Eckhart TolleRobert S. Friedman

Le Secret de Milton

À la découverte du pouvoir du Présent,

en passant par Avant et Plus tard

Illustré par Frank Riccio

Traduit de l’anglais par Michel Saint-Germain

Titre original anglais :

Milton’s secretAn adventure of discovery through then, when, and the power of now

© Illustrations by Frank Riccio

Hampton Roads Publishing Company Inc.1125 Stoney Ridge Road, Charlottesville, VA 22902

Copyright © 2008 by Eckhart Tolle and Robert S. Friedman

Édition française :© 2009 Ariane Édition Inc.

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Traduction : Michel Saint-GermainRévision linguistique : Monique Riendeau

Révision : Martine ValléeGraphisme et mise en page : Carl Lemyre

Première impression : août 2009

ISBN : 978-2-89626-065-2Dépôt légal :

Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009Bibliothèque et Archives nationales du Canada, 2009

Bibliothèque nationale de Paris

DiffusionQuébec : ADA Diffusion – 450-929-0296

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www.dgdiffusion.comSuisse : Transat – 23.42.77.40

Imprimé en Chine

À mes enfants,

Jonathan, Matthew, Marc et Sophia,

qui m’inspirent chaque jour.

– Robert S. Friedman

À mes filleuls, Justin, Francesca et Jackie boy

– Frank Riccio

Milton, un garçon rayonnant et joyeux, aimait la vie. Il aimait sa mère, son père et sa jolie maison.

Et aussi son chat Papouille.

Et il aimait jouer au ballon-chasseur à la récréation.

Il aimait l’école et son enseignante, madame François.

Par-dessus tout, il aimait, après dîner, accompagner son papa chez le glacier pour prendre sa coupe glacée préférée.

Un jour, à l’école, alors qu’il était en train de jouer à la balle avec son ami Théo, il vit un garçon beaucoup plus grand, l’airméchant, s’avancer vers lui, grimacer et luidire : « Milton. C’est quoi, ce nom-là ? T’esbizarre, toi. »

Puis, soudain, le garçon poussa Miltonassez fort pour le faire trébucher et tomberpar terre.

Confus et effrayé, les genoux égratignés,Milton ravala ses larmes.

Juste à ce moment, madame François arriva àla hâte et lui prit la main.

« Retourne immédiatement en classe », dit-elleà Cédric.

Tout en s’éloignant, ce dernier continua deregarder Milton en murmurant quelque chosecomme : « La prochaine fois, je t’aurai. »