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LE CORPS HUMAIN Le système nerveux

LE CORPS HUMAIN

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LE CORPS HUMAIN. Le système nerveux. SYSTÈME NERVEUX C’est le CENTRE DE CONTRÔLE de notre corps. Il assure la réception , le traitement , l’ emmagasinage et la transmission de l’information provenant des différentes parties du corps et du milieu extérieur (par les sens). - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: LE CORPS HUMAIN

LE CORPS HUMAIN

Le système nerveux

Page 2: LE CORPS HUMAIN

SYSTÈME NERVEUX

C’est le CENTRE DE CONTRÔLE de notre corps.

Il assure la réception, le traitement, l’emmagasinage et la transmission de l’information provenant des différentes parties du corps

et du milieu extérieur (par les sens).

SYSTÈME NERVEUX CENTRAL

SYSTÈME NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE

On le divise en 2 parties principales

Page 3: LE CORPS HUMAIN

LA CELLULE DU SYSTÈME NERVEUX : LE NEURONE• On possède en moyenne 100 milliards de cellules nerveuses (neurones)

• Longueur: de très court à jusqu’à 1 m de longueur

• Ne se régénère pas sauf sous certaines conditions

• Rôles du neurone: capter les stimulus (donc excitable) et les transmettre au cerveau (donc conductible) sous la forme d’influx nerveux (courant électrique).

STIMULUSAgent interne ou

externe qui provoque une

réaction

1

2

3

4

Page 4: LE CORPS HUMAIN

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LA TRANSMISSION DE L’INFLUX NERVEUX

http://users.skynet.be/sep-cf/Imagessite/influx.gif

(Zone de jonction)

Voir: http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/animneuro/index.htm

Page 5: LE CORPS HUMAIN

Et le courant qui circule et me chatouille, c’est

l’influx nerveux!

La synapse que je fais avec d’autres

neurones, c’est la prise…

Moi, le neurone, je suis comme un

fil électrique…

synapse

www.radio-canada.ca

pages.infinit.net/wave/diaporam

asys_nerveu

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Page 6: LE CORPS HUMAIN

LE SYSTÈME NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE

1. Les récepteurs sensoriels captent les stimulus et les transforme en influx nerveux (organes des sens).

2. Les nerfs sensitifs acheminent l’information provenant des récepteurs sensoriels au système nerveux central (influx nerveux).

3. Les nerfs moteurs transmettent les commandes du système nerveux central aux muscles afin de produire des mouvements volontaires ou involontaires (réflexes).

C’est l’ensemble des nerfs qui relie les différents organes et régions du corps au système nerveux central. Il comprend:

http://dispourquoipapa.free.fr/imgfiches/systeme_nerveux.jpg

Page 7: LE CORPS HUMAIN

LE SYSTÈME NERVEUX CENTRAL

1. L’encéphale

2. La moelle épinière

Il coordonne la majorité des activités du système nerveux.

http://www.infovisual.info/03/024_fr.html

Page 8: LE CORPS HUMAIN

L’ENCÉPHALE

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Cerveau

Cervelet

Tronc cérébral

Moelle épinière

Page 9: LE CORPS HUMAIN

L’ENCÉPHALE

= membranes

+ Liquide céphalo-rachidien

Page 10: LE CORPS HUMAIN

CERVEAUX DE MAMMIFÈRES

Proportionnellement à notre poids, les humains ont le plus gros cerveau des vertébrés.

Page 11: LE CORPS HUMAIN

LES FONCTIONS DU CERVEAU

1. Commande des mouvements volontaires

2. Interprétation des messages captés par les sens

3. Siège de l’intelligence (langage, imagination, planification, raisonnement ) et de la conscience

4. Siège des émotions

5. Régulation des fonctions physiologiques (faim, soif, éveil, température, etc.)

Page 12: LE CORPS HUMAIN

LES FONCTIONS DU CERVELET

1. Centre de coordination des mouvements.

2. Centre de l’équilibre et de la posture.

Quand on répète un mouvement pour raffiner sa technique (sport, musique), on modifie certaines voies nerveuses de son cervelet. Contrairement au cerveau, ces voies ne sont pas croisées de sorte qu’une lésion d’un seul côté du cervelet occasionne un problème du même côté du corps.

Page 13: LE CORPS HUMAIN

LES FONCTIONS DU TRONC CÉRÉBRAL

1. Centre de traitement des stimulus internes liés à la survie: respiration, rythme cardiaque, pression sanguine, etc.

2. Centre de commande des mouvements involontaires (digestion, péristaltisme)

3. Centre des réflexes (vomissement, éternuement, déglutition)

Page 14: LE CORPS HUMAIN

LA MOELLE ÉPINIÈRE

Page 15: LE CORPS HUMAIN

Voir: http://pedagogie.ac-amiens.fr/svt/info/logiciels/animneuro/voies/voiemotrice.htm

LIENS ENTRE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET L’ENCÉPHALE

Page 16: LE CORPS HUMAIN

COMMUNICATION ENTRE LE SNP ET LE SNC

Début du circuit: Récepteurs

Fin du circuit: Muscles Cerveau

Moelle épinière

Nerf sensitifSNP

SNC

Nerf m

oteur

Page 17: LE CORPS HUMAIN

http://home.scarlet.be/jp.boseret/arc%20reflexe.jpg

LA MOELLE ÉPINIÈRE ET LES RÉFLEXES

Elle est aussi le siège (l’endroit) de certains réflexes ou mouvements involontaires (comme l’extension du genou)

Page 18: LE CORPS HUMAIN

LES 3 CERVEAUX : HÉRITAGE DE L’ÉVOLUTION

Le cerveau « reptilien », le plus ancien, assure les fonctions vitales de l’organisme en contrôlant, la fréquence cardiaque, la respiration, la température corporelle, l’équilibre, etc. C’est aussi le centre des réflexes

Il comprend le tronc cérébral et le cervelet, essentiellement ce qui forme le cerveau d’un reptile. Il est fiable mais a tendance à être plutôt rigide et compulsif. Il échappe à notre volonté.

Page 19: LE CORPS HUMAIN

LES 3 CERVEAUX : HÉRITAGE DE L’ÉVOLUTION

Le cerveau « limbique » ou « mammalien », apparu avec les premiers mammifères, capable de mémoriser les comportements agréables ou désagréables, et par conséquent responsable chez l’humain de ce que nous appelons les émotions.

Il comprend principalement l’hippocampe, l’amygdale et l’hypothalamus. C’est le siège de nos jugements de valeur, souvent inconscients, qui exercent une grande influence sur notre comportement.

Page 20: LE CORPS HUMAIN

LES 3 CERVEAUX : HÉRITAGE DE L’ÉVOLUTION

Le « néo-cortex », prend de l’importance chez les primates et culmine chez l’humain avec nos deux gros hémisphères cérébraux qui prennent une importance démesurée.

C’est grâce à eux que se développe le langage, la conscience, la pensée abstraite, le raisonnement, l’imagination, l’intuition. Le néocortex est souple et a des capacités d’apprentissage quasi infinies. C’est aussi grâce au néo-cortex que peut se constituer la culture.

Page 21: LE CORPS HUMAIN

Les comportements générées par la peur sont remarquablement bien conservées chez tous les vertébrés, mais aussi chez tous les humains, quelque soit leur culture :

1. Arrêt de l'activité en cours, 2. Comportement d'orientation vers la source menaçante,3. Inhibition de toute action durant la phase où l'on évalue la menace, 4. Si la menace se confirme, tentative de fuir ou de se cacher,5. Si nécessaire, lutte contre la menace pour tenter de se défendre.

Changements physiologiques survenant en parallèle:

1. Augmentation de la fréquence cardiaque, 2. Augmentation de la respiration, 3. Dilatation de la pupille, 4. Suppression de la douleur face au danger 

LE CERVEAU ET LA PEUR

Page 22: LE CORPS HUMAIN

L’ÉLECTROENCÉPHALOGRAMME

L'électro-encéphalographie (EEG) est la mesure de l'activité électrique du cerveau par des électrodes placées sur le cuir chevelu souvent représenté sous la forme d'un tracé appelé électro-encéphalogramme.

Page 23: LE CORPS HUMAIN

L’ACTIVITÉ CÉRÉBRALELes activités électriques cérébrales rythmiques sont classées selon leur fréquence. 

Alpha : fréquences comprises entre 8.5 et 12 Hz. Elles caractérisent un état de conscience apaisé, et sont principalement émises lorsque le sujet a les yeux fermés.

Beta : correspond aux fréquences supérieures à 12 Hz (et généralement inférieures à 45 Hz). Elle apparaissent en période d’activité intense, de concentration ou d’anxiété.

Une seconde d’enregistrement d’un électroencéphalogramme.

Les fréquences supérieure à 24 Hz, généralement d'environ 40 Hz sont parfois dénommées Gamma.

Delta : fréquences jusqu’à 4 Hz, normales chez le très jeune enfant, elles peuvent ensuite caractériser certaines lésions cérébrales.

Theta : fréquences entre 4.5 et 8 Hz. On les observe principalement chez l’enfant, l’adolescent et le jeune adulte. Elles caractérisent également certains états de somnolence ou d’hypnose, ainsi que lors de la mémorisation d'information.

http://fr.wikipedia.org/w

iki/Rythm

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Page 24: LE CORPS HUMAIN

LE CERVEAU ET LE SOMMEIL

Pendant notre sommeil, l’activité du cerveau passe par différentes phases: sommeil lent léger, sommeil lent profond, sommeil paradoxal.

Ces phases se répétent à environ chaque 90 min. On a donc plusieurs de ces cycles par nuit.

Sommeil paradoxal = période des rêves et de réorganisation des nouvelles connaissances acquises dans la journée (mémorisation).

Améliorer sa mémoire en dormant: oui, c’est possible

Apprendre en dormant: non, car pour apprendre, il faut de la volonté et de l’attention/concentration… et il faut être reposé pour cela !

Page 25: LE CORPS HUMAIN

LE CERVEAU ET LE RÊVE

• Il survient pendant le sommeil;

• Sa structure est diffuse et dynamique;

• C’est une représentation, aux yeux de notre esprit, de nos préoccupations;

• Même si le rêve n’est pas perçu par nos cinq sens, il est réel;

• Sa fonction reste une énigme et de nombreuses hypothèses sont actuellement à l'étude;

• Chez l'adulte les rêves occupent environ 20% du temps total de sommeil, 45 à 65% chez le nouveau-né, 20 à 25% chez le jeune adulte et 13 à 18% chez la personne âgée;

• Pour l'adulte, la période du rêve représente environ 1h1/2 chaque nuit, soit, sur une vie, une durée moyenne de quatre années.

Selon la culture amérindienne, le capteur de rêves servait à filtrer les bons des mauvais rêves.

Page 26: LE CORPS HUMAIN

Le terme « coma » signifie « sommeil profond » en grec ancien. Le coma est une abolition plus ou moins complète des fonctions de la vie de relation (conscience, motilité, sensibilité) alors que les fonctions de la vie végétative sont relativement conservées. Le patient, inconscient, est couché sans bouger et ne sent rien. Le coma est non réversible par les stimulations. Il peut être d’origine traumatique, toxique ou médicale.

LE COMA

Page 27: LE CORPS HUMAIN

LA MORT CÉRÉBRALE

L'individu en mort cérébrale n'a aucune activité électrique cérébrale et ne montre aucune réactivité à l'examen neurologique (absence de réponse à la douleur, disparition des réflexes des nerfs crâniens (pupilles fixes par disparition du réflexe photomoteur pupillaire), disparition du réflexe oculo-moteur, du réflexe cornéen, de la ventilation spontanée).

La mort cérébrale est un état de cessation complète et définitive de l'activité cérébrale. L'absence apparente de fonctionnement cérébral ne saurait constituer le diagnostic à elle seule, la preuve devant être faite que cet état est irréversible.

Page 28: LE CORPS HUMAIN

LE CERVEAU ET LES EXPÉRIENCES DE MORT IMMINENTE

Tunnel et lumière blanche: réalité ou imagination ?

Pour certains, c’est la preuve d’une vie de l’esprit après la mort du corps.

Pour d’autres, ce n’est qu’un effet du cerveau.

Actuellement, on ne dispose d'aucune certitude scientifique sur une vie après la mort.

Page 29: LE CORPS HUMAIN

La mémoire est notre capacité de se rappeler des expériences passées. Elle est donc essentielle à tout apprentissage puisqu'elle permet le stockage et le rappel des informations apprises.

LE CERVEAU ET LA MÉMOIRE

http://lecerveau.mcgill.ca/flash/i/i_07/i_07_p/i_07_p_tra/i_07_p_tra.html

Mémoire sensorielleLe stockage se fait automatiquement lors de la perception.

Mémoire à court termeElle permet d'enregistrer des informations limitées pendant un laps de temps de moins d'une minute.

Mémoire à long termeL'information peut s'y maintenir pendant une très longue période et parfois même pour la vie.

Page 30: LE CORPS HUMAIN

TUMEURS AU CERVEAU

L'expression « Cancer du cerveau », également dit cancer ou « tumeur du système nerveux central » regroupe plusieurs formes de tumeurs susceptibles de se développer dans le cerveau. Elles sont créées par le développement anormal et anarchique de divisions cellulaires, à partir soit d'une cellule du cerveau lui-même, soit d'une cellule métastasique exportée d'un cancer situé dans une autre partie du corps.

Les symptômes d'une tumeur du système nerveux central sont liés à son emplacement. Les symptômes les plus répandus comprennent les maux de tête, les vomissements et, parfois, des crises d'épilepsie ou l'ataxie (perte d'équilibre). Les symptômes résultent de la destruction, de l'envahissement ou de la compression du tissu cérébral, un effet de masse, par la tumeur. Ces symptômes sont causés par une élévation de la pression intracrânienne et l'irritation d'une partie adjacente du cerveau ou des dommages subis par celle-ci.

Page 31: LE CORPS HUMAIN

L’HERNIE DISCALE

Le disque intervertébral est écrasé et son noyau plus résistant (au centre) est déplacé vers le nerf sciatique et se trouve à le coincer d’où la douleur ressentie.