Le rictus de Loki

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1 - le principe d'émancipation intergénérationnel et les grandes lignes directrices (pages 3 à 7).

2 - le paganisme nordique, la fausse assimilation chrétienne des peuples du nord et le protestantisme (pages 7 à 18). 3 - les récits anglo-saxons et phénomènes particuliers de cette culture (pages 19 à 30).

-Jack et le haricot magique (19-23) -Le Da Vinci Code (23-25) -Florence Nightingale (25-28) -Halloween (28-30)

4 - l'assassinat de Kennedy et les attentats du Wtc (pages 30 à 40).

5 - la guerre du Vietnam et Hollywood (pages 40 à 58)

6 - Le scandale Enron et la bulle spéculative internet (pages 59 à 71)

7 - Mai 68 (pages 72) 8 - Symbolique du Mont-Blanc et dynamique française déviée (pages 72 à 74)

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1)Qu'est-ce que le principe d'émancipation intergénérationnelle ?

Chaque génération nouvelle est soumise par le biais des secrets de familles à un rôle impropreinduit par les anciennes, ces dernières mues elles -même par leur propre échec émancipatif, se défaussent par le biais du labeur, sur les nouvelles. C'est un phénomène subtil difficilementacceptable consciemment mais qui est la cause de bons nombres de problèmes pour les sociétés humaines selon le degrés et l'intensité d’enfermement relatif au phénomène. Il est intéressant de noter que cette superposition de report entre générations dans le temps et au travers l’histoire se juxtapose avec le processus qui amène les forêts en décomposition des èrespassées à devenir du pétrole par étape successive. Il n'est donc pas impossible par le biais du symbolisme de comprendre que l'homme externalise via le monde du dehors, le fruit d'un conflit d'abord interne : en effet, le jusque boutisme de l'ère marchande industrielle anglo-saxonne dérive du charbon au pétrole, avec le passage de la domination anglaise sur le monde vers les Usa, par l'accentuation de l'erreur de déportation colonialiste mêlée au culte de la science portés à des niveaux records.

Cependant tout ceci est connu et depuis fort longtemps puisqu'en effet déjà à l'époque de la Grèce antique le mécanisme avait été perçu et décrypté ; le mythe de Chronos contient toute la subtilité du principe d'émancipation intergénérationnelle. Zeus ne devient pas le Dieu des Dieux par hasard, si l'on se base sur les principes abordés dans « le symbolisme de la mythologie grecque » de Paul Diel, on s'aperçoit que le roi de l'Olympe réussit le tour de force de refuser d'assumer l'incapacité d’émancipation de son père, Chronos, et sa conséquence, la pétrification matérialiste. Chronos le Dieu primaire, l’archaïsme, le Dieu du temps, avale donc son propre échec (symbolisé par la pierre) à la place de son enfant qui échappe à cette malédiction infernale et que représente la matérialisme de soumission aux anciennes générations. Zeus y gagne des attributs, dont la foudre/l’électricité qui symbolisent la prise de conscience et la lucidité, lui permettant de confondre ceux qui n'ayant pas eu le même courage se retrouvent pétrifiés dans la vie matérielle et ses malédictions (maladies et vices affiliés).

On peut tout à fait cependant assumer un métier ou une charge matérielle en toute connaissance de cause, nous parlons ici du fait d'en être conscient et de savoir le gérer par la droiture, c'est à dire sans chercher à s'en défausser malhonnêtement sur autrui ou à en devenir aliéné. L'enseignement du Christ qui viendra par la suite avec l'empire romain, consiste entre autre à permettre aux hommes de gérer ce mécanisme comme il convient.

Le mythe de Chronos contient tout le courage émancipateur et le positivisme de la culture gréco-romaine et il n'est pas farfelu de déduire que cet élan va fournir les bases pour une vague émancipatrice encore plus puissante et que sera le Christianisme en contradiction avec le Judaïsme. J'inclus la culture romaine dès la départ car cette dernière va s'approprier les bases de la mythologie grecque puis le christianisme (qui par la simplification monothéiste va établir des préceptes ordonnateurs sans commune mesure avec le paganisme des anciens temps) et va les développer de part le monde au fur et à mesure de son expansion géographique historique. L'empire romain va donc par voie de conséquence, en assimilant cesélans d'émancipation respectifs, disperser le judaïsme aux quatre vents. Ce dernier reposant sur des bases anciennes , est réfractaire aux tentatives d'émancipation et le culte des secrets de famille et du commerce superficiel qui en résulte sont des affaires entendues pour les juifs.

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Le principe de la circoncision pratiquée par le rabbinat n'arrange rien aux choses, en effet ce rite illustre toute la prédation pratiquée par les anciennes générations sur les nouvelles par le fait d'exposer le gland du sexe à l'exacerbation du monde matériel. Dans ces conditions les jeunes mâles juifs sont conditionnés dès leur plus jeune age au culte du matérialisme et à l'enfermement de fond. Cet enfermement interne forcé couplé à une culture tout à fait particulière, induit une violence de fond importante et une grande vexation mal placée qui par manque de courage émancipateur s'exerce parfois par la ruse et la médiation (et en général à l'extérieur des communautés juives) par exemple lorsque les sociétés chrétiennes minées par leur propre échec se retrouvent en relation avec les juifs dans la gestion de leur dynamique.

En fait se sachant plus matérialistes et dépassés sur ce point particulier du rapport émancipatif, une partie des juifs revanchards (destruction du temple de Jérusalem en 70 aprèsJ.C. par les romains) va alors œuvrer à détruire l'émancipation tentée par les non juifs pour pouvoir rebâtir leur ancien royaume. L’échec de la dynamique chrétienne est en effet un moyen pour que le judaïsme trouve un rôle central dans les impulsions aujourd'hui devenues mondiales. Il manquait deux choses à ceux qui parmi le peuple juif voulaient se venger, le nombre, la force militaire (et on pourrait ajouter le courage de fond pour ceux qui ne voulant pas se venger, chercheraient à s'en sortir par le haut). Le courage de fond reposant sur la mécanique d'émancipation par la droiture (c'est à dire sans tricher et se défausser sur autrui), il exclut le besoin de vengeance, ce point leur sera à jamais étranger à nombre de juifs sauf si, entre autre, mettant fin aux circoncisions, les nouvelles générations arrivaient à échapper aux anciennes, on assisterait alors probablement à une dynamique inédite).

Mais les juifs dits sionistes vont être «aidé» par la conjoncture car le nombre et la force militaire vont leur être fournit par une civilisation qui va entrer en contradiction avec la culture gréco-romaine, cette civilisation n'est pas souvent identifiée pour ce qu'elle est et ceci d'autant plus que ses imbrications avec l'empire romain la rende assez floue. Je parle de la civilisation nordique qui va donner plus tard l'empire anglo-saxon.

C'est là toute l’importance de comprendre que le paganisme des anciens temps a toujours été présent derrière les mouvements religieux, car on peut dès lors établir une comparaison entrela mythologie grecque et la mythologie nordique : si Zeus s'émancipe de son père sans tricher pour accéder au sommet de l'Olympe, Odin lui n'affronte jamais son géniteur mais se contente de lutter contre des forces inférieures aspirantes et il y perdra la vie, tandis que certains de ses enfants survivront. Ainsi on peut voir se dessiner une confrontation entre positivisme gréco-romain et défaitisme nordique, or c'est bien le défaitisme nordique qui va prendre le pas historiquement lorsque les peuplades barbares vont déferler sur l'empire romain déclinant vers 500 puis progressivement assimiler son héritage. Cela signifie que la tentative d'émancipation gréco-romaine christianisée va au fur et à mesure se déliter. A ce point du récit il faut établir une précision : le défaitisme nordique induit une incapacité d'émancipation intergénérationnelle prononcée. Il en résulte un enfermement matérialiste et un culte superficiel dédié dont la violence induite se retrouve dans les rapports que les peuples nordiques vont entretenir avec les autres populations : soumis par les anciennes générations, cloîtrés dans un blocage aliénant, les barbares auront pour habitude de déferler sur les populations situés en contrebas pour piller, brûler, ravager et violer tout ce qui leur tombait sous la main. Cela consistait en une sorte d'exutoire de leur propre condition dont ils

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externalisaient toute la rage en faisant subir symboliquement à plus faible leurs propres rapports de soumission subtils intergénérationnels (on retrouvera cet aspect plus tard, au travers du comportement des colons anglais avec les indiens d'Amérique).

Il se trouve que la France est géographiquement et culturellement le point de rencontre par excellence de ce choc de civilisation, et les violences inouïes dont les peuples situés géographiquement sur la France actuelle ont eut à pâtir, ont marqué durablement l'imaginairelorsque remontant les estuaires et les fleuves ces pillards du nord sans morale ni règles massacraient tout ce qu'ils pouvaient. Ce fut surtout le cas entre 500 et 1000 ou l'amalgame et l'installation des barbares donna progressivement par exemple les normands. Et il est intéressant de noter que la proximité des peuples plus tard «français» d'avec leurs cousins nordiques va être à l'origine d'une haine ancestrale lorsque les rois de notre ère géographique firent le choix courageux de se tourner vers l'émancipation chrétienne Romaine plutôt que vers le paganisme nordique. Il n'est pas improbable que ce fut depuis Charlemagne que cette haine s'établit. Il n’eut d'autre choix que d'imposer par la force le christianisme pour faire plierdes contrées archaïques et extrêmement violentes (dont les angles et les saxes qui furent également soumis), mais à sa mort des groupes spécialement formés à cet effet vinrent se venger en ravageant sa sépulture à Aix la Chapelle, signant un basculement dans les tentativesd'établissement de la chrétienté contre la paganisme résiduel.

En apparence la chrétienté semblait avoir pris puisqu'elle se diffusât largement tandis que la culture paganique des peuplades dites primitives disparurent rapidement mais en réalité chezces peuples, c'est bien le paganisme nordique qui domine subtilement dans le fond des impulsions. Ainsi après la chute de l'empire romain en 500 et l'amalgame nordique, la chrétienté va se diviser en 2 branches catholique et orthodoxe (1054),on retrouve par les croisades la spécificité nordique qui consiste après avoir gaspillé ses ressources chez soi, a déferler en contrebas pour piller, voler et humilier des cultures différentes. Mon opinion est que cela provient du fait que subtilement le défaitisme nordique en essayant de s'approprier les préceptes chrétiens, les a travesti par la sous-jacente du paganisme prégnant. Les romains bien qu'on ne puisse nier qu'ils aient assimilé d'autres peuples par la force militaire, ont apporté un plus culturel tout en laissant une bonne marge de manœuvre dans les cultes spécifiques des tribus ou groupes rencontrés, cependant avec la domination progressive des nordiques il en va autrement : il s'agit de rabaisser, d'humilier, et pour gérer cette mascarade, il faudra des banques juives (1200-1300). Ensuite la désillusion du religieux qui sera prétexte a détourner les foules de la religion pour donner le pouvoir à des familles marchandes, aboutira au protestantisme dont l'imposture est facilement traçable aujourd'hui : en effet si le travestissement des écrits religieux sous l'effet de cette période par le sola scriptura s'est basé sur la critique du commerce des indulgences, aujourd'hui ce mouvement finalement judéo-protestant aboutit au droit de polluer ou à la taxe carbone dont les bénéficiaires sont des escrocs juifs réfugiés en Israël. On peut toujours taper sur l’église pour avoir fait commerce de la rémission des péchés, si c'était pour permettre à la mafia juive de faire le commerce du droitde polluer, il n'y a pas de quoi ruer dans les brancards. En réalité on constate que ce défaitisme matérialiste marchand qui n'est que l’externalisation de la complaisance dans le culte des secrets de famille et du consumérisme de compensation, ne va cesser de croître au fur et à mesure que les branches catholiques et orthodoxes (espagnoles et française principalement par les guerres caribéennes et la guerre de sept ans) seront dépouillées par la prédation anglo-saxonne (mais elles avaient péché par le fait de dépouiller elles-même les

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amérindiens). Car en réalité la mentalité de pillards par les raids maritimes éclairs et destructeurs des nordiques s'est transmuée par la prédation capitaliste militaire anglo-saxonne qui n'en est que la sophistication dans le temps (on peut le constater par exemple pour la guerre en Irak déclenchée sous des accusations mensongères anglo-américaine, il s'agit toujours de maquiller des crises économiques (en l'occurrence ici du scandale Enron couplé à la bulle spéculative sur les nouvelles technologies et particulièrement internet) par de fausses accusations pour aller piller des ressources déjà gaspillée chez soi et se sophistiquerdans le culte des apparences et des moyens sans jamais faire d'effort de fond, finalement cela ressemble aux croisades).

Les cultures anglo-saxonnes dispersées progressivement aux quatre coins du globe (le common wealth) n'ont toujours survécu que sur le faillite des cultures religieuses en voie d’effondrement. C'est si vrai d'ailleurs que les anglo-saxons se sont toujours ingéniés, sous les conseils de juifs sionistes toujours préoccupés par la résurgence d’Israël au détriment des empires chrétiens et islamiques, à provoquer ces effondrements pour en tirer bénéfices. Ainsi d'après moi, la décapitation de Louis seize et l'assassinant du tsar Nicolas deux ont été pensé depuis Londres sous la houlette judéo-protestante pour se débarrasser de la concurrence, car sans rois catholiques ni tsars orthodoxes, la voie était ouverte pour une domination temporaire des empires anglais colonialistes puis américains. Il suffisait de gérer et de détruirele fruit de leur forfaits, le socialisme français puis le communisme russe, y compris au travers de la dislocation de l'empire ottoman par les deux guerres mondiales (c'est la guerre au terrorisme d'aujourd'hui qui cible par le financement d'un Islam judéisé, les résiduels socialistes arabes ou les pays encore religieux non dévoyés comme l'Iran), pour inverser la donne, faire du vieux continent européen y compris la Russie, une sorte de Mexique des USA et judaïser progressivement les pays arabes autour d’Israël.

En réalité cela consiste à superficialiser la planète progressivement en sophistiquant le culte de la forme au détriment du fond pour substituer au christianisme le judaïsme. Ce projet a étépensé par les élites judéo-protestantes ou simplement mondialistes contre les catholiques, lesorthodoxes et l'Islam, ainsi se comprennent toutes les guerres et conflits actuels. Cela passe toujours par de faux attentats et de fausses accusations. Il s'agit à échelle collective d'un refus émancipatif et d'un refuge à marche forcée vers la facilité consumériste superficielle que propose le judaïsme. Ce projet passe par le fait de faire du vieux continent européen une sorte de Mexique des Usa (qui ne sont que l'aspect colonialiste anglais étiré dans le temps), et qu'onretrouvera via la marché transatlantique (s'il a lieu). La Russie aurait du se plier à la chose après Eltsine mais Poutine est une surprise et les russes semblent brillamment résister (ils ontcontré une attaque par la Géorgie avec l’Ossétie du sud, puis en Ukraine et à chaque fois les attaques portées contre eux les ont renforcé (Crimée)). Quoiqu'il en soit les Usa pousseront l'Europe à se battre contre les russes à leur place en espérant que la dégradation des deux entités leur permettra de prendre le dessus au final (jusque là, cela n'a pas pris (voir la colère de Victoria Nuland, Secrétaire d'État assistant pour l'Europe et l'Eurasie sous le mandat de Barack Obama qui ayant poussé sans succès ses camarades européens à la guerre contre la Russie s'est trahie en vociférant "Fuck UE (l'union européenne))). Après tout les anglais avaient poussé Napoléon vers les russes pour le défaire puis Hitler contre les bolcheviques pour prendre ensuite le leadership mondial. La dégradation des cultures orthodoxes, catholiques puis socialistes et communistes a au final toujours profité aux judéo-protestants.

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Mais que la Russie tombe ou pas, le projet du gouvernement mondial unique ne pourra se faire que par une ultime étape : une guerre mondiale nord/sud. Il faut comprendre que pour qu’Israël devienne le centre des impulsions mondiales, il faut dégrader les cultures religieuseset à tendance collectivistes résiduelles de manière prononcée, la culture protestante sera forcement trahie à son tour. Les mondialistes ont depuis longtemps abandonné l'idée de nations, ils travaillent de manière globale et accélèrent les reformes pour précipiter le mondialisme marchand par le bas, les guerres malheureusement accentuent la chute, et ce d'autant plus qu'un monde régit par les monopoles marchands et leur meilleure vitrine, le judaïsme, n'est pas gérable à 6 milliards et encore moins à 9 milliards ou plus (car le consumérisme stérile ne pourrait se prolonger que si la terre n'était pas un endroit limité), ce qui signifie que des projets de réductions drastiques des populations sont envisagés et prêt à l'emploi, et que les guerres seront une des méthodes utilisées dans cette optique.

Il ne s'agit pas de lutter par les armes contre cela car en réalité il semble que la plupart des gens préfèrent cet état de chute vers la facilité, il s'agit de faire l'effort soi-même d'en sortir en se cultivant et en travaillant sur son propre passé.

On peut appréhender les mouvements humains par leur rapport d’émancipation intergénérationnel, paradoxalement au fur et à mesure et bien que l'on n'ai fait que progresserau cours des temps, proportionnellement les gens s'enfoncent de plus en plus dans un matérialisme de soumission aux anciennes génération et dans un consumérisme de compensation. Nous sommes pratiquement sortis du poids des charges ingrates lourdes en sophistiquant les méthodes et les techniques affiliées, cela nous a facilité la vie mais nous n'avons pas fait les efforts nécessaires pour se détacher réellement du problème de fond et quesont les secrets de famille externalisés. A tel point que nous sommes sur le point d'être absorbés par notre matérialisme puisque l'humain artificiel pointe à l'horizon. Il ne s'agit pas de l'humain augmenté comme on essaie de nous le faire croire, mais des populations enfermés dans l’incapacité d'émancipation des scientifiques, donc diminués au final dans unealiénation mathématique. C'est comme si de génération en génération au cours des ages, nousavons sophistiqué les moyens affiliés à la prolongation des secrets de famille sans jamais nous en extraire par la droiture, au point de finalement être absorbé par notre propre culte de la science de compensation. La forme prend le pas sur le fond au point d'artificialiser les humains.

Nous avons fait un tour d'horizon pour poser les lignes directrices, cependant il convient à présent de rentrer un peu plus dans le détail.

2) le paganisme nordique, la fausse assimilation chrétienne des peuples du nord et leprotestantisme:

ll faut donc avoir en tête que l'empire romain déclinant a été achevé par ces tribus du nord(l'empire disparaît aux environs notamment du cinquième siècle), et que donc le défaitismedans la recherche du «je serais» (la signification du mot Dieu qui correspond egalement àaller vers la lumière) qui est la réappropriation de son soi propre en contradiction avec lepoids des secrets de famille, s’était déjà largement répandue et on va le voir, finalementl'emportera progressivement au cours de l'histoire sur la recherche d’émancipation quesupposait la culture helleno-chretienne, notamment au profit du «je préfère soumettre,

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posséder et/ou consommer».

On ne cherchera dès lors (à partir du moment ou les peuples du nord prennent l'ascendantdans les rapports de force), à un niveau subtil lié étroitement au rapports religieux, plus às’améliorer mais finalement on préférera sombrer dans la facilité héritée de la mythologienordique, à savoir aller dépouiller les autres après avoir été dépouillé symboliquement soimême par ses propres parents (donc par médiation dans le temps par ceux qui s'attribuent cerôle dans l’inconscient collectif : les élites), soit au niveau collectif, par l'emprise desanciennes générations sur les nouvelles , et avoir été incapable de s'extraire de ses rapport desoumission pour se réapproprier son soi propre. La soumission résignée à l’élitisme quiconfine au matérialisme entraîne le besoin de soumettre à son tour et de spolier par ledéfoulement violent. C'est le fondement de l'empire anglo-saxon (qui plus que les autresaccentue cette spécificité) et la base du capitalisme. On retrouve dans les caractéristiquesoriginelles de ces peuples, les bases de ce dernier (ce qui suit provient d'extrait issus de la basede donnée Wikipédia, qui n'est pourtant pas une référence, le phénomène est donc trèsabordable).

« On appelle Viking (Víkingr, en vieux norrois) un commerçant de longue date,remarquablement équipé pour cette activité, que la conjoncture a amené à se transformer enpillard ou en guerrier, là où c’était possible, lorsque c’était praticable, mais qui demeureratoujours quelqu’un d’appliqué à afla sér fjár (« acquérir des richesses »)».

Selon certains historiens, le phénomène des raids vikings serait principalement dû à unerécalcitrante à la christianisation.

« Charlemagne, profondément religieux, convaincu que Dieu avait confié au peuple franc et àson souverain la tâche de répandre et de défendre la foi chrétienne, passa sa vie à convertirtous les païens d'Europe».

Il réussit à établir par la force un empire chrétien sur la majeure partie de l'Europeoccidentale. La récalcitrante à la conversion chrétienne des peuples nordiques décidaCharlemagne à utiliser la violence pour arriver à ses fins.

«L'historien des religions, Rudolf Simek explique que « Ce n’est pas un hasard si le début del'activité viking s'est produit sous le règne de Charlemagne […] La montée du christianismeconstituait une menace en soi »».

«Il s'agit « d'une haine de religion entre les Vikings et les Chrétiens », ce qui expliqueraitselon ces historiens que ce soient principalement les églises, les cloîtres et les autres édificessacrés avec leurs habitants les nonnes, les moines et les prêtres qui furent l'objet de la fureur,des insultes et des outrages des Normands encore païens et leur haine du christianisme. Pourassouvir leur vengeance, un strandhögg viking (petit commando), prit le risque de s'enfoncerdans le territoire franc. Ils ne se contentèrent pas de piller le tombeau de Charlemagne à Aix-la-Chapelle, ils prirent le temps de profaner la sépulture et la dépouille du grand Empereur dela chrétienté. Les Vikings agissaient ainsi dans tous leurs raids, non contents de voler les biensde l'Église, « ils piétinaient et s'acharnaient sur les reliques sacrées, insultaient etoutrageaient, mus par une véritable haine à l'encontre de la religion chrétienne ».

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(note parallèle : ceci n'est pas du tout étranger au comportement des jeunes élites dans lesuniversités anglo-saxonnes et notamment dans les confréries tel les Skulls and Bones).

«Les Danois organisent des expéditions massives, souvent sous le commandement de rois oude chefs influents. Ils orientent leurs conquêtes et leurs pillages le long des côtes de la mer duNord, de la Manche et de l'océan Atlantique. Leur raids commencent dès la fin du VIIIe sièclemais s'intensifient après la mort de Charlemagne (814) et la déliquescence de son empire».

«La Gaule présentait aussi une façade maritime très ouverte ; les Vikings empruntèrentrégulièrement la Seine, la Loire, la Garonne et les petits fleuves côtiers. Les chroniques desmonastères nous apprennent que la Seine charria des flottes scandinaves en 841, en 845, en851, en 852 et en 856. Notamment, ils remontèrent la Garonne, atteignirent Toulouse en 844et firent le siège de Bordeaux en 845».

«Ce grave conflit religieux divisa la Scandinavie et surtout la Norvège pendant près d'unsiècle, en raison de la pénétration du christianisme. « Le duc Håkon Sigurdsson et tout sonclan de Lade, furent les grands défenseurs des croyances scandinaves face à la progressionchrétienne », mais cette résistance fut anéantie par l'empereur Otton II du Saint-Empire etles deux rois Olaf évangélisateurs».

On peut observer qu'il va y avoir un amalgame des deux cultures et dont l'influence nordiquesous-jacente, loin d'être effacée et malgré les apparences, va saper progressivement le couragede fond de celle du sud, au profit de la facilité matérialiste qu'elle contient. En réalité, uneobservation subtile sur le déroulement de l'histoire et sa réalité actuelle, nous montre que lechristianisme n'a jamais réellement pris en profondeur dans les cultures nordiques, et que latendance paganique persistante va progressivement saper les fragiles bases que le mouvementchrétien a essayé d'établir.

Après le premier choc de la scission de 1054, qui comme par hasard correspond aux temps descroisades, donc à l'hypocrisie du fait de croire que dépouiller les arabes permettrait derenflouer la faillite issu du nouveau mélange européen (et dont on peut soupçonner quel'origine idéologique provient de l'amalgame entre peuplades nordiques et culture gréco-romaine, dont la mentalité primaire des premières imprégna les peuples en profondeurquand à leur rapport aux populations géographiquement inférieures (donc sur le credopaganique nordique)), la prédominance du défaitisme et la résignation dans le matérialisme,va prendre tout son sens au fil du temps, non seulement avec la naissance des bases dusystème bancaire (treizième siècle) au cœur des impulsions de l'occident (et qui se mettent enplace au sortir de la période qui correspond aux croisades) mais surtout donc avec lanaissance du protestantisme. Celui-ci naît avec la désillusion du religieux, issue du commercedes indulgences pratiquées par Rome.

«Le commerce des indulgences vient de la possibilité dans l'Église catholique romained'acheter des indulgences … c'est-à-dire la rémission totale ou partielle devant Dieu de lapeine temporelle encourue en raison d'un péché pardonné. Cette pratique qui remonte au IIIesiècle reçoit une définition juridique dans les décrétales pontificales au XIIe siècle.L'indulgence obtenue en contrepartie d'un acte de piété (pèlerinage, prière, mortification),

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don, va au cours du temps se transformer en un commerce lucratif».

La faillite des représentants du catholicisme va servir de prétexte au 16ième siècle, à sedétourner du «je serais» au profit du «je consommerai», ou dit autrement «je préfère meréfugier dans la possession et la consommation». On peut décrire le raisonnement induitcomme tel : puisque les gens d'église sont des hypocrites matérialistes, arrêtons de fairesemblant, je vais faire pareil pour moi à mon niveau sans plus me soumettre à eux, ces gens làne sont pas plus religieux que moi, je ne vois pas pourquoi je devrais leur être soumis (enoubliant hypocritement de dire que Dieu n'existe pas exclusivement à travers l’église ou sesreprésentants, c'est une bonne excuse pour ne pas avoir à faire d'effort de fond dans sonrapport personnel au «je serais» et rester cloîtré dans la complaisance des secrets de famille).Tout cela implique d'aller piller les autres cultures, mais aussi à terme, avec les problèmes quecette configuration structurelle suppose, d'aller contaminer les autres par la même pathologieet ainsi de faire régresser les autres mouvements d'émancipation collectifs au profit dujudaïsme (quand on se cantonne dans le matérialisme, on ne règle pas ses problèmes de fond,on externalise de plus en plus son propre conflit interne et les choses finalement ne font ques'aggraver, on notera que la naissance des banques juives en tant que pôle d'influence centralet qui naissent au treizième siècle en marge du phénomène des croisades, ne va cesser deprendre de l'importance). Ainsi la récalcitrante des peuples du nord à intégrer les préceptespositifs de la culture gréco-romaine ainsi que les avancées portées par le christianisme,couplée à l'incapacité de l’église catholique romaine a tenir son rôle dignement, va finalementchanger la donne, renverser nettement l’équilibre et se répandre dans le rapport au monded'une manière globale à l’échelle européenne. L'imposture du protestantisme :

«Amorcée dès le XVe siècle et culminante au XVIe siècle, la Réforme protestante est unevolonté d'un retour aux sources du christianisme et aussi, par extension, un besoin deconsidérer la religion et la vie sociale d'une autre manière. Elle reflète l'angoisse des âmes, parla question du salut, centrale dans la réflexion des réformateurs, qui dénoncent la corruptionde toute la société engendrée par le commerce des indulgences. Les réformateurs profitent del'essor de l'imprimerie pour faire circuler la Bible en langues vulgaires (allemand), etmontrent qu'elle ne fait mention ni des saints, ni du culte de la Vierge, ni du Purgatoire. Laréférence à la Bible comme norme est néanmoins une des principales motivations desréformateurs. Ce principe, Sola scriptura, les guidera.

Commencée par Martin Luther en Allemagne et Ulrich Zwingli à Zurich, puis Martin Bucer àStrasbourg et plus tard Jean Calvin à Paris et Genève, la Réforme touche la majeure partie del'Europe du Nord-Ouest. Les tentatives de conciliation ayant échoué, elle aboutit à unescission entre l'Église catholique romaine et les Églises protestantes. La Contre-Réformecatholique engagée à l'issue du concile de Trente ne permet à l'Église catholique qu'unereconquête partielle des populations passées au protestantisme.

L'adoption de la Réforme est aussi un caractère politique. C'est un moyen pour les princesd'affirmer leur indépendance face à une papauté revendiquant une théocratie universelle oupour les populations de pouvoir se révolter face un souverain mal accepté comme en Écosse etaux Pays-Bas espagnols. La Réforme se traduit donc au XVIe siècle par de nombreux conflits,

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entre l'empereur Habsbourg et les princes allemands mais aussi des guerres civiles en France,en Angleterre et en Écosse».

L'imposture se situe dans le fait, comme on peut le voir dans cet extrait Wikipédia, que leprotestantisme est présenté comme une volonté de retrouver un christianisme plus vrai etmoins dévoyé, en contradiction avec un catholicisme devenu matérialiste. En réalité la faillitecatholique sera un prétexte tout trouvé par certaines familles plus ou moins aisées pour sedéfaire, ainsi qu'en détourner les masses, de la mainmise des puissants de l'église mais ausside l’église tout court, à leur propres profits sur une base bien plus matérialiste. Les famillesroyales furent aussi ciblées, et finalement les personnages de Thomas Cromwell et un de sesdescendants, Oliver Cromwell, furent les meilleurs représentants de cette tendance :

Thomas Cromwell (né vers 1485 et mort en 1540) ministre principal d'Henri huit d’Angleterre,fut un des principaux acteurs de la réforme en Angleterre au 16ième siècle. Il est intéressantde noter que cet homme dépeint comme laïc, avait un père à l'alcoolisme pathologique dontles activités illégales n'étaient un secret pour personne. Or si on veut faire une analyse dunom Cromwell au niveau du symbolisme de l’inconscient collectif, on s'aperçoit que ce nomest composé de deux parties distinctes : Crom et Well (well signifie bien). C'est tout à faitintéressant car il se trouve que Crom était une divinité celte :

«Crom Cruach, le Serpent Cornu, aussi connu sous les noms de Cromm Crúaich, CennCruach ou encore Cenncroithi, est une entité de la mythologie celtique irlandaise. Adoré sousforme d'idole dorée entouré de douze pierres, réputé pour ses sacrifices humains, c'est SaintPatrick qui, d'après la légende, arrêta le Culte de Crom Cruach».

Crom Well signifie, lorsque ce dernier est nommé au poste décisionnaire du pays, qu'unetendance collective issue de l'incapacité de la génération que représente ce dernier, às’émanciper des anciens (soit un père alcoolique et visiblement un malfrat), ramène lesanglais vers une tendance à la régression paganiste (maquillée sous couvert de rigorisme pource cas spécifique). Il est tout à fait sidérant de constater que c'est un saint Chrétien qui mit finà la mascarade par le passé !

On peut aller plus loin et en déduire que le modèle militaire mis sur pied plus tard par ledescendant Oliver Cromwell, n'est que l'organisation sociétale par le credo militaire nordiquede cette tendance déclinée dans le temps. Or les irlandais qui firent le choix du catholicismefurent quasiment victimes d'un génocide sous son règne, il y a là toujours cette dualité entrepaganisme nordique et christianisation. Dualité qu'on retrouve dans le début du conflitcaribéen de l'époque avec l’Espagne catholique en ligne de mire.

Le protestantisme s'est appuyé sur la critique du commerce de la chose religieuse par lesreprésentants de l'église, pour permettre à certaines familles de détourner les populations àleur propres profit sur des bases démissionnaires païennes nordiques sous-jacentes bien plusviscérales et organiques.

Ce n'est pas un hasard si ce mouvement mettra en avant plus tard par la prolongationsophistiquée du blocage qu'il induit, le (soi disant) féminisme ainsi que la fiertéhomosexuelle. Ce dont il est question, c'est d'incapacité d'émancipation (au niveau des

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rapports familiaux profonds), ce qui donnera dans le temps par la perpétuation de cetentêtement sous les apparences de la sophistication scientifique, un acharnement dans lacomplaisance puérile primaire typiquement féminine (dans son mauvais aspect) et jusqu'aunarcissisme pathologique homosexuel, des secrets de familles. Ce qui explique l'absence despères dans nos sociétés actuelle et la tentative de castration de toute virilité, car il faut, pourpréserver le système actuel (dont l'acharnement matérialiste collectif l'a déplacé jusque dansles mains de familles juives sionistes monopolistiques), empêcher toute tentatived’émancipation. Aujourd'hui la plupart se battent pour accentuer la dette que ce blocage defond induit.

Pour bien saisir le propos il faut comprendre ce qui suit : le capitalisme va prendre toute sadimension avec l'apparition du protestantisme, soit finalement le fait que le défaitisme dansle rapport à l’archaïsme sur la tendance prégnante des peuples anglo-saxons, va amener uneère de complaisance dans le culte du commerce qui va remettre le judaïsme, donc du point devue chrétien, l’archaïsme, au centre des impulsions profondes. De fait après la victoire de lamonarchie protestante anglaise sur la France et l’Espagne catholique (pour simplifier mais cequi est assez réducteur) à l'issu de ce qui est considéré par certains comme le premier conflitmondial, soit la guerre de sept ans (1756-1763), l'empire anglo-saxon s'impose. Et de la mêmemanière que les barbares du nord ont battis leur sociétés sur le pillage des autres cultures parla voie maritime notamment, les anglais ont battis la leur par la conquête de nouveauxterritoires, la piraterie et la dégradation du mouvement catholique chrétien, on le voit parl'épopée caribéenne et dont Francis Drake est le meilleur représentant (fin du seizièmesiècle). On peut noter que pratiquement toutes les îles découvertes dans cette partie dumonde comme dans d'autres, par les catholiques portugais, espagnols et français vont devenirprogressivement possession de la couronne d’Angleterre. Le fait que de nombreusespersonnes impliquées dans l'économie contemporaine souvent de manière douteusesd'ailleurs, vont aujourd'hui cacher leurs capitaux dans ces «paradis» fiscaux, ne doit rien auhasard.

Il est donc utile de se pencher sur la symbolique des paradis fiscaux :

Les îles Caïmans :

Au départ appelées las tortugas, soit les tortues en français, par Christophe Colomb (Espagnecatholique), ces îles se virent attribuer par la suite leur nom par les protestants anglais du faitque des crocodiles y vivaient en nombre : donc pour ce qui concerne l’époque contemporaine,s'y rapporte dans le rapport qu'entretiennent les hommes avec le monde, tout le cotéreptilien, l'aspect le plus récalcitrant de ce qui bloque dans la quête d’émancipation. Ceciprovient de la physiologie du cerveau humain, ce dernier étant constitué de trois étagesconnus, avec par ordre du moins évolué au plus sophistiqué: le cerveau reptilien (siège despulsions primaires), surmonté du cerveau limbique (siège de l’émotionnel), dominé à sontour par le néo-cortex (siège de l'intelligence ordonnée) pour simplifier. Les îles caïmansreprésentent un lieu de blocage reptilien dans le rapport des hommes à leur émancipation,quelque chose de profondément ancré et de profondément réfractaire. On remarquera dans lanature que pour les règnes inférieurs, le plus gros mange le plus petit en général, de sortel'homme est celui qui a la faculté de sortir des rapports de survie paranoïaques et violents enéliminant la peur de l’extérieur archaïque par l'observation et la compréhension, ainsi quand

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les hommes sont ré-affiliés à ce dont ils devraient normalement s'extraire, on dit d'eux qu'ilssont reptiliens et ancrés dans le passé. Il est à noter que les îles caïmans fortement liées aucommerce des esclaves, se transformèrent peu après leur découverte en un repère de piratesou réfugiés et déserteurs de tous horizons avec un rapport direct avec l'Angleterre et inscritsdans un conflit médié entre protestantisme et catholicité. On peut en conclure que les gensqui y cachent leur argent, proviennent d'un rapport à la société, basé sur la monarchieanglaise ou l’équivalent (donc fondé sur la non émancipation chronique, la recherchecomplexée d’hégémonie, donc de domination, et la spoliation par la prédation ) et qu'ilsessaient de trouver un endroit ou mettre le butin qu'ils ont réussi à amasser dans la cohue dumonde moderne en bénéficiant du système pyramidal qu'ils servent, en général à l'insu desautres. On peut être amusé du fait que l'on passe des "tortugas" catholiques espagnoles deColomb, aux caimans protestants anglais. Le plus intéressant est le personnage qui leur àdonné leur nom: Francis Drake (1540-1596), corsaire, explorateur et esclavagiste anglais,s’étant illustré dans la guerre notamment navale contre l’Espagne (il a contribué à défairel'invincible armada). Drake s'appropria un temps probablement la Californie, sous le nom denouvelle Albion (c'est ce que pensent la plupart des historiens qui se sont penchés sur laquestion, certains moins nombreux penchant pour l'Oregon ou la Colombie Britannique). Laboucle est bouclée. On sait de quel métal est fait l'empire anglo-saxon et sa machine depropagande Hollywoodienne : de celui éparpillé un peu partout au fond des mers caribéenneset du vol des cargaisons, entre autre de l'Espagne catholique. Si la catholicité est une tentatived'approche de Dieu et quelle fut choquante dans la fait d'avoir agit souvent en son nom touten bafouant ces préceptes, le protestantisme qui est l'excuse toute trouvée pour se détournerde Dieu en prétextant les erreurs catholiques, n'a consisté depuis qu'à s'acharner à piller et àréduire l'héritage christique, dans le temps et sans probablement le réaliser tout de suite, auprofit du judaïsme des anciens temps. Et si la franchise pirate des caraïbes a autant de succèsde nos jours cela veut dire que ces rapports et cette manière d'agir sont toujours d'actualité etlargement répandus dans les rapports civilisationnels. Ceux qui sont affiliés à ce rapport aumonde, travaillent à étendre la superficialité consumériste et le mercantilisme narcissique audétriment du collectif, tout en pensant soigneusement à mettre de côté et en marge de toutelegislation, le fruit de leur rapine. On peut faire un parallèle avec notre réalitécontemporaine : Les îles grecques ne sont-elles pas progressivement rachetées par desaméricains fortunés, profitant de la crise provoquée par les politiques défaillantes successivesdes technocrates européens, obeissant infailliblement aux ordres de banquiers mondialistestotalement insensibles aux souffrances des populations ? Il s'agit ici d'un même processus deréappropriation après dégradation d'une culture plus profonde mais gaspillée et errodée. Onpeut pousser plus loin pour le cas de la Grèce en faisant remarquer que c'est l'Allemagne,meilleure élève de la classe américaine, ayant été retournée en 45, qui faisant s'engager laGrèce dans des dépenses militaires ruineuses a précipité la crise grecque. Les Usa s'en frottentles mains en bon pirate, d'ailleurs pour l'anecdote Johnny Depp, le héros de la série "Piratesdes caraibes", est un des acquereurs d'une des îles bradées par le gouvernement grec, commequoi toutes les mers et époques sont propices à la piraterie de fond anglo-saxonnes (même siaujourd'hui, il s'agit de méthodes plus sophistiquées et détournées).

Penchons nous un peu plus sur le personnage de Francis Drake, son profil est assezsignificatif , il regroupe toutes les composantes de ce que l'on peut trouver de honteux chezles anglosaxons (extrait wikipédia) :

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"Sir Francis Drake, né vers 1540 à Tavistock (Devon) et mort le 27 janvier 1596, est un corsaire,explorateur, esclavagiste et homme politique anglais du XVIe siècle. Drake effectue ladeuxième circumnavigation de la Terre, entre 1577 et 1580.La reine Elizabeth Ière d'Angleterre le fait chevalier en 1581. Il est commandant en second dela flotte anglaise qui affronte l'Invincible Armada espagnole en 1588. Il meurt de la dysenterieen janvier 1596 après l'attaque avortée de San Juan à Puerto Rico.

De son vivant, ses exploits sont légendaires, faisant de lui un héros aux yeux des Anglais alorsqu'il n'était considéré que comme un pirate par les Espagnols, qui l'avaient surnommé « ElDraque » ou « El Dragón ». Le roi d'Espagne Philippe II aurait même offert une récompensede 20 000 ducats soit environ 4 millions de £ pour sa capture mort ou vif.

Jeune, Drake accompagne son cousin germain Sir John Hawkins dans la troisième expéditiontrans-atlantique de traite négrière, amassant des sommes importantes en achetant et entransportant des Africains de l'Ouest avant de les revendre contre des biens de valeur. Lepremier Anglais ayant embarqué des esclaves d'Afrique était John Lok, un marchandlondonien qui, en 1555, ramène en Angleterre cinq esclaves originaires de Guinée. Undeuxième marchand londonien, William Towerson, fera l'acquisition d'esclaves peu de tempsaprès. Sa flotte rentre à Plymouth suite à son voyage en Afrique en 1556 et repart de Plymouthl'année suivante. Avec Lok et Towerson, John Hawkins est connu comme étant l'un despionniers de la traite négrière en Angleterre. Alors qu'Hawkins ne fit que trois voyages endirection de l'Afrique, les Anglais allaient peu à peu s'imposer au centre de ce commerced'êtres humains. Vers 1563, Drake met les voiles pour la première fois vers l'est en direction dela terre ferme espagnole en Amérique, à bord d'un navire appartenant et commandé par JohnHawkins, avec à son bord des esclaves enlevés par la force des côtes d'Afrique de l'Ouest. LesAnglais revendent à l'issue de ce voyage les esclaves afin qu'ils soient employés dans lesplantations espagnoles. L'enlèvement et le transport sous le contrainte d'êtres humains étaitconsidéré comme un crime d'après la législation alors en vigueur en Angleterre ; cependant,celle-ci ne s'appliquait pas aux esclaves, aux non-Protestants et aux criminels. Dans les récitsde ces actions (auxquelles Drake prit part), Hawkins cites deux provenances de leurs victimes.La première était l'attaque de villes et villages africains (avec le soutien de chefs de guerreafricains rivaux) ; la seconde était l'attaque et la capture de navire négriers portugais.

Conflit dans les Caraïbes.

Pendant les premières années de sa carrière de négrier, Drake développe une haine tenaceenvers les Espagnols, et ce en raison de leur catholicisme et de leur méfiance systématiqueenvers les non-Espagnols. Son hostilité est grandement renforcé par la défaite de San Juan deUlúa en 1568, lorsque la flotte de Drake et de son cousin germain John Hawkins mouillent àproximité du port. Alors qu'ils négociaient le droit de se réapprovisionner et de réparer dans leport espagnol, la flotte anglaise est attaquée par des navires de guerre espagnols, seuls deuxnavires anglais parviennent à s'échapper. Drake survit à cette attaque en s'échappant à la nage.

L'épisode le plus célèbre de la carrière de Francis Drake sur la terre ferme espagnole enAmérique est la capture du convoi espagnol à Nombre de Dios en mars 1573. Accompagné denombreux boucaniers français et d'esclaves marrons, Drake écume les eaux autour de Darien(aujourd'hui au Panama) et capture le convoi dans le port de Nombre de Dios, situé à

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proximité. Il emporte une grande quantité d'or mais doit laisser derrière lui une quantité plusimportante encore d'argent, ses navires n'étant pas assez solides pour la transporter enAngleterre.

Pendant cette expédition, il grimpe au sommet d'un arbre dans les montagnes centrales del'isthme de Panama et est ainsi le premier Anglais à apercevoir l'océan Pacifique. En le voyant,il formule le vœu de pouvoir y naviguer un jour, ce qu'il fera des années plus tard lors de sacircumnavigation autour du monde.

Lorsque Drake rentre à Plymouth après ces raids dans les Caraïbes, le gouvernement anglaisavait signé une trêve temporaire avec la roi d'Espagne Philippe II et ne pouvait donc pasreconnaître officiellement ces attaques. Drake est alors considéré comme un héros enAngleterre et comme un pirate en Espagne

En 1575, Drake est présent lors du massacre de l'île de Rathlin, qui était alors au centre de lacolonisation anglaise en Ulster, au cours duquel 600 hommes, femmes et enfants sontmassacrés après s'être rendus.

Francis Drake est alors aux commandes d'un navire transportant des troupes placées sous lesordres John Norreys sur l'île de Rathlin, il commande une petite frégate, le Falcon, avec unéquipage de 25 hommes. Au moment du massacre, il est chargé d'empêcher les naviresécossais d'apporter des renforts sur l'île de Rathlin.

Lors de son expédition contre la flotte des Indes espagnoles, Drake est confronté à plusieursreprises à son commandant en second Thomas Doughty et, le 3 juin 1578, il accuse ce dernierde sorcellerie, de mutinerie et de trahison au cours d'un procès qui lieu en mer. Drake affirmeêtre en possession d'une commission (qu'il ne produira jamais) de la Reine pour mener à bienun tel procès et dénie à Doughty le droit d'être jugé en Angleterre. Les principales pièces àconviction apportées contre Doughty sont premièrement un témoignage du charpentier dunavire, Edward Bright qui, après le jugement est promu « inexplicablement » au rang demaître du navire Marigold ; et, deuxièmement, l'aveu de Doughty d'avoir informé l'opposantLord William Burghley de l'objectif de l'expédition, ce dernier en ayant fait part à son tour auxEspagnols. Doughty est condamné à mort à l'issue du procès. Drake consent à sa demande decommunion et dîne en sa compagnie. Le chapelain du navire Francis Fletcher livre un étrangerécit de ce dernier repas :

« Et, après ce repas béni, ils dînèrent ensemble à la même table, plus joyeusement etsobrement, qu'ils ne l'avaient jamais fait jusque-là, chacun félicitant l'autre, et en buvant à lasanté de l'autre en se tenant par la manche, comme si de rien n'était. »

Drake ordonne que Thomas Doughty soit décapité le 2 juillet 1578. Lorsque, au cours d'unesermon, le chapelain Francis Fletcher suggère par la suite que les affres du voyages rencontrésen janvier 1580 étaient liés à l'exécution injuste de Doughty, Drake fait enchaîner l'hommed'Église à un panneau d'écoutille et l'excommunie".

Suite au succès rencontré dans son raid contre les possessions espagnoles dans l'isthme dePanama, la reine Elizabeth Ière fournit à Drake des lettres de marque et lui demande de

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monter une expédition contre les établissements espagnols situés sur la côte Pacifique del'Amérique du Sud.

Drake commence sa circumnavigation en longeant les côtes européennes puis la côteoccidentale de l'Afrique. La flotte traverse ensuite l'océan Atlantique pour atteindre la partieaustrale de l'Argentine et remonte les côtes américaines jusqu'à San-Francisco pour ensuitetraverser le Pacifique jusqu'en Indonésie. Il termine son tour du monde en passant sousl'Afrique pour remonter jusqu'en Europe. Il s'agit de la deuxième circumnavigation del'histoire après la flotte de Magellan, Drake étant le premier capitaine à terminer le tour dumonde".

En fait l'observation de la vie de Drake, nous permet de comprendre une chose essentielle, lecrime ne paie pas et il y'a toujours quelqu'un pour profiter des egarements des autres. L'élande déportation vers les Amériques parti d'Espagne, n'était en réalité pas basé sur des principestout à fait nobles, l'histoire a largement pu en témoigner, cet eloigenement interessé àcontribué à affaiblir le mouvement catholique, et à permit à un mouvement anglais parasitairede prendre de l'ampleur, finalement on peut se demander si l'empire anglais ne doit pas sesfondations, par la perte de leur preceptes, dans l'aventure colonniale, des catholiques. Unmouvement s'effrite et s'effondre pour laisser place à un autre moins viril. On retrouve lafameuse règle selon laquelle l'éloignement dans la quete signe à chaque fois une dévirilisationdu mouvement au profit d'une nouvelle dynamique bien moins louable dans le fond, bienplus violente, interessée et mesquine mais mieux organisée. La reine Elisabeth 1ère n'étant dece point de vue que l'aspect dégradé du roi d'Espagne de l'époque mais c'est cettecaractéristique de fond qui prendra le pas et s'imposera. Drake n'est que la partie cachée etdévoyée des colons espagnols, le fait qu'il ait pu faire tant de dégat montre que finalementcette tendance à effacée la première et ouvert la voie à un nouveau rapport au monde moinsspirituel et plus interessé. Et si l'on suit cette tendance, finalement, il n'est rien de réellementétonnant à voir cet empire anglo-saxon, qui est le fil dégradé de la conduite humaine au coursdu temps et par le choix systématique de la déportation, se faire lui même court circuité parles sionistes.

La californie est directement rattachée au personnage de Drake, Los Angeles et donc plusprecisemment Hollywood dans le temps ne sont donc que des points d'émissions visant àpermettre à l'empire d'étendre son idéologie basée sur le crédo nordique d'origneantichrétienne sous jacent, à savoir vivre des raids, de la spoliation et du viol des autrespopulations, sans faire aucun efforts de fond tout en prétendant le contraire et en clamant quel'agresseur c'est l'autre. Cette tendance a été si éculée dans le temps qu'aujourd'hui l'industriedu cinéma a été détournée et accaparée par des juifs sionistes.

Bref, pour en revenir aux iles caimans, Les tortues catholiques ont laissé place au fil du tempsau caimans protestants.

Les Bermudes :

Extrait wikipedia : «L'archipel des Bermudes doit son nom au navigateur espagnol Juan deBermúdez qui le découvrit en 1515. Des Anglais y établirent des bases dès 1609 à la suite d'unnaufrage et fondèrent la première capitale Saint George's en 1612. Les premiers esclaves furent

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amenés d'Afrique en 1616 et la colonisation anglaise officialisée en 1684. L'archipel est devenubritannique en 1707 avec la création de la Grande-Bretagne (l'unification de l'Angleterre et del'Écosse)».

«Le mot bermuda est dérivé du nom des Bermudes où les policiers britanniques portaient ceshort qui descendait jusqu'aux genoux. Il s'agit aussi de la tenue pour les hommes d'affairesqui portent le bermuda avec un blazer, chemise à manches courtes, cravate ou pas,chaussettes jusqu'aux genoux et chaussures de ville».

Donc les Bermudes représentent un endroit au départ qui est catholique, donc encore avec unrapport à Dieu non résigné, puis qui vire protestant et dont les acteurs contemporains(puisque ce qui nous intéresse, c'est le contexte actuel) sont à l'image des policiersbritanniques, des agents du système pyramidal aux ordres de la hiérarchie et cantonné aublocage de l'adolescence (le bermuda y est inconsciemment rattaché).

Mais par extension puisqu'on l'aborde presque en filigrane et qu'on flirte avec le phénomène,on peut arriver au fameux triangles des Bermudes :

le triangle des Bermudes est connu pour avoir vu disparaître bon nombre de navires ou avionsqui sont passés à travers ses délimitations géographiques. Aujourd'hui le mystère est élucidé :autrefois à la place des mers se tenaient de vastes forets ou autres marécages, qui en sedécomposant ont produits toutes sortes de substances nauséabondes et stagnantes.Recouverts depuis par les couches sableuses et la mer, il est fréquent que des remontéesgazeuses s’échappant à travers les couches, en arrivant des fonds de la mer vers la surface,défassent la portabilité des navires ou autres embarcations, les faisant ainsi couler, ou enremontant dans les airs, désorientent les pilotes en déréglant les systèmes de navigations voircarrément changent la donne au niveau des rapport appareil/environnement.

De sorte (par le phénomène de défaussement des secrets de familles) on habille les jeunes debermudas, ça paraît simple comme cela mais tout est symbole pour l'homme et chaque chosea une signification. Les Bermudes représentent un rapport de l'homme à son adolescence,dont un conflit non résolu et qui l'oppose à ses parents ou à l'autorité, finit par le dévier de saquête dangereusement jusqu'à le perdre dans son itinéraire de départ, par un fardeauimpropre daté et répétitif dont il n'arriverait pas à se défaire. Beaucoup s'imaginent que laprofession et le titre coïncident avec une grande maturité, mais comment se fait-il que tant detricheurs et de voleurs puissent être présent à de nombreux postes clés ? La plupart despoliticiens ont un rapport au monde tout à fait malsain et puérile, il faut le savoir. Le fait quebon nombre d’élites aient des comptes dans ces fameux paradis fiscaux échappant à toutcontrôle tient bien plus à la pathologie qu'à la sagesse établie.

Pour bien faire comprendre le propos il faut s’intéresser aux trois pointes géographiques quidélimitent la zone en question : la Floride, les Bermudes (déjà décrit) et Puerto Rico.

La Floride:

Extrait wikipedia : «La Floride doit son nom au conquistador Juan Ponce de León, quidécouvre la région au moment du dimanche des Rameaux, en avril 1513. Cette fête est alors

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connue en France sous le nom de « Pâques fleuries » et en Espagne sous le nom de « Pascuaflorida »».

la Floride fait donc référence au dimanche des rameaux, soit l'entrée du Christ à Jérusalempuis la passion qui l'amène à la crucifixion. C'est à l'image de l'enfant qui arrive dans sa familleet son trajet dans le temps, c'est à dire se voir chargé des secrets de familles, sacrifié sur l'auteldu culte du commerce et du luxe, plutôt que suivi dans l’émancipation véritable commeabordé précédemment dans l'ouvrage. On peut pousser jusqu'à Pâques avec la résurrection duChrist qui en pardonnant au travers de cette expérience symbolique , se détache de toutematérialité qui par la colère et la vengeance pour le mal subit, enchaîne l'homme au péchéterrestre.

Pour finir Puerto Rico :

Le 25 septembre 1493, Christophe Colomb prend la mer, à Cadix, avec 17 navires et 1200 à 1500hommes, pour son deuxième voyage. Au cours de celui-ci il découvre Puerto Rico et la baptise« San Juan Bautista », en l'honneur de Jean, Prince des Asturies, (1478-1497), fils de FerdinandII d'Aragon et d'Isabelle Ire de Castille. Il en prend possession au nom de la Couronne deCastille, le 19 novembre 1493 en débarquant sur la plage de l'actuelle ville d'Aguadilla.

Donc au départ l’île s'appelle saint Jean-Baptiste, sous l'impulsion de la catholicité espagnoleen honneur du prince des Asturies, soit dans le fond de la culture, une référence à saint Jean leBaptiste, qui annonça la venue du christ et le baptisa dans les eaux du Jourdain. Puis l’îledevint le port riche et finit aujourd'hui par être un état “libre” associé aux Usa.

On a donc trois aspects (rappelons que chaque chose représente pour l'homme un aspectsymbolique de sa quête d'émancipation personnelle, et que donc les religions sont des basescollectives inconscientes) : le blocage inconscient de l'adulte dans son parcours au sein dusystème et en rapport avec son adolescence (période clé, donc ici les Bermudes, vêtementimpropre), le rapport de son soi propre et de son cheminement au travers de la confrontationfamiliale et le fait de s'en sortir, ou pas, autrement qu'en assumant une quête contrariée, sortede compromis supporté par le fait de ne pas en vouloir à ceux qui vous font du mal en sedéfaussant sur vous (la Floride) et une île symbolisant un port censé être source de bénéficeset de prospérité (le commerce, les navires, la navigation, la richesse), donc possiblementl'issue positive de la quête d’émancipation affiliée.

Ainsi le triangle des Bermudes dans l'inconscient collectif, illustre la difficulté, on le voit parla peur qu'il inspire et les récits qui s'y rapportent, que chacun éprouve dans son rapport aumonde à sortir de son passé, notamment de son adolescence et des fardeaux familiaux qui s'ysont greffés. Finalement les marécages ancestraux et leurs émanations ressortant desprofondeurs, parfois finissent par engloutir les marins ou les aviateurs perdus dans lestourmentes du monde et acculés dans le pire. Mais pour les navigateurs les plus chanceux, ilest possible que l’expérience soit aussi bénéfique.

Ce qui est tout à fait remarquable, c'est que l'ordre établit (Bermudes (enfoncement), Floride(Endurance) et Porto rico (récompense)) dans le cheminement de la quête d'émancipationsuit la route d'arrivée vers les Amériques (donc l'éloignement vis à vis de l'Europe) et celui du

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retour des anciens colons catholiques. Il y avait donc malgré tout une impulsion religieuseforte dans le parcours des colons et aventuriers catholiques, puisque leur parcours suit unelogique d'impulsion spirituelle. Cependant, ne nous y trompons pas, si les anglo-saxons ontprogressivement tout récupéré, cela signifie que la tendance matérialiste aggressive étaitl'impulsion de fond des intentions, la plus pregnante.

Et bien on sait désormais quel est le conflit qui anime nombre de gens qui vont cacher leurargent en bordure de cette zone mouvementée. On notera pour finir que si tous ces lieuxfurent au départ découverts par les catholiques, au fur et à mesure ils se sont transformésassez vite en repaires de pirates esclavagistes issu de la culture protestante, et de fait ennouvelles possessions de la couronne d'Angleterre (ce qui ne défausse pas la partie catholiquepour autant de son implication dans l'esclavagisme non plus). Ils sont tous rattachésaujourd'hui à l'empire anglo-saxon. Ainsi dans ce périple et cet éloignement du à l'impositiond'un fardeau impropre, c'est le défaitisme mais aussi la malhonnêteté qui prédominentaujourd'hui, ces endroits sont donc en partie des repères de voleurs et de gens de mauvaisefréquentation (au niveau des paradis fiscaux qu'ils représentent s'entend).

Le point le plus important outre la symbolique de ces endroits, c'est l'établissement descolons anglais via l'esclavage et qui pose les bases d'une future confrontation entre vieilleAngleterre raciste, très pro-sioniste et résiduel catholique.

3) les récits anglo-saxons et phénomènes particuliers de cette culture :

Pour comprendre pourquoi les anglo-saxons et surtout les anglais en général sont ce qu'ilsont, il faut se pencher sur les contes qui ont bercés leur petite enfance et qui sont nimbés dela mythologie nordique, on a quelques surprises :

Jack et le haricot magique (extrait wikipédia):

«Dans la version du conte donnée par Jacobs, Jack est un garçon qui vit seul avec sa mère, quiest veuve. Leur seul moyen de subsistance est le lait que donne leur unique vache et qu'ilsvendent au marché. Un matin, ils se rendent compte que leur vache ne donne plus de lait. Lamère de Jack décide alors d'envoyer son fils la vendre au marché.

En chemin, Jack rencontre un vieil homme à l'allure étrange et qui salue Jack en l'appelant parson prénom. Il parvient à convaincre Jack d'échanger sa vache contre des haricots qu'il dit «magiques » : si on les plante pendant la nuit, le matin ils auront poussé jusqu'au ciel ! QuandJack revient chez lui sans argent mais avec, seulement, une poignée de haricots, sa mère semet en colère et jette les haricots par la fenêtre. Elle punit son fils pour sa crédulité enl'envoyant au lit sans souper.

Tandis que Jack dort, les haricots germent dans le sol et, au matin, une gigantesque tige deharicots a poussé à l'endroit où ils ont été jetés. À son réveil, quand Jack voit l'énorme tigemontant jusqu'au ciel, il décide sur-le-champ de grimper à son sommet.

Tout en haut, il trouve une large route, qu'il emprunte, et qui le conduit à une grande maison.Sur le seuil de la grande maison se tient une grande femme. Jack lui demande de lui offrir à

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déjeuner, mais la femme le met en garde : son mari est un ogre et, si Jack ne tourne pas lestalons, c'est lui qui risque de servir de déjeuner à son mari. Jack insiste, et la géante luiprépare à manger. Jack n'est pas arrivé à la moitié de son repas, que des bruits de pas se fontentendre, qui font trembler toute la maison. La géante cache Jack dans un four. L'ogre arriveet, immédiatement, il sent la présence d'un humain : La femme de l'ogre dit à celui-ci qu'il sefait des idées et que l'odeur qu'il sent est sans doute celle des restes du petit garçon dont ils'est délecté la veille. L'ogre s'en va et, alors que Jack est prêt à sauter de sa cachette et àprendre ses jambes à son cou, la géante lui dit d'attendre que son mari soit en train de faire lasieste. Après que l'ogre a mangé, Jack voit celui-ci prendre quelques sacs dans un coffre etcompter les pièces d'or qu'ils contiennent jusqu'au moment où il s'est endormi. Alors, Jacksort du four sur la pointe des pieds, et il s'échappe en emportant l'un des sacs d'or. Il descendla tige de haricots et ramène l'or à sa mère.

L'or permet à Jack et à sa mère de vivre pendant un certain temps, mais arrive un moment oùil n'y en a plus, et Jack décide de remonter en haut de la tige de haricots. Sur le seuil de lagrande maison, il trouve de nouveau la géante. Elle lui demande si ce n'est pas lui qui est déjàvenu, le jour où son mari s'est aperçu que l'un de ses sacs d'or manquait. Jack lui répond qu'ila faim et qu'il ne peut pas lui parler tant qu'il n'a pas mangé. La géante, de nouveau, luiprépare un repas... Tout se passe comme la fois précédente mais, cette fois, Jack parvient àdérober une poule qui, à chaque fois qu'on dit « ponds », pond un œuf d'or. Il la ramène à samère.

Bien vite, Jack, insatisfait, éprouve l'envie de remonter au sommet de la tige de haricots. Unetroisième fois, il escalade donc la tige mais, au lieu d'aller tout droit jusqu'à la grande maison,quand il arrive près de celle-ci, il se cache derrière un buisson et attend, avant d'entrer chezl'ogre, que la géante soit sortie chercher de l'eau. Dans la maison, il se trouve une autrecachette, dans un « marmite » Le couple de géants revient. Encore une fois, l'ogre sent laprésence de Jack. La géante dit alors à son mari de chercher dans le four, car c'est là que Jacks'était caché auparavant. Jack n'y est pas, et ils se disent que l'odeur est sans doute celle d'unefemme que l'ogre a mangé la veille. Après le déjeuner, l'ogre demande à sa femme de luiapporter sa harpe d'or. La harpe chante jusqu'à ce que l'ogre se soit endormi, et Jack, alors, enprofite pour sortir de sa cachette. Au moment où Jack s'empare de la harpe, celle-ci appelleson maître l'ogre avec une voix humaine, et l'ogre se réveille. L'ogre poursuit Jack, qui s'estemparé de la harpe, jusqu'à la tige de haricots. L'ogre descend la tige derrière Jack mais, unefois que Jack est arrivé en bas, vite, il demande à sa mère de lui donner une hache, dont il sesert pour couper l'énorme tige. L'ogre tombe et « brise sa couronne ».

Jack montre à sa mère la harpe d'or, et grâce à elle, et en vendant les œufs d'or, ils deviennenttous les deux très riches. Jack épouse une grande princesse. Et ils vivent par la suite heureuxpour toujours».

Pour simplifier, on a encore une illustration de l'incitation des masses populaires(probablement par les sionistes de l'époque) à dégrader la monarchie (ce qui ne fait pas de lamonarchie quelque chose de bien, qu'on soit d'accord) et donc à jouer sur plusieurs tableauxen même temps à leur profit (parce qu'on peut être sur que dans le même temps, s'il s'agitbien des sionistes, qu'ils s’attellent à passer de la brosse à reluire aux monarques). En réalité iln'est pas difficile de constater qu'à la même période la monarchie anglaise va perdre une

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bonne partie de ses prérogatives, au profit des classes riches inférieures. Par effet de domino,c'est probablement, du reste, ce qui va entraîner la révolution française. C'est un peu dur àcomprendre comme cela à première vue, mais nous allons détailler la chose afin que celadevienne plus évident.

Le haricot c'est le symbole d'une lutte mal tournée, vaine et dégradante, le ciel, c'est lesommet de la société et le but c'est de faire tomber la monarchie au profit non pas du peuplevertueux, car Jack agit de la sorte pour alimenter sa mère dont la vache ne produit plus de lait,mais du peuple dans son aspect vulgaire (féminin mal tourné, organique primaire, stérile,improductif (pas de père pour ordonner)). C'est une dégradation intentionnelle d'unmouvement sophistiqué (la monarchie) vers un autre plus grossier (les deux sont mauvaisdans l'absolu). Ainsi, il est possible (mais pas certain) que le personnage mystérieux quiconnaît Jack et lui donne les Haricots magiques, soit un sioniste de l'époque, une image del'auteur original du conte, qui travaille à une régression générale au profit de sa communautéet de la résurgence d'un rêve lointain (et qui est un cauchemar pour les autres).

Ce conte frappe par plusieurs aspects et qui sont au cœur du problème anglo-saxon : d'abordle fils vit seul avec sa mère (c'est récurent, avec le Da Vinci code, ou le phénomèneNightingale qui seront abordés plus tard, il y a quand même anguille sous roche dans lesproblèmes d'émancipation au sein de cette culture). Ensuite c'est le fait que ce jeune hommene connaisse ni l’honnêteté ni la reconnaissance, l'ogresse lui a ouvert sa porte et offertl'hospitalité et tout ce que Jack (un prénom lié au banditisme et à la piraterie) trouve à fairec'est de la voler. Et il va recommencer, encore et encore parce que la superficialité de sa mère(dont la vache ne produit plus de lait), le gaspillage systématique de la fortune volée et soninsatiabilité, l’entraînent à tomber dans la facilité. Cela va aller jusqu'à provoquer la mort del'ogre pour s'approprier sa fortune. (C'est exactement ainsi que fonctionne l'empire anglo-saxon avec l'héritage chrétien européen : vous noterez qu'à chaque crise économique que cescultures provoquent, la Grèce (le berceau de la culture originelle) est dégradée (que ce fut en36 par les agences de notation américaines pour maquiller a crise de 29 ou actuellement), etun peu plus absorbée. L'économie est un phénomène subtil mais traçable, nous aborderons laretranscription économique de ces mouvements antagonistes plus tard). Mais le phénomènede dilapidation de l'héritage exposé indirectement dans ce conte, fonctionne à tous lesniveaux, ainsi la dilapidation de la fortune de la famille Bettencourt en France suit la mêmelogique : un gay pseudo photographe et des politiciens intéressés, ont véritablement fait lespoches d'une vieille dame sénile et au détriment de son héritière légitime. Il n'est pasuniquement question de meurtre du père, mais de dilapidation d'héritage et de curée par desmouvements extérieurs.

Si l'on se recentre sur l'Angleterre de l'époque, ce conte peut se voir selon plusieurs aspectsdont les deux principaux sont les suivants : c'est l'initiation d'un mouvement révolutionnairelâche et hypocrite par la manipulation d'une nouvelle génération induite en erreur dès sonplus jeune age (le petit peuple est incité à se venger bêtement de la situation à laquelle il setrouve cantonné sans faire d'effort de fond, ni de détachement). La propagande auprès dupeuple sur cette période ou il n'y avait pas de médias tels que nous les connaissonsaujourd'hui, passait par l'écriture, et ce sont les enfants qui étaient ciblés pour venger unepopulation visiblement méprisée par les élites. Mais ça peut-être également la retranscriptiondu fait que la monarchie anglaise est en train de se faire progressivement dégrader par son

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manque de maturité et de courage de fond. Ainsi la vache à lait stérile ne serait que laretranscription de la platitude monarchique de l'époque (une retranscription de lacontrepartie matérielle de la monarchie vivant dans le ciel et sa réalité de fond illustrée par lacondition de Jack et sa mère au bas).

En réalité on peut faire aussi deux analyses encore différentes, on peut dire, pourquoi pas, queles anglais vivent au crochet de la culture gréco-romaine dans la proposition spirituelle qu'elleest censée exposée, et que trop creux pour construire quoique ce soit de profond, la seuleméthode qu'ils ont trouvé, c'est dilapider les acquis de la catholicité et d'une manière plusélargie de la chrétienté au fur et à mesure (d'ailleurs c'est la prolongation du mêmephénomène auquel on assiste aujourd'hui, une fois tout gaspillé que va-t-on faire ? Une foisl’Iran détruit, l'or volé, et la chrétienté démolie what next ?) (et là on comprend par exemplel’époque caribéenne et par ailleurs la perfidie que certains français ressentent dans leurrapport à cette culture).

Mais on peut aussi simplifier l'analyse en la rapportant à l’héritage culturel (puisque que lesgéants sont une partie récurrente de la culture anglo-saxonne, par leurs origines nordiques).Cette manière de faire est tout à fait concordante avec le fait, qu'en parallèle, ces barbareseffroyables qui descendaient vers le sud de l’Europe, pillaient les villages et les villes puisdétruisaient tout sur leur passage, avant de remonter chez eux. Une fois les richessesgaspillées, ils recommençaient. Trop immatures pour s’émanciper, leur modèle superficiel n'apu se construire que sur le vol et la détérioration des autres cultures.

On peut aborder le personnage mystérieux qui lui donne les haricots magiques géants dudébut (haricots ça veut bien dire ce que ça veut dire, donc ce conte ne fait pas l'apologie deJack mais semble être une bien étrange énigme) et qui peut-être au choix le diable ou toutautre personnage mal intentionné. Dans le cas ou c'est bien également (par juxtapositionparallèle) la culture gréco- romaine et les acquis christiques qui seraient visés, ce personnagepourrait être aujourd'hui tout autant sioniste, néo-conservateur protestant ou banquierd'affaire. Et si on revient à l'inceste qui est plus propre à quelque chose de l'ordre du rapportintérieur au départ, c'est que pour couvrir l'immaturité de sa mère, Jack s'attache à détruireprogressivement les acquis de la monarchie anglaise au profit d'un gaspillage de complaisancesuperficielle. Le fait que le géant brise sa couronne en tombant fait pencher pour le fait quel'histoire a du être produite dans un contexte spécial. Et en effet... .

Si certains trouvent cette analyse farfelue ou éparse, on peut remarquer que ce récit (commeun autre assez similaire, Jack le tueur de géants, qui lui se distingue par la propensionmeurtrière compulsive du héros à massacrer les géants, mais qui est basé sur la mêmedéfaillance de fond ) est issu du début du 18ième siècle (l'empire anglo-saxon débute avec cequi est considéré comme le premier conflit mondial, la guerre de sept ans et qui voitl'Angleterre s'imposer contre la France et l'Espagne, ainsi on comprend un peu mieux quipourraient être les géants de l'histoire).

Les origines de Jack et le Haricot magique sont incertaines. On peut voir dans une versionparodique parue dans la première moitié du XVIIIe siècle une première variante littéraire del'histoire. En 1807, Benjamin Tabart publie à Londres une version moralisée, plus proche de laversion connue actuellement. Par la suite, Henry Cole popularisera l'histoire dans The Home

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Treasury (1842), et Joseph Jacobs en donnera encore une autre version dans English Fairy Tales(1890).

Pour remédier à l'immaturité du système britannique, et notamment, comme ça ne s'est pasarrangé dans le temps, plus tard de la reine Victoria, dans sa propension à ne pas réussir oune pas vouloir s’émanciper (par rapport à la quête d’émancipation de fond et la résolution desconflits intérieurs), certains ont utilisé le vieux créneau non avoué, mais à peine caché, selonlequel le fait d'aller voler et dépouiller d'autres cultures pourraient permettre de renflouer lescaisses, et d'autres encore avec des projets bien différents, les ont fortement encouragés àpoursuivre dans cette erreur tout du long. Les scientifiques issus de cette époque et leurthéories sont donc à prendre avec précaution, beaucoup d’éléments peuvent être teintésd'erreurs et induire des notions marquées par le complexe, donc le suprématisme et lesacrifice des plus faibles (je pense notamment à Darwin).

En lisant l'histoire de Jack et le haricot magique, on comprend aisément pourquoi parextension historique, les pays anglo-saxons se sont tous mis d'accord pour attaquer l'Irak etont accusé la France d'être hypocrite et belliqueuse. Ces gens sont tout simplement inversés.La prédation, le mensonge, le meurtre et le vol font parti de leur culture. (Si la versionoriginale de ce conte est antérieure à la révolution française, on peut se poser des questionssur le fait que le géant qui perd sa couronne pourrait bien être après la glissade anglaise, Louis16 par effet de domino, il serait intéressant de retrouver l'auteur de l’œuvre initiale, ce quiappuierait ou pas la thèse selon laquelle ce sont bien les anglais qui auraient été derrière lachute de la monarchie catholique, avant de constater que cela n'allait pas du tout dans le sensde leur intérêt avec Napoléon, tout doit être envisageable). En fait pour éviter d'êtr renversépar son propre peuple, il ne serait pas du tout étonnant que les élites anglaises aient déviéscette dynamique dégradante à l'extérieure sur une culture antagoniste : la monarchiecatholique. En effet quand on se penche sur l'histoire de la marseillaise, on s'aperçoit qu'àl'origine, ce chant fut écrit en réponse à une invasion par le nord est de diverses armées,fomentée (c'est à dire finançée) par les anglais contre la France. Il est tout à fait étonnant quedans le temps, ce chant se fut retrouvé retourné contre le roi catholique.

Mais pour arrêter de spéculer sur telle ou telle possibilité, Jack et le haricot magique est avanttout l'illustration d'une mécanique bien rodée : inciter les classes aisées à déporter leur conflitinterne vers l'extérieur et monter la jeunesse délaissée contre elles dans leur dos. Ainsi Jack etle haricot magique est un peu le Woodstock ou le mai 68 de son époque, à savoir une époqueou la couronne britannique fut incitée à se plonger dans ses erreurs extérieures (contre laFrance et l'Espagne catholique notamment) au détriment de la résolution des ses problèmesinternes, alors que dans le même temps, on incitait la jeunesse et la base populaire à serebeller. Le géant qui perd sa couronne, dans ce cas de figure aurait du être alors la monarchieprotestante et Jack le petit peuple, on voit ce que ça a donné ensuite en France si l'effet dedéportation par les anglais de leur problème interne est bien celui observé au travers del'histoire de cette période (bien que la culture catholique de fond dans la culture française aitproduit quelque chose d’inattendu et de quelque peu différent suite à la chute de Louis 16).C'est une époque pénible quoiqu'il en soit, on peu la prolonger un peu en abordant la grandefamine d'Irlande (concomitante avec l'épopée Victorienne), ou il n'est pas impossibled'envisager que le mildiou fut utilisée comme arme bactériologique par les protestantsbritanniques pour décimer les Irlandais catholiques ou de toute façon de langue gaéliques. Il

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ya véritablement un dégradation de la chrétienté catholique à cette époque et qui a péché parses erreurs de déportation aux Amériques, par le protestantisme anglo-saxon.

Quoiqu'il en soit Jack et le haricot magique emprunte sa base de récit aux contesmythologiques nordiques et renvoie à la lutte contre les géants qui jalonne les mythes dunord de l'Europe. Cependant apparait quelque chose de tout à fait particulier et qui, pour mapart, me fait penser que certains de ces contes sont d'origine juives sionistes : la faculté qu'acette communauté d'utiliser l'imaginaire et les histoires pour manipuler les générations dèsleur plus jeune age, comme elle le fait aujourd'hui au travers des médias et du cinéma, sembleporter la même signature et donc ne pas dater d'hier... . Nous reviendrons plus tard pourdétailler le propos, sur les préocupations du conseiller et 1er ministre de la reine Victoria,dIsraeli que nous couplerons avec le phénomène Nightingale.

Si on veut aller plus loin, au cœur du problème anglo-saxon, il faut pouvoir identifier demanière subtile un point particulier qui les identifie comme défaillants dans leur rapportd'émancipation intergénérationnel, et l'on arrive à le discerner par l'observation de leursécrits contemporains. J'ai travaillé pour le mettre en relief sur le Da Vinci Code :

Passons sur le fait que d'après l'auteur tous les chefs et leaders français étaient petits,belliqueux, manipulateurs, égoïstes et arrogants (celui qui correspond le mieux aujourd'hui àce profil c'est probablement Nicolas Sarkozy, or c'est le moins Français du lot, le plusillégitime et c'est celui que les anglo-saxons ont le plus apprécié, et pour cause il était à leursolde (entre autre)), c'est surtout insulter et souiller le catholicisme dans son ensemble qui estassez navrant. La plupart ne se sont pas rendu compte que de sous entendre que le disciple deJésus le plus jeune et dont à l'époque les peintres les représentaient sous des traits adoucis,Jean, était la maîtresse du Christ voir qu'elle lui enseignait, induisait deux choses : unerégression pornographique dans la non émancipation incestueuse et la disparition de l’élanchristique dans son aspect le plus innocent. L'auteur stipule qu'il s'agissait de Mariemadeleine, celle ci porte en parti le même prénom que celui de la mère de Jésus (c'était seloncertaine source à la base une prostituée), or avec l’étude de l’époque Victorienne, on sait queles anglo-saxons sont touchés par le syndrome Nightingale* (voir plus bas), faire passerl’apôtre Jean pour Marie Madeleine, c'est substituer à l’élan christique le plus jeune, unerégression puérile cantonné à la pornographie de l'inceste, or qui vit sous la domination d'unereine superficielle et n'arrive pas à s'en émanciper sinon les anglais ? cela revient à fairecoucher le christ avec une version puerilisée et soumise de sa mère, et ce dans le moins piredes cas, parce qu'on peut toujours penser que la perversité ou la pathologie de Brown, induitsimplement que le Christ version universitaire anglais, avait une liaison avec son disciple leplus jeune (parce que d'embrouiller l’histoire en faisant passer Jean pour une versionprostituée de sa mère avec laquelle il aurait une liaison, cela fait quand même penser à unesorte d'accusation inversée à peine maquillé sur l'homosexualité supposée du Christ, or cecomportement est typiquement anglo-saxon) tout ça est assez calculé (le personnage roux duroman ressemble à mon avis à l'auteur lui même) et le but est de contaminer les autres parinsanité mentale ou de les insulter de manière subtile.

Extrait wikipedia relatant du thème du roman et non de la réalité: «Le thème central du DaVinci Code est la lutte secrète entre les instances dirigeantes de l'Église catholique romaine etle Prieuré de Sion. L'objet de cette lutte est un secret connu des deux organisations, à savoir la

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paternité du Christ. La divulgation de ce secret menacerait le pouvoir de l'Église et risqueraitd'ébranler les fondements de la civilisation occidentale. Soucieuse de conserver son pouvoir,l'Église semble donc chercher à détruire tout détenteur du fameux secret (dont le Prieuré),tandis que les membres du Prieuré luttent pour la préservation de ce même secret, qu'ils setransmettent de génération en génération. Sont par ailleurs évoquées en arrière-plan les deuxidées selon lesquelles l'Église Catholique, voulant acquérir et garder le pouvoir, s'estinterposée et imposée comme intermédiaire entre l'homme et Dieu, et l'union sexuelle, quilaisse toute la place à l'altérité homme - femme et qui est un moyen privilégié d'entrer encontact direct avec Dieu (voir la scène du Hieros Gamos, Union sacrée), est déclarée péché».

Là on est dans l'inversion totale des valeurs émancipatrices par l'apologie de la complaisancepornographique, en ayant le toupet de faire croire que le sexe permet plus facilement d'entreren contact avec le Divin. Mettons les choses au clair, dans le couple, pour simplifier dans lesgrandes lignes, la femme c'est le principe de base pulsionnel, organique et émotionnel quel'homme cherche à satisfaire et/ou à améliorer par la logique et l'ordonnancement du mondeextérieur. La femme c'est la base, la pensée, l'observation, l'inspiration, l'homme, l'action, laraison et donc il explore le monde pour alimenter et faire évoluer son principe de base. Cequ'induit le roman, c'est la complaisance dans l’émotionnel et le pulsionnel en rattachant lespirituel de la quête d’émancipation à l'organique dont il doit s'extraire. On est au cœur de lalutte entre un protestantisme de moins en moins chrétien et surtout de plus en plus juif, quicherche à contaminer les autres par la pornographie immature de son incapacitéd'émancipation à la mère (prieuré de Sion donc connotation de la déportation extérieure), etune catholicité devenue trop aveugle pour pouvoir se défendre.

Ces insultes masquées sont foison chez les anglo-saxons, ils accusent systématiquementautrui d'être atteint de la manifestation de leur propres problèmes et essaient de contaminerles autres de leur pathologie par toute sorte de procédés détournés. C’était surtout évidentsous la présidence Chirac ou la France a ridiculisé la coalition de menteurs qui ont contribué àla mort de près d'un million d'Irakiens, sans compter les milliers de leur propres soldats (l'Irakou tous les jours les attentats meurtriers se produisent actuellement). Non pas tant que laFrance ait été forcement vertueuse (le Rpr finançait son parti via les Hussein, peut-être laFrance voulait elle se complaire plus longtemps que les autres dans ces systèmes avant de fairepareil mais peut-être était-elle simplement encore pro arabe et pro palestinienne, ce quiparait quand même plus sain pour un pays Chrétien catholique que pro sioniste), néanmoinsAujourd'hui ni Bush ni Blair ou aucun membres de leur administrations n'ont été inculpé dequoi que ce soit. Et ce n'est pas, pas vu, pas pris, ils ont tous admis avoir menti. Que voulezvous les anglo-saxons jouissent d'un privilège divin, qui fait qu'ils n'ont pas à rendre decompte pour quoi que ce soit, ni même dans ce cas de figure, pour crime contre l'humanité(depuis 1990 et l'embargo occidental et jusqu'à aujourd'hui, combien de mort y a t-il eu enIrak à cause des politiques néoconservatrices notamment ?). Nous vivons dans de bellesdémocraties... .

Pour en finir avec le Da Vinci Code, sa sortie en 2003 ne doit rien au hasard puisque c'est ladate à laquelle les Usa envahissait l'Irak. La perfidie des universitaires anglo-saxons (DanBrown vient de cet univers) consiste aussi à manipuler l'inconscient collectif sous forme depropagande maquillée par de la littérature de pacotille. Rappelons que les rites des Skulls andbones (confrérie de petits satanistes universitaires fortunés dont le père de Georges Bush fut

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un membre éminent comme son fils) qui par exemple consistent à se servir de crâned'ennemis défaits pour leur rituel (en l’occurrence ici un chef indien) renvoie directement auxcoutumes les plus sombres des barbares nordiques des anciens temps.

Il me faut préciser deux chose, j'aborde des tendances générales, il est des personnes tout àfait prodigieuses dans chaque culture cela va de soi et qui se détachent de ces généralités,ensuite il ne faut pas confondre sophistication et progrès de fond. La sophistication desmoyens couplée au culte de la science, développée souvent par les dégradations militairesopérées à l’extérieur, bien qu'en apparence séduisante ruinent progressivement l'âmehumaine par l'absorption artificielle. Certains sont tellement ancrés dans une négation dessecrets de familles et dans le culte de la façade et de l’objet de compensation, que ceux-ci lesdéforment lentement mais sûrement.

Syndrôme Nightingale et féminisme imposteur.

Le phénomène Nightingale est également un des aspects déficients de la cultureanglosaxonne, et comme il est ancré historiquement dans une processus collectifcontaminateur, une étude du mécanisme est nécessaire :

«La guerre de Crimée, commencée en 1853, oppose la Russie à une coalition formée del'Empire ottoman, de la Grande-Bretagne et de la France. Les troupes britanniquescommencent à partir au début de 1854. Avant même d'atteindre le front, elles subissent despertes considérables dans le camp de transit de Varna où sont regroupés 60 000 soldatsfrançais et britanniques. Environ 20 % sont atteints par le choléra, la dysenterie ou d'autresaffections. Plus de 1 000 soldats britanniques meurent à ce moment. Après la bataille del'Alma en septembre, les blessés sont victimes des lacunes dans le transport vers l'hôpitalmilitaire installé à Scutari (aujourd'hui Üsküdar à Istanbul). Mais contrairement à ce qui sepassait auparavant, il y a maintenant des correspondants de presse pour informer l'opinionpublique, en particulier William Howard Russell, du Times, un des premiers correspondantsde guerre modernes. Celui-ci insiste notamment sur la différence entre les services sanitairesde l'armée britannique et ceux de l'armée française, mieux organisés».

«Le 21 octobre 1854, Nightingale et un groupe de 38 infirmières volontaires, incluant sa tanteMai Smith, sont envoyées en Turquie, à environ 545 kilomètres de Balaclava en Crimée, del'autre côté de la mer Noire, où est basé un camp britannique. Nightingale arrive débutnovembre 1854 à la Caserne Selimiye à Scutari. Les infirmières trouvent des soldats blessésnégligés par un personnel médical débordé face à l'indifférence des officiers. Les réserves demédicaments sont limitées, l'hygiène négligée et les infections de masse courantes, la plupartd'entre elles étant fatales. Il n'y a de plus aucun équipement pour préparer la nourriture despatients. Nightingale et ses compatriotes commencent par nettoyer complètement l'hôpital etl'équipement et par réorganiser les soins aux patients. Cependant, au début de son séjour àScutari, le taux de mortalité ne diminue pas ; au contraire, il se met à augmenter. Le nombrede morts dépasse celui de tous les autres hôpitaux de la région. Pendant l'hiver 1854-1855,4077 soldats trouvent la mort à Scutari, dix fois plus en raison de maladies, telles que letyphus, la fièvre typhoïde, le choléra et la dysenterie, que de leurs blessures de combat. Lesconditions régnant à l'hôpital militaire temporaire sont fatales aux patients à cause dusurnombre, d'égouts défectueux et d'un manque de ventilation. En mars 1855, près de six mois

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après l'arrivée de Nightingale, le gouvernement britannique doit envoyer une commissionsanitaire à Scutari. Les égouts sont nettoyés et la ventilation améliorée ; le taux de mortalitédiminue alors rapidement. Une réunion publique, organisée le 29 novembre 1855 et visant àfaire reconnaître le travail qu'elle avait effectué pendant la guerre, conduit à l'établissementdu Nightingale Fund (Fonds Nightingale) pour la formation des infirmières. Les donationsaffluent. Sidney Herbert est nommé secrétaire honoraire, et le duc de Cambridge présidentdu fonds. Nightingale est accueillie en héroïne à son retour en Grande-Bretagne le 7 août1857. D'après la BBC, elle est de toute évidence la femme alors la plus célèbre après la ReineVictoria elle-même».

Il est étrange qu'une femme qui en terrain étranger au contraire d'inverser la tendance,coïncide avec l'augmentation du nombre de victimes, soit traitée en héroïne à son retour aupays. Visiblement seule la reine d’Angleterre a fait mieux à l’époque en terme d’hécatombe parses choix de déportation douteux. Ce qui est important c'est surtout l’époque colonialiste(l’époque Victorienne) et bien sur l'impact que cela a eu sur l'Europe par la suite. Autrementdit si l'on revient à aujourd'hui, époque de néocolonialisme prononcée, on peut s'attendre à ceque les mêmes causes produisent les mêmes effets. Si la grande Bretagne a gonflé pendant lerègne de la reine Victoria jusqu'à devenir un empire énorme, c'est surtout par incapacité às’émanciper chez elle. Ainsi la reine Victoria et Florence Nigthingale ont elles des pointcommun, le féminisme progressiste déjà à l’époque était confondu avec l'immaturité. En sedéfaussant de leur problèmes à l’étranger, quitte à y sacrifier une partie de leurs forces vives,peut-être les anglais pensaient pouvoir s'en tirer et continuer à prolonger leur système (par lacontamination de leur symptôme aux quatre coins du monde, sans rien arranger à l’intérieur),d'ailleurs en parallèle du phénomène Nightingale il y a les guerres de l'opium, c'est dire sicette pionnière devait être fiable, on peut se demander à quoi servaient ces statistiques endéfinitive. Les anglais de l'époque avaient conscience malgré tout que le règne de la reineVictoria était placé sous le signe de l'immaturité puisque qu'il est évident que le déportationdes conflit internes par les conquêtes extérieures ne relevait que de l'incapacité de résoudreles problèmes au cœur du pays. Ainsi les affiches de l'époque montraient la reine encompagnie de son ministre sioniste Disreali qui proposait à la reine d’échanger sa couronne dereine d’Angleterre contre celle d’impératrice. Ce n'est pas un hasard si le féminisme apparaît àcette époque et est déjà confondu à tort avec le progrès. En réalité le féminisme tel qu'il estvanté par la société de consommation (dont les tenants se sont toujours exprimés par le baisd'intellectuels douteux soigneusement mis en avant) n'a toujours été que la manifestationd'une immaturité chronique. Florence Nightingale (qui a donné un syndrome bien connu enpsychanalyse) en est un bon exemple. De père épidémiologiste, cette infirmière dont le credoétait de ne pas se marier avec quelqu’un de sa classe pour faire front à ses parents, tant vantépour ses efforts à l’époque notamment à l’étranger, n'a pourtant sur les faits et le terrain (etmalgrè la mise en place d'études statistiques pour améliorer l'organisation des taches) pas dutout contribué à améliorer la situation bien au contraire. Comment prétendre aider les gensailleurs quand on est pas capable de s'aider soi même chez soi... .

Comme on l'a vu précédemment, le système de defaussement interne induite par la nonémancipation, confine à la folie et la violence, ainsi l’époque victorienne voit, parrécalcitrante à l’émancipation, l'expansion coloniale anglaise, qui incapable de résoudre sesproblèmes internes, va contaminer les autres en diffusant son mode de vie pour échapper àses contradictions internes. Quelqu'un qui n'arrive pas à se guérir lui même est assez mal

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placé pour soigner les autres... Mais il y a toujours plus malin que soit, et finalement enconseillant habilement les anglais à persister dans leur blocage maladif donc impérialiste, lesjuifs voyaient leur rêve Disraeli, pardon d'un Israël promis se rapprocher.

Il est sidérant de constater qu'en parallèle du phénomène Nightingale, Disraeli publiait unlivre qui cadrait tout à fait avec le personnage de l'infirmière (extrait wikipedia) : «Sybil or theTwo Nations», en 1845, ou il avançait notamment, pour le regretter, que la reine Victoriarégnait non sur une « communauté » mais sur un « agrégat » de deux nations, « les Riches etles Pauvres », « deux nations entre lesquelles il n'y a ni relation ni sympathie ; qui sont aussiignorantes des coutumes, des pensées et des sentiments l'une de l'autre que si leurs habitantsappartenaient à deux planètes différentes». Étrange que cela concorde avec les aspirations deNightingale, celle ci ne serait elle que le produit de l'influence de Disraeli sur la reine Victoriapar le vecteur de l'inconscient collectif ? L'idée pouvait très bien à l'époque consister en uneinduction à la régression collective. Pour faire une comparaison avec la partie actuelle del'histoire et faire un peu de provocation, la reine Victoria ainsi que Florence Nightingalefurent probablement les Annie Hall de leur époque et Disraeli, le Woody Allen juxtaposé.Cette réflexion ne va certes pas plaire aux monarchistes protestants anglais, ni à certainshistoriens outre manche très fiers de leur histoire mais elle n'est pas totalement dénuée defondement... . On comprend mieux le rapport avec la sortie du conte Jack et le haricotmagique dans ce contexte : le haricot étant la quête stérile du colonialisme parfaitementidentifié par l'auteur, qui en profite pour inciter le peuple délaissé à faire les poches à lamonarchie protestante (chose que les élites anglaises ont paré en déviant le mouvement enFrance par l'initiation des franc-maçons dit les lumières, qui renversèrent le roi catholiquepour permettre probablement à la monarchie protestante de sauver ses bijoux).

Il me faut expliquer le processus de blocage des anglo-saxons dans la décomposition de leurfonctionnement inconscient de base pour ce qui est de leur caractéristique la plus répandue(et c'est un mécanisme touchant les autres cultures mais à des degrés divers selon l'endroit) :

soumis à l'autorité (elle même complexée, car pour vouloir asseoir sa domination il faut êtrecomplexé, c'est le fait d'être soi même tributaire d'un passé conflictuel non surmonté face àl'autorité parentale qui induit de reproduire ce schéma pour se défausser et (faussement)surmonter son complexe (en s'en dérobant temporairement par la tricherie); pour le direautrement j'ai besoin de dominer parce que je suis le sous fifre de mes parents ou je l'ai été, etque je n'ai pas surmonté le complexe qui en est issu, d'une manière ou d'une autre),travaillant donc à son service pour lui permettre de propager sa soif d’hégémonie maladive etqui peut s’étendre à l'infini (tant que le complexe initial est ignoré et les problèmes affiliés,sans cesse éludés et repoussés), reproduisant le mécanisme à leur niveau, en le défaussant etle répandant à la multitude par la propagation de leur mode de vie superficiel ailleurs(cantonnement au commerce, au culte de l'objet et de la personnalité). Cherchant en parallèleà démolir tout mouvements antagonistes ou réfractaires de quelque manière que ce soit, ets'enfonçant dans les sables mouvants de la dette et l'alienation de la sophistication.

Avec ça vous comprenez l’époque Victorienne...

(symbolisée par l’entêtement d'une reine immature et dont Disreali le sioniste, fut l'habilemarionnettiste, l’Angleterre s'est hypocritement intéressée aux peuplades soit disant

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inférieures pour ne pas avoir à résoudre ses problèmes internes, mais comment aider despeuples inférieurs quand on est pas capable de se soigner soi même (c'est l'effet FlorenceNightingale (contemporaine de la reine Victoria), dans sa plus véritable signification, lapropagation de ses problèmes ailleurs et la contamination d'autrui pour se défausser soimême, en prétendant l'aider))

...et l'american way of life.

Les Usa prennent exactement le même chemin d'une manière plus grossière, et la finalité dela chose pointe à l'horizon. Car le colonnialisme anglais couplé au culte de la science, amène àla guerre de 14-18 (ou les allemands moins impliqués ont été ciblé pour payer la note) puisayant reussit à masquer leur défaillance de fond par une guerre de masse en s'entetant dansles erreurs, on s'aperçoit que l'aspect etiré de leur déportation (soit les Usa) vont arriver aprèsune deuxième guerre de masse qui va détruire l'Europe et surtout l'est, à prendre le leadershippour continuer la mascarade. Et on passe bien du charbon de l'ère industrielle anglaise aupétrole de l'ère technologique américaine : il y a donc bien dans le fond de l'histoire unenfoncement dégradant dans les erreurs de déportation. Nous aborderons plus tard et plus endétail, la symbolique du charbon et du pétrole pour mieux cerner le problème exposé ici.Comme tout cela reste au service d'un culte superficiel, il y aura encore de graves criseséconomiques et de graves conflits pour les masquer, or Israel, le royaume de Juda, ne cesse decroître au fur et à mesure... .

Petite précision, le capitalisme c'est aussi la reproduction du système monarchiste dans sapropension possessive matérialiste et étendue à la multitude, je veux posséder et je n'en aijamais assez, en contrepartie du fait que je prolonge les secrets de famillesinconditionnellement, je veux bien être soumis à l'autorité parentale (au niveau inconscient)mais je veux faire pareil à mon niveau (le fait d’asseoir sa domination induit la notion devoyou, car soumis et donc incapable de me réapproprier ma vie propre, de fait cloîtré dans leblocage matérialiste initié par une tierce personne (ses parents en général au départ), jecherche un autrui à déposséder à mon tour (Halloween*). De fait c'est bien la nonémancipation parentale sur le modèle monarchiste (et notamment protestant) qui est lacause de la pathologie capitaliste car elle n'en est que l'apect économique propagé. Et touteles guerres provoquées n'ont eu depuis pour but que de préserver la possibilité à l'empireanglo-saxon d’étendre sa superficialité consumériste pour combler un puit sans fond.

Par la signification d'Halloween et le comportement des enfants, on peut comprendre unprocessus proche et étendu cette fois à pratiquement tous les anglo-saxons y compris auxcultures catholiques irlandaises (extrait wikipédia):

«Jack-O'-Lantern est probablement le personnage le plus populaire associé à Halloween. Ilnous provient d'un vieux conte irlandais. Jack aurait été un avare, un personnage ivrogne,méchant et égocentrique. Un soir, alors qu'il était dans une taverne, le diable lui apparut et luiréclama son âme. Jack demande au diable de lui offrir à boire, un dernier verre avant de partirpour l'enfer. Le diable accepte et se transforme en pièce de six pence. Jack la saisit et la placeimmédiatement dans sa bourse. Cette dernière ayant une serrure en forme de croix, le diablene peut s'en échapper. Finalement, Jack accepta de libérer le diable, à condition que ce dernierlui accorde un an de plus à vivre. Douze mois plus tard, Jack fit une autre farce au Diable, le

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laissant en haut d'un arbre (sur lequel il avait gravé une croix grâce à son couteau) avec lapromesse qu'il ne le poursuivrait plus.

Lorsque Jack meurt, l'entrée au paradis lui est refusée, et le diable refuse également de lelaisser entrer en enfer. Jack réussit néanmoins à convaincre le diable de lui donner unmorceau de charbon ardent afin d'éclairer son chemin dans le noir. Il place le charbon dansun navet creusé en guise de lanterne et est condamné à errer sans but, jusqu'au jour dujugement dernier. Il est alors nommé Jack of the Lantern (Jack à la lanterne, en français), ouJack-o'-lantern. Il réapparaît chaque année, le jour de sa mort, à Halloween.

La tradition irlandaise de creuser des navets lors de la nuit d'Halloween (en souvenir des âmesperdues comme celle de Jack) fut vite remplacée, lors de l'exode massif des Irlandais vers lesAmériques en 1845-1850 (période de la Grande famine en Irlande) par celle de creuser descitrouilles qu'ils trouvèrent sur place».

Il est intéressant de noter que cela correspond au niveau des dates avec l'utilisationindustrielle du pétrole.

Ainsi Jack est l'adulte non émancipé berçant dans un matérialisme malsain faisant de lui uneproie du diable dont il arrive à échapper par la bourse et la famille. Condamner à errer surterre, celui ci n'a qu'un charbon ardent (mais on pourrait dire du pétrole et du gaz pour êtrecontemporain) qu'il place dans un navet (un navet qui symbolise bien sa fausse quêteémancipative). On ne peut pas faire plus clair sur l’épopée anglo-saxonne et son entêtementdans le matérialisme et la non émancipation. Trop peu spirituel et trop renfermé, celui ci pouréchapper à la fatalité, se réfugie dans le commerce et l'affairisme, le seul moyen qu'il a de sedéfiler puisque son problème est sans cesse repoussé, c'est de faire des enfants et de sedéfausser de son problème sur les nouvelles générations (les enfants spoliés par les anciens etde fait zombifiés puisque cantonnés au terrestre et éloignés du spirituel par les adultes,demandent «des bonbons ou un mauvais sort !» par le gentil catharsis qui sied à leur ageinnocent, parce que c'est ce qu'ils subissent de leur parents à un niveau non dit). La bourse etl'arbre. Et ce qui le meut, du charbon soit du bois fossilisé, donc la prolongation infinie dessecrets de familles et qui donne par la sophistication de l’épopée Victorienne, le pétrole(1850), qui sera la caractéristique des Usa qui prendront la main (donc en pire) une fois leprocessus de non sens de l'empire colonial britannique (et de l’Europe par extension) achevédans le sang (1914-1918/1939-1945). Et il ne faut pas confondre progrès technologique etémancipation de fond. Il est évident que nous progressons quoiqu'il en soit à tous les niveaux,simplement il y a une disproportion gigantesque entre les moyens et les causes. Autrement diton se complaît bien trop dans le superficiel et le matériel, alors que nous devrions miser surémancipation de fond pour éviter les catastrophes. Ceci correspond tout à fait à l'Histoire duTitanic qui représente assez bien cette époque. Mais la catastrophe de Courrières dans le nordde la France en est une autre représentation, pas de jaloux.

4) l'assassinat de Kennedy et les attentats du Wtc:

Alors pourquoi ai-je développé ces thèmes et mis en relief une opposition de fond entreEurope chrétienne originale et un pastiche judéo-protestant anglo-saxon ? Il se trouve que lespays anglo-saxons bien que plus superficiels et n'arrivant pas à appréhender correctement la

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profondeur chrétienne, jouissent d'une intelligence très développée (et qui n'est pas coupléela plupart du temps à un courage émancipateur, ce qui est dommage). Cependant l'oppositioncatholiques / protestants dans les pays anglo-saxons résume toute la dualité au sein de cespeuplades lorsqu'une partie saisit, s'approprie et développe les bons préceptes mais se heurteà une contrepartie extrêmement réfractaire (et cela ne date pas d'hier, comme nous l'avonsabordé sommairement avec l'époque d'Oliver Cromwell en opposition avec les catholiquesirlandais). Or c'est exactement la même opposition qui se retrouve déportée aux Usa par le jeudes migrations issues de cette période, reportée par le biais des transmissionsgénérationnelles, et à laquelle on assiste ce 22 novembre 1963, lorsque le seul présidentcatholique américain est assassiné par l'aile protestante radicale sioniste américaine reliée à lavieille Angleterre. En mettant en relief cette opposition, le meurtre de Kennedy va être plusfacile à comprendre ainsi que les événements historiques liés à ce coup d'état de 1963 et dontles Usa ne sont toujours pas sortis du reste. Cela a eu des conséquences dramatiques pour lemonde entier.

Mais pour bien comprendre le processus qui amène à 1963, il faut commencer par le sortir dela seconde guerre mondiale aux Usa et la mentalité qui y règne alors.

Il est une image marquante de l’Amérique esclavagiste, celle ou un noir est pendu à un arbreautour duquel se tient une foule de blanc exaltée. Il convient d'analyser le phénomène racistetypique de cette époque et de cette partie du monde, de manière psychanalytique et à l'aided'outil issus de la psychogénéalogie : Symboliquement, la plupart du temps, l'enfant nouveauvenu par le contrat d'émancipation naturel qu'il représente (l'enfant pour ses parents est lamédiation de leur tentative d'émancipation à l’archaïsme en contradiction avec les grandsparents), est tué (symboliquement la plupart du temps) ou éludé à cause de la la souffrancedont sa présence en ce bas monde est susceptible (notamment en cas de recherched'émancipation de l'individu concerné au fil du temps), d'être réveillée. En effet les anciennesgénérations se défaussent systématiquement dans leur échec d’émancipation à l’archaïsme,sur les nouvelles générations. Si celles-ci arrivent à s'émanciper, ces anciennes générations seretrouvent bloquée dans un matérialisme grossier qu'elles cherchaient à éviter à tout prix. Parextension, le noir, qui se trouve en bas du système de défaussement (et qui représente la forcevive à canaliser et à disposition de part sa naïveté et sa position défavorable, ceci étant du ausous-développement des pays africains et pas à un manque de qualité), doit se cantonner àfaire les taches ingrates, s'il cherche à s’émanciper gare à lui. L'arbre c'est la famille, le noirc'est l’énergie vive à canaliser voir l'enfance symbolique, mais si l’individu n'accepte plusd'assumer le labeur ingrat issu du défaussement des secrets de familles, alors il remet encause le système; celui qui par le defaussement opéré sur le noir se voyait libéré de la tacheingrate, se retrouve obligé de se salir les mains lui-même, c'est inacceptable pour toutpropriétaire raciste, qui voit son statut de riche «fainéant» (de fond) remis en cause (pasuniquement sur le plan du travail mais surtout sur le plan de l'émancipation aux secrets defamilles). La tache ingrate induit la souffrance et l'emprisonnement (donc lesdysfonctionnements psychiques afférant), chacun essaie d'y échapper, simplement au lieu des'y soustraire par le courage et l'intuition ou l'observation, la plupart le font par ledéfaussement sur le plus naïf ou le plus faible. Autrement dit les juifs sionistes et lespropriétaires esclavagistes protestants avaient tout pour s'entendre car chacun avait trouvécomme solution pour ne pas à remettre en cause la complaisance dans les secrets de famillesqui les caractérisent, le defaussement sur l’extérieur des tares familiales. En faisant assumer le

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labeur ingrat aux noirs (considérés comme inassimilables de par leur couleur de peau) , ilspouvaient continuer à ne pas remettre la structure familiale en cause par entre autre, larébellion à la soumission (assumée du coup par d'autres) tout en faisant des bénéfices par laperpétuation de cette structure. Enlevez les noirs et tout s'effondre. De plus lorsqu'uneblanche était violée et assassinée, il était commode d'accuser un noir et de le lyncher après unsemblant de procès, les troubles neurologiques ou les troubles psychiatriques, il est pluscommode de les voir chez les autres.

Pour en finir avec ce phénomène archaïque raciste typique de l’Amérique sudiste, celui-cin’exprime qu'une seule chose dans son aspect profond : le maintien dans l'ignorance et lasoumission d'un genre différend afin qu'il puisse permettre par le defaussement du labeuringrat forcé, la complaisance matérielle d'un autre genre malgré ses failles et ses désordresprofonds dans son rapport au monde. Les noirs servaient de coupables désignés par avanceaux blancs racistes afin qu'ils n'aient pas à se remettre en cause dans leur propresdysfonctionnements. L'enfant (dont le noir est par extension la médiation inconsciente) oul'individu naïf qui représente une force vive à exploiter (c'est pourquoi l'accès à l'éducation estfondamentale et qu'elle leur a été refusée aux noirs pendant longtemps ou que le mélangeavec les blancs n'était pas toléré, il fallait que le noir reste naïf et soumis et ne se rende pascompte du processus, ni ne trouve les moyens pour s'en défaire), qui symbolise l'opportunitéd'émancipation en contradiction avec les anciennes générations, sur qui on se défausse, d'unemanière inversée est accusé de tous les maux, par hypocrisie à ne pas vouloir affronter lesdouleurs des rapports conflictuels à ses propres parents que l'émancipation suppose, leprocessus ainsi décrit est en forte corrélation avec ce qu'on peut observer du racisme de cetteAmérique profonde. Donc pour cette dernière, c'est préférer la perpétuation d'un systèmeboiteux par l'hypocrisie collective consentie et qui induit de se défausser de ces propresproblèmes sur un autrui facilement différentiable et donc prétendument inassimilable, voilàprincipalement ce qu'il y a derrière le rapport aux noirs à cette époque (et ça n'a pas disparu,bien au contraire, aujourd'hui les noirs américains ont été blanchisé, judéo-protestantisé eton se défausse sur l'Africain en se maquillant derrière les apparences, c'est un subtildéplacement qui s'est opéré, mais sans en avoir l'air, ce mécanisme est au cœur de tout lesproblèmes actuels, car le choix du défaussement se fait presque systématiquement audétriment du travail de fond et au profit du culte de la façade, or celle ci est coûteuse etdégradante, non seulement à l’intérieur au niveau national mais aussi et ce qui est pire àl'extérieur par la dégradation d'autrui). Autrement dit c'est le même mécanisme que pourl'enfant qui représente l’émancipation possible au conflit de génération, sur qui on sedéfausse et qui est accusé de tous les maux pour éviter d'avoir aux anciennes générations à seremettre en cause dans le defaussement qu'elles opèrent sur les nouveaux venus. Pour ne pasavoir à faire cela sur leur propres éléments, les blancs se servaient des noirs. Et aujourd'hui,les noirs américains, que les tenants du système ont cyniquement choisi de mettre en vitrine,en s'alignant sur ce que leur proposent les élites, pratiquent la même chose avec les Africains(le couple Obama/Winfrey en est un symbole, le défaussement en Afrique sous couvertd'imposture (Obama n'est pas le représentant des noirs, son père n'est pas Kenyan, c'est unancien agitateur gauchiste Hawaïen du nom de Davis, nous le verrons plus tard) pour lacomplaisance dans la société de consommation).

Venons en à l'Amérique d'après guerre.

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Ainsi le rapport au noir est un vecteur primordial dans les mouvements d’émancipationcollectifs. Il induit une appréhension de l'enfance et de l'individu au niveau général par laforce vive à canaliser qu'il représente. Plus les noirs s'émancipent, plus l'enfant et l'individusont considérés comme des être à part entière avec ses aspirations propres et non plus commecorvéables à souhait, et plus le mouvement qu'ils représentent signifie une émancipation àl'échelle collective. Mais aujourd'hui, il y a un piège à ce niveau et les apparences sonttrompeuses... .

A la fin de la seconde guerre mondiale, Harry Truman, ayant pourtant des liens étroits avec leKu Klux Klan et étant lui même originaire d'un état à l'histoire esclavagiste prononcée, estindigné de la manière dont les noirs sont traités à leur retour du front européen, ceux ci sontdéchargés de camion et battus. Il reforme la loi et permet leur intégration notamment parleur accession à des postes dans les administrations (militaire en premier lieu). En parallèleles ligues sportives professionnelles nord américaines intègrent elles aussi progressivementles noirs dans leurs effectifs. Il y a donc progressivement une ouverture dans le rapport que lesblancs entretiennent avec les noirs aux usa. On peut noter qu'historiquement le premier faitqui permet une ouverture quand à la possibilité d'envisager les noirs sous un meilleur jour auxUsa (qui n’étaient pas encore indépendant de l’Angleterre à ce moment) provient de l'histoirede Jocko Graves, un jeune noir qui avait impressionné Georges Washington par sa dévotion etson endurance lors de la guerre d’indépendance.

Jocko Graves accompagnait les troupes indépendantistes en décembre 1776, son jeune age (12ans) avait décidé Washington de ne pas l'emmener sur une mission périlleuse contre lesanglais (la bataille de Trenton), il eut comme tache de garder les chevaux et de tenir unelanterne de l'autre côté du fleuve Delaware afin de permettre aux indépendantistes deretrouver leur chemin de retour de mission. Malgré la température extrêmement basse , laneige et la fatigue, Graves tenu son poste, il mourut de froid sans lâcher ni les rênes deschevaux ni la lanterne. Le Général fit ériger une statue à Mount Vernon en son honneur.Certains pensent que la statue de Jocko Graves (originalement un valet noir tenant unelanterne ou un jockey noir mais qui fut remplacé progressivement par un blanc) dans lesjardins avait une connotation raciste, cependant quand on le replace dans le contexte, ellesemble plutôt être un facteur, pour son époque donc et toute proportion gardée, mélioratifpour la communauté noire et son intégration (Graves fut considéré comme un héros de laguerre d'indépendance).

Pour revenir à l'après guerre et aux reformes de Truman, c'est dans cette période de légèreouverture qu'on assistera à la prise conscience des noirs qu'ils doivent se battre pour se fairerespecter, ainsi Rosa Parks en refusant de laisser sa place à un blanc dans le bus (1er décembre1955) permettra de mettre en relief un mouvement qui ne fera que prendre de l'ampleur aucours du temps.

«Rosa Louise McCauley Parks, dite Rosa Parks (4 février 1913, Tuskegee, Alabama États-Unis -24 octobre 2005, Détroit, Michigan), est une couturière qui devint une figure emblématiquede la lutte contre la ségrégation raciale aux États-Unis, ce qui lui vaut le surnom de mère dumouvement des droits civiques de la part du Congrès américain».

«Parks est devenue célèbre le 1er décembre 1955, à Montgomery (Alabama) en refusant de

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céder sa place à un passager blanc dans l'autobus conduit par James F. Blake. Arrêtée par lapolice, elle se voit infliger une amende de 15 dollars le 5 décembre ; elle fait appel de cejugement. Un jeune pasteur noir inconnu de 26 ans, Martin Luther King, avec le concours deRalph Abernathy, lance alors une campagne de protestation et de boycott contre la compagniede bus qui durera 381 jours. Le 13 novembre 1956, la Cour suprême casse les loisségrégationnistes dans les bus, les déclarant anticonstitutionnelles».

«Rosa Parks est née à Tuskegee, Alabama et est la fille aînée d'une famille de deux enfants avecpour parents James et Leona McCauley, respectivement charpentier et institutrice. Dans sonenfance, elle a des problèmes de santé, dont une angine chronique. Après le divorce de sesparents, elle grandit dans une ferme avec sa mère, ses grands-parents méthodistes et son frèreSylvester. Très attachée à ce que sa fille reçoive une bonne éducation malgré les entraves à lascolarité des Noirs, sa mère Leona éduque Rosa à la maison jusqu'à ses onze ans, puis elle estenvoyée à l'Industrial School for Girls, fondée par des familles blanches du Nord pour lesenfants noirs, à Montgomery, où habite sa tante».

«Rosa commence ensuite ses études secondaires à l'Alabama State Teachers College forNegroes, mais elle ne peut les suivre jusqu'à leur terme, car elle doit s'occuper de sa grand-mère puis de sa mère, qui tombent malades».

«Elle se souvient que son grand-père montait la garde la nuit devant la ferme contre lesactions du Ku Klux Klan. Sa jeunesse lui fait vite subir les affronts du racisme. Le KKK ad'ailleurs brûlé à deux reprises l'école qu'elle fréquente, la Montgomery Industrial School forGirls. Bien que Rosa Parks ait raconté dans son autobiographie n'avoir pas eu une mauvaiseimpression des Blancs, elle narre des détails du racisme au quotidien (si vif dans le Sud desÉtats-Unis) qui l'ont marquée, telles ces fontaines publiques réservées aux Blancs ou auxNoirs (« Enfant, je pensais que l'eau des fontaines pour les Blancs avait meilleur goût que celledes Noirs ») ».

«les autobus sont un bon exemple de cette ségrégation au quotidien. Il n'y avait certes pas debus ou de trains différents, mais des sections réservées aux Blancs et aux Noirs. Rosa Parks sesouvient cependant que les transports scolaires étaient interdits aux enfants jaunes et noirs.Pour aller à l'école de Pine Level, les enfants blancs prennent le bus alors que les autres y vontà pied : « Je voyais passer le bus chaque jour. Mais pour moi, c'était comme ça. Nous n'avionsd'autre choix que d'accepter ce qui était notre quotidien, un très cruel quotidien. Le bus futun des premiers éléments par lesquels je réalisais qu'il y avait un monde pour les Noirs et unmonde pour les Blancs». »

«En 1932, elle épouse Raymond Parks, un barbier militant de la cause des droits civiques,membre de l'Association de l'Alabama pour la promotion des gens de couleur (NationalAssociation for the Advancement of Colored People, NAACP). Il collecte aussi de l'argentpour soutenir un groupe de jeunes Noirs, les « Scottsboro Boys », qui sont accusés de viols surdeux femmes blanches. Il l'encourage à finir ses études secondaires, qu'elle achève malgré lescharges familiales en 1934, à une époque où seulement sept pour cent des Noirs obtiennent ceniveau d'étude. En 1940, les époux Parks deviennent membres de la ligue des électeurs(Voters' League)».

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«Rosa Parks travaille en tant que couturière de 1930 à 1955, mais elle a aussi divers autresmétiers tels qu'aide soignante. En décembre 1943, Parks devient membre du mouvement pourles droits civiques (American Civil Rights Movement) et travaille en tant que secrétaire àMontgomery pour la section du NAACP, présidé par Edgar Nixon. Sur son rôle dansl'association, elle déclare : « J'étais la seule femme là-bas, et ils avaient besoin d'une secrétaire,et j'étais trop timide pour dire non ». Elle tient cette fonction jusqu'en 1957 lorsqu'elle quittela ville de Montgomery. Début 1945, elle occupe brièvement un emploi à la base aérienne deMaxwell, une zone fédérale, où la ségrégation n'était pas en vigueur : « On peut dire que lasituation à Maxwell m'a ouvert les yeux ». Elle est aussi femme de ménage pour un couplelibéral, Clifford et Virginia Durr, qui sympathisent avec elle et l'encouragent à suivre uneformation sur les droits des travailleurs et l'égalité raciale à la Highlander Folk School, àMonteagle (Tennessee), six mois avant son arrestation».

«Comme beaucoup d'autres Afro-Américains, elle est choquée par le meurtre sauvage deEmmett Till en août 1955. Le 27 novembre suivant (soit quatre jours avant qu'elle ne refuseson siège), elle assiste à un grand meeting sur son cas à Montgomery, dont le principal orateurest T.R.M. Howard, un activiste des droits civiques du Mississippi, à la tête du RegionalCouncil of Negro Leadership».

Par cette courte biographie issue de Wikipédia (qui je l'avoue n'est pas une référenceirréprochable sur tous les sujets et qui émane d'un projet de regroupement culturel anglo-saxon probablement intéressé), on comprend que l'ouverture aux noirs par certains blancsaux Usa, l'accès à l'éducation et la volonté de défendre ses droits par une communautéhumiliée, ont permit progressivement aux mentalités de changer. L’éducation et la culturesont parmi les meilleurs outils pour sortir de la soumission, mais ne suffisent pas, il faut fairepreuve de courage et se battre, sans tomber dans le piège de la vengeance, en outre il faut quela société laisse aussi une ouverture pour que la chose soit possible. On voit que ces années 50laissent penser que l'émancipation est possible, en partant de loin, la société américaineenclenche un processus.

John F. Kennedy s'inscrit dans la continuité de cette ouverture amorcée, d'une part il étaitfavorable à l’intégration des noirs mais aussi, après paradoxalement avoir commis quelqueserreurs notables, il sera en faveur d'un assouplissement dans les rapports avec l'Urss et irajusqu'à leur proposer de s'allier avec les Usa dans la course à la conquête spatiale. Ces deuxfacteurs ont été déterminant dans son assassinat même s'ils ne sont pas les seuls (il voulaitégalement faire le ménage dans la Cia, le Fbi, imposer les riches industriels et permettre de seréapproprier pour les Usa, leur propre monnaie en évinçant la FED).

En réalité il y a aux Usa deux pôles principaux qui voient d'un très mauvais œil l’intégrationdes noirs, le fait de mieux les considérer à l’échelle collective ainsi que le fait que ceux cis’émancipent, et la possibilité de ne plus envisager les Russes comme des ennemis mortels.Les protestants conservateurs issus de l’Amérique esclavagiste et les sionistes. Les deux pôlesont toujours été étroitement liés notamment à l’époque ou certains juifs bercés dans le négoceet le rôle d'intermédiaire dans la traite humaine se chargeaient de fournir l’Amérique sudisteen esclave* (références non lues/Werner sombart : les juifs et la vie économique/Nation ofIslam : les relations secrètes entre les noirs et les juifs ou comment les juifs ont pris le contrôlede l'économie noire américaine-volume 2)-(du reste nous avons vu que ce duo remontait au

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minimum à l'époque de Francis Drake). Non seulement ceux ci basaient leur économie sur lefait de faire assumer leur tare de famille par le defaussement du labeur ingrat sur les noirs(inassimilables de par leur couleur de peau selon leur vision donc permettant de se dédouanercomplètement) et ainsi jouissaient de facilité matérielle conséquente, mais en plus le moteurmilitaire lucratif était dépendant d'un maintien collectif de rapport paranoïaque avec autrui.Tabac, alcool et arme à feu, autant d'excuses pour ne pas se remettre en cause dans lesfondements profonds de la structure familiale et préférer voir le mal au dehors. En fait celarelève de l'immaturité la plus complète et de l'hypocrisie la plus totale. Il est évident que sansles noirs, les sionistes et les protestants extrémistes auraient été obligé de travailler et de seremettre en cause, ils auraient été dépassés par leurs concurrents et auraient perdu leursmonopoles. Le fait de ne pas avoir à se questionner sur ces valeurs internes était une excusetoute trouvée pour se complaire dans les secrets de familles sans avoir à se salir les mains, cequi impliquait de repousser sans cesse le problème au dehors et qui explique le choixsystématique du moteur belliciste contaminateur de fond aux Usa, l'ennemi c'est l'autre,surtout si son courage de fond est susceptible de remettre le système en cause et dedémasquer l'imposture. C'est parce que Kennedy (mouvement catholique) était en train devouloir recentrer l'économie de son pays vers l’intérieur, et donc de priver le pôle protestantconservateur élitiste de sa martingale par l'entretien d'une paranoïa collective (ce quiimplique la dette pour la plupart des américains) qu'il fut assassiné. La confrontation au blocde l'est était une étape dans le défaussement contaminateur, elle était héritée et poursuivait lemodèle de contamination par le consumérisme pathologique choisit par l’Angleterre par sonrapport au monde dans sa quête d’hégémonie du 19ième siècle et qui s'est retrouvé déportéaux Usa au 20ième. Ce rapport au monde paranoïaque était leur principale source de revenuspour les deux pôles de l'Amérique profonde que sont les protestants radicaux et les sionistes.Par Kennedy, le mouvement catholique prenait l'avantage, il fallait s'en débarrasser, et pourles sionistes plus particulièrement parce que imbécillité des protestants néoconservateursenfonçait l'Occident dans une dégradation morale qui permettait à Israël de prendre del'importance. Simplement il y a un hic pour les Usa et l'occident (mais pas pour les sionistes),cette stratégie archaïque est conditionnée à la victoire dans la confrontation. Or dans letemps, et nous le développerons plus tard, au Vietnam les Usa se trouvent confrontés à unmur, et s'enlisent au moyen-orient, c'est à cette période que l'on passe du couplage dollar or àdollar pétrole.

Revenons à l’émancipation des noirs après la réaction de Rosa Parks, suivront doncconsécutivement Martin Luther King et autre Malcolm X qui porteront d'un manière forte etengagée les revendications des droits des noirs à être considérés comme tout le monde etdonc de jouir des même prérogatives (le premier prônait la non violence, le mouvement qu'ilincarne est donc le plus intéressant et celui qui aura le plus d'impact dans le temps). Vousnoterez que c'est dans cette période que naît le Word trade center (1958 pour la conception et1973 pour l'inauguration).

On peut faire une parenthèse à ce moment du récit : l’émancipation des noirs est donc unproblème pour l’Amérique profonde, à cette époque on cherche une solution. Les campagnesde vaccination au Congo belge par le juif d'origine polonaise Hilary Koprowsky (qui par le faitde mêler au niveau du vaccin inoculé, le singe à l'homme, a produit une dégradation dusystème immunitaire de ce dernier, en fait tout à fait logique, appelé Sida), furent envisagéescomme une alternative* (mettre une référence : voir le documentaire «les origines du sida»).

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En réalité pour peu qu'on observe, si tout ne va que dans le sens de l’évolution, il paraissaitinsensé de vouloir mêler l'homme à son stade primitif animal, au niveau des défensesimmunitaires, cela va à l'encontre du principe universel de l’évolution. Ce qui ne laisse pas dedoute quand au fait que le but était de faire régresser le noir en le couplant au singe dans sonpropre système immunitaire, c'est qu'à l’échelle de l'inconscient collectif, ces campagnes devaccination répondent au mouvement d’émancipation des noirs aux usa des années 50 et queles racistes n'arrivent pas à contrer. Le Sida fut leur tentative de parer au problème qui seposait à eux, car en se défaussant du labeur ingrat sur les noirs aux Usa, ils se défaussaient dela violence que le confinement matérialiste induit, c'est pour ne pas avoir à assumer leurpropres tares de familles, lorsque les noirs américains ne se laissent plus faire après la guerre,qu'ils ont opéré de la sorte en trouvant une alternative en Afrique, une tentative de médiationpar défaussement de pulsions primaires, via, pensaient-ils, les vaccinations. Le crime nepayant pas, ils leur reviendra en pleine figure par le biais de la communauté gay qui allait faireses courses en Afrique. Le sida ne sera découvert qu'au début des années 80, on peutnéanmoins soupçonner que le mouvement néoconservateur qui a planifié le rapport àl'Afrique des Usa tel qu'on l'observe actuellement, naît à cette époque d'une manière ou d'uneautre. Parenthèse refermée.

Martin Luther King , Malcolm x et Kennedy seront assassinés, on sait donc par quelles parties,et cela implique plusieurs choses : de la même manière que Lincoln Abraham avait étéassassiné par de lâches sudistes revanchards, l’Amérique raciste et les sionistes ont cherché àstopper ces avancées en trichant par le meurtre car elles remettaient en cause leur privilèges,leurs monopoles, voir leur projets futurs. Mais cela induit surtout que le World trade centern'est pas solide dans les principes qu'il représente, car ce bâtiment est donc le symbole durapport au monde des Usa, basé sur l’émancipation aux noirs (période de conception) quel’Amérique profonde va enrayer voir inverser au fur et à mesure (notamment par desmouvements de mode), mais aussi conditionné à la victoire dans le defaussement belliciste(c'est du reste David Rockefeller qui en fut l'initiateur). Or à l'inauguration du bâtiment, dansl'entremise, en plus d'avoir perdu tous les leaders légitimes de ces mouvementsd'émancipation, les Usa se retirent vaincus du Vietnam. L’élan que représente le Wtc, on ne lesait pas encore à l'époque est condamné à s'effondrer, les tours jumelles ou Twin towersétaient le symbole des Usa sur la période du milieu des années 50 jusqu'au début des années70, or cette Amérique a faillit (ou plutôt a été sabotée).

Après l'assassinat des Kennedy et des leaders des mouvement d'émancipation des noirs (King,Malcolm x), il fallait pour les judéo-protestants dévier la dynamique vers le culte de lasuperficialité et du gangstérisme gauchiste. Cet aspect a été traité dans un ouvrage“l'effroyable imposture du rap” de Mathias Cardet, je ne développerait pas plus sinon de direque Woodstock fut mis en place à cet effet comme mai 68 en France, fut élaboré pour chasserDe Gaulle du pouvoir (cela en revanche nous le développerons plus loin).

En réalité le phénomène qui illustre le mieux cette faillite dans la tentative d’ouverture biaiséepar le couplage émancipation des noirs ratée et bellicisme contaminateur, c'est le moonwalkde Michael Jackson qui retranscrira plus tard l'évolution du mouvement dévié. Le moonwalkest un pas de danse régressif (issu à l'origine probablement des années 30) qui illustre ladégradation progressive d'un mouvement collectif suite à l'enrayement du mécanisme établi(assassinat des représentants de mouvements d'émancipation partiels, et défaite au Vietnam).

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Par son nom (pas de la lune) il se rapporte à la conquête spatiale et à la compétition militaireavec le bloc de l'est (donc il contient la symbolique de la guerre froide et de la progressioninversée par la sophistication militaire, qui restera prégnante même après la chute de l'Urss).On remarquera que Jackson portait souvent la tenue des gangsters de la prohibition duChicago des années 30, qui en réalité sont la représentation des Usa dans leur rapport aumonde contemporain, par la divulgation sur le modèle mafieux, de leur mode de vie basé surla complaisance dans les commerces parallèles, soit la propagation souvent malsaine àl’échelle internationale de l'american way of life. Le moonwalk contient ainsi la symboliquedu rapport au monde choisit par les Usa, soit l'enfoncement dans la confrontation belliqueusepar la sophistication militaire (issu de la course à la lune et à l'espace en compétition avec lesrusses (au cinéma cela donnera entre autre Star wars, l'étoile noire étant une sorte de réacteurnucléaire géant (moteur de l'occident) et Dark Vador le complexe militaro industrielmanipulé par le côté obscur de la force soit le complexe non surmonté, se transformant en soifd'hégémonie) mais continué après les années 90 malgré la chute de l'Urss) et de lapropagation de leur mode de vie sur le modèle mafieux du Chicago des années 30. Larégression du pas, illustre la dégradation morale et spirituelle au fur et à mesure opérée sur lasociété (non seulement américaine mais aussi par effet de domino sur l'Occident en général)et particulièrement sur les avancées et les acquis que l’émancipation des noirs amorcéeavaient apporté. Cela ne fait que confirmer que lorsqu'on choisit la déportation de sesproblèmes ailleurs au lieu de les régler chez soi, les choses ne font qu'empirer.

Après l’échec du Vietnam sur le terrain, les Usa vont changer de tactique, ils vont contaminerpar la propagation de leur mode de vie et le financement maquillé de l'opposition, vial'infiltration des mouvements de mode et d'Ong, les pays visés. l'Urss va tomber puis êtrepillée par les oligarques (qui sont les meilleurs représentants de ce néolibéralisme narcissiqueégocentrique et ravageur devenant mondialiste, issu de l'empire anglo-saxon (dont lamonarchie protestante rappelons-le est encore une clé de voûte par la persistance du modèlede rapport aux élites exposé) et de ses origines nordiques antichrétiennes, conseillé par le pôlejuif sioniste). Suivront, entre autres dans la dégradation des mouvements d'émancipationrésiduels (toute proportion gardée) : l'Irak (une première fois et qui était donc un régimearabe socialiste laïque et antisioniste), le Rwanda (avec une quasi disparition des élites Tutsisdont la responsabilité contrairement à ce que l'on croit incombe aux Usa), la Yougoslavie(avec le blocage de l'émancipation serbe au profit de la complaisance croate et la créationd'une zone douteuse soit le Kosovo), puis, après le 11 septembre 2001, l'Irak une deuxièmefois , l'Afghanistan, la Libye... etc.

On peut noter que ceux qui représentaient le résiduel des tentatives d’émancipation etd’intégration des noirs vont pratiquement tous disparaître après la destruction des deux toursNew yorkaises : Gary Coleman (Arnold de la série “Arnold et Willy”, mise en place pour faireadmettre un peu plus les noirs au sein de la société américaine) qui n'a jamais grandi depuisla fin de la présidence Carter (qui ne fut pas le pire des présidents américains, même si c'est àla fin de son mandat et sous ses directives que les services spéciaux américains prirent desinitiatives qui permettraient aux futurs Talibans d'occuper une palace de premier plan par lasuite) et le début de l’ère Reagan, mourra 10 après finalement les attentats, dans descirconstances dramatiques voir douteuses tout comme Michael Jackson, ou encore WhitneyHouston. Tout ce qui correspondait au mouvement compris dans le World trade center vadisparaître au profit d'une nouvelle donne et sera remplacé par un nouveau modèle dont

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Barack Obama et Oprah Winfrey sont les meilleurs représentants. Le noirs qui a raté sonémancipation sera juivisé et protestantisé. C'est la seule solution qu'a trouvé notre civilisationcontemporaine pour pallier au racisme archaïque soutenu par ses pôles réfractaires. C'est unphénomène collectif, ou dit autrement, c'est la tendance générale sous-jacente par l'impulsionjudaïque au travers des médias et à cause de la complaisance consumériste qui s'est imposéaux possibilité mélioratives d'une émancipation véritable. Le principe de l’énergie vive quereprésente le noir sera détourné vers un mouvement régressif de soumission aux élites etsurtout d'obstination dans l'immaturité et d’incapacité d’émancipation, donc cloîtré dans unmécanisme dédié à la complaisance dans les secrets de famille, le culte du commerce et duluxe ou le dernier est toujours sacrifié (monde du travail et de la compétitivité). (Cepositionnement implique d'aller voler les ressources naturelles correspondantes là ou elles setrouvent et de se défausser à l'étranger dans l'entremise tout en cherchant à éliminer lesrégimes qui oseraient faire obstacle à leur idéologie contaminatrice). Les femmes dont lechoix de la facilité de complaisance dans les principes primaires et immatures est assezétonnante, ont été déterminante dans cette faillite collective et sont tombées la tête lapremière dans ce faux féminisme qui n'est en fait que du lesbianisme maquillé. En fait endétournant les femmes de la structures familiale, en les aspirant dans le monde du travail, onbascule dans une société de plus en plus matérialiste et de plus exposées aux prédateurs desmonopoles industriels dont les gays du secteur de la mode sont les meilleurs vulgarisateurs,et certains politiciens pédophiles, les meilleurs chevaux de Troie (on en trouve beaucoup dansles ministères de la culture, en France notamment), d'autant plus que les enfants, donc isolés,sont les principales proies de ces forces par le biais des médias omniprésents qui se chargentde formater leurs esprits en l'absence des parents. Tout cela a toujours été vivementencouragé par les sionistes trop content de pouvoir faire basculer le monde dans un rapportqui leur est favorable par la mise en vitrine du modèle israélien comme crédible et centred'impulsion. Ceci dit cela a ses limites car le but non encore avoué du système pourrait-êtrede transformer les occidentaux en légions de gays et de lesbiennes «softs» (meilleursconsommateurs), et de pallier aux problèmes des naissances par la procréation artificielle.

Si l'on sort des projections à peine exagérées mais assez désabusées il est vrai, pour revenir auconcret, il y avait donc un énième obstacle en travers de la route des projets mondialistes (quiest notamment de faire revenir le monde à un modèle juivisé dont Israël serait la meilleurevitrine, en détruisant progressivement les acquis de l'Islam et de la Chrétienté, ce quidonnerait toute latitude aux grands monopoles sur les masses) : le World trade center, celui-ci, malgré l'attentat de 1993, tenait bon malgré tout. Il représentait l'ancien modèle à moitiéémancipé et à moitié biaisé. Pour pouvoir s'adonner à la complaisance organique complètedébridée, il fallait détruire ce que les tours jumelles représentaient. Les deux tours pouvaientse lire ainsi : la branche (surtout reprise par le mouvement catholique Kennedien)symbolisant l' ouverture aux noirs ainsi que la détente avec le bloc de l'est et la brancheprotestante de défaussement belliciste contaminateur international (Rockefeller) à l'originede la faillite et de la dette américaine. Maintenant une seule tour a été rebâtie (là ou il y enavait jadis deux, les fameuses Twin towers), nul doute que le symbole dont on l'affuble relèvede l'imposture la plus totale et soit plus en rapport avec l'enfoncement dans la dette perpétuéequ'autre chose.

Pour résumer, le World trade center était un emblème, qui malgré le fait qu'il soit bancal dansson rapport au monde, était trop émancipé dans le rapport aux noirs pour permettre une

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régression matérialiste remettant Israël au centre des décisions, les protestantsnéoconservateurs (au départ pour récupérer le business de la guerre qui était en train de leuréchapper avec les idées d'apaisement de Kennedy vis à vis de l'Urss ) et les sionistes ont donctravailler à détruire ses acquis pour ré-assimiler progressivement les noirs (donc la dynamiquebrute de fond) en les juivisants et en les néo-protestantisants. Il n'y a aujourd'hui plus qu'unetour, celle du rapport belliqueux à autrui sur un modèle protestanto-sioniste a étéreconstruite, celle qui représentait l'émancipation aux noirs d'après guerre et l'apaisementdans les relations internationales a été détruite. Et donc on peut en conclure qu'Obama (pasla personne en elle-même mais le rôle qu'on lui fait jouer et qu'elle joue) est une imposturejudéo-protestante qui s'est élevé sur le meurtre de Kennedy, de Martin Luther King et quin'est que la version dégradée de ce qu'aurait été l'Amérique sans le coup d'état de 1963. Unfaux noir émancipé qui finalement se pliera au système bancaire mondialiste et travaillera àprendre l'Afrique pour une poubelle de défaussement.

Mais pour mieux cibler ce que représente l'actuel locataire de la maison blanche (noussommes en 2016), il faut creuser un peu plus certains thèmes de la société américaine ensuivant notamment la période consécutive au meurtre de Kennedy d'un peu plus près.

Parenthèse : Voici ce que révèle James Hatfield, un journaliste d’investigation retrouvésuicidé/assassiné en 2001, dans son livre «Le cartel Bush»: outre le fait que Georges Bush filsfut pris dans sa jeunesse pour détention de drogue dure (donc manifestation de la difficulté àsurmonter un cumul de charge familiale et pulsions autodestructrices conséquentes) etbénéficia de relations privilégiées qui lui permirent de ne pas être inquiété, le père s'estillustré à l'occasion de la seconde guerre mondiale à laquelle il prit part en tant que pilote debombardier dans le pacifique (p 12-13-14). Son avion touché, il sauta prématurément enabandonnant tout le reste de l'équipage à son triste sort (il sera le seul survivant). Cependantpour les élections qui l'ont amené à la présidence, il tourna cette mésaventure en récithéroïque, ou ayant attendu que tous ses coéquipiers se soient éjectés ou en position de lefaire, il s’éjecta lui-même selon ses dires, leur mort étant survenue après. Ce qui interloquacertains anciens témoins de la scène (notamment le canonnier de la tourelle arrière de l'avionde tête) lorsqu'on leur demanda leur avis au sujet de l’événement. Selon la version du soldatplacé dans la tourelle, l'avion loin d'être en flamme aurait pu être manipulé jusqu'à sonamerrissage, et ainsi ses occupants auraient pu être sauvés. Aussi peut-on en déduire que duconflit qui opposait le mode de vie nord américain laxiste à l'autisme japonais correspondantà l'époque (dans le rapport aux parents, ou le Japon s'illustre par un enfermement sanscommune mesure avec ce qu'on connaît en Occident, encore aujourd'hui mais d'une manièreinversée puisqu'américanisé (et qui nous ramène à un conflit vieux comme le mondefascistes/antifascistes), Georges Bush senior n’était pas le plus apte à le surmonter.Cependant, il représentait la tendance majoritaire puisqu'il est devenu président par la suite.Tout comme le vétéran du Vietnam Mc Cain, opposant d'Obama lors de l’électionprésidentielle américaine de 2008, doit représenter une partie américaine non négligeable,qui lui, fut fait prisonnier pendant le conflit avec le nord Vietnam. Les vietnamienscommunistes (dont les Usa n'ont pas réussi à les défaire) représentant un rapport aux parentssymboliques antagoniste apparemment difficilement surmontable pour eux. De sorte nousverrons que les Usa qui s’érigent en héros dès qu'ils en ont l'occasion, sont en fait peu capablesde s’émanciper même lorsque leur conflits sont médiés.

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5) la guerre du Vietnam et Hollywood :

L'assassinat de Kennedy et la réorientation des Usa par, entre autres, le couple LyndonJohnson, le milliardaire Hunt et leurs sphères d'influence, va avoir des conséquencesdramatiques, bien sur dans le monde, mais plus subtilement au sein même de la sociétéaméricaine.

Tout d'abord, s'il est un événement qui a traumatisé l’Amérique durablement et enprofondeur, c'est bien la défaite subie à l'issue de la guerre contre le Vietnam. Cette guerre adébuté en 1954 et s'est achevée en 1975 (or c'est précisement la période de construction duWTC). On sait que le rapport à l'argent illustre le rapport à la quête d’émancipation, car il enest la récompense mediée symbolique, de fait on s'aperçoit, pour peu qu'on observeattentivement, que c'est pendant cette guerre que le couplage dollar /or se transforme endollar/pétrole ( fin des accords de Bretton Woods : 15 août 1971 annulation de la convertibilitéor -dollar/ mars 1973 adoption du régime des changes flottants ). On passe dans lasymbolique de la quête d’émancipation, de l'or (symbole d'un combat plus vrai et plus justeque celui qui suit) au pétrole (donc pourrissement des forets ancestrales ou autres marécagespréhistoriques). Il n'est pas difficile de déduire que l'incapacité des Usa à surmonter le conflitmedié au nord Vietnam les fait basculer dans une dégradation répétitive d'enfermement et deconfinement aux secrets de familles accrue (n'ayant pas réussi à se défausser par lacontamination extérieure, de leurs problèmes internes (comme ils l'ont fait avec le Japon àl'issue de la seconde guerre mondiale), dans la confrontation directe, ils se les reprennentchez eux). Les Usa vont donc passer à un défaitisme malsain contaminateur à tendanceindirecte et plus propre à une posture dévirilisée, la méthode contre les russes varadicalement changer, et par exemple en Afghanistan on va mettre sur pieds des talibans de lapire espèce pour chasser les soviétiques. Et il y a un détail qui montre que tout cela est maltourné, parce que ce faisant, les américains ont laissé les gens les plus rétrogrades éliminer lesbons résistants comme par exemple Ahmad Shah Massoud (assassiné le 9 septembre 2001 etplus communément appelé le commandant Massoud) et qui chez eux représentaient lemouvement d’émancipation allant dans le bon sens (or c'est à cette époque de contaminationpar un terrorisme sous faux-drapeaux, que le sida va faire son apparition au grand jour). Ducoup il apparaît clair que le défaitisme américain amorcé au Vietnam est devenu un élémentcontaminateur de la quête d’émancipation à l’archaïsme des autres pays (les talibans ayantéliminé Massoud ayant pour projet de faire rétrograder leur pays dans un obscurantismearchaïque). Les Usa vont infiltrer les russes de l’intérieur et faire s'effondrer le bloc soviétiqueen répandant leur mode de vie dégradé (ce qui a donc donné les oligarques qui ont pillés laRussie sous Eltsine notamment).

C'est par un défaitisme consumériste accru et le droit aux déviances esthétisé que les Usadepuis le Vietnam contaminent les autres (et finalement l'empire anglo-saxon, qui estcoutumier du fait parce que ce comportement, les anglais l'avaient déjà eu avant, on peut seréférer aux guerres de l'opium de l’époque victorienne). Depuis donc leur défaite dans lesannées 70, les Usa filent du mauvais coton et sont confrontés intérieurement et à un niveausubtil, à un retour de bâton. Ce premier point était nécessaire pour contextualiser les filmsdont nous allons aborder les thèmes de fond maintenant.

Quel film sorti en juin 1975 soit deux mois après la chute de Saigon (emblème de la défaite des

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Usa), est considéré comme le premier blockbuster de l'histoire?

Pour comprendre véritablement les “Dents de la mer” qui est sorti en 1975, il faut s’intéresserau roman de Peter Benchley dont il est tiré mais aussi revenir sur un autre événementdramatique survenu en 1974 à Amityville dans l’état de New York sur long Island, dans unedemeure située au 112 océan avenue et devenue tristement célèbre par la suite.

Commençons par Peter Benchley :

«Peter Bradford Benchley est un écrivain américain né le 8 mai 1940 à New York et mort le 11 février 2006 à Princeton (New Jersey). Il est devenu célèbre avec son roman Les Dents de la mer (Jaws), écrit en 1974 et adapté à l'écran par Steven Spielberg en 1975.

Fasciné par les mystères de la mer, Peter Benchley rédigea beaucoup d'histoires ayant pour cadre le monde maritime.

Après avoir été diplômé de la Phillips Exeter Academy en 1957 et de l'Université Harvard en 1961, Peter Benchley travaille en 1963, pendant 6 mois, pour le quotidien The Washington Post. De 1967 à 1969, il rédige les discours du président Lyndon Johnson. En 1969, Richard Nixon devient le nouveau président et Benchley est remercié par la Maison-Blanche. Il se change alors en journaliste indépendant et écrit des articles pour Holiday, Life, Travel, The New Yorker, Time ou encore le National Geographic.

En 1971, Benchley présente à l'éditeur Tom Congdon de Doubleday un projet inspiré par de nombreux fait divers comme les attaques de requins dans le New Jersey en 1916 (une date sur laquelle nous reviendrons, car elle a une signification particulière dans l’inconscient collectif des américains). À la lecture du résultat initial, l'éditeur n'est pas vraiment satisfait par le ton humoristique et demande à Benchley de réécrire une très grande partie des 100 premières pages de son roman. Dans Les Dents de la mer, un grand requin blanc terrorise une petite

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ville de l'État de New York avant d'être pourchassé par trois hommes que tout oppose : Quint, un pêcheur bourru, Brody, le chef de la police locale, et Hooper, un jeune océanographe. Une grande partie de l'histoire se déroule sur terre, dans la ville fictive d'Amity, où Brody est à la fois préoccupé par l'adultère de sa femme Ellen avec Hooper et la menace que représente le requin pour le commerce et la municipalité.

À sa sortie en février 1974, Les Dents de la mer reste 44 semaines dans la liste des best-sellers. Depuis, le roman a été traduit dans de multiples langues et fut vendu à plusieurs millions d'exemplaires dans le monde, dépassant au moins le cap des 20 millions d'unités écoulées. Richard D. Zanuck et David Brown, producteurs chez Universal Pictures, furent passionnés par le roman et achetèrent les droits pour une adaptation cinématographique».

On notera que Benchley a travaillé sous Johnson puis a été remercié sous Nixon. Son roman,qui traite du fait que le héros Brody est préoccupé par le comportement de sa femme (qui letrompe avec un jeune océanographe et donc nouveau venu (Hooper)) et la peur d'unprédateur dangereux qui rode et pourrait porter préjudice à la communauté, il le débute peuaprès son limogeage. De fait Hooper dans le roman c'est sans nul doute le nouveau courantque représente Nixon, ou qui s’insère dans son sillage, dans l'Amerique du début des années70.

Or dans le film de Spielberg, non seulement Hooper ne se fait pas dévorer comme dans leroman mais en plus il devient l'ami de Brody... .

Maintenant venons sur l'affaire d'Amityville de 1974, elle est importante car Spielberg s'estapproprié le phénomène et l'a intégré à son film :

«Ronald Joseph DeFeo junior, surnommé "Butch", est né le 26 septembre 1951 à Brooklyn(dans l'etat de New York). Dans le milieu des années 60, la famille déménage à Long Island.Son père Ronald Defeo senior, ouvrier du textile, trouve un emploi comme chef de servicedans une affaire de vente d’automobiles à Brooklyn. Ronald DeFeo junior est alors Agé de 13ans, et l’aîné des 5 enfants de la famille.

Avec un revenu nettement supérieur, les DeFeo décident d’acheter une grande maison de stylecolonnial à Amityville au 112 Océan Avenue, dans les quartiers aisés, qu’ils surnomment "HighHopes" (Grandes espérances).

A 16 ans, Ronald DeFeo quitte la Memorial High School d’Amityville, ses résultats y sontmédiocres. Ronald DeFeo accumule les petits jobs d’où il était presque systématiquementcongédié pour absentéisme et finit par atterrir dans l’affaire familiale en tant que mécanicien.En dépit d’un train de vie aisé, Ronald DeFeo était un garçon maussade, l’argent que son pèrelui donnait, le fit plonger dans l’univers de la drogue, de l’alcool et des filles. Il lui arrivaitmême de dérober les salaires du personnel en faisant croire à un cambriolage de l’affairefamiliale.

En 1973, alors âgé de 22 ans, Ronald DeFeo assista à une querelle entre ses parents. RonaldDeFeo braqua son père avec un revolver et pressa la détente mais l’arme s’enraya et le pire futévité.

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Bien qu’apparemment gâté par ses parents, Ronald DeFeo estimait ne rien avoir et n'arrivaitpas à se construire. Sa famille lui inspirait du dégoût, et à l’automne 1974, il laissa éclater sahaine »… .

«Le père, Ronald DeFeo Sr., etait alors directeur général de La Brigante-Karl Buick Concessionà Brooklyn. Il etait marié à Louise Brigante et ils avaient donc cinq enfants : Ronald Jr., 23 ans,Dawn, 18 ans, Allison, 13 ans, Mark, 12 ans et John 9 ans».

«Le mercredi 13 novembre 1974, à 3 h 15 du matin, Ronald DeFeo Jr. prend son fusil, etassassine son père, sa mère, ses deux frères et ses deux sœurs pendant qu'ils dorment dansleurs lits respectifs. Le mystère qui subsiste réside dans le fait qu'aucun voisin n'a entendu decoup de feu. Selon l'autopsie, les corps n'ont pas été déplacés». Lors de son interrogatoire,piégé par ses contradictions et acculés par les enquêteurs, l’aîné de la famille finit par déclarer«Ça a démarré si vite. Une fois commencé, je ne pouvais juste plus m’arrêter. C'est arrivé sivite». «L'audition préliminaire a lieu le 22 septembre 1975 ; on plaide la folie pour RonaldDeFeo Jr. Ce dernier prétend que c'est le diable ou des voix qui lui auraient dit : « attrape-les,tue-les », Ronald DeFeo Jr. est condamné à six peines consécutives d'emprisonnement devingt-cinq ans de prison. L’affaire est classée par les scientifiques qui refusent d’y voir autrechose qu’une folie meurtrière». (extraits wikipedia et sites affiliés à l'affaire).Ce fait divers dramatique a donné plus tard et par le fait d’événements ultérieurs, le filmAmityville, la maison du diable (sorti en 1979, réalisé par Stuart Rosenberg). Mais passeulement... .

En effet, sortit en 1975, les “Dents de la mer” (considéré comme le premier blockbuster del'histoire rappelons le...) voit pour théâtre de sa tragédie, la ville fictive d'Amity (qui signifieamitié en anglais, ce qui a son importance), dans l’état de New York. La station balnéaire est laproie d'un terrible prédateur. A l'approche de la fête nationale, le moins que l'on puisse direc'est que ça tombe mal... Pour l'affronter : le chef de la police locale (Martin Brody interprétépar Roy Sheider), un océanologue fraîchement débarqué (Matt Hooper/RichardDreyfuss) etun vieux loup de mer (Quint/Robert Shaw). Le maire de la ville dans le roman a des lien avecla mafia, dans le film ça n'est pas abordé, toutefois au début du drame, il n’hésite pas à mettrela vie des gens en danger pour continuer à engranger des recettes. Pour ce qui concerne lemarin, l'allusion au roman d'Herman Melville, Moby Dick, est revendiquée (donc l'image typedu vieux loup de mer protestant dans l'imaginaire collectif), dans le film on sait de lui qu'ilétait sur le croiseur Indianapolis qui livra des composants de la bombe atomique surnomméelittle boy et qui fut coulé par les japonais après avoir accompli sa mission, c'est un faithistorique sur 900 survivants environs 300 furent repêchés, bon nombre de victimes l'ont étédu fait d'attaques de requins, Quint a donc un vieux compte à régler (cette période de laseconde guerre mondiale a visiblement eu du mal à passer). Les trois larrons s'embarquentsur «l'Orca», le bateau du vieux baroudeur (nommé ainsi parce que l'Orque est un prédateurnaturel du requin et que le marin est un chasseur de squale) pour une chasse qui dureraplusieurs jours et verra le monstre dévorer Quint, couler le navire, et finalement exploser pourdisparaître au fond des océans (en poussant une sorte de cri humain...). Brody et Hoopersurvivent donc à cette aventure et il ne leur reste plus qu'a s'accrocher à des barils flottantspour rentrer sur la berge.

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On notera plusieurs différences d'importance entre le film et le roman : «L'exception la plusnotable concerne la relation amoureuse entre Helen Brody et Matt Hooper. Dans le roman,Martin Brody est originaire d'Amity et il est issu de la classe moyenne. Sa femme Ellen, enrevanche, est issue d'une famille aisée. Ellen, lassée de devoir vivre à Amity commence àfréquenter Matt qui est également de son rang social (il est aussi le plus jeune frère d'un desanciens amants d'Ellen)».«Le long monologue de Quint à propos de l'USS Indianapolis esttotalement absent du livre, tout comme du scénario original». «Dans le roman, Matt Hooperest tué par le requin alors qu'il plonge pour l'examiner et cherche un moyen pour s'endébarrasser».

Pour aller directement au but, le personnage interprété par Robert Shaw, est devenu au coursdu tournage (et même si c’était bien de toute façon le modèle protestant de la vieille école quiétait visé) dans une moindre mesure tout autant le père de famille de l'affaire d'Amityville,Ronald Defeo senior, donc surtout d'une manière générale la génération chrétienneaméricaine d'avant guerre (donc celle qui y a participé, notamment par le conflit contre lejapon dans la seconde guerre mondiale et qui pour une partie, en a rechapé de justesse (c'estici que se trouve la faille), c'est attesté par l'allusion à la tragédie de l'Uss Indianapolis (quin’était ni dans le roman ni dans le scénario original)), submergée par l'incapacité de se sortirdu matérialisme croissant de son mode de vie, qui n'a pas réussi à s’émanciper (malgré lesapparences) et qui finalement se fait rattraper par ses démons (ses propres jeunes, poubelles àfrustration et à blocage défaussé des adultes plus absorbés par leur enfoncement matérialisteque par l'attention véritable qu'ils doivent à leur progéniture), mais notez, si l'on sort du filmspécifiquement, que ça aurait pu être donc à son niveau et avec la caractéristique de sa classesociale, tout autant Georges Bush senior qui fait parti de cette génération, lui aussi victimedes japonais pendant la guerre du pacifique (on verra qu'il ne s'inscrit pas tout à fait dans lamême lignée, pour autant une partie cette génération par sa défaillance au combat présentaitun point faible, or c'est elle qui paradoxalement, par Georges Bush senior va arriver au pouvoirà la fin des années 80). Le policier Martin Brody interprété par Roy Sheider, représente lagénération qui vient après celle du marin, donc la génération d'après guerre qui peut tout àfait correspondre à celle de Woodstock (tout comme dans la réalité le sont Georges Bushjunior (né en 1946, aîné de la famille, ancien cocaïnomane on l'a déjà abordé) ou RonaldDefeo Junior (né en 1951, l’aîné chez les Defeo, et adepte des drogues dures lui aussi), toutdeux ont démoli un héritage familial défaillant par de nombreux aspect, à leur manière, pourpeu qu'on y réfléchisse), et l’océanographe Hooper joué par Richard Dreyfuss (juif donc dansla vrai vie), symboliquement le courant sioniste (océanographe, c'est en rapport avec l'eau, leça, les courants de pensées et la navigation, de sorte à la fin du film, et alors que cepersonnage meurt dans le roman, le nouvel ami (Amity) du policier (donc nouvellegénération) c'est un océanographe juif). Spielberg suit par ses films, les américains sur un mécanisme dont il a parfaitementconscience (rappelons que dans Duel son premier succès en 1971, un représentant decommerce poursuivi par un camion (à forte consonance texane) en réchappe déjà dejustesse). Il suffit de regarder la scène ou le vieux protestant se fait dévorer par le requin et devoir comment les deux rescapés ricanent (du moins jettent des coups d’œil au dessus de leurépaule) en retournant sur la rive pour comprendre quel tour ils viennent de jouer (celacoïncide pour l'époque de la sortie du film avec la défaite au Vietnam, donc les requins desmers de chine méridionale ou du golfe de Thaïlande (Vietnam), ont visiblement achevé letravail de ceux des mers de philippines (Japon), et selon la lecture de Spielberg la génération

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Woodstock qui y a assisté s'en réjouit). Le film se termine sur de la flûte traversière, petitetouche finale avec un sous entendu aux teintes subtilement juives, to be continued eteffectivement cela va continuer... .

Parenthèse : il y aurait donc une double lecturedans la mort de Quint et ce que symbolise le requin. D'une part cette mort se juxtapose avec ladéfaite au Vietnam qui achève en partie la génération défaillante de la seconde guerremondiale ou du moins son rapport au monde par la confrontation dégradante (celle qui en arechapé de justesse (Uss indianapolis)), mais d'autre part, le requin peut-tout aussi êtreRonald Defeo junior, sinon pourquoi lui faire pousser un cri quand il s'enfonce dans l’océanaprès avoir explosé ? Ainsi Brody n'est pas seulement cette génération qui assiste à la défaitede l'ancienne, il est aussi celle qui rêvait de la voir disparaître et (on le voit par l'effetWoodstock mis sur pied au préalable) et qui va préférer s'adonner à la facilité en suivant lapiste tracée pour elle par le courant sioniste. Cette génération c'est aussi celle de Georges Bushjunior... .

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On peut se demander comment Spielberg aurait fait pour avoir un aussi bon timing etanticiper l’évolution de la société américaine de cette manière (si le film est sorti en 75, letournage a commencé en 1974, les prises extérieures ont débutées en mai 1974, or l'affaired'Amityville elle s'est produite en novembre 1974). Il faut savoir qu'un film peut-être adaptéen cours de route et réorienté (c'est d'ailleurs ce qui se produit dans la plupart des cas defigure), pour ce qui concerne les “Dents de la mer”, c'est une certitude, c'est ce qui s'estproduit. Voici ce qu'on trouve au sujet du film quand on cherche un peu : «dans le roman dePeter Benchley ainsi que dans le scénario original du film, Quint meurt happé par lesprofondeurs de l'océan après avoir eu la jambe attrapée par une ligne de harpon, tout commec'est le cas pour le capitaine Achab dans le roman d'Herman Melville». C'est encore la preuveque Spielberg et son équipe ont changé le scénario suite à un fait survenu en cours detournage, or le drame d'Amityville s'est déroulé pile à l'endroit ou se trouve la ville fictived'Amity dans le roman. Si vous n'avez pas encore compris qui est le requin dans l'histoire,attendez la suite.

On notera l'allusion au phénomène de Woodstock et de son impact de fond sur la jeunesse,dans la scène d'introduction du film. Par ailleurs, il ne faut pas perdre de vue que parRosemary's Baby, on sait aussi qu'une secte de sataniste s'attache à enlever un enfant avec lacomplicité ambigu de son père (c'est la trame du film). Tout cela, c'est la retranscription descourants de fond de l'époque et de l'influence du courant sioniste sur la société américaine.Le meurtre de la femme américaine de Polanski par les adeptes drogués de Charles Mansons'inscrit également dans cette optique, c'est pourquoi ces faits ont tant fasciné les gens, nous yreviendrons.

En parallèle, c'est la clé, il y a un autre facteur qui intervient et qui est directement lié :comment la communauté juive sioniste sait-elle aussi bien anticiper les mouvements de fondet arrive aussi bien à coller à l’évolution de la société américaine... Or aujourd'hui l'histoire estaccessible et connue :

27 janvier 1973 : signature du traité de paix de Paris, confirmation du désengagement desaméricains au Vietnam. 1er mars 1973, lors d'un entretien entre Richard Nixon et Golda Meir,les États-Unis réaffirment leur aide à Israël. Le même mois, le système des taux de changefixes s'écroule définitivement avec l'adoption du régime de changes flottants, c'est-à-direqu'ils s'établissent en fonction des forces du marché. L’équilibre est rompu. 29 mars : le repli

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des troupes américaines est achevée. 1er juillet : création de la Commission Trilatérale (États-Unis, Europe occidentale, Japon) par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski face à la «situation internationale très inquiétante ». 6 octobre - 24 octobre : guerre du Kippour ouquatrième guerre israélo-arabe. 16 - 17 octobre : premier choc pétrolier résultant du conflitisraélo-palestinien. L'OPEP décide une réduction des livraisons de pétrole. 23 décembre :doublement des prix du pétrole.

Ainsi l'histoire est tracée par de généreux donateurs et autres conseillers bien attentionnés...Amity... .

Vous comprenez peut-être un peu mieux pourquoi Brody et Hooper s'accrochent à des barilsflottants pour revenir sur la berge à la fin du film... .

En quoi l'aide des Usa à Israël amène forcement une défaite dans le conflit medié qui lesoppose aux nord vietnamiens ? Et bien c'est simple, dans une quête quel qu'elle soit, il y a labonne manière et la mauvaise, disons que dans une quête bien menée, il vaut mieux miser surle Christ que sur les marchands du temple. Rappelons que dans la symbolique des peuples, lesjuifs, face à Ponce Pilate le préfet de Judée romain (donc le représentant de l'empiredominant), sont ceux qui préfèrent libérer Barabas plutôt que Jésus de Nazareth, et qu'ilsreprésentent la traîtrise par Judas, soit la trahison par la retraite et le refuge matérialiste audétriment de l’émancipation spirituelle. De sorte les américains se sont enfoncés dans ladéfaite en misant sur le mauvais âne … .

En réalité en s'appliquant à faire échouer dans leur conflit médié les Usa (qui avaient étéincité avant, à entrer en guerre bien sur (c'est une mécanique bien huilée et appliquée delongue date, cela fait écho à l'épopée victorienne), il n'est pas impossible d'imaginer que leconfinement interne conséquent, se fut accentué sur les dernières générations (par lemécanisme du défaussement et de la non attention des anciennes générations envers leursjeunes, encore plus prononcée suite à la défaite à l’extérieur, ce qui aurait produit l'effetAmityville, un phénomène de fond utilisé par les sionistes comme prétexte par la suite pourdévier les nouvelles générations vers un mode de vie plus faux, superficiel et finalement à uncomportement autodestructeur en bout de course). Et tout ça peut se prouver parce que c'estcontenu dans les films produit par les juifs sionistes qui se sont accaparés Hollywood. Ils sesont servis de ce vecteur pour induire l'inconscient collectif de génération en génération enciblant surtout les jeunes (proies faciles puisque les femmes étant happées par l’organisationdu travail (génération Kramer contre Kramer 1979), et le mode de vie absorbant les parentsdans la compétitivité carriériste, ceux ci se rattachent à la tv et au cinéma (Rosemary's baby1968 déjà aborde déjà le phénomène, avec le rapport spécifique de son époque), mais de fait,

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et à condition de savoir décrypter l'inconscient, on peut démontrer quel a été le travail defond et les intentions qui les ont animé et ce depuis le début. Et cela renvoie à Jack et laharicot magique, c'est le même principe.

Revenons aux années 70 :

Si on analyse les courants de fond de l’époque, on ne que constater qu'en parallèle du fait quele symbolique protestant Quint se fait dévorer par le requin dans le film, les Usa se retirent duVietnam en admettant leur défaite, Ronald DeFeo Sr., directeur général de La Brigante-KarlBuick Concession se fait assassiner ainsi que toute sa famille par l’aîné de ses enfants, dans laréalité sur une période concomitante. Ronald Defeo Sr. et sa famille sont tout à faitreprésentatifs de l’Amérique de l’époque (ils sont néanmoins catholiques, ceci est tout à faitintéressant car il semble que la spécificité des Usa par leur deux branches catholique etprotestante et leur rapport au monde spécifique, se caractérise par le confinement internepour les catholiques et la déportation extérieure pour les protestants). Suite à la tragédie, aulieu que Quint se fasse emporter dans le fond par une ligne de harpon, Spielberg l'a fait sefaire dévorer par le requin (Defeo Senior est donc bien, aussi, le Quint du film, il est unsymbole de sa génération à cette époque par l'affaire Amityville, qui a profondément marquéles esprits et ce encore jusqu'à aujourd'hui et qui se retrouve transporté dans l'inconscientcollectif par le film les Dents de la mer, de fait le requin c'est aussi et entre autre la générationde Defeo Junior). Mais si un courant s'effondre, un nouveau le remplace forcement. Dans lefilm, le spécialiste des courants, de la mer et des poissons (avec la symbolique du ça déjàabordée) c'est l’océanographe Hooper nouvellement arrivé en ville, accessoirement juif dansla vraie vie (Richard Dreyfuss) et nouvel ami de Brody à la fin du film.

On comprend que le but pour Spielberg c’était d'induire une substitution de la penséeproductiviste américaine catholique/protestante de l'ancienne génération, au profit d'unenouvelle (génération d'après guerre) influencée par le courant juif sioniste incarnée parRichard Dreyfuss alias Hooper. Du coup on peut se repasser la scène ou Quint se fait dévorer,plusieurs fois pour apprécier ce que pensent les sionistes du courant protestant voir Chrétienaméricain élargi.

Et Brody le policier, donc la nouvelle génération, repart avec son nouvel ami. Et on peut allerplus loin, la nouvelle génération affiliée au courant sioniste, ça ressemble comme deuxgouttes d'eau à celle de Georges Bush junior. Il est sidérant d'observer la concordance entrel'affaire d'Amityville, les dents de la mer et la Dynastie Bush. Georges Herbert Walker senior /Georges Walker Bush junior-Ronald Defeo senior /Ronald Defeo junior. Quint dans le film est

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un rescapé de la guerre du pacifique (cuirassé Indianapolis coulé par les japonais) toutcomme Georges Bush senior (avion abattu par les japonais). Et on ne peut que constater queGeorges Bush junior l’aîné de la famille a récupéré en quelque sorte l’héritage de son père, parla présidence, et qu'il a coulé son pays. Par le pdg d'Enron (né en 1942, ami de Georges Bushjunior, né en 1946), on ne peut que constater que cette génération d'après guerre estautodestructrice et à dilapidé l’héritage de l'ancienne génération au profit d'un nouveau modede vie superficiel et maquillé sous la sophistication et le culte des nouvelles technologies(dont pratiquement tous les tenants sont juifs et surtout juifs sionistes). Et l’accaparement del’électricité californienne par cette compagnie privée (Enron) tend à montrer que c'est unphénomène qui tendait à se propager. Si vous vous penchez sur le scandale Enron, vous vousapercevez que l'administration Bush était impliquée fortement et que ces attentats du 11septembre 2001 tombaient à point.

On peut rétorquer que Georges Bush senior devint le président des Usa en 1988, preuve quecette génération d'avant guerre n'avait pas été balayé complètement, non seulement ça necontredit en rien le fait que cette génération présentait une faille de fond (la preuve avec le faitsurvenu pendant la guerre du pacifique et rapporté par James Hatfield) mais par lasymbolique du film et la politique étrangère menée par G.Bush sénior, ça concourt à ledémontrer. Par ailleurs, le but est surtout ici de montrer que d'une génération à une autre, seproduit une dégradation. Ce qui nous intéresse, c'est ce que va faire la génération d'aprèsguerre et comment l’héritage sera conduit, ça ne peut pas être un schéma copié collé pourchaque individus, la manière dont les choses se produisent de plus est différent d'une classe àl'autre, ça paraît évident mais du moins peut-on percevoir une tendance .l'humain confiné par phénomène de siphon collectif, dans le matérialisme et le blocage,l’échec émancipatif provoqué ou personnel, lorsqu'il est en bout de chaîne, comme l’étaitprobablement le jeune Ronald Junior à Amityville, défoule une violence inouïe. Cette violences'est donc déchaînée sur toute une famille en 1974 et il n'a pas échappé à Spielberg que cedrame couvait un symptôme de fond exploitable au profit de la cause qu'il défend. Lacommunauté juive sioniste a sauté sur l'occasion pour s’insérer dans cette facette obscure etprofonde de la société américaine (et qui voit une génération confrontée à une autre) dont latuerie d'Amityville est seulement l'une des expressions (ça n'est pas la seule, déjà en 1968-1969 il s'en était passé des choses (Rosemary's baby de Polanski mérite réflexion, l'affaireManson (et ses adeptes membres de la famille) y est d'ailleurs directement rattachée, elleillustre le fait que le courant sioniste après avoir influencé les classes aisées, a habilementretourné les classes pauvres et les nouvelles générations contre elle, Woodstock c’était ça, etl'assassinat par des drogués hallucinés (se faisant appeler la famille) de Sharon Tate (et du filsqu'elle attendait de Polanski) en est le symbole et la conséquence. Tate avait tout de cetteclasse aisée américaine qui cachait un précipice vertigineux et dont les failles ont étéexploitées, Rosemary's Baby c'est le début de cette influence avec le père Guy attiré au loin parles sirènes du star système et complice (et qui est d'ailleurs atteint d'une soudaine cécité), quiva donc participer à ce que le bébé soit enlevé par une secte de sataniste, cette secte ce sont lessionistes et le bébé ce sont les générations qui suivent. En poussant à la guerre au Vietnam, ilsont déviés les forces vives américaines à l’extérieur en sacrifiant une génération de jeunes, eten délaissant celle qui était resté au pays, au profit du carriérisme, de sorte ces jeunes ont étéfacilement retournés contre leur parents, de plus vient s'ajouter à cela un affrontement declasse, c'est cette mécanique qui permet de comprendre les Dents de la mer et l'utilisation del'affaire d'Amityville dans les médias et le cinéma par les juifs sionistes ). Et de l’échec de ces

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vieux protestants de la vieille école qui préférèrent la déportation de leur conflit interne et descatholiques qui eux se cloîtrèrent dans le carriérisme, naît un enfoncement dans lasophistication basée sur un banditisme accru et une violence de fond. «Attrape les et tue les»la phrase que Defeo prétend avoir entendue du diable, est repris par le courant et signifie ducoup : tout ce qui est fondé sur les bases chrétiennes protestantes ou catholiques(minoritaires) doit être détruit au profit d'une nouvelle donne. (A mon avis Spielberg doitêtre très bien placé pour parler des requins, ils doit les connaître de prêt, l'odeur du sang nelui échappe pas).

Il faut de plus ajouter au contexte de l'époque, la démission de Nixon le 9 Août 1974 suite auscandale de l'affaire du Watergate. Affaire du Watergate suspicieuse, car elle s'inscrit dans unepériode ou Nixon veut se débarrasser de tous les juifs sionistes de son gouvernement, lorsquece dernier après avoir marché main dans la main avec eux, se rend compte qu'ils se sontretournés contre lui. Là le requin qui dévore Quint on commence à bien le cerner...Si vous necomprenez pas demandez ses lunettes à Stephen King (celui-ci est né en 1947 (cette fameusegénération), il tout à fait représentatif de l'enfoncement de la société américaine dansl'horreur, sa carrière commence en 1973 après qu'il eut présenté son roman Carrie, publiéen...1974 ), on comprend donc que les Dents de la mer ça n'est que le début, car quand voussaignez et que le requin a senti l'odeur du sang, il ne lâche pas sa proie... .

Simplement, si le Quint des dents de la mer se faisait dévorer d'une manière ridiculementatroce dans le film, dans la réalité et malgré l'impatience de Spielberg, le mouvementprotestant/chrétien américain, s'il venait effectivement de perdre la jambe droite au Vietnam,avait encore la gauche. Georges Bush senior, tout comme la lignée Reagan au service duquel ila fait ses gammes, allaient donc continuer la quête en boitant. Mais ce mouvement avait plusdu Guy de rosemary's Baby, et l'indice qui permet de le comprendre, c'est l' attitude de Bushsenior pendant la guerre du pacifique, ça n'a pas l'air très solide, il y a une faille et cette faillec'est une porte ouverte aux sionistes.

Il est à noter que Kennedy, auparavant, est mort peu de temps après avoir mis en évidencequ'il y a avait dans son pays un état dans l’état et qu'il fallait s'en occuper. C’était en 1963,Kennedy avait amorcé un retrait partiel des effectifs militaires américains au Vietnam (qu'ilavait auparavant paradoxalement augmenté) et le président qui l'a remplacé s'est empresséde réinvestir l'armée et de gonfler ses effectifs dans le conflit. Cet état dans l’état, c'est d'unepart le courant de la vieille Amérique sudiste esclavagiste et suprématiste résiduelle (dont leTexas est l'un des emblèmes) et le courant sioniste. C'est ce pôle qui induit les Usa en erreurdepuis le début, et il est en lien direct avec le système monarchique anglais protestant, pour lecas de figure des sudistes, qui à l'origine, ne s'en sont pas du tout émancipés mais s'en sontappropriés les bases en les transmuant dans leur propre système pyramidal. Ça donne parextension la City et Wall street. Les Usa sont le pendant vulgaire du Royaume unis, ils se sontérigés sur imbécillité de l’époque Victorienne qui est elle même, le symptôme de la nonémancipation européenne au système monarchique protestant (1815 défaite de l’héritier de larévolution française Napoléon au profit de la persistance du modèle monarchique anglo-saxon, Rothschild s'empare de l’économie anglaise par le contrôle de la banque d’Angleterre).La victoire des monarchies non catholiques signe le début d'une ère industrielle etscientifique pathologique, elle amène par defaussement de conflit et de confinement interneau colonialisme, qui va couler la vieille Europe et la plonger dans l’abîme en 1914, engendrer la

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grande dépression de 1929 puis au deuxième conflit mondial de 1939 (qui a incité aucolonialisme au départ et pourquoi chaque erreur commise par les empires successifscorrespondent avec une étape de la construction d’Israël?)*.

(Ce qui me permet de revenir à la date de 1916 abordée plus tôt. J'avais indiqué que Benchleys'était inspiré d'un fait divers qui se produisit en plein été 1916 dans le New jersey. Desattaques mortelles de requins se produisirent à cette époque le long de la côte. Or voici, enparallèle ce qu'on apprend :

Extrait issu d'un site de presse alternative : «Le 2 novembre 1917, le ministre britannique desAffaires étrangères Arthur James Balfour adressait à lord Lionel Walter Rothschild une lettredans laquelle il manifestait le soutien de la Grande-Bretagne aux projets sionistesd’établissement d’un « foyer national pour le peuple juif » en Palestine. Cette « déclarationBalfour » est reconnue comme l’un des actes fondateurs de l’État d’Israël, dont la création seraofficialisée au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Depuis, il fut révélé, notamment par lejournaliste britannique Douglas Reed et le pamphlétaire américain Benjamin Freedman, quecette déclaration avait été négociée en contre-partie de l’entrée en guerre des États-Unis, quimit fin aux initiatives de paix lancées par l’Allemagne dès 1916.

Extrait du discours de Benjamin Freedman à l’hôtel Willard (Washington DC) en 1961.

(L'été 1916 : les Alliés à genoux, l’Allemagne propose la paix).

«Alors permettez moi de vous raconter ce qui c’est réellement passé tandis nous étions tousendormis. La Première Guerre mondiale survint durant l’été 1914. Il y a ici peu de gens de monâge qui se souviennent de cela. Cette guerre fut menée d’un coté par la Grande-Bretagne, laFrance et la Russie, et de l’autre coté par l’Allemagne, l’Autriche-Hongrie et la Turquie. Enl’espace de deux ans, l’Allemagne avait remporté la guerre.

Non seulement elle l’avait remportée nominalement mais aussi réellement. Les sous-marinsallemands, qui furent une totale surprise pour le monde, avaient balayé tous les convois del’océan Atlantique. La Grande-Bretagne se trouvait sans munitions pour ses soldats, avec justeune seule semaine de ravitaillement, et après cela, c’était la famine. Au même momentl’armée française s’était mutinée. Ils avaient perdus 600 000 soldats à la fleur de l’age dans lesbatailles de défense de Verdun et de la Somme. L’armée russe avait déserté ; ils ne voulaientplus jouer à la guerre et avaient raccroché leur « jouet » pour retourner à la maison ; d’ailleursils détestaient leur tsar. Quant à l’armée italienne, elle s’était littéralement décomposée.Durant exactement la même période, pas un seul coup de feu n’avait encore été tiré enterritoire allemand, pas un seul soldat ennemi n’avait encore franchi la frontière allemande.Pourtant, l’Allemagne proposait un accord de paix. Ils offraient à l’Angleterre une paixnégociée appelée par les juristes un status quo ante basis, signifiant « cessons le combat etretournons aux conditions d’avant la guerre ».

Durant l’été 1916, l’Angleterre considérait sérieusement cette proposition. Ils n’avaientd’ailleurs pas le choix. C’était soit accepter cette offre de paix noblement proposée par lesallemands, soit aller vers une défaite certaine.

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Tandis que cela se discutait, les sionistes de l’Europe de l’Est rencontrèrent le British WarCabinet. Je vais être bref, car ceci est une longue histoire ; mais je détiens tous les documentsprouvant mes déclarations. Ils dirent : « Écoutez nous, vous pouvez encore remporter cetteguerre… Ne baissez pas les bras…vous n’êtes pas obligé d’accepter la proposition de paix faitepar l’Allemagne. Vous pourriez gagner cette guerre si l’Amérique venait à vos cotés en tantqu’alliée. » Les États-Unis étaient alors hors du conflit. Nous étions jeunes, nous étionsinnocents, nous étions puissants. Ils dirent à l’Angleterre : « Nous vous garantissonsd’embarquer les États-Unis contre l’Allemagne dans cette guerre, si vous nous promettiez laPalestine après la victoire. »

En d’autres termes, ils firent ce pacte : « Nous nous chargeons de ramener les Etats-Unis entant qu’allié ; le prix à payer sera la Palestine, après bien sûr, la défaite de l’Allemagne,Autriche-Hongrie, et Turquie. » L’Angleterre avait autant de légitimité de promettre laPalestine à quiconque, qu’auraient les États-Unis de promettre le Japon à l’Irlande pourquelque raison que ce soit. Il est absolument absurde que la Grande-Bretagne, qui d’ailleursn’a jamais eu aucun lien en quoi que ce soit ou même un intérêt quelconque, pas plus que dedroit par rapport à ce qui est connu en tant que « Palestine », ait à l’offrir comme part dugâteau pour payer les sionistes en service de leurs actions pour impliquer les États-Uniscontre l’Allemagne.

En octobre 1916 cette promesse fut faite malgré tout. Peu de temps après cela, je ne sais pascombien d’entre vous s’en souviennent, les États-Unis, qui étaient presque totalement « pro-Allemands », soudainement entraient en guerre aux cotés des Britanniques.

Je répète que les États-Unis étaient quasiment pro-Allemands ; parce que les journaux étaienttous contrôlés par des juifs, les banquiers étaient juifs, toute l’industrie des mass media et del’information dans ce pays était sous contrôle juif. Et il s’avère que les juifs étaient pro-Allemands. Parce que beaucoup d’entre eux étaient venus d’Allemagne, et ils ne rêvaient qued’une chose, voir les Allemands faire abdiquer le Tsar. De tous temps les juifs n’ont jamaisaimé le tsar de Russie et ils ne voulaient pas le voir remporter la guerre. Ces banquiers juifsallemands, comme Kuhn & Loeb, et beaucoup d’autres banques américaines, simplementrefusaient de financer la France ou l’Angleterre du moindre sou.

Par contre, ils versèrent des sommes colossales à l’Allemagne. Ils avaient choisi leur campdepuis le début de la guerre. Ils dirent : « Tant que l’Angleterre et la France sont liés avec laRussie, ils n’encaisseront pas le moindre dollar. » Ils procurèrent à l’Allemagne des fondsmonétaires pour défaire la Russie.

Donc, ces mêmes banquiers juifs, réalisant la possibilité de décrocher la Palestine, serendirent en Angleterre et firent ce pacte. À ce moment précis, tout changea, comme un feurouge qui tournerait au vert. Quand bien même les journaux avaient été tous pro-Allemands,disant à l’opinion publique les difficultés qu’avait l’Allemagne à combattre économiquementla Grande-Bretagne et en d’autres secteurs, soudainement les Allemands devinrent mauvais,tout d’un coup ils étaient horribles, maintenant c’étaient des « Huns » qui se mettaient soitdisant à tirer sur les ambulances de la Croix Rouge et découpaient les mains des enfants.

Peu de temps après cela, le président Wilson déclara la guerre à l’Allemagne. Les sionistes de

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Londres avaient alors envoyé un télégraphe aux États-Unis à l’adresse du juge Brandeis, luidisant : « Occupez vous de Wilson, on a eu ce qu’on voulait de Londres. Débrouillez vous pourengager les États-Unis dans le conflit. » Voila comment les Etats-Unis entrèrent dans laPremière Guerre mondiale.

Nous n’y avions aucun intérêt, nous n’avions aucun droit d’être dans ce conflit, pas plus qued’être par exemple ce soir sur la Lune ou en tout autre lieu ailleurs que dans cette salle. Il n’yavait aucune raison pour que la Première Guerre mondiale soit notre guerre. On nous piégeaet nous y emmena à notre insu ; on nous parachuta dans ce conflit, ou, si je puis être vulgaire,on nous « aspira » dedans. Nous étions « le dindon de la farce », le pigeon d’une arnaquetendue par le sionisme international ; tout simplement pour qu’il puisse s’accaparer laPalestine.

Ceci est quelque chose dont le public américain n’a jamais entendu parler. Ils ne furent jamaisinformés de la cause de notre participation à la Première Guerre mondiale. Après avoir faitentrer l’Amérique dans le conflit, les sionistes s’en allèrent au British War Cabinet enAngleterre et tinrent à peu prés ce langage : « Voila que nous avons effectué notre part dumarché, nous voudrions avoir quelque garantie écrite prouvant que vous honorerez à votretour votre part du contrat et donc que vous nous céderez la Palestine ; bien entendu aprèsvotre victoire. »

À ce moment précis, personne ne pouvait dire si la guerre allait durer une année ou dix deplus. Donc ils imaginèrent une sorte de facture, un genre de récépissé qui avait la forme d’unelettre écrite en des termes vicieux la rendant mystérieuse et incompréhensible pour tout lemonde. Cela a été appelé la « déclaration Balfour ». Cette fameuse déclaration Balfour, donton a écrit tellement à propos, était simplement la promesse anglaise faite aux sionistes pourl’accord que ces derniers avaient passé pour embarquer les États-Unis dans le conflit. Cettegrandiloquente déclaration Balfour dont vous entendez parler abondamment est aussi facticequ’un billet de banque du jeu de Monopoly. Pour essayer d’être plus explicite, c’est la base detoute la crise. Les États-Unis se jetèrent tête baissée dans la Première Guerre mondiale etl’Allemagne fut écrasée ; bien sûr, après cela vous savez ce qu’il advint. À la fin de la guerre lesAllemands s’en allèrent pour signer l’armistice à Paris, à la fameuse conférence de paix de 1919à Versailles. Il y avait là cent dix-neuf juifs représentant le sionisme international, et à leurtête Bernard Baruch. J’y étais à cette fameuse conférence de paix à Versailles. Je dois donc de lesavoir».

Il n'est donc pas impossible que l'été 1916, les usa n'ont pas été uniquement la cible de requinmangeurs d'hommes, mais que cette date marqua profondément les esprits pour des raisonsplus subtiles et profondes, peut-être l'inconscient de Peter Benchley exprimait-il autre choselorsqu'il s'en inspira ... ).

*C'est suite à cet éloignement, cet enfoncement dans l'erreur et le matérialisme que les Usanaissent en tant que pôle dominant. Et à chaque fois les juifs sionistes œuvrent en silence etIsraël grandit. Il est une évidence à prendre en compte, c'est que la statue de la liberté (dérivéedu colosse de Rhodes grec et probablement du phare d'Alexandrie Égyptien) arrive en 1885 deFrance, un pays marqué par cette pathologie et qui verra se dérouler peu de temps après surson territoire le premier conflit mondial. De sorte les Usa sont marqués par la malédiction qui

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frappa la vieille Europe, car ses emblèmes sont les vestiges d'empires qui tous se sonteffondrés d'une manière dramatique en suivant le même mécanisme.

(Parenthèse: pour ma part les Usa n’étant pas complètement dupe, et se rendant compte(actuellement) qu'ils sont en train de plonger vers un précipice après avoir fait tous lesmauvais choix, je pense que ce marché transatlantique qu'on essaye de nous imposer (et jesoulignerais que tous les politiciens européens sont à la solde des Usa), leur servirait surtoutà se défausser de ce qui les attend ou du moins à en mutualiser les conséquences ou autresdettes affiliées, mais il est aussi possible que le but soit de former un bloc plus vastepermettant de faire face à d' autres blocs émergents (Russie/Chine/Brésil, Afrique dusud...etc), simplement les récentes révélations d'Edward Snowden révèlent une bien étrangefaçon de se comporter entre supposés alliés).

Attardons nous encore un peu sur cette ville de Long Island, ou s'est déroulé la tuerie de 1974 :«Le nom original de l'île, donné par les Amérindiens était Paumanok ce qui signifie l'« Île quipaye des tributs » étant donné que différentes tribus belliqueuses des environs contraignaientles habitants relativement pacifiques de Long Island à leur verser d'importants tributs». Onaborde là un niveau assez élevé dans la mise en relation historique, mettons pour simplifierque tout est lié...si on commence à parler de la dette des colons européens avec les natifsoriginaux appelés à tort indiens (ceci est du à une erreur de trajectoire des premiers colons quipensaient aux Indes au départ de leur périple) et bien, on en arrive finalement presque auxorigines du mal en quelque sorte, mais cela ne peut pas être abordé ici de manière plusdéveloppée... . On notera juste que les histoires de cimetière indiens et les malédictionsaffiliées sont omniprésents dans la culture américaine. Spolier et être spolié, telle est laquestion... .

A chaque fois qu'un drame survient, qu'une situation d’émancipation échoue et qu'unestructure s’écroule, il y a toujours quelqu'un pour dire que c'est la preuve que faire des effortsde fond ne sert à rien. La peur induite par la recherche de vérité et l’émancipation profonde(ces dernières remettant en cause le fonctionnement d'apparence induite par le refoulementsécurisant (à tort)), est toujours prétexte à l'enfoncement au pire. Pourquoi chercher às’émanciper quand on voit ce que cela engendre, faisons semblant , c'est bien plus simple et aulieu de travailler à s’améliorer et à résoudre les problèmes internes déportons nous àl’extérieur en allant parasiter des peuples moins avancés, mais dont les modes de vie dans lasymbolique qu'elles dégagent ont de fortes similarités avec notre structure profonde. Et aulieu d'aller par exemple au moyen orient aider les bons à s’émanciper, misons sur les mauvaispour nous accaparer leur richesses et s'enfoncer dans le paraître et la façade, tout encontaminant les autres et en se défaussant sur eux. Ainsi au fur et à mesure Israël croit enimportance (les marchands du temple fustigés par le christ pour leur culte de l'apparence etdes fausses entreprises parasitaires) ainsi que les fausses pétromonarchies anglo-saxonnesavec leurs villes mirages érigées sur l'exploitation de travailleurs de pays défavorisés.Plus l'homme refuse d'aller au fond de lui, plus il s’entête à se complaire dans l’étudematérielle, plus le matériel s'empare de lui (homme artificiel, clonage, virtualité,ogm) et plusil se dégrade. Les occidentaux ont oublié le sens de la vie et ce sont détournés de touteémancipation véritable au profit du culte du matérialisme, au contraire c'est l'excès qui estprôné. Chaque construction n'est solide que si l'homme qui la produit l'est au fond de lui. LeTitanic est une preuve que les apparences sont trompeuses, on ne se fie qu'à ce qu'on voit en

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dehors, mais sous la surface les choses sont différentes. Les occidentaux ont eu tort de toutmiser sur la surface et pas sur ce qui ne se voit pas... .

Le requin c'est donc tout autant l'échec de Quint que la violence de junior (l’échec deconfinement matérialiste du modèle social érigé sur une défaillance de foi, dont les nouvellesgénérations étaient tributaires) et le policier c'est cette nouvelle génération qui, à l'image dumeurtrier, viendrait de voir disparaître les reliquats du mouvement dynamiqueprotestant/catholique de l'ancienne école au profit d'un mouvement d'influence sioniste. LesDents de la mer c'est ça. En le comprenant, vous comprenez les attentats du 11 septembre2001. Georges Bush senior, Georges Bush junior. Vieille école protestante, nouvelle,destruction des anciennes fondations au profit d'une nouvelle axée sur une influence sionistede fond. On notera par le phénomène Anna Nicole Smith (qui a héritée de la fortune dumilliardaire J. Howard Marshall puis décéda par la suite d'une overdose en 2007) que tout unpan d'une vieille générations de riches industriels protestants qui s’étaient efforcés de monterleur entreprises en s’éloignant de l'essentiel, se sont vus happés, complètement dépouillés etfinalement rattrapés par une pensée puérile, superficielle, toxicomane, narcissique, suicidaireet intéressée (issue elle même de cette fameuse génération d'après guerre). Ce qui prouve queles protestants dans leur fondations ont un problème (on observera le profil de ClintEastwood, monsieur perte et profit du film pour une poignée de dollars et qui a signé desfilms assez pessimistes ces derniers temps Million dollar baby ou Gran Torino). Leursentreprises se sont effondrées par les générations que ces anciens avaient probablement tropnégligé au profit d'un matérialisme chronique et de façade, ils se sont érigés en héros, se sontéloignés à l'étranger en délaissant leur enfant mais dans le fond étaient trop immatures, onpeut dire que c'est une génération de colosses de Rhodes.

De sorte la génération qui vient après la seconde guerre mondiale est elle profondémentdéséquilibrée et autodestructrice, mais ce n'est encore probablement rien par rapport auxgénérations qu'elles ont elles même engendrée. On le voit aujourd'hui les américains selaissent pratiquement diriger par des adolescentes puériles, arrogantes, voir meurtrières maissurtout qui mériteraient un sévère recadrage. La fessée étant parfois ce dont l'enfant à besoinet qui prouve qu'on lui accorde de l'attention (encore faut-il savoir décrypter lecomportement de l' enfant et ne pas, par la violence essayer d’étouffer une injustice qui lui aété faite et qui ne sera donc pas corrigée). Parce que l’arrogance de ces demoiselles n'est justequ'une manifestation du manque d'attention et de reconnaissance issu de leur plus jeune age.Or s'occuper des enfants réellement pour ce qu'ils sont, c'est précisément le problème des Usaet de l'occident, on délaisse l'essentiel pour se plonger dans la compétition matérialiste. Çadonne des générations de pousse à bout et qui attendent la chute pour recevoir l’héritage.

On peut ajouter une anecdote à propos des lieux de tournage du film les dents de la mer. Eneffet une bonne partie s'est déroulé sur Martha's wineyard : «une île de 231,75 km² située surla côte sud de la presqu'île du cap Cod, dans l'État du Massachusetts aux États-Unis. L'île estsurtout connue comme résidence d'été de la jet set américaine et des présidents des États-Unis. L'île qui compte 15 000 habitants a hébergé la première communauté de sourdsaméricaine qui y a développé sa propre langue des signes, appelée la « langue des signes deMartha's Vineyard ».

«Le président des États-Unis Ulysses Simpson Grant fit de nombreux séjours estivaux sur l'île,

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dans la résidence Gingerbread, au village méthodiste d'Oak Bluffs. Jacqueline Kennedy,ancienne épouse du président des États-Unis John Fitzgerald Kennedy et mère de John-John,avait une maison à Aquinnah qu'elle garda jusqu'à sa mort. Le président des États-Unis BillClinton y passa des vacances d'été durant son mandat, avec son épouse Hillary et leur filleChelsea. La chanteuse Carly Simon est également une des célébrités ayant sa résidenceprincipale sur l'île. Le professeur de Harvard Henry Louis Gates y possède une résidence etl'actuel président Barack Obama est un visiteur occasionnel».

«L'île est devenue tristement célèbre le 16 juillet 1999, lorsque l'avion piloté par John-JohnKennedy, et transportant son épouse Carolyn Bessette et sa belle-sœur Lauren Bessette,s'écrasa en mer. Le politologue Samuel Huntington y est mort le 24 décembre 2008».

«Fox Mulder, le personnage principal de la série X-Files interprété par David Duchovny,retourne régulièrement chez ses parents à Martha's Vineyard. C'est un lieu capital dansl'intrigue de la série, où de nombreuses découvertes concernant l'enlèvement de sa sœur ainsique le rôle de son père dans la conspiration trouvent leur source». «L'essentiel de l'action dufilm The Ghost Writer de Roman Polanski avec Ewan McGregor est censée s'y dérouler. Maisle tournage s'est en réalité effectué sur l'île allemande de Sylt, en mer du Nord ».

Cette île a donc un fort lien, dans l'inconscient des américains, avec le pouvoir, les parentssymboliques et donc elle est un lieu qui focalise les intrigues de nombreuses fictions (quirappelons le, sont une médiation directe de l'inconscient collectif dans l'enfermement auxsecrets de famille et la quête d’émancipation affiliée).

Pour résumer les dents de la mer : Le requin symbolise dans le film, la finalité de ce blocagecollectif par la violence, il fait référence pour le vieux marin, au meurtre notamment du pèredans l'affaire d'Amityville et symbolise une génération qui vient avec la défaite au Vietnam etdonc le drame de 1974, de passer le relais de la pire manière qui soit. Un autre angle est celuides origines juives de Spielberg, et donc les raisons profondes qui le poussent à réaliser desfilms. Pour finir il y a le contexte de l'époque, le milieu des années 70 soit juste avant ledeuxième choc pétrolier. Dans la quête d’émancipation, par les personnages survivants,Spielberg se réjouit à la fin du film de l'échec de la génération d’américains protestante (c'estle mouvement majoritaire et bien que Defeo Senior ait été catholique, on peut l’étendre et lecomprendre comme le mouvement chrétien américain dans son ensemble) issue de laseconde guerre mondiale (guerre du pacifique abordée, conflit contre le japon) encore enrecherche de solutions (mal tournées il est vrai) mais dépassée par son incapacité às’émanciper et rattrapée par ce qu'elle fuyait. Cette partie de l'élan protestant chrétien éteintou entamé, c'est l'amorce vers un basculement de résignation matérialiste et l'inversion dequête qui s’accroît (il peut y avoir différente couche dans une inversion de quête, une autres'insère et ainsi de suite). De fait, la crise pétrolière ne sera plus longue à apparaître. Ce filmest directement à mettre en relation avec le fait que Duel, le premier téléfilm et succès deSpielberg, démontre que ce jeune juif avait parfaitement identifié le conflit de prolongationdans le confinement industriel qui animait les américains (le représentant de commercepoursuivi par un camion et qui en réchappe de justesse), de sorte le requin des Dents de lamer, c'est la peur et la folie haineuse suscitée par la prolongation de ce mode de vie et qui voitla disparition de l'ancien modèle finalement trop tourmenté pour surmonter ses vieuxdémons. Ça peut-être le judaïsme ou l’archaïsme qui dévore le protestantisme qui s’enfonce

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dans le matérialisme mais c'est à coup sur et surtout la destruction et la chute qui guettent àterme les Usa qui s’entêtent à ne pas vouloir s’émanciper et à se dégrader dans la répétitionsophistiquée (voir retour vers le futur 2, le passage du requin virtuel, c'est on ne peut plusexplicite).

Ce qui permet aux américains de connaître la première grande inversion de valeur de l'èreSpielberg, la rencontre directe dans l'inconscient collectif avec le peuple juif dans la quêteemancipative (là qui de fait est bien inversée), soit rencontre du troisième type (1977).L'inversion consistant à faire croire que les juifs sont des extra terrestres, or c'est tout lecontraire. Pour suivre la progression, Il y aura bien sur E.T. «Rentrer... maison» avec le jeuneaméricain Elliot passant en vélo de nuit devant la pleine lune avec son copain Hooper de 74dans son chariot frontal (on a compris l'idée). Il ne faut pas oublier l'opportunisme deSpielberg à l'époque et qui s’insère dans le sillage de la célèbre guerre des étoiles de sonconfrère Georges Lucas (1977-1983 pour la première trilogie) pendant et après un contexte decourse à la conquête spatiale et de confrontation au bloc soviétique. A noter que Spielbergréalisera le deuxième épisode de la série la quatrième dimension en 1983, l'histoire d'unemaison de retraite, dans laquelle un certain M. Bloom réapprend l'enfance aux vieillards, quiretrouvent leur apparence de jadis. Cela est tout à fait juif sioniste: c'est à dire en faisantassumer leur échec dans l’émancipation aux américains ou en exploitant la faillite de cesderniers, les juifs sionistes permettent de délester les anciennes générations des leurs pourleur permettre de se complaire dans leur blocage et le luxe, de fait Israël qui n'a fait queprendre de plus en plus d'importance au fur et à mesure des échecs chrétiens, doit beaucoup àSpielberg qui a induit des générations d’américains en erreur (mais pour nuancer, c'est unphénomène collectif, Spielberg n'a pu le faire que parce que le système l'a invité à le faire).Suivront la saga Indiana Jones (ou on prend le contrebandier Han Solo de Star Wars et pas leJedi dont personne ne se souvient du nom et qui se retrouve à faire la voie du Joker dans saversion dessin-animé), puis bien sur Jurassik park (1993) avec le fait de faire revivre lesdinosaures grâce aux nouvelles technologies... .

Nous venons de voir au travers du film des Dents de la mer et sa mise en relation avec lecontexte de l’époque, que suite à la défaite du Vietnam, un nouveau courant s’insère dans lasociété américaine, un mouvement sioniste vient influencer les nouvelles générations(générations avec une tendance de fond pour une partie, marquées par la haine et lerefoulement colérique destructeur, à l'image de Defeo Junior, ainsi qu'une autre ravie de voirl'ancienne échouer, et dont Georges Bush junior fait parti à son niveau). Nixon aprobablement été celui par qui le courant sioniste a pu faire une entrée en force dans lapolitique nord américaine (si l'on excepte Johnson), avant d'être trahi (l'affaire du Watergate yest liée) par ces derniers.

En réalité ces générations judéo-protestantes vont être formaté pour s’insérer dans unedynamique régressive sophistiquée dont les résiduels initiés par la tentative d'émancipationdes noirs au début des années 50 et l'apport pacifique de Kennedy vont entraver l'élan. Il vadonc falloir trouver une solution et les attentats grossiers du 11 septembre qui permettront demaquiller la bulle spéculative internet et le scandale Enron pour aller piller l'Irak (qui n'avaitrien à voir avec les attentats) seront la finalité de cette lente destruction et la base d'unnouveau plan de déportation contaminatrice qui profitera une fois de plus par la dégradationdes régimes socialistes laïques arabes, à Israël.

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Que va donc donner cette génération Woodstock très axée sur la cocaine :

Parenthèse, il aurait été rude de passer de 1975 aux années 2000 sans préciser que l'arrivée aupouvoir de Bush senior dans l'entremise, et qui finalisera la chute de l'Urss par le coup d'état(soutenu par les Usa) de Eltsine le libéral sur Gorbatchev le pseudo-communiste, (c'est à direque les communistes vont en fait tomber par les mouvements de mode et la corruption plusque par la confrontation directe avec les Usa) va aboutir après un seul mandat, à unerécupération “gauchiste” du mouvement et que Clinton va incarner.

En réalité, il y a toujours une amorce belliqueuse et entreprenante directe républicaine reprisepar une récupération laxiste démocrate indirecte. Carter qui n'a pas été le plus mauvais desprésidents américains, lui aussi illustre le mécanisme, il a initié indirectement contre laRussie (après que les autres se soient vautrés directement au Vietnam) le mouvement talibansen Afghanistan et qui dans le temps a servi de pretexte à la lutte contre le terrorisme par sesdéclinaisons de plus en plus viciées et violentes dans le monde musulman ( de Ben laden àIsis, il s'agit toujours des mêmes modes de financement israelo-anglo-saxons). L'ère Clinton(jouant du saxophone à la maison blanche ou riant avec Eltsine) correspond à une période decomplaisance consumériste accrue qui va déboucher notamment sur la bulle internet. Celle-ci est la manifestation d'une focalisation collective sur un culte des apparences et donc duvirtuel. Sous Clinton seront néamoins dégradés les courants antagonistes du Rwanda, del'Irak (embargo occidental commandés par les Usa, alors que Bush était directementintervenu sur le terrain puis s'était arrété en route), de la Serbie mais avec une défaitepitoyable en Somalie (mission restore Hope). Il y a une continuité dans la sophistication desmoyens au fur et à mesure de la chute spirituelle mondiale provoquée par uninterventionisme judéo-protestant avec une alternance belliqueuse interventioniste directe(républicains) et belliqueuse laxiste indirecte (démocrate/alternance éléphant mal tourné etane mal tourné). Ceci est valable pour la France (Sarkozy est intervenu directement en Lybie-Hollande ensuite indirectement en Syrie (avec des problèmes consécutif au Mali). Or queSarkozy et Hollande répondent aux mouvements américains ne doit rien au hasard car ils sontformatés pour cela plus que les présidents précédents (Mitterand parlait d'une lutte à mortentre le monde anglo-saxon et la France tandis que Chirac refusait la guerre en Irak (du moinsau début, il couvait donc Sarkozy plus que De Villepin)). Et on peut noter la lacheté de cesmouvements : Bush n'était pas assez courageux pour intervenir en Urss mais assez pour lefaire en Irak, il passera donc par les mouvements de mode et la corruption contre lesbolcheviques, Carter lui, était passé avant par les talibans en Afghanistan pour nuireindirectement aux soviétiques. On peut donc tout à fait identifier un mouvement global avecdes alternances interventionistes plus ou moins marquées mais quoiqu'il en soit lache etregressif de contamination et de dégradation. Celui abordé en début d'ouvrage.

6) Le scandale Enron et la bulle spéculative internet.

Selon le principe que le système se répète en se sophistiquant sans s’améliorer sur le fond(donc se dégrade), on peut prendre l'exemple de la bulle spéculative en 2000 sur internet etles nouvelles technologies, ainsi que la faillite et le scandale Enron provoqués par effet dedominos, cela nous permettra d'aborder les crises qui ont suivi (et qui nous amènent à Barack

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Obama).

les nouvelles technologies (surtout internet), représentent les moyens dans la prolongationdes secrets de famille ainsi que ceux de la quête d’émancipation médiée et affiliée (car on enfait pas que reproduire un état d'enfermement par la symbolique extérieure, on extérioriseégalement le besoin d'en échapper), donc la sophistication et la complaisance dans le cultequ'elles engendrent malgré elles (c'est la cantonnement et le confinement qu'on induit sur lesmasses qui en est l'origine, et le fait que ces dernières ont tendance naturellement de toutemanière à s'y complaire superficiellement). Elles permettent de nombreuses possibilitésnotamment dans l'accessibilité aux informations et l’échange, mais elles ne servent et ne fontqu'une seule chose principalement, permettre pour la plus grande majorité d’entre elles, deperpétuer les secrets de familles par le biais du commerce, donc assez vite de se complairedans la stagnation superficielle (la pornographie y est d'ailleurs largement répandue, il seraitamusant de voir les réactions si on interdisait la pornographie sur internet). Ces technologiessont plus sophistiquées et donc confondues (volontairement et hypocritement si l'on veutêtre honnête en raisonnant au niveau inconscient) avec le mouvement véritabled’émancipation (elles ne sont que moyens et non pas causes, mais les gens s'y complaisent ets'y perdent souvent en oubliant le principal). De sorte que lorsqu'elles ont été propagé, laplupart ont accueilli le phénomène avec un énorme enthousiasme , seulement comme toutest inscrit dans le même processus, et comme souvent dans un tel cas de figure, on alargement surévalué la chose. Ce que cela a amené surtout, c'est la possibilité d’étendre aumonde la superficialité commerciale de la pensée dominante. A part un accès facilité àl'information et aux données, aux croisements et aux échanges, rien de vraiment nouveau enfait, la radio, le cinéma et la télévision avaient largement ouvert la voie et annonçaientprobablement la vague et le flot à venir à l'échelle planétaire (du moins au niveau de la quêted’émancipation médiée car au niveau de ce sur quoi ça peut déboucher réellement au final, leséventualités semblent pencher vers un gigantesque filet à banc de poissons, de fichage et decontrôle dans le temps sur les populations et un régime totalitaire, rappelons que cestechnologies proviennent pour la plupart du pôle militaire). Le phénomène de poudre auxyeux dissipé, tout le monde retourne à sa stagnation mais en pire (avec la possibilité decritique étendue et d'organisation face au système et qui est propre aux réseaux, la facilitéd’échange d'informations et d'accès à des données difficilement accessibles par le passé, soit laquête d’émancipation affiliée. Donc internet et les nouvelles technologies, ne sont que desmoyens pour faire la même chose qu'avant et s'inscrivent dans l'attachement aux secrets defamilles et la quête d’émancipation qui y est attachée, simplement elles facilitent un peu pluschacun des deux aspects, le premier plus que le deuxième malheureusement).

(Parenthèse : Ainsi donc il n'est pas impossible de mettre en relation ces nouvellestechnologies pour parti avec l’héritage scientifique nazi récupéré de la seconde guerremondiale par les Usa, qui par déclinaison les ont apporté par la confrontation à la conquêtespatiale (donc par leur sophistication dans l'opposition à l’URSS, puis orientés et adaptéesdans une utilisation domestique de masse ensuite), et le culte fasciste de cantonnement àl’esthétique qu'elles risquent d’engendrer par la suite. Comme si le fait d'avoir voulu serebeller du laxisme collectif jusqu'à vouloir détruire le judaïsme en Europe, avait impulsé unesorte d’élan, mais que celui ci maudit car mal ordonné dans la violence et la vengeance,consistait en une sorte de dangereux bagage récupéré par ceux qu'on peut définir dans letemps par antifascistes mondialistes. Les antifascistes seraient alors de tristes hypocrites,

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désignant le nazisme comme le mal absolu tout en vouant un culte confiné et narcissique enparti à son héritage, et prêt pour cela à détruire la planète en gâchant toutes ses richesses,sous couvert de lutte pour la liberté.

Comme à chacune des crises qui ont marqué le 21ième siècle, la Fed (organisme privé derégulation des marchés aux usa, federal reserve system en anglais, c'est la banque centrale desÉtats-Unis mais elle est indépendante et n'est rattachée ni au président de ce pays ni à aucuneautre partie de son gouvernement fédéral) a joué un rôle central sur cette bulle spéculative,voici ce qu'on peut lire sur un site dédié aux traders (trader-finance.fr) à propos de la criseabordée :

“Entre 1995 et mars 2000 ... les investisseurs crurent que l’ère du tout-technologique étaitarrivée, confondant en cela promesses de croissance à moyen terme et rentabilité effective...les taux d’intérêt extrêmement bas pratiqués par les grandes banques centrales, la Fed en toutpremier lieu, encouragèrent alors l’investissement en Bourse“.

la même fed qui à cette occasion encouragea les gens à se diriger non pas seulement dansl’amélioration ordonnée et mesurée des moyens que peuvent apporter ces nouvellestechnologies dans la quête collective, mais surtout à plonger dans le culte des apparences etde l’esthétique affilié, remonta plus tard les taux d’intérêts suite à la guerre que lesadministrations Bush et Blair ont mené en Irak, jetant par la même des millions de gens à larue et qu'elle avait incité auparavant à investir dans l'immobilier, la fameuse crise dessubprimes qui entraîna par imbrication la crise financière de 2008.

Le groupe Enron, en parallèle, par son stratagème de se surendetter en le cachant par desfiliales fictives crées avec la complicité des banques, s'est fait prendre lorsque les agents dusystème n'ont pu que constater que la spéculation sur la valeur de cet essor des nouvellestechnologies était irréaliste et avérée surestimée.

«En 2000-2001, les actions Enron baissent fortement dans le sillage de l'explosion de la bulleInternet. Comme ces actions servaient de garantie à de nombreux montages financiersréalisés entre Enron et les banques, celles-ci demandent le remboursement de ces empruntscamouflés qui, dès lors, réapparaissent dans le bilan d'Enron» (extrait Wikipedia qui serarepris plus bas).

Quand les investisseurs ont voulu récupérer leur argent, Enron a du s'expliquer et le scandaleest apparu au grand jour.

Enron était une entreprise américaine fondée en 1985 (sur une base héritée de 1932 etremaniée en 1979) dont le siège social était situé à Houston au Texas, spécialisée au départ surle gaz, elle s'est diversifiée au fur et à mesure, dans l’électricité notamment mais aussi dansd'autres secteurs. Elle a créée en interne plus de 3000 sociétés off shores pour maquiller sescomptes ( «Enron utilisait largement ce type de sociétés non consolidées ... pour sortir desactifs ou des passifs du bilan. Ces sociétés, dont les sièges sociaux étaient installés dans les îlesCaïmans, les Bermudes ou les Bahamas (voir la symbolique des paradis fiscaux en débutd'ouvrage), rendaient ainsi le bilan plus "présentable"»).

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Ce qui veut dire pour simplifier, qu'Enron s'est éparpillé, de plus en plus égaré et s'est enfoncédans le plus superficiel jusqu'à l'absurde et les attitudes déviantes, tout en le maquillantintentionnellement dans la plus complète arrogance (comme si des gamins avaient été laissépar des parents démissionnaires, maîtres à bord d'un vaisseau fantôme sans plus de réel butprofond, jusqu'à tourner à l’intérieur de manière pathologique, puis en arriver à le détruire (etlà on parle d'entreprises comme médiation des secrets de familles, c'est à dire que la créationde ce genre d'entreprise correspond d'abord à la transmission d'un fardeau familial quiimplique, en premier lieu par la faillite du rapport au monde familial (donc l'incapacitéd’émancipation droite et honnête), une faillite dans l'externalisation matérielle de ce rapport).

Enron est au cœur de l'intrigue de tous les événement survenus depuis l'an 2000, car ellereprésente symboliquement l'incapacité des Usa à évoluer, à s'extraire de l’archaïsme de fond,le maquillage d'un système ultra-usé, qui va finir par s'effondrer de et par lui même pour sereplonger dans une fausse quête medié, maquillée sous des apparences de progrès. C'est àl'image de Bush fils qui récupère l’héritage de son père, coule quasiment toutes ses boites,comme il le fera avec le pays entier. Tout est lié dans cette histoire et même le fait que Bushjunior soit cousin éloigné de la reine d’Angleterre n'est pas étranger à l'affaire non plus. Il nes'agit pas de dénoncer les Bush comme responsables du malheur, entre autre des américainset surtout des Irakiens, ni de rendre la famille Windsor responsables de tous les maux de laterre, mais de voir au travers de ces familles une tendance collective. Les Bush étant alors unépicentre d'un mouvement de fond des Usa et par extension des groupes affiliés à l’étranger.Il faut comprendre comme il a été indiqué au préalable que tout n'est que symbole de conflitsinternes et médiés à l’extérieur, de sorte travailler dans le gaz, qui est l’émanation des foretspréhistoriques décomposées, c'est dédier ses qualités intellectuelles, réflexives à laprolongation des secrets de familles. Il n'est donc rien d’étonnant à ce que le pétrole ou le gazfinissent par provoquer de graves problèmes (guerres bien sur mais aussi dégradations(marées noires et pollutions atmosphériques)). C'est pour cette absurdité que les hommes sedéchirent aujourd'hui, jusqu'à proposer la fracturation hydraulique (donc symbolique dedestruction de la terre nourricière par incapacité d’émancipation aux secrets de familles).

Tant que le dollar était couplé à l'or, cela passait, mais dès que le dollar fut couplé avec lepétrole, le processus collectif de dégradation s'est amorcé de manière significative. C'estpourquoi nous nous sommes intéressés spécifiquement à la période ou la transition s'estproduite.

Voici comment Enron a procédé avec les banques (nous expliquerons ensuite ce que celainduit par rapport à la quête d’émancipation et pourquoi ceci est tout à fait en corrélation avecla catastrophe du 11 septembre 2001).

Ce passage est issu de Wikipedia : «Exemple de montage financier d'Enron; l'objectif est depermettre à Enron d'emprunter de l'argent sans que cela apparaisse dans ses comptes.L'opération implique trois acteurs : Enron, une filiale offshore d'Enron (comme Jedi, LJM ouMahonia) et une banque (appelons-la banque A). Tous sont complices du montage.L'opération est ici largement simplifiée.

D'abord la filiale vend pour un million de dollars de gaz à la banque A. La filiale, contrôlée parEnron, reçoit alors un million de dollars de la part de la banque A (un contrat de livraison de

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gaz est signé mais cette livraison n'a pas lieu ; seul son paiement est effectué). Enron vendensuite pour un million de dollars de gaz à sa filiale. Enron reçoit donc un million de dollarsde cette dernière. Enfin Enron achète à la banque A pour un million cinquante mille dollarsde gaz, et paie en plusieurs fois. La banque A recevra, au terme du processus, un millioncinquante mille dollars (les cinquante mille dollars sont, en réalité, des intérêts).

Quel est le résultat ? L'opération équivaut pour Enron à contracter un prêt d'un million dedollars auprès de la banque A et le rembourser progressivement avec des intérêts. Mais celaapparaît dans les comptes comme une opération commerciale, et permet à Enron de sesurendetter sans éveiller les soupçons».

Par rapport au sujet qui nous concerne, Enron a fait semblant de faire ( donc dans l'initiativeentrepreneuriale, la conception de pensée affiliée au gaz, c'est à dire symbolisée par le gaz (airvicié de pourriture des forets et marécages ancestraux), on est déjà dans la prolongation desecrets de famille conceptualisée (comme de nombreuses activités qui concernent la plupartdes gens ce n'est pas encore à ce niveau quelque chose d'exceptionnel), et dans cette faussequête affiliée, ils font semblant d'initier quelque chose, en passant par le biais de filiale fictivedans des paradis fiscaux, tout cela pour pouvoir emprunter directement sans que celan'apparaisse comme tel. C'est la banque qui procure la motivation et pas l'action supposéecommerciale. De sorte, cette entreprise Enron dans sa quête, était dans l'inversion complètedes valeurs et la prolongation dégradante puisque la banque, soit l'organisme de stockaged'argent (se reporter à l'usure dans les textes religieux plus bas*), était la motivation première.Emprunter par le biais d'un faux achat, via une fausse entreprise crée de toute pièce par soimême, pour maquiller son endettement, revient à s'enfoncer dans le superficiel, l'organismebancaire étant le principal moteur (et en toute complicité, ce qui induit que normalement unorganisme qui est censé être passif, est devenu actif et prédateur dans le fait que cetenfoncement matérialiste lui rapporte (c'est une manifestation du mouvementd'émancipation inversé ou les banques se transforment en sorte de trous noirs ou d'aimantsfortement magnétiques attirant vers eux tout ce qui est régit par un matérialisme forcené)). Siun organisme bancaire est la source de l’opération, sa cause et non pas un moyen, la quête estinversée. Cela revient à s'enfoncer dans le pire. Là, il n'y a plus rien à faire au niveau humain,ça va forcement s'effondrer à un moment ou à un autre.

Mais on peut simplifier ce mouvement à sa réalité familiale : ce sont les hommes qui a forcede faire la même chose déjà superficielle (se borner à répéter dans le labeur, les secrets defamille indéfiniment) finissent par se déviriliser dans leur entreprise, dévier, se diversifierdans le superficiel, le pire et se complaire dans le luxe et le culte affilié. De sorte on ne créeplus rien de solide, on passe à la seule ambition de contenter les actionnaires, de faire le plusde profits possibles vite fait mal fait, jusqu'à ce que la réalité vous rattrape ou que vous ayezréussi à vendre à une bonne poire qui devra alors assumer l’échec à votre place. Cela amène àun sentiment collectif d'autodestruction, palpable d'ailleurs en parallèle dans le fait que lesemployés d'Enron prenaient un malin plaisir à couper l'électricité en Californie, pour prendreles gens en otage et faire monter les prix, voir à chercher à faire s'effondrer le système en boutde course (voir documentaire «the smartest guy in the room» 2005 (l’électricité confirmantqu'Enron par sa mainmise représentait une tendance collective dans le rapport à l’archaïsmeconcentré en Californie, symbole mondial des apparences). Ça ressemble comme deuxgouttes d'eau à ce qui s'est produit le 11 septembre 2001 (à un détail près et de poids tout de

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même, c'est que pour le 11 septembre le but était d'une part de masquer le même genre defaillite (à plus grande échelle) en trouvant un prétexte fallacieux et intéressé, qui menaitd'autre part à un plan de conquête hégémonique inversé).

(parenthèse : En réalité, une question se pose, le système américain pouvait-il être sauvé ourattrapé et n'a -t il pas été intentionnellement démoli et en plus à tort dans l' analyse (faillitejugée irrattrapable) pour faire régresser tout un pan civilisationnel dans la facilité d'un conflitfictif de complaisance type Israël/petromonarchies arabes. Car si on observe le phénomènedans son ensemble, on remarque que tous les acquis d'émancipation (Christianisme et Islam)ont été au fur et à mesure et sont en train d'être dégradés au profit d'un retour en arrièremaquillé sous couvert des nouvelles technologies. Le phénomène de régression civilisationnelau niveau de la quête d’émancipation profonde est d'ampleur mondiale et elle est savammentremplacé dans l'inconscient des gens par la sophistication scientifique menant à l’aliénation.Ce n'est pas un hasard si le progrès tel qu'on nous le présente est porteur de naissancesartificielles, de fascisme pro gay et lesbienne, d'adoption pour tous, d’OGM, de droit à ladéviance..etc, et s'accompagne d'un surendettement chronique).

Suite : “D'autre part sur les résultats comptables, Jeff Skilling demanda comme condition à saprise de la direction, de tenir une comptabilité sur la base des prix du marché et non pas surdes valeurs historiques, ce que le cabinet Arthur Andersen accepta. Il faut savoir qu'aucunepratique ne réglemente encore le nouveau business model de Enron. Cette méthode decomptabilité à la valeur du marché qui est la règle dans le domaine de la finance est appliquéepour la première fois hors de ce milieu. Cela permet d'inscrire en comptabilité non pas lesbénéfices réels, mais les bénéfices à la valeur du cours du gaz au jour de la signature ducontrat“.

“La révélation des fraudes et l'effondrement de l'entreprise “ (Wikipédia):

“En 2000-2001, les actions Enron baissent fortement dans le sillage de l'explosion de la bulleInternet. Comme ces actions servent de garantie à de nombreux montages financiers réalisésentre Enron et les banques, celles-ci demandent le remboursement de ces empruntscamouflés qui, dès lors, réapparaissent dans le bilan d'Enron“.

“Le 31 octobre 2001, la SEC (le gendarme de la bourse américaine) ouvre une enquête“.

“Le 2 décembre 2001, la multinationale se déclare en faillite ; le cours de l'action chute à 1dollar en quelques mois. Environ 20 000 salariés sont immédiatement licenciés, tandis quedes centaines de milliers de petits épargnants qui avaient confié leurs fonds de pension àEnron (environ les deux tiers des actifs boursiers de la firme étaient détenus par des fonds depension ou des fonds de mutuelles) perdent l'essentiel de leur capital-retraite, car celui-ciétait constitué principalement de parts dans l'entreprise“.

“Des procédures pénales sont ouvertes contre les anciens dirigeants de l'entreprise : letrésorier, Ben Glisan fut condamné à cinq ans de prison. Le directeur financier, AndrewFastow, à dix ans (son épouse, Lea, fut elle aussi condamnée pour avoir aidé à masquer lescomptes)“.

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“Le 25 mai 2006, Kenneth Lay, 64 ans, fut reconnu coupable de six chefs d'accusation, dont lafraude et le complot ; mais il décéda d'un infarctus le 6 juillet avant de commencer à purger sapeine. L'ancien numéro deux d'Enron, Jeffrey Skilling fut reconnu coupable de 19 des 28accusations, dont fraude, complot, fausses déclarations et délit d'initié et condamné à vingt-quatre ans et quatre mois de prison le 23 octobre 2006“.

“La Cour suprême des États-Unis a décidé jeudi 24 juin 2010, d'annuler la condamnation deJeffrey Skilling, ancien PDG d'Enron, pour manquement à ses "obligations morales" lors de lafaillite de la société en 2001“.

“Les anciens partenaires de l'entreprise sont également inquiétés par les poursuitesjudiciaires, notamment : le cabinet d'Arthur Andersen, Citigroup, JP Morgan, Merrill Lynch,Deutsche Bank, la CIBC, et la Banque Barclays“.

Pour simplifier et comprendre ce qui s'est produit, nous allons reprendre l'analyse et observerl’événement en le rapportant à ce qu'il représente par rapport à la quête d’émancipation.

Enron maquillait ses emprunts (donc son endettement dans la prolongation des secrets defamille et la quête qui devrait y être affiliée, censée effacer l'endettement et faire fructifierl'initiative positivement sans dégrader le mouvement collectif) avec la complicité desbanques, (qui de fait rendent l’opération inversive dans les valeurs émancipatrices par ladépendance qu'elles induisent (*c'est pourquoi notamment, les musulmans respectant leurpréceptes ne veulent pas ce genre de pratique dans leur rapport à l'argent prêté, le Coran(comme la Bible) étant opposée ou mettant en garde contre l'usure soit le prêt à intérêt. Serendre dépendant d'un organisme de confinement d'argent qui en plus fait des bénéfices surl’opération, rend la quête inversée dans la direction émancipatrice selon le point de vue de laquête spirituelle car nulle quête purement matérielle ne peut émaner de la propensionnaturelle de l'homme à se rapprocher de Dieu). Le but était de présenter la société commeexcellente dans son entreprise symbolique et de cacher que la quête qu'elle était censéereprésenter, consistait en fait en un enlisement chronique dans la dette et l'accumulationd'erreurs. C'est toute l'arrogance d'un système qui s'est infiltré en Europe notamment parl'Angleterre, qu'on a présenté comme révolutionnaire et tellement mieux que lecollectivisme poussif, véritable frein à l'esprit d'entreprise (c'est du moins ainsi qu'il étaitprésenté), qui le précédait et qu'il s'est attelé à démolir (on peut prendre spécifiquementl'exemple de la France sous Sarkozy). De fait Enron, démasqué lors de la bulle spéculative destechnologies reliées à Internet, a fait faillite.

On peut constater en parallèle pour le phénomène collectif dont ce blocage de fond et cetteconcentration sur la forme sont les manifestations, que plus les propositions productivistessont superficielles, plus on les maquilles par des shows et des campagnes promotionnellesdont le coût est assumé en totalité par le contribuable. En somme, plus les personnes sontcreuses et déficientes dans leurs propositions productives (de fait répétitives, sophistiquées etdégradantes) plus elles sont arrogantes. Plus elles se maquillent sous les grades pompeux, lapublicité, le clientélisme et le faste, le tout pour un coût vertigineux. Mais elles n'assumenten rien leurs erreurs, elles les font supporter par les autres.

Avec la bulle internet, les deux crises procèdent du même phénomène : la répétition d'un

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même modèle, fictive et improductive voir dégradante de surcroît (même si les nouvellestechnologies arrivaient en force à cette période, le phénomène répétitif était induit car il s'agitde complaisance dans les moyens qu'elles représentent et qui est un comportement collectifrécurrent), simplement l'ancien modèle jugé trop dur à assumer va être volontairementdégradé et sabordé. De sorte tout ce qui tenait encore à peu près la route s'effondre au profitdu nouveau veau d'or superficiel. Ça a tout avoir avoir avec les propositions de rapport aumonde de Georges Bush père et Georges Bush fils, très proches l'un comme l'autre du pdgd'Enron. Le fils hérite des fausses entreprises de son père et les coule dans la plupart des caspar incompétence et par manque de carrure, que n'avait pas plus son père en réalité malgré lesapparences, idem pour le pays dont ils sont le point de conflit familial profond, ce qui permetà papa de revenir se complaire au moyen orient par le maquillage d'une faillite jugéeinévitable (à tort), sous couvert de «terrorisme». Les milliardaires texans (le Texas ancien étatconfédéré et esclavagiste) et les élites en général sont affiliés et en confrontation fictive avec lemode de vie des riches monarchies petro-gazieres arabes tel qu’établies par l'Angleterre enpremier lieu (qui ne s'est toujours pas émancipée de la monarchie dans son inconscientcollectif ce qui est central et majeur dans les causes profondes de blocage de nos civilisations),car non seulement elles ne veulent pas s'affranchir de ce mode de vie fastueux mais ellesveulent s'y complaire. Et ça, ça plaît aux juifs pro Israéliens radicaux. Ça leur permet d’établirde nouvelles bases dans le rapport des hommes à l’archaïsme, et qui est à leur avantage, enparticipant à faire régresser tout un pan civilisationnel vers des systèmes en corrélation avecleur idéologie (Un faux conflit inversé les menant à empiéter sur les terres occupées à la basepar les arabes, serait du coup éventuellement assumé et résolu par d'autres sur qui ils auraientréussi à se défausser), peut-être ont-ils donc inspiré ce plan du nouveau siècle américain quicontient toute les événements catastrophiques depuis plus d'une décennie, mais aussi toutesles étapes qui l'ont précédé pour aboutir au grand Israël.

L'entreprise Enron pour en revenir à elle, prenait donc via la privatisation de l’électricité, lesgens en otage pour faire monter les prix avec un cynisme incroyablement malsain, on peutd’ailleurs sentir déjà une odeur de pulsion autodestructrice derrière ces comportements, larépétition maquillée dans le matérialisme sophistiqué, et qui mène à la décadence. Enron,c'est aussi et surtout la prise en otage des consommateurs par la main mise du secteur privésur l’énergie utilisée collectivement. Un secteur privé irresponsable, incompétent et surtoutcloîtré dans l’échec (particulièrement arrogant et faussement sur de lui) car dérivéd'anciennes générations démissionnaires et déjà boiteuses (le cantonnement matérialisteinduit par une fausse entreprise au niveau symbolique engendre l'autodestruction sur lesdeux plans : moral et matériel). Tout cela juste avant les attentats du 11 septembre 2001. A cesujet, le bâtiment sept mystérieusement détruit en périphérie des deux tours principales ,abritait les documents de l’enquête relative au scandale, s’y trouvaient notamment «desbureaux bancaires et de compagnies d'assurances, ainsi que des bureaux occupés par le FBI, laCIA et le Département de la Défense des États-Unis, et notamment de nombreux dossiersconcernant les fraudes de Enron et de Worldcom, qui ont eu moins de chance que lepasseport de Mohammed Atta, étant bien entendus détruits, ce qui a handicapé fortement lesenquêtes en cours». Kenneth Lay le pdg d’Enron, (l’escroquerie Enron qui a abouti à l’une desplus grande fraude de l’histoire des usa rappelons le) était un très proche ami de GeorgesBush père et surtout fils (dont il fut un généreux donateur et de longue date à chaque électionauxquelles s'est présente G.W.Bush). Comme la famille Ben Laden, tous étaient liés auxsecteurs de l’énergie, gaz et/ou pétrole. Ça donne à réfléchir... .

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De fait, si on compare l'avion bombardier torpilleur piloté par Georges Bush senior, touchépar les japonais pendant la seconde guerre mondiale, avec la société américaine, si alors quel'affaire paraît mal engagée, les leaders s’éjectent en laissant les autres à leur triste sort, si onpart du principe que son fils va reprendre le flambeau, mais qu'on note que son passé decocaïnomane ne plaide pas en sa faveur quand à la capacité qu'il aurait eu de redresser labarre, qu'au contraire les entreprises qu'il a repris se sont pour la plupart effondrées, alors oncerne un peu mieux cette histoire du 11 septembre. Les Usa (dont le World trade center étaientle symbole dans la force productive et les échanges commerciaux) amorçaient une faillite, unedynamique qu'ils ne voulaient plus tenir, et certains ont du penser qu'un faux attentatterroriste permettrait de couvrir les erreurs des responsables et d'empocher de belles sommesen passant, plutôt que d'essayer de redresser la barre, d'autant plus que cela leur permettait desaisir une opportunité de médier leur conflit interne dans des guerres extérieures. Le filsreproduit une tendance du père dont il s'est retrouvé tributaire, par le defaussement dessecrets de familles, mais à sa façon.

Après ces drames et ces bouleversements, on revient en arrière dans notre rapport au monde,mais on maquille le tout sous les apparences des nouvelles technologies et le tour est joué, ona l'impression d'être dans le futur et le progrès, sauf que le rapport à l’archaïsme et ce auniveau civilisationnel a reculé dans l’émancipation véritable et se retrouve cantonné à unrapport au monde superficiel et daté, qui correspond tout à fait à un mode de vie Juif Israélienou de l'Occident du début du dix-neuvième siècle. Un modèle qui aboutirait à condition qu'ilarrive à s'imposer, ce que personnellement je ne crois pas, à gaspiller les ressources terrestrespour rien et alors que le temps presse, au profit d'une quête d’émancipation inversée, puisquepeu économe et complaisant dans le superficiel.

Or pour revenir à Enron et au 11 septembre 2001, c'est bien le mécanisme de fonctionnementmercantile américain qui vient d'être démasqué, à force de faire toujours la même chose maisd'une manière plus élaborée, de spéculer sur qui innovera dans le répétitif fictif et superficielmasqué, à force de faire semblant, ce pays a accumulé des dettes abyssales en tournant enrond dans son mensonge et blocage collectif et il a fallu à un moment tout démolir et fairecroire à une attaque terroriste pour pouvoir...continuer en pire. Car si l'endettement était déjàgigantesque avant les attentats du 11 septembre, il a depuis pris des proportions toutsimplement pathologiquement démentes. Et tout le monde est ramené en arrière dansd'anciens conflits qui permettent de continuer à stagner voir finalement à régresser (rappelezvous qu'aux élections de Georges Bush sont accolés des groupes tout à fait obscurs del’Amérique profonde et repliée sur elle même, la plus choquante manifestation étant cespersonnes qui pensent que les dinosaures et les hommes ont coexisté ensemble aux originesdu monde. Les européens ne s'imaginent pas à quel point l’Amérique profonde est fourbus degens retardataires (je les encouragerais pour cela même si c'est pénible, à visionner «Face ofdeath» un documentaire/fiction tourné par un médecin sur les morts qu'il a répertorié, c'estassez révélateur (même si ça commence à dater) pour peu qu'on sache lire entre les lignesnotamment la partie du crocodile et du shérif ou de ces groupes qui s'amusent à embrasserdes serpents). Au cinéma par exemple et qui exprime, rappelons le, une tendance collective,on revoit revenir Rambo ou Rocky, qui correspondent à une autre époque à laquelle ils étaientdéjà moqués pour leur niaiserie, (à part peut être pour le premier Rambo qui traite du retourdes soldats au pays, il faut lui rendre cela). Botox, chirurgie plastique, luxe, Alzheimer et

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décadence, c'est la même fausse évolution dans le monde de l'art et du cinéma ou on racontela même chose qu'avant mais avec des méthodes différentes (par exemple Pulp fiction deQuentin Tarantino), soit disant novatrices, mais qui ne disent rien de nouveau bien aucontraire, et on spécule sur le fait que tel ou telle technique vaut plus, est plus géniale qued'autres, sans se soucier du fond qui lui a tendance à baisser, comme si la faculté de décrireune souffrance dans la décadence relevait du génie, on pourrait appeler ça : hypocrisie dans lacomplaisance masochiste à la souffrance homosexuelle et lesbienne identifiée, le génieconsisterai non pas même à en sortir mais a inventer une porte ouverte sur l'avancéehétérosexuelle dans le rapport d’émancipation à l’archaïsme, ce qui prouve à quel point ce quele système tend à proposer est ancré dans la mauvaise direction. Voici donc notre époquerévélée, et le surendettement décomposé, beaucoup d'argent a du atterrir en Israël au bout ducompte.

Et l'Europe, alors que tout s'est effondré aux Usa, calquée sur l'american way of life, qui auraitpeut-être pu fonctionner si on avait fait la transition vers d'autres modes d’énergie à temps, aulieu d'en tirer les conclusions, s'est engagé sur le même mensonge. Preuve que nos économiessont une proposition superficielle et au moins insuffisante de rapport au monde. Nos élites,nos patrons n'ont pas daignés faire l'effort de lâcher le morceau, quitte à partir dans desguerres pour pouvoir remplir encore plus leur poches et permettre à leur aînés ou mentors dese complaire dans le luxe, quand on a mis un système en place et qu'il rapporte, pourquoi enchanger, même si tout le monde en pâtît, continuons dans l'absurde en maquillant le toutderrière la sophistication pour le maintenir (je signale qu'on est toujours au pétrole et au gazmalgré les apparences et les nouvelles technologies), alors on démoli les reliquat de solidaritéqui subsistaient et qui faisaient office de barrière morale et on plonge dans l'absurde : on avanté les privatisations comme avènement de libertés individuelles, c'est un deuxième mur deBerlin qui tombe, les prix vont baisser grâce à la concurrence et ceci et cela… le résultat : lesgens pris en otage au niveau des secteurs clés énergétiques ou tous les prix se sont envolés, lessalariés jetés à la porte de leur travail parce que les délocalisations et la main d’œuvre bonmarché ailleurs permettent d'engendrer plus de bénéfices, et ce quand bien même on enfaisait, c'est une belle Europe qu'on prépare, une imposture qualitative sur le commerce dedenrée sans contrôle (viande de cheval roumain au prix du bœuf français), des gens poussésau suicide à Edf, France telecom/orange, dans les administrations...etc.

Quand à la transition énergétique malgré les annonces grandiloquentes des politiciens quelque soit le bord dont ils proviennent, il n'y a pas eu de mise en place de borne électrique demanière globalisée. Aucun garagiste, et ça aurait du être au moins amorcé il y a 20 ans, n'a étéenclin à se former à l’électrique, ni a se diriger vers une transition. On est seulement en traind'aborder l'hybride. La réalité, c'est que les lobbys automobiles et pétrolier mais aussimilitaires et pharmaceutiques liés, ont procédés afin de bloquer la transition, leur but presserle citron jusqu'au bout, ils détiennent les brevets, certains avaient fait un essai pour rigoler,mais on retiré les produits face au succès (voir «Qui a tué la voiture électrique» de Chris Painesorti en 2006 avec Mel Gibson et à propos de la firme General Motors). La fonte de pôles nelaisse pas augurer d'une sortie prochaine des systèmes petrogaziers.

N'oubliez pas que derrière les modèles productivistes, il y a l’émancipation aux secrets defamilles, or non seulement nous ne nous sommes pas émancipés, mais nous en sommes àl'absurdité de proposition tel la fracturation hydraulique, ou on détruit carrément les sols

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pour en extraire le pétrole. Aller jusqu' a détruire la terre nourricière pour un peu plus depétrole, soit de la pourriture à raffiner, c'est aller au bout d'un entêtement absurde et autiste,cependant la raison est assez simple : les Usa n'ont jamais préparé la transition énergétique, ledollar est couplé au pétrole, si le pétrole disparaissait réellement, ça serait la fin del’hégémonie des Usa et probablement, le pays serait-il plongé dans le chaos pendantlongtemps. En vérité, les Usa, principalement mais pas seulement (l'Europe idem), ne veulentpas faire l'effort de sortir de leurs vieux modèles productivistes, bien au contraire, ilss'enfoncent dans des erreurs choquantes qu'ils maquillent par la sophisticationtechnologique… .

Parenthèse : La crise des subprimes et la crise financière qui a suivi sont directement laconséquence de la guerre en Irak. Ça n'est pas difficile a démontrer. Quand un pays fait laguerre, il puise dans ses réserves et emprunte, (La guerre en Irak, sur la foi d'un mensongeadmis aujourd'hui, à savoir les armes de destruction massives prétendument détenues parSaddam Hussein et son implication dans les attentats du World trade center du moins audébut de l'affaire, aurait coûté aux usa entre 1000 et 6000 milliards de dollars, voir plus) laconséquence c'est que la valeur de sa monnaie baisse.

Or si les transactions du baril de pétrole sont en dollar et que celui-ci baisse, les paysexportateurs de pétrole augmentent le prix du baril pour ne pas subir de perte sur lesbénéfices estimés avant sa baisse. Puisque le pétrole est plus cher, alors la fed qui régule les marchés aux Usa (alors qu'elle estun organisme privé), peut choisir (mais pas obligatoirement) de faire monter les tauxd’intérêts, afin que les entreprises dépendantes du pétrole n'en subissent pas de trop lourdesconséquences, suite à l'engagement militaire des usa en Irak, c'est ce qu'elle a fait.

Mais auparavant, cette même fed avait fait baisser les taux de sorte que les populationspauvres ont été incitées à emprunter pour acheter leur maison, chose qu'ils ne pouvaient pasfaire avant (les taux avaient été amené à leur plus bas taux depuis la fin des années 50),seulement ces taux étaient variables et non capés (c'est à dire sans limite au cas où les tauxdevaient remonter). Du coup ces populations pauvres n’étaient en rien protégés en cas decrise, les banques elles de leur coté s’étaient couvertes avec le bien récupérable par le biais ducrédit hypothécaire qu'elles proposaient. Or la fed a donc choisi d'augmenter les taux et desacrifier des millions d’américains non protégés en toute connaissance de cause, elle nepouvait pas ignorer leur situation.

La question c'est : est ce que le fait d'avoir relevé ces taux a évité pire encore, ce qui semblepeu crédible, les entreprises auraient pu encaisser le coup, ou est ce que les deux directeurssuccessifs concernés l'ont fait délibérément, le premier surtout. Toujours est-il que ces prêtshypothécaires étant imbriqués par le biais de titrisation dans la finance spéculativenotamment par l'entremise d'actions à risque, les secteurs qui y trempaient (parfois alorsque les banques le cachaient aux actionnaires) ont été impactés. C’est la crise financièreglobale.

Moralité faire la guerre, surtout sous de faux prétexte n'apporte que des ennuis. Le problèmec'est que les ennuis financiers ne sont que pour les péquenots qui paient leurs impôts. Carceux qui ont mis au point cette arnaque, c'est à dire ont démoli le système sciemment, ont fait

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des bénéfices gigantesques. Pour connaître les coupables, il suffit de regarder qui a gagné del'argent sur la période concernée. En réalité le dépeçage d'un système a été organisé par desprofessionnels de la chose, on voit qu'ils en ont l'habitude ou du moins qu'ils avaient bienplanifié leur coup et anticipé or pour anticiper il faut être au cœur de l’économie et dusystème. Alan Greenspan et Ben Bernanke, les deux presidents successifs de la fed, de 1987 à2006 pour le premier et de 2006 à aujourd'hui pour le deuxième, sont tous deux juifs etsionistes. Il est tout à fait choquant de constater que nos élites et génies de tout horizons, et ilssont nombreux dans les domaines politiques, l'histoire, les sciences, l'armée...etc, sontincapables de comprendre le mécanisme guerre/dette, déportation extérieure crise à longterme, juifs sionistes au cœur des décisions et chute annoncée.

Nous venons de voir que le courant imposteur de 63 (qui s'est établit en contradiction avec lesaspirations du peuple américain qui avait et allait revoter pour Kennedy), non seulement aplongé le monde dans une chute vertigineuse en détournant la dynamique collective vers desguerres stériles qui ont plombé les économies mondiales, dans l'optique d'un plan décidédepuis au minimum l'Angleterre colonniale, mais en plus a produit une génération qui vacontinuer ce plan de manière grossière (ce que le père Bush n'a pas finit en Irak à l'extérieurpar la guerre du golfe, ou en 93 à l'intérieur avec le Wtc, le fils l'achevera grossièrement) etaccentuée de manière dantesque. Et par les dents de la mer, on sait qu'ils ont été conseillé parles juifs sionistes comme à chaque fois au cours de l'histoire : ces gens sont incapables deproposer quoique ce soit qui tiennent la route, cela laisse à réflechir quand au gouvernementmondial unique qu'ils voudraient mettre sur pied.

Le remplacement progressif de la réelle tentative d'émancipation des années 50-60 (vial'assassinat de tous les leaders qu'elle representait et le travestissement de la dynamique parles mouvements de mode) nous amène donc à une imposture de bas étage dont Obama etOprah winfrey ne sont que l'aspect visible : de faux noirs judéo-protestantisés dédiés auconsumerisme, avec un filet résiduel (Obamacare) de l'ancien canal, mais presque totalementsoumis à la juivisation collective. Obama est un pale reflet dévié de ce qu'aurait du être l'élannord américain si les judéo-protestants radicaux n'avaient pas triché pour dévier le tout versleur projets superficiels dégradants. Comprenez que si les Kennedy et King n'avaient pas étéassassiné, probablement par effet de domino, l'Afrique aurait pu tenter de sortir de son statutde poubelle de défaussement du monde. Revenons-en donc à Obama, car souvenez-vous, c'était bien le but du départ.

né en 1961, cet homme devrait donc représenter cette jeunesse américaine post Vietnam, dontles parents ont été retourné contre les anciennes générations et le pouvoir en place, dans unefausse rébellion vouée la soumission matérialiste et la complaisance superficielle sur lemodèle de la prohibition des années 30, prolongées dans le temps, y compris par leurprogéniture, par le racket opéré à l’étranger et la propagation de leur superficialité défaitistedans le monde. Or quand on recherche un peu , on s'aperçoit que ça cadre tout à fait avec leparcours de l'actuel président des Usa. Sa mère Ann Dunham, blanche gauchiste venant deSeattle (boeing) avec ses parents et installée à Hawaï (volcan), rencontre sur place uncommuniste agitateur noir, Franck Marshall Davis qui est selon toute vraisemblance, levéritable père de Barack Obama. En pleine guerre froide cette union fait tache, les parentsd'Ann Dunham obligent cette dernière à couper les ponts avec Davis et déménagent à Blaine,

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dans l’état de Washington près de Seattle et de Vancouver, c'est dans une clinique Canadienneque naîtra «Obama». Puis retour à Hawaï, mariage avec un indonésien (Barry Soetoro) quiadopte le fils de Dunham, déménagement en Indonésie pour plusieurs années, retour aux Usapuis entrée à l'université de Colombia pour «Barack Obama» en tant qu'étudiant étranger.Donc le choix de faire passer Barack Hussein Obama (Kenyan) comme le père de l'actuellocataire de la maison blanche, ne provient que de la volonté de cacher le vrai pèrecommuniste (guerre froide, années 60) Franck Marshall Davis. Et cela cadre tout à fait avec lapolitique américaine actuelle. Gauchisme post guerre du Vietnam cloîtré dans lematérialisme et le culte du luxe, dépouillement de l’Afrique (ça cadre avec le faux BarackHussein Obama kenyan) sur un modèle gangstériste de la prohibition des années 30, pouraboutir à un niveau, par rapport à l’émancipation de fond, qui se juxtapose avec lasymbolique Indonésienne à laquelle les Usa ont tenté de se confronter par la guerre duVietnam (sur un mode contaminateur). Barack Obama, pas la personne en elle même, maisplutôt le rôle qu'elle joue et qu'on lui fait jouer, est une imposture. Il devrait s’appeler Davis.Il est né au Canada puis fut Indonésien (révélation du niveau des Usa suite à leur défaite danscette partie du monde à la fin des années 60 au Vietnam (il faut souligner que toutes leschaussures de sport sont fabriquées dans cette partie du monde, ça n'est pas du au hasard))de père communiste, d'une mère gauchiste, il est la conséquence de Woodstock, commeHollande la conséquence de mai 68. Pour faire une synthèse de ce que tout cela sous entend :le prétendu Barack Obama est un comédien qui illustre tout à fait la réalité des Usaaujourd'hui, la défaite du Vietnam a engendré une complaisance accrue dans le laxismeconsumériste sur un modèle mafieux contaminateur et de déportation internationale.L’Afrique n'est qu'un prétexte pour continuer à prolonger cette mascarade et contaminer lesautres par cette pathologie tout en les dépouillant, la réalité c'est que la mascarade de laguerre contre les communistes perdue au Vietnam, a engendré une génération de gauchistearrivée aujourd'hui au pouvoir qui fait croire qu'elle intervient en Afrique pour la liberté despeuples, en réalité la liberté de s'enfoncer dans la facilité cantonne les Usa dans la symboliqueindonésienne non loin de là ou ils échouèrent contre les Vietcongs (je pille l'Afrique pour mecomplaire dans un blocage dont l’Indonésie est le contrepoint de blocage émancipatifprofond).

Obama est une création tout à fait paradoxale, si l'on observe le moteur de l'Amérique et samécanique basée sur la confrontation avec l'Urss, Barack Hussein Obama, né en pleine guerrefroide d'un père communiste agitateur noir et d'une gauchiste blanche s'étant fortprobablement adonnée à la pornographie, illustre une étrange réalité : par un mécanismed'enfoncement dans la défaite d'émancipation à l’archaïsme de fond et de complaisance dansle matérialisme et suite notamment à la défaite dans le conflit qui les a opposé aux nordvietnamiens et donc à l'Urss par médiation, dans le temps le modèle américain est devenuune machine à fabriquer des bolcheviques hystériques du libéralisme libertaire et de laconsommation sans frein mais au service de la finance, des grands monopoles et des sionistes.Voici pourquoi la pédophilie revient toujours d'une manière ou d'une autre en filigrane,l’enfoncement dans l'américan way of life à outrance s'est faite par la manipulation de lajeunesse pendant qu'on détournait les parents ailleurs. De la même manière que les juifssionistes radicaux arrivés à la tête du système soviétique se sont appliqués à démolir lachrétienté dans cette partie du monde, les sioniste américains sont en train de préparer entreautre les Usa et l'occident à se diriger vers des conflits globaux (à terme condamnés à êtreinternes) probablement destructeurs pour l'Occident et au profit d’Israël, en exploitant les

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faiblesses des sociétés minées par leur propre matérialisme (l'idée directrice pour les juifssionistes, c'est qu'il n'y ait plus de blancs (d’où l'incitation au multiculturalisme, au mélangeet le fait qu'ils montent systématiquement les nouveaux arrivants contre les locaux) et qu'ilsse substituent à eux. Selon leur vision, les seuls blancs qui resteront (si leur plan fonctionnait)seront juifs, ils veulent être en haut de la pyramide et être le centre d'impulsion, les autresraces mélangées et sans bases devrant être par la suite utilisées dans la médiation de leurpropre rapport au monde, en évinçant les blancs et en s'y substituant, ils s'accaparent toute lalignée humaine en devenant le courant directeur (qui donc auparavant émanait des blancsoccidentaux en général (c'est un fait)).

La génération Georges Bush senior s'est bien attelée à continuer de dévier la dynamiqueKennedy par des guerres de déportation extérieures ruineuses (guerre froide achevée par lachute de Gorbatchev et le soutien de la Cia à Eltsine) tout en ciblant les pays arabes laiquesrésiduels comme l'Irak (première guerre du golfe), c'est à dire en continuant à dégrader lecommunisme et le socialisme ou qu'ils se trouvent pour poursuivre les plans d'hégémonietransposés de la vieille Angleterre, le fils Bush n'a fait que poursuivre les idées du père.D'ailleurs le World trade center avait déja été ciblé en 1993 à l'arrivée de Clinton au pouvoir(c'est à dire que les attentats avaient été mis sur pied par les services de l'ancienneadministration, donc Bush le père) et l'Irak avait déja été pointée du doigt. Bush junior a doncpris la suite du père de manière grossière. Il est à noter pour finir que cette famille provientd'une lignée elitiste (les Bush sont liés aux Windsor d'Angleterre), les conflits internes sontdéviées sur le bas vers les classes inférieures pour des questions de maintien, c'est pourquoicontrairement aux populations pauvres qui sont incitées à mal se comporter, on ne voit jamaisun fils Bush tenter d'assassiner son père, même symboliquement. Ils se maintiennent aupouvoir en faisant dévier ses tendances vers le bas de la société. C'est la différence entre Bushsenior et la Quint des dents de la mer et entre Bush le fils et Defeo junior.

Pour finir on retrouve une continuité dans la géopolitique telle qu'elle est appréhendée ausein de ses pôles d'influence décisionnaires élitistes : le premier directeur de la CIA AllenDulles avait proposé via le projet Northwood, de faire assassiner des américains en masse pourensuite accuser Cuba et déclarer la guerre. C'est la raison véritable de son limogeage parKennedy, or on retrouve le même Dulles dans la commission Warren chargée d'enquêter surl'assassinat du 35ième président des Usa et nommé par Johnson. Il est évident que le coupd'état de 1963 à dévié la dynamique collective vers un rapport au monde de plus en plusmalsain, violent et faux dont les attentats du 11 septembre 2001 sont un indice que le degrès device dans l'élaboration de ces impostures ne cessent de croître.

7) Mai 68.

Quand je disais qu'il faisait parti des plans judéo-protestants (on peut finalement maintenantdire mondialistes) de détruire au cours du temps, le socialisme français qu'ils ont provoquépar le meurtre de Louis 16, mai 68 s'inscrit dans la continuité de la chose. En réalité ceux-làmême qui ont assassiné Kennedy sont derrière mai 68, ils voulaient dégager De Gaulle quiavait récuperé l'or français in-extremis avant que le couplage or-dollar ne soit transformé endollar-pétrole. Ce qui est intéressant, c'est que la génération de mai 68 et celle qui suit tout desuite après (Dont Sarkozy et Hollande font parti) ont été formaté pour détruire le modèlesocial français et préparer le marché transatlantique de manière tout à fait cynique. Ainsi au

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fur et à mesure de la chute post 68 arde et de l'accroissement de la dette, lorsque Sarkozyarriva finalement au pouvoir, il fit basculer la France de pro-palestinienne à pro-israelienne,puis rendit l'or que De gaulle avait sauvé aux Usa tout en se faisant passer pour son héritier. Ilprivatisa à outrance la société, puis dissolut la culture française résiduelle par unmulticulturalisme forcé. Il engagea les forces armées aux ordre de l'empire mondialiste audétriment de l'économie nationale et finalement François Hollande et ses sbires ne sont quela continuation laxiste gauchiste de la chose. Les positionnements belliqueux de Bush le fils(directs) puis d'Obama (indirects), ont donc tout naturellement été accompagné par Sarkozypuis Hollande dans une synchronicité choquante (au point qu'Hollande voulait faire arrêterEdward Snowden pour le faire traduire en justice aux Usa, lorsqu'il révéla le scandale de laNsa).

8) La symbolique du mont-blanc, le plus haut sommet d’Europe occidentale.

On habite dans des lieux en fonction de son état d'esprit, plus on se réfugie dans les hauteurs,plus on se replie sur soi et la difficulté.

Par exemple le Mont-blanc est un point de convergence d'une souffrance collective,symbolisée, d'une part par la montagne (Mont-blanc plus haut sommet d'Europe occidentale,donc point culminant symbolique d'un blocage collectif, dans cette partie du monde), la neigeéternelle, le froid, le gel, point de blocage du psychisme (rappelons que tout n'est quesymbole extériorisé de lutte interne), l'aiguille du midi en forme de balle de fusil ou derevolver (le viol symbolique et medié du père (pour l'aspect direct, mais qui concerne aussi lesfemmes) avec sa réaction, la volonté de tirer sur autrui après avoir trinqué, donc une réactionviolente contenue (tant bien que mal selon les cas de figure) à un blocage non résolu, soitune injustice menant au cantonnement cumulatif entraînant une violence complexée) et lamer de glace qui en découle pour arriver au dessus de la vallée, soit le long cheminement quiramène à la civilisation et à la collectivité. Et d'ailleurs ce n'est pas par hasard, il y a eu desaccidents d'avions historiques là-bas ( "24 janvier 1966 Un Boeing 707 de la compagnie AirIndia effectuant le trajet Bombay-New-York, s'écrase sur le massif du Mont-Blanc. A son bord,117 passagers et Homi Bahabha, le père de la bombe nucléaire indienne (qui se rendait à uneconférence de paix et de limitation des armes utilisant la technologie nucléaire). Il n'y a aucunsurvivant. Seize ans auparavant (3 novembre 1950), le Malabar Princess, un autre appareild'Air India, s'était abîmé au même endroit faisant 48 morts". Un autre accident notableimpliquait un ex pdg d'air France en 1961 «Nous sommes le mardi 29 août 1961. Il est13.07...Le télécabine... est bondé de touristes en cette fin d’été. La distance qui sépare les deuxsommets est de 5100 mètres et il faut alors près de 45 minutes pour que les trente-six cabinesaccrochées par groupe de trois les relient en intégrant huit arrêts...soudain, dans unhurlement de réacteur, un F84-F français, chasseur d’entraînement et de reconnaissance del’armée de l’air, passe en rasant la paroi rocheuse entre l’Aiguille du Midi et le Gros Rognon, cedernier distant de plus de 1600 mètres du départ du télécabine. Dans une manœuvre deredressement de dernière seconde, le pilote militaire accroche avec l' aile gauche le câbletracteur qui guide à ce moment un groupe de trois cabines entre le gros Rognon via la gared’arrivée et le sectionne. C’est l’endroit de la ligne où la pente est la plus forte. Les fragilescabines d’aluminium qui s’élèvent vers l’Aiguille du Midi se trouvent d’un coup privées detraction et entament immédiatement une brutale marche arrière. Elle se séparent du câbleporteur au passage du Gros Rognon pour finalement s’écraser 150 mètres plus bas de l’autre

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côté en dévalant la face rocheuse à plus de 3526 mètres d’altitude. L’installation, privée decâble tracteur, s’arrête net. Au sol, dans ce qui reste des bennes, 6 personnes ont perdu la vie.Dans le ciel, commence pour les 81 autres passagers bloqués l’angoisse d’un sauvetage quireste exceptionnel».

Ce qu'on peut dire de la vallée de Chamonix, c'est que si le site est situé en France, ce sont lesanglais qui ont initié la ruée vers l'alpinisme là-bas. Or aujourd'hui, ce sont bien les anglo-saxons qui y sont les plus présents. Ce qui n’était pas le cas dans les années 80-90. De sorte lepoint de conflit symbolisé par le Mont-Blanc est fortement anglo-saxonnisée. Mais cela nouspermet d'aborder un point intéressant, si le Mont-blanc et la vallée de Chamonix sont lasymbolique extérieure du complexe collectif aux anciennes générations (et peut importelaquelle, car le mécanisme étant le même pour tous, les symboles comme l'aiguille du midi,la mer de glace par exemple, fonctionnent pour chacun, on dira pour être exact que le niveaud'appréhension est plus rude pour les anciennes générations, leur rapport au monde étantplus archaïque et brut) donc à l’archaïsme, on peut se dire que devrait s'y trouver (notez queplus on monte en altitude, plus le rapport d’émancipation est difficile et l'enfermement auxsecrets de famille est grand) des gens qui illustrent totalement cette manifestation. Or il est àChamonix un certain Édouard Balladur. Ce personnage est d'origine Turque (et plusanciennement Arménienne de par les mouvement familiaux). Il apparaît dans legouvernement de Pompidou (lui même premier ministre de De Gaulle) dans le milieu desannées 60, puis dans le gouvernement suivant lorsque Pompidou deviendra président, justeaprès mai 68 et qui obligera l’état à emprunter via des banques privées. Mai 68 c'est le mêmemécanisme que Woodstock aux Usa, on a incité les jeunes à s'enfoncer dans un matérialismeforcené après avoir prôné un laxisme total, (c’était le cheval de Troie de l'american way of lifeque le plan Marshall d'après guerre et l'intrusion nord américaine dans les processus culturelsdes pays infiltrés cachait) et surtout la faillite d'un patronat laxiste et démissionnaire (dans lefond de la quête émancipatrice contrariée) mais surtout intéressé par l'exploitation juteuse dela médiocrité incitée qui n'est que le défaussement de leur défaitisme de fond sur les échelonsinférieurs de la hiérarchie collective, la génération mai 68 c'est un peu l’équivalent de lagénération Brody aux Usa ou Defeo junior trop heureux de voir le vieux Quint se fairesurmonter par son défaitisme matérialiste, donc pour le cas de la France de voir partirDeGaulle. Or Balladur en 68 va devenir, et il le restera jusqu'en 81, le président de la Sociétépour la construction et l'exploitation du Tunnel du Mont-Blanc. On le voit, le lien entre lephénomène mai 68 qui prépare à une société au narcissisme consumériste est concomitant àun élargissement accru des point d’échanges et de circulations commerciales. Ce qui estimportant c'est surtout que c'est via Balladur qu'arrive un certain Sarkozy, quand on parle dedégradation de quête, on ne peut pas ne pas observer l’évolution du courant français venantde Balladur. Or sous la période de la cohabitation et le gouvernement Chirac, Balladur va sedistinguer par une politique libérale en adéquation avec les lignes Reagan, Thatcher donc lesinitiateurs du futur néolibéralisme libertaire. Son passage au ministère de l'Économie et desFinances est récompensé par le Prix Jacques Rueff, puis par celui de « ministre des Finances del'année », décerné par le FMI. Donc, d'un point de vue de la quête d’émancipation, leconfinement dans les secrets de famille et la prolongation du matérialisme conséquent, labranche Balladur issue du courant Rotschild Pompidou, est une des branches qui vaparticulièrement conduire à un endettement chronique, au point qu'il va permettre à unSarkozy plus tard, et qui n'en est que le fil dégradé, de rentrer par effraction au gouvernementen faisant les poches d'une milliardaire sénile , triste héritière d'un empire cosmétique assez

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symbolique d'une certaine France résiduelle d'après guerre, qui dilapida une partie de sarichesse, soit dans une homosexualité parasitaire (le pseudo artiste photographe) soit auprofit de sales mômes intéressés voir ayant des intentions doublement masquées (politiciensde l'Ump notamment dont les méfaits furent poursuivis par leur pendant laxiste socialisteavec l'alternance Ump/Ps). Peut-être la France pourrait s'en sortir par un consensus collectifregroupant les aspirations nationales sur des points clés tel la sortie du nucléaire et desénergies fossiles, ainsi que la réappropriation d'une identité propre. Cependant tout dépenddes aspirations collectives, si les gens préfèrent en majorité le mondialisme qui leur estproposé alors Alea jacta est.

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