Le VIH est-il la cause du Sida ? Pourquoi 2000 scientifiques se
posent-ils la question? http://www.aras.ab.ca/rethinkers.htm
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Examinons deux faits Le problme pos par lvolution dmographique
en Afrique. Lvolution des cas de Sida compare celle de la
sropositivit aux Etats-Unis
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1. Le cas du Botswana Selon les Etats-Unis :
http://www.census.gov/ipc/hiv/botswana.pdf
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Le rsultat des recensements effectus au Botswana en 1991 et
2001 donnent (http://www.statoids.com/ubw.html)
:http://www.statoids.com/ubw.html
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Un calcul classique permet dobtenir laccroissement annuel de la
population : Soit 2,4% On constate donc que laccroissement rel de
la population est trs proche de celui dun Botswana sans sida
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Des rsultats similaires peuvent tre obtenus pour dautres pays
dAfrique Australe, par exemple pour le LESOTHO :
http://www.census.gov/ipc/hiv/lesotho.pdf
http://www.statoids.com/uls.html Avec des chiffres encore plus
tonnants : Une prvalence de 24% Un accroissement annuel de 1,7%
avec cette prvalence et de 2,3% sans cette prvalence de la
sropositivit. Un accroissement rel de 3,2%
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2. LUganda En rsum, il indique que, comme lUganda est pass en
10 ans dune population de 16,5 Mios (prvalence de la sropositivit
30%) 23 Mios (prvalence 5%), cela signifie quil y a aujourdhui 3,8
M de sropositifs en moins. La lettre de Matthew Black, membre de
lInstitut de surveillance du Sida au Kenya, est sans quivoque :
http://www.nationaudio.com/News/DailyNation/08122003/Letters/Letters081220
035.html Que leur est-il arriv ?
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Un article rcemment paru montre que cette volution ne peut tre
due une modification des comportements en matire de sexualit :
http://www.washingtonpost.com/wp- dyn/articles/A48464-
2005Feb23.html?sub=new http://www.washingtonpost.com/wp-
dyn/articles/A48464- 2005Feb23.html?sub=new Les auteurs indiquent
mme que cette diminution ne peut tre due qu la mort des sropositifs
manquants. Ce qui impliquerait une augmentation de 5% par an de la
population sil ny avait pas de sida !
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Que penser de ces deux faits bruts ? Il est absurde de penser
quun pays comme lUganda puisse atteindre un taux de croissance de
5% lan. Par ailleurs les donnes botswanaises posent un problme
vritable quant au modle (Epimodel) utilis pour estimer le nombre de
sropositifs et la mortalit, lesprance de vie censs en dcouler.
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La raison vritable du miracle ugandais est lutilisation de
tests Elisa la place de lutilisation de la dfinition de Bangui. Une
vrification des rsultats Elisa par le Western Blot devrait conduire
une diminution encore plus drastique des cas de sropositivit Le
continent Africain, finalement, a peine plus de sropositifs recenss
(et non pas estims) que les Etats-Unis dAmrique
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Les rsultats de ltude sur la cause des dcs en Afrique du Sud
sont en tous cas significatifs : depuis plusieurs annes, le nombre
des dcs attribus au sida tourne autour de 10000 par an. LEpimodel,
appliqu en Afrique du Sud, conduit un nombre aberrant : 370000, ce
qui laisse 130000 morts/an pour les causes classiques, soit environ
3 pour mille, loin devant la France, qui prsente un taux annuel de
mortalit de 9 pour mille.
http://www.statssa.gov.za/Publications/P03093/P03093.pdf La
mortalit en 2002 tait de 499268 personnes, pour une population de
45454211 habitants, soit un taux de 11 pour mille, mettre en
rapport avec le taux de 13 pour mille observ en Hongrie.
http://www.statssa.gov.za/Publications/P0302/P03022002.pdf
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Il est temps de se poser la question : Quest ce que lEpimodel ?
Les personnes testes sont les femmes enceintes (tests antnataux).
Certaines tudes des annes 80 ont montr que la prvalence de la
sropositivit dans la population gnrale tait la mme que chez ces
femmes enceintes (Ghys & al.) Il semble donc, qu une certaine
poque, lEpimodel prsentait un semblant de validit.
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A lheure actuelle, ou la relation montre dans ces annes-l est
fausse, ce qui entrane la fausset de toutes les estimations donnes
dans les mdias Ou bien, la relation entre vih et sida est beaucoup
moins vidente quon la dit
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Pour comprendre un peu plus, voici les donnes pour les Etats-
Unis, obtenues grce aux publications des CDC et du NIH Nombre de
cas de sida avr, de 1985 nos jours Rfrences : CDC p 405-406
http://duesberg.com/papers/chemical-bases.html
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On retrouve la mme volution concernant la mortalit due au sida,
avec un dcalage dun ou deux ans :
http://membres.lycos.fr/intoxsida/efficacite_traitements.png
Page 16
Prvalence de la sropositivit pendant la mme priode Sources :
2004: 950,000 http://www.niaid.nih.gov/factsheets/aidsstat.htm
Columbia Chronicle: Government health agencies report up to 950,000
HIV cases in US
http://www.ccchronicle.com/back_new/2004_fall/2004-11-22/citybeat.php?
id=333 2000 and 2003: 950,000 http://www.avert.org/statsum.htm
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5347a3.htm 2001: 950,000
http://www.wrapp.net/art-not-being-treated.html 1 million:
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5021a5.htm 1996: 950,000
http://hab.hrsa.gov/reports/rp14.htm 1991: 1 million
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001880.htm Prior to
1990: one million http://www.consumeralert.org/fumento/hiv-pill.htm
1990: 1 million
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001846.htmhttp://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001846.htm
1989: 1 million to 1.5 million
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001477.htm 1988: 1
million to 1.5 million
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001274.htm 1987: 1
million to 1.5 million Human immunodeficiency virus infection in
the United States: a review of current knowledge. MMWR 1987; 36
(Suppl 6) 1-48
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00014715.htm 1 million to
1.5 million Dondero T. Human immunodeficiency virus infection in
the United States: A review of current knowledge. MMWR
1987;36:125-174.
http://hivinsite.ucsf.edu/InSite?page=kb-07&doc=kb-07-04-01-01
Curran, J. W., Morgan, M. W., Hardy, A. M., Jaffe, H. W., Darrow,
W. W. and Dowdle, W. R. (1985) The epidemiology of AIDS: current
status and future prospects. Science 229, 1352-1357
Page 17
Comment expliquer cette volution ? Lexplication classique : -
partir de 1995, lincidence du sida symptomatique a chut grce
lutilisation de la trithrapie. Mais cette diminution a commenc en
1993 ! Remarquer par ailleurs la stabilit de la prvalence de la
sropositivite, mesure par screening des banques de sang.
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Lexplication alternative : -Avant 1985, les essais
thrapeutiques recherchant lradication des maladies opportunistes
ont cr de nouveaux cas de Sida. Une tude a posteriori concernant le
Bactrim montre bien quon a jou avec le feu. -Aprs 1985,
lintroduction de lAZT (oxydant trs puissant) a fait senvoler les
cas de Sida -- partir de 1992, la suite de lexprimentation
Concorde, le dosage dAZT a t graduellement diminu jusquau quart de
la dose initiale -- partir de 1995, la lamivudine (rducteur soufr)
a t rajoute au rgime mdicamenteux.
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Expliquons un peu tout cela Si un virus (VIH) est seul
responsable de la sropositivit, puis du Sida, la relation entre VIH
et sropositivit doit tre NECESSAIRE et SUFFISANTE Sil existe une
exprience qui montre que la sropositivit (prsence de certaines
protines nommes P24, GP120,) ne ncessite pas dinfection, la premire
partie de notre condition est fausse !
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Eh bien, cette exprience existe !!
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retriev
e&db=PubMed&list_uids=1909456&dopt=Abstract Voici
dailleurs la publication originale :publication originale Des
souris exposes des cellules provenant d'une autre ligne de souris
(alloimmunes) ont montr la production des anticorps gp120 et p24,
censs crs lors d'une infection vih. Ces rsultats sont considrs
comme surprenants par les auteurs car ces souris n'ont pas t
exposes au vih.
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Pour affiner un peu ce concept dalloimmunognticit, il est
Intressant de lire labstract suivant : Milton & alMilton &
al : The alloimmunogenicity of heated blood and lymphoid cells Il
date de 1985, mais il indique clairement que le sang, les ganglions
lymphatiques et les cellules de la rate dun mammifre peuvent par
eux-mmes provoquer une maladie alloimmune lors de leur injection
dautre mammifres de la Mme espce. Plus intressant, le fait de les
chauffer leur fait perdre toute alloimmunognticit. On retrouve donc
l de quoi mettre bas largument habituel en faveur dune infection
virale : Il ny a pas que les virus dont laction peut tre anantie
par chauffage.
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Si donc le VIH nest pas ncessaire pour faire apparatre la
sropositivit, est-il pour autant suffisant ? Le Professeur Luc
Montagnier na-t-il pas dit lui-mme, en 1990, que, pour quil y ait
sida, le vih ne suffisait pas ? Et selon les meilleurs virologues,
dont le Professeur Montagnier lui-mme ( 5), le vih est incapable de
tuer lui-mme les lymphocytes T. On ne sait dailleurs pas comment
ils sont dtruits. Professeur Montagnier
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Le VIH nest donc ni ncessaire, ni suffisant pour provoquer la
Sropositivit, et encore moins le Sida. Mais, dira-t-on, la
sropositivit peut se transmettre, comme le fait un virus. Du moins
cest ce qui est clam partout !
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Dans ce domaine comme dans celui des tests, le flou artistique
rgne galement On trouve ce sujet tout et son contraire. Mais les
tudes ont t apparemment rsumes par le ministre de la sant franais,
dans le texte suivant :
http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf On y dcouvre
p 202 que la probabilit de transmission par acte est de lordre de 1
pour 2000 dans le cas dun rapport vaginal.
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Ce qui est trs faible, et peut tre interprt comme un bruit de
fond Il existe des tudes cherchant montrer par exemple la
protection par prservatifs. Ce qui est droutant, cest que de
nombreuses tudes montrent que cette protection est illusoire.
http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/rr5402a1.htm
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Par exemple, cette tude publie dans le Lancet montre que, si le
prservatif empche la transmission des MST classiques, il nen est
rien quand il sagit de la sropositivit : Lancet. 2003 Feb
22;361(9358):645-52. Lancet. 2003 Feb 22;361(9358):645-52. Plus
trange est cet entrefilet du Dr Anand Pant, de luniversit de Berlin
: (au bas de la page)
http://www.fu-berlin.de/presse/fup/fup99/fup_99_226.html O il crit
: Aprs examen de 20 tudes portant sur 12000 Consommateurs de
drogue, on constate que dans des cas, les utilisateurs de
prservatifs prsentent un taux de transmission suprieur ceux qui nen
utilisent pas.
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En ce qui concerne la transmission par seringues non striles, l
encore, les tudes pidmiologiques jettent la confusion: En 1997,
Bruneau & al. publiaient larticle suivant dans lAJE :
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrie
ve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=9420522 Ils
indiquent, la fin de labstract, la conclusion suivante : En
dfinitive, Montral, ceux qui participent aux programmes seringues
strilises ont apparemment un taux de transmission plus lev que ceux
qui ny participent pas.
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Arrivs ce point, nous nous devons de nous poser une question
importante : Si la sropositivit ne se transmet pas la manire dune
MST classique, que signifient les tests vih ?
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Tout dabord, il faut se demander ce que signifie la fausse
positivit Par exemple, Mylonakis & al. donnent les situations
correspondant cette fausse sropositivit : [conditions associated
with false positive ELISA are] autoimmune disease, renal failure,
cystic fibrosis, multiple pregnancies, blood transfusions, liver
diseases, parenteral substance abuse, hemodialysis, or vaccinations
for hepatitis B, rabies, or influenza...Causes of indeterminate WB
[Western Blot] results include...nonspecific antibody reactions
(eg, due to lymphoma, multiple sclerosis, injection drug use, liver
disease, or autoimmune disorders). Also, there appear to be healthy
individuals with antibodies that cross-react with specific HIV-1
peptides or recombinant antigens...The Association of Public Health
Laboratories now recommends that patients who have minimal positive
results on WB, eg, p24 and gp160 only, or gp41 and gp160 only, be
told that these patterns have been seen in persons who are not
infected with HIV and that follow-up testing is required to
determine actual infective status. The clinician must judge the
test results within the context of other epidemiological and
clinical information [i.e. gay men and IV drug users are likely to
be defined as positive based on this prejudice in the presence of
ambiguous test results]. In the appropriate clinical setting,
positive ELISA and WB test results in patients with a normal CD4 +
count and CD4/ CD8 ratio and undetectable HIV-1 RNA should be
questioned, repeated, or confirmed with supplemented testing. A
false-positive serological test result may be supported by normal
CD4 + count and CD4/CD8 ratio and undetectable HIV-1 RNA, but is
ultimately established by subsequent serological testing and,
especially, close follow-up. [i.e. there is no test that can be
absolutely relied on] Mylonakis E et al. Report of a False-Positive
HIV Test Result and the Potential Use of Additional Tests in
Establishing HIV Serostatus. Arch Intern Med. 2000 Aug
14/28;160:2386-8.
Page 30
Les tests initialement dvelopps dterminaient, non pas la
prsence ou non dun virus, mais le taux danticorps certaines
protines retrouves en quantit importante chez les malades. Il a
fallu dterminer une valeur limite permettant de sparer les
srongatifs des sropositifs. Cette valeur limite a t value daprs les
donnes cliniques et non pas en fonction de la prsence ou non dun
virus. Cest pour cela que cette valeur limite a t dfinie aprs de
nombreux ttonnements.
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En effet, dans le cas du test Elisa, qui mesure en une fois
tous les anticorps, la personne prsentant un rsultat valant 90% de
lindex sera dclare ngative, celle qui prsente 110% de lindex sera
dclare positive En ralit, chacun dentre nous prsente des anticorps
aux protines du vih , non pas parce que nous avons rencontr ce
virus dans notre vie, mais parce que ces protines proviennent dun
autre phnomne quun phnomne infectieux :
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Les scientifiques appartenant au Groupe de Perth ont avanc une
nouvelle hypothse: la disparition des marqueurs des lymphocytes TH1
(les fameux CD4) provient de limpact de certains composs oxydants,
et/ou de la dficience en rducteurs. www.theperthgroup.com
www.theperthgroup.com
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Cette thse permet-elle de mieux expliciter les contradictions
que nous avons releves, ainsi que les observations concernant la
maladie Sida ?
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La sropositivit en Afrique. La sropositivit est maximale dans
les rgions faisant partie du socle cristallin archen. Se souvenir
que les roches du Drakenberg en Afrique du Sud ont pratiquement 3
Miards dannes. Or ces roches sont trs pauvres en slnium, oligolment
essentiel du systme immunitaire, permettant en particulier le
fonctionnement de la GPx, qui limine leau oxygne en transformant le
GSH en GSSG. Cela entrane une oxydation directe du GSH en sulfinate
et sulfonate, puis sulfate, et une perte en soufre rduit, qui
slimine sous forme de sulfates ce qui provoque en particulier la
diarrhe.
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Do proviennent ces assertions ? La gravit du Sida est
directement lie au taux de glutathion. Limplmentation en prcurseurs
de la cystine multiplie par deux lesprance de vie.
http://herzenberg.stanford.edu/Publications/Reprints/LAH448.pdf Le
slnium et la glutathion peroxydase sont en dficit chez les malades.
Look MP, Rockstroh JK, Rao GS, Kreuzer KA, Spengler U, Sauerbruch
T. Serum selenium versus lymphocyte subsets and markers of disease
progression and inflammatory response in human immunodeficiency
virus-1 infection. Biol Trace Elem Res 1997;56(1):31-41. Singhal N
and Austin J. A clinical review of micronutrients in HIV infection.
J Int Assoc Physicians AIDS Care 2002;1:63-75. Romero-Alvira D and
Roche E. The keys of oxidative stress in acquired immune deficiency
syndrome apoptosis. Medical Hypotheses 1998;51(2):169-73. Patrick
L. Nutrients and HIV; Part One - Beta carotene and selenium. Altern
Med Rev 1999;4:403- 13. Baum MK, Shor-Posner G, Lai S, Zhang G, Lai
H, Fletcher MA, Sauberlich H, Page JB. High risk of HIV-related
mortality is associated with selenium deficiency. J Acquir Immune
Defic Syndr Hum Retrovirol 1997;15:370-4. Campa A, Shor-Posner G,
Indacoche F, Zhang G, Lai H, Asthana D, Scott GB, Baum MK.
Mortality risk in selenium-deficient HIV-positive children. J
Acquir Immune Defic Syndr Hum Retrovirol 1999;15:508-13. Baum MK
and Shor-Posner G. Micronutrient status in relationship to
mortality in HIV-1 disease. Nutr Rev 1998;56:S135-9
http://ods.od.nih.gov/factsheets/selenium.asp
Page 36
Tous ces thiols sont oxyds en sulfates Massive loss of sulfur
in HIV infection. Breitkreutz R, Holm S, Pittack N, Beichert M,
Babylon A, Yodoi J, Droge W. AIDS Res Hum Retroviruses. 2000 Feb
10;16(3):203-9.
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=pubmed
&dopt=Abstract&list_uids=10710208 Le Sida est donc associ
une dficience en rducteur, une diminution des lymphocytes T1, une
augmentation de protines anormales, associes un ARN particulier. Il
apparat des anticorps ces protines anormales, mesurs par les tests
Elisa et Western-Blot.
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Lexistence de faux positifs. Les causes apparentes de fausses
positivit des tests Elisa ou Western Blot sont nombreuses : Ce
document indique les principales :
http://www.aafp.org/afp/20010201/483.pdf En particulier, il indique
p 2001 : Maladies autoimmunes Grossesses multiples ou transfusions
Hpatites Utilisation de drogues injectables Vaccination hpatite,
etc(dont la grippe) Voir galement :
http://archfami.ama-assn.org/cgi/reprint/9/9/924.pdf Dans le modle
du stress oxydatif, ces faux positifs sont de vrais positifs, aux
protines P24, GP120, cres loccasion de ces maladies, qui crent un
stress oxydatif.
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Lexemple des hpatites est clair, puisque loccasion de ces
maladies, il y a consommation de glutathion. NB : remarquer que
lEpimodel dont nous avons parl au dbut est bas sur le dpistage
antenatal, chez des personnes multipares !! Il nous faut donc
rechercher les substances ou les vnements capables de consommer la
rserve rductrice des cellules.
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Il a t montr que le glutathion et la cystine rduisaient de
nombreux antibiotiques nitrs (mtronidazole ( flagyl ),
chloramphnicol, nifuroxime). On peut trs certainement rajouter
cette liste la nitrofurantone et dautres antibiotiques nitrs.
Curieusement, la structure active du mtronidazole est identique
clle de lImurel, dont leffet immunosuppresseur est bien connu.
Biological Pharmacology, Vol 50, n9, 1367-1371, 1995 Tochter JH,
Edwards DI Ce document indique clairement que les thiols (dont le
glutathion) sont oxyds par les azotures organiques, dont fait
partie l AZT. J of Biological Chemistry, Vol 269, N 23, Issue of
June 10, pp 15999-16008, 1994 Reardon JE, Crouch RC, St
John-Williams L antibiotiques nitrs Ce document De la mme manire,
les drivs nitross provenant du mtabolisme de nombreux mdicaments
oxydent le glutathion ou le pigent. Par exemple, cette publication
montre bien loxydation du glutathion par le sulfamthoxazole (
bactrim )cette publication Enfin, comment passer sous silence la
trs forte affinit du soufre II vis- -vis des ions mercuriques
contenus dans les drivs du mercure mtaboliss. La formation de
sulfures mercurique et mercureux conduit galement lacidification du
milieu cellulaire.
Page 40
Les drogues rcratives sont pratiquement toutes des substances
comportant (ou menant ) des azotes oxyds. Il nest pas besoin de
faire de grands discours pour dmontrer que les nitrites dalkyle
(poppers) font partie de cet ensemble. Les tudes rcentes montrent
bien que les amines secondaires et tertiaires conduisent un stress
oxydatif important (par exemple, la cocane augmente la production
deau oxygne par la superoxyde dismutase). La formation
dhydroxylamines et de N- oxydes est chimiquement tout--fait
envisageable. Le groupe de Perth envisage galement la possibilit
que le caractre oxydant du sperme (trs nombreux ponts disulfure)
puisse expliquer une diminution locale temporaire des CD4 dans le
cas de relations anales
http://www.biolreprod.org/cgi/reprint/52/6/1209.pdf
Page 41
De manire gnrale, les oxydants azots semblent prendre de court
le systme oxydorducteur de la cellule (contrairement aux oxydants
oxygns, qui sont trs bien contrls par la catalase, la Glutathion
peroxydase,) Or, ces oxydants azots sont ceux qui sont utiliss
comme antibiotiques dans les maladies vnriennes, dans les
helminthiases et les typhodes si frquentes en Afrique. Ce modle
permet galement de mieux comprendre les assertion de David
Gisselquist et de ses associs (Brody, Potterat, Vachon) qui
publient depuis deux ans des tudes montrant que la transmission du
vih se fait trs souvent en Afrique loccasion de soinsDavid
Gisselquist
Page 42
On conoit aussi, dans ces conditions, que lAZT, qui certes joue
un rle pour dtruire les cellules des organismes responsables des
maladies opportunistes, soit long terme responsable de lapparition
des symptmes du Sida. En ralit, la rsistance lAZT est simplement
due leffondrement immunitaire quil provoque Voir
http://www.tig.org.za/pdf-
files/debating_azt.pdfhttp://www.tig.org.za/pdf-
files/debating_azt.pdf Ce document Ce document a bien tabli la
toxicit in vivo de lAZT, concernant le taux de glutathion, son
action mutagne (do les soit-disant rsistances) et laugmentation des
promoteurs du vih .
Page 43
On constate donc que lAZT et la littrature permet de vrifier
que cest vrai pour dautres oxydants azots) est capable de dnaturer
les protines et lADN des mitochondries, et par l-mme provoquer la
mort cellulaire. Il a mme t montr que lapoptose (suicide)
cellulaire, responsable de la dpltion en lymphocytes (donc en CD4)
pouvait survenir en prsence de ces oxydants azots, car ceux-ci
modifient profondment la concentration cellulaire en monoxyde
dazote et en peroxynitrites ONOO -. La mort cellulaire entrane
logiquement lapparition des fossoyeurs que sont les champignons, en
particulier les mycobactries et les candidas, et sans doute
galement les Pneumocystis Carinii, qui ont t reclasss rcemment dans
cette catgorie.
Page 44
Les maladies champignons sont donc la consquence logique du
stress oxydatif. Il est dailleurs frappant de constater que les
antifongiques naturels (tea tree par exemple) contiennent des
structures rductrices.
Page 45
Mais dira-t-on, le VIH a bien t isol ?
Page 46
Et les membres du groupe de Perth (mdecins et biologistes), qui
remettent en question la mthode disolation du virus. Dans ce
domaine apparaissent deux coles, qui reconnaissent en gros ce qui
vient dtre dit prcdemment. Les tenants du modle de Peter Duesberg,
membre de lacadmie des Sciences amricaine, qui prtendent que le vih
est un rtrovirus inoffensif, qui na rien voir avec le sida. Voir
cet article de Stefan Lanka et cette tude de Eleni Papadopoulos
& al. pour se faire une ide du problmecet article cette
tude
Page 47
La thse de Peter Duesberg a un point faible, savoir quil nie
tout lien entre sropositivit et Sida, car, virologiste de renomme
mondiale, il ne nie pas le lien entre le vih et les protines que
lon a dcouvert loccasion des tudes de Gallo et Montagnier. Stefan
Lanka, le suite dEleni Papadopoulos et du Groupe de Perth, pose la
question de la validit du processus disolation et de caractrisation
du vih . La principale objection vient du fait que les images que
lon attribue au vih proviennent du plasma total et non du matriel
que lon a suspect comme tant rtroviral dans la bande de densit 1,16
g/mL obtenue par double centrifugation dans un gradient de sucrose.
Les premires photos au microscope lectronique de cette bande ont t
faites en 1997 par Gluschankof, Gelderblom & al. et ne
prsentent absolument pas les structures attendues.Gluschankof,
Gelderblom & al.
Page 48
De plus, on a montr que la diminution des marqueurs que sont
les CD4+ apparat galement dans des cultures de lymphocytes de
personnes srongatives lorsque ces cultures sont stimules par les
mmes protines que les cultures de lymphocytes provenant de
personnes malades du sida This graph is from a 1986 paper by Gallo
and Zagury which shows T4 cells being depleted over the course of
several days. The 3 cultures are said to be 'non- activated',
'activated-negative', and 'activated-positive'. The table purports
to show that the T4 cell decrease is a result of 'infection by
HIV', yet a closer look at the data shows that the decreases are
commensurate with the level of 'activation', that is oxidizing
agents, and not 'HIV'. In the lab, the oxidizing agents are PHA and
other chemical stimulants that NEED to be added to cultures in
order for so-called "HIV" to be harvested. In the real world, the
oxidizing agents to which so-called "AIDS" patients are exposed
include, among other things, drugs, semen, other foreign proteins,
other microbes, etc.
http://groups.msn.com/aidsmythexposed/shoebox.msnw?action=ShowPhoto&Phot
oID=158
Page 49
Pour approfondir le dbat, on pourra visiter les sites suivants:
(en anglais) Site de Peter Duesberg Le Groupe de Perth Le dbat du
British Medical Journal Lexprience qui prtend permettre la
production continue de virus dans le but dobtenir les protines
associes La mise en cause de cette exprience Quelques articles
scientifiques ont t traduits en Franais. Lire en particulier les
interviews dEleni PapadopoulosFranais
Page 50
Conclusion provisoire Le Sida serait , non pas un trouble d un
virus, mais un trouble mtabolique progressif associ lapparition de
protines (celles des tests), un peu comme laugmentation du taux de
cholestrol. Ce trouble pourrait tre une maladie alloimmune. Cest
pourquoi cette dgradation de la sant est transmissible (et non
infectieuse). Cette transmission est vidente lors de transfusions,
un peu moins lors de grossesses, et pratiquement inexistante lors
de rapports sexuels. Ce trouble mtabolique serait cr par un statut
rdox perturb (en particulier, le taux de glutathion) par les
molcules existant depuis 30 40 ans et qui sont (ou promeuvent) des
oxydants azots (certains antibiotiques, certaines drogues,, lAZT),
ainsi que par une dficience chronique en enzymes permettant dy
remdier (dficience due soit une malnutrition sur des terres pauvres
en slnium ou une diminution de ce mme slnium sous leffet des
oxydants susnomms). Lorsque ce drglement atteint un certain point
(peut-tre de non-retour), les maladies opportunistes apparatraient.
Les inhibiteurs nuclosidiques de la rtrotranscriptase et les
inhibiteurs de protase actuels (lamivudine, emtricitabine,
lopinavir) ont ceci en commun quils sont de bons rducteurs. Il est
donc tout fait logique de penser quils nagissent pas contre le vrus
, mais plutt en rduisant ce stress oxydatif.