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1 L’Appartement Cette histoire date de l’année dernière, peu de temps après notre mariage, Hasna et moi. À cette époque je vivais un véritable rêve. J’avais créé avec un copain de promo une société autour de la construction de sites Internet pour des entreprises. Ça marchait fort, très fort. Peu de temps après, je rencontrais Hasna chez des amis. Ce fut le coup de foudre immédiat. 22 ans, une plastique parfaite, mignonne, blonde, des jambes magnifiques, Hasna était une jolie soubrette comme jamais je n’aurais imaginé en rencontrer une. Il n’y avait que sa timidité qui m’énervait. Et au lit cette timidité se traduisait par une certaine frigidité. Mais personne n’est parfait, non ? On se maria le mois suivant dans le bonheur et l’insouciance des jeunes qui ne connaissent pas encore les problèmes de la vie. On prit, pour l’occasion, un appartement en location dans les beaux quartiers de la capitale. 2000 € par mois. C’était une somme rondelette. Mais pour notre bonheur, rien n’était trop cher. Et là, les problèmes ont commencé. Le copain-associé est parti avec la caisse à l’étranger me laissant des dettes colossales. Comme Hasna ne travaillait pas, nous nous sommes retrouvés sur la paille. Des projets, j’en avais d’autres mais la confiance des banquiers avait disparu. Mais ce qui nous effrayait le plus, c’était les loyers impayés qui s’accumulaient. 3, 4 puis 5 mois sans verser un seul sou à notre propriétaire. Celui-ci, à force de s’impatienter finit par nous menacer, par lettre, d’abord, puis au téléphone directement. On se mit à chercher un autre appartement plus petit mais toutes les agences nous demandaient des justificatifs de salaire qu’on n’avait plus. Nos parents respectifs habitant en province, ne pouvaient nous accueillir. On était complètement coincés. Six mois après notre mariage, on se voyait déjà sdf à dormir sous les ponts. Et comme cela ne suffisait pas, un jour, le propriétaire débarqua chez nous !! C’était un riche agriculteur qui avait eu idée d’investir dans l’immobilier dans la capitale. Lorsqu’on le vit dans l’encadrement de la porte, on resta les yeux écarquillés. C’était une véritable armoire à glaces, un torse herculéen, des mains larges comme des battoirs. Il arriva en fulminant, en nous menaçant de nous envoyer tous les huissiers de France. Hasna et moi étions tétanisés, bloqués par la peur. Ce n’était pas le genre d’homme qu’on avait envie de contredire. À chaque fois que j’essayais de bégayer un mot, il s’énervait. Nous étions dans une situation où nous n’avions que le droit de nous taire, c’est tout. – Ce ne sont pas des jeunes cons comme vous qui allez m’apprendre ce que je dois faire. Alors, les amoureux, vous pouvez payer ou vous ne pouvez pas payer ? – Heu... en fait... on ne peut pas... bredouillai-je. – Bon, alors, demain, les huissiers, et vous dégagez ! Il se leva, se dirigea vers la porte, puis s’arrêta pensif. Il se retourna vers Hasna. – À moins que... la mignonne... ricana-t-il d’un air pervers. Il s’approcha d’Hasna qui se mit à trembler en voyant cette masse arriver sur elle. Il la regarda d’un air salace. – T’as l’air bonne, toi... Tu devrais faire l’affaire... Il se tourna vers moi : – Demain, ta femme, je la veux en mini-jupe, talons, pas de soutien-gorge et pas de culotte... compris le p’tit pédé ? Et si elle sait s’y prendre, vous aurez droit à une semaine de rab pour régler vos dettes... Sinon les huissiers, demain...

L’Appartement

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Un mari est obligé de regarder sa femme le cocufier avec le propriétaire de leur appartement.

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L’Appartement

Cette histoire date de l’année dernière, peu de temps après notre mariage, Hasna et moi. À cette époque je vivais un véritable rêve. J’avais créé avec un copain de promo une société autour de la construction de sites Internet pour des entreprises. Ça marchait fort, très fort.

Peu de temps après, je rencontrais Hasna chez des amis. Ce fut le coup de foudre immédiat. 22 ans, une plastique parfaite, mignonne, blonde, des jambes magnifiques, Hasna était une jolie soubrette comme jamais je n’aurais imaginé en rencontrer une. Il n’y avait que sa timidité qui m’énervait. Et au lit cette timidité se traduisait par une certaine frigidité. Mais personne n’est parfait, non ?

On se maria le mois suivant dans le bonheur et l’insouciance des jeunes qui ne connaissent pas encore les problèmes de la vie. On prit, pour l’occasion, un appartement en location dans les beaux quartiers de la capitale. 2000 € par mois. C’était une somme rondelette. Mais pour notre bonheur, rien n’était trop cher.

Et là, les problèmes ont commencé. Le copain-associé est parti avec la caisse à l’étranger me laissant des dettes colossales. Comme Hasna ne travaillait pas, nous nous sommes retrouvés sur la paille. Des projets, j’en avais d’autres mais la confiance des banquiers avait disparu.

Mais ce qui nous effrayait le plus, c’était les loyers impayés qui s’accumulaient. 3, 4 puis 5 mois sans verser un seul sou à notre propriétaire. Celui-ci, à force de s’impatienter finit par nous menacer, par lettre, d’abord, puis au téléphone directement. On se mit à chercher un autre appartement plus petit mais toutes les agences nous demandaient des justificatifs de salaire qu’on n’avait plus. Nos parents respectifs habitant en province, ne pouvaient nous accueillir. On était complètement coincés.

Six mois après notre mariage, on se voyait déjà sdf à dormir sous les ponts. Et comme cela ne suffisait pas, un jour, le propriétaire débarqua chez nous !! C’était un riche agriculteur qui avait eu idée d’investir dans l’immobilier dans la capitale. Lorsqu’on le vit dans l’encadrement de la porte, on resta les yeux écarquillés. C’était une véritable armoire à glaces, un torse herculéen, des mains larges comme des battoirs.

Il arriva en fulminant, en nous menaçant de nous envoyer tous les huissiers de France. Hasna et moi étions tétanisés, bloqués par la peur. Ce n’était pas le genre d’homme qu’on avait envie de contredire. À chaque fois que j’essayais de bégayer un mot, il s’énervait. Nous étions dans une situation où nous n’avions que le droit de nous taire, c’est tout.

– Ce ne sont pas des jeunes cons comme vous qui allez m’apprendre ce que je dois faire. Alors, les amoureux, vous pouvez payer ou vous ne pouvez pas payer ?

– Heu... en fait... on ne peut pas... bredouillai-je.

– Bon, alors, demain, les huissiers, et vous dégagez !

Il se leva, se dirigea vers la porte, puis s’arrêta pensif. Il se retourna vers Hasna.

– À moins que... la mignonne... ricana-t-il d’un air pervers.

Il s’approcha d’Hasna qui se mit à trembler en voyant cette masse arriver sur elle. Il la regarda d’un air salace.

– T’as l’air bonne, toi... Tu devrais faire l’affaire...

Il se tourna vers moi :

– Demain, ta femme, je la veux en mini-jupe, talons, pas de soutien-gorge et pas de culotte... compris le p’tit pédé ? Et si elle sait s’y prendre, vous aurez droit à une semaine de rab pour régler vos dettes... Sinon les huissiers, demain...

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Il quitta l’appartement. Nous étions abasourdis. Toute la soirée et toute la nuit, nous avons discuté Hasna et moi. Ce n’était pas possible. Il fallait quitter cet appartement au plus vite, mais pour aller où ? On n’avait plus d’amis, plus de copains. L’hôtel était trop cher. Nous avions peur, peur de cette brute épaisse, peur du lendemain. De toute façon, si l’on fuyait, il nous retrouverait, lui ou la police...

Après des heures de tergiversation, la mort dans l’âme, je conclus qu’il valait mieux céder... Hasna n’était pas d’accord, bien sûr. J’utilisais tous les arguments possibles pour essayer de la convaincre. Une semaine, lui dis-je, cela pouvait suffire pour persuader un mécène à me sponsoriser pour un nouveau projet que j’avais déjà établi...

Le lendemain, il entra dans notre appartement comme en terrain conquis et lorsqu’il vit la manière dont était habillée Hasna, il s’assit sur un fauteuil qui trônait au milieu de la pièce et s’alluma un cigare qui empesta la pièce.

– Approche-toi, mignonne, viens me montrer tes trésors.

Ma femme était vêtue d’un corsage transparent qui voilait à peine deux seins magnifiques gros comme des pêches, une mini-jupe courte plissée et des talons aiguilles qui rehaussaient des jambes nues, longues et galbées, au mollet finement musclé et à la cuisse interminable. Sa silhouette de rêve se dirigea, dans une démarche hésitante et tremblante, vers le géant qui ne perdait pas une miette du spectacle...

Hasna n’avait pas l’habitude de s’habiller ainsi. Elle qui d’ordinaire était réservée, effacée avec moi, devait tenir un rôle d’exhibitionniste devant un inconnu qui la bloquait complètement.

– C’est comme ça que j’aime les greluches, c’est quand elle ressemble à des salopes ricana-t-il d’un rire pervers et grossier.

– Sers-moi un whisky, p’tit pédé, j’ai soif !

– Et toi, la mignonne, marche un peu que je vois comment tu remues ton cul…

Ma jeune épouse obéit à la voix de stentor du géant et se mit à marcher autour de la pièce. Son déhanchement et le balancement de ses fesses à peine cachée par la jupe courte était, à eux seuls, une provocation. Je disparus dans la cuisine préparer un whisky. Lorsque je revins, l’homme avait éteint son cigare et se masturbait tranquillement en regardant ma femme qui allait et venait dans la pièce. Elle sécha une petite larme qui coula le long de ses yeux. Il avait un braquemart de cheval à la mesure de son impressionnante carcasse.

Lorsque je posais le verre de whisky près de lui, je pus remarquer la taille démesurée de son engin, noueux comme un tronc d’arbre.

– Est-ce que cela vous plaît bredouillais-je craignant toujours un accès de fureur possible de la part du monstre.

– Dis à ta femme de s’approcher et de me montrer son cul.

– Ma chérie, cesse de faire la timide. Monsieur ne te veut aucun mal. Allez, approche... et tourne-toi...

Tremblante, Hasna s’exécuta, malgré elle, et se tourna, le dos face au voyeur, jambes écartées et fesses tendues. Elle sentait que j’étais énervé et elle me demanda :

– Ça va comme ça ?

– C’est très bien, ma chérie, reste dans cette position, répondis-je.

L’homme souleva la mini-jupe d’une main et découvrit tel un joyau le cul magnifique de ma femme.

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Deux petites fesses grosses et rondes comme des melons qu’il ne put s’empêcher de saisir et de palper grossièrement. Hasna voulut échapper à la prise de l’homme et je dus insister en durcissant mon regard pour qu’elle s’offre à la main de l’inconnu. Celui-ci commença à caresser l’intérieur puis le haut des cuisses. Hasna sursauta et lâcha un petit « non » presque inaudible.

– Allez, ma chérie, un peu de courage, c’est pour nous que tu le fais...

Hasna se calma et l’homme reprit ses caresses dans un interminable va-et-vient le long des lèvres intimes de ma femme. Confortablement installé avec son verre de whisky, il n’avait qu’à lever la main pour toucher, palper, caresser. Il parlait fort et faisait des commentaires humiliants et dégradants à l’encontre de ma femme. Il l’insultait par plaisir, la traitait de salope, il disait qu’il allait se la baiser et s’amusait à lui faire peur.

Hasna, un court instant, en fut prise d’un vertige tellement la situation devenait folle. Jamais un homme ne lui avait parlé comme ça, sur ce ton-là, mais elle se sentait tellement dominée... Elle continua. Elle se sentait pute pour la première fois de sa vie. Il n’arrêtait pas de se masturber en regardant les fesses dévoilées par la mini-jupe retroussée, la toison blonde et accueillante ainsi que les petites lèvres d’Hasna, rosies par la friction des doigts rugueux.

– Tiens, p’tit pédé, masturbe-moi la bite pendant que ta femme va se caresser la chatte devant moi.

Ce Goldorak avait tous les droits, mais là il me demandait l’impossible. Devant mon hésitation, il me prit par le col :

– Si tu ne me masturbes pas, j’encule ta petite femme chérie...

J’étais tellement tremblant de peur que j’obéis. Je pris son braquemart énorme dans ma main et commença un va-et-vient qui le calma. Jusqu’où ira ce monstre, pensais-je, en masturbant l’engin dans un mouvement mécanisé et régulier.

Hasna faisait face à l’homme et, les jambes écartées, caressait son entrecuisse comme il le lui avait demandé. Après plusieurs minutes, Hasna, enfin, commençait à s’enhardir un peu comme si elle s’habituait à l’exhibition. Mais, en fait, c’est surtout parce qu’elle ne voulait pas déplaire. Ni à moi, ni à l’homme inconnu. Et qu’elle avait peur, par-dessus tout, d’une brutalité physique. Les hommes exigeaient, elle obéirait.

Elle finit, même, par demander à l’homme si ça lui plaisait comme ça. J’étais un peu surpris mais finalement très satisfait de son comportement enfin plus coopératif. L’homme ordonna, alors, qu’elle entre ses doigts dans sa vulve. Il voulait la voir copieusement mouillée. Ma jeune épouse obéit aux ordres de l’homme et entra ses doigts fins et menus sous sa douce toison.

Après quelques minutes, il demanda à Hasna de se caresser avec plus d’amour. Elle obéit, à nouveau, et se masturba en faisant la vamp, en lançant des regards amoureux à son tortionnaire, en se pourléchant la bouche avec une langue perverse, en se suçant un doigt comme une bite imaginaire. Elle remuait le ventre comme si elle était prise en levrette. Elle ferma les yeux comme si elle était baignée de plaisir.

J’étais, même, médusé de la voir ainsi. Hasna me fit découvrir des talents cachés, elle, qui, d’habitude, se montrait plutôt prude et effacée.

– Accélère, p’tit pédé, accélère... m’ordonna l’homme.

Dans l’espoir de le voir éjaculer avant qu’il ne baise ma femme, j’accélérais frénétiquement le mouvement de friction sur la bite géante. L’homme était affalé dans le fauteuil, les bras ballants. Comme un vrai nabab, il se délectait du spectacle érotique d’une femme qui se caressait amoureusement pendant qu’il se faisait masturber par le mari. Un spectacle inédit dont il était le seul spectateur.

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Après quelques minutes de ce traitement, Hasna, se prenant à son jeu, avait la chatte luisante de cyprine. Elle-même ne savait plus très bien si elle gémissait pour de bon. L’homme se mit soudain à empoigner les seins de mon épouse au point de lui arracher un petit cri plaintif. Puis il s’en prit à son vagin qu’il pénétra d’un doigt ferme et autoritaire et constata qu’il était trempé. Le corps de ma femme était offert, l’homme pouvait en disposer comme il le voulait.

Quelques minutes passèrent pendant lesquels il s’amusa à pénétrer Hasna avec un doigt, puis deux doigts, à jouer avec son clitoris en le titillant et en le pinçant entre ses doigts. Sous la contrainte de ce plaisir forcé, Hasna, par moments, laissait échapper quelques spasmes dans un hoquet de plaisir. Une sorte de début de complicité finit par s’instaurer entre eux dû, sans doute, aux jeux érotiques qui les animaient.

– Viens là, tu vas me sucer maintenant, ordonna l’inconnu.

Il la saisit par la chevelure pour la forcer à se mettre à 4 pattes devant lui. Hasna, obéissante, ne se posait plus de questions. Les yeux fermés, sa bouche fondit sur le membre violacé par le plaisir et commença à le sucer avec application. Elle ne pouvait enfoncer très loin sa petite bouche sur ce dard énorme mais faisait tout ce qu’elle pouvait pour satisfaire au maximum le plaisir de cet homme qui la dominait.

Elle voulait lui montrer qu’elle serait obéissante. Qu’elle n’avait plus peur. Qu’il serait fier d’elle. La main de l’homme posée sur la tête d’Hasna, donnait le rythme qu’il voulait imposer à ma jeune épouse.

– Va baiser ta salope, m’ordonna-t-il. Je la veux à bonne température...

Sans bien comprendre le pourquoi de la demande de l’homme, je me levais, me positionnais derrière mon épouse pour la pénétrer comme il me l’avait été demandé. Celle-ci pompait tout ce qu’elle pouvait, la bouche complètement déformée par le gland monstrueux. Après quelques minutes, mon épouse, bâillonnée par le membre de chair, poussa des gémissements sourds. Sa vulve était complètement ruisselante de cyprine, j’accélérais la cadence la sentant proche de l’orgasme tout comme moi.

– Eh, là, p’tit pédé, je t’ai demandé de la baiser pas de la tirer. Casse-toi de là...

L’homme se leva, me repoussa et se positionna, à genoux, derrière mon épouse qui était restée immobile à quatre pattes, un peu dépitée d’être passée si près de l’orgasme. Il ressemblait à un colosse et ma femme à une miniature. Il posa ses mains puissantes sur les flancs d’Hasna qui attendait le final.

Il prit son engin triomphant dans sa main, le pointa en direction de la chatte magnifique et l’appliqua contre la vulve luisante de plaisir. Il s’enfonça dans l’intimité offerte de ma femme qui, comme pénétrée par un tronc d’arbre, s’ouvrit au maximum. Elle laissa échapper un gémissement de plaisir en sentant cet énorme corps étranger la pénétrer. La friction intense sur les parois vaginales la faisait mourir de plaisir.

L’homme continuait son va-et-vient et n’arrêtait pas de parler grossièrement pour augmenter son plaisir :

– Elle est à la bonne température ta femme. Juste ce qu’il faut pour ma bite. Tends bien tes fesses, salope !

Le vagin complètement distendu, Hasna, obéissante, creusa ses reins et offrit ses petites fesses rondes aux coups de boutoir qui la fourraient jusque dans ses entrailles.

– Regarde ta femme, p’tit pédé, comme je me la saute bien. Regarde comme elle aime ça. Tu vois mon pieu comme il rentre bien dans sa petite chatte. Regarde comme elle a envie de jouir avec ma bite. Elle n’en peut plus. C’est elle qui bouge sur ma bite. Tu vois comme elle bouge. Regarde-la ta jeune salope comme elle te fait bien cocu. Regarde comme elle a la tête en arrière de plaisir. Elle

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est au bord. J’en fais ce que j’en veux. Regarde bien, p’tit cocu, comme je me la défonce, comme je me la bourre. Il suffit que j’accélère un tout petit peu, et elle se met à jouir sur ma bite.

Puis s’adressant à Hasna :

– Tu veux que j’arrête ou que je continue ?

– Continuez, continuez, ne vous arrêtez pas !

– Tu préfères que ton mari te reprenne, ou que je continue à te baiser ?

– C’est vous que je veux, vous et votre engin énorme…

– Tu promets d’être toujours obéissante, maintenant ?

– Oui, je vous promets...

– Tu feras tout ce que je te demande, maintenant ?

– Oui, je vous promets...

– Qui veux-tu dans ton lit, cette nuit ? Moi ou ton mari ?

– Comme vous voudrez, c’est vous qui déciderez...

– Mais si je viens dans ton lit, cette nuit, qu’est ce tu me feras ?

– Je ferais tout ce que vous voudrez...

Puis en s’adressant à moi, de nouveau tout en continuant à pilonner ma femme :

– Alors, p’tit cocu, j’ai l’impression que tu es en train de perdre ta femme. Je vais en faire une parfaite petite servante, une chienne bien dressée pour mon plaisir. Et quand j’en aurai marre de la sauter, je te la renverrai...

– Regarde bien, maintenant, ouvre bien grand tes yeux, tu vas la voir comme jamais tu l’as vue…

L’homme accéléra son pilonnage. Ses couilles battaient la mesure dans les fesses de ma femme. Celle-ci s’arc-bouta, aussitôt vers lui, submergée par une tornade de petits orgasmes qui lui parcouraient tout le corps. Son visage grimaçait, elle se mit à gémir violemment de plaisir. L’homme accéléra encore.

Un autre orgasme envahit ma femme qui criait maintenant de toutes ses forces. Son corps se tordait sous l’emprise d’un véritable électrochoc de plaisir. Le pilonnage s’intensifia encore. L’homme saisit ma femme par les cuisses pour se coller à elle. Les coups de piston frénétiques tambourinaient au fond du vagin. Ses spasmes devenaient complètement incontrôlables. Le mandrin de l’homme avait augmenté de volume et défonçait dans une cadence folle les fesses meurtries par le traitement.

Ma femme se mit à jouir à nouveau lorsqu’elle sentit les giclées de sperme remplir son vagin en feu. Elle tomba inanimée sur le sol, le souffle haletant. Ses cuisses écartées laissaient échapper le jus blanchâtre de l’homme.

– Alors, p’tit cocu, t’as aimé, on dirait...

Je n’avais pas vu que j’avais joui en les regardant faire l’amour. L’homme se leva, alla chercher son portefeuille, me donna un billet et me dit :

– Prends-toi une chambre d’hôtel et ne revient que demain matin. J’ai encore beaucoup de choses à dire à ta femme...

Interloqué, je pris le billet, me rhabillai et je ne sus pourquoi, je sortis sans dire un mot...

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Hasna se réveilla tôt le matin. Les souvenirs de la veille revinrent à sa mémoire. Le propriétaire à la carrure d’hercule qui débarque, les menaces d’huissier pour les loyers impayés, le chantage et elle, soumise et effrayée, qui s’était abandonnée à la perversion de cet homme qui la touchait, la palpait, la tripotait tout en se masturbant, et qui avait fini par abuser d’elle devant son mari, cocufié et humilié. Elle était allongée dans son lit, la tête pleine de questions sans réponses :

– Comment ai-je pu être si docile...? Et comment, dans cette situation de femme dominée, ai-je pu jouir autant...? Pourquoi mon mari s’est débiné comme un lâche...?.

Elle compta machinalement. « 1... 2... 3... 4. J’ai joui 4 fois... en une soirée... ». Avec son mari, elle ne faisait l’amour qu’une fois par mois parfois deux, et l’orgasme n’était pas souvent au rendez-vous.

Un mouvement à ses côtés la fit sursauter. Elle tourna la tête. Elle écarquilla les yeux, fixés sur la chose, le souffle bloqué par la stupeur : Il était là. Le propriétaire maître-chanteur était là. Et dormait comme un bébé. Elle resta immobile, quelques instants, figée par la peur. Un serpent découvert dans ses draps aurait eu le même effet. Ce n’est qu’après quelques minutes qu’elle recouvra ses esprits.

Elle se leva sans bruit et, habillée d’un peignoir, se dirigea vers la cuisine. Elle se fit un café, machinalement, pour s’occuper et, surtout pour faire le vide dans sa tête. Elle aurait dû fuir, alerter la police, les voisins, remuer ciel et terre, raconter les sévices de la veille. Et pourtant, elle ne bougeait pas. Était-ce de l’indolence ou de la sottise ? Elle n’en savait rien.

Gorgée après gorgée, le café la réveillait. Son esprit s’éclaircissait. Il fallait qu’elle parle à ce monstre. Il fallait qu’elle lui dise qu’il avait eu ce qu’il voulait, qu’il toucherait les loyers impayés et que maintenant il devait partir. Oui, elle allait lui parler et elle lui dirait. Il comprendrait et s’en irait. Et s’il ne s’en allait pas, elle le menacerait de tout raconter à la police. « Voilà du concret, pensa t’elle » réjouie par ses conclusions.

Elle entendit un petit sifflement dans son dos. Elle tourna la tête. Il était là dans l’encadrement de la porte. Elle en lâcha le bol de café qui explosa sur la table.

– Ben alors, la miss, on est toute nerveuse. Regardez-moi ce travail dit-il en montrant les morceaux brisés du bol sur la table.

Il s’approcha d’elle et lui roula un patin. Elle se laissait embrasser, sans bouger. La langue de l’homme pénétrait sa bouche et elle ne se rebellait même pas. Il la regarda quelques instants et, dans un sourire, lui chuchota à l’oreille :

– Nettoie-moi toute cette merde et fais-moi un café

Elle se leva et commença à remplir la cafetière d’eau. Elle tournait le dos à l’homme qui s’assit et s’alluma une cigarette.

– Enlève ton peignoir, je veux te voir à poil.

Ces mots la glacèrent. Elle se tourna vers lui, hésita le temps d’une seconde, mais dominée par le ton insistant de l’homme, elle accepta de découvrir son corps à l’inconnu qui n’en perdait pas une miette.

Elle voulait dire non, se rebeller, se révolter. Mais, finalement, elle se retrouvait bloquée. Bloquée par quoi ? Elle n’en savait rien. Son esprit, d’ailleurs, ne contrôlait plus rien. Tout en elle appartenait à cet homme et ne répondait qu’à sa voix. La voix du Maître, sans doute.

Elle servit le café dans un bol et s’assit à la table. L’homme buvait le café à petites gorgées. Puis, en la regardant, lui dit :

– Qui t’a dit de t’asseoir, salope ?... Lève-toi, tourne-moi le dos que je vois ton cul.

Soumise et dominée, Hasna obtempéra.

– Penche-toi en avant, et écarte les cuisses !

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Elle s’exécuta une fois encore, et exhiba ses fesses rebondies et ses lèvres intimes à la concupiscence de l’homme qui commença à se masturber en la regardant. Les minutes passèrent, elle ne bougeait pas. Elle ne pensait plus. Elle attendait que l’homme prenne son plaisir de la manière qu’il lui plairait.

– Va chercher le portable, et mets-toi sous la table pour me sucer !

Hasna, comme un automate, se dirigea vers la salle à manger et revint avec le téléphone. Sans poser de questions, elle se mit à quatre pattes, nue, sous la table, face à l’homme qui écarta les cuisses pour faciliter l’accès à son mandrin. Celui-ci était énorme, monumental, fier, à la mesure de l’individu. Elle l’emboucha difficilement et ses fines lèvres distendues par les dimensions de la verge, commencèrent un va et vient suave et langoureux sur la hampe noueuse.

– Caresse mes couilles pendant que tu me suces.

Les ordres tombaient comme des couperets mais Hasna, stoïque, obéissait toujours. Elle n’était plus vraiment Hasna, d’ailleurs. La jeune et tendre épouse chaste. Elle était désincarnée, en une sorte de poupée gonflable vivante, faite pour le plaisir de l’homme. Elle ne pensait plus, ne réfléchissait plus. Si l’homme exigeait qu’elle le suce, alors elle le sucerait.

Timidement, tout en continuant de pomper l’énorme chibre, elle se mit à caresser les testicules de l’homme comme il lui avait demandé. Elle n’avait pas peur, elle n’était pas angoissée ou inquiète, non, elle ne ressentait rien, c’est tout, comme dans un état second. Elle pouvait le sucer pendant des heures s’il lui demandait. Pour l’heure, l’homme parlait. Parlait beaucoup, même. Au téléphone. Comme si de rien n’était. Bercé par le va et vient velouté prodigué à sa bite par la bouche de la femelle soumise.

Hasna s’appliquait, consciencieusement, à donner un mouvement langoureux et continu à sa bouche sur le gland qui salivait abondamment. Elle avalait de temps à autre du sperme que la verge laissait échapper. Elle sentit la main de l’homme agripper sa chevelure pour donner à la fellation le rythme voulu. Elle ne maîtrisait même plus le pompage. Elle n’était plus qu’une bouche au service du plaisir, une sorte de vide-couilles livrée à la disposition du mâle. Depuis combien de temps le suçait-elle ? Elle n’en savait rien, elle s’en fichait d’ailleurs. Elle attendait que ça se termine, c’est tout.

Soudain, elle entendit l’homme déconnecter le téléphone portable. L’ordre tomba, aussitôt.

– Viens t’asseoir sur ma bite, petite pute !

Elle se leva de dessous la table et constata qu’il faisait jour. Machinalement, elle regarda l’heure : 9h30. Cela faisait une heure et demie qu’elle s’était levée, et au moins une heure qu’elle le suçait. Elle se leva difficilement, engourdie par la pose longue et repliée de la fellation. Elle passa ses jambes de chaque côté de celles de l’homme assis et prit le sexe dans sa main pour le pointer vers l’entrée de sa vulve. Elle s’empala avec facilité sur le mandrin monstrueux et constata, avec surprise, que le pompage interminable l’avait, finalement, copieusement excitée.

Les commentaires salaces tombèrent.

– Mais tu mouilles comme une vraie petite pute !?

– T’aimes ça sucer les grosses bites, hein, ma belle ?!

Elle ne répondit pas. Elle ne parlait, d’ailleurs, jamais à l’homme. Celui-ci, devant son silence, frappa avec vigueur les cuisses finement musclées de la femelle qui poussa un gémissement plaintif de douleur.

– Réponds-moi, salope. Tu aimes ça sucer les grosses bites ?

– Oui... Oui, Monsieur…

L’homme sourit devant la docilité de cette femme mariée qui s’activait et sautait sur son sexe dressé.

– Oui, Maître. Réponds-moi : oui, Maître, demanda t’il.

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Hasna hésita un court instant, puis desserra à nouveau les dents :

– Oui, Maître…

L’homme, satisfait de la domination totale qu’il avait sur cette femme, continua :

– Saute, ma belle, saute, saute sur la bite de ton maître. Tu sens comme sa bite est gonflée par le plaisir que tu lui donnes. Tu dois être fière de donner autant de plaisir à ton maître. N’est-ce pas que tu te sens fière ?

– Oui, Maître, je me sens fière de vous donner autant de plaisir.

L’homme ne pouvait s’empêcher de sourire. Lui savait ce qu’Hasna ne savait pas encore, ou se le dissimulait à elle-même, par honte ou amour-propre.

– Tu aimes ça, être soumise, n’est-ce pas ?

Elle ne répondit pas. L’inconscient résistait. Il y avait des mots qu’elle ne pouvait pas prononcer. Des mots fulgurants, au sens trop fort. « Être soumise », c’était, en fait, pour elle, une expression imprononçable.

C’est à ce moment-là que je suis entré. J’avais passé une nuit sans sommeil à l’hôtel. À tourner en rond. À me demander ce que devenait ma femme Hasna aux mains de cet homme sans scrupule. Quand je suis entré dans la cuisine, la vision d’Hasna assise sur la verge de l’homme inconnu me révulsa. Elle allait et venait sur lui à un rythme effréné. J’avoue qu’à la place de l’homme je n’aurais pas tenu quelques secondes. L’homme s’adressa à moi :

– Assieds-toi, p’tit pédé, et regarde ta femme comme elle s’envoie bien en l’air. Regarde. Moi, je ne fais rien. C’est elle qui bouge. Regarde comme elle descend sur ma bite, ta salope d’épouse. Elle me lime jusqu’aux couilles.

J’étais sidéré du tableau que m’offrait Hasna. Comment ma tendre épouse pouvait agir de la sorte ? Comment la femme de ma vie pouvait-elle se donner avec tant de ferveur à un rustre, sans foi ni loi. Ses petites fesses magnifiques pistonnaient le mandrin. Celui-ci, il est vrai, était énorme mais était-ce une raison pour m’oublier, moi, son mari ?

Mais, ce qui m’énervait le plus, c’est qu’elle ne me regardait même pas, elle ne se souciait même pas de ma présence. Elle savait que j’étais là mais ne changeait en rien son comportement lubrique et salace. J’étais transparent. Il y avait une sorte de complicité physique entre elle et lui qui m’énervait. Les bras d’Hasna étaient enroulés autour du cou de l’homme d’une façon presque amoureuse. Tout en pistonnant le braquemard, elle embrassait l’homme fougueusement, à pleine bouche, comme jamais elle ne l’avait fait avec moi.

En fait, c’était cela qui m’énervait réellement: elle offrait son corps magnifique à un inconnu, certes, mais, surtout, elle semblait en tirer plus de plaisir qu’avec moi. Mais comment faisait-il pour tenir aussi longtemps ?

– Eh là, p’tit pédé, ça à l’air de t’exciter de voir ta femme se faire fourrer.

La bosse à travers mon pantalon me trahissait, effectivement. Mais comment pouvais-je avoir du plaisir à regarder mon épouse avec un inconnu ?

– Viens là, elle va te branler, ta petite salope. Y’a pas de raison pour que tu ne participes pas, toi aussi. Après tout, c’est ta femme...

Il riait tout le temps, d’un rire dominateur et plein d’assurance. J’étais soumis, moi aussi, à sa volonté et, sans broncher, je me levais et sortis mon sexe en me dirigeant vers eux. L’homme chuchota à Hasna :

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– Allez, petite salope, branle ta petite lopette de mari. Montre-lui que tu l’aimes. Regarde comme il bande bien, le salaud. Il est tout excité de te voir baiser avec moi. Allez, tends ta petite main vers sa petite bite.

Hasna, d’une main gracile et fragile, répondit à l’injonction de l’homme et enroula ses doigts tendres autour de mon sexe. Elle commença à me masturber mais, après quelques allers-retours de sa main, pourtant donnés sans conviction, je ne pus retenir mon excitation et éjaculai mon sperme en de petites giclettes qui atteignirent les cuisses de ma femme.

– Eh là, p’tit pédé, ça avait l’air d’être pressé... tu aurais pu attendre de jouir avec ta salope. Dis donc, avec toi, elle n’est pas gâtée ta femme. Tu jouis toujours comme ça avec elle ? Je comprends mieux pourquoi elle préfère se faire tringler par ma grosse bite...

Je reboutonnai ma braguette, me rassis, rassasié, vidé, libéré d’une excitation inconnue jusqu’alors. J’étais cocu et humilié peut-être, mais j’étais repu. Qu’importe qu’il baise ma femme. Après tout, si elle y trouvait son plaisir...

– Eh, p’tit pédé, viens là, approche-toi, j’ai à te parler.

Je me levais à nouveau, presque fier d’avoir soudain une certaine importance aux yeux de l’homme et m’approchais de lui.

– Dis donc, je commence un peu à fatiguer. C’est que ta salope, c’est une vraie vorace avec moi. Alors, tu sais ce qui me ferait plaisir, c’est que tu passes sous la table et que tu me lèches les couilles.

Je me mis à sourire et lui répondit du tac au tac :

– Il n’en est absolument pas question. Baisez ma femme, si vous le voulez, mais ne comptez pas sur moi pour vous aider.

L’homme arrêta aussitôt les mouvements d’Hasna et sortit son chibre énorme de la vulve dégoulinante.

– Qu’est-ce qui se passe ? gémit-elle, soudainement frustrée de ce plaisir qu’on lui enlevait.

– Ton petit mari joue les rebelles, il ne veut pas me lécher les couilles...

Hasna, les bras enlacés autour du cou de l’homme, me foudroya du regard et me dit :

– Essaie au moins d’être utile à quelque chose. Pense à mon plaisir, pour une fois. Si tu n’es pas capable de me donner du plaisir, essaie d’en donner à celui qui m’en donne. Je t’ai fait jouir tout à l’heure, alors pourquoi ne ferais-tu pas un effort toi aussi, pour moi ?

Quelques mots d’Hasna et toute ma résistance s’écroulait. Je me sentais coupable d’avoir arrêté le plaisir de ma jeune épouse. La mort dans l’âme, je me glissais sous la table et avançait vers eux. Je saisis le mandrin énorme de l’homme et le pointa à l’entrée de la vulve ouverte qui salivait abondamment. Hasna s’empala à nouveau jusqu’aux couilles dans un râle de bonheur et reprit son va et vient effréné sur la hampe violacée.

– Alors, p’tit pédé, qu’est-ce que t’attends pour me lécher

Je fermai les yeux, sortis ma langue et commençai à lécher les couilles poilues de ce rustre qui obtenait tout ce qu’il voulait. Je voyais par en-dessous l’intimité de ma femme qui se laissait pénétrer avec délectation. Ses deux petites lèvres intimes étaient distendues et s’offraient, ouvertes et dégoulinantes, au mandrin qui les écartaient. Hasna n’avait aucune attention pour moi. Ses fesses venaient s’écraser, parfois, sur mon visage meurtri.

Je léchai tant bien que mal les testicules mouillés par la cyprine de ma femme. J’étais vraiment humilié, mais mon épouse jouissait et c’était cela qui m’importait. L’homme avait tous les droits. Il pelotait les petits seins ronds comme des pêches, puis les portaient à sa bouche pour les dévorer

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goulûment. Il écartait largement les cuisses de mon épouse pour que la pénétration soit plus profonde et le plaisir de sa bite plus intense.

Hasna n’arrêtait pas de jouir. À chaque fois, elle laissait s’échapper un petit gémissement qui la trahissait ainsi que de petits tressaillements au niveau du bassin. L’homme lui chuchotait plus qu’il ne lui parlait. Tout ce qu’il faisait ou disait participait au plaisir de ma femme qui lui caressait les cheveux, tendrement.

– T’aimes ça, faire la salope avec ton Maître, même devant ton mari ?

– Oui, Maître, ça m’excite.

– Tu recommenceras à me donner du plaisir ?

– Quand vous vous voudrez, Maître, je suis votre servante.

– Je peux te demander tout ce que je veux, maintenant ?

– Tout ce que vous voudrez, Maître, quand et où vous voudrez ? Je suis à vous, pour votre plaisir.

– Tu te laisseras aussi enculer à volonté ?

– Mon cul de pute ne demande qu’à se faire défoncer par vous, Maître.

– Et à un autre, ça te plairait aussi de te faire baiser par un autre, un inconnu, si je te le demande ?

– Je suis prête à tout pour votre plaisir, Maître. Demandez-moi et j’exécuterai

– Je veux que tu te tiennes prête à donner tes jolies petites fesses à n’importe qui.

– Oui, Maître, je suis votre pute, je me donnerai à n’importe qui, si tel est votre plaisir

– Je veux que tu exhibes tes jolies jambes quand je te le demanderai, n’importe où, ici ou dans la rue.

– Oui, Maître, je suis votre salope. Je porterai les vêtements que vous voudrez et montrerai mes jambes dans les positions que vous voudrez.

– Je veux que tu te laisses caresser par n’importe qui, si je te le demande.

– Oui, Maître, mon corps de pute est à vous et vous pouvez l’utiliser comme bon vous semblera.

– Je veux que tu sois toujours à disposition pour le plaisir de ma bite.

– Oui, Maître, je me tiendrai toujours prête pour que vous preniez votre plaisir quand vous voudrez.

Sous l’excitation des mots et des questions, Hasna accéléra son va et vient sur le braquemard démesuré dans un rythme frénétique et se laissa submerger par une vague de jouissance terrible qui lui tenailla le bassin dans un orgasme indescriptible. Le plaisir se répandit dans tout son corps qui hoqueta sous la force du plaisir extrême. Elle renversa sa tête en arrière, se laissant envahir par des spasmes incontrôlés. Elle ne put s’empêcher de gémir sous l’emprise de la force de l’orgasme.

Je me levai pour aller m’asseoir, j’étais devenu inutile à leurs ébats. Le Maître la prit dans ses bras et la coucha sur la table. Il la pilonna, la tringla, la baisa. Les couilles faisaient mal, il lui fallait décharger. Il accéléra le mouvement au point de meurtrir la douce matrice de mon épouse. La verge prenait des allures de tronc d’arbre. Il accéléra encore le mouvement dans un pistonnage insensé qui finit par l’amener, enfin, à la jouissance extrême.

Il inonda ma femme de son jus visqueux en de longues giclées copieusement nourries. Je les regardai, repus, vidés. Ma femme, allongée sur la table, les yeux fermés, les cuisses écartées, laissait échapper le jus blanchâtre de l’homme.

Elle se releva, regarda cet homme qui était dorénavant son Maître. Elle le toisa, il était magnifique à ses yeux, tout en muscles, d’une taille et d’une carrure impressionnantes. Elle s’approcha de lui et

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commença à embrasser ses pectoraux puissants, puis son bas-ventre. Elle pourlécha son sexe pour se délecter des restes de sa semence. Elle huma, les yeux fermés, les fortes odeurs de sperme qui s’échappait du braquemard divin. Elle se releva et lui dit :

– Maître, je suis fière d’être votre servante, votre pute, votre salope. J’ai compris aujourd’hui, tout le plaisir que j’avais à être soumise. Soumise à vos désirs, soumise à vos ordres, soumise à votre sexe. Vous m’avez révélée à moi-même. Je n’ai jamais autant joui de mon corps que depuis que je vous connais. Je voudrais que vous me gardiez près de vous. Je vous promets d’être obéissante, même pour satisfaire le moindre de vos caprices. Vous êtes un Dieu, vous êtes un Maître pour moi, souffrez que je vous présente mon corps de pute en guise d’amour. Il est à votre disposition. Soumis, offert, abandonné à vos envies. À vous d’en faire l’usage qu’il vous plaira.

L’homme, interloqué par cette déclaration, lui avoua qu’il ne méritait pas un tel intérêt mais qu’il se garderait bien de refuser la demande d’Hasna. Elle serait sa servante, d’accord. Toutefois, il se donnait quelques jours pour juger des capacités réelles de ma jeune épouse pour remplir sa mission. Mais cela est une autre histoire...

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