitation (y compris caravanes, remises, abris de jardin) ; - Il est interdit de tirer à hauteur d’homme au travers des haies et buissons.

    Obligations concernant les armes :

    - Il est interdit de porter une arme à feu chargée, ou un arc, flèche encochée, sur une voie publique ouverte à la circulation ; - En dehors de l’action de chasse, les armes doivent être déchargées ; - Au cours de l’action de chasse, les armes doivent être ouvertes et déchargées en cas de rassemblement de plusieurs chasseurs, et pour tout franchissement d’obstacles ou de clôtures, et lors de tout contrôle ; - Lors de tir à balle, le tir sera obligatoirement fichant.

    Pour la chasse collective du grand gibier et du renard, des règles spécifiques sont à appliquer : se référer aux consignes des directeurs de battue et au carnet de battue.

  • Le Club National des Bécassiers a été créé en 1951 par une poignée de

    passionnés désireux de se rassembler pour défendre leur passion.

    Les principaux buts de l'association sont :

    - d'étudier la vie, les mœurs, la migration, la chasse de la bécasse Scolopax rusticola L.; - de défendre les intérêts des chasseurs de cet oiseau; - d'agir auprès des pouvoirs publics en tout ce qui concerne les méthodes et mesures tendant à améliorer les conditions de cette chasse et la protection de ce gibier; Après une nécessaire structuration nationale, il s'est avéré essentiel, pour le développement du club, de mettre en place des délégations départementales. Sous l'impulsion du Docteur Grobost, en 1989, la section charentaise était créée. A l'origine, constitué d'une vingtaine de "mordus" de la chasse à la bécasse, le CNB16 a grossi et compte, maintenant, environ 90 membres.

    Son fonctionnement : Le Conseil d'Administration se réunit 6 fois par an et organise son assemblée générale en mars. Deux voir trois soirées thématiques annuelles sont organisées. Au cours de ces soirées, une initiation au sexage des oiseaux et à la lecture des ailes, le déroulement de la saison, les connaissances sur le chien bécassier, sont abordés. Deux fois par an paraît la "Mordorée charentaise", bulletin d'information interne à la section départementale. Le CNB16, en partenariat avec les "Amateurs de field trial de la Charente" organise depuis deux ans un concours de chiens d'arrêt sur bécasse en forêt de Braconne.

  • Les activités du club : En Charente, nous participons à la récolte nationale d'ailes qui sont analysées et nous permettent de connaître le rapport jeunes/ adultes, élément essentiel dans l'appréciation du bon état des populations bécassières. Les membres saisissent en ligne le compte-rendu de chacune de leurs sorties sur béc@note, logiciel élaboré au niveau national. Ainsi, chacun peut suivre l'évolution de la migration et de l'hivernage des oiseaux en Charente et en France. La section charentaise possède un bagueur ayant réussi le stage national de baguage. Tous les ans, il effectue une quinzaine de sorties sur le terrain. Un monsieur météo renseigne la commission nationale qui travaille sur l'influence des évènements météorologiques sur les déplacements des bécasses. Nous tenons un stand dans le cadre du village chasse de la fédération et nous participons à toutes les manifestations. Nous sommes également présents aux journées chasse du magasin Décathlon. Les activités du club sont aujourd'hui reconnues par la Direction Départementale des Territoires qui le consulte, quand une vague de froid survient. Il peut donner son avis sur la nécessité de suspendre la chasse à la bécasse en cas de gel prolongé. Il est interrogé par la fédération quand une question relative à la bécasse est posée. Il assure le dépouillement et l'exploitation des carnets bécassiers dans le cadre du PMA national.

    Adhésion : Pour nous rejoindre, il suffit de contacter:

    le Président

    Jean-François JOUMIER, 10 le Bois Doucet, 16200 JARNAC tél: 06/88/97/78/82 courriel joumier.jfree.fr

    ou le Délégué

    Pierre-Emmanuel BOSSIS, le Peyrou, 16220 Orgedeuil tél: 06/01/01/01/16 courriel: bossis.pierremail.com

    ou le Secrétaire

    Alain CHARRIER, 3 rue Saint-Georges, 16470 Brigueuil tél: 05/45/89/04/68 courriel: [email protected]

    - Adhésions simple: 15€ - Adhésion + abonnement à la revue nationale "La Mordorée" (4 numéros par an): 36€

    mailto:[email protected]