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Dix candidats embarquent sur le Mercator, un trois mâts de 60 mètres de long. Ils ignorent que ce trois mâts va les emmener vers les ports de huit vil-les ayant eu une importance primordiale à la Renaissance, à la découverte d’un des plus grands secrets de l’Eglise et de l’Histoire.

Le but du jeu est de connaître la destination finale et atteindre un lieu en décodant les indices que les candidats reçoivent lors des jeux organisés à chaque étape de leur voyage.

A chaque étape, deux équipes se forment: les partenaires doivent être soli-daires pour faire gagner leur “team ”. L’enjeu est important: les vainqueurs regagneront le bateau, et obtiendront un indice leur permettant peut-être d’avancer dans leurs hypothèses… Les membres de l’équipe perdante de-vront s’affronter, individuellement cette fois, pour sauver leur place sur le Mercator. A l’issue d’un quizz, une personne devra quitter le bateau pour de bon.

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Le jeudu Marin

En général, le jeu est organisé sur le bateau. Il permet à un joueur de jouir d’une immunité. Ce joueur ne sera donc pas éliminé (même si son équipe est perdante) et aura le droit de former son équipe pour affronter les épreuves qui atten-dent les candidats à chaque destination.

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Le jeudu Marin

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Deux épreuves attendent les candidats aux ports. L’équipe gagnante reçoit un code, l’équipe per-dante (excepté l’immunisé du Jeu du Marin) devra jouer un quizz qui verra l’élimination d’un partici-pant. Celui-ci devra quitter le navire.

L’Epreuve

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Le Quizz

Il est basé sur les informations vues et reçues du-rant la journée. A l’issue de ce quizz, un candidat est éliminé. Ce dernier peut remettre au candidat de son choix ses notes, son téléphone et ses indi-ces avant de partir.

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Astrolabe

C’est un instrument monté à bord du navire qui permet aux candidats de découvrir la destination finale au travers des codes reçus lors des épreu-ves réussies. Les candidats devront en compren-dre le fonctionnement et décrypter les indices.

L’

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Pourquoi avez-vous dit oui à Mercator ?olivier minne: Pour l’aventure en bateau et parce que ce jeu a un côté culturel très intéressant. De plus, les éliminations ne sont pas liées à de la délation ou à des votes par les candidats.

Qu’est-ce qui était le plus dur sur le bateau ?om: C’était d’être le plus discret possible pendant les tournages avec les candidats dans les-quels je n’intervenais pas. Je devais rester dans ma cabine pour ne pas apparaître à l’image.

Et la fameuse tempête de la première journée ?om: Avoir cette tempête dès le départ, ça a permis de donner le ton des quatre semaines de tournage: on n’était pas là pour se reposer. Et puis, on a tout de suite su si on avait le pied marin ou non…

Quel est votre avis sur les candidats ?om: Ce sont de vrais joueurs ! Ils étaient motivés pour directement bien comprendre les jeux et faire des découvertes. Ils se sont très vite impliqués à fond dans l’aventure, il y avait un bel esprit de compétition. Et ce qui est agréable c’est que c’est resté bon enfant tout au long du voyage.

Quelles sont les différences entre Fort Boyard et Mercator ?om: Le fort est un lieu permanent, sur Mercator on était toujours en mouvement. Ici, les can-didats sont des inconnus, contrairement à Fort Boyard et les épreuves sont moins physiques et font plus appel à la réflexion, à l’observation et à la connaissance. Un bon candidat de Mercator est un candidat débrouillard qui ne se laisse pas impressionner par la difficulté de l’épreuve. Ceux qui sont partis sont souvent ceux qui ont baissé les bras trop vite.

Que retirez-vous de ces quatre semaines ?om: Huit kilos en moins… Plus sérieusement, c’est une nouvelle expérience professionnelle. Après 20 ans de métier, c’est agréable de faire encore des découvertes. On apprend beaucoup sur soi-même et sur les rapports humains. Parce que même si la production gérait les pro-blèmes humains, je me retrouvais parfois au centre et je devais m’impliquer pour trouver des solutions.

Olivie

r Minn

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IntervIew express d’OlIvIer MInne

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Candidats

« Il fallait être la force tranquille sur ce bateau »Originaire d’Estaimpuis, Marylin est une des seules femmes à travailler dans un milieu professionnel extrêmement masculin : la plus grande cimenterie d’Europe. De surcroit, elle y est déléguée syndicale et n’a donc pas sa langue dans sa poche. Elle a rejoint le bateau pour le défi de l’aventure et pour découvrir un nouveau jeu en espérant aller le plus loin possible. Et c’est tout le mal que son entourage et ses collègues lui ont souhaité. Sur le bateau, Marylin explique qu’il fallait être la force tranquille, beaucoup observer et écouter. Ses 26 ans de carrière pro-fessionnelle lui ont d’ailleurs été très utiles pour aborder le jeu en toute décontraction mais avec détermination.

« Il y a eu beaucoup d’hypocrisie »Mère de famille à Embourg, Isabelle est une habituée des jeux (Septante et un, Un contre cent, Le Maillon faible). Elle a déjà notamment gagné deux voitures et c’est tout naturellement qu’elle s’est inscrite à Mercator avec l’objectif de gagner. C’est une forte tête qui n’a pas peur de dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas. « Au travail, quand il y a quelque chose à dire, c’est moi qu’on envoie », confirme-t-elle. Sur le bateau, elle a beaucoup aimé être dans l’inconnu et ne pas savoir de quoi chaque jour serait fait. Mais la cohabitation fût plus difficile : « Il y a eu beaucoup d’hypocrisie », déplore-t-elle.

« Je déteste la monotonie »Originaire de Verviers, Elle étudie la psychologie à Louvain-la-Neuve. Son sourire marque tous ceux qu’elle croise. Elle a vu par hasard l’an-nonce pour Mercator, c’est le côté culturel et le voyage qui l’ont attirée. Elle qui déteste la monotonie, elle a mis son dynamisme à l’œuvre dans cette aventure. Ella aime se lancer des défis et profiter à fond de la vie, ses co-kotteuses en savent quelque chose…

« Mercator a chamboulé ma vie »Diplômée en journalisme, Marie-Sophie travaille dans l’Horeca à Bruxelles en attendant de trouver une place dans l’audiovisuel. Merca-tor est pour elle une vitrine, mais c’est surtout pour vivre des choses qui sortent de l’ordinaire qu’elle y a participé. Si son papa était réticent à l’idée qu’elle s’embarque dans l’aventure, elle n’en retire que du positif. Elle qui cherchait de l’adrénaline, elle a été servie ! Son côté sociable lui a permis de bien s’intégrer au groupe et de créer les alliances indispen-sables. Gestion du stress, confiance en elle et goût de nouvelles choses, c’est ce qu’elle retire de ce voyage.

«J’ai découvert un côté de moi que je ne connaissais pas».Partir à la rencontre de l’Histoire en Méditerranée est une perspective qui a enchanté Isabelle, historienne de l’art et enseignante. La jolie Lié-geoise adore la mer et les soirées entre copines. Elle a été soutenue totalement dans son choix de s’inscrire à l’émission par son entourage et sa direction. Celle qui se voyait comme une « miss catastrophe » est ressortie de cette aventure avec une grande confiance en elle. « C’est une aventure unique qu’on ne fait qu’une fois dans sa vie ».

« Le plus difficile fût de m’éloigner de mon fils ».Avec ses dreadlocks, sa casquette et sa démarche, Pierre ne passe pas inaperçu. Et si sa tête vous dit quelque chose c’est normal : il fait partie du groupe liégeois Starflam et a récemment sorti un album solo, « Les 400 Blowz de L’Enfant Pavé ». Jeune papa, il a dû quitter sa famille le temps de l’aventure. Pas facile d’être si éloigné et sans nouvelles. Ce qui l’a aidé sur le bateau ? Son sens de l’humour qui lui a permis de décompresser et de relativiser. « Vivre ensemble c’est quelque chose de compliqué », admet-il volontiers. Sur le bateau, il a pu partager avec Xavier sa passion des étoiles. « Le ciel est si vaste, ce n’est pas possible qu’on soit tous seuls dans l’univers ».

« Sur le bateau, ils m’ont surnommé ‘padre’ ».L’organisation et l’esprit d’équipe ne sont pas inconnus à Philippe : le doyen de l’aventure est en effet entraîneur de nage synchronisée à Mons. « J’ai essayé d’être le sage », explique-t-il. C’est par défi personnel que Philippe s’est inscrit à Mercator. Son but n’était pas de gagner mais d’envisager chaque étape individuellement, chaque semaine passée en plus sur le bateau étant alors un bonus. Ses atouts : motivation, déter-mination, et sa manière de positiver les choses. « Je suis un boute-en-train, mais à bord il y avait de la concurrence », glisse-t-il un sourire au coin des lèvres.

« Pas facile de vivre avec 9 personnes qu’on n’a pas choisies ».Laurent est le Grissom belge : il travaille au sein de la police scientifique fédérale à Bruxelles. Gradué en chimie, il est aussi fou de concours, il a d’ailleurs créé un site internet qui les recense. C’est cet amour des jeux et la soif d’aventure qui l’ont poussé à s’inscrire pour cette aventure. Son sens de l’observation, sa soif de gagner et son habitude des jeux ont été des atouts indispensables au fil de Mercator. Si vivre avec neuf person-nes qu’on n’a pas choisies est difficile, « c’est encore plus difficile de voir les gens partir », explique-t-il.

« Pierre a été mon Xanax ».La nuit en mer, les étoiles sont très facilement observables. C’était loin de déplaire à Xavier qui s’est découvert une passion pour l’astrologie il y a quelques années. Ce commerçant de Fleurus s’est inscrit à Mercator dans le but de vaincre son manque de confiance en lui. « Je cherchais quelque chose pour combattre ça, et un jeu télé c’est pour moi le sum-mum ». Adaptable et débrouillard, il a pu compter sur Pierre pour lui apprendre à être calme dans les situations de stress. «Pierre a été mon Xanax», dit-il en riant.

« Ce fût difficile de ne pas avoir les résultats du Standard ! »La chaleur humaine, ça connaît Didier. Il a créé il y a cinq ans un groupe de supporters du Standard de Liège : le PHK. Inutile de dire que, en bon Liégeois, la fête c’est son truc. C’est pour l’aventure humaine que Didier à embarqué sur le bateau. « C’est un rêve d’enfant qui s’est réalisé », raconte-t-il des étoiles plein les yeux en parlant du trois-mâts et des paysages. Les principales difficultés pendant ce voyage ? Être éloigné de sa famille… et des résultats du foot. « Même si on essaye d’avoir des infos par les caméramans ».

pierre: le cool marylin: la motivée

philippe: le coach

isabelle: la nerveuse

laurent: le stratège

ella: la cadettexavier: l’astrologue

marie-sophie: la spontanée

didier: le supporter sympa

nathalie: l’intellectuelle

Les

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