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Photo : Werner Moron, «L’architecture de la chance», 2014 © photo : Alain Janssens L’ÉCONOMIE CRÉATIVE COMME VECTEUR DE RÉGÉNÉRATION URBAINE PRÉSENTATION D’É.L.A.N. ET DE L.É.A DOSSIER DE PRESSE Contacts presse : Anne Zumkir (Façons de Voir et AAC) Attachée de presse 0475/85 12 03 [email protected] CONFERENCE DE PRESSE 7 MAI 2014 Direction artistique : L.É.A. porté par Façons de voir Dorothée Luczak - 0474/32 39 93 et Eveline Massart É.L.A.N. porté par les AAC - Daniel Van Kerkhoven et Werner Moron Olivier Béart (SPI) Attaché de presse 0495/274 033 [email protected]

L’ÉCONOMIE CRÉATIVE COMME VECTEUR DE ...De nombreuses études scientifiques ont permis de démontrer que la lumière blanche génocide d’innombrables insectes chaque nuit perturbant

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Photo : Werner Moron, «L’architecture de la chance», 2014 © photo : Alain Janssens

L’ÉCONOMIE CRÉATIVE COMME VECTEUR DE RÉGÉNÉRATION URBAINE PRÉSENTATION

D’É.L.A.N. ET DE L.É.A

DOSSIER DE PRESSE

Contacts presse : Anne Zumkir (Façons de Voir et AAC) Attachée de presse 0475/85 12 03 [email protected]

CONFERENCE DE PRESSE 7 MAI 2014

Direction artistique : L.É.A. porté par Façons de voirDorothée Luczak - 0474/32 39 93et Eveline Massart

É.L.A.N. porté par les AAC - Daniel Van Kerkhoven et Werner Moron

Olivier Béart (SPI) Attaché de presse 0495/274 033 [email protected]

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CONFÉRENCE DE PRESSE

PRÉSENTATION DU PROJET DE RÉAMÉNAGEMENT DU VAL BENOIT ET DE L.É.A. PAR :

LE MERCREDI 7 MAI À 10H ABBAYE DU VAL BENOIT 4000 LIÈGE

Accès :

4 quai Banning, 4000 Liège (suivre les indications Forem Formation)

Jean-Claude Marcourt

Ministre de l’Economie, des PME, du Commerce extérieur, des Technologies nouvelles

VISITE GUIDÉE DU SITE ET PROJECTIONS PRÉSENTANT LES DÉVELOPPEMENTS FUTURS.

Daniel Van Kerkhoven

Administrateur délégué des AAC, responsable du projet É.L.A.N.

Dorothée Luczak

Directrice artistique de L.É.A.

Françoise Lejeune

Directrice générale de la SPI

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LE CONTEXTE : VAL BENOIT DIVERCITYwww.valbenoit.be

Le Val Benoit, ancien site universitaire liégeois, fait actuellement l’objet d’une ambitieuse réhabilitation portée par la SPI. Le master plan déposé en 2013 propose à la fois de préserver une partie du bâti moderniste et d’accueillir de nouvelles constructions. Dans les années à venir, dans un principe de mixité des fonctions, s’y développeront des entreprises, du logement, un pôle d’enseignement, des infrastructures culturelles… Ce lieu se présente comme une alternative durable aux parcs d’activités économiques traditionnels. Il privilégie dès ses prémisses les partenariats et l’ouverture aux publics cherchant à construire leur avenir professionnel.

L’ACCOMPAGNEMENT DU CHANTIER

Dans ce contexte, les ASBL Façons de voir et Les Ateliers d’Art Contemporain initient, dès mai 2014, un processus d’accompagnement du projet mettant en scène de manière durable, par le biais de l’économie créative, les enjeux et les dynamiques de mutation du site. Il est conçu en partenariat avec les bureaux Baumans-Deffet, Alain Dirix et Lemaire en charge de la conception architecturale globale du lieu.

Au cœur d’un espace ouvert situé au sein du site (face à l’ancienne abbaye), divers outils verront progressivement le jour.

1. L.É.A. – Laboratoire Économique & Artistique (initié par Façons de voir) ;

2. L’UNIVERSITÉ du DOUTE (initiée par les ASBL Façons de voir, Y.Q.M. et les A.A.C.) ;

3.É.L.A.N. (initié par les Ateliers d’Art Contemporain).

Ces trois dispositifs sont indissociables et complémentaires. Les projets qui s’y développent sont d’abord présentés au Val Benoit. Certains d’entre eux circuleront ensuite dans d’autres communes et villes de Wallonie ou d’Europe grâce au soutien notamment de l’AWEX, du WBI et de la C.C.I.

Favoriser la créativité et l’innovation constitue le fil rouge de l’ensemble des propositions qui seront faites aux publics. Nous allons donc mettre en place toute activité susceptible de développer la curiosité, l’exploration, les échanges multidisciplinaires, l’hétérogénéité, la sérendipité, l’indépendance de pensée, l’accueil de l’imprévu, l’expérimentation, la perméabilité et l’ouverture d’esprit.

L’innovation découle d’un état d’esprit et non d’une posture. Elle ne peut se développer si l’on est crispé sur les résultats et le dictat des normes. C’est pourquoi il faut lui insuffler un biotope favorable à son éclosion.

Notre expérience nous a donné raison : cette mentalité basée sur l’écoute des réalités et le refus des aprioris donne des résultats durables, rentables et inédits.

À l’intérieur de structures nomades, L.É.A. se présente comme un laboratoire où des expériences économiques et artistiques peuvent être développées. Il s’agit en quelque sorte d’un centre de documentation et de production dédié à des pratiques, des recherches et des matériaux innovants ou détournés de leur fonction première. On y présentera des innovations artistiques, technologiques et sociétales. Ce lieu sera à la fois vitrine et source d’inspiration pour les filières professionnelles et pour un large public. Le dispositif repose sur le savoir-faire de chercheurs universitaires, de techniciens, d’entreprises, d’associations, de créateurs wallons et de citoyens.

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Des entreprises wallonnes pourront y collaborer avec des artistes (belges et internationaux) pour la création d’une application inédite, d’un objet ou de nouveaux concepts.

Plus largement, cet espace s’adresse à toute personne capable de produire un geste technique ou artistique permettant d’étoffer l’offre du biotope de l’innovation.

Situé au cœur d’un immense espace vert, L.É.A. propose aussi aux visiteurs un voyage à la découverte de la nature en ville, de l’architecture, de l’histoire du lieu et de l’art. Les curieux pourront se promener sur le site pour y découvrir une palette variée d’approches : du béton qui intègre des images vidéo, des livres lumineux, des piles rechargeables à l’eau, des impressions sur bâche qui semblent rétro-éclairées, des systèmes novateurs de guidance, des réalisations en bois liquide ou soufflé, des vêtements aux fonctionnalités nouvelles, des cadres qui parlent ou encore des œuvres interactives.

Voici les premiers thèmes qui y seront tout prochainement développés :

1.L’agro-alimentaire et les circuits courts ;

2.L’éco-construction ;

3.L’innovation sociale.

L’UNIVERSITÉ DU DOUTE  Il s’agit d’un espace dédié aux échanges, à la formation, à des workshops, à des ateliers, à des séminaires, à des colloques, à des conférences, à des animations et à des cours thématiques. Ce lieu favorise les rencontres improbables et inédites, la fertilisation des pratiques pluridisciplinaires et la mise en réseau des connaissances et des méthodologies tant à l’échelle nationale qu’internationale. Les personnes en présence viennent, soit pour y déposer un projet à développer avec un groupe, soit pour y acquérir de nouvelles pratiques et des connaissances.

É.L.A.N. : une impulsion pour développer des éclairages artificiels moins énergivores et respectueux des écosystèmes. Le projet a démarré à partir d’une intuition, celle de l’artiste Werner Moron qui – après avoir écouté des scientifiques parler de la pollution lumineuse – a manifesté l’envie de voir mettre au point une minuterie capable de gérer les flux de l’éclairage artificiel à l’échelle d’une année. Pouvoir interagir sur l’orientation, l’intensité, le déclenchement des lumières et ce, à l’échelle d’un parc public de 4 hectares à Chaudfontaine, tel était l’enjeu. Au cahier des charges, s’est ajoutée l’envie de proposer des dispositifs moins énergivores.

Une rencontre heureuse a eu lieu avec Catherine Elsen, membre du comité organisateur de l’initiative IDP, pour « Ingénieur de projets » de la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université de Liège. Un appel fut lancé au sein de l’Université et cinq étudiants furent retenus pour entamer le travail de recherche, encadrés par leurs professeurs.

La situation de départ

L’expression « pollution lumineuse » désigne la dégradation de l’environnement nocturne par émission de lumière artificielle entraînant des impacts néfastes sur les écosystèmes (faune et flore) et sur la santé humaine.

De nombreuses études scientifiques ont permis de démontrer que la lumière blanche génocide d’innombrables insectes chaque nuit perturbant ainsi fortement les écosystèmes (dérèglement du cycle veille-sommeil de certains oiseaux et de certains mammifères notamment) avec des effets non négligeables sur les êtres humains.

Par ailleurs, les installations d’éclairages publics – souvent inappropriées – génèrent d’importantes pertes d’énergies, coûteuses aux collectivités. L’innovation

De nombreux scientifiques cherchent des solutions pratiques, comme en témoigne une expérience pilote développé par la SPI et

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l’Université de Liège au niveau de l’éclairage public. Il s’agit du projet GEPPADI www.spi.be/fr/services/projets-collaborations/geppadi-un-eclairage-intelligent Dans ce sens, un partenariat entre la Faculté des Sciences Appliquées de l’Université de Liège – « IDP Ingénieur de projets » et l’artiste Werner Moron, a permis la mise au point d’un système d’éclairage plus respectueux de notre environnement et moins énergivore. Connecté à l’utilisateur via une interface web, il est modulable minute par minute (flux, intensité, durée, période, orientation). Ce dispositif utilise le spectre vert pour éclairer car les recherches ont démontré que cette lumière était moins perturbante pour la faune et la flore.

Un système d’éclairage connecté

Ce système permet de gérer, en même temps, autant d’éclairages que l’on souhaite. Chaque source lumineuse est connectée à un microcontrôleur, de type Arduino (logé dans une boîte), permettant la gestion du système en temps réel : allumage et extinction, variations d’intensité lumineuse, etc. Les sources lumineuses sont connectées entre elles via un réseau Xbee (similaire à un réseau Wifi). Un système d’éclairage géré à distance

Afin de pouvoir programmer à distance les paramètres des installations, chaque réseau de sources lumineuses est connecté à internet par le 3G. Le dispositif prévoit de programmer le comportement lumineux de l’installation pour une année entière. Un site internet (pour la gestion de la base de données) a été développé pour en faciliter la manipulation. Le but de ce site internet est double : - Pouvoir programmer minutieusement l’éclairage journalier des installations tout au long de l’année et éviter ainsi les gâchis énergétiques ; - Permettre la modification rapide de l’éclairage par des personnes habilitées. Ce type d’éclairage se fera par « saisons » (périodes de durée variable), en fonction des besoins en éclairage de chaque installation.

Qui pourra modifier ou avoir accès aux informations d’éclairage ?

L’accès au logiciel de programmation est protégé par un identifiant et un mot de passe. Se distinguent deux types d’utilisateurs particuliers : - L’utilisateur enregistré : cet utilisateur peut se déplacer à sa guise sur le site afin de voir toutes les informations concernant l’éclairage, au jour le jour des installations. - L’administrateur : en plus d’avoir accès à l’ensemble du site web, ce dernier pourra en modifier toutes les informations relatives aux différents éclairages programmés à l’avance, tant au niveau des « saisons » qu’au jour le jour.

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WERNER MORON L’ARCHITECTURE DE LA CHANCE 2014

PREMIERE REALISATION CONCRETE

Depuis une vingtaine d’années, « L’architecture de la chance » se déploie de manière récurrente par l’artiste. Il s’agit de peintures ou de sculptures qui se constituent autant avec les vides qu’avec les pleins. L’œuvre s’élabore au départ d’une matrice, le plus souvent monumentale, à partir de laquelle W. Moron prélève un certain nombre de fragments qui deviennent ensuite le « pollen » qui se dissémine autour de l’œuvre.

Chaque fragment est une œuvre numérotée. Celle-ci est alors vendue au profit d’un projet plus large que l’intérêt personnel de l’artiste : alimenter les fonds pour une fondation d’art contemporain, financer le fonctionnement d’un espace culturel, etc. L’idée étant de créer ainsi une économie sur laquelle l’auteur ne prend aucun bénéfice.

En 1994, W. Moron a réalisé une toile de 12 mètres de long hors de laquelle sont sortis mille fragments vendus au profit du projet « Mouvement-Inertie » (projet artistique qui a circulé entre l’Espagne, les Pays-Bas et la Belgique).

De 1995 à 1997, il a créé une toile de laquelle

furent extraites cent œuvres dont la vente a alimenté l’économie de l’ASBL liégeoise « Les Brasseurs » pendant deux ans.

Ici, pour le Val Benoit, les découpes sont opérées dans un containeur. Cette œuvre nomade est à la fois un socle et une sculpture en tant que telle.

Il s’agit d’un socle capable de recevoir en son sein des performances, des sources sonores et lumineuses ainsi que des expositions accessibles uniquement par le regard des visiteurs à travers les découpes.

« C’est aussi une sculpture dont les vides accueillent le décor dans lequel elle est installée. Ceux-ci offrent symboliquement – à tous ces containeurs qui amplifient la mondialisation – une légèreté et une inutilité qui nous font du bien », W. Moron.

Les découpes métalliques qui émanent de « L’architecture de la chance » vont être redessinées par une découpe au jet d’eau et numérotées afin d’être vendues au profit de la fondation de « l’Université du Doute ».

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LES ACTEURS DU PROJET

WERNER MORON www.wernermoron.be

Artiste multiforme et multidisciplinaire diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Liège en 1991, Werner Moron travaille sur les cinq continents. Echappant volontairement à tout classement rapide, son œuvre s’intéresse avant toute chose à l’acte posé, à l’intervention dans la société. Pour lui, l’art est une manière d’être, de révéler aussi ce que l’on ne parvient plus à voir et d’agiter des idées dans une démarche qui puise dans le quotidien.

BAUMANS-DEFFET architecture et urbanisme

Dans sa globalité, le projet du Val Benoit est géré par une association momentanée d’auteurs de projet : Baumans-Deffet architecture et urbanisme/Architecture Alain Dirix/Bureau d’étude Lemaire. Les activités de Baumans-Deffet architecture et urbanisme, fondé en 1999, se traduisent par des réalisations d’espaces publics, de projets de planifications urbaines à différentes échelles, d’écoles, de résidences pour personnes âgées et pour logement social, d’espaces commerciaux et d’habitations. Ainsi, l’esplanade Saint-Léonard, le Centre culturel de Stavelot, le site Interlac ou l’école Fonds-de-Loup.

LA SPI www.spi.be

La SPI est l’agence de développement économique pour la Province de Liège. Elle est mandatée par la totalité des communes et par la Province elle-même, son actionnaire principal, pour mener des actions qui poursuivent toutes un but ultime : la création d’emplois et de valeur ajoutée.

GRE-LIÈGE www.gre-liege.be

Acteur important du développement économique, social et urbanistique de la région liégeoise, le Groupe de Redéploiement économique du Pays de Liège étudie les conditions de faisabilité d’un projet, en propose les contours et éventuellement les porteurs. Il est aujourd’hui au centre de nombreux projets essentiels (Immo Coronmeuse, Projet Simenon, CIAC, etc.) Son travail se caractérise aussi par une réflexion stratégique d’ensemble pour la région, sur des horizons à moyen et à long terme et est régulièrement sollicité dans des dossiers d’actualité.

L’ULg www.facsa.ulg.ac.be

La Faculté des Sciences Appliquées de l’Université de Liège, IDP « Ingénieur de Projets ».Le concours a vu le jour en 2009 à l’initiative des étudiants de la Faculté des Sciences appliquées. Les étudiants ingénieurs par groupe de 5 à 10 personnes, en équipes interdisciplinaires mélangeant des ingénieurs civils des différentes filières d’études, et de différentes années d’études doivent mener un projet technologique de A à Z.L’objectif pédagogique est de perpétuer l’excellence scientifique et technique qui fait la renommée de la Faculté, tout en renforçant le développement des compétences transversales nécessaires à l’ingénieur du XXIe siècle.

FAÇONS DE VOIR www.faconsdevoir.org

Orientant ses activités dans la perspective du développement durable, l’ASBL

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constitue un espace de rencontres et un centre de ressources qui rassemble des personnes intéressées par les démarches interdisciplinaires aux frontières des arts et des sciences appliquées à la nature, l’environnement et le cadre de vie. Elle élabore, conçoit et réalise des événements, des outils pédagogiques, des éditions et des dispositifs de médiation vers les publics.

LES ATELIERS D’ART CONTEMPORAIN www.lesaac.net

Lieu de réflexion, d’observation et de recherche sur la création contemporaine, les AAC initient prioritairement des projets artistiques et culturels ayant pour vocation commune la rencontre entre les pratiques artistiques contemporaines et les publics.

NOUS REMERCIONS LE CENTRE DE FORMATION DU FOREM DU VAL BENOIT POUR SON ACCUEIL.

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