Au sommaire P 1..... Le mot du président P 2 .... Côté Internet / Le système scolaire au Cambodge P 3 .... La naissance d’Angkor Vat P 4 .... Exposé des résultats financiers pour 2006 P 5 .... 335 €, pour quoi faire ? P 6 .... Informations utiles

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SOURIRE ANGKOR—JOURNAL N° 8—JUILLET 07 Page 1

Association d’entraide scolaire pour le Cambodge Dessins réalisés par les enfants et exposés lors de l’Assemblée Générale du 28 avril 2007. Visibles sur notre site internet.

Le mot du PrésidentLe mot du PrésidentLe mot du Président Chers amis Toutes les chaises prévues étaient occupées quand nous avons commencé l'assemblée générale 2007 de Sourire Angkor. Cette manifestation annuelle obligatoire attire quand même un nombre intéressant de parrains/marraines, certains même venant de loin (n'est-ce pas Mr et Mme Doomenick ! merci à vous). Notre équipe est maintenant rôdée à ce genre d'exercice et tout s'est bien passé, sans couac ! Vous en aurez les comptes rendus dans la suite du journal. Je voudrais surtout vous transmettre aujourd'hui une image réelle du Cambodge. Pour ceux qui ont eu la chance de venir dans ce beau pays et qui ont essentiellement visité Phnom Penh et Siem Reap, leur vision est presque idyllique : tout va bien, le pays est en bonne voie et évolue bien : c'est une image trompeuse, la campagne continue de s'appauvrir et le prix des denrées de base ne cesse d'augmenter. Le Cam-bodge importe la majorité de ses fruits et légumes du Vietnam et de la Thaïlande et le bath (monnaie thaïlan-daise) n'arrête pas de grimper par rapport au riel et au dollar. Il est à la merci de ces deux pays pour son approvi-sionnement. Il subit sa monoculture (le riz) et le peu d'effort fait par les pouvoirs publics pour améliorer cette situa-tion. La campagne peine et souffre, ça c'est l'image réelle du pays et nous devons faire de plus en plus d'efforts pour aider ces pauvres gens et surtout maintenir notre action pour envoyer le plus d'enfants possible à l'école. Actuellement les enfants terminent leur année scolaire, nous vous enverrons bientôt leurs résultats. Leurs grandes vacances ne modifieront en rien leur rythme de vie car rien n'est prévu officiellement. Nous demanderons à nos tuteurs/ tutrices d'organiser des moments de détente. Durant les mois de juillet et d'août, nous profiterons également de la disponibilité des enfants pour leur faire un check up médical annuel et remettre la troupe en bon état de marche ! Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter de bonnes vacances. Ayez de temps en temps une petite pensée pour votre filleul(e) au Cambodge qui serait ravi(e) de recevoir une jolie carte postale* ! Pierre CAHE

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Le PavillonLe PavillonLe Pavillon 106 rue Adolphe Alphand106 rue Adolphe Alphand106 rue Adolphe Alphand

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* à expédier à notre adresse postale au Cambodge (voir en dernière page)

Tout d’abord quelques chiffres La population cambodgienne était en 2004 de 14,5 mil-lions d’habitants, avec une croissance de 4 % par an, elle aura doublé dans 50 ans. La natalité est très forte (4,8 enfants par femme) et l’espérance de vie est limitée (55 ans pour les hommes et 59 pour les femmes). Aujourd’hui 45 % des cambodgiens ont moins de 15 ans, et 80 % de la population est essentiellement rurale. Il faut aussi savoir que 19 % des hommes et 45 % des femmes de plus de 15 ans sont illettrés. Avec cette jeunesse cambodgienne, la question de la scolarité est donc primordiale.

Le système actuel Il est quasiment comme en France : • le primaire comprend les classes de niveau 1 à 6

(sixième en France). • le 1er cycle du secondaire comprend les classes de

niveau 7 à 9 (3 dernières de nos collèges). • le 2ème cycle du secondaire comprend les classes

de niveau 10 à 12 (baccalauréat) • ensuite faculté ou université. Les programmes scolaires se décident au niveau du mi-nistère. Officiellement, les élèves suivent 6 cours de 45 minutes/jour durant 5 jours par semaine. Cependant étant donné la pénurie des classes, il est permis aux écoles de ne dispenser que 5 cours de 40 minutes.

Les enseignants Leur condition de vie n’est pas très bonne et ils perçoi-vent de très bas salaires (un instituteur gagne 25 $ par mois). Ils sont obligés de demander une participation financière quotidienne à leurs élèves et d’exercer une activité secondaire. Ceci n’est pas suffisant pour éveiller des vocations en zone rurale. Le gouvernement leur permet d’utiliser l’école pour des cours privés que les enfants sont obligés de payer. Ils enseignent généralement la suite du programme du ma-tin ou de l’après-midi. Quand les parents ne peuvent pas

payer ces cours, leur enfant n’assiste pas à cet enseigne-ment et, par conséquent, est handicapé pour le programme. Cette situation génère une grande injustice entre les en-fants des familles aisées et les autres.

L’avenir Une réforme des programmes scolaires a été signée en 2004, en dehors des questions pédagogiques elle devrait passer par une amélioration du statut et des salaires des enseignants, ce qui mettrait fin “ aux taxes “ qui font que l’école n’est pas gratuite. Cette réforme est indissociable d’une amélioration des conditions de vie des parents. En 2006 le salaire moyen annuel tourne autour de 70 $ , et le travail des enfants permet d’améliorer ce revenu familial (ce travail s’effectuant après l’école ou à sa place). En milieu rural, la situation dépend essentiellement de la culture du riz. La vie misérable de ces parents reste un obstacle à la scola-risation des enfants qui s’attachent à venir en aide à leur famille. La route est longue et il faut remercier toutes les associa-tions humanitaires qui ont à cœur ce problème et les par-rains et marraines de Sourire-Angkor.

Comment se situent nos filleuls et filleules… Pour ceci se reporter au dernier journal (n° 7 de mars 2007) en page 3 (article « Sourire Angkor en quelques chiffres … »). Marc PERRIN

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LE SYSTEME SCOLAIRE AU CAMBODGE

3000 visiteurs sur notre site www.sourire-angkor.fr Comme il l’avait été annoncé lors de l’assemblée générale, plusieurs modifications ont été apportées à notre site. 1° MODIFICATION DU DIAPORAMA En effet, le Cambodge étant un pays où a lieu la prostitution des jeunes et où sévit également les tendances pédophiles, il était impératif que les photos des filleul(e)s ne soient plus visibles en direct. Les modifications sont en cours, et les galeries photos seront cachées. Pour les voir, il vous suffit simplement de vous identifier par un nom et mot de passe et tout apparaîtra. 2° CREATION D’UN FORUM C’est fait, le forum est en ligne, là aussi même procédure d’enregistrement. Toutefois, je vous demande de respecter certaines règles qui seront mentionnées dans la Charte de l’utilisateur (actuellement en cours de réalisation). Bonnes visites à tous, et n’hésitez pas à vous connecter au forum . Marc PERRIN

>> Côté INTERNET . . .

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Voici une légende qui reste, de nos jours, profondément ancrée dans l'esprit des Khmers.

La naissance d’Angkor Vat L’histoire se passe en 544 de l'ère bouddhique ce qui correspond à l’an 1 de l'ère chrétienne. Un couple d'origine roturière mais possédant des mérites divins, fut ondoyé et monta sur le trône. Le monarque prit le nom de règne de Préah-Bat-Sâmdach Tévavong Aschar, c'est-à-dire "Merveilleux Souverain de la Li-gnée Divine". Il s'installa dans le palais royal et le couple de souverains régna paisiblement sans qu'aucun ennemi n'osât venir le déranger. Les mandarins, les brahmanes ainsi que le peuple vivaient calmement grâce aux mérites merveilleux et à la puissance du roi et de la reine. Mais une chose manquait au bonheur de tous, le couple royal n'avait pas d’enfant. Le roi ordonna à la reine d'observer les préceptes bouddhiques afin d'obtenir un fils. Elle accepta et prépara le rituel de de-mande d'un fils. Au bout de sept jours, la reine rêva qu'Indra, le suprême roi des dieux, descendait du ciel, venait toucher son ventre et lui offrait une guirlande de fleurs, avant de retourner à sa résidence céleste. A son réveil, elle raconta à son auguste époux ce rêve et celui-ci y lut un heureux présage. En effet, peu de temps après, la reine fut enceinte. Elle donna naissance à un fils d'une grande beauté. Le roi, l'excellent père, lui donna le nom de Kétoméaléa, c'est-à-dire "Lumineuse-Guirlande-de-fleurs" en raison du songe de la reine. Quand Kétoméaléa eut grandi et atteint l'âge de six ans, Indra, le suprême roi des Dieux, fit envoyer son char divin pour aller chercher l’enfant et le conduire au ciel des "Trente -Trois". Kétoméaléa, en effet, dans l'existence antérieure, avait été le fils d'Indra : et si celui-ci l'avait envoyé renaître en être humain c’était pour qu'il protégeât la religion bouddhique et le Royaume dans la gloire, la prospérité et la paix. A la tombée de la nuit, l’enfant fut ainsi conduit devant Indra au Ciel des "Trente -Trois". Le matin, le roi Tévavong Aschar et la reine se réveillèrent et ne virent pas leur fils. Ils furent très affligés, ils firent venir un devin pour faire des calculs magiques. Celui-ci prédit : « Il suffit que le peuple, les mandarins, les brahmanes de tout le royaume observent les préceptes bouddhiques pendant sept jours ; alors on retrouvera l'enfant dans le palais ». Le souve-rain ordonna donc à toute la population du royaume, pour retrouver son auguste fils, d'observer les préceptes bouddhiques. Et le peuple tout entier fit selon l'ordre du roi. Pendant ce temps, Indra, le suprême souverain, enseigna à Kétoméaléa les dix devoirs royaux. Il le baigna sept fois par jour pendant sept jours dans un bassin parfumé de son jardin. Ensuite il invita sept brahmanes divinisés à venir réciter des formules magiques et asperger d'eau merveilleuse Kétoméaléa afin qu'il eût une vie de plus de cent ans. Tous ces rituels achevés, Indra ordonna au cocher d'atteler l'auguste char divin, y fit monter Kétoméaléa et survola ses pa-lais pour que celui-ci en appréciât toute la beauté. Quand Kétoméaléa eut regardé en détail les palais d'Indra, le cocher l'em-mena visiter encore les écuries célestes. Puis Indra lui dit : « Bientôt je te confierai le royaume du pays khmer ! Pour cela, si un de mes palais que tu viens de voir te plaît et si tu souhaites en faire bâtir un de la même beauté, tu n'as qu'à en formuler le voeu ». Le jeune prince, très émerveillé et très impressionné par Indra, réfléchit : « Il ne faut pas que je fasse construire dans mon royaume un palais plus beau ou aussi beau que ceux d'Indra. Cela risquerait de provoquer le mécontentement de ce der-nier ». Kétoméaléa, fort de sa réflexion, répondit : « J'aimerais faire bâtir un palais qui ait une beauté comparable à celle de vos écuries ». Le souverain des dieux convoqua alors Pisnouka, un jeune architecte, fils d’une danseuse céleste et fort aguerri à l’art de la construction et de la sculpture. Il l’envoya sur terre, pour qu’il bâtisse dans le futur royaume de Kétoméa-léa, un palais aussi beau que les écuries célestes. Au bout de sept jours, grâce à la puissance des mérites des habitants de tout le royaume qui avaient suivi les préceptes bouddhiques, Indra fit reconduire Kétoméaléa auprès de ses parents. Le roi Tévavong-Aschar et la reine furent très contents de revoir leur fils. Et aussitôt, l’architecte Pisnouka commença à cons-truire, à l’image des écuries célestes, ce palais que vous connaissez tous, le palais d'Angkor Vat. Une fois la construction achevée, Indra, le suprême souverain, accompagné en cortège par de nombreuses divinités, des-cendit dans le monde inférieur afin de donner l'ondoiement à son fils. Il lui donna pour nom de sacre « Destructeur-puissant-des ennemis ». Enfin, avant de remonter dans le royaume céleste, il donna au pays khmer le nom de Kampuchéa (Cambodge) qui reste encore de nos jours. D'après Khing Hoc Dy in "Contes et légendes du pays khmer" Sylvie MONPOINT

Présenté à l’AG du 28 avril 07 ...

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Exposé des résultats financiers pour l’année 2006

Les recettes liées aux parrainages ont légèrement augmenté cette année. Par ailleurs des dons ponctuels ont été effectués par des personnes dési-rant aider l’association. Les recettes globales collectées en France ont progressé de 9% entre 2005 et 2006 ce qui est encourageant car cela dénote que les adhérents restent mobilisés. Il est à noter que des dons et des parrainages ont été collectés au Cam-bodge par notre président (environ 4% de la collecte totale). Comme les autres années, notre association n’a perçu aucune subvention de quelque sorte que ce soit. Les dépenses effectuées en France (papeterie, timbres, frais d’édition du journal et de plaquettes, site internet…) ont baissé en 2006. Il y a eu moins de journaux édités et plus de diffusion par internet. Nous avons également fait des économies sur le coût de la réunion annuelle. Ces dépenses ont représenté 4.86% des recettes collectées, ce qui reste très faible et conforme aux objectifs du bureau de conserver le maximum de fonds pour transférer aux enfants Cambodgiens. Toutefois, la politique de communica-tion engagée l’année dernière (journaux, site internet, plaquettes, réunion annuelle) doit être maintenue pour espérer augmenter les dons recueillis.

Les sommes transférées au Cambodge ont bénéficié comme les autres années de la baisse du dollar par rapport à l’euro ce qui pour la quatrième année consécutive nous permet d’augmenter mécaniquement nos dons (29% cette année). Les dépenses pour les enfants au Cambodge ont augmenté de 31%, liées essentiellement à une augmentation du coût de la vie et au « vieillissement » des enfants dont le coût de scolarité augmente avec le niveau. La trésorerie constituée antérieurement a permis de faire face à cet accroissement de dépenses. La nourriture représente toujours le poste le plus important -44%- suivie par les frais de scolarité (professeurs, cours de langues et matériels scolaires) pour 22%. Les autres postes de dépenses (vêtements, transport, santé…) n’ont pas subi de variations significatives. La trésorerie de fin d’année 2006 et les dons perçus début 2007 nous permettront de continuer notre action en 2007. Didier REDON

frais de scolarité

vêtements

transport

cadeaux enfants

santé

salaire

nourriture

frais d'administration

Dépenses par enfant au Cambodge en 2006

Présenté à l’AG du 28 avril 07 ...

Les résultats financiers détaillés ont été présentés lors de l’assemblée générale. Nous les transmettrons sur simple demande à tout adhérent ou donateur de notre association qui n’ayant pu assister à l’assemblée souhaiterait les consulter.

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Présenté à l’AG du 28 avril 07 ...

335 € pour quoi faire ?

Chiffres à l'appui, Yada m'a détaillé la ventilation du budget par enfant. Sachez d'abord que l'association s'occupe de 104 enfants, âgés de 6 à 22 ans. Il va de soi que l'échelle des âges est à prendre en compte. Les fournitures scolaires, les uniformes et les tenues de sport n’ont pas le même coût selon l'âge. Donc, selon les postes, les valeurs suivantes sont des moyennes. Les dépenses annuelles concernent les fournitures scolaires : 5 $ ; l'uniforme : 6,5 $ ; la tenue de sport : 10 $ ; les visites médicales : 5 $ ; l'achat d'un vélo (pour ceux dont l'école est trop éloignée de leur domicile, une vingtaine d'en-fants) : 30 $ ; et enfin 6 $ de frais divers (photocopies, entre autres). Les dépenses mensuelles portent sur la nourriture et le "colis" : 11 $ ; les frais d'inscription scolaire : 2 $ ; les cours en khmer : 10 $ ; les cours de langue : 5 $. Faites le compte et vous verrez que le budget est très serré. Ce n'est que grâce à divers dons que l'association arrive à "boucler" et à offrir quelques suppléments, telles que la fête annuelle et diverses sorties, qui font que la vie de nos filleuls et filleules ressemble un tout petit peu à celle d'enfants moins défavorisés. Tous comptes faits, c'est le cas de le dire (et permettez-moi ce pluriel incorrect), je crois que nos 335 € ne sont pas trop mal employés. Philippe DOMINIQUE

Il est tout à fait légitime, au moment où l'on rédige son chèque de parrainage, de se demander comment sont utilisés les 335 € de la cotisation annuelle. Permettez-moi d'évoquer pour les membres de l'association Sourire Angkor mon voyage de fin d'année à Siem Reap et de ma visite aux locaux de l'association. Donc le 4 janvier dans la matinée, j'y ai été accueilli par Yada Keo, la secrétaire, seule permanente salariée de l'association, qui gère la comptabilité, les commandes, les contacts avec les enfants et leurs familles, et assure l'interface avec les tuteurs et tutrices qui s'occu-pent chacun d'un petit groupe d'enfants. Je n'ai pas été le seul à la déranger alors qu'elle travaillait sur son ordinateur. Le jour était mal (ou bien) choisi. En effet, le 4 de chaque mois est le jour de distribution des colis familiaux, destinés à ceux qui ne bénéficient pas de la possibilité de prendre un repas par jour à proximité de leur école. L'association, pour 11 US $ par enfant et par mois, leur fournit un "colis" mensuel contenant un sac de riz, des nouilles, du savon, du shampoing, une brosse à dent, du dentifrice. Et tout au long de la journée, les envoyés de chaque famille, à un, deux ou trois par mobylette, viennent prendre livraison de leur lot, qu'ils emportent en les coinçant tant bien que mal sur leur moyen de transport. L'occasion pour moi de faire quelques photos pittores-ques.

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Informations utiles

Pour tout envoi à votre filleul(e), utilisez notre boîte postale :

SOURIRE ANGKOR Boîte postale 93141 SIEM REAP—ANGKOR ROYAUME DU CAMBODGE Prévenez-nous, nous vous en accuserons réception.

BULLETIN D’ADHESION

(à retourner à SOURIRE ANGKOR Montpellier)

Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

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Code postal : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Ville : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Tél. : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Email : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Siège social FRANCE :

SOURIRE ANGKOR Le Pavillon 106 rue Adolphe Alphand 34080 Montpellier Email : Sourire.angkor@wanadoo.fr Site : www.sourire-angkor.fr Personne à contacter : Fabienne CHHOEUN Tél : 06 76 76 23 46 Présidente d’honneur : Huguette ALIBERT-RABISHONG Siège social CAMBODGE :

SOURIRE ANGKOR # 0552, Group 12 Wat Bo Salakomroeuk SIEM REAP Royaume du Cambodge Personnes à contacter : KEO Yada Tél : 092 753 713 Pierre CAHE Tél : 012 876 634 Association régie par la loi du 1er juillet 1901. Déclarée à la préfec-ture de l’Hérault sous le numéro 0343028767.

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DONS ET LEGS Libre

DROITS D’ADHESION 65 Euros/an

PARRAINAGE 335 Euros/an (payable en 1, 2 ou 4 fois) (droits d’adhésion inclus)

Chèque à établir à l’ordre de « SOURIRE ANGKOR ». Un reçu pour déduction fiscale vous sera envoyé en fin d’année.

Si vous avez l’intention de vous rendre au Cambodge et si vous avez de la place disponible dans vos valises, nous vous serions reconnaissants de bien vouloir vous faire connaître auprès

d’Hélène CHARPENTIER au 04 67 55 67 04 qui vous donnera des vêtements pour nos filleul(e)s. Nous vous remercions vivement pour votre collaboration.

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Antigone des Associations, dimanche 9 Septembre 2007 SOURIRE ANGKOR y sera présente pour la 2ème année consécutive. Nous vous donnons rendez-vous sur notre stand (place de Thessalie, emplacement n°726), peut-être l’occasion d’échanger avec

les bénévoles pour ceux d’entre vous qui n’avez pas pu venir à l’assemblée générale.

Nouvelle plaquette SOURIRE ANGKOR

Une nouvelle plaquette de présenta-tion de l’association a été éditée. Nous la tenons à votre disposition sur simple demande. Vous pourrez éga-lement vous la procurer à l’Antigone des Associations. N’hésitez pas à la diffuser pour nous faire connaître.