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Musique et danse octobre novembre décembre 2010 la Scène nationale d’Orléans

la Scène nationale d’Orléans Musique et danse octobre ......Marc Ducret Guitariste invit é Guillaume Bourgogne Direction Œuvres de Fausto Romitelli, Raphaël Cendo, Marc Ducret

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  • Musiqueet danseoctobrenovembredécembre2010

    la Scène nationale d’Orléans

  • 2 – Scène nationale d’Orléans

    Créatures

    MonStreS

    X’TET ∕ Bruno Regnier

    Etienne Cuppens, Sarah Crépin

    Concert

    Jazz

    Danse

    Spectacle jeune public à partir de 4 ansCompagnie La BaZooKa

    Mercredi 6, samedi 9 octobre 15h00 et 19h00Plateau VitezTarifs : de 5 € à 15 €Durée : 30 minutes

    Conception, réalisation et dispositif scénique Etienne Cuppens et Sarah CrépinChorégraphie Sarah CrépinMusique Steve Reich

    Une pièce fortement chorégraphique pour trois danseurs. Pour sa première pièce jeune public, largement inspirée de rencontres avec des enfants de maternelle, la compagnie

    La BaZooKa a souhaité proposer aux jeunes spectateurs (et aux plus âgés) un dispositif scénique à miroirs où les reflets courent à l’infini et révèlent des créatures jusqu’alors invisibles. Le public accueilli à l’intérieur du décor vit une expérience sensitive au rythme de la musique “Six pianos” de Steve Reich.

    Bruno Regnier Composition et directionChœur de Solistes – MikrokosmosLoïc Pierre Chef de choeur et directionMarc Blanchet Poète

    Vendredi 1er octobre 20h30Salle BarraultTarifs : de 5 € à 25 €Durée : 1h10

    Bruno Regnier et X’TET nous présentaient, en novembre 2009, une remarquable mise en musique de l’univers pictural de Louis Gagez. A nouveau présent, cette saison, en résidence de création au sein de la Scène nationale, Bruno Regnier, X’TET et le chœur de solistes Mikrokosmos nous proposent de partager une nouvelle aventure. Le projet Créatures rassemble deux entités et deux univers

    artistiques : jazz écrit et improvisé en grande formation et musique vocale contemporaine. Composé par Bruno Regnier, la musique intègre les neuf solistes du X’TET et les douze chanteurs du chœur professionnel Mikrokosmos dirigés par Loïc Pierre.

    Ensemble CairnJérôme Combier Direction artistiqueMarc Ducret Guitariste invitéGuillaume Bourgogne DirectionŒuvres de Fausto Romitelli, Raphaël Cendo, Marc Ducret

    Jeudi 30 septembre 20h30 – Salle VitezTarifs : de 5 € à 20 €Durée : 1h20

    L’ensemble Cairn rencontre Marc Ducret et Raphaël Cendo. L’ensemble Cairn propose à Raphaël Cendo de rencontrer Marc Ducret, et inversement. Nous avons imaginé deux “mondes” pour ces rencontres croisées qui seraient chacun une certaine manière de concevoir le son, chacun un rapport particulier – numérique ou digital ? – à l’instrument : d’une part le monde de la saturation, le monde électrique, d’autre

    part le monde acoustique dans lequel auront court des moments d’improvisation guidés par Marc Ducret ; aussi l’instrumentation de Guillaume Bourgogne d’une pièce de Marc Ducret pour guitare solo.

    Ducret, Cairn, Cendo

  • 3 – Scène nationale d’Orléans

    MonStreS © Roger Legrand

    X’TET ⁄ Bruno RegnierEnsemble Cairn © Raphael Pierre

  • 4 – Scène nationale d’Orléans

    Isabelle Cals © Thierry CohenCherry-Brandy © Séverine Charrier

    Cherry-Brandy © Séverine CharrierCherry-Brandy © Sophie Carles

  • 5 – Scène nationale d’Orléans

    Paris-Vienne 1900Récital

    Danse

    Isabelle Cals SopranoAntoine Palloc Piano

    Œuvres de Zemlinsky, Alma Mahler, Schoenberg, Alban Berg, Debussy, Ravel, Enesco, Roussel

    Mercredi 13 octobre 20h30Salle VitezTarifs : de 5 € à 20 €Durée : 1h10

    Au tournant des xixe et xxe siècles, la Vieille Europe demeure le centre du monde, particulièrement sur le plan artistique. En son sein, Vienne et Paris brillent de tous leurs feux et vivent en pleine effervescence culturelle : Paris 1900, c’est le temps insouciant de la Belle Epoque et de l’Exposition universelle ; Vienne 1900, c’est le temps inquiet de la Sécession sur un air de valse d’un autre âge… En musique comme en peinture, le siècle qui commence s’annonce iconoclaste avec, dans la capitale de la double monarchie, Gustav Mahler à la direction de l’Opéra et surtout les prémices de l’Ecole de Vienne

    illustrée par Berg et Schoenberg et dans la Ville Lumière l’invention du cinéma, les avant-gardes en gestation, l’impressionnisme musical de Debussy qui compose Pelléas et Mélisande (créé en 1902) et le pur classicisme de Ravel qui rend hommage à Rameau et Couperin. C’est tout cela que le récital Paris-Vienne 1900, conçu par la soprano Isabelle Cals et son pianiste habituel Antoine Palloc, veut évoquer.

    Cherry-BrandyDans le cadre de l’Année France-Russie 2010Pièce pour 13 interprètes

    Chorégraphie Josef NadjCentre chorégraphique national d’OrléansMusique originale Alain MahéInterprètes Johan Bichot, Ivan Fatjo, Eric Fessenmeyer, Grégory Feurté, Peter Gemza, Anastasia Hvan, Panagiota Kallimani, Anne-Sophie Lancelin, Lazare, Cécile Loyer, Josef Nadj, Emanuela Nelli, Marlène Rostaing

    Jeudi 14, vendredi 15,samedi 16 octobre 20h30Salle BarraultTarifs : de 5 € à 25 €Durée : 1h30

    Plusieurs écrivains, plusieurs œuvres littéraires ont nourri cette création – à commencer par Anton Tchekhov avec Le Chant du cygne, une “étude dramatique en un acte”, ainsi que le témoignage qu’il réalisa en 1893 sur les conditions de vie des déportés dans L’Île de Sakhaline ; mais aussi Varlam Chalamov, Pétrarque ou Paul Celan. Cependant, la figure centrale de Cherry-Brandy est le poète Ossip Mandelstam (1891-1938), qui fut aussi traducteur et essayiste.Auteur de Tristia, Le Bruit du temps, un merveilleux Entretien sur Dante ou Les Cahiers de Voronej, il considérait les mots comme inséparables du corps, de la voix et du geste. Et il leur prêtait une puissance concrète, agissante. Il était aussi, pour cette raison même, un homme engagé dans son temps. Ses prises de position – et, en particulier, ses “Distiques sur Staline”, véritable charge contre “le montagnard du Kremlin” – furent la cause de son tragique destin : victime des purges staliniennes, il mourut d’épuisement, usé par de longs mois d’humiliation et de privation, pendant son transfert au goulag.Chalamov a explicitement dédié l’un de ses Récits de la Kolyma à Ossip Mandelstam : sous le titre “Cherry-Brandy”, il y décrit un poète moribond, un mourant qui reste poète jusqu’à son dernier souffle… L’exemple

    même du “poète absolu”, selon Josef Nadj, c’est-à-dire de l’artiste assigné à son art, toujours et partout.Avec son Cherry-Brandy, pièce austère et sombre dont tous les protagonistes semblent plongés dans un “sommeil hypnotique”, Nadj rend à son tour hommage à Mandelstam – notamment, en donnant à entendre plusieurs de ses poèmes. Mais surtout, s’il revient ici sur la question du temps qui, de Comedia Tempio (1990) à Sho-bo-gen-zo (2008), traverse l’ensemble de son œuvre, le chorégraphe le fait cette fois dans une perspective politique : mettant en scène le conflit entre la lumière et les ténèbres, il signe en effet une parabole sur le rôle et la responsabilité de l’artiste face à son époque et vis-à-vis de ses contemporains… Myriam Blœdé

    Cette pièce, répétée à Orléans au cours des mois de mai et juin derniers, est une commande du Festival International de Théâtre Tchekhov et fut présentée à Moscou puis à Saint-Pétersbourg en juillet 2010. Une création d’ores et déjà remarquée par la presse internationale.

    Vendredi 15 octobreRencontre publique avec Josef Nadj à l’issue de la représentation.

    Josef Nadj

  • 6 – Scène nationale d’Orléans

    La couleur dans tous ses états

    Construire-déconstruire

    Mourir pour des images, Carte blanche à René Vautier

    Cinéma expérimental

    Jeudi 14 octobre 20h30 – Salle VitezTarif unique : 5 € (gratuit sur réservation pour les abonnés de la Scène nationale)Durée : 1h35

    Contrairement à une idée reçue, la couleur arrive d’emblée au cinéma. Outre qu’elle précède la photographie dans l’histoire de l’image en mouvement, les films photographiques eux-mêmes auront été immédiatement colorisés. Une légion de procédés jalonnent les débuts

    du cinéma jusqu’à nos jours. Cette soirée nous en présente un florilège, de 1895 à 2003.

    Chromathropes du 19e siècleLouis & Auguste Lumière Les forgeronsGeorges Méliès Le chaudron infernalLe dirigeable fantastiqueLes illusions fantaisistesGaston Velle & Albert Capellani La peine du TalionVues documentaires

    Sonia Delaunay Essai Keller DorianHugh Harman & Rudolf Ising To Spring (Happy Harmonies)Lloyd Corrigan La CucarachaChris Welsby Colour SeparationPaul Sharits Colour Sound FramesGerhard Mantz Labyrinth n° 112

    Jeudi 25 novembre 20h30Salle VitezTarif unique : 5 € (gratuit sur réservation pour les abonnés de la Scène nationale)Durée : 1h15

    La construction, la déconstruction, mais dans le même élan, au sein de la même œuvre. Construire en déconstruisant, voici l’idée. Certains des films du programme sont de véritables palimpsestes, comme Motion Painting n° 1 d’Oskar Fischinger, processus de maculation continu, où les formes

    colorées s’élaborent toujours à partir de la même matrice ; ou comme Ligne-courbe de Ryszard Wasko, qui gardant toujours trace de l’image photographique initiale, s’arrange toujours pour cacher par d’autres formes, opaques, tout ou partie de ce qu’il est censé montrer.D’autres sont des dispositifs qui piègent le spectateur, s’ingéniant à démonter l’image qu’il lui a de prime abord demandé d’accréditer. Chaque fois le film déjoue les stratégies du regard, les attendus du récit.

    Oskar Fischinger Motion Painting n° 1Ryszard Wasko Ligne-courbeMichael Snow BreakfastJohn Smith The Girl Chewing-GumDavid Haxton Landscape & RoomJohn Smith OmMichael Snow WVLNT, Pour ceux qui n’ont pas le tempsGerhard Mantz Labyrinth n° 136John Smith The Kiss

    Jeudi 9 décembre 18h00 et 20h30Salle VitezTarif unique : 5 € (gratuit sur réservation pour les abonnés de la Scène nationale)

    La Mariée a l’immense plaisir d’accueillir René Vautier. L’évènement est double puisque le cinéaste termine son dernier film pour cette rencontre à Orléans.Mourir pour des images. C’est le titre d’un autre de ses films, réalisé en 1972, et rendant hommage à un autre cinéaste (Alain Kaminker, emporté par une lame de fond alors qu’il se mettait en danger autour de l’île de Sein).

    Ce cinéaste aurait pu être Vautier lui-même. Car peu de nom incarne comme le sien l’engagement sans limites au cinéma, l’engagement par le cinéma. Combien d’interdictions, d’inculpations, de tentatives d’intimidations, de coups, de saccages d’archives, de blessures par balles, d’années de prison pour le faire, en vain, reculer ? Résistant à 16 ans, René Vautier aura été de tous les combats, caméra au poing. Contre l’Afrique française d’abord, en réalisant le premier film anticolonialiste français, et en devenant compagnon-cinéaste de la libération de l’Algérie. Contre l’Apartheid

    ensuite, les mensonges d’état, les hypocrisies de l’information. Pour les luttes sociales, et sa Bretagne natale…Combien de ses films confisqué, détruits, sciemment égarés, jamais retrouvés ? Aujourd’hui encore, après des décennies de censure et alors que ses films sont diffusés dans le monde entier, ils demeurent étrangement absents de la télévision hexagonale (à l’exception d’Avoir vingt ans dans les Aurès, prix de la critique internationale au Festival de Cannes en 1972).

    Les nouvelles soirées de la Mariée Désirante en partenariat avec la Scène nationale“Cette nouvelle saison est marquée par la venue en décembre d’un grand cinéaste français, René Vautier, qui nous fait l’amitié de terminer pour l’occasion son dernier pamphlet. L’année déroulera en différentes soirées : les étapes marquantes de l’histoire de la couleur au cinéma, depuis le début du 19e siècle à l’imagerie numérique, avec entre autres des films des Lumière, Méliès, les dessins animés et la première fiction d’Hollywood ; un état des principes de construction et de déconstruction de l’espace, des formes plastiques ou narratives au cinéma ; un ciné-concert autour des figures de Louis Feuillade, Fantômas et Irma Vep ; une soirée ciné-musique dévoilant les rapports de Pierre Schaeffer et Pierre Henry avec le cinéma ; et un des films phares du Nouveau cinéma américain des années 1960, le premier film de Jonas Mekas.” La Mariée DésiranteToutes ces séances sont gratuites pour les abonnés de la Scène nationale (sur réservation).

  • 7 – Scène nationale d’Orléans

    La couleur dans tous ses états

    René Vautier La Cucaracha

    Ligne-courbe

  • 8 – Scène nationale d’Orléans

    Chick Corea © Lynne Goldsmith

    Cosmic Drone

    Alex Soubry

    Kitoko

  • 9 – Scène nationale d’Orléans

    Chick CoreaJazz

    Jazz

    Les samedis du jazz

    Dimanche 17 octobre 17h00Salle TouchardTarifs : de 5 € à 25 €Durée : 1h30

    “Chick Corea, un génie du piano moderne, découvert par un certain Miles Davis.”

    Chick Corea se produisait déjà, en 1992, à Orléans, durant le festival de jazz, comme le rappelait La République du Centre dans son numéro spécial consacré aux 20 ans de ce festival.Chick Corea revient dans notre ville pour un concert de piano solo. Il a, entre ces deux dates, parcouru avec bonheur et reconnaissance beaucoup d’univers jazzistiques et pratiqué de multiples claviers.

    Ce concert est le fruit d’une collaboration entre Orléans Jazz et la Scène nationale pour le meilleur du jazz et un concert exceptionnel à ne pas manquer.

    Discographie récente :2009 Duet Chick Corea et Hiromi(Concord records)2009 Return to forever – Returns(Eagle recors)

    KitokoQuartet – Jazz euro-africainLaurent Desmurs ClaviersDany Mwanga GuitareDavid Hazak BasseThierry Tavernier BatterieSamedi 23 octobre 17h00 – HallEntrée gratuite

    Ce groupe, entendu en juin dernier sur “Place au Jazz Bourgogne”, s’est constitué autour du bassiste David Hazak, auquel le festival d’Orléans offrait une “carte blanche” sur la scène du Temple. Ce touche-à-tout de la musique a réuni autour de lui des pointures du jazz (régional et national), notamment le leader de “Raison X”, Laurent Desmurs, pour un travail autour du jazz et des musiques métisses improvisées.J-L. D.

    Cosmic DroneQuintet – “Trad”, autour d’une vielle électro-acoustiqueStéphane Durand VielleVincent Viala PianoRégis Savigny Guitare – Thierry Leu BasseVincent Lemaire BatterieSamedi 13 novembre 17h00 – HallEntrée gratuite

    Cosmic Drone est le fruit d’un long projet imaginé par le joueur de vielle électro-acoustique, Stéphane Durand. La vielle à roue électroacoustique (réalisée par D. Siorat) est un instrument aux multiples sonorités, tantôt douces et envoûtantes, tantôt puissantes et modernes : elle va ici jusqu’à rivaliser avec la guitare électrique par l’utilisation d’effets comme la saturation, et la fusion s’opère entre rock, funk, trad’ et jazz.J-L. D.

    Alex Soubry invite Boney FieldsQuintet – BluesAlex Soubry GuitareBoney Fields TrompetteJerry Leonide ClaviersMike Armoogum BasseEnrico Matioli BatterieBoney Fields & The bone’s ProjectSamedi 18 décembre 17h00 – HallEntrée gratuite

    Le guitariste électrique Alex Soubry (membre notamment de Fake Idea, entendu sur Place au Jazz Bourgogne en 2009, et d’Oxus Project, programmé en 2009 au “Samedis du Jazz”), accueille à Orléans une figure du Chicago musical : le trompettiste et chanteur Boney Fields, et son blues copieusement saupoudré de funk. Une voix trempée dans la soul, un groove d’acier, une trompette aérienne… le décor est planté. Musique !J-L. D.

    Programme à suivre… en 2011

    Il y avait eu une première saison des “samedis du jazz”. C’était en 2009 / 2010, et c’était une “première” en effet ! L’occasion pour le public, un samedi après-midi par mois, de venir à la rencontre de formations régionales de jazz et d’une musique en perpétuel renouvellement. Fort du succès rencontré, la Scène nationale d’Orléans a demandé à Ô jazz ! de programmer une nouvelle série de neuf concerts. Nous les avons voulus, cette fois, tournés vers les musiques du monde, vers ces multiples influences qui nourrissent le jazz d’aujourd’hui. De septembre 2010 à mai 2011, place aux jazz d’inspiration klezmer, brésilienne, africaine… place au blues, au funk, au jazz-rock… et surtout place à la musique ! Pierre Richard, Jean-Louis Derenne – Association Ô jazz !

  • 10 – Scène nationale d’Orléans

    Solo#2 Fréquences – Brice Leroux

    Soirées performances

    Sylphides – François Chaignaud et Cecilia Bengolea

    Liquide – Christophe Haleb

    Performances

    Compagnie ContinuumDirection, chorégraphie, scénographie, lumière et costumes Brice LerouxDanse Brice LerouxMusique Poème symphonique pour100 métronomes de György Ligeti

    Mercredi 20, jeudi 21,vendredi 22 octobre 19h et 21h30Plateau TouchardDurée : 30 minutes

    Au nombre de cinquante, les spectateurs de Solo#2 Fréquences prennent place sur l’exact pourtour d’un plateau circulaire. Depuis là ils vont effectuer l’expérience troublante de dimensions métaphysiques insoupçonnées. Minimal, l’éclairage découpe les bords du plateau à la façon de barreaux verticaux. Le danseur évolue derrière, tout proche, au centre de ce cylindre. Le plateau qui le porte s’anime lui-même d’un mouvement tournant.

    “L’impact Leroux, unique en son genre, combine les extrêmes. Pour Solo#2 Fréquences, sa force de frappe est à double détente, terriblement humaine et définitivement high-tech. L’illusion et l’irréalité de l’installation entraînent des impressions physiques concrètes, parfois au bord de l’inconfort. Sensation d’un noir-matière épais au point de faire corps avec la nuit, hallucinations visuelles étranges… L’hypnose planante prend quelques secondes l’allure d’un malaise…”Rosita Boisseau – Le Monde (nov. 2009)

    Conception Cecilia Bengolea et François Chaignaud – Fabrication, danseCecilia Bengolea, François Chaignaud, Chiara Gallerani, Lenio KakleaStylisme Sothean Nhieim – Collaboration dramaturgique Berno Polzer

    Mercredi 20, jeudi 21,vendredi 22 octobre 20h30 – Salle VitezDurée : 50 minutes

    À quoi pourraient ressembler des sylphides du xxie siècle ? Au xixe, ces créatures mythiques hantèrent les grands ballets romantiques. Spectres de jeunes filles, les sylphides avaient aussi à voir avec la symbolique du désir. Aujourd’hui les danseurs de la pièce Sylphides troquent les jupons de tulle contre un matériau très moderne, le latex. Sylphides plonge le spectateur dans un état de sidération, de palpitation et de découverte. Cette pièce est la seconde de Cecilia Bengolea et François

    Chaignaud, jeunes chorégraphes qu’entoure un mouvement de curiosité enthousiaste. Grâce à eux, la recherche chorégraphique s’affranchit de toute raideur dogmatique.

    Compagnie La ZouzeDirection artistique et chorégraphie Christophe HalebInterprétation et création Séverine Bauvais, Christophe Le Blay,Katia Medici, Maxime Mestre,Julien ChavrialMusique Alexandre Maillard

    Mercredi 20, jeudi 21,vendredi 22 octobre 20h30Salle BarraultTarifs : de 5 € à 15 €Durée : 1h20

    Tout d’abord, la compagnie La Zouze : un rassemblement particulièrement complexe constitué d’individualités issues de différents domaines artistiques : danse, cirque, théâtre, musique, mode, design… Lors de la création de cette “troupe” à géométrie variable, on n’est pas en 1968, mais en 1993. Le chorégraphe Christophe Haleb possède cette force et cette forme de travail qui nous livrera Liquide : “Comme un cocktail fort et amer, froid et cruel, et qui, comme la passion et contre toute attente, va directement chercher la brûlure. Les cœurs chavirent, s’apaisent, les fragments de langages s’entre-choquent,

    les fluides d’expression s’épanchent, les solitudes s’unissent, s’abandonnent, les corps sont en suspens.”

    Le spectateur attentif ne pourra être qu’attiré par ce jeu des libertés qui se déroule sous ses yeux.

    Après le succès, lors de la dernière saison, des deux soirées performance de Philippe Ménard et de Steven Cohen, la Scène nationale d’Orléans continue d’explorer ce domaine. Trois projets qui ne laisseront personne indifférent. Trois jours en octobre dans chacune des trois salles du théâtre. A choisir ou à cumuler.Nouveau : 1 billet combiné pour les 3 spectacles en 2 soirées vous est proposé à 15 € (tarif plein) et 12 € (tarif réduit).

    Ces deux spectacles composent une même soirée.Tarifs : de 5 € à 15 €

  • 11 – Scène nationale d’OrléansSolo#2 Fréquences © Brice Leroux Sylphides © Alain Monnot

    Liquide © Cyrille Weiner

  • 12 – Scène nationale d’OrléansArt Mengo © Fabrice Fenoll

    Anne Baquet © Philippe Matsas

  • 13 – Scène nationale d’Orléans

    Anne Baquet

    Art Mengo

    “Après avoir animé pendant dix années la Foire Saint-Aignan (aussi appelée Fête du Cochon), l’association orléanaise abcd s’est lancée en 2005 dans un festival consacré à la chanson française : le Festival de travers. Un partenariat avec la Scène nationale d’Orléans a été mis en place dès 2008. Pour sa 6e édition, le Festival de travers 2010 est présent dans sept communes de l’agglomération orléanaise, du 2 octobre au 13 novembre, et propose deux concerts à la Scène nationale.” abcd

    Chanson

    Anne Baquet VoixGrégoire Baumberger PianoClaudine Allegra Mise en scène et chorégraphie

    Vendredi 5 novembre 20h30Salle BarraultTarifs : de 5 € à 20 €Durée : 1h15

    En première partie, un hommage à Pierre Perret sera proposé :PéPé la jactance 3avec Léna Brisson VoixCamille Petit PianoDurée : 40 minutes

    Gracieuse et mutine, Anne Baquet, après une première carrière de chanteuse lyrique, a mis son impressionnante technique vocale, et son humour décalé au service de chansons écrites pour elle. Son répertoire a été écrit sur mesure et pensé pour voix et piano par François Morel, Juliette, Anne Sylvestre, Jean-Jacques Sempé, Georges Moustaki ou sur Eric-Emmanuel Schmitt… tandis que Roland Vincent, François Rauber, Claude Bolling, Marie-Paule Belle, ont mis ces textes en musiques.Sur scène aux côtés de Grégoire Baumberger, son pianiste complice, Anne Baquet nous emporte dans un récital vif, joyeusement mené. Un voyage plein d’esprit, d’humour et de poésie. On passe d’une mélodie vocale à un réjouissant numéro de piano à quatre mains, d’une chanson humoristique à un pas de danse.

    Rappelons que Anne Baquet est la digne fille de Maurice Baquet, comédien, fantaisiste, chanteur d’opérette à ses heures et violoncelliste facétieux immortalisé par les photos de Robert Doisneau.

    Art Mengo Piano, guitare et voixLionel Suarez Accordéon

    Vendredi 12 novembre 20h30Salle BarraultTarifs : de 5 € à 20 €Durée : 1h30

    20 ans de carrière et un nouvel album… deux excellents prétextes pour que le discret toulousain monte sur scène avec un spectacle tendre, intime et pêchu où la légèreté se chante comme un acte de rébellion. Pour cette occasion de fête, l’artiste reprend des titres choisis qui ont compté pour lui, pas forcément les plus connus, mais ceux qu’il aime – et qu’on aime aussi ; La mer n’existe pas, Parler d’amour, Je t’aime d’amour Madame et bien d’autres. Entre complicité et simplicité s’instaure une relation précieuse avec un public mordu et fidèle. Art Mengo est accompagné par le meilleur accordéoniste de sa génération, Lionel Suarez.

    “Le Toulousain est assurément l’une des voix les plus émouvantes de la chanson francophone (une manière de doux papier de verre) et l’une de ses plumes les plus pertinentes…” Christian Larrède – Les Inrockuptibles

    Dernier CD paru :2009 Sujet libre (Polydor)

    “Non, je ne veux pas chanter”

  • 14 – Scène nationale d’Orléans

    Mémoire des vents du sud

    Leçon 1La Guitare automatique

    Lyrique

    Les leçons du professeur Glaçon

    François SarhanEnsemble crWthTom Pauwels GuitareSylvain Lemetre PercussionsMathieu Metzger Sax

    Mardi 23 novembre 20h30Salle TouchardTarifs : de 5 € à 15 €Durée : 1h10

    “Cette première conférence sera entièrement consacrée à la musique, aux musiciens et… aux poissons.”François Sarhan

    Réservez vos places dès maintenant pour les prochaines leçons du professeur Glaçon :Leçon 2 La Vie des bêtesMardi 15 février à 20h30, salle Barraultet Leçon 3 HagiographieJeudi 9 et vendredi 10 juin à 20h30 au cours d’une grande déambulation dans le théâtre.

    Nous retrouverons François Sarhan le 14 avril 2011 à la Scène nationale. Il nous proposera A King, Lear faisant revivre la tragédie du Roi Lear sous une forme à mi-chemin entre l’opéra et le théâtre musical.

    Mardi 23 novembreRencontre publique avec François Sarhan à l’issue de la représentation.

    BonusSamedi 20 novembre 17hL’ensemble crWth donnera un concert gratuit dans le hall du Théâtre. Programme surprise.

    Compagnie Han Tang YuefuChen Mei-O DirectionEnsemble Doulce mémoireDenis Raisin Dadre DirectionMise en scène Philippe Vallepinet Chen Mei-OChorégraphie Compagnie Il Ballarinoet Chen Mei-OAvec 16 artistes sur le plateau

    Vendredi 19 novembre 20h30Salle TouchardTarifs : de 5 € à 25 €Durée : 1h50 sans entracte

    Collaborer avec des artistes et des compagnies étrangères constitue pour la compagnie taïwanaise Han Tang Yuefu et pour Doulce Mémoire, une façon de mettre la musique et les danses anciennes au diapason du monde contemporain.

    Après 10 années d’échanges et d’amitié continus, Han Tang Yuefu et Doulce Mémoire, viennent de créer un spectacle commun, Mémoire des vents du sud au terme d’une résidence au Musée National de Taipei à l’automne 2009.

    Dans Mémoire des Vents du Sud, se répondent sur la même scène la musique traditionnelle nankuan et la musique renaissance européenne pour créer un

    spectacle contemporain inspiré de l’opéra traditionnel chinois. Cette expérience concrète et inédite de collaboration et d’échange, ouvre les musiques et danses anciennes à une modernité nouvelle.

    Mémoire des Vents du Sud est une pièce contemporaine de théâtre chanté. Le déroulement de l’histoire est centré sur la figure du patriarche de l’Eglise nestorienne d’Occident, témoin, en Asie, de l’apogée et du déclin culturels qui se sont produits sous le règne des Tang.

    François Sarhan compositeur en résidenceLe compositeur, musicien et hyper actif, François Sarhan, est à nouveau, cette saison, en résidence à la Scène nationale d’Orléans. Il nous propose une séance de trois “conférences bien particulières accompagnées d’images et de musiques, histoire de feuilleter une encyclopédie dont le contenu est totalement imaginaire” et l’auteur, Henri Jacques Glaçon, quelque peu énigmatique.“Ces soirées seront organisées sous une forme très ludique et accompagnées de diverses actions musicales de toutes natures. On y verra que la musique de notre époque n’est pas toujours celle que l’on croit”. La République du Centre

  • 15 – Scène nationale d’Orléans

    Mémoire des vents du sud

    François Sarhan© François Sarhan

  • 16 – Scène nationale d’OrléansTadjikistan et Iran © Kamrouz

    Cirque du Vietnam © Nguyen Phuong

    Cirque du Vietnam © Nguyen Phuong

  • 17 – Scène nationale d’Orléans

    Tadjikistan et IranMusique du monde

    Musique classique instrumentaleAbdulvali Abdurashidov Sato, tanburSirogiddin Jurayev DotârPasha Hanjani Ney

    Mercredi 8 décembre 20h30Salle VitezTarifs : de 5 € à 20 €Durée : 1h30

    Abdulvali Abdurashidov, grand virtuose du tanbur et érudit reconnu des mâqâms d’Asie centrale, a créé, il y a près de 10 ans, l’Académie du Shashmâqâm à Doushanbe. Son jeu, qui nourrit depuis de nombreuses années la musique savante de son pays, rejoint ici les exigences d’une pratique qui englobe poésie, prosodie, métaphysique, éthique et esthétique. Décoré commandeur des Arts et des Lettres à Paris en 2005, Abdulvali nous vient cette année à Orléans accompagné de deux jeunes talents : l’iranien

    Pasha Hanjani passé maître dans le jeu du ney, et son élève de la première heure à l’Académie, le tadjik Sirogiddin Jurayev, virtuose du dotâr.

    Cirquedu Vietnam

    Cirque

    Spectacle de nouveau cirque vietnamienMise en scène Le Tuan AnhAuteurs Nhat Ly Nguyen, Le Tuan Anh, Lan Maurice NguyenCoordination et composition musicale Nhat Ly NguyenDirection artistique Lan Maurice NguyenChorégraphie Nguyen Tan LocAvec 14 artistes circassiens et 5 musiciens

    Jeudi 2, vendredi 3,samedi 4 décembre 20h30Salle TouchardTarifs : de 5 € à 25 €Durée : 1h10 sans entracte

    Le Cirque national du Vietnam transpose la vie d’un village, au rythme des bambous, des jongleries, des musiques ancestrales. Une vingtaine d’artistes mêlent les arts traditionnels et la création.Créé à l’Opéra de Hanoï au printemps 2009 et repris à la suite au Musée du Quai Branly à Paris, Lang Toi (Mon village) s’affirme résolument comme une autre façon de concevoir et de donner à voir le cirque actuel au Vietnam qui croise de plus en plus les différences tendances circassiennes du monde et affirme pleinement son renouveau.Pour la première fois, le cirque vietnamien sort de la juxtaposition de prouesses individuelles, influencée par les voisins russes et chinois et les cirques européens au xxe siècle. Il devient une aventure collective, telle celle du “nouveau cirque”

    français de la décennie 1970. Lang Toi (Mon village) s’affirme ainsi dans une mise en piste proche de la danse et s’appuie sur un matériau omniprésent dans le pays : le bambou, transformé en agrès fixe ou mobile.Stéphanie Barioz – Télérama

    Lang Toi Mon village

  • 18 – Scène nationale d’Orléans

    A quatre mains

    L’oubli, toucher du bois

    Récital

    Danse

    Laurence et Daniel Benzakoun Piano

    Programme 100% SchubertRondo en la majeur D.951Andantino varié sur des thèmes français en si mineur D.823Fantaisie en fa mineur D.940Grande marche n°5 en mi bémol mineur, D.819Marche caractéristique en do majeur D.886Variations en la bémol majeur, sur un thème original D.813

    Vendredi 10, samedi 11 décembre 20h30Salle VitezTarifs : de 5 € à 20 €Durée : 1h35 entracte compris

    Avec plus d’une trentaine d’œuvres pour piano à quatre mains, l’importance de cette formation pour Schubert n’est pas à démontrer ; la quantité ainsi que la qualité des œuvres parlent d’elles-mêmes. Il s’agit peut-être des pièces les plus significatives de son génie, celles où le désir de communion, de dialogue, de complicité et d’amitié se fait le plus jour. Dès l’âge de treize ans, et jusqu’à sa dernière année, Schubert a confié au piano à quatre mains ses espoirs, sa tendresse, sa résignation ; musique d’ombres et de lumière, de passions et de recueillement, elle demande à ses interprètes une parfaite entente, une grande complicité et une écoute de tous les instants.

    Association FragileConception, chorégraphie et costumes Christian RizzoScénographie Frédéric Casanova, Christian RizzoMusique originale Sylvain ChauveauInterprètes Jean-Louis Badet, Philippe Chosson, Kerem Gelebek, Christophe Ives, Wouter Krokaert, Sylvain Prunenec, Tamar Shelef

    Jeudi 16 décembre 20h30Salle TouchardTarifs : de 5 € à 12 €Durée : 1h10

    Pas de péripéties, aucun emballement, ni charge ni surcharge, dans L’oubli, toucher du bois de Christian Rizzo. De ce chorégraphe, on ne soulignera jamais trop que la principale formation qu’il a reçue fut celle en arts plastiques de la fameuse Villa Arson de Nice. Sa nouvelle pièce se développe dans une splendide boîte installée dans la cage de scène, envoûtée de lumières, bourdonnante de musique. Les sept interprètes en modulent la plasticité du temps qui s’écoule, et de l’espace qui se vide, en creusant doucement ce dernier. Jamais s’en emparer. Encore moins l’envahir.

    Il a mixé bien des programmes depuis ses débuts dans le rock et la mode à Toulouse. L’oubli, toucher du bois marque une orientation nouvelle, où il tente d’oublier ses “tics”, le noir et blanc par exemple, ou le niveau sonore élevé. On n’entend que quelques notes de piano de Sylvain Chauveau avec des traces de la chanson Never Let Me Down Again de Depeche Mode. On découvre le metteur en scène.Marie-Christine Vernay – Libération

    Duo Benzakoun

    Christian Rizzo

    Dans le cadre de “Traverses” – 12e semaines chorégraphiques d’Orléans (Direction artistique Josef Nadj)En parallèle aux accueils-studio, le Centre chorégraphique national d’Orléans soutient les compagnies en présentant leurs créations dans le cadre de la manifestation annuelle Traverses, semaines chorégraphiques d’Orléans. Ainsi, du 3 au 16 décembre 2010, la 12e édition de Traverses sera à nouveau l’occasion pour le public, les artistes et les professionnels de se rencontrer et de dialoguer autour de six créations en danse contemporaine. Le Théâtre d’Orléans participe à nouveau à cette manifestation en accueillant dans ses murs une nouvelle chorégraphie de Christian Rizzo dont la dramaturgie fourmille d’idées.Programme complet de “Traverses” à consulter sur le site www.josefnadj.com

  • 19 – Scène nationale d’OrléansL’oubli, toucher du bois © Marc Domage

    Laurence et Daniel Benzakoun

  • 20 – Scène nationale d’OrléansBlanche Neige © JC Carbonne

    Blanche Neige © JC Carbonne

  • 21 – Scène nationale d’Orléans

    Une innovation, cette saison !Réveillon / Nouvel An – Spectacle exceptionnel !

    BlancheNeigeDanse

    Ballet Preljocaj – Création 2008 pour 26 danseursChorégraphie Angelin PreljocajCostumes Jean Paul GaultierMusique Gustav MahlerMusique additionnelle 79 DDécors Thierry LeproustLumières Patrick Riou assisté de Cécile Giovansili et Sébastien DuéAssistant, adjoint à la direction artistique Youri Van den BoschAssistante répétitrice Claudia De SmetChoréologue Dany LévêqueConseiller acrobaties verticalesAlexandre del Perugia

    Vendredi 31 décembre 20h30, samedi 1er janvier 17h00Salle TouchardTarifs : de 5 € à 32 €Durée : 1h50

    Le chorégraphe et danseur, Angelin Preljocaj, ancré à Aix-en-Provence, au Pavillon Noir, dans une architecture contemporaine mille fois citée, a fait connaître la création chorégraphique française dans le monde entier. Deux représentations exceptionnelles, pour cette soirée de la Saint-Sylvestre et le 1er janvier, Blanche Neige, créé en 2008. Succès mondial actuel du Ballet Preljocaj, le célèbre conte des frères Grimm, la musique de Gustav Mahler, les costumes de Jean Paul Gaultier, les magnifiques et très nombreux danseurs de la compagnie, nous ferons passer de 2010 à 2011 dans le bonheur et la quiétude. Un grand spectacle pour tous !

    “La Blanche Neige, que réinventent le chorégraphe Angelin Preljocaj et le couturier Jean Paul Gaultier, est un grand ballet populaire comme on n’en a pas vu depuis Béjart. Preljocaj réussit, avec les 26 danseurs de sa compagnie, un ballet romantique moderne. Il se débarrasse de toute féerie sucrée et analyse en profondeur, à la lumière du psychanalyste Bruno Bettelheim, le conte des frères Grimm. Entre les trois chasseurs et les sept nains, notre Blanche Neige, habillée-déshabillée

    par Gaultier, serait plutôt une vraie coquine, un brin délurée. (…) Techniquement magnifique, elle subjugue dans plusieurs pas de deux. (…)” Nicole Duault, Le Journal du Dimanche

    “La parenthèse féerique de Preljocaj.C’est tellement réussi : merveilleux pas de deux avec Blanche Neige endormie, nains spéléologues qui multiplient les figures acrobatiques, comme des élastonautes, et costumes de Jean Paul Gaultier dessinés un à un sur les danseurs en mouvement, pour mieux évoquer encore l’univers élégiaque et violent des contes de Grimm.”Claire Chazal, Figaro Magazine

    Attention !Spectacle hors abonnement Scène nationale. Tarifs réduits pour nos abonnés. Il est prudent de réserver dès maintenant.

  • 22 – Scène nationale d’Orléans

    Informations pratiquesInformations / RéservationNouveau billetterie sur internet www.scenenationaledorleans.fr – au guichet du mardi au samedi de 13h00 à 19h00par correspondance Théâtre d’Orléans BP 21269 45002 Orléans Cedex 1 – par mail [email protected] téléphone 02 38 62 75 30 du mardi au samedi, de 14h à 19h – facebook “Scène nationale d’Orléans”

    Tarif dernière minute Moins de 26 ans : 5 € dans la limite des places disponibles, 15 minutes avant la représentation.

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    RencontresVendredi 15 octobreRencontre publique avec Josef Nadj à l’issue de la représentation de Cherry-BrandyMardi 23 novembreRencontre publique avec François Sarhan à l’issue de la représentation de Leçon 1 du Professeur Glaçon - La Guitare automatique

    NouveauAbonnement découverteLa Scène nationale souhaite faire découvrir au public la diversité des artistes qu’elle soutient en musique et en danse. Aussi, 10 spectacles ont été sélectionnés pour vous. A partir de ce choix, vous avez la possibilité de composer votre abonnement découverte 3 spectacles 30 € (tarif plein) et 21 € (tarif réduit). Vous aurez ensuite la possibilité tout au long de l’année d’ajouter des spectacles au tarif abonnés ou de souscrire un nouvel abonnement découverte en choisissant 3 autres spectacles de la sélection… Hâtez-vous, le placement se fait sans distinction de catégorie, par arrivée des souscriptions.Ducret, Cairn, Cendo jeudi 30 septembreLiquide mercredi 20, jeudi 21, vendredi 22 octobre – Mémoire des Vents du Sud vendredi 19 novembre – Ballet du Grand Théâtre de Genève samedi 5 févrierVia Katlehong samedi 12 marsChat perché, opéra rural mercredi 30, jeudi 31 mars – A King, Lear jeudi 14 avrilDeng Deng ! mercredi 11, jeudi 12 maiLa Flûte enchantée samedi 28 maiDu Goudron et des plumes samedi 18 juin

    Participez à une création chorégraphique Le chorégraphe Mickaël Phelippeau vous propose de participer à une création qui sera présentée en juin 2011 sur le plateau du Théâtre d’Orléans. Les répétitions se dérou-leront au théâtre sur quelques week-ends entre octobre 2010 et juin 2011. Pour plus d’informations ou pour vous inscrire :[email protected] à tous : aucune pratique de la danse n’est requise.

    Octobre 2010Je 30 sept. Concert Ducret, Cairn, Cendo 20h30Ve 1 Jazz Créatures 20h30Me 6 Danse MonStreS 15h00Me 6 Danse MonStreS 19h00Sa 9 Danse MonStreS 15h00Sa 9 Danse MonStreS 19h00Me 13 Récital Paris-Vienne 1900 20h30Je 14 Danse Cherry-Brandy 20h30Je 14 Cinéma La couleur dans tous ses états 20h30Ve 15 Danse Cherry-Brandy 20h30Sa 16 Danse Cherry-Brandy 20h30Di 17 Jazz Chick Corea 17h00Me 20 Soirée performance Solo#2 Fréquences 19h00Me 20 Soirée performance Solo#2 Fréquences 21h30Me 20 Soirée performance Sylphides 20h30Me 20 Soirée performance Liquide 20h30Je 21 Soirée performance Solo#2 Fréquences 19h00Je 21 Soirée performance Solo#2 Fréquences 21h30Je 21 Soirée performance Sylphides 20h30Je 21 Soirée performance Liquide 20h30Ve 22 Soirée performance Solo#2 Fréquences 19h00Ve 22 Soirée performance Solo#2 Fréquences 21h30Ve 22 Soirée performance Sylphides 20h30Ve 22 Soirée performance Liquide 20h30Sa 23 Samedis du jazz Kitoko 17h00

    Novembre 2010Ve 5 Chanson Anne Baquet 20h30Ve 12 Chanson Art Mengo 20h30Sa 13 Samedis du jazz Cosmic Drone 17h00Ve 19 Lyrique Mémoire des vents du sud 20h30Sa 20 Concert Ensemble crWth 17h00Ma 23 Concert La Guitare automatique 20h30Je 25 Cinéma Construire-déconstruire 20h30

    Décembre 2010Je 2 Cirque Cirque du Vietnam 20h30Ve 3 Cirque Cirque du Vietnam 20h30Sa 4 Cirque Cirque du Vietnam 20h30Me 8 Musique ⁄ monde Tadjikistan et Iran 20h30Je 9 Cinéma Mourir pour des images 18h00Je 9 Cinéma Mourir pour des images 20h30Ve 10 Récital A quatre mains 20h30Sa 11 Récital A quatre mains 20h30Je 16 Danse L’oubli, toucher du bois 20h30Sa 18 Samedis du jazz Alex Soubry invite Boney Fields 17h00Ve 31 Danse Blanche-Neige 20h30 Sa 1 janv. Danse Blanche-Neige 17h00