LE PARTENAIRE PRIVILÉGIÉ...2020/07/28 · Pour faciliter cet examen, la Banque aura besoin de : Les informations requises pour envisager le financement de projets sont confidentielles,

1GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT

LA BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT

Guide des opérations du secteur privé

Département du soutien aux opérationsnon souveraines et au secteur privé

Eclairer & électri�er l’Afrique

Nourrir l’Afrique

Industrialiserl’Afrique

Améliorer la qualité de viedes populations en Afrique

Intégrer l’Afrique

LE PARTENAIRE PRIVILÉGIÉ

2 GROUPE DE LA BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT


Chers clients et partenaires,La Banque africaine de développement reconnaît que l’appui au développement du secteur privé est le moyen le plus efficace pour remplir le mandat de l’institution qui consiste à stimuler un développement économique et un progrès social durables et inclusifs dans ses pays membres régionaux, contribuant ainsi à la réduction de la pauvreté.

À cet égard, la Banque a identifié trois objectifs clés pour ses opérations non souveraines en soutien au développement du secteur privé :

• l’amélioration du climat des investissements et des affaires ;

• le développement des infrastructures sociales et économiques et l’amélioration de l’accès à des services fiables et de qualité ;

• le renforcement des entreprises du secteur privé pour promouvoir des normes sociales et de gouvernance d’entreprise solides, et aider les entreprises africaines à adopter les meilleures pratiques internationales, et accroître ainsi leur compétitivité sur le marché national et international.

Ce guide a été préparé pour vous informer sur les opérations du secteur privé de la Banque africaine de développement.

Nous espérons qu’il vous fournira toutes les informations essentielles sur la manière dont nous pouvons collaborer à l’avenir dans le cadre d’opérations non souveraines.



56 ans de partenariat pour le développement de l’Afrique

Pays membres régionaux et non régionaux

AFRIQUE DU SUDANGOLAALGÉRIEBÉNINBOTSWANABURKINA FASOBURUNDICABO VERDECAMEROUNCOMORESCONGOCÔTE D’IVOIREDJIBOUTIÉGYPTEÉRYTHRÉEESWATINIÉTHIOPIEGABONGAMBIE

AfriquePays régionaux

AmériqueARGENTINEBRÉSILCANADAÉTATS-UNIS



GHANAGUINÉEGUINÉE-BISSAUGUINÉE ÉQUATORIALEÎLE MAURICEKENYALESOTHOLIBÉRIALIBYEMADAGASCARMALAWIMALIMAROCMAURITANIEMOZAMBIQUENAMIBIENIGERNIGERIAOUGANDA

RDCRÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINERWANDASAO TOMÉ-ET-PRINCIPESÉNÉGALSEYCHELLESSIERRA LEONESOMALIESOUDANSOUDAN DU SUDTANZANIETCHADTOGOTUNISIEZAMBIEZIMBABWE

AsieCHINECORÉEINDEJAPON

EuropeALLEMAGNEAUTRICHEBELGIQUEFINLANDEFRANCEDANEMARKESPAGNEITALIE

LUXEMBOURGNORVÈGEPAYS-BASPORTUGALROYAUME-UNISUÈDESUISSE

Moyen-OrientARABIE SAOUDITEKOWEITTURQUIE



Le programme High5 pour le développement de l’Afrique

La Banque africaine de développement se concentre sur cinq priorités, cruciales pour accélérer la transformation économique de l’Afrique.

ÉCLAIRER ET ÉLECTRIFIER L’AFRIQUE est un partenariat transformateur avec les gouvernements, le secteur privé, les agences bilatérales et multilatérales pour atteindre l’accès universel à l’énergie en Afrique d’ici 2025.

NOURRIR L’AFRIQUE : Tirant parti de son rôle de catalyseur, la Banque mobilise des ressources et des initiatives de financement mixte pour combler le déficit de financement de la transformation agricole menée par le secteur privé en Afrique.

INDUSTRIALISER L’AFRIQUE : La Banque aide les entreprises africaines à développer des marchés viables au-delà de leurs frontières nationales en apportant une valeur ajoutée régionale, en exploitant le potentiel des ressources naturelles de l’Afrique et en développant des marchés de consommation régionaux.

INTÉGRER L’AFRIQUE : La politique et la stratégie d’intégration régionale de la Banque soutiennent les accords commerciaux régionaux/continentaux, la connectivité (transport et TIC) et les marchés financiers.

AMÉLIORER LA QUALITÉ DE VIE DES POPULATIONS EN AFRIQUE : La Banque s’est engagée à renforcer les compétences techniques des Africains afin que les économies africaines puissent réaliser leur plein potentiel dans les secteurs de la connaissance et de la haute technologie, offrant ainsi des opportunités à la main-d’œuvre jeune et émergente.



Les activités du secteur privé comprennent deux catégories :

La Banque propose un menu attrayant et diversifié d’options de financement qui permet aux emprunteurs de trouver une solution adaptée à leurs besoins. Parmi celles-ci, on peut citer :

Les activités du secteur privé de la Banque africaine de développement

Un large éventail de solutions de financement pour les opérations non souveraines

ACTIVITÉS DE PRÊT ACTIVITÉS HORS PRÊT

• Prêts et lignes de crédit• Prises de participation directes et via des

fonds• Garanties• Instruments de gestion du risque

• Politiques et lignes directrices• Assistance technique• Conseil

INSTRUMENTS DE PRÊT

GESTION DU RISQUE

GARANTIES

FINANCEMENT DU COMMERCE EXTÉRIEUR

PRISES DE PARTICIPATION

ASSISTANCE TECHNIQUE

1

4

2

5

3

6

Des prêts en devises ou en monnaie locale, d’une durée maximale de quinze ans, peuvent être proposés, avec un différé pouvant aller jusqu’à cinq ans.Les trois principaux types de prêts sont :- prêts seniors pour le financement de projets ;- prêts aux entreprises ;- lignes de crédit aux institutions financières.

Des solutions de gestion des risques sont disponibles pour permettre à nos emprunteurs de se couvrir et de gérer leur dette de manière responsable.

Afin d’atténuer les risques liés aux investissements, deux garanties peuvent être offertes : la garantie partielle de risque et la garantie partielle de crédit.

Grâce à un programme de promotion du financement du commerce, la Banque africaine de développement peut fournir :- des lignes de crédit aux banques pour qu’elles les rétrocèdent aux exportateurs, importateurs et distributeurs locaux ;- des garanties pour mutualiser le risque de défaillance sur un portefeuille de transactions commerciales éligibles des banques émettrices.

Des capitaux peuvent être accordés, principalement par le biais de fonds d’investissement privés, qui investissent dans des entreprises de taille moyenne ayant besoin de développer leurs activités. Des prises de participation directes peuvent également être envisagées.

Des fonds peuvent être nécessaires pour financer des études de faisabilité, le renforcement des capacités et l’évaluation de la préparation des projets.



Conditions d’éligibilitéLe bénéficiaire de l’aide financière de la Banque au titre des opérations non souveraines doit satisfaire à certaines exigences.Les projets éligibles seront soumis à la Banque pour évaluation et approbation par le Conseil d’administration, qui est responsable de la décision finale d’investissement de la Banque.


2

546

1

8

37 Conditionsd’éligibilité

L’entreprise doit être constituée dans un pays membre de la Banque. Le projet pour lequel le financement de la Banque est demandé doit être situé ou mis en œuvre dans un ou plusieurs pays membres régionaux de la Banque en Afrique.

L’entreprise doit être :- détenue en majorité (plus de 50 % des droits de vote/participation de contrôle) par des investisseurs du secteur privé ; - ou de propriété publique avec une autonomie opérationnelle démontrée et une liberté de gestion pour fonctionner sur une base commerciale.

Pendant toute la durée de son investissement, la participation financière de la Banque ne dépassera pas 33 % du coût total du projet ou programme d’investissement, 25 % du capital social de la société bénéficiaire, ou 50 % des fonds propres dans le cas d’institutions

financières.

Le projet doit être commerciale-ment viable et avoir une viabilité financière à long terme.

Le projet doit avoir un fort impact sur le développement du pays, conformément à ses priorités

stratégiques.

La société promotrice du projet doit opérer sous une direction compétente et une bonne gouvernance d’entreprise.

L’entreprise qui dépose le projet doit démontrer sa capacité de responsabilité

environnementale et sociale.

L’entreprise présentant le projet doit être en règle avec la Banque et le pays membre concerné.


Procédure de demandePour permettre à la Banque d’évaluer rapidement l’éligibilité d’un projet d’investissement, les entreprises intéressées doivent soumettre une demande préliminaire comprenant, en général, les informations suivantes :


Après avoir déterminé l’éligibilité d’une demande de financement d’un projet, la Banque étudiera de façon approfondie la demande. Pour faciliter cet examen, la Banque aura

besoin de :

Les informations requises pour envisager le financement de projets sont confidentielles, ainsi que l’identité des partenaires.

Étude de faisabilité

Plan de développement

Description du projet, du fonds ou de

l’investissement.

1

Biographie du dirigeant ou du gestionnaire du

fonds.

2

Estimation des coûts et plan

de financement, y compris le

montant demandé à la Banque.

4

Climat des affaires et

perspectives du marché.

6

Structure de gouvernance et équipe de

direction.

3

Principales caractéristiques

techniques et environnementales,

indicateurs de faisabilité.

5

Plan de mise en œuvre, y compris

le statut des licences, permis

ou certificats nécessaires.

7

Évaluation de l’impact

environnemental et social*

(*) Selon le projet


Dans quoi investissons-nous ?

AGRICULTURE ET AGRO-INDUSTRIE

INDUSTRIES ET SERVICES

INSTITUTIONS FINANCIÈRES

SANTÉ ET ÉDUCATION

INFRASTRUCTURES (ÉNERGIE, TIC, TRANSPORT, EAU ET ASSAINISSEMENT)

L’aide de la Banque est conçue pour compléter plutôt que concurrencer les sources de financement privées. La Banque travaille ainsi en étroite collaboration avec d’autres organisations et institutions financières, en particulier, des partenaires multilatéraux et bilatéraux impliqués dans la promotion des entreprises privées en Afrique.

La Banque africaine de développement considère qu’il est essentiel que l’Afrique valorise le potentiel non exploité de son agriculture. Elle investit donc dans de grandes entreprises agro-industrielles ayant des retombées importantes, favorise l’émergence d’industries agroalimentaires locales et mène des partenariats stratégiques pour financer les parties prenantes de la chaîne de valeur.

Les objectifs de la Banque africaine de développement en matière d’industrialisation sont les suivants : (i) soutenir l’intégration du commerce mondial et les chaînes de valeur régionales ; (ii) accroître le cofinancement et mobiliser les investissements du secteur privé ; (iii) favoriser l’émergence de champions régionaux ; (iv) créer des emplois durables et accroître la productivité.

La Banque africaine de développement soutient et développe les intermédiaires financiers. Elle combine assistance financière et expertise afin de permettre : (i) un élargissement et un approfondissement des systèmes financiers africains ; (ii) un accès plus facile aux services financiers ; (iii) une facilitation du commerce aux petites et moyennes entreprises (PME) africaines.

La Banque africaine de développement investit dans des systèmes de santé qui permettent l’accès de tous à des services de qualité. La Banque finance aussi les industries de la santé qui favorisent la croissance économique, l’innovation technologique et la création d’emplois. Des investissements ciblés associés soutiennent l’accès à l’enseignement supérieur.

La Banque africaine de développement soutient le secteur de l’énergie, depuis les projets de services publics connectés au réseau jusqu’aux solutions énergétiques décentralisées comme les systèmes solaires domestiques et les mini-réseaux. L’accent est mis sur les grands projets ainsi que sur les infrastructures urbaines et semi-urbaines d’approvisionnement en eau et d’assainissement.

La Banque africaine de développement finance des entreprises et des

projets commercialement viables dans des secteurs clés du développement :



Quelques-uns de nos investissements



Agriculture et agro-industries

Meridian Consolidated Investments Ltd en Afrique australe

Le mécanisme de financement des produits agricoles de base (Soft Commodity Finance Facility – SCFF) proposé au groupe Meridian, d’un montant de 20 millions de dollars américains, est destiné à financer les exportations de matières premières telles que le maïs, les arachides, les pois, le soja, le sésame et les haricots. Créé en 1970 pour aider les petits exploitants agricoles, le groupe Meridian est l’un des plus grands agrégateurs de produits de base en Afrique australe. Ce groupe joue un rôle important dans la promotion de l’agro-industrie dans cinq pays d’Afrique australe. Le SCFF proposé soutient une société de produits de base bien établie et gérée de manière professionnelle en Afrique australe. Cela permettra à Meridian de disposer d’un financement à court/moyen terme abordable, nécessaire pour poursuivre sa croissance. Meridian utilisera les fonds pour acheter les produits de base directement aux petits agriculteurs du Malawi, du Mozambique et du Zimbabwe. Ce SCFF permettra de fournir un financement peu coûteux à Meridian, mais aussi d’apporter des liquidités en devises à ces mêmes marchés. Avec ce projet, la Banque est indirectement intervenue dans deux pays à faible revenu et un État fragile – respectivement le Malawi, le Mozambique et le Zimbabwe – et dans un secteur caractérisé par des investissements extrêmement faibles en raison du risque perçu.

Institutions financières

Amen Bank en Tunisie

Le projet consiste à financer, à partir du bilan de la Banque, un montant de 50 millions d’euros, composé de deux lignes de crédit, en faveur de la banque Amen pour l’octroi de prêts aux PME et aux sociétés dans les secteurs clés de l’économie tunisienne. Amen Bank est une banque commerciale cotée à la bourse de Tunis, dont l’actif total s’élevait à 9,011 milliards de dinars et les fonds propres à 1,081 milliards de dinars à la fin de 2019. Le financement proposé, composé d’une ligne de crédit à long terme et d’une facilité de financement du commerce, permettra à Amen Bank d’accéder à des ressources financières indispensables pour accroître ses portefeuilles de prêts et de financement du commerce, contribuant ainsi au développement de la Tunisie. La ligne de crédit à long terme permettra à Amen Bank de fournir un financement à long terme à ses clients avec des projets et des opportunités d’investissement dans les secteurs de l’agriculture/agro-industrie, de l’industrie et de la santé. Grâce à la ligne de crédit de financement du commerce, Amen Bank disposera d’une facilité plus adaptée au financement des opérations de commerce international requis par sa clientèle croissante.

Champ de riz de Niamien Dissou


Industries et services

Projet d’engrais Indorama au Nigeria

La Banque a fourni environ 95,5 millions de dollars pour soutenir l’expansion d’un complexe d’engrais à Port Harcourt, au Nigeria. Indorama a ainsi augmenté sa capacité de 1,4 à 2,4 millions de tonnes par an en ajoutant une nouvelle unité identique à l’usine existante. Ce projet a permis d’accroître la disponibilité d’engrais à base d’urée pour répondre aux préoccupations de l’Afrique en matière de sécurité alimentaire tout en créant des emplois directs et indirects pendant la construction et l’exploitation. Il a également généré des recettes fiscales pour le gouvernement du Nigeria et amélioré les réserves de devises du pays grâce aux économies réalisées par la réduction des importations et aux entrées de devises provenant des exportations d’engrais.

Énergie

Centrales électriques d’Atinkou et d’Azito en Côte d’Ivoire

Deux prêts seniors d’une valeur totale de 150 millions d’euros ont été accordés par la Banque en juin 2019 pour renforcer le réseau électrique ivoirien. Le premier prêt de 100 millions d’euros a été accordé pour la construction d’une centrale thermique à gaz à cycle combiné à Taboth, dans le quartier de Jacqueville (le projet Atinkou), tandis que le second prêt, d’une valeur de 50 millions d’euros, a été utilisé pour l’expansion de la capacité de production d’électricité de la centrale thermique à gaz à cycle combiné d’Azito (le projet Azito). La centrale électrique d’Atinkou a une capacité de production d’électricité de 390 mégawatts (MW). Le projet a été développé en deux phases grâce à la livraison d’une centrale à cycle combiné de 255 MW et d’une centrale à turbine à vapeur de 135 MW. Le second prêt a été utilisé pour l’expansion de la centrale thermique d’Azito (dont la première phase est entrée en service en janvier 1999). Il s’agit (phase 4) de l’installation d’une turbine à gaz de 181 MW et d’une turbine à vapeur de 72 MW, ce qui augmente de 253 MW la capacité de production installée d’Azito. Ce projet, situé à Yopougon, contribuera à augmenter la capacité énergétique du pays, à réaliser l’objectif de l’accès universel à l’électricité d’ici 2030 et à fournir de l’électricité à un prix abordable aux pays voisins.

À la Banque africaine de développement, les changements climatiques sont un thème transversal. L’accent est mis sur les infrastructures d’énergie propre. En Côte d’Ivoire, la Banque africaine de développement a financé l’extension de la centrale électrique d’Azito. En récupérant désormais la chaleur rejetée, celle-ci a augmenté sa puissance sans utiliser de combustible supplémentaire.


Santé et éducation

Université Afe Babalola au Nigeria

Ce projet implique un prêt d’entreprise d’une valeur maximale de 40 millions de dollars pour financer l’expansion de l’université Afe Babalola (ABUAD) à Ado-Ekiti, au Nigeria. L’ABUAD est une université privée créée en 2010 à Ado-Ekiti, dans le sud-ouest du Nigeria, pour remédier à l’inadéquation entre les programmes académiques et les exigences du marché du travail nigérian. Cette université comprend cinq facultés pour les étudiants de premier cycle (sciences, sciences sociales et gestion, droit, ingénierie, médecine et sciences de la santé) et une école supérieure. Le projet d’expansion prévoit la construction de nouvelles installations, à savoir un hôpital universitaire de 400 lits, un parc de recherche industrielle, une école supérieure, des cités universitaires, une bibliothèque centrale, une mini-centrale hydroélectrique et le renforcement des structures administratives et de gouvernance de l’ABUAD. Tout en améliorant l’accès à un enseignement de qualité pour plus de 10 000 étudiants, le projet contribuera à fournir plus de 12 000 travailleurs hautement qualifiés et parfaitement équipés pour le marché du travail, sans oublier les plus de 2 400 agriculteurs qui bénéficieront de ses formations agricoles et de ses programmes sur l’entrepreneuriat.

Transport

Ethiopian Airlines en Éthiopie

Ce projet a permis de soutenir Ethiopian Airlines, lors de la mise en œuvre d’un important plan d’expansion de la flotte qui a impliqué l’achat de 51 nouveaux avions. Il s’inscrit dans le Plan de croissance et de transformation II de l’Éthiopie (GTP II). Ethiopian Airlines exploite aujourd’hui un réseau de 129 destinations dans 75 pays. Elle contribue à l’intégration régionale africaine, mais relie également l’Afrique au reste du monde. La Banque a soutenu ce programme grâce à un prêt d’entreprise de 159 millions de dollars destiné à financer partiellement la première phase du programme d’expansion. Ce prêt d’entreprise permettra à Ethiopian Airlines de poursuivre la modernisation et l’expansion de sa flotte afin d’atteindre les objectifs fixés dans sa stratégie « Vision 2025 ».




Département du soutien aux opérations non souveraines et au secteur privé

La Banque africaine de développement : plus qu’un créancier, un partenaire

Effet catalytique : stimulation d’investissements supplémentaires dans le secteur privé et publicAssistance techniqueLarge gamme d’instruments adaptésPrêts à long termeFinancement en monnaie locale et en devises

POUR TOUT RENSEIGNEMENT D’ORDRE GÉNÉRAL ET POUR VOS DEMANDES DE FINANCEMENT, CONTACTEZ-NOUS À L’ADRESSE SUIVANTE:

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