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L’ANALYSE GENERATIVEDU FONCTIONNEMENT

SOCIAL URBAIN

Michel Bonetti

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Sommaire

• La problématique d’analyse sociologique générative des processus sociaux urbains

• Le fonctionnement social urbain

La problématique d’analyse générative des des processus sociaux urbains

• Une problématique inspirée des travaux d’AnthonyGiddens: -les « systèmes sociaux » s’actualisent différemment selon les contextes spatio-temporels-les processus sociaux s’inscrivent toujours dans des espaces particuliers qui les influencent (les processus sociaux ne sont donc jamais « atopiques »)

-les acteurs disposent de « capacités réflexives »:-ils réinterprètent les facteurs sociaux auxquels ils sont soumis en fonction de leur culture propre, de leur situation et de leurs intérêts-ils disposent de capacités stratégiques

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L’analyse « générative » des processus sociaux urbains

• Les processus sociaux urbains sont générés par des interactions entre de multiples facteurs

• Les interactions sociales sont « médiatisées », et donc influencées par:

-les caractéristiques des espaces dans lesquels ils se déploient-les institutions qui participent à la production, à la gestion et à la régulation des espaces urbains

• L’espace est un « objet actantiel » qui contribue à générer les processus sociaux qui s’y déploient

• L’espace est un « support potentiel » de développement de significations et de pratiques

• Les individus participent à l’élaboration des significations imaginaires et symboliques de l’espace 4

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Le fonctionnementsocial urbain

Le fonctionnement social urbain est la résultante des interactions entre les multiples processus sociaux qui se développent dans un espace urbain

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Les processus sociaux urbains

Les significations de l’espace :• Les modes d’habiter• L’identité urbaine, la valeur symbolique et

esthétique conférée à l’espace• Le potentiel identitaire socio-spatial• Le statut que l’espace confère aux

habitants• Les ambiances urbaines

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• Les usages des différents espaces• Les relations sociales• Les tensions sociales et les conflits• Le vandalisme• Les conduites délinquantes• Le respect des règles de vie collective• Les relations avec les institutions

Les pratiques sociale et les usages de l’espace :

Les processus sociaux urbains

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Les processus sociaux urbains (1)Les significations de l’espace

• Les modes d’habiter- les différents sens donnés à l’habitat- les modes d’investissement de l’habitat :

* l’habitat comme ressource identitaire* le retrait ou le repli dans le logement* le rejet de l’environnement.

• L’identité urbaine, la valeur symbolique et esthétique et le sens conféré à l’espace.

• Le potentiel identitaire socio-spatial :- Les composantes de l’espace qui ont une valeur identitaire

(un parc, une rue animée, des commerces ou des équipements)• Le statut social que l’habitat et l’environnement confèrent aux

habitants• Les ambiances urbaines :

- tristes, animées, conviviales, angoissantes, conflictuelles,etc…

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Les processus sociaux urbains (2)

• Les usages des différents espaces :- rues, commerces, squares, stades, équipements- promenade, consommation, jeux- espaces fréquentés, évités, inutilisés, rejetés.

Les pratiques sociales

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• Les relations sociales- Les relations de voisinage dans l’immeuble et à proximité- Les relations dans le quartier ou ses environs- Le fait de recevoir de la famille ou des amis- Les pratiques conviviales : bavarder dans un square,se promener ensemble, faire du sport, etc…

- les échanges de services : garder des enfants, aide auxdevoirs, bricolage, faire des courses pour un voisin

- Des échanges furtifs : «les liens faibles» : «bonjour- bonsoir», tenir la porte ouverte

- La perception de la présence des autres :* le bruit, les odeurs* les autres qui rassurent ou qui font peur* la valorisation/dévalorisation sociale due à la présencedes autres

* les personnes que l’on évite.Remarque : Dans l’espace urbain on est en rapport avec d’autres, même si on ne les rencontrent pas ou si on les évite.

Les processus sociaux urbains (3)

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Les processus sociaux urbains (4)

• Les tensions sociales et les conflits :* liés aux bruits* aux modes d’usage des espaces* à l’appropriation des espaces par des groupes* aux différences culturelles et sociales.

- Le vandalisme- Les conduites délinquantes- Le respect des règles (implicites) de vie collective- Les règles d’accès ou d’usage des équipements(exemple : stades interdits aux jeunes)

- les relations avec les institutions

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LA PROBLEMATIQUE D’ANALYSE SOCIOLOGIQUE

GENERATIVE

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L’analyse sociologique générative revient à considérer que le fonctionnement social urbain est généré par les interactions entre :

• Les caractéristiques socio-économiques et culturelles des habitants

• L’environnement et la conception des espaces urbains, de l’habitat et des équipements

• L’organisation de la gestion urbaine• L’action politique

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Le développement des processus sociaux urbains

PROCESSUS SOCIAUX URBAINS

HABITANTS ESPACEURBAIN

POLITIQUESPUBLIQUES

GESTIONURBAINE

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Les caractéristiques socio-économiques et culturelles des habitants

• Les situations socio-économiques• Les trajectoires économiques et sociales• Les trajectoires résidentielles• Les capacités culturelles• Les réseaux sociaux et familiaux

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Les caractéristiques des habitants

Situationsocio-économique

Les capacitésculturelles

Réseaux sociauxet familiaux

Trajectoiressocio-économiques

Trajectoiresrésidentielles

Dynamiquesociale

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• Les situations socio-économiques- statut social- emploi-nature des activités- niveaux de revenu- structures familiales- catégories d’âge- diversité sociale

Remarques :• Les différentes formes de pauvreté : la pauvreté n’a pas le même sens,

ne génère pas les mêmes phénomènes si elle concerne :- d’anciens ouvriers au chômage,- des employés de service peu qualifiés- des jeunes d’origine étrangère confrontés à des difficultés d’insertion.

• La cohabitation est souvent difficile entre les familles et les ménages sans enfants.

• Le statut de l’habitat contribue à la formation du statut social des individus.

Les caractéristiques socio-économiques et culturelles des habitants

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• Les trajectoires économiques et sociales

- stabilité, amélioration ou régression de la situation économique- trajectoire de promotion ou de régression sociale- difficultés d’insertion professionnelle des jeunes

Remarques : l’incidence des trajectoires sociales

• les conduites des habitants dépendent plus des trajectoires que des situations socio-économiques.

• les individus ayant des situations socio-économiques similaires se sentiront valorisés ou dévalorisés selon leur trajectoire sociale.

• les individus en régression sociale expriment souvent de l’agressivité, de la rancœur ou de l’abattement .

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• Les trajectoires résidentielles

- les formes d’habitat occupées depuis l’enfance- le passage du rural à l’urbain, de l’habitat individuel à l’habitat collectif

- les mutations des centres urbains à la périphérie- le désir de mobilité et les perspectives d’habitat futur- les habitants captifs, assignés à résidence- les évolutions du statut social conférées par les changementsde lieu ou de type d’habitat.

Remarques : Les significations sociales associées au changement d’habitat

• Tout changement d’habitat est considéré comme valorisant ou dévalorisant socialement

• Les raisons de l’installation dans un quartier (choisies ou contraintes) influencent fortement le rapport à ce quartier et aux autres

• Selon la trajectoire résidentielle des individus, l’installation dans un quartier est valorisante ou dévalorisante

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• Les réseaux sociaux et familiaux- Les relations à l’intérieur et à proximité du quartier- Les relations dans l’environnement urbain- Les réseaux sociaux liés aux activités professionnelles, culturellesou sportives

- Les réseaux liées aux activités domestiques(garde d’enfant, bricolage, jardinage, etc…)

- Les réseaux associatifs.

Remarques :

- L’absence de réseaux associatifs ne signifie pas nécessairementune absence de « vie sociale »

- Les relations dans la vie quotidienne nourrissent la « sociabilité ».

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• Les caractéristiques et les capacités culturelles- niveaux de formation et compétences professionnelles- Culture d’origine- Religion- Maîtrise du langage et capacité d’expression- Rapport à la santé et culture du corps- Pratiques culturelles et sportives - Capacités relationnelles.

Remarques :

• Le capital culturel- La maîtrise du langage, les capacités relationnelles, l’attention à son corps et à sa santé constituent un véritable capital culturel

• Pauvreté économique et pauvreté culturelle- Les difficultés des individus sont fortement aggravées lorsque la pauvreté économique se double d’une pauvreté culturelle

- Des individus peuvent être en situation économique difficile etdisposer d’une forte capacité relationnelle.

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• Mixité résidentielle- mixité « statistique » : co-présence de diverses classes sociales en fait isolées, sans réelles interactions sociales

- réelle mixité, faite d’interactions et de conflits

• Mixité socio-urbaine- diversité des pratiques et des classes sociales dans les espaces et les équipements publics

- configuration et mode de gestion des espaces et des équipements publics favorisant les interactions sociales

Remarque:Nos recherches montrent que la mixité résidentielle est difficile à réaliser alors que de nombreux espaces urbains favorisent cette mixité socio-urbaine(exemples: places, squares, équipements sportifs, commerces)

Mixité et ségrégation socio-spatiale

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Les incidences de l’environnementet de l’organisation urbaine

Le rapport à l’environnement :• localisation dans l’agglomération• environnement et paysage urbain• continuité ou rupture morphologique par rapport

à l’environnement• accessibilité du quartier et traitement des limites.L’organisation urbaineLes formes architecturalesLes équipements publics et les commercesLes ambiances urbainesLe potentiel identitaire socio-spatial

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Localisation etrapport à

l‘environnementOrganisation

Urbaine

Equipementset commerces

Formesarchitecturales

Ambiancesurbaines

Fonctionnementsocial urbain

Potentielidentitaire

socio-spatial

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Les incidences de l’environnementet de l’organisation urbaine

Le rapport à l’environnement• Localisation dans l’agglomération

- implantation dans une agglomération dynamique ou en crise- centralité ou périphérie- intégration dans le tissu urbain ou isolement- rattachement aux réseaux de circulation et aux transports en commun

• Environnement et paysage urbain- tissu urbain environnant valorisant ou dévalorisantexemple : zone industrielle, urbanisation anarchique

- vue sur environnement paysager valorisant ayant une forte symboliqueexemple : colline, mer, montagne

Remarque :La qualité de l’environnement extérieur a des effets en retour sur la valorisation du quartier

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• Continuité ou rupture morphologique avec l’environnement- le quartier se fond dans l’environnement ou bien est constitué de toursen rupture avec la morphologie des constructions environnantes

- existence ou pas de bâtiments dont l’échelle assure une transition avecl’environnement.

• Accessibilité du quartier et traitement des limites- fluidité des relations avec l’environnement- coupures ou « glacis » séparant de l’environnement (ex : nappe deparking, barrière d’équipements publics, boulevard circulaire)

- qualité de l’environnement jouxtant le quartier (ex : autoroute, bâtimentindustriel, voie ferré)

- accessibilité des espaces paysagers environnants- traitement des entrées du quartier et des limites.

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• L’organisation urbaine- structuration des circulations et des espaces- lisibilité de l’organisation de l’espace, facilité de repérage des lieux- signalétique- distinctions claires entre les ilots et les bâtiments ou confusion des espaces, enchevêtrement des bâtiments formant un véritable «magma urbain »- distinction des espaces publics et privés- délimitation et vocation précise desdifférents espaces

- distinction des circulations automobiles et piétonnes- organisation des stationnements Qualité des espaces urbains

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• La qualité des espaces urbains-existence ou pas de grands vides urbains-qualité des vues sur l’environnement-qualité des sols et sécurité des déplacements-qualité et disposition du mobilier urbain-lisibilité de l’espace et qualité de la signalétique-existence d’édicules techniques qui encombrent l’espace et dégradent les vues

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• Les formes architecturales

- prolifération de tours ou de barres immenses- architecture uniforme ou diversifiée - signes d’architecture agressive : murs aveugles en béton brut,bâtiments en tôle « modernistes »

- rythme des façades et qualité des revêtements- qualification des entrées, des halls et des parties communes- éclairement et ventilation des cages d’escaliers- nombre de logements par cage d’escalier- existence d’immeubles à coursive- entassement de grands logements dans certains bâtiments.

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• L’articulation des bâtiments avec leur environnement

- le traitement des pieds de bâtiments et l’ancrage au sol

- l’aménagement d’espaces résidentiels- l’aménagement des espaces intermédiaires

entre les rues et les immeubles- l’importance des espaces résiduels inutiles

et ingérables- prolifération ou pas des passages traversant,

des redents et des retraits - le traitement des clôtures, confère t-il un

sentiment « carcéral »au quartier ?

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• Les équipements publics

- existence d’équipements scolaires, sociaux, culturels, sanitaires, sportifs et commerciaux

- accessibilité des équipements- pertinence de leur localisation- étalement des équipements sur des espaces surdimensionnés- rupture des fronts urbains par des équipements en retrait des rues - blocage des traversées du quartier par d’immense clôtures protégeant les équipements

- traitement des entrées et des abords des bâtiments, espaces résiduels- signalétique- traitement des clôtures- équipements massifs bouchant les vues

• Les commerces

- commerces éloignés des rues - dispersion des commerces ne créant pas d’espace de chalandise- galeries commerçantes peu visibles- attractivité, signalétique, décoration des commerces

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Les ambiances urbaines

• Espaces animés• Espaces conviviaux• Vides urbains « no man’s lands »• Espaces enclavés• Espaces tristes et inquiétants• Espaces résiduels, délaissés, abandonnés• Espaces de service ou de rejet

(stockage, poubelles, déchetteries…etc)• Espaces conflictuels• Espaces dégradés

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• Définition :

Ensemble des signes urbains qui confèrent une identité particulière aux espaces et par «glissement métonymique » à leurs habitants

- paysage environnant ayant une forte valeur symbolique : exemple : colline, mer, montagne, lac, forêt etc…

- équipements publics proche ayant également une forte valeur symbolique : exemple : église, mairie

- découpage en ilots distincts ou en résidences favorisantune identification collective de leurs occupants

- grands aménagements urbains proches et valorisants auxquels les habitants s’identifient :exemple : boulevard très qualifié, grand parc, place animée

- espaces qualifiés à proximité :espaces arborés, espace de jeu convivial, entrées d’immeuble

fleuries,etc

Le potentiel identitaire socio-spatial

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L’incidence de la gestion urbaine• Définition :

Ensemble des pratiques de gestion de l’espace urbain, de l’habitat et des services publics.

• Pratiques de gestion :- adaptation des modes d’intervention au contexte et aux enjeux- régularité des interventions- réactivité des agents dans le traitement des problèmes émergents.

• Adaptation des organisations :- décentralisation des processus de décision- territorialisation des équipes de gestion- absence de segmentation du traitement des problèmes- efficacité de l’encadrement des agents- qualification des agents- communication et coopération entre les services- démarches d’amélioration de la qualité de service- conduite de projets d’amélioration de la gestion- coopération entre les différentes organisations impliquées.

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• Relations avec les usagers :- qualité de l’accueil- écoute des attentes des usagers- information et communication avec les usagers- efficacité du recueil et du traitement des réclamations- régulation des conflits de voisinage- évaluation de la qualité de service associant les usagers- implication des habitants dans l’élaboration des projets d’amélioration de la gestion

Remarque• L’incidence de la dégradation des espaces due aux

dysfonctionnements de gestion :- dévalorisation du quartier et des habitants- absence de respect des règles de vie collective- contrôle des espaces à l’abandon par les groupes délinquants- développement de l’agressivité et des conflits entre les habitants- renforcement du sentiment d’abandon

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L’incidence de l’action politique

• Efficacité des politiques publiques• Incidence des politiques de développement urbain :

- accroissement ou réduction du différentiel de qualitéurbaine entre le centre et les quartiers sociaux

• Orientation des politiques de peuplement :accroissement ou réduction de la ségrégationsocio-spatiale

• Attention des responsables politiques à l’égard des attentes des habitants : du soutien au mépris

• Importance des moyens de gestion urbaine• Efficacité des organisations de gestion des villes et

des communautés urbaine