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L’édition 2020 du recueil des groupes du Finistère est parue Après la parution de notre premier recueil en 2017 voici, en cette fin 2020, notre seconde édition. Elle recense 49 groupes dont la plupart sont attachés à nos 7 RES’AGRI territoriaux ou à RES’AGRI 29.
Ces groupes sont variés et travaillent sur un panel très large d’activités. Il y a tout d’abord nos structures d’animation territoriales que sont vos Conseils d’administration mais aussi les groupes techniques qui travaillent sur de multiples thèmes comme l’affouragement en vert, l’autonomie en protéines, les robots, la photo, l’énergie… Les groupes jeunes et féminins qui ont le désir de se retrouver plus entre eux mais qui savent s’ouvrir aux autres et accueillir de nouvelles personnes en leur sein.
Entre 2017 et 2020 de nouveaux groupes ont vu le jour : énergie, agrosystème, couverts végétaux légumes, blé biologique, jersiais… D’autres encore peuvent naître et il ne tient qu’à vous, qui lisez ces lignes, de le vouloir.
Nos 49 groupes mobilisent plus de 780 exploitations et donc, approximativement, 1200 agricultrices et agriculteurs et autant de salarié/es.
Merci à nos partenaires CMB et CERFrance de nous avoir appuyés pour la duplication de ce document ainsi qu’aux collaboratrices et collaborateurs de la Chambre d’agriculture qui ont rédigé les fiches en lien avec leur professionnel/les.
Nous allons prioritairement transmettre ce recueil à tous les JI qui vont s’installer au cours des années à venir. Ils pourront ainsi intégrer 1 ou plusieurs groupes et, ainsi, progresser techniquement, humainement, socialement…
Hélène LE ROUX – Présidente de RES’AGRI 29
Contact : Alain LAMOUR, tél 06 71 01 14 44
Plan de relance : ça se précise Le calendrier d’ouverture des mesures du plan de relance qui seront ouvertes aux agriculteurs se précise, ainsi que les modalités d’accès.
Le Ministère de l’agriculture et les services de l’Etat en région s’appuient sur les Chambres d’agriculture pour informer les agriculteurs. Les Chambres d’agriculture de Bretagne se mobilisent pour répondre à cette attente.
L’ensemble des dispositifs sera opérationnel début 2021. Pour vous informer, une Newsletter spéciale « Plan de relance » vous sera adressée avant la fin de l’année.
D’ores et déjà, nous vous proposons de zoomer sur deux dispositifs, susceptibles de vous intéresser : « La prime à
la conversion des agroéquipements » et le « Pacte biosécurité – bien-être animal ».
Prime à la conversion des agroéquipements : Ce dispositif vise à la réduction d’usage de produits phytosanitaires et à l’amélioration de la qualité de l’air. Il se traduira par le versement d’une aide afin d'inciter les exploitations agricoles à acquérir des matériels de précision ou de matériels de substitution permettant d’intégrer des pratiques alternatives à l’usage d’intrants. Demandeurs éligibles :
Exploitations agricoles et leurs regroupements
CUMA
Entreprises de travaux agricoles
Exploitations des lycées agricoles
N° 36 Déc. 2020
GIEE Seront concernés les types de matériels neufs suivants :
Matériel de pulvérisation de produits phytosanitaires permettant d’en réduire l’usage, la dérive et/ou la dose de produit de pulvérisation (buses et équipements)
Matériel de substitution à l’usage de produits phytosanitaires (désherbage mécanique, de broyage,…)
Matériel d’épandage d’effluents
Matériel de précision (limité aux seuls capteurs) Taux d'aide :
matériel de précision (capteurs) : 20%
matériel de pulvérisation/épandage : 30%
matériel de substitution : 40%
bonification JA/CUMA : 10% Le montant minimal des dépenses présentées dans la demande d’aide est fixé à 2 000 € (HT).
Le plafond des dépenses éligibles est fixé à 40 000 € (HT). La demande d’aide se fera sur le site de FranceAgriMer à partir du 4 janvier 2021 via une téléprocédure spécifique
accessible ici : Téléprocédure
Ou https://www.franceagrimer.fr/Accompagner/PLAN-DE-RELANCE/Aide-au-renouvellement-des-agroequipements-necessaires-a-la-transition-agro-ecologique
Le dispositif est doté d’une enveloppe de 135 M€, il sera ouvert jusqu’au 31 décembre 2022, dans la limite des
crédits disponibles. L’instruction des demandes d’aide se fera au fil de l’eau par ordre d’arrivée.
Pacte « biosécurité et bien-être animal dans les élevages » : Cette mesure comporte deux volets :
un volet investissements matériels et immatériels doté d’une enveloppe de 98 M€.
un volet formation des éleveurs au bien-être animal et à la biosécurité doté de 2 M€.
Les modalités précises de mise en œuvre de cette mesure sont toujours en cours de discussions au niveau national. Ci-après quelques éléments d’informations à date du 4 décembre, susceptibles d’évoluer. Volet formation :
Le dispositif s'adresse aux éleveurs et aux salariés d'élevage. Pour les filières porcine et avicole, la formation biosécurité est déjà obligatoire, rien de nouveau donc. Pour les autres filières, la formation ne sera pas obligatoire mais les éleveurs seront fortement incités à la faire. Un éleveur qui l'aura suivie pourrait être prioritaire pour l’accès au second volet « soutien à l’investissement ». Volet soutien à l'investissement matériel et immatériel :
Une liste nationale des investissements éligibles sera établie prochainement par les services du ministère de l’agriculture en concertation avec les représentants des filières, notamment les interprofessions.
Sur la base du cadre national défini, ce dispositif de soutien à l’investissement devrait être mis en œuvre au niveau régional dans le cadre d’un appel à projet du PCAEA début 2021. Ces investissements seront conditionnés au respect de la réglementation actuelle en termes de bien-être animal. Cela devra être attesté par un document de contrôle officiel, par un document issu du diagnostic bien-être de la filière ou par un autodiagnostic. La mise aux normes bien-être animal n'est donc pas finançable. En attendant notre newsletter spéciale fin décembre, nous restons à votre disposition.
Plus de détails sur http://www.synagri.com/ca1/synagri.nsf/pages/accueilRegion#
Contact : Mary HENRY, tél : 02 23 48 27 70 ou 06 30 23 03 76
Simplifier la phase lactée des veaux laitiers : être simple, efficace et performant Lors du précédent envoi, nous avions fait le point sur le plan lacté constant 1 repas par jour - 6 jours par semaine en lait entier.
Il est aussi possible de simplifier le plan lacté avec de l’aliment d’allaitement :
34 kg de poudre
Les règles à respecter : - La concentration en poudre de la buvée (200 g / litre de buvée) - La température de dilution dans de l’eau à 60°C
Aliment d’allaitement : 1 repas / jour 7 jours / semaine
Comme en lait entier, la rigueur est de mise sur les quantités distribuées. Au-delà du temps gagné pour des performances équivalentes, les plans constants permettent de simplifier les calculs et la transmission d’informations dans le cas où plusieurs personnes sont amenées à gérer la phase lactée.
Pour en savoir plus sur les autres plans lactés simplifiés : Lien : http://www.bretagne.synagri.com/ca1/synagri.nsf/pages/l-
elevage-du-veau-de-0-a-6-mois
Contact : Pascale MORIN : tél 02 98 52 49 37 ou 06 43 55 58 68 [email protected]
Le maïs épi testé cet hiver sous forme d’ensilage, sur le troupeau bio de Trévarez L’ensilage de maïs épi va être comparé à l’ensilage de maïs plante entière, habituellement utilisé dans la ration des vaches pendant la période hivernale. Il sera apporté en complément de l’ensilage d’herbe précoce distribué à volonté.
L’ensilage de maïs épi correspond à la récolte de l’épi de maïs complet (grain, rafle, spathes) broyé et conservé par ensilage, en silo. La récolte du maïs sous cette forme peut être intéressante dans l’objectif d’une autonomie alimentaire de l’exploitation, en permettant d’apporter un produit plus concentré en énergie, mais aussi en protéines, que la plante entière. Pour la moitié des vaches du troupeau, les 5 kg MS / VL d’ensilage de maïs plante entière vont donc être remplacés par
5 kg MS d’ensilage de maïs épi afin d’en étudier l’impact sur les performances des animaux. L’impact sur le système de l’exploitation (surfaces nécessaires) sera aussi pris en compte, afin de voir si l’intérêt zootechnique compense la potentielle hausse de l’ingestion et baisse de rendement par cette forme de récolte.
Contact : Estelle CLOET, tél 06 77 89 86 90 [email protected]
Le GIE Tech PORC* a organisé 2 webinaires : « Comment les bâtiments porcins répondront-ils aux enjeux de demain ? » en
remplacement de la journée Tech PORC initialement prévue le 17/11/2020 à Rennes
Ces 2 webinaires se sont déroulés les 17 et 18 novembre 2020 après-midi et ont rencontré un vif succès. Merci au 488 participants (288 mardi et 200 mercredi) d'avoir
contribué, par leurs questions, à l'intérêt des 2 après-midis dédiées à l'adaptation technique des bâtiments porcins aux enjeux sociétaux de bien-être animal, travail et environnement. Parmi l’ensemble des interventions réalisées par les intervenants des 3 structures, les ingénieurs de la CRAB ont fait un focus sur :
la prise en compte du bien-être animal avec des interventions dédiées à la satisfaction des besoins comportementaux des porcs , aux questions posées par l’arrêt de la caudectomie et la suppression de la contention des truies en maternité (Yannick Ramonet et Nicolas Villain)
l’amélioration des conditions de travail pour en optimiser le confort et renforcer son attractivité (Caroline Depoudent)
la réduction des impacts environnementaux via l’acidification du lisier ou le lavage d’air (Anne-Sophie Langlois et Pierre Le Devehat)
la maîtrise des consommations d’énergie (Frédéric Kergourlay)
RDV aux prochaines restitutions des travaux de R&D de nos experts. *(Chambre d’agriculture de Bretagne, IFIP, Chambre d’agriculture des Pays de la Loire)
Contact : Marie-Laurence GRANNEC, tél 02 23 48 26 79 ou 07 89 67 05 59 [email protected]
Trois conseils pour maîtriser l’alimentation hivernale des vaches allaitantes
Adapter la finition des vaches de réforme L’engraissement des vaches de réforme l’hiver, avec des places limitées en bâtiment et des coûts journaliers élevés, doit être ajusté selon le débouché et le gain économique. La vente d’animaux maigres doit être évitée mais le niveau et la durée de finition est très variable. C’est le thème du troisième article proposé par la Chambre d’agriculture de Bretagne après « Alloter selon les besoins des animaux » et « Connaître la valeur des fourrages en stock » parues lors des deux derniers flash.
Plusieurs critères doivent orienter les régimes et la durée de finition :
1/ Critères animaux jouant sur la durée de finition
Durée courte Durée longue
Age
Etat corporel
Race
Jeune âgée
Bon état maigre
Précoce tardive
2/ Critères justifiant un fort niveau de finition
Intérêt Fort Intérêt faible
Age
Valorisation
Conformation
Jeune âgée
Elevée faible
Elevée faible
3/ Durées de finition moyenne par race
Rustiques 1-3 mois
Charolaise-Aubrac 2-4 mois
Limousine 3-5 mois
Blonde d'Aquitaine 5-7mois
Parthenaise 6-8mois
De gros écarts entre races mais forte variabilité intra-race
La finition d’une vache maigre est longue et coûteuse. L’intérêt économique d’un niveau élevé de finition mérite d’être évalué notamment pour des vaches
âgées.
Age : l’engraissement de vaches âgées présente un intérêt
limité voire négatif compte tenu de l’effet des 2 leviers : le prix de
vente est moindre et les performances sont inférieures.
Bien évaluer le gain économique et limiter le niveau de finition sauf débouché spécifique. Etat : les durées de finition peuvent être très longues avec des
animaux maigres. Les problèmes sanitaires type parasitisme ou
aplombs défectueux doivent impérativement être réglés avant le
début d’engraissement.
Limiter les coûts en réalisant un pré-engraissement avec un régime essentiellement à base de fourrages de bonne qualité. Race : Les animaux de race tardive tels que la blonde
d’aquitaine ou la parthenaise qui combinent une faible capacité
d’ingestion et un dépôt de gras tardif. Ces animaux exigent des
finitions longues (5 à 8 mois) avec des rations riches en
concentrés dont les coûts sont plus élevés s‘ils sont achetés. Par
contre les races précoces (salers ou croisés lait) combinant une
forte capacité d’ingestion et un engraissement rapide ont des
finitions courtes avec peu (voire pas) de concentrés.
Conformation et valorisation : ces deux critères souvent liés
sont aussi déterminants pour avoir un bon niveau de finition. Un
prix de vente plus élevé justifie un coût alimentaire supérieur.
D’autres éléments peuvent aussi rentrer en compte tels que la disponibilité en places adaptées pour l’engraissement dans les bâtiments ainsi que la disponibilité en stocks de fourrages de bonne qualité et de concentrés produits qui permettent de limiter les coûts de finition.
Réformer tous les ans une partie des femelles doit faire partie d’une stratégie de conduite en lien avec le renouvellement et les circuits de commercialisation de l’exploitation tout en cherchant à optimiser le produit retiré et les coûts de finition. Cela passe nécessairement par une organisation et une anticipation des mises à la réforme.
Contact : Hélène CHANCERELLE, tél 06 73 66 70 21
La GMS en faveur des produits frais et locaux Une charte « Engagement, Provenance et Fraîcheur, au plus près de vous et de vos goûts » a été signée ce lundi 9 novembre 2020 sous l'œil attentif du Ministre de l’agriculture et de l’alimentation, Julien Denormandie.
En gestation depuis deux mois, le projet se concrétise ainsi en pleine période de confinement. Le Ministre de l’agriculture et de l’alimentation veut, avec cette charte, amplifier et inscrire dans la durée l’état d’esprit positif à l’égard des acteurs des produits frais et locaux qui a pris forme lors du premier confinement.
Sous cette bannière, les distributeurs signataires de la charte -E.Leclerc, Carrefour, Auchan, Casino, Monoprix, Franprix, Intermarché, Système U, Lidl, Cora, Aldi, s’engagent à mettre en avant les produits frais et locaux dans leurs points de vente et à les promouvoir par des animations tout au long de l’année. Ils sont par exemple appelés à mettre en place des outils spécifiques, comme une "plateforme de fournisseurs", en lien avec les interprofessions, "dans le respect des relations entre chaque maillon".
Les premières actions devront avoir débuté au plus tard en avril 2021. La charte a été signée pour une durée d'un an et pourra être renouvelée sur la base du bilan effectué par un comité de suivi.
Contact : Nicolas DEBETHUNE, tél 02 97 46 22 12
MSA d’Armorique : tous solidaires pour que Noël reste une fête
L’année 2020 a été marquée par une crise sans précédent, qui plonge de très nombreuses personnes dans la précarité. A l’approche des fêtes de fin d’année, l’un des plus beaux cadeaux que l’on puisse offrir à une famille en difficulté, c’est de l’aider à fêter Noël dans la joie. C’est pour cela que la MSA et le Secours populaire français comptent sur vous ! Quoi donner ? Nous vous invitons à donner tout objet qui rendra un enfant heureux : jouets, livres, instrument de musique, vélo, cd, vêtements …. Un seul impératif est à respecter : il faut que l’objet soit neuf.
Il est également possible de donner des denrées alimentaires non périssables. Il peut s’agir de légumes en conserve, pâtes et riz, soupes, poissons et fruits de mer en conserve, lait en boîte, compotes et fruits en conserve…
Vous pouvez aussi faire un don en argent. Votre participation est libre et en partie déductible de vos impôts. Rendez-vous sur don.secourspopulaire.fr/noel-2020/~mon-don.
Où donner ?
Les dons seront à déposer à l’accueil de l’une des permanences du Secours populaire français. Sur le territoire de la MSA d’Armorique, toutes les adresses et les horaires d’accueil sont
consultables en cliquant sur ce lien ou
https://www.google.com/maps/d/viewer?mid=1Zi-IG-oUvysRVaNnJj7K0ztRlPcxlcQs&ll=48.291424171810164%2C-3.854953528125007&z=9
Quand vous déposerez vos dons, n’oubliez pas de préciser qu’il s’agit d’un geste de solidarité dans le cadre de l’opération MSA solidaire.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur armorique.msa.fr/lfy/noel-solidaire et visionnez la vidéo
Formation « Dressage de son chien de troupeau » Vous avez acheté récemment un chiot pour vous aider auprès de votre troupeau ?
Acheter un chien présentant de bonnes origines ne suffit pas : pour qu’il puisse exprimer ses aptitudes naturelles, et qu’il devienne un véritable auxiliaire pour son maître, un dressage sérieux et adapté est nécessaire.
Cette formation est organisée en partenariat avec l’Association Border Collie 29 (ABC29), et aura lieu au printemps 2021.
Le lieu sera défini suivant la localisation géographique des participants.
Intervenant : Gaëtan Lefeuvre
Coût : 168 € pour les chefs d’exploitation (pour les autres
statuts : salariés, … nous consulter)
Pour participer à la formation, l’âge idéal du chien est de 6-8 mois environ.
Contacts et inscriptions :
Hélène CHANCERELLE, Chambre d’Agriculture, tél 06 73 66 70 21
Guy MEVELLEC, Président d’ABC 29, tél 06 74 11 08 15
Formation « Quoi de neuf en viande bovine ? » Jeudi 14 Janvier 2020 à partir de 10h à la Chambre d’Agriculture de Saint-Ségal Au programme, une journée d’échanges et de discussions entre éleveurs allaitant finistérien permettant d’aborder les aspects conjonctures, les diverses actualités autour de la filière mais aussi les perspectives à venir.
Ce sera aussi l’occasion de présenter les résultats des derniers essais réalisés en bovin viande et les essais à venir.
Nous aborderons également les leviers d’actions possibles en ferme permettant de valoriser au mieux son produit viande tout en limitant ses charges.
Si vous souhaitez avoir plus d’informations ou vous inscrire, n’hésitez pas à me contacter.
Contact : Hélène CHANCERELLE, tél 06 73 66 70 21 [email protected]
Deux formations en janvier pour préparer sereinement votre projet de transmission, avec les interventions de conseillers spécialisés des Chambres d’Agriculture de Bretagne.
Appréhender les règles juridiques et leurs impacts sur la
transmission de l’exploitation Parce qu’il est important de connaître les aspects réglementaires liés au droit rural, au foncier ou à l’urbanisme et qui peuvent avoir un impact sur la transmissibilité d’une exploitation, la Chambre d’agriculture vous propose une formation d’une journée
mardi 19 janvier 2021, de 9h30 à 17h30 à la Chambre d’Agriculture de Saint-Ségal
Coût : 42 € la journée, éligible au crédit d’impôt formation, pour les chefs d’exploitation et conjoints collaborateurs. Au programme
Statut des propriétés et leurs incidences sur les modalités de vente ou de location d’un bien. Statut du fermage.
Règles de priorités appliquées dans le schéma de structures ; procédures à suivre pour obtenir une autorisation d’exploiter.
Impacts des règles d’urbanisme sur la transmission.
Outils permettant de formaliser un protocole d’accord avec un repreneur, de sécuriser une transmission dans le cas d’une vente de foncier.
Contacts conseiller(e)s transmission :
Rose-Marie DERRIEN, tél 06 48 98 54 60 [email protected]
Anthony FROGER, tél 02 98 88 97 67 82 [email protected]
Sylvie FICHE, tél 02 98 52 49 82 [email protected]
Se préparer au départ d’un associé Vous êtes en recherche d’un nouvel associé suite à un départ ou dans le cadre du développement de l’entreprise. Vous voulez prendre le temps de réfléchir aux conséquences pour vous et pour l’exploitation.
La Chambre d’agriculture vous propose une formation d’une journée,
mardi 26 janvier, de 9h30 à 17h30 à la Chambre d’agriculture de CARHAIX
Au programme :
Clarifier le projet d’association, les objectifs du (des) associé(s) en place.
Identifier les enjeux du mouvement d’associés sur le plan financier, juridique.
Etre prêt à partager un nouveau projet, à prendre en compte les attentes du futur associé.
Mobiliser les réseaux existants pour faire sa recherche.
Réfléchir aux autres scénarios possibles par rapport à la question de la main d’œuvre et du travail (embauche, adaptations au sein de l’exploitation …)
Coût : 42 € la journée, éligible au crédit d’impôt formation, pour les chefs d’exploitation et conjoints collaborateurs.
Contacts conseiller(e)s transmission :
Rose-Marie DERRIEN, tél 06 48 98 54 60 [email protected]
Anthony FROGER, tél 02 98 88 97 67 82 [email protected]
Sylvie FICHE, tél 02 98 52 49 82 [email protected]
Réalisé avec le concours financier de
Toutes les formations et les conditions générales de vente sont consultables sur notre site ou accessibles sur demande :
http://www.chambre-agriculture-finistere.fr/
Consultez notre catalogue formation sur :
www.formation-agriculteurs.com
Chambre d’agriculture 2, allée Saint Guénolé CS 26032 29322 Quimper Cedex
