Mai/juin 2018

60NUMÉRO

Dans Ma VilleLe magazine de Saint-Leu-la-Forêt

le 23 juin, c’est la fête au village ! Festiv’été :

Si

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Éditorial

Votre magazine « Dans Ma Ville » fête son 60e numéro ! Dix ans qu’il vous convie tous les deux mois, en parcourant ses colonnes, à découvrir notre ville dans toute sa vita-lité marquée par les travaux dans la ville, les projets de la commune, les program-mations culturelles, les manifestations sportives, les rendez-vous fixés par les associations ou encore, les portraits de personnalités exemplaires. Aussi, ce magazine n’a d’autres prétentions que de relayer la vie de Saint-Leu-la-Forêt, notre ville : aussi bien dans ses réalités maté-rielles que dans ses propositions récréa-tives. « Dans Ma Ville » c’est un peu de notre histoire commune racontée à la ma-nière d’un journal de bord tenu par celles et ceux qui, depuis 2008, ont le désir de faire progresser la ville en matière d’équi-pements, de services, de vie culturelle, d’environnement, de fiscalité, de sécurité et plus globalement, d’embellissement de la cité. Des objectifs que nous partageons tous, quand on admet qu’aimer sa ville, c’est vouloir pour elle le meilleur.C’est dans cet esprit, que nous avons abordé la réunion du 20 mars dernier à la Croix-Blanche pour discuter de l’ave-nir du centre-ville. La seule manière responsable pour présenter les projets d’urbanisme qui vont prochainement mo-difier la physionomie de l'îlot de la Croix-Blanche. Cette réunion publique aura permis de clarifier la position constante de la municipalité, désireuse de pourvoir le centre historique de la commune, de logements et commerces nécessaires en rapport avec le caractère de Saint-Leu et les exigences de l’époque. Parce qu’à cet endroit se concrétisent aussi toutes les actions ambitieuses qui vont caractériser l’avenir de l’ensemble de nos quartiers. C’est une décision politique essentielle.

Autre décision politique de bon sens : la non-augmentation des taux d’imposi-tion communaux depuis 2008. Fidèles à l’action entreprise par Sébastien Meurant, nous maintenons le cap avec la même détermination. Le budget 2018 a été voté le 27 mars. C’est un budget de composi-tion drastique face aux désengagements de l’État qui n’a de cesse de revenir sur ses dotations. Si nous devons faire tou-jours plus avec toujours moins, rien des décisions que nous avons prises dans le cadre de ce budget, ne s’est fait au détri-ment des Saint-Loupiens. Notre équilibre budgétaire tient d’abord des économies d’échelle indispensables, avec notam-ment, la réorganisation structurelle des services municipaux.

"Que reste-t-il de mai 68 ?” Dans ce numéro anniversaire du maga-zine, quelques personnalités de Saint-Leu tentent de répondre à cette question particulièrement d’actualité. Pour ma part, sans être historienne, je veux dire deux choses essentielles. Il me semble que la condition des femmes de France a consi-dérablement bougé dès lors que certains conservatismes (de droite comme de gauche) ont été dénoncés. Mais en plus, notre pays a gagné une tonalité supplé-mentaire en liberté d’expression qui au-jourd’hui est fortement menacée par une parole jupitérienne qui voudrait réduire les avis contraires à des persiflages d’un autre temps. Il faut être vigilant en matière de libertés.

Avec tout mon dévouement.Votre maire,

Sandra Billet

Chères Saint-Loupiennes, chers Saint-Loupiens,

Som

mai

re

www.saint-leu-la-foret.fr

Directeur de la publication : Sandra BilletDirecteur de la rédaction : Loïc DrouinRédaction : Olivier PlantecosteCréation/Mise en page : Karine Chamignon-Rangé Maquette : Agence FlorilègesPhotos : Mairie de Saint-Leu-la-Forêt – Fotolia Impression : Imprimerie Desbouis-Grésil 01 39 33 01 01Régie publicitaire : Cithéa Communication 01 53 92 09 00Ce numéro a été imprimé à 8000 exemplaires. ISSN 1632-3203Papier aux normes environnementales.

Deux mois 4 La ille au l des jours Le magazine en images

Actualités 6 Ce qu’il faut savoir…

Ça nous intéresse 10

Budget 2018 Travaux à la poste

Aménager 12 Des travaux dans la ville

Enfance et jeunesse 13

Informations de saison

À la Une 14

Que reste-t-il de mai 68 ?

Entreprendre 17 Notaire : le seing des seings

Vie associative 18 30 ans et alors ?

Sortir 20 Vos rendez-vous

On en parle 22 Alpine A 0 hass : clap de n

Agenda culturel 23 Prenez date !

Les Saint-Loupiens 24 Ils font l’actualité

Service public 25 Rendez-vous à la déchèterie mobile

Tribunes 26 Libre expression des groupes politiques

Rien des décisions que nous avons prises dans le cadre de ce budget, ne s’est fait au détriment des Saint-Loupiens.

4 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Du 8 au 24 mars : exposition Féminin Pluriel dans le cadre du « Printemps au féminin » à la Maison consulaire

16 mars : la SNCF organise un « geste inaugural » pour marquer symboliquement la fin des travaux de la rénovation de la gare

10 mars : le 9e festival « Arts et swing » accueille le prodigieux Christophe Lartilleux et son Hart Trio

16 mars : des jeunes allemands de Wendlingen reçus en mairie à 8 h 30

10 mars : le romancier saint-loupien Gilles Legardinier fait la dictée du Rotary au CSL Les Dourdains au profit de la classe « LIS » de l’école Marie Curie

1 mars : réception des nouveaux habitants par Sandra Billet et son équipe municipale

17 mars : Soirée « Talent

fou » avec l’EMJ à la Croix-Blanche

Service EMJ

16 mars : 5 musiciens

rendent hommage

à France Gall ou Une

déclaration…

17 mars : les Saint-Loupiens nagent solidaires à l’occasion de la 11e Nuit de l’eau et avec les formidables bénévoles réunis autour de l’ESL Natation récoltent 2050,75 euros au profit de l’UNICEF Val-d’Oise qui serviront à financer l’accès à l’eau potable pour des enfants issus de contrées défavorisées

Deux mois Saint-Leu-la-Forêt

au fil des jours : des gens, des événements

et quelques dates.Le magazine en images.

5

31 mars : la comédie musicale « Voyage » fait escale à la Croix-Blanche

1er avril : grande chasse aux œufs de Pâques à la Châtaigneraie et participation record avec plusieurs centaines de familles participantes

18 mars : le 57e Festival du Jazz-Club de Saint-Leu fait swinguer la Croix-Blanche

20 mars : la réunion publique sur l’avenir du centre-ville intéresse les Saint-Loupiens

21 mars : le match international Togo/Magagascar se solde par un 0-0 au stade municipal

5 avril : conférence « Éduquer avec le sourire » par Marion Sarazin propo-sée par la ville et les 3 associations de parents d’élèves

23 mars : visite d’une délégation italienne de Cannobio dans la perspective d’un nouveau jumelage

25 mars : la 14e Course des Coteaux rassemble plus de 700 coureurs

6 avril : du théâtre majeur à la Croix-Blanche avec « La peur » d’après Stefen Zweig

10 et 12 avril : les habitants des quartiers des Tannières et de la Plaine ont la parole avec les assemblées consultatives des groupes de quartier

7 avril : à l’occasion des journées européennes des métiers d’art, 7 Saint-Loupiens exposent leur savoir-faire dans les ateliers « Repatchit »

21 avril : le Club d’éducation canine

de Saint-Leu-la-Forêt organise sur l’aire des Diablots une journée

consacrée au chien avec un concours d'agility (parcours

d'obstacles chronométré) et différents ateliers

6 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Actualités

Depuis le 3 avril, les syndicats de la SNCF ont entamé un mouvement de grève dite "perlée" de deux

jours sur cinq, et ce jusqu’au 28 juin. De quoi potentiellement perturber le trafic pendant trois mois. Ci-dessus, le calendrier des dates des jours de grève.

3 mois de grèves à la SNCF

Un autre bac en 2021

La réforme du baccalauréat général et technologique annoncée par le ministre de l’Éducation nationale,

Jean-Michel Blanquer, n’en finit pas de susciter de nombreuses réactions au point que certains dénoncent de nou-velles règles qui l’empêcheraient de rester un diplôme d’équité. Ce sont les élèves actuellement en troisième et qui entreront donc en seconde à la rentrée 2018 qui seront concernés par cette réforme et inaugureront la nou-velle mouture du baccalauréat en 2021. Les principales dispositions prévoient que les épreuves anticipées de fran-çais (un écrit et un oral) en fin de pre-mière sont maintenues mais revisitées. Pour l’essentiel, il faut souligner que le Bac ne comptera plus que 4 épreuves écrites - dont le français et la philo - et un grand oral, qui ensemble, pèseront pour 60% de la note finale. Les 40% res-tant proviendront du contrôle continu (pour 30%) et des notes du bulletin en première et terminale (10%). À noter que les séries L, ES et S seront supprimées.

Anne Hidalgo, la mouche de la coche*

Qu’on se le dise ! À Paris, le feuilleton des voies sur berge rive droite est loin de

trouver son épilogue avec l’entête-ment d’Anne Hidalgo qui se targue d’une décision d’utilité publique ! Pourtant, après l'annulation le 21 février dernier, par le tribunal admi-nistratif de Paris, de l’arrêté concer-nant la fermeture des voies sur berge à la circulation, la maire PS de la capi-tale récidive avec un autre document affiché le 8 mars dans les mairies de la capitale et entre de fait en vigueur le même jour. Désormais, pour justi-fier cette fermeture mise en place à l'automne 2016 et largement contes-tée, la maire de Paris ne brandit plus l'argument de la santé des Parisiens « qui respirent un air pollué par le tra-fic automobile », mais invoque l'inté-rêt patrimonial et touristique de la voie. Pour Anne Hidalgo, peu importe l'argument juridique retenu, l'objectif reste le même : bouter hors de Paris la voiture. D’ailleurs, nonobstant le revers de la piétonisation des voies sur berge, Anne Hidalgo poursuit sa croisade en envisageant aussi d'interdire la circulation sur la place du Carrousel devant la pyramide du Louvre ! Pourtant Anne Hidalgo le sait, les embouteillages consécutifs à la fermeture des berges ne font que déplacer les problèmes sans jamais ne rien résoudre des questions d’uti-lité publique : qu’il s’agisse de la santé des parisiens ou de la question cruciale des transports. Les embou-teillages se sont considérablement

aggravés et ont entraîné des temps de parcours bien plus longs. Ainsi et à titre d'exemple, le temps de parcours a augmenté de 54% sur les quais hauts, de 28% boulevard Saint-Germain où le trafic s'est reporté. Les conséquences de cette piétonisation ont rejailli aussi autour de la capitale. Le temps de par-cours est en hausse de 47% sur l'A86 dans le sud de Paris, de 21% à l'est de Paris sur la même rocade.

Ces chiffres confirment les données déjà communiquées dans des rapports d'étape précédents. Ils révèlent que la situation ne s'est pas améliorée. La voiture est pénalisée et les transports en commun sont également touchés. Les embouteillages sont tels que les carrefours sont bloqués et les bus qui roulent sur des voies dédiées ne peuvent circuler. Sur certaines lignes, ils accusent des retards dans leurs tra-jets habituels de 1 minute le matin et de 2 minutes le soir, à chaque fois aux heures de pointe. Quant à l'impact de cette fermeture sur la pollution de l'air, il est négatif : elle s'est en effet dépla-cée à l'est de la capitale. Le bruit s'est aussi aggravé notamment quai haut, et en particulier la nuit. Non contente de ses positions, sans doute pas assez radicales, la maire de Paris, après avoir annoncé une étude sur la gratuité des transports en commun a une nouvelle fois estomaqué les automobilistes franciliens ! Anne Hidalgo qui avait toujours été contre l'idée d'un péage pour lutter contre la densité du trafic automobile en ville, comme c’est le cas à Londres, a révisé son opinion. « i le péage vient financer la gratuité des transports, il devient non pas un élé-ment de discrimination sociale, mais au contraire un élément qui peut accompa-gner ». Avec cette taxe supplémentaire, Anne Hidalgo pense tenir la source majeure de financement de son projet. Il faut pourtant souligner que la vente de billets fait rentrer chaque année 2,8 milliards d'euros dans les caisses d'Île-de-France Mobilités, le syndicat des transports de la région. Dans cette surenchère d’idées saugrenues qui font l’économie du bon sens, les automobi-listes ont une nouvelle fois le sentiment d’être rackettés au motif fallacieux de la dépollution de la capitale. *Voiture en espagnol

7

6,8 Mds €, c’est le budget annoncé et qui devrait être tenu dans la perspective des JO de Paris. Un rapport de l’inspection générale des finances pointe de possibles dérapages et préconise d’emblée de prendre des déci-sions en rapport avec des délais de réalisa-tion et d’importants surcoûts. Les JO seront réussis si la moisson des médailles se révèle exceptionnelle mais aussi, à condition que les Français n’aient pas à payer la facture.

Le chiffre

6,8

À partir d’une expérimentation peu significative, la baisse de 10 km/h de la vitesse sur les routes secondaires

décidée par le gouvernement et applicable dès le 1er juillet, peut-elle impacter réellement la sécurité routière et sauver jusqu'à 400 vies par an ? Les automobilistes français sont septiques (3 sur 4 sont contre) en fonction des taxes déjà écrasantes qui pèsent sur l'automobile. La mesure pourrait rapporter jusqu'à 335 millions d'euros annuels, selon l'hebdomadaire Auto Plus. Une manne bien utile et un revenu supplémentaire pour l'État: selon la Cour des comptes, «plus de 50% des recettes des amendes ne sont pas directement affectées à la mission» de sécurité routière. Une partie de l'argent des radars est en effet affectée au «désendettement de l'État».

Il faut qu’il y ait par exemple, des parkings qui permettent aux automobilistes de laisser, à des tarifs raisonnables, leur voiture aux portes de Paris.

La phrase

I faut q

Nicolas Hulot, ministre de la Transition écolo-gique et solidaire évoquant des alternatives au sujet de la place de la voiture dans la capitale, en attendant de rencontrer Valérie Pécresse, présidente de la région Île-de-France et Anne Hidalgo, maire de Paris.

14e édition de la Course des Coteaux : les plus belles émotions « Ils l’ont fait ». Le sport est définitive-ment le plus bel endroit pour exalter les sentiments forts ! Le sport tellement exemplaire quand il s’agit d’effacer les différences et de réunir dans un même élan de respect et de solidarité celles et ceux qui s’affrontent avec le sourire. On se souviendra longtemps de la course des coteaux du dimanche 25 mars et des mots d’Harry Bignon, le speaker de la course, commentant sous les applau-dissements particulièrement nourris des spectateurs massés devant et le long de l’avenue des Diablots, le franchissement de la ligne d’arrivée de Rémy Gervais, menucourtois de 44 ans, infirme moteur cérébral, du 10 km en course à pied le plus vallonné du Val-d’Oise ! Après 1 h 03’ 53 d’efforts, dix athlètes issus des sapeurs-pompiers de Taverny et de Jakadiroule (association qui favorise l’ac-cession au sport des personnes à mobi-lité réduite) lui ont donné la chance de vivre cet instant magique. Chacun aura tiré ou poussé sa joëlette à travers la ville et notamment dans la redoutable côte de la rue de Chauvry (1 200 m de montée à 10%). Un magnifique défi bien dans l’esprit de cette compétition familiale et amicale. Il faut d’ailleurs souligner que cette 14e édition aura permis de battre le record de participations (750 inscrits et 650 finishers, âgés de 6 à 74 ans). Dans cet esprit, Sandra Billet a salué «une superbe épreuve sportive portée par une équipe organisatrice au top, composée de 120 bénévoles, 35 agents municipaux, 25 secouristes, 10 policiers et 20 par-tenaires, aux petits soins pour les cou-reurs». La maire de Saint-Leu aura juste-ment apprécié la participation des Saint-Loupiens (25% du peloton), le suspense pour la victoire sur le 5 km entre Djamel Debbi et Axel Hamon, l’exploit de Claire Fernandes (benjamine longtemps en tête du 2,2 km devant les minimes masculins qui offrit l’une des 10 médailles à l’Us Méry) et le record du Cc Taverny avec 28 podiums réalisés (triplé en poussins et en minimes garçons et victoire sur les 5 km

grâce à Djamel Debbi et Bintou Diallo). Pour l’épreuve reine du 10 km, c’est le Montmorencéen Hassan Ait Moh (lau-réat du Tour de Méry 2017 et du Tour de Bernes 2018) qui s’est imposé avec 1’27 d’avance, tandis que Marie-Line Hamon (Efcvo) chez les féminines a battu le record absolu de l’épreuve en décrochant sa 7e victoire depuis 2005.

photoLa

Les résultatsHommes> Vétéran 1 : 1. H. Ait Moh

(Nl, Montmorency) 34’30 ; 2. Coulon (Nl, Saint-Leu-la-Forêt) ; 3. De La Gorce

> Seniors : 1. Y. Cherel 35’57 ; 2. V. Cosperec (Cct) 35’59 ; 3. Boulc’h (Domont) 36’22 ; 4. Hogrel ; 5. El Aribi

> Scratch 5 km : 1. Debbi (Cct) ; 2. A. Hamon (Efcvo / Poissy Triathlon) ; 3. Burgaud (Cct) ; 4. Meye

Femmes> Vétéran 1 : 1. M-L Hamon (Efcvo) 42’58 ;

2. Giroux (Cct) 45’05 ; 3. Boutesocq (Nanterre)

> Seniors : 1. Bascou (Cct) 44’38 ; 2. G. Leroux (Usmac) ; 3. A. Leroux (Usmac)

> Scratch 5 km : 1. B. Diallo (Cct) ; 2. Lerideau (Tsf) ; 3. Roumazeilles (Oxford)

Tous les résultats sur www.sportspassion95.fr

Actualités

8 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Du mardi 12 juin 2018 au same-di 23 juin 2018, l’aggloméra-tion du Val Parisis organise

l’Opération Bib’Bosse dans les 16 bibliothèques intercommunales dont la médiathèque Georges Pompidou. Les élèves et étudiants passant un concours (brevet, bac, licence…) pour-ront ainsi préparer au mieux leurs examens et programmer leurs révi-sions. L’Opération Bib’Bosse consiste à proposer aux étudiants des espaces de travail et des accès aux ressources documentaires pour accéder à un meilleur confort de révision avec des équipes mobilisées pour les accom-pagner. Dans cet esprit, plusieurs animations gratuites seront propo-sées : des siestes électroniques, des séances de relaxation musicale, des jeux vidéo ou encore des instants transats-parasols, des pauses gour-mandes seront aussi organisées. www.facebook.com/operationbibbosse

Du 1er juillet au 31 août, la Police municipale, en col-laboration avec la Police

nationale, contribue à l'Opération Tranquillité Vacances. Après une demande auprès des commissariats ou du poste de police municipale, des agents de police effectuent des rondes de surveillance autour des habitations et commerces pendant l'absence de leurs proprié-taires. Le service gratuit et d’inté-rêt général,permet d’éviter de nom-breux cambriolages.Plus d’info sur : www.saint-leu-la-foret.fr ou au 01 39 32 15 55 ou 06 84 95 24 37

C’est décidé, le vendredi 25 mai, on fait à nouveau connais-sance ! L’occasion de ne plus

se voir de loin et de partager réellement un moment convivial en se retrouvant dans une cour, un hall d’immeuble, un appartement, une maison, un jardin ! "Immeubles en fête - la fête des voisins" est une idée simple et formidable qui permet de rompre l'anonymat et l'isole-ment dans le but précieux de mieux vivre ensemble. Au-delà d'une soirée de fête dans l'année, cette soirée pas comme les autres permet aussi de renforcer le contact entre voisins et parfois, d’instau-rer une vraie solidarité de proximité. N’hésitez pas non plus à vous rappro-cher de votre groupe de quartier.L’affiche et les invitations sont à votre disposition à l’accueil de la mairie. Elles sont aussi téléchargeables sur : www.immeublesenfete.comRens : 06 30 49 38 01

Réviser sans stress !

Partir tranquille en vacances

La fête des voisins : et si on s’invitait ? Pensez à

vos passeports !

Les vacances ne sont pas loin et en cas de voyage à l’étranger, n’oubliez pas de vérifier la validité

de vos passeports ou cartes nationales d’identité (environ trois semaines de délai).La direction des Services à la popula-tion et Action Sociale vous accueille : Lundi de 13 h 30 à 17 h 30 – Mercredi de 8h30 à 12h - Mardi, jeudi et vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30 - Le samedi de 9 h à 12 h.Attention ! Les cartes nationales d’identité des personnes majeures, délivrées entre le 2 janvier 2004 et le 31 décembre 2013 ont une durée de validité de 5 ans supplémentaires (voir au dos de la carte). Vous n’avez aucune démarche à effectuer.Demandes de passeports et cartes nationales d’identité uniquement sur rendez-vous au 01 30 40 22 00

Dans le cadre de son Contrat local de santé, la Communauté d’agglomération Val Parisis s’en-

gage contre le renoncement aux soins, notamment grâce à un partenariat avec l’association 2AH. L’objectif de cette col-laboration est de permettre à tous de disposer d’une complémentaire santé, de mieux faire connaître les dispositifs d’aide et de trouver des solutions pour que les personnes en difficulté puissent maitriser le reste à charge. Comment fonctionne ce service ?Vous souhaitez bénéficier de ce dis-positif ?

Appelez le 02 35 76 47 20 (Appel non surtaxé, du lundi au vendredi de 9h à 18h) et trouvez La mutuelle santé adap-tée à vos besoins et au meilleur tarif !

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Commémorations : vos rendez-vous patriotiques

Le mardi 8 mai pour marquer le 73e anniversaire de la victoire sur le nazisme et la barbarie.

10 h : messe paroissiale, dépôt de gerbes11 h 30 : cérémonie des couleurs sur la place de la Mairie suivie de la lecture de messages et du dépôt de gerbes avant le départ vers le Monument aux morts au cimetière avec la fanfare « Le réveil de Saint-Leu ».Le lundi 18 juin, pour se souvenir de l’ap-pel du général de Gaulle du 18 juin 1940 18 h : rendez-vous au square Leclerc pour la lecture des messages et les dépôts de gerbes.

Les balades de propreté en forêt sont devenues des rendez-vous réguliers en rapport avec l’enga-

gement de la ville pour la protection de la forêt. La prochaine balade de propreté en forêt de Montmorency organisée avec la ville de Taverny aura lieu le dimanche 3 juin. Regroupés en brigade de bonne volonté, les participants se retrouveront dans une ambiance convi-viale et se transformeront en agents de propreté. Pour prendre part à cette opération éco citoyenne, rendez-vous

Dans Ma Forêt

Don de sang : sauve qui peut la vie ! Il y a pénurie et la situation est critique ! Comme le souligne régulièrement l’Établissement français du sang (EFS) dans ses campagnes « Donner son

sang, c’est offrir la vie ». En pré-vision de la baisse des stocks de sang, notamment avec les vacances d’été, il est essentiel de se mobiliser pour que les dons ne fléchissent pas pour que les besoins des malades, des blessés soient satisfaits. Si vous avez entre 18 et 70 ans et que vous êtes en bonne santé, Rendez-vous le dimanche 17 juin à l’espace Claire-Fontaine (9 h - 14 h)

Permanences du Maire et des élus Sandra Billet, votre maireSans rendez-vous aux heures d’ouverture de la mairie : les samedis 12 mai et 16 juin

Anne Marioli, adjointe au maire déléguée aux Affaires socialesSans rendez-vous aux heures d’ouverture de la mairie : les samedis 12 mai et 16 juin

Christian Malacain, conseiller municipal RBM reçoit en mairie sans rendez-vous tous les premiers samedis du mois de 10 h à 12 h

Permanence de la députéeNaïma Moutchou 46, avenue de la GareRendez-vous au 01 30 26 15 65

Prochain Conseils municipaux29 mai et 26 juin - 20 h 30 à la Maison pour Tous, rue du Château.

Groupes de quartier> Mardi 15 mai : Groupe de quartier

du Centre-ville – 20 h à la Croix Blanche

> Jeudi 17 mai : Groupe de quartier des Coteaux – 20 h à la Maison pour Tous

Pour les contacter :

Groupe de quartier de la Plaine gqplaine@gmail.comGroupe de quartier du Centre-ville gqcentre@gmail.comGroupe de quartier des Coteaux gqcoteaux@gmail.comGroupe de quartier des Tannières gqtannieres@gmail.com

à 14 h au carrefour des Quatre Cèdres. Gants, sacs, poubelles vous seront four-nis. Au programme également, balades en calèche et tours de poneys pour les enfants.Renseignements : 01 30 40 22 24 ou 06 30 49 38 01

10 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Ca nous intéresse

a er s sa e e re e es p r a r re rs e s p ss e e pr p r es r es e pr r ar e e pr e par a Le a r s e a a s e pr pe e re r e e pr r e a ra e p r pr e er r e e e e e es e appe e a r e a ra s a e

Budget 2018 : l’équilibre coûte que coûte

Notre ville peut s’enorgueillir d’un comportement particulièrement vertueux en matière de finances

publiques. Non seulement nous n’avons pas augmenté les taux d’imposition depuis 10 ans mais en plus nous avons réussi à poursuivre les investissements ambitieux, à la fois nécessaires pour la commune et indispensables pour les

aint- oupiens. omme cela sera le cas cette année encore avec l’agrandisse-ment prochain de la crèche, la restruc-turation à venir de l’accueil de la mairie ou l’aménagement en cours d’espaces de loisirs supplémentaires sur l’aire des Diablots ». Jean-Michel Castelli, adjoint au maire délégué aux finances et au

contrôle de gestion se veut tout aussi confiant qu’il est également soucieux des décisions à venir de l’État. « On ne va pas parler indéfiniment de la baisse des dotations de l’État car on finirait par ne plus rien faire d’utile. Et c’est contraire à l’action publique largement relayée par notre municipalité. aint- eu-la-Forêt, nous nous sommes adaptés depuis des années au désengagement structurel de l’administration au détri-ment des villes. En quelques sorte, nous avons jusqu’alors réussi à faire plus avec moins. Mais manifestement, la réorgani-sation des services municipaux ne pour-ra pas indéfiniment pallier les économies

consenties et il faudra bien que « faire autrement » implique aussi de reconsi-dérer justement les moyens. ’est une décision qui appartient à l’État mais il va de soi que nous ne pouvons pas indéfini-ment attendre des mesures de bon sens sans être à l’initiative des projets qui préservent notre collectivité » C’est dans ce sens que la ville a agi depuis dix ans, également, pour faire diminuer la part de la dette toxique dans l’endettement de la commune, et a dénoncé devant la justice le caractère inique des emprunts struc-turés contractés par l’ancienne munici-palité. L’assainissement des finances a conduit la ville, à l’issue du vote du bud-get 2018, voté par le conseil municipal du 27 mars dernier, à donner suite à des orientations budgétaires raisonnables, compte tenu d’une conjoncture particu-lièrement contraignante : la baisse des charges de fonctionnement malgré la baisse de l’attribution de compensation de Val parisis (363 k en 2018 au lieu de 820 k en 2015), l’incertitude de la diminution espérée des taux d’intérêts en rapport avec les emprunts structurés dits toxiques et les pénalités de la loi SRU à hauteur de 436 k malgré les efforts de la commune dans le domaine des logements sociaux intégrés dans son plan d’aménagement urbain. Sans oublier la prise en compte de la loi de programmation des finances publiques 2018-2022 qui maintient un objectif de réduction du déficit public et une nouvelle contribution des collectivi-tés à hauteur de 13 Md sur cette période (soit 16% du nouvel effort demandé !) et la suppression progressive de la taxe d’habitation pour 80% des contribuables qui prendra la forme d’un dégrèvement dans la limite des taux et des abatte-ments appliqués en 2017 (30% en 2018, 65% en 2019 et 100% en 2020).

BUDGET 2018Fonctionnement

16 636 770 € Investissement 6 464 393 €

Plus de 23 millions d’euros (M€) dépensés pour améliorer la vie

quotidienne des Saint-Loupiens !

Une dette moins “toxique”

Dette de la ville par type de risque

1er janvier

2008

100%

90%

80%

70%

60%

50%

40%

30%

20%

10%

0%1er janvier

2018

Toxique Variable Fixe

11

a a a e rea e s e e a p a e ar ha h era e e ra a e er re a s e a re e a er sa s r re e e ses ser es a pr es sa ers

Un nouveau visage pour la poste

Même s’il découle inévitablement d’un tel chantier quelques désagré-ments ou inconvénients pour les

usagers, ces travaux nécessaires et attendus s’inscrivent bel et bien dans le registre des améliorations essentielles pour notre commune et pour les aint-

oupiens ». Si Sandra Billet regrette que ces longs travaux ne commencent pas fin juin à l’orée des vacances, le maire de Saint-Leu-la-Forêt se félicite de voir la ville bientôt pourvue des équipements et des outils adaptés à nos modes de vie. Rendez-vous donc le 7 août prochain à 14 h 30 pour pleinement apprécier le fruit des travaux de modernisation et de mise au format de l’espace de vente de la poste du centre-ville. Des travaux qui permettront d’améliorer l’accueil des clients et de réduire le temps d’accès aux produits et services.Pour le Groupe La Poste, il s’agit d’un enjeu considérable puisque l’entre-prise s’apprête à investir 400 K uros afin d’améliorer l’attractivité de ce point de contact particulièrement prisé tout en assurant son nécessaire développe-

ment. Dans cet esprit, nombre d’amé-nagements sont propices à satisfaire la clientèle, qu’il s’agisse d’entreprises et bien évidemment de particuliers. Il faut noter qu’un distributeur de billets interne sera installé dans l’espace commercial. Cet automate interbancaire plébiscité par les clients, bénéficiera aussi à l’en-semble des administrés.Durant la période des travaux, l’ensemble des services postaux (ventes de timbres, affranchissement des lettres et colis ordinaires et recommandés …) et opéra-tions bancaires (retraits et versements) du bureau du centre-ville seront trans-férés, au bureau annexe du quartier des Diablots. Les horaires de ce bureau seront ceux du bureau du centre-ville, à savoir du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h 30 à 18 h, le samedi de 9 h à 12 h.Afin d’accueillir l’ensemble des clients (plus de 200 clients/ jour en moyenne), l’effectif du bureau des Diablots sera renforcé par un second chargé de clien-tèle durant toute la durée des travaux. Par ailleurs, la configuration du bureau des Diablots ne permettant pas la ges-

tion globale des services postaux, l’acti-vité de retraits des lettres et colis avisés, se fera au bureau de Poste de Saint Prix situé au 60 rue d’Ermont 95390 Saint Prix, du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h 30 à 18 h, le samedi de 9 h à 12 h. Les lettres et colis seront avisés par les facteurs directement au bureau de Poste de Saint Prix.

L’avis de passage du facteur men-tionne, au verso, la possibilité de bénéficier d’une nouvelle livraison au domicile à la date choisie par le des-tinataire ou un retrait dans un autre bureau de Poste. De même, l’avis de passage permet au destinataire de donner une procuration ponctuelle à un tiers. Il suffit pour cela de signer l’avis et de confier une pièce d’identité à cette personne de confiance. Enfin, La Poste reste disponible 24H/24H et 7/7 jours sur son site www.laposte.fr afin d’effectuer des opérations d’achat ou un choix de distribution.

> Il faut savoir

Cabinet médicalEn plus des 19 logements sociaux construits à l’angle de la rue de Verdun et de l’avenue des Diablots, le nouvel immeuble com-prendra au rez-de-chaussée des locaux pour l’installation d’un cabinet médical regroupant une dizaine de professions libérales (médecins, ostéopathe, kiné, gynécologue, infirmière…)

PatrimoineLa Croix du Prince de Condé, témoi-gnage glorieux dédié à la dynastie des Condé, érigé en lieu et place de l’ancien château et qui est propriété de la fondation Saint-Louis, fait l’ob-jet d’une rénovation globale avec, en plus des travaux de restauration aux endroits endommagés du socle, la plantation d’arbres fruitiers dans l’esprit de ce haut-lieu du patrimoine saint-loupien.

LogementsLa rue Gambetta longeant la voie ferrée qui fait le lien entre les quartiers du centre-ville et de la Plaine fait actuellement l’objet de travaux de rénova-

tion et d’aménagement. À ce titre, deux programmes de construction de logements sont en cours de réalisation. Le Programme Davril avec une livraison au 1er trimestre 2019 de 43 logements en accession à la propriété et de 14 logements sociaux. Le Programme Verrecchia avec une Livraison au 3e trimestre 2019 de 88 logements en acces-sion à la propriété et de 22 logements sociaux.

Déploiement de la Fibre Suite au déploiement de la fibre, 2 900 logements peuvent déjà être raccordés à la fibre, et 4 000 logements d’ici la fin de l’année. Sandra Billet recevra Orange le 17 mai prochain afin

de dresser un état des lieux concernant ce dossier crucial et tellement suivi par les Saint-Loupiens. 85% de la ville devrait-être raccordée à la fin 2019 et le déploiement devrait être totalement finalisé en juin 2020. Par ailleurs, Orange a pro-mis de venir à la rencontre des Saint-Loupiens sur un stand à l’occasion d’un prochain samedi matin sur le marché.

Crèche L’Extension de la crèche de l’avenue des Diablots avec la création d’une crèche collective d’une super-ficie de 204 m2 (plus de 55 m2 en plus) est programmée pour cet été. La terrasse extérieure à l’arrière du bâtiment laissera place à une verrière qui donnera lieu à une redistribution de l’espace intérieur avec la création d’une seconde salle d’ac-tivité et la création d’une salle polyvalente (coût estimé : 350 000 €).

Bornes électriques Après l’aménagement de la première borne électrique située sur le parking près de la Croix du jubilé, les travaux de Val Parisis consacrés aux espaces de recharge pour véhicules électriques se pour-suivent jusqu’à fin juin aux emplacements suivants : parking de la Châtaigneraie, parking Foch, parking de la Maison pour tous, parking de l’école du Village, parking Gare Nord, parking de la Médiathèque, parking de l’Hôtel des impôts.

Éclairage public Compétence intercommunale depuis fin 2017, l’éclairage public est désor-mais dévolu à Val Parisis qui a procédé mi-avril au changement de 55 lanternes sur l’avenue des Diablots pour plus de durabilité et de sécurisation des espaces publics..

PPP bis Les réaménagements de la rue du Rû et de la rue Gateau inscrits dans l’extension du PPP (Partenariat Public Privé) de 2012 avec la société Sphéria, après renégo-ciation des intérêts, prendront fin en juin après la mise aux normes d’un certain nombre de raccordements, de l’enfouis-sement des réseaux et de la réfection de la voirie sans trottoir (comme rue de

la Forge), ainsi que de l’installation de trois bornes enterrées pour les ordures ménagères. Coût des travaux estimé à 1 million d’euros

Aménager

12 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Thuram à Saint-Leu, c’est indénia-blement un évènement ! Le pro-digieux footballeur n’a rien perdu

de son aura et a engagé depuis dix ans avec sa fondation un combat de longue haleine contre toutes les formes de racisme. Un véritable sacerdoce que cette personnalité populaire dispense avec générosité sur l’ensemble du ter-ritoire français et en particulier dans les écoles. L’essentiel étant de sensibiliser les enfants à la question fondamentale du respect porté à ceux qui ne vous res-semblent pas. Pour Lilian Thuram, le rôle de l’école est crucial dans la lutte contre le racisme. Et ce, dès le plus jeune âge. Pour mieux comprendre on peut se référer au pré-ambule consécutif à son engagement exclusif. « On ne naît pas raciste, on le devient.

ette vérité est la pierre angulaire de la Fondation Éducation contre le racisme, pour l’égalité. e racisme est une construction intellectuelle, poli-tique et économique. Nous devons prendre conscience que l’Histoire nous a conditionnés, de génération en géné-ration, à nous voir d’abord comme des Noirs, des Blancs, des Maghrébins, des

siatiques Nos différences deviennent des inégalités générées par des méca-

e ha p e e a e pe e ra e a ep s es s a e e e s

er e a s e a p r e s a ser e e a re e ra s e Le a pr ha sera a Le p r a er a re re e re es e

C’EST À NOTER ! Bientôt l’été

Enfance et jeunesse

13

Les mini-séjours Du 3 avril au 22 juin 56 places en mini-séjours, (durée 5 jours) vous sont proposées. Pour les CM1/CM2/ 6e (20 places, du 23 au 27 juillet), séjour en bord de mer dans le Calvados. Pour les CE1/CE2 (20 places, du 30 juillet au 3 août), séjour cirque équestre dans l’Yonne. Pour les CP/Grandes sec-tions maternelles (16 places, du 20 au 24 août), séjour à la ferme d’Ecancourt.Renseignements : Direction des Affaires scolaires, de l’Enfance, de la Jeunesse et des Sports (DASEJS) / 14, rue de l’Église

Accueil de loisirs Pour les vacances d’été, les réservations en accueils de loisirs, vacances auront lieu : > pour juillet (du 9 juillet au 31 juillet) :

du lundi 7 au vendredi 25 mai> pour août (du 1er au 31 août) :

du lundi 7 mai au vendredi 15 juin

Activités péri et extrascolaires 2018/2019Pour les inscriptions de la prochaine année scolaire, les dossiers remis à chaque élève début juin, seront à retourner le 13 juillet 2018 au plus tard.

L’EMJEn plus des activités et sorties estivales (base de loisirs, stages sportifs…), l’Espace Municipal Jeunesse organise un séjour pour les adolescents de 12 à 17 ans à Clécy en Normandie, en pleine nature et avec de nombreuses activités (canoë-kayak, VTT,…).Inscriptions au séjour du 09 avril au 22 juin Renseignements au 01 30 40 22 92 / 22 53 ou emj@saint-leu-la-foret.fr

Chantiers jeunesVous souhaitez prendre part aux chantiers jeunes de cet été et participer à des travaux de rénovation dans la ville qui vous permettront en échange d’être rétribué pour financer vos projets (permis de conduire, vacances), les inscriptions se font à la Maison de la Plaine.10, place de Culcheth / 01 39 95 12 33

Annuaire Baby-sittingVous habitez Saint-Leu, vous avez entre 15 et 18 ans et vous souhaitez intégrer la prochaine publication de l’annuaire Baby-sitting, 2e édition, les inscriptions se dérouleront du 2 mai au 22 juin à l’EMJ au 25 rue du Château.Contact : 01 30 40 22 92 / 22 25 ou emj@saint-leu-la-foret.fr

nismes de domination qu’il est néces-saire de déconstruire. N’est-il pas temps de nous considérer avant tout comme des tres humains » Fort de ses convictions et parce qu’il parcourt le monde entier en porte-parole infatigable, en plus des concours lancés avec l’éducation nationale, des actions pédagogiques s’appuyant sur un collège d’experts (de Françoise Héritier à Yves Coppens), Thuram a pris la saine habi-tude de rendre visites à des écoliers et des collégiens. Il sait comme la parole peut toucher celles et ceux à qui elle est destinée quand elle leur est adres-sée sincèrement, simplement et direc-tement. Pour sa visite à Saint-Leu le 14 mai dans l’amphithéâtre de la Maison pour tous, il sera accompagné de Jean-Michel Camus, Saint-Loupien et qui n’est autre que le scénariste avec lequel il a signé 3 bandes-dessinées : Notre histoire (Delcourt, tome 1 en 2014 et tome 2 en 2016) qui dresse le portrait d'hommes et de femmes qui ont inspiré Lilian Thuram tout au long de sa vie et de son parcours professionnel, de son arrivée en France et ses débuts dans le milieu du football et « Tous super-héros » destinée aux plus jeunes afin qu'ils prennent conscience que ce futur un peu utopique est désor-mais entre leurs mains.

Lilian Thuram à Saint-Leu

« Pour l’éducation contre le racisme »

À la une

femmes est passée ensuite au second plan, elle a été un déclencheur de la contestation. Un vent de liberté était né, mais 50 ans après que reste-t-il du slogan «Il est interdit d’interdire » ? Actuellement chacun organise sa vie comme il le souhaite mais dans un envi-ronnement hyper réglementé. La parole s’est libérée, mais des sujets sont deve-nus tabous et on ne peut plus rire de tout. Cela reste une page d’histoire où la solidarité primait sur l’individualisme d’aujourd’hui. »Françoise Combaudou, dentiste à la retraite,

conseillère municipale

« Mai 1968, j’ai 20 ans. Depuis 1963, enca-dré par quelques adultes, nous animions un foyer de jeunes dans un local mis à disposi-tion par la paroisse 13 rue de l’église. 1968 arrivant, ce groupe de jeunes plus d’autres plus politisés se réunirent lors d’une mani-festation place de la Mairie pour demander à la ville de nous accorder un local afin d’y installer une MJC. La ville mit à notre disposition un pavillon exproprié pour la construction de l’A 115, actuellement sous le pont de la rue du Plessis. Pour atteindre un public plus large nous décidâmes de l’ap-peler Maison des Loisirs et de la Culture. C’est le noyau initial qui prit en main l’association. Après maints déménagements au bout de la rue d’Ermont, puis en face d’Orly parc, et la ferme Debladis derrière l’église, toujours dans des maisons en voie de démolition ou de réaménagement, la ville nous a confié, en 1982, les locaux de la Maison François Truffaut rue d’Ermont. C’est aussi après 1968 que les écoles primaires devinrent mixtes ». Michel Comby, 72 ans, retraité de l’éducation

nationale et ancien élu municipal

50 ans que sous les pavés, certains ont voulu trouver la plage ! Élan de protestation lancé par les étudiants et les ouvriers contre la société traditionnelle et l'autorité, Mai 68 est un mouvement d'une ampleur sans précédent devenu, comme le souligne Daniel Cohn-Bendit, la fi gure emblématique, le mythe de « on peut tout faire ». Changer la vie était à l’ordre du jour d’une « résolution » nationale qui a laissé des traces diversement appréciées. Paroles de Saint-Loupiens.

Que reste-t-il« Je n’ai pas connu cette période mais il me semble que la jeunesse de 1968 voulait d’abord changer la vie pour vivre plus et mieux que ses parents et ses grands-parents ! Il y avait une liberté désinvolte presque extravagante qui a imprégné notre liberté d’expression. Les antagonismes entre les conservateurs et les progressistes étaient alors aussi fructueux que savoureux et il me semble qu’une ère exceptionnelle s’est ouverte : celle de nos riches et belles contradictions, qui finiront par cohabiter jusqu’au sommet de l’état : le prolétaire s’embourgeoise, le bourgeois s’encanaille et les artistes ouvrent les vannes d’une langue dont les limites se fichent bien des censeurs de tous poils ! Si je rappelle cela, c’est qu’indéniablement, il y a aujourd’hui une tentation de rappeler à l’ordre les artistes. Un certain nombre d’affaires récentes ont provoqué des réactions qui amènent à penser que la liberté d’expres-sion est à proprement remise en cause. Comment seraient aujourd’hui traités Blier, Berri, Gainsbourg, Coluche, Le Luron, pour ne citer qu’eux ? »Sandra Billet, 42 ans, entrepreneuse

et maire de Saint-Leu-la-Forêt

« La révolte de mai 68 a débuté sou-dainement au sein de la jeunesse dont je faisais partie. Contrairement à nos parents, nous étions avides de promo-tion sociale et de loisirs. Le nombre de bacheliers explose, les universi-tés débordent, un grand mouvement contre la guerre du Vietnam se crée. La jeunesse se familiarise avec l’engage-ment politique, la contestation violente et les grèves à répétition entraînent le blocage du pays. Mai 68 a provoqué une profonde mutation de la société et même si la libération de nous les

Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 201814

Sandra Billet

Françoise Combaudou

Michel Comby

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« Mon cerveau, merveilleuse machine à remonter le temps, me ramène à mes huit ans. Je vis dans un petit village du sud de la France où trois générations habitent sous le même toit. En ce mois de mai 1968, un évènement va changer ma vie et celle de ma famille : Notre maison va être raccordée à l’eau courante ! Mes parents sont inquiets, car les matériaux prévus ne seront peut- être pas acheminés, les ouvriers sont en grève et les usines fermées. Le poste radio relate les évènements de la capitale et le collège de la ville voisine a lui aussi fermé ses portes. Prodigieux ! En un éclair me voilà revenue un demi-siècle plus tard. De cette période, je me remémore des souvenirs à la fois agréables et désagréables. Je prends conscience de toutes ces expériences vécues au fil des années qui façonnent autant notre corps que notre mental. Il m’arrive encore de fredonner quelques paroles retenues de la toute première chanson de Julien Clerc née en mai 1968 : « J’aurai enfin tous les courages, ce sera mon héritage … »Anny Venant, 57 ans, éducatrice sportive (stretching

postural et marche nordique)

« J’avais moins de trois ans en mai 68 et je ne garde aucun souvenir direct de cette période, hormis la construction par mon père dans notre jardin d’un bac à sable bordé de pavés. J’ignore où il les avait eus parce qu’à l’époque, ils pleuvaient ! Il est par contre évident que ce printemps-là a eu des répercussions tout au long de l’adoles-cence de ma génération. Les jeunes avaient pris conscience de leur pouvoir, les femmes avaient acquis une écoute inédite, et l’État n’était plus un monolithe inébranlable. Les effets de ces quelques mois violents,

il de mai

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sans doute l’une des dernières manifes-tations d’un idéalisme relativement pur, ont résonné jusqu’à mon âge adulte. Qu’en reste-t-il ? De superbes utopies, des erreurs et des dérives, l’impression que beaucoup de révoltés d’alors sont devenus ce qu’ils combattaient... Cette période forte, comme toutes celles nées d’un mouvement sis-mique populaire, constitue une formidable leçon dans laquelle notre époque serait bien inspirée de puiser pour n’en garder que le meilleur ! Tout est possible, tant qu’au-dessus demeurent ces trois mots absolus : liberté, égalité, fraternité. »Gilles Legardinier, 52 ans, romancier

« 1968 fut l’année de mes 12 ans et de ma communion solennelle. Mes parents divorçaient et ma mère dût aller travailler au-dehors, ce qui me fit grandir d’un coup. A la radio (à piles) j’écoutais en cachette Françoise Dolto ou Ménie Grégoire et les musiques qu'on disait dégénérées. Les revendi-cations de la rue m’étaient proches. Pour nous les filles les collants devinrent autorisés, puis le pantalon, et la mixité en classe arriva. Illégal, les châtiments corporels à l’école. Abolie, la blouse obligatoire. 1968 fut l’es-poir de supprimer les injustices, de contrer le sexisme et la pudibonderie. Les étudiants, les lycéens, les ouvriers se révoltèrent ensemble, et des droits furent conquis : augmentation de 35% du salaire minimum, 4 semaines de congés payés, réduction du travail à 40 h par semaine, contraception, avor-tement. Le service militaire fut dimi-nué, des femmes devinrent ministres… Mais rien n’est jamais acquis, et rien ne saurait durer sans l’éducation, le respect de l’autre, et sans le rappel de

l’histoire. Ce qui a été conquis peut à chaque instant nous être repris. »Marie-Ange Le Rochais, 62 ans,

auteure, peintre, illustratrice

« Mai 68, souvenirs d'enfant. Effervescence, souffle qui sidérait nos aînés, bouleversait les ordres établis. Slogans signant la libé-ration des esprits et réclamant l'inven-tion d'un autre monde. Mai 68, l'étincelle qui alluma le feu des années à venir. En héritage, la transformation de la société et la redéfinition des places de chacun et notamment celle des femmes : émancipa-tion féminine, droits à la contraception,

68 ? Anny Venant

Gilles Legardinier

Marie-Ange Le Rochais

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16 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

À la une

au compte bancaire, autorité parentale partagée... Mais aussi, libération des pen-sées, remise en cause des institutions. Le monde change. Expression, dialogue et choix plutôt qu'obéissance et reproduc-tion des modèles : il est interdit d'inter-dire. Religion, éducation, rapports sociaux et organisation de la société, valeurs à réinventer, écologie née dans ces années avec René Dumont. Que reste-t-il de ces élans face à la mondialisation, la consom-mation effrénée, la destruction de notre planète? L'individualisme a pris le pas sur la conception communautaire (Larzac). L'enthousiasme de 68: comme un refrain à reprendre et imaginer différemment ».Bénédicte Coquio-Marq, 60 ans,

assistante sociale (protection enfance en danger)

et présidente de l’Hiver musical

« Je me souviens de mai 68 comme d'une période de vacances pour moi qui, jeune lycéen de 14 ans, avait en horreur ces études secondaires, tout en ne me sentant absolument pas concerné par les évènements. Ensuite, la vie a totalement changé dans l'éta-blissement que je fréquentais, ciga-rettes dans les classes, tables dis-posées comme bon nous semblait... Qu'en reste-t-il aujourd'hui  ? Un vent de liberté, l'utopie de tout changer… »Gérard Cintra, 64 ans, interprète, écrivain, chanteur

Mon enfance s’est déroulée avant 68. C’était la période « des parents rois » qui déci-daient tout pour leurs enfants : études, lecture, musique, fréquentation, habille-ment, métier etc. L’enfant devait obéir, un point c’est tout. On ne se préoccupait pas de l’aider à construire sa personnalité. Pour obtenir cette obéissance, les moyens consistaient en la culpabilisation, les répri-mandes, critiques, punitions et les fessées. Et puis les jeunes en ont eu assez de n’avoir que des devoirs et aucun droit. Ils ont fait « la révolution » à coups de pavés en criant « Il est interdit d’interdire ».

L’héritage de mai 68 est clair : Le modèle traditionnel d’éducation ne marche plus : l’enfant a droit à la parole. Mais le modèle de l’enfant roi n’est pas applicable non plus. En effet, les enfants à qui les parents laissent tout pouvoir sans garde-fou deviennent capricieux, colériques, tou-jours incontrôlables et parfois délinquants. Actuellement l’éducation parentale est en crise. Il faut trouver ses marques entre ces deux extrêmes. Comment repenser le couple autorité -permission ? Les parents sont en recherche de méthodes pour fixer le cadre tout en continuant à témoigner de leur amour pour leurs enfants.Marion Sarazin, sociologue, 65 ans

« À ce moment-là des 30 glorieuses, l’avenir est prometteur pour les plus jeunes et ils veulent changer le monde ! Il faut reconnaître que notre grille de lecture des événements n’est pas la même selon qu’on ait vécu ou pas mai 1968. Si les grèves et le blocage du pays ont fait chanceler le pouvoir du Général de Gaulle, il se rétablira après une période de flottements et remportera les élections législatives. Il quittera pourtant l'Élysée en 1969 et c’est à Georges Pompidou que revien-dra d’incarner une modernité tellement attendue. Le Général, n’aura effecti-vement pas survécu à mai 1968. Il y a cette journée mémorable du 29 mai 1968 où il disparaît à Baden-Baden. Rien n'obéissant plus ! Peut-être qu’il a compris au fil des scènes de rue les plus brutales que le destin de la France lui échappait  ? Reste que la constitution qu’il nous a légué reste le meilleur cadre institutionnel pour faire durablement avancer la France. Quant à son départ, il est en rapport avec cet homme exceptionnel qui a toujours compris que servir la France, c’était d’abord comprendre les Français ».Sébastien Meurant, conseiller municipal de

Saint-Leu-la-Forêt et sénateur du Val-d’Oise

Bénédicte Coquio-Marq

Marion Sarazin

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ar a e r e a s e a s ess pa r e s a a s r a re es a re p r a he er es a es s a a e ra s r s par es ers p s

par a ep s e ars e e ar a es er a Le a r s e p e

6, rue de Paris. Les Saint-Loupiens connaissent bien l’endroit. Longtemps ce fut une belle

boutique où chacun pouvait laisser sa liste de mariage et choisir l’argenterie, la porcelaine et le cristal qui accompa-gnerait les plus jolies tables d’une vie. C’était un autre temps, celui des mai-sons de famille et des services qui ne se dépareillaient pas au fil des recom-positions ou des disparitions. Puis il y eut les assurances, avec l’agence Axa, déplacée depuis rue du Général Leclerc. Et enfin, depuis le 12 mars, il y a un office notarial tenu par une notaire et une diplômée notaire aussi enthou-siastes que sympathiques. Après sa récente nomination en tant que Notaire, Christelle Ntsame Eyi a voulu trouver un endroit qui lui ressemble, empreint de lumière et avec le caractère de proximité et d’exigence, en termes d’accessibilité. Longtemps, elle a pensé qu’Eaubonne serait la bonne desti-nation puis Saint-Leu s’est imposée. Elle avait rencontré lors d’une mission à Domont, Christine Ducoin-Wilceck, avec laquelle elle a immédiatement par-tagé la même passion du métier et un vrai principe de proximité intellectuelle. C’est ainsi qu’elles ont progressivement

envisagé de s’associer à Saint-Leu, d’où Christine est originaire et qui restait très attachée à sa ville d’enfance. Les deux femmes généralistes du droit et au par-cours différent, s’entendent comme une seule femme, quand en plus de leurs compétences en matière de droit des sociétés, de négociation et transaction, elles peuvent faire valoir le droit de la famille (régimes matrimoniaux, filiation, PACS, successions, libéralités), l’un des domaines de prédilection des notaires, tellement bien inscrits dans la comédie humaine dépeinte par Shakespeare ou Balzac. « ’est ce qu il y a de passion-nant et d’éminemment universel dans notre rôle de conseil. Il faut se rappeler que nous sommes en prise directe et impérativement distanciée avec le com-portement humain, capable du meil-leur comme du pire » précise Christelle. Et Christine d’ajouter « Notre vision glo-bale juridique doit répondre aussi bien à une situation de droit spécifique qu’à une situation familiale dont les ressorts psychologiques sont essentiels et par-fois difficiles à cerner ». Une situation parfaitement illustrée par la succession Hallyday qui fait telle-ment couler d’encre.

Entreprendre

Profession notaireLe seing des seings

2 ou 3 choses sur les notaires

> Les notaires sont des officiers publics, éta-blis pour recevoir tous les actes et contrats auxquels les parties doivent ou veulent faire donner le caractère d’authenticité attaché aux actes de l’autorité publique.

> Les notaires sont des officiers publics nom-més par le ministre de la justice, que l’État charge d’une mission de service public. Il assure le service public de l’authenticité.

> Le notaire a le pouvoir d’authentifier les actes en apposant son sceau et sa propre signature. La définition de l’acte authentique est donnée par l’article 1369 du Code civil.

> Le notaire a un rôle de conservation des actes et doit en assurer la consultation et la conservation pendant 75 ans (100 ans pour les actes qui concernent un mineur).

> Le notaire intervient dans l’ensemble des domaines du droit : famille, immobilier, fis-calité et patrimoine, entreprises, rural, collec-tivités locales….

> Le recours au notaire est obligatoire pour certains actes, comme en matière de contrat de mariage donation entre époux, donation- partage, et pour les besoins de la publicité foncière, la donation ou la vente d'un bien immobilier (appartement, maison, terrain).

> Le notaire exerce ses fonctions dans un cadre libéral, assurant ainsi une forme mo-derne de service public sans coût pour l’État, puisqu’il assume la responsabilité écono-mique de son étude.

> Le notaire est un professionnel libéral, ré-munéré par ses clients (et non par les contri-buables) selon un tarif fixé par l’État pour les services qu’il rend.

À Saint-Leu-la-Forêt, deux offices notariaux

Christelle Ntsame Eyi / Christine Ducoin-Wilceck6 rue de Paris 01 61 35 07 67

Marie-Caroline Louvel/ Anna Saint-Wilkolek6 avenue de la Gare 01 30 40 00 30

À Saint-Leu, depuis la fin des années 70, le jumelage est l’axe souverain de l’idée européenne

relayée par une bande de copains dynamiques totalement convaincus que les années d’après-guerre qui ont meurtri la vieille Europe doivent laisser place à une embellie aussi naturelle que nécessaire. Et c’est aux plus jeunes, collégiens, sportifs (footballeurs, nageurs, tennisman) et musiciens qu’est revenu l’insigne honneur de développer au fil des années des liens d’amitié transeuropéens avec des rendez-vous ponctuels, des visites régulières, des échanges linguistiques et des rencontres exceptionnelles. Les voyages n’en finissent pas de former la jeunesse ! Ce fut d’abord avec Culcheth, charmante cité située au nord de l’Angleterre, entre Manchester et Liverpool et en 1988 et enfin Wendlingen-am-Neckar (située à 20 km environ de Stuttgart). Ce jumelage entre les deux villes fut

comme un coup de foudre amical. Chacun pensa immédiatement avec raison que cette alliance avait de beaux jours devant elle. Et trente années après, le lien qui réunit les deux villes s’est consolidé. Chacun a vécu, même de loin, ce qui a changé l’autre (pas simplement les changements de maire) et jamais l’indifférence n’aura abîmé une relation amicale qui s’est forgée au fil des échanges et des relations. Notamment grâce aux fortes personnalités des présidents successifs : Marcel Breton, André Delort puis aujourd’hui Sabine Malibert pour Saint-Leu-la-Forêt et l’inoxydable Suzanne Schwab pour Wendlingen, dont le tempérament aura eu raison de tous les changements.

30 ans, ça se fêteSandra Billet accompagnée de Sébastien Meurant et de plusieurs élus saint-loupiens se rendra à Wendlingen dans quelques jours, du 4 au 6 mai.

L’occasion de rencontrer Steffen Weiglel, son homologue allemand et de participer à de nombreuses festivités. Quant aux réceptions du 30e anniversaire programmées à Saint-Leu-la-Forêt, elles auront lieu du 21 au 23 septembre prochain avec comme d’habitude quelques promenades culturelles dans la capitale et des animations marquantes et remarquables à la lumière de la statue du moissonneur. Car le jumelage est la source de cette paix si chère et tellement attendue par des peuples aussi cousins que voisins. Une réalité qui faisait dire à Marcel Breton, père fondateur du mouvement saint-loupien, « ette amitié avec les Anglais puis les Allemands nous a permis, de faire grandir l’identité européenne. Parce que nous ne sommes pas si différents et que nous le serons de moins en moins »

a s e e a e e a Le a r es e e a e a e a e e e ea e ar e e rappr he e e re es e es res e e res era rs e

e e a a e pr e ps e esse e e r r

Le comité de jumelageTrois décennies d’amitié avec Wendlingen

Vie associative

18 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

30ANS

France). Il faut dire que l’association a su d’emblée miser sur un projet se prêtant parfaitement au caractère du centre-ville de Saint-Leu-la-Forêt. Le côté village est pour beaucoup dans le succès public de l’entreprise. Il y a fort à parier que le même projet dans une ville autrement urbanisée, n’aurait pas reçu le même accueil. En même temps il convient d’être juste : l’association travaille d’arrache-pied (7 000 heures de bénévolat pour les 2 manifestations) et sait utiliser les compétences et la vitalité de chacun de ses membres. Comme le rappelle à son tour Pascale Guthmann, présidente de l’association, « ce qui compte, c’est l’esprit et la qualité de notre projet depuis 30 ans.»

L’importance des bénévolesEn trente ans, l’association est passée de 15 bénévoles à 70 adhérents. Un chiffre considérable lié au succès de la manifestation. Le nombre de visiteurs est chaque année plus impressionnant et la réputation a largement dépassé le département et même la région. Le fichier

visiteurs ne compte pas moins de 16 000 visiteurs qui viennent de la France entière, attirés par la richesse des catalogues. Au fil des années, les espaces investis par les manifestations ont été à l’image d’une croissance où chacun s’entend pour maintenir la qualité des créateurs exposés et le renouvellement nécessaire pour satisfaire les exigences d’un public averti. Une manière de mettre en lumière autrement un domaine de prédilection. Par exemple, cette année, « la génération verre » est à l’honneur avec une carte blanche pour s’inspirer d’un nouveau souffle avec 9 créateurs surprenants.Tout en grandissant, Saint-Leu-Art-Expo a conservé la genèse de son projet en privilégiant son caractère familial. Avec les bénévoles, avec les artisans reçus comme des amis, avec le public fidèle et avec les Saint-Loupiens qui se retrouvent dans l’exigence de l’excellence portée par les métiers d’art.Gestes & matières, les 30 ans de Métiers d’art. Exposition-Vente 25 mai : 17 h – 22 h / 26 et 27 mai : 10 h – 19 hsaintleuartexpo.fr

En 1988, une quinzaine de Saint-Loupiens se rassemblent autour de Jean-Louis Jacquelin avec une

idée simple : promouvoir les métiers d’art et les créateurs grâce à l'organisation d'expositions-ventes de créations réalisées par des artisans d'art. Les Métiers d’art dans la ville vont naître et dans leur élan, « Saint-Leu-art-Expo » fait ses premières armes. Depuis le premier marché des potiers créé en 1992, la formule évolue et se renouvelle sans cesse avec 2 évènements par an : Tout Feu Tout Flamme en mai (Céramique, Métal, Bijoux, Bois ou Verre et une expo thématique sous forme de carte blanche) et Métiers d'art en novembre (Déco Maison, Mode, Bijoux, et une expo thématique sous forme de carte blanche). Ces rendez-vous qui réunissent une centaine d’exposants drastiquement sélectionnés sont devenus pour les amateurs une véritable référence en la matière. Saint-Leu-Art-Expo peut même s’enorgueillir d’être labellisée AAF pour ses deux expositions annuelles (Membre associé des Ateliers d'Art de

Saint-Leu Art Expo ouQuand les métiers d’art font le printemps !

a s e es ers r r er a Le a r r er e a ersa re a Le r p e ra e re e a p s e e es a res r a e rs

e ep e s es e s es s ha er e e a e

19

30ANS

Sortir

20 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Le jeudi 10 mai (7 h / 19 h), la bro-cante de l’Ascension organisée par « Saint-Leu Priorité Commerces »

dans le quartier des Diablots est un rendez-vous très attendu. C’est l’occa-sion de retrouver des connaissances et plusieurs centaines d’exposants qui font valoir des stands aussi diffé-rents qu’étonnants dans une ambiance décontractée, où sourires et convivialité sont de mise. Avec des odeurs de barbe à papa et des affaires en pagaille !Depuis son origine, tous ses béné-

voles se mobilisent pour la pro-motion des Métiers d’Art. Trente

belles années au cours desquelles deux fois par an, Saint-Leu-Art-Expo invite les visiteurs à entrer dans un monde à part pour découvrir celui de la créa-

Clément Guégan, jeune photo-graphe saint-loupien de 28 ans, en plus d’incarner merveilleuse-

ment une nouvelle génération de pho-tographe est un véritable fer de lance

Ne manquez pas « Françoise par Sagan », spectacle qui, à l’automne, a créé l’événement au théâtre le Petit Montparnasse. Caroline Loeb, à l’origine du projet, a réus-si à rendre un magnifique hommage à Sagan à partir des textes de ses interviews publiés chez Stock, « Je ne renie rien », et d’attitudes incarnées à la limite de la silhouette, tout en conservant l’essentiel d’un mythe qui n’a pas fini de nous dépasser. Un grand moment d’émotions.4 mai à 20 h 30 à la Croix-BlancheSur réservation obligatoire au 01 30 40 22 88

Françoise Sagan Merveilleuse

30ANS

Brocante de l’Ascension : venez chiner en famille !

tivité débordante des artisans d'art, où se conjuguent savoir-faire, authenticité, originalité, poésie et émotion. Le 25, 26 et 27 mai prochains, à l'occasion de l'ex-position « Gestes et Matières, les 30 ans de Métiers d'Art », venez à la ren-contre des 146 créateurs de cette édition Anniversaire pour découvrir : Céramique, Bois, Verre, Bijoux, Mode, Maison, Métal, Émaux sur métaux et une Carte Blanche "génération verre, un nouveau souffle". De nombreuses démonstrations de savoir-faire et ateliers participatifs seront proposés pour partager, le temps d'un week-end, la passion des Métiers d'Art.25, 26 et 27 mai - Exposition-vente (Entrée libre) – www.saintleuartexpo.fr

: un artiste visuel surréaliste, ayant vécu plusieurs années au Canada où les influences d’un certain gigantisme l’ont rapproché de la nécessaire tra-jectoire personnelle. Autodidacte, son travail, principalement photographique, représente des personnages en quête d’identité, perdus dans des espaces sans fins et abstraits. Il est fasciné par les concepts du rêve et du temps, captu-rant des moments de solitude, « lorsque nous révélons notre personnalité intrin-sèque ». Dans un monde où tout est disponible sur le web, Clément Guégan accorde une grande importance à la mise en place de ces œuvres afin de créer une expérience unique et tangible que le digital ne peut reproduire.Du 8 au 23 juin à la Maison consulaire

ExpoClément Guégan

L’association Amitié Joie de Vivre (AJV) qui a fêté ses 32 ans vous donne rendez-vous les 1er juin

(de 14 h 30 à 19 h) et 2 juin (de 9 h à 18 h 30) à la Maison pour tous pour une exposition réunissant les travaux de ses 80 adhérents: peinture sur toile et sur bois, encadrement, scrapbooking, vitrail, et réfection de petits meubles. À noter que le samedi à 15 h, vous pour-rez assister à un spectacle sur l’âge d’or des variétés françaises (Aznavour, Bécaud, Delpech) avec Thierry Leclerc. Toujours à la Maison pour tous, vous pourrez retrouver du 8 au 17 juin le Salon de juin présenté par les artistes-saint-loupiens de l’association Arts plu-riel qui cette année mettent en lumière « la mer qu’on voit danser le long des golfes clairs…»

La tradition ça a du bon !

21

La fête au village ! Fêter l’été et fêter la musique est

loin d’être une gageure ! C’est même une tradition depuis

quelques années d’associer la célébra-tion de la saison qui va nous ensoleiller, à la musique qui, si elle n’adoucit pas toujours les mœurs, réussit constam-ment à nous donner des émotions libé-ratrices ! Samedi 23 juin dès 10 h 30 les Saint-Loupiens sont invités à investir le centre-ville pour goûter aux plaisirs de jeux et d’animations qui raviront les plus jeunes comme les plus anciens. Et l’esprit de vacances devrait largement se propager. Pour Sandra Billet, « beau-coup de aint- oupiens attendent ce jour avec impatience, comme un retour à nos meilleurs souvenirs d’en-fance avec des couleurs et les odeurs sucrées de kermesses villageoises ». L’ambiance sera aux jeux pour tous, avec de joyeuses propositions : des manèges (chaises volantes), des structures gonflables épatantes (« Le Wipeout » pour tester son agilité et son équilibre, « le Grand Canyon » pour s’amuser sur un parcours d’aventurier), des vélos fous (des cycles tordus et tordants), des voitures à pédales à l’an-cienne pour les plus jeunes. Des ate-liers sensationnels seront également proposés avec la découverte de 6 types de gyropodes électriques et l’initiation au multimédia immersif avec la société Planète VR qui vous proposera d’es-sayer les fameuses lunettes qui vous plongent dans une autre dimension du réel. Vous retrouverez également des espaces de création avec des bijoux (cuir ou fantaisie), de la vannerie, de la

customisation de tote-bag (petit sac en toile pour l’été) et un atelier de création des poupées Nénette et Rintintin, petits personnages en laine fabriqués par les enfants en guise de porte-bonheur pour les Poilus pendant la guerre 14/18 (2018 centenaire de la fin du premier conflit mondial).

Festivité

“Je t’aime Roumanie”Un spectacle : « Le chemin de l’union »Un spectacle original pour raconter la création de l'état roumain

à la fin du 19e et au début du 20e siècle, articulé en trois parties :

« Le Boyard et les Paysans » ou la nécessité de s'unir ; « Le

poète et l'empereur » inspirée de trois rencontres historiques

entre Napoléon III et Vasile Alecsandri, poète diplomate né à

Bacau (ville soutenue par l'association " Amitié roumaine ") et

« La reine et le Général » affirmant le soutien de la France à la

Roumanie jusqu'à la "Grande Union" et les débuts de l'état rou-

main moderne. La troupe composée de 40 élèves roumains des

collèges de la région de Bacau et de leurs professeurs jouera en

français et interprétera des célèbres chants et danses roumains.

Un grand moment d’émotions en perspective après presque

trente ans de relations privilégiées entre Saint-Leu et cette région

de Roumanie. Spectacle parrainé par « Amitié roumaine Saint-

Leu-la-Forêt » dans le cadre de l’opération «J'adore le Français »

avec le Conseil départemental de Bacau et avec les municipalités

de Colonesti, Motoseni, Rachitoasa et Stamisesti.

Jeudi 31 mai à 20 h 30 à la Croix-Blanche

Entrée libre / participation appréciée : 5 euros

Une conférence : « La Roumanie inconnue »Les Amis de la médiathèque proposent une conférence sur la

région méconnue de l'Est de la Roumanie, avec la République

Moldave et le quadrilatère bulgare qui faisaient partie de la

Grande Roumanie. Une visite passionnante qui se poursuivra

dans la réserve de la biosphère du Delta du Danube puis au bord

de la mer Noire, destination préférée des touristes quand vient

l’été. Dernière étape de ce voyage mémorable à Bucarest, la

capitale qui regorge d’endroits aussi mystérieux que captivants.

Christiane Gilain, la conférencière était professeure de mathé-

matiques. Retraitée, elle parcourt le monde et partage ses récits

de voyages dans des clubs et maisons de retraite. Elle s’investit

également dans plusieurs associations dont Amitié Roumaine

de St-Leu.

Avec « Les Amis de la médiathèque »

Samedi 12 mai à 17 h à l’espace Claire-Fontaine

Tout pour la Musique qu’on aime !

À partir de 18 h 30 (jusqu’à minuit), la

Fête de la musique battra son plein

avec un programme dédié à toutes les

émotions : Lionel Stiévenard (et son saxo) ouvri-

ra le bal et sera suivi du « Trio Jazz » de l’école

de musique pour un clin d’œil manouche, des

« Sixties Beatles Revival » étonnante inspiration

de Liverpool, de Mélomix, de « Maëva & Nova‘s

Tone » pour un hommage à Johnny Hallyday et

enfin, de Raffi Arto, formidable révélation de 16

ans de la saison dans « The Voice » (sur TF1), qui

reprendra les plus grands standards du rock des

années 50. Un véritable prodige que ce jeune

chanteur qui a déjà joué sur nombre de scènes

européennes et américaines.

Un espace restauration est prévu avec des

stands qui allient douceurs sucrées et régals

salés. Tables et chaises seront installées pour

profiter pleinement de cette belle journée d’été.

ÉvénementOn en parle

Plus de deux années d’un travail aussi fastidieux qu’exaltant ! Ghass exulte après un accomplissement

inédit. « Que de trajets en train gare du Nord- aint- eu-la-Forêt o les moindres détails de transformations se répétaient en boucle dans ma tête. Que d’engage-ment physique dans l’atelier de aint- eu pour arriver au bout d’un projet fou ». Pour cette commande prestigieuse, Ghass a été beaucoup plus loin qu’il n’imaginait, portant son corps tel un matériau impro-bable mais tellement puissant! « J’ai dû envisager de nouveaux territoires, que ma peinture ou ma sculpture n’avaient pas encore explorés. Je me suis rompu jusqu’à me faire des contractures ». Outre les contraintes techniques inhérentes à l’exercice de style, la réalisation d’une œuvre d’art à partir d’une voiture de légende l’aura propulsé dans de nou-veaux transports créatifs. « Je n’avais pas imaginé ce que cela supposait. ela tient d’un mouvement perpétuel, d’un séisme qui vous ramène à chaque fois au point de départ. Il faut autant s’oublier que se rappeler à soi-même en tant qu’artiste ».

Ce qui fait aujourd’hui dire à Ghass qu’il comprend enfin l’expression française prêtée à Napoléon « Impossible n’est pas français ! »Pour cette Art Car, Ghass a rencontré l’univers Alpine, symbole d’un prestige français tellement mythique et d’une cou-leur jusqu’alors interdite sur sa palette : le bleu. Il a carrément fait fulminer son univers au point de baptiser l’Art Car « Tempête ».

Made in Saint-LeuLa première étape fut un travail ingrat de nettoyage de la voiture de sport où il était question d’aspirer la moindre pous-sière, de décoller les stickers. Ensuite comme le rappelle Golan Rouzkhosh, le galeriste parisien à l’initiative du pro-jet, « Ghass a mis 70 jours à coller à la résine pas moins de 30 m2 de toile de lin sur toute la carrosserie afin de peindre avec de la peinture d’artiste, et non pas de la peinture industrielle ». Comme Warhol, Calder et même César avant lui, qui avaient réalisé un Art Car, le projet de Ghass s’est d’emblée voulu

décalé et vivant. L’artiste sait qu’Alpine est une marque d’exigence et d’audace, des qualités qu’on peut lui attribuer. Cette conviction lui confère une liberté indispensable. L’objectif étant de véhi-culer un message qui appartient plus à l’esprit de la marque phare qu’aux thématiques récurrentes de son œuvre. Ghass est derrière Alpine, l’Alpine est forcément devant mais il faut bien l’ad-mettre, c’est Ghass qui cette fois pilote l’Alpine. Même si le bleu est impérial, il y a la pigmentation multicolore (jaune, blanche, noire et rouge), comme une seconde peau et le chiffre 13 qui d’habi-tude pour des raisons de superstition ne figure jamais sur la ligne de départ. Ghass souligne tout en étant au ser-vice de l’objet qui ne lui appartient déjà plus. D’ailleurs, l’alpine by Ghass sera bientôt vendue aux enchères. Au départ, elle valait plus d’un million d’euros sur le marché des collection-neurs. Aujourd’hui elle est en passe de battre de nouveaux records. Une voiture qui pour l’histoire aura été réalisée à Saint-Leu-la-Forêt.

L ar s e e a he er a e er es ar s r a s e a Le a r es es s e s epar apr s a re p e pr s s e p s e a r a s e h r a s p e a

re era e e pr se a e ep e e es e rs es he res a s

Alpine A450 by Ghass : cla de n

Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 201822 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 201822

2323

EXPOSITION

Clément Guégan - PhotographiesMaison Consulaire. Du 9 au 24 juin

Amitié Joie de VivreMaison pour tous. 1er et 2 juin

Salon de JuinAvec Arts plurielMaison pour tous. Du 8 au 17 juin

Salon des « Talents de Saint-Leu-la-Forêt »Présenté par le Syndicat d’initiative Samedi 30 juin et dimanche 1er juilletCroix-Blanche

MUSIQUE

O vos Omnes« De Debussy à Saint-Saëns, richesse du répertoire vocal français du siècle dernier »26 mai à 20 h 30Église Saint-Leu/Saint-Gilles

"Hommage à Barbara"Avec les élèves de la classe de chant de l’École de musique et la chorale Jazzyvari Samedi 16 juin à 20 hEspace Claire-Fontaine (entrée libre)

Fête de la Musiqueavec l’ensemble des classes, des orchestres et des chorales de l’École de musique Jeudi 21 juin à partir de 17 h Parc du charme au loup

Concert de la Fête de la musique proposé par l’École de musique. Avec le chœur de la Forge et les groupes de musique de chambre. Jeudi 21 juin à 20 h 30. En l’église Saint-Leu/Saint-Gilles

SPECTACLES

Françoise par SaganVendredi 4 mai à 20 h30. Croix-Blanche

« Allumez le feu »Proposée par la paroisse de Saint-Leu/Saint-Gilles. Vendredi 18 mai à 20 h 30Croix Blanche

« Chemin de l’union»présenté et parrainé par « Amitié roumaine Saint-Leu-la-Forêt » Jeudi 31 mai à 20 h 30. Croix-BlancheEntrée libre / participation appréciée (5€)

EVÈNEMENT

« Gestes & matières, les 30 ans de métiers d’Art »Exposition d’artisanat d’art en centre-ville. 25, 26 et 27 mai

Festiv’étéSaint-Leu fête l’été et la musiqueSamedi 23 juin

DIVERS

Brocante de l’AscensionJeudi 10 mai de 7 h à 19 hQuartier des Diablots

Fête des voisinsInvitations de quartier Vendredi 25 mai

La Maison de la Plaine en fêteproposé par le centre social et culturel Samedi 16 juin Centre commercial Les Diablots

Balade de propretéRendez-vous en ForêtDimanche 3 juin à 14 hCarrefour des 4 cèdres

LECTURE PUBLIQUE

Médiathèque Georges-Pompidou

Instant galopin (de 3 à 6 ans)Les nouvelles histoires de la MédiathèqueSamedi 19 mai 2018 à 10 h 30

Instant galopin (de 3 à 6 ans)Les nouvelles histoires numériques Samedi 30 juin à 10 h 30

Alphabib & Omegalu (6 ans et plus) Les nouvelles histoires de la MédiathèqueMardi 15 mai 17 h 30

Alphabib & Omegalu (6 ans et plus) Les nouvelles histoires numériquesMardi 26 juin à 17 h 30

Turbulettes et Quenottes (de 18 mois à 3 ans)Les Nouveautés de la MédiathèqueSamedi 26 mai à 10 h 30

ATELIERS

Paroles de robots par l’association "Et si les images"

Agenda culturelVenez fabriquer un robot en vous interrogeant sur la façon dont votre robot pourrait s’exprimer en fonction de la partie du robot touchéeMercredi 16 mai à 14 h (-6 ans et plus)

Lego Mindstorm (partie 1)Venez fabriquer et confi gurer votre robot Légo Mindstorm. En duo : un enfant de + 10 ans accompagné d'un adulteSamedi 2 juin à 14 h 30

Lego Mindstorm (partie 2)Venez participer à un challenge fi nal En duo: un enfant de + 10 ans accompagné d'un adulte. Samedi 9 juin à 14 h 30

Opération Bib’Boss« Révisez sans stress à la médiathèque ! » Du mardi 12 juin au samedi 23 juin

Café cinéLa Science-Fiction, réécriture de l'histoireProjection du fi lm "en Angleterre occupée". Vendredi 18 mai, à 20 h Tout public

Club lecture Pour partager vos plaisirs de lectureMardi 29 mai à 18 h. Entrée libre

Caf’Conf’ PhilosophiePar Brigitte Rovere Spécial révisions du bac Le réel existe-t-il en dehors de la pensée ?Samedi 26 mai à 15 h

Caf'Conf Philosophie par Brigitte RovereSpécial révisions du bac La fi n des utopies, Repartez avec un plan et une fi che méthodologiqueSamedi 2 juin à 15 h. Animations sur réservation au 01-34-18-36-80

CONFÉRENCES

Avec Les Amis de la MédiathèqueLa Roumanie Inconnuepar Christiane GilainSamedi 12 mai à 17 hEspace Claire-Fontaine

L’épopée des télécommunications, de la télégraphie à l’Internetpar André PerezSamedi 9 juin à 17 hEspace Claire-Fontaine

Les Saint-Loupiens

Venez participer au Super Loto orga-nisé par l’association Nathan, le combat d un ange qui aura lieu le

samedi 19 mai à 20 h à la Croix Blanche. L'association "Nathan, le combat d'un Ange" a été créée en 2012 par les parents de Nathan, dans le but de récolter des fonds pour les soins thérapeutiques (coûteux et non remboursés) dont Nathan a besoin pour gagner un minimum d'au-tonomie, mais aussi pour venir en aide aux familles dans la même situation. Nathan, âgé de 7 ans, est atteint d'une maladie neurologique non étiquetée.Ouverture des portes : 18 h Début des Jeux : 20 h Rens.: 06.03.55.54.89 ou par mail : s.morat@hotmail.frwww.nathancombatduange.fr

La douceur du succès

L’histoire comme une bulle d’air

Olivier Bal, écrivain saint-loupien est en passe de connaître un formidable succès dès son pre-

mier roman, « Les Limbes », thriller fan-tastique sorti en librairie depuis le 1er mars. « Les Limbes » a bénéficié d'un lancement national accompagné d’une belle promotion, d’une mise en avant par la FNAC et d’un stand dédié au Salon du Livre de Paris. Lancé en 2015 par son auteur, en auto-édition sur Internet,

Les Limbes a rapidement trouvé son public et le livre s’est placé rapidement parmi les meilleures ventes, notamment sur Amazon. Le roman s'est ainsi vendu à plus de 15 000 exemplaires, chose exceptionnelle, ce qui a permis à Olivier Bal de signer un contrat d’édition et de quitter son travail de rédacteur en chef de « Jeux Vidéo Magazine » pour ten-ter pleinement l'aventure de l'écriture. « Les Limbes » a reçu le prestigieux Prix Méditerranée Polar du Premier Roman. Le samedi 23 juin à 14 h, Olivier Bal sera présent à la librairie à la page 2001 pour une séance dédicaces.

Avec le concours de la Ville, le Saint-Loupien Jean-Christophe Camus a invité Lilian Thuram le 14 mai, pour expliquer le racisme aux enfants de

CM1 de plusieurs classes de Saint-Leu. Il faut dire que Jean-Christophe Camus, co-fondateur et dirigeant de l’agence graphique Trait pour Trait, directeur artistique des Éditions Delcourt, et scénariste de bande dessinée a déjà co-écrit avec Lilian Thuram le scénario de « Notre Histoire (Delcourt, 2 tomes en 2014 et 2016) et cette année « Tous des super-héros . Ce franco-brésilien qui a fait ses débuts dans la bande dessinée à l'âge de 20 ans comme maquettiste pour «Charlie Mensuel» a écrit également Negrinha avec Olivier Tallec (Gallimard) inspirée de l’histoire de sa famille et Fraternités avec Rosanas et Munoz (Delcourt).

Pour Nathan Exposez votre talent !

Le 2e Salon des Talents de Saint-Leu-la-Forêt se déroulera les 30 juin et 1er juillet au CSL Les

Dourdains. Un rendez-vous exception-nel à la lumière de l’été pour mieux révéler et promouvoir les multiples talents des Saint-Loupiens. Les œuvres présentées lors du Salon peuvent être de tous genres : peintures, dessins, photographies, sculptures, installa-tions, vidéos...

Aucun thème particulier ne préside à la sélection et la direction artistique est assurée par le Syndicat d'Initia-tive. Si vous êtes intéressé (ée), le dos-sier de candidature et les conditions d'inscription sont disponibles depuis le 15 mars sur le site internet et au local du Syndicat d'Initiative.Renseignements : Syndicat d'initiative de Saint-Leu-la -Forêt 13, rue du Général LeclercTél : 01 39 95 63 04 Site : www.tourismesaintleu.fr

24 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Daniel Robin, dirigeant du FC Saint-Leu 95, de l’équipe fanion, membre du comité directeur, référant arbitres et secrétaire, n’est plus. Arrivé au FC Saint-Leu en 2006 en pro-venance du Levallois SC, il a été un grand secrétaire, ayant apporté son savoir et ses compétences en rapport avec les règles et les règlements du football. Cet ancien arbitre, membre de la commission statuts et règlements au District des Hauts de Seine, était connu de tous dans le monde du football. Pour ses amis du FC Saint-Leu, « un grand Monsieur nous a quittés. Nous garderons de Daniel, sa gentillesse et sa convivialité, Daniel toujours désireux de transmettre son savoir, jusqu’aux derniers jours de sa vie. Il s’est battu pendant 7 ans contre la maladie comme il s’est battu pour que le football évolue, et que les jeunes footballeurs soient aussi des hommes. Au-delà du football, Daniel va nous man-quer. Nommé dirigeant de l’année 2016, il restera un exemple pour tous ».

Merci Daniel !

25

État civil

25

NaissancesEléonore TAILLIEU GUISET 11/01/18

Paul DAVID 25/01/18

Ghanem BENSALAH 27/01/18

Walid BENKHEROUF 5/02/18

Joaquim GISPERT 5/02/18

Aboubacar GANDEGA 6/02/18

Niels GÉHANT 10/02/18

Ilyan SOUNI 15/02/18

Ronan KADZIOLKA 26/02/18

Alice DOLATA-POINTEAU 9/03/18

MariagesNaziha BENABBAS et Abdelhamid HABITA 24/03/18

Sarah KREMER et Rezki LALMI 24/03/18

Décès

Qu’on se le dise ! La déchète-rie mobile permet le tri et la valorisation des déchets qui ne

peuvent pas être pris en charge par la collecte traditionnelle en porte-à-porte. Les usagers peuvent ainsi y déposer cer-tains déchets répartis dans des bennes et contenants en vue de leur recyclage ou de leur élimination par des filières spécialisées. Ce vrai service de proximité permet aussi de lutter contre les dépôts sauvages, notamment les gravats qui n’ont d’autre issue que la déchèterie. Le système de la déchèterie mobile, assez souple, relève d’une complémentarité indé-niable avec la collecte des déchets orga-nisée dans les quartiers. Objets encom-brants, bois, meubles, cartons, déchets de bricolage, gravats, terre, déchets de jardins, bois de taille, déchets d’équi-pements électriques et électroniques, lampes à économie d’énergie, néons, déchets toxiques (huile alimentaire et de vidange, acides, batteries, piles, sol-vants, vernis, peintures, radiographies) seront valorisés et grâce à la déchè-terie mobile, la quantité d’objets triés sera augmentée, ce qui favorise l’emploi

dans les activités vertes et vertueuses tout en préservant les ressources natu-relles. Adoptez le réflexe recyclerie ! Parce qu’un objet dont vous n’avez plus besoin peut servir à quelqu’un d’autre, un espace recyclerie est à votre dispo-sition. La recyclerie, c’est zéro déchet pour une utilité écologique et sociale maximale. Cet espace vous permettra de donner vêtements, linge de maison, chaussures et vélos. Recytextile et Vélo services, entreprises de l’économie sociale et solidaire leur donneront une seconde vie.Les he s re s s he s es press e s he s a ers e

s e a s e app r a re a a e p e s e es e a

he s a e s

Déchèterie mobile Ouverte aux particuliers Saint-Loupiens en possession de la carte de déchèterie ou d’un justificatif de domicile de moins de trois mois et d’une pièce d'identité.samedi 26 mai (9 h – 17 h) et samedi 10 novembre (9 h – 17 h) Parking de la médiathèque, avenue des Diablots

La e e a Le a r e par e ar a a e e a r a s e p a e e h er e e s a e e

s par a s r e par es a s ha pe a s se a re p s a e e e he s es e p e e e e

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De 9 h à 12 h Tri-Action vous pro-pose la remise immédiate de votre badge d’accès à la déchèterie, si votre dossier est complet (dernière taxe d’habitation, justificatif de domicile de moins de 3 mois, pièce d’identité). Profitez-en !

01 34 18 30 12 contact@syndicat-tri-action.fr www.syndicat-tri-action.fr

Nouvelle édition, nouveau service

Déchèterie mobile : Vous n’avez plus d’excuses !

d’infos :

Service public

Son visage et son sourire sont

familiers à nombre de Saint-

Loupiens qu’elle a accompagnés

pendant presque 20 ans, en

mairie ou aux services tech-

niques, dans leurs démarches

administratives. Muriel Julien

nous a quittés jeudi 19 avril des suites d’une longue

maladie. La ville de Saint-Leu-la-Forêt, les élus et

l’ensemble des agents de la collectivité souhaitent

exprimer à sa famille et à ses amis toute la mesure de

leur peine et de leur tristesse.

26 Dans Ma Ville N° 60 Mai/juin 2018

Tribunes

Halte aux rumeurs, aux fantasmes et à la désinfor-mation La réunion publique du 20 mars visant à présenter à la population le projet de requa-lification de l’ilot de la Croix-Blanche a fait l’objet de nombreux commentaires et nous a permis d’avancer dans le dessin de notre futur Centre-ville. Malgré la volonté délibérée de l’opposition de faire de cette soirée, une tribune contre Madame le Maire et son équipe, la concertation avance avec les associations, les commerçants et tous les Saint-Loupiens désireux d’échanger calmement et construc-tivement.

Une opposition reine de la posture et de la démagogie Prenant la parole lors des conseils munici-

Réforme constitutionnelleDurant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron portait, comme réponse à la crise démocratique qui ne cesse de s'aggraver, la réforme de nos institutions et de leur fonctionnement. Au vu des propositions retenues, son "nouveau monde" ressemble terriblement à l' "ancien monde"En 2017, pour élire un député Front National, avec le scrutin majoritaire, il fallait 9 fois plus d'électeurs que pour un député communiste. En ne proposant,

URGENCE ! Après la réunion publique du 20 mars et notre lettre ouverte, Réunir Saint-Leu a RDV le 2 mai avec Madame le maire. Nous demanderons l’arrêt des projets immobiliers démesurés sur notre commune, défendrons le droit des saint-loupiens à garder leur

Mobilisons-nous pour sauvegarder le caractère et le cachet de notre villeLe projet du centre-ville « Les allées de Saint-Leu » est disproportionné et défigure notre ville. Il est le témoin d’une transformation majeure de la com-mune souhaitée par Mme le Maire sans concerta-tion avec les habitants : destruction de meulières,

augmentation des hauteurs, diminution d’espaces verts, absence d’infrastructures publiques pour accueillir de nouveaux habitants voire suppression de certaines. Le cœur de ville mis à mal n’est mal-heureusement pas le seul projet néfaste : des pro-moteurs privés achètent des propriétés sur toute la ville pour construire des immeubles insipides. Leur

objectif de rentabilité est clair, le tout cautionné par la mairie, hors-la-loi sur le logement social et que nous payons chèrement. Construire, rénover, oui… mais pas de cette façon ! Réagissons tous ensemble ! Répondez, commentez le sondage sur www.decidons-stleu.fr, nous remettrons vos avis au conseil municipal le 28 mai.Delphine ARMANDIN, Christel LEROYER, Gerold SCHUMANN

paux (cela nous avait manqué !!) ou lors de manifestations publiques pour tenter d’ins-trumentaliser le public présent, les groupes « Réunir Saint-Leu-la-Forêt » et « Décidons autrement Saint-Leu-la-Forêt », n’ont pas fait preuve de la même verve lorsque le projet de l’ilot de la Croix-Blanche leur fut présenté en commission Urbanisme, et en toute transpa-rence. Pas une question ! Pas un mot ! Pas une observation ! Et après, ce sont les mêmes qui viennent, avec un sacré culot, nous donner des leçons de bonne gestion, de concertation et de démocratie. C’est une douce plaisanterie !Quand on est élu(e), se revendiquer « apo-litique » n’existe pas ! Il faut assumer son engagement, sa sensibilité et ses prises de position. L’opposition se réjouit enfin d’avoir « un os à ronger » alors que leurs piètres repré-sentants entre absence aux commissions, mutisme, démagogie, posture électoraliste pensent déjà à 2020 !

aujourd'hui, l'élection que de 15% de députés à la proportionnelle, le gouvernement offre, en réalité, une aumône non pas seulement au Front National, mais à la démocratie toute entière.Parce que nous croyons en la démocratie, nous affirmons que plus de proportionnelle, c'est plus de représentabilité de l'opinion. Elle est en cela l'un des principaux outils dont dispose le politique pour détourner les Français du piège de l'abstention et leur redonner confiance en la force du politique.

cadre de vie et la nécessité de la concertation.

Les sujets de mécontentement s’accumulent par ailleurs : amende de 436 000 liée au manque de logements sociaux, rejet du pourvoi dans l’affaire des emprunts toxiques contre Dexia qui va couter 500 000 /an. C’est une fois de plus

Un esprit d’équipe Loin de ces postures politiciennes lamen-tables visant à instrumentaliser l’actualité de notre ville, la majorité municipale réunie autour du maire, Sandra Billet, reste plus que jamais déterminée à défendre l’intérêt général et redoubler de pédagogie autour de notre projet de ville. C’est dans cet esprit que le budget 2018 voté il y a quelques semaines, dessine notre ambition à faire de Saint-Leu-la-Forêt, une ville toujours plus agréable à vivre.Les prochaines semaines seront ponctuées de nombreuses manifestations, n’hésitez pas à vous y rendre et à y participer car c’est avec vous que Saint-Leu-la-Forêt avancera.

La Liste J’aime Saint-Leuwww.jaimesaintleu.fr

Nous attendons cette réforme depuis très longtemps, car plus de 13% d'électeurs ayant voté pour notre mouvement (Législatives 2017) au niveau national ne sont pas représentés avec équité et à leur juste valeur. La permanence du Rassemblement Bleu Marine, se tient à votre écoute le premier samedi de chaque mois en mairie de 10h00 à 12h00.Christian MALACAIN - Conseiller Municipal RBM

Une envie de concertation !Avec le printemps les Saints-Loupiens découvrent les effets de l’application du PLU qu’ils ont jusque

là ignoré. Déçus et mécontents, ils demandent de la concertation.Je souhaite que la nouvelle Maire rétablisse une bonne entente avec le Préfet d’une part et avec la population d’autre part.

Les Saints-Loupiens aspirent à une vraie concerta-tion sur l’évolution de la ville.

Monique BaquinPlus d’info sur :www.choisirstleulaforet.fr

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Monique Baquin

Saint-Leu-la-Forêt Rassemblement Bleu Marine

Décidons Autrement Saint-Leu-la-Forêt

le contribuable saint-loupien qui va supporter financièrement l’héritage de Sébastien Meurant !

Eric DUBERTRAND, Stéphane OHANIANRejoignez « Réunir Saint-Leu-la-Forêt (www.reunirstleu.fr)

MONTAGE indd 2 13/04/2018 16:00