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28. ANNEL hl. 10.043 ABONNEMENTS I a mem 15 Ir.; B prois. 49 Ér.. 1 a., 92 fr. S'il le bilait... e.+++ par 1-B. SEVERAC LES quelques lignes que j'ai kri tes à deux reprises sur les péril que pourraient faire courir à la République les sentiments réaction neires d'un nombre important d'offi eiers 'et les brimades dont sont vie limes les officiers, sous.officiers et soldats suspens d'opinions dites aven cées ces quelques lignés m'ont valu trop de lettres pour que je puisse faire une réponse personnelle à tons leurs auteurs. Ils ne m'en voudront sans doute pas. ! Ce que chacun d'eux souhaite, en effet, ce n'est pas tant la réparation de telle injustice particulière que le changement profond et complet de l'esprit qui régne dans le commande- ment. Des injustices particulières, il y en a, il y en aura toujours elles sont In suite inévitable du fait que les hommeo sont des hommes, non pas des saints ni des héros. fine faut pas trop l'en indigner, sous peine de tomber dans cette erreur déprimante, dont nos adversaires se auvent contre nous, et qui consiste à penser que le so- cialisme ne sera réalisable que lorsque, les hommes seront devenus meilleurs., Mais quand ces injustices se maté liplient an point de créer une atmos.! Phère d'iniquité, alors nous avons le, thon et le devoir de faire entendre, àotre protestation et de rée/amer nal bien des directives nouvelles ou bien in surveillance rigourenn au re.p.t es directives déjà données. Il est inadmissible que nos enfants! illent à la caserne aven l'opinion' Isréalab/e qu'ils y seront injustement! inhumainement Imités. IL est inadmissible que ces mêmes! enfants aient la douleur de consta- ter, après expérience, que leurs pré- ,entions n'étaient que trop fondées. PI est inadmissible qui si leurs mn« heurs s'atténuent au bout de quel. Iliesissoluive soit parce que l'amen« mance nues rendu leur épiderme notas sensible ou que leur ingéniosi- té leur aura permis de trouver le e ton s font l'exploitation profitable se fait souvent au détriment des Sexes. Les hommes de mon âge se rappel. lent l'époque -- c'était longtemps avant la guerre où les meilleurs les esprits libres consacraient tout on partie de leur activité à dénoncer les stupidités et les cruautés de la vie le caserne. Antimilitarisme que d'ail- leurs viciaient et affaiblissaient se. rent le parti pris et Pincompréhen- lion, mais que justifiait une insuppor- table réalité. Foudra-tiil reprendre pareille cam- pagne t Fandra.t-i/ montrer nom. me il y a trente ans que l'armée Cil dressée contre la nation ? Faudra- refaire le procès du soirs-off sadique et de l'officier inintelligent ou factieux Hélas ! les documents qui permet. traient de le faire commencent à s'ac- cumuler. Fandra-t-il les classer, les contrôler, les ordonner et s'en servir I de souhaite du fond du creux que nous suit épargnée cette peine. Tant d'antres objets nous sollicitent ! MAIS S'IL LE FALLAIT, qu'on sa- che bien que nous le ferions, avec le sentiment de servir à /a fois les in- térêts supérieurs de l'humanité (qui sont atteints par toute souffrance inutile infligée à un être humain) et les inténts prochains et immédiats de la République, qui exigent qu'elle puisse compter sur son armée pour la défendre. SEVERAU 11111111111d111111111111111111111111111111111i1111 Le célèbre beffroi de Bruges me. nen de s'écrouler. Un 1910, ne affaissement de 30 centimètres se produisait et actuellement il atteint 78 gyEBEIM Asia, SOCIALISTE Rédaction et Administration 38, rue Rogneialne, TOPLOPSE Tél. 200.43 C. C. Postaux 5.277 BUREAUX A PARIS 5, rue St-Augustin (2.) Téléph. Richelieu 89.00 (3 lignes groupée, sas ne audio) LA REFORME MONETAIRE devant le Parlement La dévaluation est votée BRANLE BAS couches popsdaires rurales beaucoup le jugent encore incapa- La transaction proposée ble de se tromper et de les tronz- DE COMBAT Ainsi donc qu'on le veuille ou non, qu'on le dissimule ou M'on en convienne, le Sénat avant-hier a mis en échec le gouvernement sur une- question essentielle. L'assemblée Issue du millage restreint a marqué nettement son hostilité à un Prousinvinnem? Fo- posé il y a quatre mois à peine par le milnage universel. Le texte des projets financiers et -monétaires gue le goztvorll'' ment proposait avant-hzer au Se- ma, a été si profondément renia- Mze, tronque par la Commission des finances au Luxembourg, qu'il n'était plus reconnaissable. En particulier l'on éliminait l'institution de l'échelle mobne des salaires, destiMe à garantir la classe ouvrière contre les Pertur- batiOns posSibles d'101 remanie- ment dm pria; et l'on refusait nu gouvernement les pleins pou- voirs que celui-ci demandait pour une action et clans un cadre bien précis et bien délimités en vue de séiir contre les reçains d l'affût des bouleversements nnancters. Le président du consen, dont le courage ne fut pas la moindre t'amine, déclara tout net az ,se net e Le texte de votre Commission je ne puis pas l'accepter. Je ne t'aecePte Pau. Et aussitôt. le Sénat le vota! C'est dons .un acte de défiance caractérisé. Tout bien cOnsidéré le Sénat avant-hier soir a renverse le gou- vernement. Le Sénat en majorité radical a refusé au gouvernement dont font Partie Inc radicaux. les pou- voire . aorda iaats M. Dan- viergne, à M. Ainsi l'hostilité inintelligente, sourde, têtue de la « Chambre Haute a se manifeste déia, et de telle maniere qu'elle servira sans doute de salutaire mentssernent d ceux de nos amis que l'optimisme commençait d'envahir. Pour ma part, soit par la plume soit par la parole, des l'avénement du Front populaire fhtrais Prévu l'offensive du Sénat pour sa ren- trée d'octobre. 11 a voulu me faire mentir : il l'a entamée le 30 septembre .1 Ainsi commencent à se vérifier Inc prévisions de qui cannait bien Inc chats radicaux, leur pusifiani- mité, leur ondoyance, beur perce- tuella peur de se noyer dans leur pipi, leur morbide renflent de la lé- galité la plus déSuête, la plus an- kylosante. A l'acte de défiance du Sénat, répond, comme si c'était l'effet .Mune combinaison, les réserveS for- melles de e La Dépêche o mr les dernières déci.sions gomernernen- tales. Depuis quatre joins « La Dépê- che s exprime d leur endroit non pas seulement de vives critigum mais une inquiétude et une an- goisse gui émeuvent ses lecteurs bien plus que son argumentation. Vis/lb/ment l'organe reeliaal du roIdi désapprollve le gouvernement. Il prévoit une catastrophe. Oh I il ne demande pas aie élus législatifs qu'il tient sms sa coupe, de renverser le cabinet. Le directeur de « La Dépêche ne bataille pas comme Ça. Mais il crée une atinmPfidve cloute de mécontentement dans les Ze W./ mandant le débat d'hier sur la raves monétaire. Savante préparation pour uni re- par e enal virement des élus, d une date in- detenninée, f une occasion pro- Paris, 'Ter octobre. C'est à midi ciics. et demi que le Sénat, Oonvoque pour Puissent nos camarades art pou- 9 h. MS peut commencer la dimus- voir comprendre le sens de cette siou en deuxième lecture, du projet simultanéité de récriminations, et de loi monétaire, arer au danger qu'elle ,annonoe. LacelniMbSionmdel finances-ai -en Puissent les militants socialfêtes effet longuement' délibéré sur le en tirer leçon également et se pé- texte vote la nuit par la Chambre. uéL-er arc jotarcnscoutage, f te eue- Les dispositions rétablies par celle- te de cette algarade //men/bote- oh Pouf faite bénéficier diverses ca- geoise et de cette saute d'humeur tégories de citoyens de compensa- de La Dépêche n que l'heure du tions, constituent le litige essentiel grand znzabcd approche. entre les deux assemblées. Le Sénat a Puisse fait, cependant, de nt-ils, peur être certains . , grosses concessions ce matin. A l'ou- verture de la séance, on apprend, en effet, que le texte qu'il avait adopté ministres du peuple travailleur, 105 hauscc illicite, a été profondément q.jsistab modifié. C'est donc dans une aimes- et de /es mener à l'assaut. Phèrn noues sereine que commenee Le tem, auproebe ou se reuele_ Q discussion, toujours sous la pré- ms l'impérieuse nécesitê de l'ore.- sidence de M. Jeanneney. ne du parti. LE NOUVEAU DE LA COMMISSION DES FINANCES M. Abri Gardey fait connaître que la commission des finances repousse l'article 13 ter ajouté cette nuit par In Chambre et qui Dantr d'am toue ne Lii e , de le cmduire et d'en sortir victorieux, assurer « Socialiste s b.,.tôt sej, et mn reprinad simplement la Le e Midi t se prépare d crecom,- par toril sore devoir, et même, eu le peut, davantage. Que les militants, en sa faveur, fassent le leur tout de suite. Léon HUDELLk. de 10 m les benefices des comptes de liquidation sur les opérations de . boume effectuées depuis le 26 sep- PoS. Les nouvelles qa'on Dra tembre. /i fait connaître ensuite le plus loin, relatives au comPr000i9 texte donna-cri article sur les mesu- oncepte par le Sénat, ses compensatrices. Cet article, ei renier mors devient le 13 quater, est ainsi rédigé: ment. e Les dispositions de la loi du 20 La Chambre en a été réduite à août 1936, tendant à réprimer la Le cdoeins ' pZnis ssiqT, hausse injusfifi semble mettre qu t à toutes majorations oui, ée des prix, s'app/i- les deux assemblées d'accord n'est sir pnréze,de de la dévajaajjan, qu'Un procédé classique pOur éviter sont apportées auxdits prix, à moins Une crise reilmitée présentement qu'il ne son indiscutablement établi, par tord le inonde, devant les comités institués par la Mais le fond de son Cur, avec loi susvisée, qu'elles résultent de le fiel qui en déborde, le sénat la l'augmentation de la valeur des mar- dévoilé mant-hier soir. chanfli.s importées. Au cas où, L. H. àvant le 31 décembre 1936, une haus- La résistance républicaine s'organise le jour en jour. Les ouvriers du bâti- ment de madrid ont été réunis et sont partis sur 10 front de Tolède pour cons- n.uire en avant de la capitale une fri- tte ligne de retranchements. Les classes les réserves sont convoquées. A Berce/ tom, tous les hommes valides, de 13 à 10 ans, sont appelés sous les drapeaux. Les rebelles, dans leurs prévisions 1. clos fanfaronnes, ne prévoient la chute te Madrid que Pour 10 15 omobm. Eus le fvont de Bilbao tes rebelles du ténérai MoD, Mont Pu aucara d'Eibar et la flotte gouvernementa- s bombarde sans cesse lems Pa.Z.z.ns. En Andfilouste, la Daneuse cavalerie marocaine a chargé h, trois reprises os républicains à Muntoro et a dû re- Mais le fait le plus important est I. victoire remportée par les milices ^Malanm au défilé de Quinto et au Monte Aragon. Elle leur donne le con. [MD stratégique de la région de Hues- ca et la possibilité de menacer u brève écnéance Saragosse Dans la région de Teruel, également, progrês sen. pible a ka réalisé. LA LUTTE FOUR MADRID Madrid, 30 septembre. Le secteur LISEZ ET FAIT" LIRE « LE MIDI SOCIMASTE se notable du coût de la vie vien- drait à se produire par rapport aux indices du ler octobre 1936, le gou- vernement ',permit, après avis du Conseil national économique et oar décret en Conseil ducal, organiser des procéderes de conciliation et d'arbitrage obligatoire, ayant effet pendant erre durée de six moi, en vue du règlement des différends !Xft travail nés des conséquences de cette hausse et ayant trait à la rédaction, à l'exécution et à la révision des clauses des conventions collectives relatives aux salaires. Il pourra éga- lement, après avis des organismes habilités à cet effet par la loi, provo- quer la révision des prix des denrées agricoles soumises à la réglementa- tion. INTERVENTION DE LEON BLUM Léon Blum intervient pour préci- ser le sens dans lequel le gouverne- ment usera des pouvoirs qui lui sont conférés par ce texte. Léon BLUM. Dequis quelques semaines se poursuivent des conver- sations, à la présidence du conseil, entre les représentants des ouvriers et du patronat. Nous avons déjà es- sayé de mettre au point une procé- dure d'arbitrage pour la rédaction, l'exécution et la révision des con- ventions collectives. Nous continue- rons dans le même sens en tentant d'obtenir l'avoué entre les parti. intéressées. La commission a craint que le gouvernement ne se réservât une autorité exclusive pour dénouer les procédures de conciliation. Je répond que, jusqu'ici, le gouverne- ment n'a usé de son autorité, en une telle matière, que lorsqu'il y a été contraint ou invité. S'il peut se dé- charger de cette tâche, il le fera. Néanmoins, je déclare que, le cas échéant, il exercera les pouvoirs qui Ici sont remis. (Applaudissements à l'extrême gauche et sur divers bancs gauche./ M. Thoumyre demande ce qui sera fait pour les anciens combattants. Rivière lui répond qu'un projet spécial a déjà été déposé à /a Cham- bre. . M. Le Gorgeu obtient la même réponse e nce qui concerne les re- traités. M. Chaumie prie le gouvernement de fel/oyiez ume détente dans les g Torli.ousR Esa v1.1-toei Les républicains catalans sont victorieux à Monte Aragon Le gouvernement établit des retranchements autour de Madrid se Tolède avec, comme points prinet Panx, Torrijos, Olias et Moceion, de meure le point névralgique de la lutte Hier soir, lez insurgés, à la Paveur d'us coup de main audacieux, tentèrent di s'emparer du village d'Olies, situé I 10 kilomètres au nord de ToMde, sur 15 route menant à Madrid. Les gouverne mentaux réussirent, non seulement à re >clisser rattaque des assaillants, niais! les rejeter sur le ciné gauche Ms fi route, en direction de Barges; la trmatMque a amené les gouvernemen taus jusqu'à dm hilomètres au soft de Tolède. Ainsi les républicains domines cmellementin village de Barges, ara ce aux nositions qu'ils ont prises sui fan collines environnantes. Au sud de Madrid TROIS LIGNES DE TRANCREES VONT ETRE CREUSEES AUTOUR DE MADRID Londres, 30 septembre. Les non- /elles parvenues d'Emmeno dams la msi. :Méo laissent prévoir que le Sauve, aement espagnol n commencé ses ore. Parants pour la défense de Madrid, due proclamation a eté affichée à. tom les carrefours de la capiMle, annoncent que tous les efforts possibles doivent être faite en vue de transformer la ville en forteresse imprenablb enfeu. rée d'une ceinture d'acier. Des ingénieurs et des terrassiers ont éte mobilisés afin de construire trois lignes dx tranchées autour de la .111- tale. D'infortunés porions, leur pauvre avoir entassé eue des e bourri- quots o, évacuent les villages occupés par /es rebelles dans leur avance sur la 'annale, ill1.111111M111111.11111111111111111 lllll llllllllll MW! lllllll llllll esprits en mettant fin aux campa- gnes d'excitation. Puis avec M. Lémery on revient à la procédure d'arbitrage... que per- sonne n'écoule. M. CAILLAUX. Il doit être bien entendu que l'arbitrage du gouver- nement sera exclu. La conciliation devra se faire devant un magistral. L'arbitrage devra être confié à des arbitres choisis par les parties. En cas de désaccord, le tiers arbitre devra être choisi Par lea arbitres ou par un magistrat. Sommes-nous bien d'accord, monsieur le président du Conseil t Léon BLUM. Pour ma: part, je préférerais la constitution d'une cer- taine magistrature d'arbitrage. C'est ce qu'on a fait pour les inscrits ma- ritimes. Mais je demande que le gou- vernement ne soit pas enfermé dans des cadres trop rigides. (Applaudi. sements.) M. Milliè,s-Lacroix obtient du mi- nistre des Finances la promesse que sera déposé un projet pour la con- cersion des emprunts contractés au- près du Crédit Foncier par les col- lectivités locales à des taux dépas- sant 5 %. M. Paul Laffont demande alors que soit repris l'article 13 ter adoPté cette nuit par la Chambre et dont nous avons rappelé le sens plus haut. Il déclare Qu'il faut pénaliser les opérations spéculatives Provoquécu par la dévaluation et il demande mê- me que le prélèvement soit porté à 80 %. M. Jeanneney répond à M. Paul Laffont qu'il est trop tard pour te- prendre l'article de la Chambre puis- que le Sénat l'a déjà disjoint. Vincent Auriol exprime ses re- grets, car le gouvernement était fa- vorable bvetlrmmsucc, L'ensemble est erMn voté à mains lveées et la séance renvoyée f 4h, IVoir la mite en deakihne /mem. LE RECORD DU MONDE D'ALTITUDE EN AVION BATTU PAR UN ANGLAIS Ràe ,amer'ïezdrreoLD,ire',.t 1o1 Man Bristol, a battu le reeoredummon. de d'altitude déteint par Dltsi avec ell;setaieTenborough, II VENDREDI 2 OCTOBRE Md 1 â cetel Ce Bergères de d'Halluin qui se croyait une légume a lait chou blanc Gabriel Soclay défend sa tète à Chaumont DES TES/015N00E1 CONTRADICTOIRES . dilinit de la deuxième audience, 1111 incificut se Prodelt qui vellera sons doute b ien d00 LOPr - aident a mou, en effet, de Paois la lettre d'on SI. Gwent. qm demâôde â °mordu sur un pmnt très imporlanG Le secrétaire aurait, en effet, signalé conimissairo de Chaumont, quelques joursavant la découverte clu corps, quo les refis de la petite Nicole so trou- vain/ enterrés sous des pierres Près de la ligne du Mienne de ter, c'est-à-dire fi quatre kilomètres do l'endroit ou Mt turent effectivement enfouis. Le cor- respondant on concluait que le ciras avait Me Minime dans Matorral. Pressenti sur 105505 15 d'une oon- vocation, l'avocat génerel Liasse pas ursommie mi paraissait peu oppertône. ien-Gbaries Légrand n'en do mande pas moins Faudilien de mi té- moin tooraurdinaire. Prudemment lu président décide qu'II ers entendu tout d'abord a Paris se commission rogatoire, L'AUDITION DES GARDES MOBILES > Ou revient b l'objet du ULM aven l'audition die gardes mobiles qui, le Mur do t'enlèvement se sont tmuses eu presence de d/inlay et Tont questionné. L'adjudant Mbert Monnet, déclare qu'il avait aperçu eur le peut de ta mire, c'est-à-dire a cinquante moires de la inuison Shaesent. 11 Mail alors 19 heures. « Au cours de nos précédentes inves- tig,s,ifons, fil-ii, nous t'avions dee ven- . ré from quarts d'heure auparavant, â 1b00 mètres de là, au bols Saint-Roch, situé Iuhritéme n 5110 mètres du bols UMM, ,on le corps fut retrouvé. En le voyant sur le pont, nous Di avons f5. mandé ce qu'il faisait IL Au mémo mo- ment> deux Miettes, qui ami:omit pain de nous, ont déclare que cet indi- vidu leur avait offert de Varela et des friandises pour les suivre. Nous avons signalé lo fait au commissaire qui a Din fureter Soclay ie rendomain Les .gardes Claude Angelot, Ropert Royer et Jean ',Animal confirment la déposition de leur chef. IMPORTANT TEMOIGNAGE Voici cependant un élément imPortant qui va se dégager' à l'avantage de la do- Inn. Une *aie Hierard, qui hein rmon lomdu vialue, se freinait présente, en effet, sur le terrain, au moment on I. trois gardes firent au lieutonant leur rapphort sur les recherches au bois Saint- Hoe. Ces messieurs, filt-ollo, ont dl- culer u /mir chef en, avaient rencontré uu homme qui avait les mains terrons. et en pantalon tache de sang . Ont-ils donné le 00111 de nom homs me 1. Je Mar entendu prononcer aucun nom. Mais, con/coules avec le témoin, MS trois gérdusu affirment line n'ont. ci. avoué astemn détail relatif aux taches de Pouriant. le témoin est formel et son tionseignement est confirmé par son vol, sM, mails Letey. lequel ajoMo quo le commandant Marescot aurait dit « Ce sang est oelui do mon enfant >> On devine tout le parti que l'avocat dd la &Rosa peut tirer de celte contradic- tion, efin le président déclare, pour sa part invraisemblable. biais M. Leu,' relnuirto un tait 0000r0 plus eiractértstique >va A la ticniande du commandant Ma- Le père de Nicole Marmot Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

LA REFORME MONETAIRE Les républicains devant le …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1936/B315556101_MIDSOC_1936_10_02.pdf · 78 gyEBEIM Asia, SOCIALISTE Rédaction et Administration

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28. ANNEL hl. 10.043

ABONNEMENTS Ia mem 15 Ir.; B prois. 49 Ér.. 1 a., 92 fr.

S'il le bilait...e.+++par 1-B. SEVERAC

LESquelques lignes que j'ai kri

tes à deux reprises sur les périlque pourraient faire courir à la

République les sentiments réactionneires d'un nombre important d'offieiers 'et les brimades dont sont vielimes les officiers, sous.officiers etsoldats suspens d'opinions dites avencées ces quelques lignés m'ontvalu trop de lettres pour que jepuisse faire une réponse personnelle àtons leurs auteurs.

Ils ne m'en voudront sans doute pas.! Ce que chacun d'eux souhaite, eneffet, ce n'est pas tant la réparationde telle injustice particulière que lechangement profond et complet del'esprit qui régne dans le commande-ment.

Des injustices particulières, il y ena, il y en aura toujours elles sontIn suite inévitable du fait que leshommeo sont des hommes, non pas dessaints ni des héros. fine faut pas tropl'en indigner, sous peine de tomberdans cette erreur déprimante, dontnos adversaires se auvent contre nous,et qui consiste à penser que le so-cialisme ne sera réalisable que lorsque,les hommes seront devenus meilleurs.,

Mais quand ces injustices se matéliplient an point de créer une atmos.!Phère d'iniquité, alors nous avons le,thon et le devoir de faire entendre,àotre protestation et de rée/amer nalbien des directives nouvelles ou bienin surveillance rigourenn au re.p.tes directives déjà données.Il est inadmissible que nos enfants!

illent à la caserne aven l'opinion'Isréalab/e qu'ils y seront injustement!inhumainement Imités.

IL est inadmissible que ces mêmes!enfants aient la douleur de consta-ter, après expérience, que leurs pré-,entions n'étaient que trop fondées.

PI est inadmissible qui si leurs mn«heurs s'atténuent au bout de quel.Iliesissoluive soit parce que l'amen«mance nues rendu leur épidermenotas sensible ou que leur ingéniosi-té leur aura permis de trouver le eton s font l'exploitation profitablese fait souvent au détriment desSexes.

Les hommes de mon âge se rappel.lent l'époque -- c'était longtemps

avant la guerre où les meilleursles esprits libres consacraient tout onpartie de leur activité à dénoncer lesstupidités et les cruautés de la viele caserne. Antimilitarisme que d'ail-leurs viciaient et affaiblissaient se.rent le parti pris et Pincompréhen-lion, mais que justifiait une insuppor-table réalité.

Foudra-tiil reprendre pareille cam-pagne t Fandra.t-i/ montrer nom.

me il y a trente ans que l'arméeCil dressée contre la nation ? Faudra-

refaire le procès du soirs-offsadique et de l'officier inintelligentou factieux

Hélas ! les documents qui permet.traient de le faire commencent à s'ac-cumuler. Fandra-t-il les classer, lescontrôler, les ordonner et s'en servir I

de souhaite du fond du creux quenous suit épargnée cette peine. Tantd'antres objets nous sollicitent !

MAIS S'IL LE FALLAIT, qu'on sa-che bien que nous le ferions, avecle sentiment de servir à /a fois les in-térêts supérieurs de l'humanité (quisont atteints par toute souffranceinutile infligée à un être humain) etles inténts prochains et immédiatsde la République, qui exigent qu'ellepuisse compter sur son armée pour ladéfendre.

SEVERAU

11111111111d111111111111111111111111111111111i1111

Le célèbre beffroi de Bruges me.nen de s'écrouler. Un 1910, neaffaissement de 30 centimètres seproduisait et actuellement il atteint

78 gyEBEIM Asia,

SOCIALISTERédaction et Administration 38, rue Rogneialne, TOPLOPSE Tél. 200.43 C. C. Postaux 5.277

BUREAUX A PARIS 5, rue St-Augustin (2.) Téléph. Richelieu 89.00 (3 lignes groupée, sas ne audio)

LA REFORME MONETAIREdevant le Parlement

La dévaluation est votée

BRANLE BAS couches popsdaires ruralesbeaucoup le jugent encore incapa- La transaction proposéeble de se tromper et de les tronz-

DE COMBATAinsi donc qu'on le veuille ou

non, qu'on le dissimule ou M'onen convienne, le Sénat avant-hiera mis en échec le gouvernementsur une- question essentielle.

L'assemblée Issue du millagerestreint a marqué nettement sonhostilité à un Prousinvinnem? Fo-posé il y a quatre mois à peine parle milnage universel.

Le texte des projets financierset -monétaires gue le goztvorll''ment proposait avant-hzer au Se-ma, a été si profondément renia-

Mze, tronque par la Commissiondes finances au Luxembourg, qu'iln'était plus reconnaissable.

En particulier l'on éliminaitl'institution de l'échelle mobne dessalaires, destiMe à garantir laclasse ouvrière contre les Pertur-batiOns posSibles d'101 remanie-ment dm pria; et l'on refusaitnu gouvernement les pleins pou-voirs que celui-ci demandait pourune action et clans un cadre bienprécis et bien délimités en vue deséiir contre les reçains d l'affûtdes bouleversements nnancters.

Le président du consen, dont lecourage ne fut pas la moindret'amine, déclara tout net az ,senet

e Le texte de votre Commissionje ne puis pas l'accepter. Je net'aecePte Pau.

Et aussitôt. le Sénat le vota!C'est dons .un acte de défiance

caractérisé.Tout bien cOnsidéré le Sénat

avant-hier soir a renverse le gou-vernement.

Le Sénat en majorité radical arefusé au gouvernement dontfont Partie Inc radicaux. les pou-voire .aorda iaats M. Dan-viergne, à M.

Ainsi l'hostilité inintelligente,sourde, têtue de la « ChambreHaute a se manifeste déia, et detelle maniere qu'elle servira sansdoute de salutaire mentssernent d

ceux de nos amis que l'optimismecommençait d'envahir.

Pour ma part, soit par la plumesoit par la parole, des l'avénementdu Front populaire fhtrais Prévul'offensive du Sénat pour sa ren-trée d'octobre.

11 a voulu me faire mentir : ill'a entamée le 30 septembre .1

Ainsi commencent à se vérifierInc prévisions de qui cannait bienInc chats radicaux, leur pusifiani-mité, leur ondoyance, beur perce-tuella peur de se noyer dans leurpipi, leur morbide renflent de la lé-galité la plus déSuête, la plus an-kylosante.

A l'acte de défiance du Sénat,répond, comme si c'était l'effet.Mune combinaison, les réserveS for-melles de e La Dépêche o mr lesdernières déci.sions gomernernen-tales.

Depuis quatre joins « La Dépê-che s exprime d leur endroit nonpas seulement de vives critigummais une inquiétude et une an-goisse gui émeuvent ses lecteursbien plus que son argumentation.

Vis/lb/ment l'organe reeliaal duroIdi désapprollve le gouvernement.Il prévoit une catastrophe.

Oh I il ne demande pas aieélus législatifs qu'il tient sms sacoupe, de renverser le cabinet.

Le directeur de « La Dépêchene bataille pas comme Ça.

Mais il crée une atinmPfidvecloute de mécontentement dans les

Ze W./ mandant le débat d'hier sur la raves monétaire.

Savante préparation pour uni re-par e enal

virement des élus, d une date in-detenninée, f une occasion pro- Paris, 'Ter octobre. C'est à midiciics. et demi que le Sénat, Oonvoque pour

Puissent nos camarades art pou- 9 h. MS peut commencer la dimus-voir comprendre le sens de cette siou en deuxième lecture, du projetsimultanéité de récriminations, et de loi monétaire,

arer au danger qu'elle ,annonoe. LacelniMbSionmdel finances-ai -enPuissent les militants socialfêtes effet longuement' délibéré sur le

en tirer leçon également et se pé- texte vote la nuit par la Chambre.uéL-er arc jotarcnscoutage, f te eue- Les dispositions rétablies par celle-te de cette algarade //men/bote- oh Pouf faite bénéficier diverses ca-geoise et de cette saute d'humeur tégories de citoyens de compensa-de La Dépêche n que l'heure du tions, constituent le litige essentielgrand znzabcd approche. entre les deux assemblées.

Le Sénat aPuisse

fait, cependant, dent-ils, peur être certains

. , grosses concessions ce matin. A l'ou-verture de la séance, on apprend, eneffet, que le texte qu'il avait adopté

ministres du peuple travailleur, 105 hauscc illicite, a été profondémentq.jsistab modifié. C'est donc dans une aimes-

et de /es mener à l'assaut. Phèrn noues sereine que commeneeLe tem, auproebe ou se reuele_ Q discussion, toujours sous la pré-

ms l'impérieuse nécesitê de l'ore.- sidence de M. Jeanneney.ne du parti. LE NOUVEAU DE LA COMMISSION

DES FINANCESM. Abri Gardey fait connaître que

la commission des finances repoussel'article 13 ter ajouté cette nuit parIn Chambre et qui Dantr d'am toue

ne Lii e , de lecmduire et d'en sortir victorieux,assurer « 'éSocialiste sb.,.tôt sej, et mn reprinad simplement la

Le e Midi t se prépare d crecom,-par toril sore devoir, et même, eule peut, davantage.

Que les militants, en sa faveur,fassent le leur tout de suite.

Léon HUDELLk. de 10 m les benefices des comptesde liquidation sur les opérations de

. boume effectuées depuis le 26 sep-PoS. Les nouvelles qa'on Dra tembre. /i fait connaître ensuite le

plus loin, relatives au comPr000i9 texte donna-cri article sur les mesu-oncepte par le Sénat, ses compensatrices. Cet article, eirenier mors devient le 13 quater, est ainsi rédigé:ment. e Les dispositions de la loi du 20

La Chambre en a été réduite à août 1936, tendant à réprimer la

Le cdoeins 'pZnis

ssiqT,hausse injusfifi

semble mettre qu t à toutes majorations oui,ée des prix, s'app/i-

les deux assemblées d'accord n'est sir pnréze,de de la dévajaajjan,qu'Un procédé classique pOur éviter sont apportées auxdits prix, à moinsUne crise reilmitée présentement qu'il ne son indiscutablement établi,par tord le inonde, devant les comités institués par la

Mais le fond de son Cur, avec loi susvisée, qu'elles résultent dele fiel qui en déborde, le sénat la l'augmentation de la valeur des mar-dévoilé mant-hier soir. chanfli.s importées. Au cas où,

L. H. àvant le 31 décembre 1936, une haus-

La résistance républicaine s'organisele jour en jour. Les ouvriers du bâti-ment de madrid ont été réunis et sontpartis sur 10 front de Tolède pour cons-n.uire en avant de la capitale une fri-tte ligne de retranchements. Les classesles réserves sont convoquées. A Berce/tom, tous les hommes valides, de 13 à10 ans, sont appelés sous les drapeaux.Les rebelles, dans leurs prévisions 1.clos fanfaronnes, ne prévoient la chutete Madrid que Pour 10 15 omobm.

Eus le fvont de Bilbao tes rebelles duténérai MoD, Mont Pu aucara

d'Eibar et la flotte gouvernementa-s bombarde sans cesse lems Pa.Z.z.ns.

En Andfilouste, la Daneuse cavaleriemarocaine a chargé h, trois reprisesos républicains à Muntoro et a dû re-

Mais le fait le plus important estI. victoire remportée par les milices^Malanm au défilé de Quinto et auMonte Aragon. Elle leur donne le con.[MD stratégique de la région de Hues-ca et la possibilité de menacer u brèveécnéance Saragosse Dans la régionde Teruel, également, progrês sen.pible a ka réalisé.

LA LUTTE FOUR MADRIDMadrid, 30 septembre. Le secteur

LISEZ ET FAIT" LIRE

« LE MIDI SOCIMASTE

se notable du coût de la vie vien-drait à se produire par rapport auxindices du ler octobre 1936, le gou-vernement ',permit, après avis duConseil national économique et oardécret en Conseil ducal, organiserdes procéderes de conciliation etd'arbitrage obligatoire, ayant effetpendant erre durée de six moi, envue du règlement des différends !Xft

travail nés des conséquences de cettehausse et ayant trait à la rédaction,à l'exécution et à la révision desclauses des conventions collectivesrelatives aux salaires. Il pourra éga-lement, après avis des organismeshabilités à cet effet par la loi, provo-quer la révision des prix des denréesagricoles soumises à la réglementa-tion.

INTERVENTIONDE LEON BLUM

Léon Blum intervient pour préci-ser le sens dans lequel le gouverne-ment usera des pouvoirs qui lui sontconférés par ce texte.

Léon BLUM. Dequis quelquessemaines se poursuivent des conver-sations, à la présidence du conseil,entre les représentants des ouvrierset du patronat. Nous avons déjà es-sayé de mettre au point une procé-dure d'arbitrage pour la rédaction,l'exécution et la révision des con-ventions collectives. Nous continue-rons dans le même sens en tentantd'obtenir l'avoué entre les parti.intéressées. La commission a craintque le gouvernement ne se réservâtune autorité exclusive pour dénouerles procédures de conciliation. Jerépond que, jusqu'ici, le gouverne-ment n'a usé de son autorité, en unetelle matière, que lorsqu'il y a étécontraint ou invité. S'il peut se dé-charger de cette tâche, il le fera.Néanmoins, je déclare que, le caséchéant, il exercera les pouvoirs quiIci sont remis. (Applaudissements àl'extrême gauche et sur divers bancs

gauche./M. Thoumyre demande ce qui sera

fait pour les anciens combattants.Rivière lui répond qu'un projet

spécial a déjà été déposé à /a Cham-bre. .

M. Le Gorgeu obtient la mêmeréponse e nce qui concerne les re-traités.

M. Chaumie prie le gouvernementde fel/oyiez ume détente dans les g

Torli.ousR

Esa v1.1-toei

Les républicains catalans

sont victorieux à Monte Aragon

Le gouvernement établit des retranchements

autour de Madrid

se Tolède avec, comme points prinetPanx, Torrijos, Olias et Moceion, demeure le point névralgique de la lutteHier soir, lez insurgés, à la Paveur d'uscoup de main audacieux, tentèrent dis'emparer du village d'Olies, situé I10 kilomètres au nord de ToMde, sur 15route menant à Madrid. Les gouvernementaux réussirent, non seulement à re>clisser rattaque des assaillants, niais!les rejeter sur le ciné gauche Ms firoute, en direction de Barges; latrmatMque a amené les gouvernementaus jusqu'à dm hilomètres au softde Tolède.

Ainsi les républicains dominescmellementin village de Barges, ara

ce aux nositions qu'ils ont prises suifan collines environnantes.

Au sud de MadridTROIS LIGNES DE TRANCREES

VONT ETRE CREUSEES AUTOUR

DE MADRIDLondres, 30 septembre. Les non-

/elles parvenues d'Emmeno dams la msi.:Méo laissent prévoir que le Sauve,aement espagnol n commencé ses ore.Parants pour la défense de Madrid,due proclamation a eté affichée à. tomles carrefours de la capiMle, annoncentque tous les efforts possibles doiventêtre faite en vue de transformer laville en forteresse imprenablb enfeu.rée d'une ceinture d'acier.

Des ingénieurs et des terrassiers ontéte mobilisés afin de construire troislignes dx tranchées autour de la .111-tale.

D'infortunés porions, leur pauvre avoir entassé eue des e bourri-quots o, évacuent les villages occupés par /es rebelles dans leur avance

sur la 'annale,ill1.111111M111111.11111111111111111 lllll llllllllll MW! lllllll llllll

esprits en mettant fin aux campa-gnes d'excitation.

Puis avec M. Lémery on revient àla procédure d'arbitrage... que per-sonne n'écoule.

M. CAILLAUX. Il doit être bienentendu que l'arbitrage du gouver-nement sera exclu. La conciliationdevra se faire devant un magistral.L'arbitrage devra être confié à desarbitres choisis par les parties. Encas de désaccord, le tiers arbitredevra être choisi Par lea arbitres oupar un magistrat. Sommes-nous biend'accord, monsieur le président duConseil t

Léon BLUM. Pour ma: part, jepréférerais la constitution d'une cer-taine magistrature d'arbitrage. C'estce qu'on a fait pour les inscrits ma-ritimes. Mais je demande que le gou-vernement ne soit pas enfermé dansdes cadres trop rigides. (Applaudi.sements.)

M. Milliè,s-Lacroix obtient du mi-nistre des Finances la promesse quesera déposé un projet pour la con-cersion des emprunts contractés au-près du Crédit Foncier par les col-lectivités locales à des taux dépas-sant 5 %.

M. Paul Laffont demande alors quesoit repris l'article 13 ter adoPtécette nuit par la Chambre et dontnous avons rappelé le sens plus haut.Il déclare Qu'il faut pénaliser lesopérations spéculatives Provoquécupar la dévaluation et il demande mê-me que le prélèvement soit porté à80 %.

M. Jeanneney répond à M. PaulLaffont qu'il est trop tard pour te-prendre l'article de la Chambre puis-que le Sénat l'a déjà disjoint.

Vincent Auriol exprime ses re-grets, car le gouvernement était fa-vorable bvetlrmmsucc,

L'ensemble est erMn voté à mainslveées et la séance renvoyée f 4h,

IVoir la mite en deakihne /mem.

LE RECORD DU MONDED'ALTITUDE EN AVION

BATTU PAR UN ANGLAIS

Ràe ,amer'ïezdrreoLD,ire',.t 1o1Man Bristol, a battu le reeoredummon.de d'altitude déteint par Dltsi avec

ell;setaieTenborough, II

VENDREDI 2 OCTOBRE Md 1

â cetel

Ce Bergères de d'Halluin qui se croyait une

légume a lait chou blanc

Gabriel Soclay

défend sa tète

à ChaumontDES

TES/015N00E1 CONTRADICTOIRES .

dilinit de la deuxième audience,1111 incificut se Prodelt quivellera sons doute b ien d00 LOPr -aident a mou, en effet, de Paois la lettred'on SI. Gwent. qm demâôde â°mordu sur un pmnt très imporlanG

Le secrétaire aurait, en effet, signaléconimissairo de Chaumont, quelques

joursavant la découverte clu corps, quoles refis de la petite Nicole so trou-vain/ enterrés sous des pierres Près dela ligne du Mienne de ter, c'est-à-dire fiquatre kilomètres do l'endroit ou Mtturent effectivement enfouis. Le cor-

respondant on concluait que le cirasavait Me Minime dans Matorral.

Pressenti sur 105505 15 d'une oon-vocation, l'avocat génerel Liassepas ursommie mi paraissait peuoppertône.

ien-Gbaries Légrand n'en domande pas moins Faudilien de mi té-moin tooraurdinaire.

Prudemment lu président décide qu'IIers entendu tout d'abord a Paris secommission rogatoire,

L'AUDITION DES GARDES MOBILES >Ou revient b l'objet du ULM aven

l'audition die gardes mobiles qui, leMur do t'enlèvement se sont tmuses eupresence de d/inlay et Tont questionné.

L'adjudant Mbert Monnet, déclarequ'il avait aperçu eur le peut de ta mire,c'est-à-dire a cinquante moires de lainuison Shaesent. 11 Mail alors 19 heures.

« Au cours de nos précédentes inves-tig,s,ifons, fil-ii, nous t'avions dee ven-. ré from quarts d'heure auparavant,â 1b00 mètres de là, au bols Saint-Roch,situé Iuhritéme n 5110 mètres du bolsUMM, ,on le corps fut retrouvé. En levoyant sur le pont, nous Di avons f5.mandé ce qu'il faisait IL Au mémo mo-ment> deux Miettes, qui ami:omitpain de nous, ont déclare que cet indi-vidu leur avait offert de Varela et desfriandises pour les suivre. Nous avonssignalé lo fait au commissaire qui a Dinfureter Soclay ie rendomain

Les .gardes Claude Angelot, RopertRoyer et Jean ',Animal confirment ladéposition de leur chef.

IMPORTANT TEMOIGNAGEVoici cependant un élément imPortant

qui va se dégager' à l'avantage de la do-Inn. Une *aie Hierard, qui hein rmonlomdu vialue, se freinait présente, eneffet, sur le terrain, au moment on I.trois gardes firent au lieutonant leur

rapphortsur les recherches au bois Saint-

Hoe.Ces messieurs, filt-ollo, ont dl-

culer u /mir chef en, avaient rencontréuu homme qui avait les mains terrons.et en pantalon tache de sang .

Ont-ils donné le 00111 de nom homsme 1.

Je Mar entendu prononcer aucunnom.

Mais, con/coules avec le témoin, MStrois gérdusu affirment line n'ont. ci.avoué astemn détail relatif aux taches de

Pouriant. le témoin est formel et sontionseignement est confirmé par son vol,sM, mails Letey. lequel ajoMo quo lecommandant Marescot aurait dit « Cesang est oelui do mon enfant >>

On devine tout le parti que l'avocat ddla &Rosa peut tirer de celte contradic-tion, efin le président déclare, pour sapart invraisemblable.

biais M. Leu,' relnuirto un tait 0000r0plus eiractértstique

>va A la ticniande du commandant Ma-

Le père de Nicole Marmot

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2frugal. ajoute-t-il, In lirolcaso I a lotrerloerattir ahipilla eelivtld aprts nerifl000ien de son do.gietle.\oilU do matna ce qnrn nsi entendusurs Otinad.nn o Iidgttfe Saelfy,,

Ont,' fais. 5f LeraaS entente lahnsuetsédia..tnsoam- aura une tOila_v:-gagne que calai-ai lai répond arrivaient:

_amle-nsr pur fait, moi. dci Oindre RETOUR au RESUT

qlfs 51sn1ITf esge'eeag L Se t g d enRnnRrfl. ffn'Sirn

b b t Se I non dI q I M V t A

SI Lrtnvs'eilnenttteIn reverie al demande la dnosusvaon immé

a' adagios est de nouveau sua-nia, elle, na eiril au et nen entendu. tu pendue.pourrait eu dédains que les gsedet n'ont La séadave reprend à il h. 45.peint psnab dans est radeuta Mils na M, Abol liarder, rapporteur gé-apprend que relie dame nntaeteatet eut nera, capote que lu Chambre et te

r,onrdoetaaeugls. , Sénat saut d'aocard aue l'eao,em-'in a sisdar.

nsore: hIe du perles monetaier, tuas nue

prte t an Ur lu l'antiale aclutif aua aperuttana de

'oct 50e qu'eilenas Itrate- Battent La eussseeinstafl dre flanc-au b t'flasamsennavelunné. est do Sénat a madifié, nageasse

_.,Oaat, te traie de la ChambreJ,vlt Se SOtt2uV r u S net tacet tait une

crvauotee Seetnsluuatr pane cent.:.v.Oit' 00e Oepes rives no,- sue lys bdaéficea arts qui efnedte-

ans na tu, qaaug,aOa.,du l_sait,, Ç,qutraa rani des oamptvs de liunid,vtluaesraro ana aearmovaan Oit idraasi, es. den oprrntaaons àteaae engagées,

0105 ma ét tpsad& matit51:00.

coL ht tuamnet erra O heuoan ai aeptrmbse liai, sur Ire baurarena n " feançuinra de val roc et dr mer-SilitO de mima plur las. lardas, cttaadttes. Seront mentales de

'Cuba. ii : ne 55 rapPelle ivu sa tout nette taae, Ira upêratlaaa part,aatcanai 't aUnant' ana ataaaiaa Sa n'y ose let fends d'Stat rcangatn.

Llaar. Cotte fane devra être eetraae,- ça no trot rai do neme t 8000CC. pat tes letresacdtaivrs de bonceen,

ron leu realemestu qu'ils eTratu'aspcennnseeu ennt,sssyé uubairttata&saat,ste- te°u iue0stÇt epéesiova deanPafeBlrs"ler5ftOrsuet5_5!5e51tS Luttoat drmande que leeorJfsinrsilt ésnB..'siofJeusee 1111m max de l'iaaloosttian spérisle astiéaat eiotetrt sein 5, lrvoreO On Itosni gnon élevé de 10 b 55 A.Eec 1.eevvrenm sgdaa.,-. ., I . CAILLISUIC - En lisant an

Çsos.-ie-xroadr cvii embrinne. lit eOst cltJlee trtp étrvé vous risquéseatlRI ne meSsin beaalsla dans boanlay d'Atteindre tu npéalhtisn tinte. 5e

aeee eveemner rI qa'il salit bien qu'ua masvhé m'eat pueCI ed'SttirtSn, camprsrunaquitstrense

qee Ires tes erirner. mettre site la spvralntianv est an-vl-greess.snuulgus-,ae is,Jatlaps aeosatreàtavoe d'ta paye.

flo pldeeen Omet an street maeslues de, M. Puai LAPI'ON'r. - C ont teatfins fjjflet' ofani lb etemeseir. " à fait eontnntse à la moenle que laI ,l.'eo:t!.!! t2!tm apqealatioa poinse aosaueeosr au

A lIaI.' an. iII it PC " motté de nea tAntine dans arae

W 80 ses, a'ia suai t I idi n lof t é P teqmbte du itt's. iApploadtser-

laS 'car ds seime, dit-li, l'a: spua't,e tttrata sue de nambreits banesl,EbetinSIdsTi enr'ae bine plie un laquas, Le sdtstteur' de tt,triépe rértdmelouai as isoeaal. Ii étala n'tdro qotem nu scenaSv prablte. Sou amende.dor.orrs.06l met ionise

vsrnt rot frriatoorersl adopté per

aaMIaÇtO ln dL mbtê f 5e jf t adopt

t. eletlnhs ne-t-il 10m sedsnlree"qs'et t'a.nals su çel

fsee.emsaauuésssneasaniiuretatqtlutsia Lu Chumbne ci lesd/0l cuuijs

goe ee'llrtvib eneev'fleeeese liaavatéotitin'5fpou e. qirlese beoiresaoivnmt:t était

515v d'an eriuiovevu. Paris, I ontabve. - A Il h. SI 1mt- L'sudiesav est tanga S. le h. te, naauaeicr dcl Paais-Eoaa'bAn sapel-

trot leu dépaivs ra sessive, lit, Hvr-raot pcésidv. Vianean Aoaciol, oaialairenies Fiomncvs, depoue ao praiel cela.

En Espagne qroai

lei de dévaloalian cnnvécueai tesLa SITUATION 0ES 'nqospsS auoteascumhaltolstn et suc lgnpsnt

GeseEONuiMs,rtus,ES l'Saaaimllé n'était faite hier à taah u

slhavtbce, Ce tasté land A eoppcimer,

connue de ev - .ss, vaosolotir du I" eniabre 1936 tee di'

andin t,- q 5ij.

Silout:aiot-erotslarrtaa:d-e'sostle.- peastata et eetmtt de RlSi5.il est spitant que ce lente utaareait

AU PARLEMENTanrapeif traauuntianaei sain leu me-sures campaaaaieiaes.

NOUVELLPSI ISF,CLAIL&TIONSDE LEON 111,1151

Vans t ailes appel à ataa t Je liesappel à veau I Il tout nue la déaulaa-ttoa sait votée onoat ce soin et patirait tard, car je dais partir psar(,oaèvr, Et il tons qoe je lier aaparova,tt le décret de nttinec dc nettensluiaa enteaardiouice, Voat mu de-mandes dvi entstiautiann que j'ai dutdoanice A la Chambre et au Sénat etaanu dcvtsratiass dsan t'use et isa'10g ansembléasassenaatcediaralpnn, Usim en nampleteat. Je a'si pse,dieu mou (speit, les subtititén asa

yvl,eerhes. S'i Irelia' osa eapeeadre plus A loisir nedébet. Svartss,tova etatA5 dra'snoirà 10 cenreudre ia,aoia (Trns binai!.Fiel nu aa crocs de tmoae vo anti,de voaciliritua paor 5go le vair Avalrainer muAs iatrrveaic. (Applouslin.

tel, GALIMAND. - Je veaa bIenvnas lai vo aoafiaanc ni i'eupéee nonle tOmai putiulsier dont la nais, nom-ne n'a us eu Oies, ne devinadna pual'autinlsamticc de 15 eoviitivat'aa.(Vitn .spploadivanmeatn nanan tenugcaad nombre dc l,aanu.l

Blum, dcbaat à osa bans, tater-vient la auavcou poar stemusdec b tuCbaa:bce de aOivce ss nomminalaeSitu bananeS Soi prottuue l'sddptiaadru mates dit Serat,

Léua 5111M, - Le Situai u rdpoa-dis e l'appel de enuailintiva quo lelui anain eiirauo,é. Je venu demeade,uses hésttstiao, da voue rallier é sotirvie. Naas avions te preurnuputtassuie le dévtluuhau ur denlonar pat,pour anctaiuits netéSaclet de nitoopeusos turditau trop luOvd, Cea préuvou-psitusu Seul nsitntsiirrs 150e le tentadu Séeut. La pcaeédaev diAPre, il estvrui, dé voile qua naOn tvica étahlïe,mata ciir peat abautir A dnu réent-tues uoiusi etficanve. C'est l'asrcailnt.Et avas drapas, eu oalea, cuanidérersoc In geund pniucipe dv t'arbiincugnotétifulatce ar teaaaue ptae, Coltdaun tans hésitation qua ie vaut de-manda de tairn O valse tour, eu an-ncpiaat le main fa Scuot, au visueldc aanniliativaipaleustco, lAp-toiounti,ntnmnat,s,l

SACQIJE15 IStJCt,OS APPSSI1TEL'ADIIESION DES COSLettJloStTEd

s ...Meis aune eepéenas qae lceeo'ami dr ta lui eu mat ers de v005ietuaninsu ne nova toua eatnseion d'unetaçaaaailalirale. Su vent uoe les

les casvcntiass,Il 10001er nO imposer te rrs yens suaprimes, Notit un vauloes pus detaa:,blenaaniaoe,

n houa aooau combattu la diva.teshue que vaau a tissu votar pdurme paf rompre te irralst papaluire.Mais anAs rretaou plau qole lenaisnoavsiemau qu'ut tanodna elleS ir lé-qaitibct Sueuvier, taire payer leunoises. lApptavnl'earmceta et agita-Iius.t ertal,t, il tesloleA tenir â

Serlicav. n tTensoatte.)Il. Mellsroné droouertr si ie tente

l'éuisten des uslnieee-une cévieivu dss eltonatiosu lami.j' ' totos niltirmmat lnrmre loue lei spé. tistve troter O - viole, do demande b o Cl,uuolore dc Leou PLUS!, - I,en elturullonn So-

l_suai o', orbrlle u s raidS en sac' no réonle à 2 h. 30 oie t'sprès-mistï miliules sont na dehers dru nobvsa-- mau 't na ainevrede pao les onpa- peUr voire coite lai. (Très blun t). Ls ilous ri l'acticle Se n'a Itipie pou

10 aux o,'ue,aliaa au ,ocie,maa peunlosoan aétanr set daon fixée A diceciomeul, Malt il vst enideat qu'evio've,..do' pcvdan, p''.s ds ussa 2 b. 30 de l'upeés midi et lotisses nes de htoueu entable fa n001 de la

Cs Bc sL:lu stseo e seoan.m 5e lu matia, allis ifairé quelqocu en:- nie, ve nmna't la dnvcin S il guilsecer-01 Ion g n le inlne f'Acaeae. nuira, est alinaitdt lavée, mntts de peuveqaur, sous dru laemcs

k almu,loo, qaatas mao suifait eh uppenpeiénu, les eméauanmeatsao,o-saltst sr,i uésantn 'al tfsb patsea dans 55_Nu L'APSLS-MIpt scrov Su smraleat 000essuimrs. ticéatas range lai,iUn Et à 21,. 31 pcéntsec, M. ilcrcintnit.lenl)

L'unE le nsa,rus dv vlgor'eau, leu ne. mer eu disnaesioa le rami s irai Lv dobal Cul cvbe clos,5i,iies ont opaque 'ers pas nso:iS aUna- cvlulit aan sunienu mvmbettui,t Le tenta du Sésat est asfspeé hvols lupo '0. J,h sut civ esp ,'ns pan Comme il n'agit d'un teste délit av maies te! 0es,

mea bIp 1 tnldlCtaooh Lpo f paf reau, leur 0.0 sa na pa- ' tel qoo'd tifu,'uif duua la proies do un Sanni, can naini-ni uva,t ,tanio,nt

11' 1 e' lit nnaati,clevutvluaultdoruléeepurn o lu 5rarie 50f l'eelie,ttu été esns' oc 'atrvet,'t 'nhm tre 'one'auc uinn1 la Chambre,

toceoal'il.C'spe,l:luvt, urrtai,or dêpti- 11'e eac 504 main raster 217 ver

bu taoven:uan de tmupcu novai, tAu déalreae pneaea punie aac la i'naeeesbte du ersist de dénalsatisa

..aotanmtoiét de Maravalva uten mu, 10,0 plau tncliniopin, In f1550 net adapté rune la traisiàssn taie par

p0001 éa cmtse, avutaor de énaun, penne ho.tsltSt 'Sur te plie polii,iqur In Chambre.e eva, loutres sosthaden. isa menus cl c'est t'anndsius, nttvr In guonten

nuniouoeat n muiutenic lencu oaa:loossa et lu deviSe, de pistes à parSie lu- LEO MESU1SER COMPENSATRICPSê Soit Sarlolumc de Ironoes, nrat,nnr e101ttoieltsee: DE LA tsfiVAt,IIATIONaAo:ia, ma are un ,ulraus bomiseds- If, Hcoc,oe distribue qanlqanu rap'evrai d'ar:illsein et u anat'ua pela U t'oMcs 55 ene,sare b pinstinura Véecesl Anctal ntemunnte le sale

asetsac é'mI'aa Ouegee, penoivre fa rcpniqe.q dc nnepeedrn la néouvr, ,mmseliat de la urne fa pealeisauo-

Tcléolp, l'uniut:an taot:caus n traque- Main 15 droite, nnasifécsut 010e 5es vOlta

aneai Aumbsede les tmupes iupnles. cepritrataut a'uul pas uolt'rn,anuent l 5_u soretel teualaut o s) A ap-.5,',,,, .55 -"S_5 su,,a ss eslss s., ps000ns' tu un1100atauu vuanlue le 27

00515,5 : geso, nIe nuenlatee b5é s,ietam se ada .00 mi mb tte t

1,0 1,0101 SOCIALISTE

IDE NOTRE ENVOTE SPECIALI

Seuder, esaecicontre bar taliobouel.

l'giurose. La eoseaaule OiOo ce dessinasiuataar sic s'sffusro dunieivolee dtaif du'ea5ba'na,aseot dao,aor's,ase, d'oea aearelase'

Le Çesrsrtl e lieu naenrsad M. Lester.rnrrntairs sdielna de ta criAi., rIa rrx's,lusesseet de M. dmsretè, deeeaa ces'Oaessdean d'Ost,uaae 5 Lsudiee, rosissi u été sien spOcOfil 55e tu nsrsi100taesne rsrrsdl'uoa dcl 55e taieloit seraisr,gtae s garsttos de Is doeirretlaee deso,rcreerae deS. Lnstrr 5 5051010f. erseu. SOfia Sel_reSsue est lit ercri.eer meared:reesltlea mttiloile. A'. M. lunes Orales'scrutIn Jeetrmeoln,

Leeaisistes. eec df(stmrs Orleegeeeenosatala, 05005e ainselee_ se Ira'5clans disaosre.

Après rends Srrnsnrpe f M, Àeeerslé,s5 es leecs000naier hors de mir,

erre sosie le'' s casée deO, Lester 555MM, dceusS se clore salaient plu s

le eusstsrrr - autos 0505 rceses à lises.o:J d'as grand neameee se dame aise'

suas tactile, et. tanisas sine sloirs ose sac les diteteosas sa'sIieits:rrnjee 5e Errent ne deassers sasserlIes 5 camer égtaiaasie,

L'useaenaesenl densité 5e. becterusrisr sire 0'or,testisn u,t nsreetl sied'io,aaner s'antii'itd et t'atrisade de heubous'sstem,mc u iasutaie. Ii'unlre cari, 5eil, eiti t 55 M, Lester de POol0000 racle,00tardseinO 4 la Oa'sieeeaisa de ers fac.mateur lai sais, ro,ume lai, 5e dersIr05 le snsau de actiter sa mecreus ose teaohetltatten dc 5e allie lit, e.

calta On casseS. dada, il, Lester ce.1010dm sea rosir. Et. seine 0555 lui

reproer,151'e é Seoatel si tes neuts ne,essaltrase ers ta lllrrN seras frel,sirai sIs eansiest d,'it,

Xslileeoeoellt, le ongle 40 esereesrsearcs ddl,nas. Dis ,ioea001rces or dessine.roui uu'sa Jouons sec eieuaes,l déiraer.:Oale, â el000ar ,aur aajfss sa esase,

fasce tanne ssueclte asnneniri,tPanirig, Ls partagaa ressent cette an'ode de faire partie Os Crso,d, 05, .0001.tries n' posa pins vettaterer au Esiai'iv ars l'est,, nase MU. 50es et Ecos05100e. ri sacs rerielsaé pur leoireaeacadra, ,tég,'gaé de Isris dont les asla(aOnOaaea ns psu,csnaabc se release.

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Les souvoes onvyis0'u,as sans bv10o55 èl'Eo, Inoanas l'on ta 05 ta ISIS, so. 5e000 000 Sa 2.015 515.105 ds 1maan sa, 55semsiss o,doddmnoa.

Las ea,a5,nsate t .0e toc lnrqssl,le, biilsts Sa vinnvlaoaa i,soosve noac53,749. 551,020 bancs, no dinivarm,n Ois05.100.200 tisanes me la S-mass Pnévi.dsuOa, .arréssaoeno 205915110f I,, 10.

La 000ennlon Sa i'avvaisnimam unnànao 0eS du 14, 42 'bosOn31,45 % o suu,a,as cldrédlsle, Lu cnnomnium, IbIs nue la toi unr Or 05 sous

Les confliti

LEu RE°.ICIIIIICATIOS0SPLIS ldiblqlotCélnSoS DC LA 51010,10

PABIbIENNE

Funs, los naioboe, - Uns dé0nanvndu Scod,vut dv, Mo,stvbris niimsnnIervsSa la rérluu paoitiueoe, aalorésrauao 010auglsiissvie,vraduiise ne, M, S'sssnv, dv,panda lsSg,On, sliesnauuva mai00 par0010so MounnI, noalsion Sa l'Asslenl-100e.

dlléauas élcieylonyaanncosssasmon son le aioaalb na oaaaliavt Sa la né.nonne Or lioos n'uSaIs, Ils uou dse,eo déquels n500v,oevlrno 0101000 tas mssu.

iOny s:dSSoruauisxi,ux dc la omdvas,on asiainboi.la, l,mao:ivu énanlaalla da vsiaa noa.du1i:sr OedIaline os eluoiuCa,ls!On,vi.

2e. l,ulb,s,Puais Sa nsld'tn imyctd,nrsmsnrnllvals

les amuldhsos moi do ls.é qa'ils nevsevn davu l'iupuesubi,ili do sobis le,obssars dos n' saies la',s smi,las, snism.

an vs uni O'il)'OOa 5rt euues'epc's. 50 ius',le sassons sali Sei,s l'nblo.gaOos Ou nesses l'saglniaurmna Ois laan

Ils l,asouinc Su ra,snnnel,En le,miasaO, lIn 000 osisid san I, ni.

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UN SCANDALEUX DISCOURS DE M. 5IONTEIRO

Lr dovnmest espagnol eue leu viulativan de Ta sae-iolesv cul uété remis à lu prenne

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Dre FOIRE DE TOULOUSE

AVANT L'INAUGURATION

I,e comité d'organimtion de laFoire de Toulouse avait convie, hierjeudi, en une réunion intime, tous lesmembres de la presse quotidiennetoulousaine et régionale afin de leurexpomr la série des manifestationsqui se dérouleront, du 3 au 18 octo-bre, sur le cours Dillon, dans l'en-ceinte de la 1/«. Foire de Toulouse.

Aux côtés do MM. Roquet, prési-dent; Durel, co.nissaire généralLatapie, terres, Terré, Rézy, Ber-trand, Berdoues, administrateurs dela Foire de Toulouse, nous avonsreconnu MM. Maillé, directeur de lasuccursale toulousaine de l'AgenceHavas ; Pennetier, représentant lastation radiophonique Hadio-Teuibuse; Combes, etc., etc...

M. Boguet, président de la Foirede Toulouse, remercia la preemlou.saine de ce qu'elle a fait et de cequ'elle fera encore à l'avenir pour ladiffusion d'une manifestation indis-pensable aux intérêts économiqueset industriels de notre région. Ilexprima sa joie de voir grandir tomdes ans te nombre des collaborateursautour de ce faimeen d'amitié, deRatait et dc propagande pour cettebelle uvre, et termina en félicitantvivement M. Dure}, commissaire gé-néral, animateur infatigable de laPoire de Toulouse.

M. Durel, 00 110 bref raccourcinous présenta les diverses manifes-tations qui, succes,sivement se Mrme-leront au cours de la IX-.) Foire deToulouse, les difficultés auxquellesIl s'est heurté clin victoire définitivedans l'élaboration d'un progranunequi n'aura rien à envier à ceux desannées précédentes.

- II s'attacha surtout à nous montrerIra innovations rémntes qui serontprésentées dans certains stands -principalement dans celui de l'élec-tricité ; de la T. S. F. (télévision ettélé-cinéma) ; exposition du gaz desforêts (démonstration pratique desopPareils d'utilisation).

Il espère avoir 1a certitude que cesnouvelles étapes du progrès dans ledomaine industriel, scientifique :etdomestique, attireront à la IX.' Foireele Toulouse, la foule des visiteurs.

M. Victor Le.spine, 00000e de laDresse toMousaine mmtidieime re-mercia et Mt toute sa sympathie etcelle de ses collègues pour cette cou-

Zon'fféenXteidSlredeiTetb11ruysree.Ft maintmant, chers lecteurs, de-

main se lèvera le rideau inaugural.Le cours Dillon connaîtra /a fouledes grands jdurs. Ne /Manquez pas devisiter la IX' Foire de Touloused'asile . surprises vous seront réser-vées. Venez nombreux encourager lecommerce ct l'industrie toulousains;ce sera en même temps m'une visiteutile et agréable une légithue,régone-relise pour les infatigables et dé-voués animateurs de celte grandeManifestation, qui se dépensent sanscompter, depuis de longues années, àl'activité et à la prospérité toulou-saine.

Remé,Pierre UNAL.

><

,Ers:gramme de Samedi 3 octobre

INAUGURATION

la Fédération et des délégués desseetio. départementales ;

Visite de la Foire et du pavillon

du 3 au 18 octobre 1936 de l'artisanat,Vin d'honneur offert par la Fédé-

ration atm autorités de la ville deToulouse, aux représentants des

sidence tIn notre ami lledonce, mi-nistre des Travaux publics, en pré-sence des hautes personnalités de laville et du département.

A 16 heures. - Réception, à laFoire des syndicats des voyageurs et

buseesIttLIIoddecuoer

pur M,président du Comité d'entente de;grands groupements commerciaux etindustriels de Toulouse et de la 11m.Garonne, admiaistratem de La Foire.

A 20 heures. - Banquet officield'inauguration avec participation desSyndicats des voyageurs et représen-tants de commerce, sous la prési-dence de notre ami Redoucehm des Travaux publics.

LA JOURNEE DES VOYAGEURSET REPRESENTANTS

DE COMMERCELe comité d'organisation de la

Foire de Toulouse, désirantt témoi-gner, aux voyageurs et représentantsde commerce, sa gratitude pour leurPrécieux concours apporté Moqueannée pour le recrutement des expo-sants, a décidé que la journée d'inau-guration de la Foire serait, commeles années précédentes, la a Journéedm voyageurs et représentants decommerce

La date de cette Journée est fixéeau samedi 3 octobre prochain, jourde l'ouverture. Elle comportera d'a-bord une réception officielle desritembres de la corporation, Coite Parle comité de /a Foir& à 15 heures,suivie d'une visite des stands.

Ensuite, à 20 heures précises, aurafiai, au Grand-Hôtel ri Treuiller, ungrand banquet, en l'honneur desvoyageurs de comunerm, sous la pré-sidence de M. Redonce, ministre desTravaux publics ; de M. le préfet dela Haute-Garonne et de M. EllenFrévot, maire de la ville de Tou-louse qui seront entourés de diverseshautes personnahtés du commerceet de l'industrie.

Ces deux manifestations étant ornganisées avec le concours des princi-pat. groupements professionnels devoyageurs de commerce de Tou-louse, tous les membres de la corpo-ration sont invites à y assister en

diffusion nationale pourront être en-tendus et vos de tous sur des récep-teurs de télévision placés à pros:-mité.

L'Installation de telévbion pargrai o e. pour da do

duoslm

intermédiaire réalisée permettraPaprès-midi, à 14 h. 30, à la porte !d'entrée principale de la Foire, I

La ;prixi de la souser)gien Mg- tMet cal fixé à 23 francs.' d

Le nombre (les plac. Ment honteon est prié de retirer sa carte, soitau siège do Syndicat des voyageurssic connimrce, 3, place (lu Capitole,soit à l'un des sièges des autresnroupements professionnels de vo:ra-geurs.

JOURNEE DE L'ARTISA,NAT

Le comité de la Foire, a accepteque le n :Fourme de l'artisanal nies et du Immune, de la (huma.organisée Par la llèderaG51-) dilli 51511 d .. su Poleront brillamm meat ms-sans de Toulouse ct d ne la régio ait les SMons de la -He Electn-lieu le lundi 5 octobre, au emirs 11111 cité et du a Tout par le (mn ».1..

Voici le progr.nne de eette jOlartnée

A 11 heures très précises. -' Ren-dez-vous à la grande porte (Ventréede le Foire de Toulo.e, bine

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Le premier de ces Salons euesscier 1101, la vulgarisation dru appli-iations domestiques et rural. de

, 'électricité, par la présentation,1 h. 30 -_. inauguration de la Réception par le mmité de di

dajjj, de.

IX" Foire de Tottbuse, sous la pré- Foire de Toulouse, des membres de li.n dru didrj,,%1:G aepare-iircirjté: de;

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A 12h. 30, aura lieu un repas ami-cal, qui réunira tons les membres dea Fédération qui voudront bien y

participer.Le prix du repas est fixé à. seize

Irancs.Les inscriptions sont reçues chez

les membres de la commission MM.Petit, 32, rue Boulbonne; Salvan, 50,rue Boulbonne; Bergougnan, 2, ruede la Poste ; Méda, 15, rue de laRépublique ; Barlangue, 30, rue Ca-raman ; l'Eric, 52, rue Saintallichel;Guchens, 10, rue Gilibert et à la per-rnaneme, 1, rue d'Astorg (tél. 247.76

Les convives qui ne peuvent assis-ter att vin d'honneur sont imités àse grouper à 12 h. 30, au café desArcades, 14, .place du Capitole.

La connmssion désignée et lesmembres du bureau de la Fédérationinvitent cordialement tous les mai-sons à assister nombreux aux diver-ses manifestations qui sont organi-vies an cours de celte Journée de

Ul'artisanat.

Une carte spéciale d'entrée seradélivrée au bureau de la Fédération,1, rue d'Astorg, tous les jours, de

tilt heures et de 14018 heures,sur prése.ntalion de la carte syndi-cale à, jour des cotisations.

LA TELEVISION A LA FOIRE

Greco a l'initiative agissante deM. Jardinier, ministre des P. T. T.,des démonstrations de tMévision se-ront présenté. sous le patronage deIn Padiodiffusion nationale à la Foi-re de Toulouse qui doit s'ouvrir le3 octobre.

Ces démonstrations quotidiennespernmttront eus visiteurs de lugerdes progrès effectués dans le do-utante de la télévision directe et dela télévision par film intermédiaire.

C'est ainsi que les artistes qui sene dom e

i,es,are éings celitibooboucles.

voir

Les séances auront lieu de 14 h. 30à 17 bi »dot. stand; de la Radiodiffu-sion nationale, Files dureront unedemi-honore, el seront consacre. 15011moitié à la télévision directe et à latélévision par lilm intermédiaire.

Elles /seront entièrement gratuites.

LES SALONS DES APPLICATIONSDE VELECTRICITE

ET DU s TOUT PAR LE GAZ »Sur la Pela sic des Filtres. tout à

côté des Pavillons de l'Air, des Golo-

térieur du a home v, d'autre partpom faciliter, rendremoins pénible, moins rebutant lesmultiples travaux de la ferme.Le Selon des applications detricité répondra aux aspirations dugrand public.

En effet, le Salon fornmra deuxsections, une pour la Maison, l'autrepour la Ferme.

Chacune de ces sections compren-dm une division correspondante auxconditions de la vie moderne. C'estainsi que la Maison présentera â sesvisiteurs, avec R mobilier et la dé-mration appropriés Sein Salon Bu-reau, une Salle à manger, une Cham-bre à coucher , une Cuisine, uneSalle «le bai., une Buanderie, etdans chacune de ces pièces tout ro-pareillage électrique pouvant y trou-ver place et utilisation.

Nous serions incomplets si nousn'ajoutions que les diverses partiesd'habitation, oh l'électricité jouerason rôle, .seront décorée.s et mess.blées. La liste des objets qui orne-ront chaque pièce serait longue stnous vouliom en donner le détail.Cotte liste s'étendre du mobilier

, lit-canapé, table, armoiré, eR., jas-] qu'au billon ronge I lèvres pouvanttrot/ver plime sur une Coiffeuse, enpassant per les tapis, rideaux, Mstreric, vaisselle, bijouterie, etc.

No. avons 10 certitude que labo-son de rElmtricite attirera certaim-ment dans l'enceinte de la Foire doToulouse, de nombreux visiteurs In-téressés par les appareils d'avenirqui seront exposés. M ONGE-MARENGO

DU a TOUT PAR LE GAZ n .

"Théâtre du Capitote

LE PAVILLON'

C'eM demain samedi ,..r heu-(l'est toujours avec 'un vif intérêt rLiIrré,de: gpeitelle1,a le snuéperreque Ici cisitems de la Foire retram gala artistique organisé par notre

vent à sa place aseoutumée, le Favil- Cercle qui s'est entouré d'altistesGu. sic In Cie d. G55, ffit G551 bd"- réputés, dont itous.vrouisintderponrnéot:s

kis all15115111555 dit bise, tRn de Tire au Flanc

jours à l'honneur de présenter dansun Lad, num.] les d 0h11.erniére0h11.mi- ras déjà cités

pd

1 Sen Pavillon cette année cOMPre9- Mmes Alice Bonnet, du Théâtre'5""tétt "55 n n :

; dm Max parties d des Variétés, Lise Balondrade,I its visiteurs semnt ;stère.. par des Variétés ; MM. Henry Save, deMe inslaGatiall sIMEiddement e0515- l'Athénée ; Paul Dellac dans lecré au chauffage central . Gaz, Mil cule e ai, 5 v . Delbrassy,maquiez': une place fic p/us en plus dans le rôle ae Mullot ; Paul Mes-enviable dano. le homo moderne, tre, dans le rôle de e Bourrache à

Il n'est nullement besoin de rat, yull a joué au Théâtre 'DéjazetlitIcr les dimintages du chauffage et Paul Boutet du Theatre Moncey,

TIR titt sOclaxerEcentral au Gaz t G,8Ia8e autinnattque, allumage iiimdmiané, propretéabsolue, moindre emconibrement , dela chaudiere, suppression d'Uo stockde combustible.L'Hygiène et la santé y trou,également leur compte parbilité d'interromPre volontPé° leadauffage, ce qui évite tout dangerde « Surchauffe g dans -tes jar,ments et. en Particulier. dans les

chambôtres à coucher.

A cé de la chaletir, /es visiteursdécouvriront le a froid par jajeor .éalisê par des réfrigérateursoui as/stuent le Plus écomontd,men«possible la ConservaliOn parfaite desdenrées périssables el Produisent àvolonté la glace comestible.

La deuxième partie du Pavillon duGaz, sers réservé aux appareils deblanchisserie. Machimet a. laver, quisavon., décrasse, cuit et rime àVeau bouillante tout le linge sale dela maison.

Pour les dames voilà donc la cor-vée do lavage et du blanchissagesupprimée.

Le Pavin. du Gaz constituera unenSeigneMent et une attraction. Sonagencement prouvera quel Gaz estau service du progrès, du confort,de mieux-vivre. Voilà un programmeque la Cie du Gaz s'efforcera de

remplir.LE STAND DE COMMEMORATION

DU CENTENAIREDU SERVICE VICINAL

Les Ingénieurs et agents du S-ervi-ce vicinal de ta Haute-Garonne, encollaboration avec leurs collègues del'Ariège et du Tarn, organisent imurle 11 octobre une manifestation ré-gionale destinée à commémorer lecentenaire de la création du ServReVicinal et à montrer Iheuvre réali-sée en un Siècle par les e AgêntsVoyers s dans trois départements.

Un stand a été aménagé à lu Foirede Toulouse. Y seront exposés lescartes, dessins, graphiques, résumantPuvre vicinale de 1836 à 1936. .

Des photographies et des maquet-tes représenteront, les pri im-vrages d'art cone/mils à différentesépoques.

LA PARTICIPATIONdes

RANDONNE/URS TOULOUSAINSLes Randonneurs Toulousains, or-

ganisent deux stands de propagande,qui intéresseront les visiteurs.

Ils exposeront lie beaux vélos ettandems de grand tourisme.

Une rétrospective du cycle Per-mettra ou public, d'apprécier lesprogrès accomplis en 1931.

Nous sommmo assurés que le suc-cès couronnera les persévérants ef-forts des Randonneurs Toulousains,

LA JOURNEE DE L'ENFANCEComme tous l'es ans, les enfants

auront leur journée bien a, eux.En matirr,v ils occuperont la Prai-

rie des Filtres, où ils participerontau concours de ballons, taniseradoté de nombreuses récompenses.

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75, pour les Mmes Me closes primai-res c 1 fram pour les ealanis des éco-les matimelles.

Le Consul rappelle aux familles queits mrahls same m. à 10oole 11 h,emiduits à la caution sundeithis pendantlo repad et GlutenOu a l'école à 13 11.

Les garderies du jeudi feaMionnerontmamie les entatee treCedentes à partirde jeudi 8 octobre. Dans la jaunie,. I,élèves suivront des mem de musiqueou de chant et assisteront à une séancedc -huons uuule.00a

Ata meule Mile, jeudi 8 octobre, /esgarderies maternelles remis ouvertesmiss los ecoten du quartier groupmtminimum de 20 éléate

Le Conseil dAdmielstration informeèfiziement Ira &Mien, elaVeu et leurs fa-

que les groups Staatits e artisti-OU. fUnetiOnnennt regulièrement tesoUIlLa céleri; ô 21 heures, dans tes lu-ttât. de Reclusane et ,de Coupent,odiTeLan inique d'hoc. (Ouesttiell notjue oo.,j arctereff

CERCLE LOQUE DE LA JUNGASSEtee membres bi Commit d'adnamis-

Galion et des diverses mnamimionsGouge Scolaire de la Mimasse sont priesd'awster I I_s réunion qui aura lieu Iosamedi 3 octobre mutant Eadnissement930011e' à la Junca.e.

Ordre da jour très Important.Merise des travaux.Vu l'importance de la réunion nous

"ree,,rvrilgeiltcl,umzPos

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Le Gala des AilesFrançaises

Nous nsono annonce him, mi an grandmmling d'aviation organise par Plero-Club de Toulouse et des Pyrénées, amees concours du Ministère dc trek%ret1 a l'aemdrome de '901110lase Francs-zai te dunanobe 11 octobre.

Toulouse contre aéronautique et priVOthe mouifestations aériennes depuis quel-,mes années se devait à l'instar de laCapitole de faire cormattre babIes :po-pulation les nrogràs réalisés dans le%chnues de l'am

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ENTRE CYCLISTE

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L'agent Costes a été blessé auvisage. Après avoir reçu des soinsâ l'Hôte-Dieu, 11 a été transphrté

son domicile.Enquête ouverte.

LE FEU A PIBRACLe 30 septembre vers 8 heures

du som, un incendie a eclate âPibr., chez M. Cannons, boulan-ger.

Le feu avait pria â tout IfimMetbble et s'était rapidement propagé,détruisant les quatre pièces et lefournil, ainsi que le matériel deboulangerie.

Deux lances ont été mises enbatteries par les pOmpiers eie Tou-louse, Sous les ordres du sous-heu-tenant Salas.

Les immeubles voisins ont étépréservés,

Les pertes estimées à 100.000 fr.environ, Bont couvertes par uneassurance.

PECHE TRAGIQUEM. Jean-Baptiste Guerguy, qui

était tombé accidentellement dansle canal en pechant â la ligne,prés de Lalande, acte recherchePar les Pompiers. Le corps de l'in-fortune pêcheur a Mé retiré de Il'eau Mer9redi SOC.

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LE MIROIR AUX ALOUETTESavec Enrage Fmillère, P. Dresseur,R. Karl, maitudian, O, mondaine.

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RÉVOLTÉ)DuliOUPITY

SralEMAIN ELUCIEN BAROUXBETTY STOCKFELD

USGGUEÙÏE III 0k

POISSORMERIE li.AS75...ALSAIPCE

SES BELLES HUITRESDemain SAMEDI et DIMANCHE matis

LES EXTRA VERTES la Obéie 1.90

Les jolies du eaglerret » 2.25

Les Poitugaises » 2.90

Les fameuses claires » 4.50

Les lan ViValidSgoustes +, 11.50Avec /es TIMBRES INULTIPREIE

,

ounnunummuummemiumiersmeennummegurtnentuumenumur

GRAVEMENT BLESSÉE (ephemen de imm) ;La Vie Toulousaine

Administdesrantive ; Renseignenmntspur un train 142 pages ; ;1; hors, texte; 68 il-

lustrations ; 2 cartes.Le h15 51e, Un an 36 fr. En ver,

Hier, ves 16 heur., 011 51/5/55 dans les principales librairies eaccident n'eut produit, rue Bayard, au capitole, service des plantonau coin de la rue Lafon. du ,e,denehan,gée.

Satnt'-'1203,ZI'' 2dg iae rr ente- a LA TOULOUSAINE gvée llarrêt, descendait du tram Ce soir à 8 h. 45, ,répétition ge

nerale au siège.t mn le sol,Elle fut grièvement Mes- 010110 de nouveaux programmes

sée pied gauche.Immédiatement transportée à NOS TilIctihIS

l'Hôtel-Dieu, elle fut admise salle Avis aux usagers des lignesSamt-Vineent. L'amputation du Gare Matant., route de Cu-pied a été jugée nécessaire. gnaux e,(LétarGea,,) , 04 Pool

Udx

ne enquête est ouverte.1111111111111111111111111111111111111111111111117 La Smité deS T. c, ii, T. a l'ho,-

neur d'informer le public aim.col foimêment à l'arrêté préfaces-.... du 110501 1931, l'itinéraire de ,-ligne liff/15 sada modifié, b 'dater d ;hindi 5 octobre 1936, entre d

gare Matablan et la place Sem,

CERCLE LAIQUE

En 000altell5nene, les...HM. doI' ligne N'5 emprunteront eut,ces deUX pointu, lu rue Bayardl/la rue d'Alsace, au lieu du bo.vard Riquet et de lu rue de Mets

Le point. do -stationnement. PiePont de la Colombette sera repor-te ait square du Capitole.

Par ailleurs, afin de maintenirvendredi a 15h Les adhe- jgg rejapiong anctepuemmjt aggq_ents disponibles sent priés de se rées par la ligne Ni 5, la lig m

condor à l'enterrement. A, 14 a Polît des minimes-GanSonnet sera prolongée à certatcet heures jusqu'au terminus de 1«ligne 5 h la ripière.

Heures approximatives des pan-sag. 0 la Gare Matabiau des mitires de la ligne 14 en direction

PSommaire du Tante VI de 1936 7 I. 3, 7 h. 22, 7 h. 41, 11 h 32qui Ment de paraître Il h. 50, 12 h. 10,-12 h. 49, 13 h. ^

Les Hommes Illustres de Tou- 13 h. 31, 16 h. 39, 17 h. 42, 17 S. 53Muse s Talllassen dit Mathelln ; et. 18 h. 23.Nos députés ; Le Centre de Séro- Heures des départs du termimmthérapie de Toulouse, par le Dr « Cépière » en direCtion Pont dé,Stillmunk.; Les Grèves de Tou- Minimes /: -

Ruse ; Une belle figure toulousai- 7 h. 34, 7 h. 55, 8 h. 14, 12 heumsne s Emile Barrière, aviateur ; Les 12 h. 23, 12 h.,56, 13 h. 19, 13 h. 39.Maisons de Charité de 'Toulouse ; 14 h 3, 17 h. 15; 18 h, 12, 18 h. 32Musée des Augustins (suite de Pin- et 18 h. 54.

lllllllllllllll Sill11111111111.111111111111MMODININI11 lllllll 111111111111111111111/11/111

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

111.111M 4

Section ToulousaineN. camarades des Jeunesses Socialis.

tes de Camenage et de Castednauromorganisent dimanche prochain, ime man-de manifesmtion Socialiste,

En plus d Firnportant meeti. où Per-leront nos mmarades DaVià, - député:Dandrieu. conseiller général; D.bals, se-créta,irs de la Section TooloumineParti; Fernand/ Qoli. ecrétaire fédéralde /a Secti. Toulousaine, ily aura undéfilé dm J. G. S. et, à 17 heur., un

Il me -donc d notre devoir d'assurer àcette manifesmtion un maximum dosons

Elle .t 13011r nOUS l'occasion de anon-.; iesnort -a-- cmns grandissant de msJeunesses Socialiste.

Nous amons -one temps, le plaisirHe nous retrouver dans une de ces fêtes0..,1151.. du Parti, au cours desquellesles amitiés se renommllent e dont on re.Ment charge d un encourageaent am->eau pour lés luttes à venir.

Le prix démocratique du transport estfixé à 8 francs et permet à tous de pro-fiter des dernims beaux jouso de l'annéepour passer une agréable Hurnée à la

A ce elfe. la Section Teulomaine des'jeunesses socialistes organise en accordavec le Parti sol départ, à 14>fiées Jules.Guesde.

Les camarades pomront ainsi particioerer le rnaMfesmtice en économisant le Pri5du banquet.

Tous, dimanche, à Gragnague !

Le secrétaire : R. Gelant.

commisstav ADMINISTRA/11V.Toua les membres da la A. sont

priés d'assister à la réunion qui aura heule vendredi I octobre, è 21 hem., auFoyer du Peuple. -

. COMMISSION DE CON [ISOLE. DES FINANCES

...Les camaradesArndio2. CorabouLDrosse. Cs. Cumenge, G. Mareuès,Mommerat et Vedeau, sont rotés do bien

meister à /a réunion ao kcm.mission de centrale des Finnososoiauralieu samedi 3 octobre courant, à 17 heu-ies, dans une des salles do café ClapH.

Ordre du jourContrôle de la gestion financière.

Le secréMire de le commisieon decontrôle A. Pourcel.

-- HARMONIE SOCIALISTECe mir vendredi 2. n.bre, à 21 hea.

gra: au siège, FOYM do Pouple,répétbbon générale du progranam oui sersexécuté demai nsoir mmedi, au TheatreducCapitale, pour la-feta de nos amis durercle Leque Mongsf.Marengo.

Tout k monde dora Ore présent.Le prdsident : O. Sarrau.

eRÔÙPE E.-POTT1ERPAULnLAFFARGUE

Tous /es camarades sont priés d'assis-ter à la réunion du groupe qui aura lieuje vendredi 2 octobre 1936, à 21 boums,an siège du 'parti, café Coudera (Nésos-

IOo 1dos d.Adhésions; Colimtiom Banquet des

eiscrits.Ceusede par k camarade Lagardelle,

liteméta(re adjoint de la Fédération.- Les adultes sont convoqués." eh, parti ne Vit"que de diaMpline n.

Loorétoioas J. M,trROUPE D'EDUCAT/ON SOCIALISTE

CROIX-DAURADE

Réunion mensuelle du groupe, ce mir,è 21 heures, café Nougayrol.

Causerie édmative par le camaradeilyon; Adhés.nsa Cotisations: Queetions?Perses; Inscriptions et dernières diapo-kaons à prendre pour la fête du II octo-bre.

Frasence de tous indispenmble.

eROUPE D'EDUCATION SOCIALISTEFRANÇOIS-BODSQUET

IO:radiers Peyrou, Valade, Saint-Pierre)La saison sportive ',s'ouvrir et notre

club travaliste, k Valade OuvriersApar., va p000d k premier .lopd'entraînement. A cet effet, sont convo-qués pour mmedi 55 heures, au siège,café Trinquié, 37, rue Valade, les mma-

Pour le V. O. S. Trinqué, F. Bora,eMiter- Jeam .C.011. Dumont et Forestié.-Pour los. Jeunesses _Genicié E. Mi.000. Lagardefie.

Pour les achdtes Gen-nier, G. Ferret,Menem Bounloncle, Castagne.

Le Consul d'Organisation.

GROUPE -DE CROIX-DAURADEA. jeunes

10000 050 viens de passer un été le plus/agréablement qu'il a été possible et tueaPPrétes, et avec juste rai., d'ailleurs,d'en faire de même pour l'hiver et dechercher les moyens qui te Psmtsmaritde tmuver moins longs les jouas maus-sades où la pluie et le froid se mêlenttome un ensemb. touchant.

Personne et moi-marne moins elle MITaonque, f0005 à dire à celà au con-tuire, si ce n'est que ies ionis due ta

pamer agréablement ne Sont p.,assez nombreux.

Mais, et je crois qu'il est de mon de--Rie de 50 dis-, mi, camarade jeune, quicommence à rearer dans le vie. c'moà-dire ond commence à prennlre coneien-de de tes renm.abilltés envms la sociétéqu'il est peu.. non au-dossus. mais aumoins égal à tous les anmsemerng pourai justifiés soihil, un auPe devoir. celuide comprendre et d'aprandre.

Jeune dé,: et depuis foft In topsexploité par une clame fort restreinte deprivilégiés.

Jeu, quilepeut-être

demain sera es00-égrands renrts de « bonimen. r et de

Musique. à sacrifier ta vie pour défen-e. E eue quelques-ma appePnt mPatrie: Main aul igast Mo t'Oralité que leursCoffee-fous- - -5J,ileorp,assuinodsosispoomordial, c'est celui de 'rejoindre tes crusse-xedes.. (o 0105 aussio qui veulent et misavent ofigiLest possildesd'instaurer uneSociété meilleure, ou la justice et le bien-are seront pour tous.

Tu ne peux faillir et Le viendras avecées quelquemuns grosso les ra ms de nejeunesses Socialisteset mima eus st de

. .mem, m 740fiailalraih,pde 1fileir

groupe nomimenx et bien .éduqed et uneInternationelo,

Tom, ce soir +Pendra& 4.21,h:ores. ala réunion du groupe, (café No-agame)).

Tous au travail et vive les JeunessesSrePlistes.

71. dee vieux de la Section dee leu-

GROUPE FRANCISCOPERRER SYNDIr AT DES CHAPE-1EPSET CASQUETTIER.ES

iQuartier des Trois-Cocus

Le grepe organise une grande fête os- Réunion générale samedi 3 ooMbre.Mande pour le dimanche 4 octobre sous là heures

P présidence effective de notre ami Se- v,,,..mert des cotisait.:douce, minime des Travaux publics. Denon de deux mecurem du burrau

Programme : Présence indispensable.

A 11 heures : Remise des liac.ux aux SYNL/tCAT DE L'ALIMENTA nosmoupes des femme.: et des adultm.

A II 5.35 t Défilé des Jeunesses e. lihe !Section Gasmi

mise> Rouges avep musique. Assemblé. générale.A 12 h. 30 : Grmd banquet au .08, Présence indispensable de tom le

café imnarou. camarade, le 5 octobre cour., à 19 hA Il heures : Allocution des élus da 56 salle n. 22.

°A 17 heures r Concert public sur . plan SYNDICAT DES PEINTRES

e Ernest-Renan. EN RATINENTA partir de 21 heures : Grand bal pa- Délé.tion ouvrière ce eoir. à 18 Leuulaire eur la place. res et dimanche mutin de 10 heuresNous sommes assurés de la preseme de midi.

m camarades Ellen-Prévot, maire de Tou. Emre., pept le gn le 0,e,_bre.

tru' drnete n'el rdét'.°4'0, le'%'- i SPORT BOULES; [In 200 sports les Plus Populaires 3.-vises au komervataire.

Vrepandant nu crooluda -concert. ' tueliement est bien ceMi pratique par

came, Redis, &put,Les Menines desirent faire p.die de les boulistes 8 tel point que rares sont

pontiitsnie poiment se préeenter a parle. acs qmrtier où n'esies P. une emie-Seront éseement parmi nous non amis eie 9 lb 30 dans ta salie de répétition. tu de

Hyon, conseiller général. Dusse, adjoieIsurês nemeat. peyner, conseifier manicipad, René Réunion de tomen les con:misions ainsi

SIC.:NItTùe ler fiCetteale 1 der'ragerpra'iseràRiquet-Jeaneetle MM.eu maire. Lanières, conseiller d'arrondrsse.

Desbals, secrétaire de la Section 'foulou. que les responsables des piquets de grève 4es membres do la société saut poils/ rol-coedu:,irit, ''''Lr%.17. ' ,,.*--...,... Cardant, secrémire des Jeunesses . . 8 jolie, à 21 heures, à le oBurse du e'è"37'....-'t .I èee'dn eteeèem.de Se' 3alites. Travail. . samedi 3octobre.

. fieu dunamhe 4 ociare, a 10 h. 30 F11191, 813m Le9 .. f0111H. Peur Iau siège de 100015112, lhatei mation du bureau provLsoire d'une mou-

Permanence tous he lundis, de 10 h. de la Haien de l'agricuiture 9, rue vette société bouliste, sous 10010e de la

' 'Addhé'sions, Cotisations( bmidicdoniPlseemem gistuit.

SYNDICAT DES EMPLOYERDU COMMERCE, DE L'INDUSTRIE

ET DE LA BANQUE

Les men/mons mut reçues Par am ta...des Chen., Dagnee, Puons ou ausiège, café Lamamu.

En cas de mauvais temps les -éjouissan-ms auront lieu dons b mlle du bal auge. - Le secrétaire du groupe t Chan.,

GROUPE D'EDUCATION SOCIALISIEFELIX-LAVIT

(Colonne . Marengo - Arago)Adulte.

Les adhérents du groupement sont infor-més quele groupe Félix.Lavit va repren-dre l'activité interompue par la périodedevacances.

La première réunion mensuelle du Cycle193e1937 est fixée au mardi 6 octobreprochain. à 21 heures, au siège, café du10-Avril.

Etant donné /es évènements intérim. etextérieurs qui se erou ent heure pré-sente, est du devoir de tons les citoyensrépublicains et démocrates de se grouper etde s'éduquer.

Les sympathisan. (Adult. et Jeunes)som cordialemem invités à mnir assister ànos réunions d'information et d'éducation.

Le secrétaire t Amid.C

Jeunesses Socialistes

GROUPE MARCEL-SEMBAT(Lafourguene)

AssemNée générale jeunes et adultes.samedi 3 octobre, à 21 heures, café

du Pa..Ordre du jourMise à jour des cotisations pour les

Jeunesses; Adhésions; Compte rendu dela féte du 30 août et assemblée généra/edes Jeunemes. du jeudi ler octobre.

Queen,sas adadniseregves du groupedes Jeunesses; Questions diverses.

Causerie du camarade Samson, surrt Le Socialisme et la Paix n.

Le secrétaire r Borde..GROUPE SOCIALISTE S. F. I. O.

DE CROIX DAURADECamarades,

Le groupe Socialiste de Croix.Dauradeorganise une Rte qui aura lieu . II octo-bre 1936.

A 11 heures, Milimnts, Sympathisants,Femmes, Formation d'un cortège devant lecafé Nougayrol et défilé pom se rendreau parc de o Colonie Scolaire.

2. - Fête Bouliste, Parti S. F. I. O. etBoule Travailliste unis fraternellement.

A /1 h. S. Inauguration du Boulodro-me.

3a -A 12 h. 30, Banque Populaire.Parti S. F. /. O. Boule Travailliste. Sym.

pathimnts et Femmes. -

Prix du banquet r 15 francs.Se faire Hamme chez b camarade .Ra-

caud, rue de la Liberté, CroixDaurade(Demie délai 4 octobre).

A I Meures, Grand Meeting Socialiste:des hauts-parleurs seront ansmIlée dans lePsrè.

A 21 heures, .11e Noupprol, Grand bdEntrée gratuite.

itaserire de suite et d'amener des as.,

Milita., votre devqr est de vous faireinscrire et d'amener des sympathisants.MI111111111111111111111111111111111111111111111

SYNDICAT DES CONFISEURSCHOCOLATIERS ET SIMILAIRESCe soir vendredi 2 courant, à 2/ heu-

res, réunion ...rale à k Bourse do Tes.005.

Présence indispensalde.

SYNDICAT DU PERSONNELDES CAISSERIES

Les délégués d'usines me convoqués cesoir vendredi. à 18505000, Bourse duTravail, salle 12.

Les délégués sont égal.. polis _tra.sister à réunion de l'Un= desyndi-ces, a 21 heure...

Assemblée générale du peasonnel desCaisseries, samedi, à 9 h. 30 salle 10,Bourse du Travail.

SYNDICAT DES VOYAGEURSET REPRESENTANTS CONFEDERES

(C. G. T.)Le Syndicat des Voyageurs et Repré-

sentants Confédérés (C. G. f.). rappelleà se sadhérems la dols du 3 octobre,ouverture de b Foire de Tou/rause.

A cette occasaon une man. da Voya-geur est organisée, comme les annéesprécédentes.

Nat nombres devront venir le eusnombreux possible à la réception d'su-armure qm aura lieu le samedi 3 cou-rant, à 14 lieues 30.

Ramemblensent a entree de la Fosse.Il les informe aussi, que sur présen-

tation de la carte professionnelle. Ferméedo la En os sera gratuite à pus ies mem-bres de h corporation.

SYNDICAT DES 0.51050 FILSSERRURIERS ET ChlAMPENTabilfid

' EN FER DE TOLAAJUSEAsemblée générale de toute la milan-

ration ce suis vendredi 2 couru, à 21 h.murs, du fravad, salle 20.

Compte rendu du Coprbs héders]:roture des nouveaux stems:

Compte rendu du Connej Intersyndiml:Fixation sur o Congrès Régional,Qu( pions diverses.Fréron, indraPelimb).

SYNDICAT DES OUVRIERSCOIFFEURS

Réunion ené,ale dorons les syndiquéaujourd'hui à 21 heures, à L Rourse duTravail, salle 16-17.

Présence indispensableRéunion du bureau de Ia section,

20 h. 30.

ANCIENS OeliErz.FiTE EMPLOYES

Le Cemité exteutif dee amimie ouvriers g t thme de /a fête. heur. des membres actifs et honorai-. ells"1°Y4 de 'AI., nediqués Los détenteurs de carnets de toren.. 1936-1937 et autres ouestions très '

res du club.non syndiquée, inete très fraterneliernent sont priés de rapporter les billets ven. - Banquet du 18.tous les canaraden iméressés. d'assister ms ou invendus, le samedi d ble.avant 2th. eetdeede3- Presenceen masse à la réunion extraordinaire qui :Vu:se de Reeeisserd'urus '1,°'ah-

A la veille de la saison de akl, II esta heu ne mir vendredi. à 21 heures, à do OS le trésorier est m mleur d Pp d9 devoir de tous les camarades d'as- allItloill111111111111111,111111111111111111t

inispensa

la Bourse du Travail, .1te n. 21.22. enter a cette réunion.Dodos du ions d'sou, ANsP050slrnOt os

0.730d0cenlizneolhr ieIls z 21.05 DE L'UNION à/VIETIQUE Tous les camarades voulant pinta D16, rue Bayard , quoi- les sports d'hiver sont cordiale- LAnonnables du syndicat de l'Azote (C. C. Le Onmpe d'Ettide du Cinéma Sone- meutT.) sont priés de m présenter d.s ba tique imite ses adhérents (Sent- rot- POIDS ET HALTERES BANLIEUEmesure du possible, lee cart0s d'invitation pour Ies sean-

nes cinématographiques du mercredi sec-SYNDICAT DES TECHNICIENS 7 octobre au Cinema Gine°, Faubourg ton haltérophile de Molle Rouge con-

CHEFS DE MAITRISE ET EMPLOYER Bonnefoy et k SUIS octobre au Mn, naît déjà le succès.DE LA METALLURGIE Ma 6I-G7Prien avenue Etienne Mite.. Les entralnements sont très suivis et

Nos camarades des deux sexes ont C,es séanCes étant stricipmeld Prieê. des performances sont réalisées dansaujourd'hui leur contrat coll f 000000 Pm la selle Marengo mi. gracieusement a

Les 5100505500 eat été m., arme-il.ecti891010: 43911,eser 009e 'os reUrer e. notre disfam Mwie ition par . Levasseur.de ecia) eo. l'association 16, ruesocs. hier ler octobre. Bavard.

,,fer Mage. Nous pensons que cette section. dont

Désormais me re,,,,, ,,,, .,,,,,.. le,orman,o. l,,, lot »ur,, os g la vitalité s'affirme tom les jours, feraPeurs et salariés doivent être régie par 19 /mures ci le dimanche malin de 10 avant peu parler d'elle.k dite convention. d 12 heures, Renseignements donnés au siège, 48.

Les techniciens, chefs demaîtrise et AMIC(ALErue Compatis. Adhésio.

0011105.d

employés, tous salariés au mois, synde DES ENFANTS DE UHERAULT BONNEFOY OUVRIER-SPORT iqués ou non, ont intéret à prenre con- ' Dimanche matin, 4 octobre, au siège.naissance des communications qui seront - mei. 6 Boineamp de strabomp, a Tous les camarades joueurs de MM-mes au cours de I assemblée général. IC h. 30 ket sont pries de se trouver au terraingus sem tee. ssmedi 3 maman,. don, Reprise des réunions mensuelles. Maury à 14 heures précises le diman-Pune des salles de . Bourse du Travail Admisqen de nouveaux membr.. che 4 octobre.

Communication importante. Match contre Iris. - Le secrétaire irop s .

11111111111111111111111111119111111111111111111111

1191115.0005051111111111115111M111111111111115

AVIS DE DÉCÉS

Monsieur Henri DUMERIL, prolos-seur honoraire à la Faculté des Lettres;

Programme Monsieur Edmond DEMu05IL prolos-la ,Fêté Socialiste (Militants de Psr113, Ly.e. threbthr de l'Institut500115on

denseignement supérieur des Lettres àà 10 heures précises, asile Noues,. erv.mise du drapeau au encra- mont e 'nem. ur Pierre LESPINASSE, substi Rasseinblement régional du /8 octo-tut d Pr AILLISTE STADE TOULOUSAIN

u oeureur général prés la Cour

Nantes et Madame Edmond DUMERID

Toulouse, 80, rue Alfred-Dumérd.a Je prierai mon Père, qui vous

donnera un autre Consolateur,afin out demeure éternellementavec vous m

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A VIE DES-UOCIETES-I

LE MIDI SOCIALISTE

CHORALE DES MINIMES I Ordre du jourGe mir vendredi à 21 béeras précises GomPte-rendu de la ortinotindma

répétition basme et barytons. basket et match pour dimanche con-Lundi prochain 5 octobre, répétition tre

fers et /urnes ténors. Prochain once . p,,t,ts à essore/Présence indispensable. Préparation de la prochaine soirée de

AMICALE TOURISTIQUE boxe

DE L'AVENUE DO MURET 00hI0h000s.0ipition pour la demande des lk

m'fous los mebres me Prie. d'eeelete1 Tous les :louves. sociétairesit l'assemblée minérale mensuelle qui aMs poilu d,upperter deux puetegoepuidera le samedi 3 .urant 2/ heureau singe. Présence indispensable Pecourd0teseeltr,,,...c.r.

Le trésorier se à la disposition desPr410,3'";0'ClhAi'Ill'Ol'

raN":,:/bido'Ps't/i.,(hINIQUE joueurs parte de 20 h 90.

Prière d'être à l'heure, l'entraînementLe bureau do laAssomation Symphom- devant commencerà 21 h. 30. - Le se-

que «Les Capitouls o informe e. 01054- crétaire.

lisenuedi Toillome.Conférence par B. Lapédague, Pro- Tous les camarades qui s'intéressent

Te.eur spécial d'horticulture, Ourlé à ce sport Sent cordialeMent1001101.Laplantation eus scares fruitiers. BOULE JOYEUSE DE BONNEFOY

Ab-SOCIATION TOULOUSAINE Réunion mensuelle le samedi 3 sep-DES ANG1EAS GYMNASTES tembre b 21 heures au siège, 190, fan-

inmnastes, sont priés aneca ,,ii,,IremSbrea.s d0e,.I'az,oclza,tiz.:::lo:u- bourg

espeord.°0,7(

Mies des anciens gyfi

mmerli 3 MtObse a 21 heures au siège ton de notre nouveau terrain.AMI Café, 20 Place pu Capitale. Cotisations.

CETE DE (HAMME St MICHEL CLUB ATHLETIQUE TOULOUSAINBUSCA SALIN PORT RABAUD Réunion ce soir vendredi a 91 heures

Le Comité se fait un devoir de no, au siège, borde l'Opéra,peler que /e tirage de la tombola aura ordre du jour :lieu le dimanche 4 octobre a 03 licures

CDI1DT

Compte rendu moral et fin n

PA eine créée depuis 8 tou s, la

A. Pani-000310.e.

11111G/Hulsohol111111111 llllllll 11111111111111

A VIEPORTIVE

RUGtb 00

me bien composé et richement dok.Dm. Wb( de 40.500 francs, im

prix de 16.200 fr., un prix de 15.600francs, deux prix de 12.6011 fr., un

I pi-in do 11.210 fr. et Un prix de10.000 francs constituent les éPreu-ors classiques des prochaines réa-

. nions d'automne.A la sui mte des dearches effec-

tuées récemment par le président dela Société des Courses auprès des

IPouvoirspublics et des grandes

Senmmciétés parisiennes, le prograe, d'automne qui primitivement n e/ comprenait que cinq éPre5003journée a été doté d'une sixièmecourse è. chaque réunion.

Cette heureuse amélioration estdue à l'octroi à la Société des Cour-ses de Toulouse de quatre nouvel-les subventions affectées antérieure-ment bla Société des Courses de St-Gaudens qui, pour des raisons ma-

deures a suspendu, cette année, leeours de ses operahons.

Ces épreuves récemment allouées' sont d'une valeur de 11.250 fr.,6.500 fr., 3.000 fr., 2.250 fr,

1 La première réunion d'Automne!fixés au dimanche 4 octobre com-prendra 36.20' 10, de prix.

122 chevaux ont été inscrits pourles six épreuves de cettecomposée de deux courses au trot,trois courses plates et une course de

aies.Nous indiquerons prochainement

les derniers forfaits et l'ensemble delet intéressant programme.

CYCLISME

TOULOUSE VELO CLUB .Réunion au siège, café Oaly 110,

avenue Jules-Julien, le 0 octobre à 21

--11

LARDENNHARMONIE DE LARDENNE. -Ce

soM vendredi O octob., à 21 Ileums, réé

ORPHEON MIXTE DE LARDENNE.- Désirant remonter l'Orphéon Mixtene de nouvelles bases, s bureau pro-visoire invite les personnes (messieurset demoiselles) qui désireraient fairepartie de cette soetété de bien voutoirse faire inscrire à la réunion qui setiendra le samedi 3 octobre 1906 ausiège, café Brousse-Foresté, a 21 heu.

es décisions importantes seront pri-ses concernant la vitalité de cette so-Me.

BLAGNACREUNION DE LA SECTION

membres de la Section Socialiste deBlagnac sont imans à assister o l'as-semblée generale qm aura lieu vendredi

°Moine à 21 heures au siège, caféVerge., Ordre du jour :Adhésions cOtikatihnd.'Compte rendu comité fédéral du 6

NASSE née DUMERIL ; Mademoiselle

Football Club WonderlandVin d'honneur offert aux jeunes sol-d'Appel de Toulon. et Madame LESPLe

Edith DUMERIL, Monsieur Jacques BASKETBALL

sain contre StadeToutou- ,, Teuieuse.

Toulousain.

CSOUZEL bibliothécaire en chef hono- Au bénéfice du Imulale sePagnol au- de:D1-4011ersî'h1;litiPb37.1-fl'4°f7e'51';:=1'10 '000-la daduEnt'«jourra'010estdedui'dh'eroirrtadrtoudse ternir_rame de l'Onlversité, Madame J. OROU- vont lieu Samedi 3 Octobre en soirée, L'équipe I jouera Son Prennes match litants d'assister à cette réunion. - LeEEL 10100e famille; tes familles VERNE Halle aux Ormim, trots grands mat- du challenge Y. du Manoir et renom> secrétaire.REMoND, KELLER, HALBERG et elles de basket 1 esDUMERIL 055 15 douteur de vous faire A 21 heures i Emancipatrice I mn- Lâ'éciFfipeis o eifi rn. A sia' g p.n G.io de Fran., re- annallalanumumumnaanumun

d'éprouver en la personne de . A 22 heur. : S. C. O. S. I contre 'FOCballux0P.tian'tWs-joride'ralu'andr'TgoaiPeom'md:, 0ANs LE g Ep ART E hl ENTPvt de la perte cruelle oults viennent tre Etoile Rouge du centre 1

Madame Henri DUMERIL EtIlla'imuurg'esE., cbenedens de Cane- dpeptaéler'n d''nneur du "'"" d'ité. Evelitto-Marie Hallberg gmt et d'Espagne contre Selection Tou. Lssu de la fusion du Football. Club

leariurte',"giu:Imad. rr,r,%1 ebe,lisue-umsèpuree' bed,,,ll ,e'd'urru 1°'C2101; d, 4 Octobre au Théâtre de 'rsa'ialn,"leaninon'veauduclur pdos'seel!'nedupeT'''.'inu-- REUDN'IrFOCR°M°APTEIORN'TIVE

Toulouse le 30 septembre 1936, âge de la Nature (en ms de pu. a e an Or.reneare Tous les producteurs de blé adhé-77 ans et vou

à l's prient de bien voie. 0001001

, de valeur. Sa rencontre avec les Main- rents ou non à la e Coopérative Re-assister à, ees obsèques ege.eui lie; A 14 heures Emancipatrice.42111. p100_,, 0, France ne manquera. pas dm- gionsie Lou,,,,is uneaujourd'hui vendredi 2 octobre /936 (Pu'dlles).

tern section à Revel, sont invités à assis-

Cimetière de Terre-Cabade.

2 1,43 hh. 4350 110Es ale.ht 3/,,,con0n t ,S3.3,P. 3,,,I0. En kora16 heures. er a la réunion qui aura heu same-On se

réNifleurs, ni couronnes Prix d'entrée

de Toulousain 11.1 contre Football. Club di à 10 heuresimira à la porte principale du à la Mairie de notre

On ne reçoit pas. On s'inscrit.

et d'Espagne contre Etoile Ronge I, Woriderland Toulousain LI.=Me. : 3 Den.. Il sera 1015 131 F

Entrée générale (assis ou debout) : La vente/ des cartes MM- i armee compte rendu de la réunion générale9 francs 1936-37 continue tous leS Jours de 17 de Villefranche qui aura lieu aujour-

/mures 30 à 19 heures au skie, 11, al- d'hui vendredi 2 octobre à 13 heuresGRANDE JOURNEE DE L'IRIS loua prou-200100. Des renseignements précis seront

Nous r0000100e7dic eimt ditméritibi. ToURNos Du SUD-ODEST donnés aux vendeurs de blé, d'ail-leurs la Coopérative achète ou stockeprochain 4 Motu. MU que PUS orga-

MSe sa feta annuelle. Cette grande ,_ deAl7 T. O. B. C.

ses el:, 't17110 w'ldh

al

t'd

'f; il

Tj é'stv qu ni seront o e s, soir nts foute I antit

r:ide013erlia, député, Eueit Prevot, mcea> u/ 0. Tiiiiiu,e et par ses aerens, so par es ma-

jeur-née sera présidée par notre cama- 337.6ituare I3 ne

r d Toulous.e, Nonnefous et Fon, m3eLEconseillers municipaux. . cela pour 10 0000000 du Tournoi du Sud-

BUREAU.7'3.

Son sueces est donc assuré et nous Ctue:,« verts » qui oM déjà pris de sés"0'1" g" 10 "" "" ê00000" i rieuo entraineanems contre l'US.A.P.la pour nous favoriser.

Dès le mar., une course cycliste (de dmtrel

%Itian, ulludfofat remPorter Fêle de la Victoiredéroulera sur le boulevard eur premiere vntome officielle sur leur

ù Auterivemettra sur selle tom les vaillants eV- 'Imite/ seur 1-0,71. 1...é .... .é-

qm courent déjà assezaprm réconfortés par un excellent Inn- T05100505de

la Marquette (Ponts-Jumeairio et terram-

Mines de l'Iris qui seront aussitôt :deus.... Ce andicap fera laffaire

ritif biens tassé servi par notre ca- fort rlsem3ls ont battu dimanche eV.S. M nta banaise par 41 b 5. Les 15050-

1,,arts sont particulièrement rapides et Organisée par /a sectiOn Auteri-malade Ravière.-

jeunes serou3 Mg6M3e3 la 'tiède du taine Labro, est d'un gabarit foot taire M. Roques maire d'Autenve,horts oh se déroulera reueenuiouu Lus reius, isoésea. du conseiller général.

Des deux heures, des jeux pour les lu u0iesCssOfltl. aupeuee per sen eupp vaine en l'honneur de son secré

forme ses adhérents que l'Assemblée go- ket qui mettra aux prises l'Iris I et , Arrière, 0550001 ; troi0001105550500uaurrsnte 'Programme :

: Lor- A /1 h. 30, ressemble/Tient place

1 eristehoe,g 110Si00le0ge social, 5, Boule- Cette pdimanehe

4 octobre Bonnef oy 3.3t0.,e0.00II0.0.0h,0003

La Sociald s Les Amis Coloniaux » in- ee30de e. megnifique inakh de bas- ,preuo dons le 00,.,,,,,s03

u,,,, ot 1 t0hvolary. Fournial, Fleygnac, vey.m., de la Mairie.

adota : statIoPrrt, Labro, Montalat, A 12 heures, défilé peur Se ren-fiord (00510.ouvrira la nouvelle saison. La Pie. de rige aave , Bourdeillette, lisier,

1 '02se '1'2 hb a. '3q0u, egrandt tPb'atn cidnee tg 'd'ab ensSYNDICAT

shfeEdlle3 1013peri instamment de vouloir marché aux cochons0sohr

s sera dimanche le dem is : Monsat (nt, R MIedon- K monuments.

DES the001''Id:ennjd:drec'éidé'd

belle

everethiri:Po' N' 10'.dbdr 000e: Vd'rni: M.eM./' Co_u1,101.d'envot à 15 heures Arbitre : la salle du Théâtre Municipal

RECEVEURS BURALISTES 1 so

.

1 mire qui agrandi, l'éclat de notre 'If;3 l e,si de 807ree.s,,000300,0 ...I ddAseghaevureees,,easprès le banquetDE FRANCE

L A.eMblée Générale de la Section do501e.,001110 Garnit, 01501re 1,01 ie dimanche un apéritif-concert anti-neurasthen/h Les cartes d'abonnement sont 0011' Vineent AUR/OL, Ministre des

A octobre 4936 4 hm.. du 5000.rt tt que, mr At aura .dis rire, ouvrira m grées tous les soirs au slege, 12 arca- FinancesMme N'ils, â Toutou..

.

Ordre du jour; porte à un magnifique 00050,1 r,ratee- des du CapPole, de 18 à 19 h. 30. 1 ESPARBES, député de la Haute-

el, Munira tous les ...MM , Deux équipes jUnlors étant en forma- Caornne.IsoL,63outuu,.euidious,triamu PMI« (décret de ire honorable et prospère 100 te eP.f1 . lion au T.O.E.C., ks Jeunes gens de /6 LABATUT, ancien dénie&

à 19 ans, désireux de faire partie de VALATS et DUSSOL, adjoints au -Cumeter.udu met. emètmier 1000eter asuliun.rel. gah00a0000 ce se, de ces équipes sont priés de se faire ins- maire de Toulouse

le camarade (king.

,

3ecerueunereireudiide00iee

:ong 1to atenomg coinnaieN.1 dee arise tous les mirs au siège, de 18 ad'Appel.

MESSAUD, à /a Cour19 h..

; fêtes a 21 heures au siège,Rencuvellement Bureau pour 1937; des 001131505,.050i00n01115 03 01 titulaire et du Sont égale

"g"Cero SasEi-èo do 5001.

:colobre au siège 20, Place du Capitole

ment couvrantes 50500mrades Avon et (tass.. - ecer'è 'COURSES DE CHEVAUX

«i-0d0 taire

I DU CENTRE

.0311' LIafin d'assister nombre. a cette réuniori SOCIETE DES COURSES,,

ETOILE TRAVAILLISTE

in...enpassera

tes au point de vue importance. i105100 00 du 000000

do 1.1,001,,

!,,i dé de beaucou toutes tes DE TOULOUSE

,SYSTIGAT DES MAITRES ART/SA.NE Travailliste et les secrétaires 00 .500' LA SAISONCOIFFEURS TOULOUSE ET REGION bons gon, convoquns umir oe soir yen- DES COURSES D'AUTOMNETee. 04 .e0000. 4u Fàndied, des .edi 2 courant à 21 heures au siège, A LA CEPIERE

I devntmaîtres artisans:artisans coiffeurs ent 100pub,/ Le ennui, / Une tOmme de 222.000 francs ré-informés que la muras qu avoirheu va dredi est rapportée eu lundi 5 AVANT. GARDE 1partie sur quatre journées, les 4, Il,

heurs a20 octobre et 11 novembre 1936, as-

cornu!, reugu dusO. l'h specteur Dviire. Semainegeux

um,,,ues .rale art ne, café Rebert, route dla Société des Courses rk heures chez les camarades Prou-Ce soir e, mirera àà 21 .emblée gen,

du Parti socialist earS Suivants

Mme GRAULE, du Comité desFemes socialisteS.

D. ROGER, conseiller général deRiemne

DESCOURS, de /a C. E.FORGUES et LAGARDELLE,

Secrétaire adjoint des JeunessesSOcialistes

A 20 heures, grand bal sur laPromenade 30-Pool brillamment

i111.7e in'réiX. du banquet est 16 francs.Les dernières adhésions seront re-vues jusnu'à ce soir vendredi 20

e Toulouse le suc.' és q u'e lie es( e n d'hum, eu,. tiens eu iu.piuud,dc quarante heuiressionna. , 8na 8' d attendre avec tau prolo gpiei,

Grande ManifestationSocialisteA GRAGNAGUE

Organisée par les sections 050J. S. de Gragnague et de Castel-maurou, le 4 octobre.Programme

Pique-Nique;Meeting ;Défilé des J. S. et des Sociétés degymnastique ;A 19 heu., banquet Seri de bal.Le départ aura lieu mur AlléesJules-Guesde à 9 heuresLe prIX du transport est fixé a8 franc,Les camarades Cpli voudraient

manger au restaurant sont ittfor,/n6p que le prix en est de 12 francs.Retenir les placeS, Bar de l'Ope-ma I, Place du Capitole.

LeS sections Md organiserOnt ledéplacement des camarades sontinstamment priés de se joindre alaRassemblement des Allées Jules-Guesde, avant 9 heures,

GRANDE MANIFESTATIONSOCIALISTE

A SAINT.LOUP-CAMMASOrgannée par la section socialiste de

St-Loup St(Cienies le 4 octobre sous laPrésidence d'honneur de Ensile Embadepute de la 2e mmonscription de Tou-ouse.

A 0 heves, meeting daSis la salleCafé-restaurant Rurnesu à St-Loup a,les orateurs suivants

Richard, conseiller d'arrondissement.Renom, propagandiste infatigable.Descours de Jeunesses SocialistesA /6 heures, grand bal populaire avec

l'orchestre Brunet,A 19 heures, repas amical, au prix de

15 francs.Les inscriptiom pour le banquet Sant

reçues accompagnées de la samme cle IOfrancs chez Rach, trésorier de la seeranMI ale. FMnÇoiti Alniel b OtoOdrolêNeo511e Rumeau, r.tauratear à St-Loup.

Le secrétaire I Edouard Lab..

Villefranche-de.LauragaisREUNION DE LA SECTION. -

Réunion de la section aujourdlltdvendredi 2 octobre, dans la salledu Café Bone]

Tous les membres sont pelés d'y

"reSErklIaLEF, GENERALE DE LACOOPERAT1VE REGIONALE. -L'assemidée générale (te la Coopé-rative Régionale du Lauragais auralieu aujourd'hui vendredi à 13 heu-res; salle de la Mairie.

Ordre du joui- i compte rendu degestion ; constitution' définitive.

REVELMUSIC-GINE. - Cette selnaille, la plus

grands fresque Immaine du Chninae David Com/ortie:d s le décor mou-vant d une vie 00 15 naissance à la jem

esse imagée par un des Mus grands ro-menoiers, et jouée par les plu, grands(tete..

PASSAGE DE CIRQUE. - Dimanche'0111111 à 8 h. 30, grande représenta-tion du rdpute Maque Salon.

Lora de ses treeMlesttep prasesOl, orchape donna mlisfactIon anx satineursdO beau 1110105110.01.elaeaer ,o,,0m3me000s rst0pdeoLaL que 11 100'an-

LUCHONPOUR NOS CAMARADES ESPA-

GNOLS. - Parmi les souscriptionsreçues, nous tenons à signaler colled.es ouvriers du chantier de Jonéon(Luchon) s'élevant à 369 fr. 50. Cettesouscription a été versée par notrecamarade Sabathé, Urésorier de laSection soma ies.' e.

Ajoutons qu'une première listeavait déjà été envoyée par la SectionOn Luchon, dont le montant s'élevait.I 328 fr. 50.

'Merci aux généreux souscripteurs.

THILSECTION S. P. I. 0. ET JEUNES-

SES -Tous les militants de la 151'lion adulte et de la section dm mu-

medi 3 octobre courant, à 20 heures,ne, .sont invités se réunir le sa-

all 51 g .

Ordre du jour I Rassemblementrégional; manifestation et banquetdu 18 octobre à Toulouse ; coliSa-tons 1030 ; questions diverses.

P.-S. - Tous les lecteurs du eSocialiste » sont pri:el,..r...yetenircompte de la présente convomtion.

UNION FEDERALE DE,S ANCIENSCOMBAIMAATS - Les membres de taSection sent lentes à la réunion 5111 1000

an siège, café Mingmlle, le samedi3 ockbre h Si heures.

Ordre du jourOrparisatIon do la fête du somonir

esec cerlege au Monument aux mortslu il kovembre.

GOURDAN-POLIGNAMa JEUNESSES SOC/ALISTES. -Les membres de la section desJeunesses Socialistes, sont Priésd'assister la réunion qui auralieu aujourd'hui vendredi 2 oct.-

, bre, à 21 heureS, au Café Fiche-loup.

°CrdeSdu

10 r ee une0ss ; Ct'i'ttliqS1la rsacIla situation actuelle ; Propagande ;Adhésions nouvell..

13001.éré,shh.eneee Ginadeensable, - Le

; PAS. - Les camarades adultes,vu les questions à l'ordre du jour,sont priés d'assister hectOS réu-nion

VILLEMUR- (Sstenn hp,1936-1937. -- Le Maire de Viumniipsure'Para a rhonn3ur de prévenir ses admi-nistrés que eletdissement des Bains-IMuchts sers vvvoelk partir du ler oo-t b o Jen

Lt nonedi. de 8 heures à 18 heures.Le dimanche, de OnISIIsI 10550515.

1551111111111151511111101511115155551s'IflflhIIIt

,Derniere Minute

LA DEVALUATION DEVANTLE SENAT

L'article 02 ter est adopté Solo letexte la Chambre

L'ensemble est voté à mains levées.Vincent minet lit le décret ne c16-

lupe et la Man. est levée.A la Chambre, la sée.e est reprisa

s 04 h. 15. NI Chautemps, en l'absencede Lem alum, part/ S Genève, III tedécret 50011500e.

g

Le 4 octobre

1

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

sgpentammileMIMIIImerereS4761.FIE ECONOMIQUE

Ce que peut une démocratie

LA REPRISE EN ANGLETERRE

j°01

degrit la semaine dernière le

redressement prodigieux ollérépar les Mats-Unis depuis 1933. Je

parlerai aujourd'hui des langrespig ecmarquables de ré..

nantie anglaise depuis 1992. On verra,

l'aide de ors deux exemples et debealleoup d'autres que je donnerai

eut-être, que les démocraties, ne sont

pPimpuissantes dorent la crise ét.

14elles Mord pas besoin de recourirde, méthodes autoritaires pour la

fuguler.t'est en 1932 que les premiers

emptComes d'arnéltaration sont ap-parus en Angleterre. Sans resale letaenia caractère tragique qu'ontiltalseCnis, la crise y suait profon-drelent ébranlé /es Institutions ère-eunuque et goujates. Le nombre deseitômeues niait Dicte 3 million,.Le budget était on déficit Memcé delb> le Stock d'or de la Banque d'An-gleterre &retendre eomplètetnent,le nomernement axait dû rompre lelira qui suintait la livre sterling àPur.

Je n'ai pas ici la plaste d'analyserla portte anglaise et d'en démon-tre les mises. Qu'il me suffise de

dise que parmi les faits et itéei-sions qui y est le plus contribué,faut placer au premier plan l'aban-don de l'étalon-or en Septernbrû

tom, Petahlissetnent d'un tarittinunnièr t PID

les sten:els d'Ottawa en sont ln%Ir Iran de et-moere mre*Mo en notaanbre

Quelques Chiffres feront compren-dre miellt duc de longues destrip-Ouns l'afin>ne de la reprise réaliséeOeprrlu 1913 Und' ene mi des alhl., établi par l' « From.ol s,qui était tombé de 96,5 en 1920 b 84en 11132, est remonté à 167 en juilletdernier. Celui do l'emploi qui avaittrusté do 9E1 en 1929 à 10 en 1932était a 1119,5 en juillet Elétnent es-Igutiel de In reprise anglaise. Paesthlté du bath.at passe de 60Mils 1 1119,5 au cours des Mêmes pé-riodes: la consommation d'éleetrieitildu 68 à :1,1 (même en période deCrise la consommation d'eh...citéAugmente, mats oral au détrimentde celle de charbon) puis à 109,91 lacansissmation de charbon de 109 àIl puis I 193 ; ka comeimnation decoton de 11 à 12 (en Mb) puis 1 III;

iMportali.s de matières pre-mières de 18,5 à 82,5 (en 1931) pais

1111M111111111111111111liimuffilinn.fina

La Oaquette commémorative

de Jean Jaurèstagag.ie sace..,5..teume e sh, 19.

saut dernter, noue annonelons quemoire Administrstear, pensant êtreagresble à quelques !cétane u,, âquelques groupements qui désme.

posséolor lIt l,lnrtorell,.moraliste, sortie des Ateliers desMonnaies et Médailles â Paris, sepré...il d'en obtenir quelquespure/notre,

C'est maintenant chose hile et

Rous pouvons livrer dans nos bu-reaux ou par la poste, celle Cenaresr/le/tele présentée dans sa belerin.

Sou prit est 25 francs (der> otns-polo), prit dans nos bureaux.

Nons ponctua l's taler 00e posteam an paquet recommandé avec unSupplément de 1 fr. 51 Pout fmlistsoit 26 fr. M.

Rappelons et Cette Médaille/Nippée en plermette bruitage de 59Millimètrra est dûe au talent du?faveur Georges <>ouest et présen-te h la free tin magnithone Pertrailde Jean failePs dont le profil se dé-tache avec une netteté meure..

An revers, Pinwripption suivanteI 4c de l'oeuvre de Jean laurés« Men l'honneur des individus de

-smiller à nos mure. les M-i., et dent lia no normal pûtI. in dg...semant a,l'a travel qui est Fane grande

clé dent sa simplicité misère me-

us rs dmlarjelt's i rl;egl'dge_d srie, du grand tribun.

Quand il était sort, de la cham-bre défiguré pas le &esti.), bultle-versé, tenant I assit sur ses tant-e, il était

éviden"qu'il n'avait

ce malencontreux garde-chasse.Celai-ci, d'ailleurs, avait tant d'en-

nemis qui avaient plus do raisons de1111 en vouloir que Raymond. Ail !

pourquoi M fatalité avait-elle voulucette coïncidence ?

te nom de son mari tralné dey.tles tribunaux, c'était, peur ses .Pa-r. ois, si .iicieux de leur réputatton,un coup ks atteindrait eFfroy.si-

' t IlIn ou.viras. Déshonoré ou nom coupable

innocent, ils souffriraient tou-

eau

Claude RONTORCE

1522, etes de pourrais continuerpresque indéfiniment Les mois quenous tenons de >messes, loin d'êtremarques per lu dImmution d aetwiteque Olis a coutume d'enregistrer dpareille époque de l'année, ont vunu contraire la reprise s'accentuer.

Dans son sillage, l'Angleterre a en-trottinas grand nombre de pays dontles monnaies dépendent de la sienne.dont l'économie est liée plas aumoins étroitement à l'économie bri-tannique l le Canada, l'Australie,l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zé-lande, PArgentihe, la Suède, la Nue-s eue, le Danemark, pour ne mention-ser que les plus importants.

On rentarquera que la reprise an-glaise de intime que la reprise amé-ricaine, s'est pas Mie aux indelpirede guerre Sans doute le ensure-ment de Londres a-t-il étatiii un plande réarmement dont 11 Pan.ititréalisation arec fiCon. Mals ce Pionse date que de quelques nuit et minn saurai( en mienne façon lui at-tribuer le mérite du remlenent éco-nomique du psy2, t'Ani-cl nu rot,-traire est parfaitement sain et équi-libré et marque per un accroissementsensible et contins des liments detoutes les catégories de ln PitiudelmiLes salaires notamment se tant ne:crus d'une façon Assez rapide depuiSle début de l'année,

lin.Ingleterre, es plus qu'en Amé-nique, il tate Men le dire, le capi-talisme n'a réussi à surmonter c.s-piétement te crise. Le nombre desthddieUrS y est voisin de 1.500100.Des industries cornai,, les ronntr,te-tirros nutulrset le tekille sont àpeine eisnaleseenies.k0 Ecoese, dansle sud da Pats de taiies, dont 10soiol de l'Angleterre, la proportiond'ouvriers sens couplai eS, eseore trèsélevé.

Mats Il ne s'agit pas de vamper'.Péteretnie ana/aise tartan Pensant>idéale, ni la reprise qui s'y est mani-festée I Celle qu'aurait pu protiste°un plan rationnel de lutte coutre taeldae. 0v Vo Je vent marquer an-jourdhui, torante la semais,, nier-ail-ne quand je parlais d. Mats-Unis. t'est que les rém/tals ...fo-rniques les plus brillants ont été en-registres depuis quatre m. dans lespays rmtés û tin idéal de li-berté Politique.

Marc JOUBERT

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Ukiniauacli du "Mid

FEUILLETON DU MIDI ' (44) de battre en brèche, une à une, mu-, tes les présoMptions de culpabilité.Et elle ? QQue feralt-elle pendant

11

4ce temps-la

Quelle serait son attitude ?Quand bien manie /es ap.ences

s'acharneraient ii 1111 démontrer qu'ILétait coupable, elle ne lui en vou-drait pas.

Le garde Cliambolin était un pro-vocateur habile b susciter les que-relles ; Il Mait trouvé ce qu'il avaitcherché.

Non, elle s'aurait pas de rancunecontre son Mare, mérite s'il étaa ac-cuse d'un malheur de cette sorte.

Il n'y a qu'une chose qu'elle ne1111 ,91 jamais pardonnée t le Par-luge. 1 Infsilthie, /a fausseté du coeur,

r, n e o s 'Pont le reste n'était rie 00 ses yeux.oie si tous cis événements s'étai nt en c fallait, el/e obtiendrait dedénudes ou a laient s'accomplir ses parents, qu'ils consacrassent tus-

Lite ne dormit pas dans la nuit te leur fortune pour obtenir Prequit-qui suivit la lecture de ce que les tement du prévenu.

k MANOIR DE L'OURS

jours de ce e leur gendre eût aitparler de lai

LE DISCOURS DE LEON BLUMSUR LA REFORME MONÉTAIRE

iOta Ivekil

Nous dOnnons efsdessouX le texte complet magnitui, dlaman te que Ldon Blum a Prenoncé d luChambre. C'est un dreMnicnt que nos camarades liront avec intérêt car ils en tireront profit et c'esten même temps Un an. de sessce ci otnylaAt sur mufle des maris/ gouine et des amis de Casbnir,

dissements l'exhume gauche et à

gauche.)Blon um, président du Crinseit-'C'est sur l'amendement dépose parM. Cantpineht et quelques-uns de sescMligues, en vertu d'un droit quileur appartenait aussi bien qu'a tousles auteurs dot amendements dictesdepuis le commencement de ce dé-bat, que je voudrais vattatherquelques observations que rutstendon de présenter à la Chambre.le n'ai pas Voulu la fatiguer ni abmter de no patience en montant plu-sieurs full là tribune, en sorte queces enserrait.. dépasseront peul.St. quelque peu le ehamp de l'amen)binent Carnpinchi et des articlesauxquels cet amendement se substis

Fous perrnettret d'abord de ré-pondre à mmiques remarques fuitesau tours de la dernière période dece débat, une en particulier quim'a hemcoup frappé, et qui émanaitIn l'honorable M. Sehuman,

Dent le reearenble discOarn qu'ilO prononcé, M. Schuman vont a dite Vous discutez, mois en niable vonsvous trot.. devant le fait accons-pli.

If. le présidentd La parole

9

M le président u Con,611.quiind hons

<Appien- installés au gouvernemeV'". len'

teJe n'ai pas a revenu- sur la n'Itique de la déflation. Il ne segt(;

attaquer, ni de la justifier. 1100411tiuut fi m

ement de se souvenir qintau tea.de nain des élections du ai donsn pays dont le régime est >litntu -blique et où par conséquent la ',iu

taille du anfirage universel tait loi;il n'était au tiouvoir de personne derevenir, sous une forme quelconqueà la politique de déflation. Bonne

olmauvaise, elle était condamnée parl

In suffrage universel et elle étaitdevenue impossible.

Los conseilsau « dauphin couronné »Messieurs, pulgje vous dire, pen-

dant ceHe période, assez étrangeCertain égards, qui s'eSt (roulé,,avant que nous nous Installions aupouvoir, pendant ce mois oit suivantTexpresreml reirtnante do mon ami,111 Paul Reynaud, j'étais 01m dan-phin couronné s c'est un tared'auberge de l'ancienne France(sourires) puis-je vous dire tqu-Ira les pressions tpll Md pu geXer.eer entour du dauphin, ministre desFinances, et autour de moi-même,pour que, dés notre rudoieseitentactavec le Parlement, nous lin présen-lions un projet da loi de &va.!nation ?

Fout il vous dire quels conseilsnous sont venus de 51,1105 Parts?

((initie moment. vous vous ensouvenez, où d'étranges conversions

?tillent Publias., où la

'gràee

t brusquement to mité des Imre-num': politiques, 'des théoriciens fa-meux, de grmds journaux,

On nous disait« Quelle &mn. vous avea I Vous

allez pouvoir dévaluer tout de suite.Toutes vol difficultés Vont se trou-ver ..lues au, un clin d'oeil. Pourvoua, plus de questions de budget.plus de questions de tresarerle. -Vos

plans de réformes secialre, vos el-eammes de grands travaux pour ré-sorber le chômage, vOnt Pire aussitôtalimentés par une CaiSse abondante,par le refis. des capitaux. a

Si je pouvais dire â la Chambre dequeles bouches noue sont venus 80emoment de semblables amis de sem-blables consaila, prenant pada. laferme d'une pre.ion amicale-

On Filoutait et M. Vincent-Meir)]die Se sauves> du Ces propos quiprennent aujourd'hoi pour 111 00 pourmoi une serein' articulière )

e Fait. donep degatuation toutde suite I Si vous la faites tout deSuite, vous paumez ta présenter aupsys comme ta cOnséquence directe.Immédiate, inéluctable de la situationqm tous , Tuut lu motelscomprendra qu'elle est la entoilas:osdé l'inventaire rine vous aller dres.eer. 14 pays cannait la situation tlotvo. tfiresses..11 6F,1 imelle meurentd'or est sortie is dix-huit tels11. sait doits ces eu 25-millirda,d'or sortis de l'enenisse n'ont pascorrespondu des rentrées de billetsen nombre équivalent, nuis,. 10 tir.culailatt est restée étale, en sorte 2,11tont

s'est passé depuis un as et demireViron remue si l'on avait vêtssur l'encaisse, thsterruptionsdroite).

Le pays sait gse la Lapaéltéd'emprunt à court terme est épluSétan point que, polir dia dereieremilliards de bons de Trésor, il afallu recourir aux procédés d'avalet de reescostitate gni sont enjeu,111001cannas de tout le monde. Ilsait quel al le ilétiCit du budget,quel est l'embarras de la trésor,.rie. Il LOMpcentira qua la dévalua-tion eut ta conséquence directe, iné-iitable, d'une telle situation.

è contraire, Si sons hésiter, sivous essayer, de Cmniseclier ou de In

Le fait accompliC'eSt vrai dans une très large Inc.

sure. Il en est ainsi, et il en est à peuprès fatalement ainsi, chaque Mequ'il s'aga d'opérations de la naturede celle que nous soumettons en cemoment aux Chambres françaises.

Il est impoSSible tant Gouverne-ment 4001 qu'il ealt de ne pas gérderlé Secret 10 plas profond jusqu'aunoment où sa décitton peut être ren-dus) publiciste. A partir du moment6tis elle Ce clanntle, lise trouve qu'elleest Ma eXéelltee par la pubticitémeine queute a reçue.

1.1 qu'un Gouvernement a parléd'alignement monétaire, tel aligne-ment cg fait, I peu près irrévo..blettie. lait Il en est fatalementainsi, et «m'un Gouvernement, si regpaillent auto-il des prérogatives etde la souveraineté parlementaires,n'aurait pu agir autrtment 40e nousl'avons fret nous-mites.

Il sentit très facile aujourd'hui àla Chambre souveraine de nous ren-verser, par exemple si el nle e trou-vait nui nos eplications suffisant.;il Mi serait très diftleile, presque im-possible, de revenir 011e et qui ététait

I/ ne peut pas en ett. antremont, jele répété apr. M. Schntaan. Et aines,par la force des nboses, mu MM nousavons pu, Mon and Firme. Aurielet moi-nit:me, dire anjoutel'hui de.sant /allia/1*re a eu nécessairementle caractère d'explication, et de jus-Miroitions

Lu cleiflation condamnéepar lu corps électoral

M. uinelul vous « et M. Mendès-Espace s remisée dans.. discours...

A droite, lia discours an peu long!Léon Blum. En tout cas na dies

reiles qui nierai. qu'on retendreKt te suis eenvemou que tous ceuxqui ont bien voulu l'écouter, surquelque banc que ce soit, lui en ontintimement rendu le témoignage.(Applaudissements d gauche.)

M, Mendès -France nt tait remue-quer romrne mon and M. Vincent Au-riol I la Chambre ne dot pas aujougd'hui, si 0110 veut jafier uvée équité,ce qui .1 beaucoup demander, jelé sem- (Protestations droite.)

C'est Meure Immmodp nemmderà des humai. politiques. (Mon! lientii dmile.)

Si l M'équité vous est facile, es-sieurs, tant mieux Je ne serai quophis satisfait d'y faire appel.

Eh bien, messieurs, puisque menaêtes disposés à nous piger avec equoté, je vous demande, après mon ami

Vincent Auriol et après M. Men-dès-France, do vous rappel. devant

immune reprodnEaleut mmis. us Elle prit la résolution de se Prê-tait divers. sentes â hi barre, d'avouer publique-

Elle essaya ile deviner ee qui allait ment les tores qu'elle avait eus, d'ex-se passer. Elle vol Raymond, b muse plismer en quel affidement était sond'elle .marehunt entre deux gendre- mari dans cette nuit tragique.nies, les menottes au poing. tille le Elle montrerait la lettre imitai-mL dans la salle houleuse de la cour sante qui avait étê la cause de tout.d'assises, au banc des accusés. Dee- utile dénia deuil:dorer tous lesI nt une d'an avocat loi- moyens pour sauver son maH, qu'elleforcerait de réfuter toutes les pren- avait méconnu, Po. le sauver coûtevos qui se dressaient contre lui et que coule.

re ar e ,

passé, parce gmi 10111 s'oublie' vite,

Mais quel calvaire, il loi restaits

Comme il lui serait pénible d'êta-er ta public dm détails sur celte

nuit de noees où ils n'avaient paseulement échangé un baiser I Quelle

honte elle attrait de livrer, à la eu-riosité de tous, des révélations surmir premier tete-à-tête qui, au lieud'être une occasion d'ivresses ex-quises, de joies tendres, de sermentsgjj, l'os n'oublie plus, avait donnélieu une scène à laquelle il ne luiserait jamais possible de songer sansrougir et sans la déplorer.

Elle se tOurnlenialt arec cettequestian comme av. un cMcee Pouriplei rti-je fait cela ? PoUrtlIMi£11,e naufragé ar101-rnente, mon bonheir, comme plaisir 9 N'est-il painsensé d'avoir agi comme je P

fait ? Comment M-je pu désespérede. tout, prendre en horreur la lunuère du jour, le charme des nueabdiquer toutes les joies, fouler anpieds, Mutes boteresérances, me laissep halluciner par une idée fixe eentrainer passivertlent par de noirmaléfices ?

Comment pi, me fier I depparenees, me Mettra il

côté de Pare...te. renne celui qise félicitait d'avoit choisi Petsd'horticulteur, puisqu'il mipermolcet de mettre tant de fleurs dan

la conséquence de vos propres fou.tes, le signe de votre migre

cabreaido votre propre 111111e, nOn nous avait dit tout cela à cette

M. Dern.d Wiedemann-GoiranVous aviez promis la stabilisation

du franc !Léon Blum. On nous l'avait

t de tous Ies côtés et sur lotis los

tons.Et cependant nous ta raVana paS

fait. Au Contraire, des conseils quenous recevions, nous avons entrepris, avec une entière sincérité,avec le pl. ardent désir de reussm,la tent..e qui, dans notre convic-tion, pouvait relpêcher cette dent,.lustion qu'on nous présentait com-On illévitable.

Nous avons esSayej Comme je l'aldit deux OU 10011 fosS dans nos dé-buta, mil s ois, d'ente.

ri°'d' dutrelns itleol'

myens, les résul-

lots, assurément bienfatantsdans d'autres pays; avalent été tw-quis pat les ripérabons monétaires.

Nous avoip ilessayé obtenu', peté

ntlililallnittirnerelEetoluns tescentres de la vie économique dupars.

Nous twass aussiessayé d'obte-nir, par un sup. a la thésaurisa-tion intérieure, le reflux dans la

circulation d'un apport de capi-taux, Msque-la inuttlisés. Car 000116 que résidait, imbu nous, la pinsgrande différence entre la Franceet d'autres pays .qui avaient dévaluéosant elle. Il remuai In France, eneffet, a la différence des autres pays,nue /waren de capital. thesautisésd .ont le ref/ na. la circulationéconomique pouvait Créer, Matériel-le/n(1d et pe-cliolegiillseilsent, lei sen-ratios de -the néresreire pour ledémarrage.

Nous avons essayé cela. Est-ce quenous avale &tete

Quand bien même nous .aurionséchoue, notre dere> muni-d etede nous obstiMr dans notre erreur ?

Je sais cereindu elesittailt 9

été natutel, pat exemple, au débutde là dernière législature, de en-gages dans la déflation, autant ce futuat erreur de S'y obstiner contreeimeignements que 11,0 toMmençait

recevoir de l'expérience.Quand bien même donc Pons nous

serions' trompes, il y a. trois lei.,n'aurionS eus pas le droit de venirdire a la Chambre et au pays ) atereexpérience faite, nous °dilua. quenous nous sommes Minuties ; nouspensons que c'est dans Mie etrevoie qu'il fast rechercher ce qui est...te à toua, doua testre isenSée et dans notre itése, s'est-i, dire le relèvement économiqepaVA

FAITES LIRI

Le discoursdeLuna-Park!

scan s prononceché demi. â Lu.-Eark par no

...rade..rade 0,001 Mani vientd'are Mità.

Tous les militons du Parti sel) devoir da répandre partout

cette ...Pare Muet-rée 1.60,es,Imuarrement présenté, et

Mn est en rente dès aulourdlustL'exemplatris o ft Sa.réeras:ses de Province. Pas

ser les commandos à la LinsetriePo ulaim 6 m Vkt

el on utendrn vous dire : Non, Ai résrerattons de Seine et sente.dévaluation h'est pas la easséqueneede la situation qui, ver ir,vI tr

Pou;

vée, gni soit. elemplatre.s 7, me Maser.la preelente egireatu erespic e si Mt Inn s 0000 re

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. reueved:::RE'«eil:rICO1 ,...,,,.. ,.. ._. (r,,erie.C.)"Je messisses* compte qu"Aspro'donne bien les resuttats promtsrave. un mal de tgre, roi prit 1comprimés d'igspro' et le mal detête a disparu au bout de S à IOminutes. je let al pris d midi et f ai pu continuer mem travailjond adsoir. Sans 'Aspre j'aurais été obligée de me coucher avent le soie",

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O Ma vie qu'il y en muait partant, set. cotragement, l/ gauttmit subir'mes yeux e Mea pus ? D dee émobons, des soubresauts, des

Nicole se rappelait avec ttne émet- tourments et des hontes dont elle setien extraordinaire les lettres p01. sentait accablé d'avance,nes d'une pure adoration que /ui Elle était prête à tout

accepterunailéeretê. DaYtmand, quand lb pourvu que son Raymond fût /m-

imaient été séparés. Elle se rappe- trouvé.ait tontes les paroles confiantes, Ah I gel lui revienne, qu'il lutendres, enjonées, les aveux émou- permette de racheter tous ses torts50015 Ingénus et émits dont il Pareil de bolbercee et ravie dans leurs inoublia-bles entretiens.

Le bonheur avait Olé à portée desa main et, au lieu de le saisir avi-dement, elle l'avait froissé, sactage,rejeté, comine 010 pauvre déntent fe-raitd un bouquet de fleurs armee-ses dont il ne pourrait apprécier nt échapper la meute ries policiers

- ni le rare parfum. qui le traquaient... Mals alors, elleEt maintenant mie la raison el ne vcerait

sit était revenue, qu'elle n'était plus Sas SIMPtice était insupportable.agitée et &garée P. relie ....ne Elle ne serait plus ce qu'il fallaitja

ekemie

qui l'avait empoignée, Ma souhaiter ni désirer.

de se faire son esclave, sa servantece qu'il voudrait.

Dans sa conscience, les remordsd'agitaient, la tourmentaient.

Elle se sentait si coupable enverslui qu'Il lui arrivait de se demanders'il n r 't '

""'' c°-1 2eCrCru,,,'m'ale d:fa

,

t gecilee etallict rede- téellypar le jcifernalt venue une personne calme, jouissant L'assassin preSilmé du garde-. de son bon sens, maintenant qu'elle chasse, P... s'est rendu hier soir

avait retrouvé ses illusions,que son spon anement a la jus,Ice. Sans don.e âme s'était apaisée, que ses soucis et te, comme nous l'avions laissé en-a ses souffrances morales s'étaient éva- tendre nos lecteurs, se voyant sni-o nouis, maintenant qu'il lui serait si vf, pressé, harcelé par les plus finst doux de se sentir revivre, après des limiers des agents de la Sûreté, aq-- Jours et des nuits de mortelle an- il préféré ne pas continuer pluss goisse, d'amestume, de fièvre, de dé- longtemps son jeu et se pas se lais-

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ClIANGEMENTD'ADRESSE Tonte demande doe changement d'adres,

Se doit être accompagnée al1,fmne en timbres.prete et)

4e. de la dernière bande aJournal.

LE LAIT E 1 'EPARGI1E cENAcciAiE,EFEEss

EST HP114GRkNSAIN

ser acculer à la née 'té d 'ger dans la souricière qu'il devinaittendue autour de lui. Son geste n'aprécédé que de quelques heures laici:u p,,turpuoodessi,,,redontable bandit, quol'on savait imminente, dans les mie

il a Le renne ,stroCe qui seenvelopepoil,d'un 'mystère impénétrable, et. .

t se corser de mur en, jour, avait jeté l'indignation dans la!contrée. Pour le criminel, il est heu-reux quo son arrestation n'ait Pas enlieu en public. D eut moqué d'êtrelynché par, la fille de la victime, parle baron de Roqucroide et par sesponli

'ree n.-Nie e fut pas plus avant lescommentaires qui accompagnaient

Icette nouvelle sensationnelle, la vues'obscurcit, son cur s'arrêta de bat-tre et, â bout de forces, elle tombaà la renverse, en >ne boue syn-rope soi jeta tonte lamaison dans ladésarroi et l'affolement

tel satyre).tut bal apbse.

YI CE JOURNAL VOUS PLAIT

ABONNI' Z-VOUSC'EST LE SEUL MOYEN

CE LUI PROUVERVOTRE SATISFACTION

îI-

D CI

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

SUITE DE LA DEUXIEME PAGEQuand même on viendrait nous

dire que nous nous sommes trompésil y a trois mois, est-ce mie la acla-ration que nous en ferions aujour-d'hui et le fait que nous viendrionsproclamer devant le Parlement et de-vant le pays notre conviction qu'Ilfaut essayer de rechercher le mêmerésulte par des moyens nouveauxdevrait nous diminuer à nos yeux etaux yeux de l'opinion ?

A droite. Mais cul!Non, ce n'est pas vrai !

Léon Blum. Je ne le pense pas.(Applaudissements à l'extréme gau-che et gauche.) .

Mais, croyez-moi, je ne plaide pascoupable (Nouveaux applaudisse-ments sur les mêmes bancs.). Je nefais là qu'une hypothèse que j'ai ledroit de faire, en vous rappelant quedans le pays où Von peut cons-

tater, à l'heure présente, la plusheureuse réussite, le plus pro-fond, le plus éclatant change-ment, au point de vue émus-mique, aux Etats-Unis d'Amérique,ce qui a pu donner un caractèreexceptionnel à l'expérience Roose-

velt, c'est précisément le couragequ'à eu le président Roosevelt d'es-sayer une méthode après une autre,de ne pas s'obstiner et s'acharnercontre l'expérience, d'essayer autrechose jusqu'à ce qu'enfin il ait trou-vé le moyen qui a réussi.

Mais quand bien même, je le ré-pète, notre cas serait le sien, je n'enrougirais nullement.

Ce n'est d'ailleurs pas vrai, selonmoi. Je ne suis pas disposé à plaidercoupable, à reconnaitre que nousavons eu tort il y a trois mois.

Je suis encore moins disposé à re-omettre qu'il y ait contradictionentre ce que nous avons faU il y atrois mois et ce que nous faisons au-jourd'hui. (Applaudissements àtrime gauche et à gauche. Mou.vements divers d droite.)

Messieurs, je parlerai brièvement,car je ne veux pas fatiguer la Cham'

M. le président. Vous avez ledroit de parler comme il vous niait.

Léon Blum. Mais, dans un dé-but comme celui-ci, elle rie jugerapas qu'il y ait indiscrétion de mapart ù retenir durant quelques mi-nutes son attention.

M. le président. On vous le de-mande, au contraire.

Notre expérienceLéon Blum. Je sais que ce qu'in

a appelé notre expérience n'a peut-être pas été engagé sur le pian leplus logique.

Si nous avions été complètementmaitres des circonstances, peut-êtreles mêmes mesures seraient-elles ve-nues dans un autre ordre, peut-êtreauraient-elles été engagées sur unautre rythme.

Mais je demande ici encore à laChambre un effort de mémoire.

Erad possible, au début de cettelégiature, au début de notre Gou-vernement, de ne pas débuter par lesmesures que nous avons prises ?Non. Vous /e savez bien et vousrayez vous-même reconu par votrevote à peu près unanime. (IMerrup-lions à drotte.)

Mais oui I Pourquoi en roueissez-vous ? (Applaudissements à !extrê-me gauche et à gattehe.)

Sur les plus importantes des loissociales que nous avons votées audébut de la législature, l'unanimitéde la Chambre s'est manifestée.(Nouveaux applaudissements sur lesmêmes bancs.)

AL Fernand Wiedernann-Goiran.C'est inexact.

M. François Foureault de Pavant.Le contrat collectif et /es congés

payés étaient dans notre programme.C'est pourquoi nous les avons votés.Mais nous n'avons pas voté la se-maine de quarante heures.

Les premiers signesdu relèvement économique

Léon Blum. Il est clair, je rrépète, que si nous avions pu dispo-ser les choses exactement selon larigueur logique en suivant notre vo-lonté, peut-être les mêmes mesuresse seraient-elles présentées dans unautre ordre ou sur un autre rythme.

Cependant, il est certain qu'aumoment où la Chambre s'est sépa-rée, à la fin d'août, au commence-ment de septembre, les signes d'unereprise économique commençaientà se dessiner. (Mouvements divers àdroite.)

5/essieurs, nous en avons publieles preuves, je pourrais !es apporterici. Pour ne prendre qu'un autreexemple, informervvous vous-mêmes,du mouvement des recettes dans lesgrands magasins.

A droite. Après la grève.Léon Blum. Pas du tout après

la grève I à la fin d'août, au com-mencement de septembre.

M. Joseph Danois. J'ai étudié etcritiqué ces chiffres. Ils ne prou-vent rien.

Léon Blum. Il n'est pas dou-teux que la mise en application dela toi sur les congés payés avaitdonné â toute la vie locale et pro-vinciale francaise comme un fris-son joyeux d'activité. (Applaudisse.mente d l'extrême gauche et à gau-che.)

Pourquoi cela da-bil pas suffi ?Pourquoi n'avons-nous pas pu atten-dre en pleine sécurité l'effet que nousattendions d'autres mesures, commela mise en vigueur de l'Office dublé, avec les payements immédiatsitou comporte pour /es cultivateurs,comme /es grands travaux, dont lamise en train commence comme ladétente fiscale, vous sera propo-sée par M. le ministre des financesdans le prochain budget.

A droite. Quand?Léon Blum. A l'époque où l'on

dépose les budgets, vers la fin dumois prochain.

Les lourdes préoccupationset anxiétés d'ordre extérieur

Pourquoi n'avons-nous pas pu at-tendre ce cours des choses ? Je vaisvous dire quelles en sont, selon moi,les raisons.

D'abord, c'est par. MM nous nenommes par arrivés, dans les pre-

[e discours de Léon ilium sur la morne monétairemies mois do cette existence mi- nés de les convoquer, c'était Parcenistérielle, à exercer sur la thés.-risation une ponction suffisante.

Je dis là, en d'autres termes, cequ'a déjà dit à la tribune mon amiM. Jacques Duc/os.

C'est aussi parce que, sur le pays,de très lourdes préoccupations et detrès lourdes anxiétés d'ordre exté-rieur ont pesé.

M. Eugène Pébellier. D'ordreintérieur.

Léon Blum. D'ordre extérieur.Je dis bien ce que je veux dire.

Ce fut, par exemple, le caractèrede gravité internationale qu'omtrevêtir à certains moment les évè-nements d'Espagne. Ce fut le réta-blissement du service de deux ansen Allemagne et /a nécessité où nousnous sommes trouvés nous-mémes,plutôt que de proposer au Parle-ment une prolongation de la duréedu service militaire, de dresserséance tenante et de rendre publicun très vaste et très coûteux pro-gramme d'armements portant à /afois sur l'armée, sur la marine etInc l'air, et comportant, jusqu'à lafin de cette légieature, une dépensesupplémentaire de l'ordre de vingtmilliards.

La situation intérieureCe fut, je veux Le dire aussi, parce

qu'a partir du début du mois deseptembre la situation intérieure dupays a présenté également des ca-ractères d'effervescence et d'agit.lion, parce pue la vie intérieure, lavie économique du pays, n'a pasrepris un caractère de normalité,parce que, de nouveau, des conflitsse sont produits entre employeurset employés, parce que, de nouveauaussi, des rumeurs grossies, exp/obtées souvent par les adversaires denotre pays et par des propagandes,qui ne sont pas des propagandesamies, ont fait passer sur le paysdes espèces de grand'peurs, commecelles du moyeu âge. (Mouvementsdivers à droite.)

Mais oui ! Parce qu'oh a annonce,qu'on a fait redouter de grandesopérations révolutionnaires à datefixe, pour le 1« septembre, pour le15 septembre, pour /e Ili octobre.

Pour toutes ces raisons, en effet,les résultats de l'entreprise guenonsavions commencée et dont /es pre-miers fruits commençaient déjà àmûrir ne se sont pas pro/ongés,Alors, la pression sur le franc a re.pris.

M. Vincent Radie. Peut-êtreaussi parce que le Gouvernementn'a pas su maintenir l'ordre. (Excla-mations à l'extrême gauche et dgau-che.)

Léon Blum. La pression sortefranc a repris. La tendance s'estrenversée sur /es différents marchésinternationaux. Les sorties d'or ontrecommence et ont pris un carac-tère sérieux.

51essieurs, je ne veux pas entrer,ici, dans des aneyses d'ordre tech-nique pour lesquelles, d'ailleurs, jene me sentirais pas de vocation par-ticulière, mais le système monétaireLe pee ropays et des autres pays a ceci

fo nament contradictoire et, âpremiêre vue, de presque inintelli-gible que, dans un pays attaché àPou les intérêts de la parité et lesintérêts de t'encaisse métallique sontcontradictoires, que l'on ne peutpas, lorsque la monnaie est mena-eée, défendre sa parité sans expo-ser l'encaisse, et que, lorsque l'en-caisse est menacée, on ne peut pasla défendre et la préserver sens me-nacer et même, à un moment donné,sans abandonner la parité.

/I en est ainsi. C'est un fait qu'ilest impossible de contester ou decontredire.

Une situation monétaireparadoxale

Nous vivons aussi dans une situa-tion monétaire si paradoxarn h biendes égards que l'encaisse des paysâ étalon-or, conservant le systemde la convertibilitê-or, est livrée à lafluctuation des monnaies libres.

Nous nous en souvenons tous,parce que nous avons vu cela sousnos yeux, entre le26 et 1929, c'est-à-dire à l'époque où la livre elle dol-lar étaient des monnaies appré,ciéeset le franc une monnaie dépreciée.

Nous avons vu comment, à cettecil oque, et pue

eLdeeri ginmatealtété drainé dans une si lare mesura'au profit de la Banque de France.

Il s'est produit, lorsque le franc aété attaqué et il l'a ête à bien desreprises depuis deux ans il s'estproduit le phénomène inverse, c'est-à-dire que l'encaisse du pas attaché

l'or et où le principe de la conver-tibilitê demeurait intact, se vidaitau profit du fonds d'égalisation oudes banques de réserve fédérales despays où la monnaie était fluc-tuante et libre.

C'est encore ce qui s'est passé ré-cemment. L'encaisse a baissé, et abaissé dans des proportions quicommençaient à devenir préoceu-pmtes, je le répête, et le momentest venu pour le Gouvernement dechoisir entre l'intérêt de l'encaisseet l'intérêt de Is parité, c'est-à-direle moment où il a été obligé de sedemander : vais-je, pour assurer etpour maintenir le principe ans.donc de la convertibilité, laisserdiminuer encore davantage l'en-caisse, ou bien en suis-je arrivé aupoint où, pour empêcher l'encaissede diminuer encore davantage, jevais être obligé de porter une at-teinte au principe de la convertibi-lité ?

C'est cette question uni s'est Po-sée devant le Gouvernement et necherchez pas ailleurs l'explicationde la résolution qu'il a prise.

L'état de la trésorerieJe veux une fois de plus, après

mon arai M. Auriol, qui pourtant l'afait ce matin en termes si nets, reje-ter en particulier une explication quivraiment, je vous assure, est un peuoffensante Pialr 0001, e qu'il n'yintérêt pour personne h laissers'accréditer.

On a er. je pense que beaucoupde gens ont cru sérieusement parceque le hasard des choses a fait quenous avons convoqué les Chambresdans les derniers. jours du mois deseptembre, que Si /10118 Aii01:19 Si pros'

que nom nous sentions terriblementà court pour l'échéance, parce quenous avions besoin des produits deIn réévaluation de renaisse de la Ban-que pour faire notre fin de mois, quenous agissions ainsi, avec cette hâtedésespérée d'un débiteur traqué, etqui est serré à la gorge.

/1 n'en est absolument rien.Les deux Chambres ont voté des

textes en vertu desque/s un créditde 10 milliards est ouvert au Trésorpar la Banque de France. Cetteavance est à peine entamée. Celarésulte du bilan de /a Banque, quevous pouvez consulter.

H n'y a pas, à Meure qu'i/ est, sen-siblement plus d'un milliard et demide consommé sur cette avance.

Par conséquent, le Trésor a, b laBanque de Fjance, un compte cou-rant de l'ordre de 8 milliards et demi.

Mais ce/a n'a pas de rapport avecla question monétaire telle que jeviens de la poser. Le fait que nousavons un compte ouvert à la Banqueet que nous puissions faire avec laplus grande aisance notre échéancede fin de mois, n'empêchait pas l'en-caisse métallique de baisser, et debaiser, je le répète, à un degré oùi/ devenait difficile, sans un trèsgrave danger pour le pays, sans luifaire courir un très grand risque,dans des circonstances que je neveux pas préciser davantage, maisque tout le monde comprend, de lais-ser cette baisse de l'encaisse s'accé-lérer.

Voilà exactement la situation de-vant laquelle nous nous sommes trou-vés. Or, à ce même montent, arrivaità une maturité une conversation que,depuis trois mois déjà, nous avionsengagée avec /e gouvernement desEtats-Unis et avec le gouvernementbritannique.

Les conversationsavec Londres et New-YorkAu centre. Il fallait le dire.Léon Blum. Qu'est-ce que cela

a d'étrange et de singulier ?On nous a dit l a Vraiment, vous

aviez commencé cette conversationdès le 6 juin ? Quelle hypocrisie !Quelle contradiction avec vous-remes I...

A droite. Evidemment.Léon Blum. Messieurs, je vous

en prie. Je sens avm quel intérêtvous m'écoutez, mais ne donnez pasà .t intérêt de manifestations exté-rieures. (Sourires.)

On nous a dit a Quelle contra-diction entre vos actes et vos paro-les ou entre certains et vos autresactes I a

Messieurs, en toute conscience,n'étaitace pas le devoir d'un Gouver-nement, même Missi ierMelliCili etaussi sincèrement résolu que nousl'étions à tout tenter pour empêchertoute opération monétaire, n'était-cepas, malgré tout, son,s1pypir de pren-dre les précautions nécessaires pourque si, ma/gré lui il était un jouramené à cette extrémité, elle se pré-sentât dans les conditions les plusfavorables pour le pays ? N'était-cepas /e devoir d'hommes de Gouver-nement, d'hommes d'Etat pre-voyants 7 (Applaudissements d Peu-Irême-gauche et à gauche.)

Nos intentionsst Louis Marin a émis Mut û l'heu-

re l'hypothèse où les documents danslesquels ces conversations se sonttraduites reçussent une publicitépendant la campagne électorale auxEtats-Unis. M. Vincent Auriol lui adit que cette publicité ne pouvaitrien offrir pour nous de redoutable,que nous ne la craignions en rien.

Si elle se produit, en effet, onverra dans quel esprit se sont en-gagées les premières conversationsaux Etats-Unis, et je puis moi-mêmeténioigner de l'état d'esprit daas le-quel ont été engagées car c'estmoi qui l'ai fait les premières con-versations avec Londres.

Nous avons dit, nous avons écritde /a façon la plus claire, que notreintention n'était pas de faire uneopération monétaire, que notre ac-tion tendrait,. au contraire, à révi-[4% ntae-ie; eetaela t rein notrse politique,

de sein et quece que nous demandions, c'étaihpour l'hypothèse où, malgré nous,

ous serions amenés à envisagerd'autres résolutions, quel accueil etquel concours nous trouverions deIn part des gouvernements avec quinous entrions en contact.

Voilà sur quel plan les conversa-tions se sont engagées.

Ces conversations, dans ces der-nières semaines, pour beaucoup deraisons de toute sorte, dont les unestiennent p/us aux autres qu'a nous,et d'autres plus à nous qu'aux au-tres, se sont accélérées, et nous som-mes arrivés ainsi au résultat qui nousétait, je crois, à p.eu près imposé parl'ensemble des circonstances.

Nous sommes arrivés à une réso-lution qui nous permettait de préser-ver notre encaisse métallique dans lecadre d'un arrangement internatio-nal et qui nous permettait de com-pléter les résultats que nous avonsdéjà obtenus et que je continue àconsidérer ce.. essentiels, c'est-à-dire l'accroissement de la masse desrevenus consommables dans ce paysclan commencement de ponction dela thésaurisation intérieure par lereflux des capitaux extérieurs, parla reprise de l'exportation, par lerajustement des prix et, avant tout,par /a paix économique.

L'importance de l'accordJ'ai été un peu surpris de voir que

certains des orateurs qui ont parléaujourd'hui avaient tendance a dé-precier l'importance internationalede Varrangement qui a été conclu en-tre les Etats-Unis, la Grande-Breta-gne et la France. (Applaudissements

l'extrême gauche et à gauche.)Pourquoi? Je ne le comprends

pas. Vous trouvez que c'est l'intérêtde notre pays de dire : Il n'y a rien.Non, croyez-moi, ce n'est pas son in-térêt.

Hier soir, M. le miniatre des Af-faires étrangéres m'a téléphoné, niedisant 'e Vous pouvez invoquer montémoignage. Vous pouvez dire en

mon nom, à la Chambre, quelle 1.-portance, quelle signification a pris,pour tous les hommes d'Etat d'Eu-r:h:e.), réunis à Genève. l'accord si-gné entre les trois grandes démo-craties de i'Occident. (Applaudisse-muas à l'extrême gauche et ri gau-

Tout à l'heure, l'agence Havas m'acommuniqué une dépêche reçue ily a une heure. Vous la lirez dans lesjournaux demain, mais je vais vous lalire d'avance. C'est une dépêche, re-çue de Washington, et où l'agenceHavas enregistre une déclaration deM. Morgenthau, secrétaire de la tré-sorerie américaine : a Les trois paysont fait simultanément le même com-muniqué. L'accord réside... n c'està vous, messieurs de la droite, queM. Morgenthau répond ... en ceque /es trois fonds de stabilisationtravailleront ensemble et dans lemême sens. Les trois pays collabore-ront ensemble pour s'acheminer versla stabilisation des devises. C'est unequestion d'honneur et de confianceréciproque. n (Applaudissements àl'extrême gauche et à gauche.)

L'unité de toute notre actioninternationale

Vous lisez assurément la presseétrangère, parce que c'est un de vosdevoirs. Vous avez pu constater surquel ton, mr quel mode la pressede tous les pays, et en particulierdes pays dont nous pouvons /e moinsrécuser l'amitié, avait interprété cetaccord, qui VOUS semble si peu dechose. -

Aines yeux, son plus grand mé-rite est précisément l'importancequ'il a revêtue pour l'opinion inter.nationale, c'est le fait qu'il est unélément de l'ensemble de l'action âlaquelle nous nous sommes le plushardiment elle plus passionnaientattachés : notre action pour lapais.(Applaudissements à l'extrême gau-che et à gauche). notre action pourte rapprochement et pour le colla-boration pacifique des peuples.

Il y a une .unité dans toute notreaction et dans toute notre oeuvre in-ternationale, et l'accord signé mIenles trois puissances prend, à ceégard, à mes yeux, une importanceque personne, dans cette Chambre,ne devrait aujourd'hui déprécier.

On s'est beaucoup demandé, de-puis le début de cette discussion,quel/es étaient les conditions de laréussite de l'opération dans laquellenous avons engagé le pays.

La paix intérieureJe tiens à /e dire, k crois que, de

même que la réussite de cette opéra-tion a pour condition première, pri-mordiale, cette pacification interna-tionale à laquelle nous venons d'ap-porter une contribution de plus, ellea aussi pour condition la paix inté-rieures frrés bisai liés Sien

M. Louis Aubert. Pas avec lescommunistes. (Interruptions à l'ex-trême gauche communiste. Bruit.)

Léon Blum. Je crois, en effet,que pour .que cette uvre de ces-tauration ...inique soit menée àson terme, i/ est nécessaire qu'au-cune atteinte ne soit portée a l'or-dre, à tondre public, à l'ordre lé-gal. (Applaudissements.)

L'ordre public, le Gouvernementest d'abord et avant tout réso/u àte défendre contre toute entreprisequi s'efforcerait sous une formequelconque de porter atteinte à lasouverameté populaire et aux ms-ti:tibo,n; républicaines. (Applaudis-sements à l'extrême gauche et d

M. Fernand 1Viedemunn-Goiran.Dites cela aux gommunistes.

Léon Blum. Je dis ce/a àtout le monde et pour que tout lemonde en fasse son profit.

Maintenant, je veux ajouter aussitrès volontairement et très sponta.nément quelques mots sur des su-jets non pas plus importants, maisplus délicats.

Un Gouvernement comme celuique nous avons constitué ne peutpas songer â se séparer des massesouvrières. (Applaudissements à l'ex-'anse gauche el à gauche.)

L'occupation des usinesIl serait obligé de considérer son

existence comme impossib/e le jourOU le contact serait rompu, seraitbrisé entre les organimtions repré-sentatives de la classe ouvrière etheMeis cette affirmation ne m'endonne, je crois, que plus de forceet p/us d'autorité pour sauter queles conflits du travail et du capital,des employeurs et des employés,rt.ttnn: gcreav jetaLs,nsneer pourraient pas,

Nie et pour la resterratioonrtog.-mique, ou se prolonger davantage,ou affecter plus longtemps desformes auxquelles l'opinion publi-que est devenue particulièrementsensible. (Applaudissements à gau-che et sur divers bancs.)

En ce moment, je n'entends, danscette Chambre, attaquer personnejr désire simplement défie. quellesconditions paraissait au Gouvernement indispensables pour le suceésde /a tentative dans /actuelle le paysse trouve aujourd'hui engagé.

Il s'est produit, à partir du coinmencement du mois de mai,grand et ardent mouvement de re-vendications ouvrier..

Ce mouvement' ételt û peu prèsentièrement catin& apaisé, lorsque

or>e.. Ir au, sd a'n'slnumnessépares,

c er tn mee 4s ur1e,repris au mois de septembre ; il estde nouveau en train de s'apaiser.

exemple, ilque': hUitt !min ya uv:I dela solution du conflit de Toulon etc fa solution complète du pénibb

conflit de Lyon. (Applaudissementsâ l'extrême gauche et à gauche.)

sen'seibsiuliitsé tee beepnurs qeuetReese'-maines, Popinan pour les événe-trnInteact.ceette nature, prête aussi

et à leur défnot ârnmlieonr. VTIercmr'o'is'que je peux, cependant, et que jedom affirmer qu'a mes yeux astune période

révorne.(Interruptionsà droite.) Que, par exemple, esd

formes de luttes ouvrières commel'occupation des usines ne doiventpas s'instafier comme une habitude.

De toutes façons, on ne pourrait /esconcevoir que lorsqu'elles sont dé-cidées par les organismes ouvriersresponsables... (Applaudissements àl'extrême gauche. Vives exclama-tions nu centre et d droite.)

M. Fernand Wiedemann-Goiran.L'occupation des usines est-elle

légale ou non ? M. Joeaux est.ildictateur ou non ?

M. le Président. Je vous rap-pelle à l'ordre à nouveau. Ces in-terruptions sont intolérables.

Léon Blam. ...Mais j'entendsaller plus loin. Je veux dire qu'ellesne doivent pas durer et qu'elles nedureront pas, et je le déclare avecd'autant phis de netteté que je saisque la confiance que la classe ou-vrière met dans le Gouvernement deFront populaire lui épargnera d'em-ployer d'autres moyens que ceux dela conciliation et de la persuaMon.(Applaudissements à l'extrême gau-che.)

M. François Fourcault de Pavant.En vertu de quel texte peenn

autoriser les occupations d'usines ?

Les engagements de LilleLéon Blum, Messieurs, au

cours de l'arbitrage ou plutôt de laconciliation du pénible conflit deLille, les délégués ouvriers ont dé-claré et ces déclarations ont gisenregistrées que lorsqu'un contrat collectif liait les patrons et lesorganisations ouvrières, ils considéraient ce contrat comme liant 10e

gesadftem,enttout les unvebens. jAis

et qu'a l'intérieur de ce contrat elde son exécution loyale, ils écar,laient l'hypothèse et des occupa-tions d'usines et même des grèves.

Arthur Ramette. Ce sont descommunistes qui l'ont déclarée.

Léon Blum. Des communisteset des socialistes.

Messieurs, dans le conflit de Lille,le Gouvernement, qui agissait corn-rte conciliateur, a pris auprès despatrons et auprès des ouvriers qu'ilavait rapprochés, et entre lesquelsil a amené l'accord, vis-à-vis des unset des autres, l'engagement que detelles déclarations seraient respec-tées. Il s'en est porté caution. Il s'enporte aujoiird'hui caution devant leParlement pour tous les cas analo-gues. (Applaudissements à l'extrêmegauche et à gauche.)

M. Fernand Wiedemann-Goiran.Jusqu'à la prochaine fois.

Léon Blum. Messieurs, ces dé-clarations si attendues provoquent,comme vous le voyez, un grand en-thousiasme. (Interruptions d droite.)

Maintenant, messieurs, quelle estIn condition de l'observation stricted'engagements comme ceux qui ontété pris et dont, en effet, le Gouvervliement entend être la caution

La liberté syndicaleC'est naturellement que, de part

et d'autre, /a bonne volonté soitégale pour la conclusion da con-trats. (Applaudissements à l'extrêmegauche.)

C'est que, de part et d'autre, cescontrats 'soient loyalement acceptéset exécutés. (APplaudissements surles mêmes bancs.)

C'est que Pexpression o libertésyndicale a soit, de part et d'autre,entendue dans son sens véritable.(Applaudissements d l'extrême gai,

d'U. Fernand 1Viedemann-Goirtm.Dem, pas de dictature de Jou-

haux !Léon Blum. ...signifiant, d'un

côté, que /es organisations les plusreprésentatives de Isolasse ouvrièrene revendiqueront pas pour elles unprivilège exclusif et, d'autre part,que /e patronat ne suscitera pas vo-lontairement contre e//es de n con-tre-syndicats s destinés a diviser laclasse ouvrière. (Applaudissementsd l'extrême gauche. Vives inter-ruptions à droite.)

M. Ferdinand WiedemanusGoiran.C'est de la provocation ! C'est

honteux I (Vives protestations à Tex-trême gauche et à (gauche.)

Valet de Jouhaux ! (Exclamationssur les mêmes bancs.)

M. le président. Monsieur Wie-dernann-Goman, je vous rappelle a

M. ernand Wledemann-Goiran.Nous voulons la liberté pour tom.

M. le président. Je viens d'en-tendre prononcer par M. Wied°.mann-Goiran une parole qui est net-tement injurieuse.

M. Fernand Wiedentann-Goiran.Pas du tout I

31, le président. Si I Elle est in-jurieuse et je vous rappelle à l'or-ddr;:m,(A.)pplaudissentents à l'extrêmegauche. Vives protestations à

Voulez-vous, monsieur le

parole

prést-dent du conseil, que je répète cern

?

Léon Blum. Ne répétez rien,monsieur /e président.

M. le président. 51. WiedemannGoiran injurie constamment. (Ap--plaudissements à mel'extrê gauche.

Interruptions à droite.)Léon Blum. Je crois rine, d n

le, langage vraiment /e plus mesu'ré',iLe ;Ln:, ene prna orne, ne ts d eusi vérités

vraient soulever ici l'êtrriotio'ne d oes;l'approbation de Persona.Je demande à la Chambre la per-mission de me laisser compléter cesobservations.

In président. Monsieur le

toreép'etZerd'Îe!leur'' roi te devoirculier, le chef dueecl.

'errii'et>armetn't

taPTI4Ve seandr=esc2ipourrais même dires,' élevés. (TrèsBien I très bien I d l'extrême gaucheet d gauche.)

Or, tout à l'heure, M. Wiedemann-ornan, pal nh pas cessé d'inter-

rompre au cours de la nuit (Inter-ruptions à droite), a prononcé, àl'adresse dc NI. le président du con-seil, 7s paroles : e Valet de Jou-

Je vous demande, messieurs,quelles que soient vos opinions, side telles pare/es sont tolérables.(Vifs applaudissements à l'extrêmegauche et a gauche. Interrup-tions à droite.)

A l'extrême gauche. La censure31, le président. Je n'am '

pas qu'un député, quel qu'il t.

traite un de ses collégues de valetde qui que ce soit (Très bien I trisbien I)

Monsieur Wiedemann-Goiran, jevous rappelle donc expressément àl'ordre, avec inscription au procès-verbal. (Applaudissements à l'ex-trême gauche et à gauche. Vivesréclamations à droite. Bruit.)

Vous avez le droit de critiqueret discuter. Vous n'avez pas le droitd'injurier. (Nouvelles interruptionsadroite.)

M. le marquis de Moustier.Nous aussi avons été injuriés.

M. Henry Ponsard. Mais quandon nous traite de e salauds a vousne dites men, vous ne rappelez per-sonne à l'ordre I (Applaudissementsà droite.)

M. te président. Monsieur Pon-sard, la Chambre m'est témoin qu'aucours de cette nuit, lorsqu'il a étéprononcé à votre adresse une pa-role inadmissible, j'ai protesté.

M. Henry Ponsard. Je vous enremercie, monsieur le président.

M. le président. J'ai rappelé àl'ordre l'auteur de cette interrup-tion qui siège à t'externe gauche,comme je rnens de rappeler b l'or-dre M. Wiedeiann-Goiran. (Applau-dissements à l'extrême gauche et àgauche.)

L'amendementde Campinchi

Léon Blum. Messieurs, je vaisachever. J'ai essayé de définir enquelques traits comment je conce-vais l'atmosphère de paix et deconcorde intérieure dans laquelleune tentative de restauration écono-mique dcvnit trouver ses élémentsde succès.

C'est dans ce même espritqu'avaient été rédigés les articles 14e n du projet de loi auxquels nousdeniandons aujourd'hui à la Cham-bre de substituer l'amendement de-posé par M. Catumnai et par ses

ptons-nous cettesuriegi% ad'ue"nautre texte â celuique nous avions rédigé et que nousavions présenté à la commission desfinances, qui l'avait discuté avecnous et adopté avec quelques modi-ficelions ?

Je vais toonerA la Chambre nosraisons.

M. Paul Morane. Donnez-nousd'abord lecture de l'amendement.

Léon Blum. Je n'aurais pas de-mandé mieux que ce amendement,rédigé depuis plusieurs heures, etque M. le président a lu à deux re-

rises, fût entre vos mai..Au cours de la soirée, un grand

nombre d'amendements ont tout jus-te pu être tapés en 1011X 015 troisexemplaires pour /es membres de lacommission et pour le (bavera'ment.

M. Pool Morane. Celui-ci estparticulièrement important.

Léon Blum. Je vais le relireune troisième fois. Comme il esttrès court, voulez-vous le prendreso. 010 dictée (Applaudissementsetr.1res..étvio'exitré.me gauche et à Ban-

g Remplacer les articles 14, 15 et15 bis par les dispositions sui-vantes

e Le Gouvernement est autori.,jusqu'au 31 décembre 1936... n

M. Louis Marin. C'est le styledes décrets-lois.

Lots: el oneL7r, ,C:nesothieurt style bien

e ...à prendre par décrets rend.en conseil des mstres... a

A droite. Au pluriel ? (Sourires.)Léon Blum. Oui, e ministres a

au pluriel. (Rires.)a ...par décrets au pluriel

rendus en conseil au singulierdes ministres au pluriel... (Ap-plaudissements et rires d l'extrêmegauche.)

C'est de la bonne humeur mati-nate, vo. le voYez.

Monmousseau. C'est un langagequ'ils ne comprendront jamais. (Ex,clamations à droite.)

01. le président. Cette interrup-tion est inadmissible.

Léon Blum. ._...I. mesures acessaires pour la sauvegarde du pou.vole d'achat, tant par la répressionde tentatives injustifiées de haussedes prix que par tous autresMOy0113.

!droite, Appropriés ILa lutte

contre les conséquenceséventuelles

de la dévaluationLéon Blum. Le dernier alinéa.

c'est la formule de ratification parles Chambres. Elle est de style.

Pourquoi avons-nons accepté lasubstitution de ce texte aux articles14, 15 et 15 bis ? Parce que nonsavons été très sensibles à l'argumentqui nous a été présenté au nom dela dé/égation des groupes de gauchede cette Assemblée, et dont, à votretour, vous apprécierez la justesse.

Les représentants des groupes degauche nous ont exprimé leur crainteque des textes comme les articles I 1,15 et 15 bis ne donnassent Pimpression que, dans notre sentiment etdans celui de la Chambre, /a déva-luation devait être fatalement, nrncan imminent, immédiatement généarme de hausse des prix de dé-tail.

On nous a dit t Des textes commeceux-là, on les traduira dans api.nic par le sentiment que ta hausseva être si brusque, si rapide, si pronone., que le Parlement a jugeutile4 dès à présent, de parer à sescense...es par de smesures sup.proprmes a, puisque ce participevous p/eit.

Nous avons jugé que cette appréhension, telle qu'on nous l'expri,mait, n'était nullement sans fondementIl est certain, comme M. Elbel

nous l'a montré tout â /heure, que,théoriquement je dis théorique-ment dévaluation ne doit, eneffet, entrainer la hausse de prixque sur /es matières premièressur /es marchandises importées;que, même en ce qui concerne lesmatières premières ou les marchai,dises importées, une compensationpeul se trouver d'une part. dans lejett il .1.41,11 ier. d'autre part,dee.

'a mieJose

eent trlaepLi:eissonederse chuanrgepsiixegrafinessdesnombre d'unités, ou leur repartitsur un chiffre d'affaires plus el:y%

L'avantage du nouveau texteargument. Nous avons craint,

les remèdes qu'il convenait d'am.,ter à la hausse, d'avoir /'air de luprévoir et presque de la légitimer ôforce de /a PréV0i,

DVoainIse quel si onédtéitieoxnasetez note.t

a7cetipmtéenitth texte qui, d'une part, re4mettait entre nos mains, pour are_ter et pour réprimer une

peit. prezirntque.,dans

n'hésitera à nous confie;qui, toujours dans les circonstances

éatneec'ogn'tsee'nties dlsoanrc P Lev' opirasysiégil!latifs. Hier encore, en Suisse, leConseil fédéral, en ce qui ancela hausse des prix, a été nanti de pou.noirs du même genre et il en est demême pour la Belgique et pour betm

00C"epedaad'antrte,ssiP'elYasigré tout, si mal.gré ta vo/onté résolue, déterminée duGouvernement armé par le Parle-ment de tons les moyens appropriés,si ma/gré cela et, par exemple, paela contagion de ce phénomène mon-dial qu'est, en effet, en ce moment,la hausse des Prix de gr. murl'opération française se situe dans nacourant mondial de hausse, commel'opération anglaise s'était produitedans un courant mondial oc baissedes prix de gros si, malgré tout,la hausse se produit, le texte dont jeviens de vous donner /a teneur nouspermet de parer à ses répercussions

s pins ju es ,dt nel les tp n

qu'il o'excluipersonne, c'est qu'il ne précise an.cime catégorie d'individus on aucunecollectivité, mais que non plus iln'en écarte a a priori mane.

Si je peux donner un exemple det'usage qui pourra etre fait de cetexte, je vous dirai que, notamment,il pourra permettre au Gouvernementde préparer dès maintenant dm règlmment, de conciliation et d'arbitragedans le sens du travail déjà commen-cé â l'hôtel Matignon entre /es repré.sentants de la C.fédération Généraledu Travail et les représentants dela Confédération Généra/e du Patro.,nul, pom que, te cas échéant, teks-tentent des salaires puisse se faired'une façon amiable et équitable par,le jeu de contrats collectifs libresment consentis.

Voilà le mode de préparation que'nous demandons au Parlement la fa,collé d'accomplir.

Les « pleins pouvoirs »'Je me ,permets de vous faire re.

marquer a cet égard que, lorsque despleins pouvoirs et de très lares ciéâlégations, des délégations même abssolument indéterminées, ont été re-mises par la précédente législatured'autres gouvernements, ces déléga-tions se plaçaient au moment où /eParlement se séparait pour de longsmois et sans rien savoir de l'époquede son retour, tandis que, après cettecourte session, vous serez réunisnouveau dans très peu de semaines,que vous siégerez jusqu'à la fin dol'année, qu'aussitôt apres s'ouvrira lasession ordinaire et qu'en un mot,nous ne nous séparerons plus. (Ap-plaudissements à l'extrême gauche.)

Ainsi, l'usage des pouvoirs que leParlement nous aurait remis se pro-duirait en réalité sous son contrôledirect et à peu près permanent. Voilàpourquoi nous avons accepté avecsatisfaction de substituer l'amende.ment, signé par les délégués desgroupes de la majorité, au texte quenous avions nous-mêmes indique.

Soit dit en passant bien quecelte question de procédure, et jem'en excuse auprès de 51, le prési-dent, soit de son ressort beaucoupplutôt que du mien, je pense qu'ilva de soi que no05 accepterons tousque les amendements qui s'appli-quaient aux articles 14, 25 et 25 bissoient considérés comme ne pouvantplus se rapporter au texte nouveau,

01.1e président. Bien entendu.Léon Blum. Je crois que nous

pourrions, sur ce point, être tousd'accord, sans quoi le Gouvernementserait obligé, vous te concevez, derecourir à la procédure un peu expé-ditive de l'article 86 du règlement.

Cela dit en passant, je veux, enterminant, énoncer la dernière rai-son qui nous a déterminés à accep-ter la substitution de l'amendementCampinchi à notre texte.

La cohésion et la solidaritéde la majorité

de Front Populaireavec son Gouvernement

Nous Pavons accepté parce qu'ilétait le résultat du travail et de lacollaboration de tous les groupes de/a majorité; parce qu'il était lamarque et la preuve de la cohésionde cette majorité. (Apptaudissements

idl'acelèepiamnt' g, no'r'sea)rq;uploonnsce qla co'he'é-sion de cette majorité avec le (mou-vernement et la solidité, dans lepays, de la formation politique surlaquelle et majorité et Gouvernements'appuient. (Applaudissements surles mêmes bancs.)

Cette majorité, je le sais, a été Pin-cée aujourd'hui par nous, à bien deségards, dans une situation difficile,soumise à une épreuve pénible. Elley a résisté, comme elle résistera de-main, croyez-moi, à beamoup d'au-

t'Ife seule majorité possibleC'est à cette majorité /m'en des-

cendant de la tribune, je veux faireappel, à cette majorité la seulePossible, messieurs, ne l'oubliez pas(Vifs applaudissements à l'extrêmegauche) que le Gouvernement re-mercie de sa fidélité, et à laquelle i/est heureux de prouver une fois deplus /a sienne, (Vifs applaudisse-ments à l'extrême gauche et sur di..sers bancs à gauche. Sur les bancs,MM, les députés se Huent et applau,dissent longuement.)

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