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Le VIH est-il la cause du Sida ? Pourquoi 2000 scientifiques se posent- ils la question? http://www.aras.ab.ca/ rethinkers.htm

Le VIH est-il la cause du Sida ? Pourquoi 2000 scientifiques se posent-ils la question?

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  • Le VIH est-il la cause du Sida ? Pourquoi 2000 scientifiques se posent-ils la question? http://www.aras.ab.ca/rethinkers.htm
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  • Examinons deux faits Le problme pos par lvolution dmographique en Afrique. Lvolution des cas de Sida compare celle de la sropositivit aux Etats-Unis
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  • 1. Le cas du Botswana Selon les Etats-Unis : http://www.census.gov/ipc/hiv/botswana.pdf
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  • Le rsultat des recensements effectus au Botswana en 1991 et 2001 donnent (http://www.statoids.com/ubw.html) :http://www.statoids.com/ubw.html
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  • Un calcul classique permet dobtenir laccroissement annuel de la population : Soit 2,4% On constate donc que laccroissement rel de la population est trs proche de celui dun Botswana sans sida
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  • Des rsultats similaires peuvent tre obtenus pour dautres pays dAfrique Australe, par exemple pour le LESOTHO : http://www.census.gov/ipc/hiv/lesotho.pdf http://www.statoids.com/uls.html Avec des chiffres encore plus tonnants : Une prvalence de 24% Un accroissement annuel de 1,7% avec cette prvalence et de 2,3% sans cette prvalence de la sropositivit. Un accroissement rel de 3,2%
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  • 2. LUganda En rsum, il indique que, comme lUganda est pass en 10 ans dune population de 16,5 Mios (prvalence de la sropositivit 30%) 23 Mios (prvalence 5%), cela signifie quil y a aujourdhui 3,8 M de sropositifs en moins. La lettre de Matthew Black, membre de lInstitut de surveillance du Sida au Kenya, est sans quivoque : http://www.nationaudio.com/News/DailyNation/08122003/Letters/Letters081220 035.html Que leur est-il arriv ?
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  • Un article rcemment paru montre que cette volution ne peut tre due une modification des comportements en matire de sexualit : http://www.washingtonpost.com/wp- dyn/articles/A48464- 2005Feb23.html?sub=new http://www.washingtonpost.com/wp- dyn/articles/A48464- 2005Feb23.html?sub=new Les auteurs indiquent mme que cette diminution ne peut tre due qu la mort des sropositifs manquants. Ce qui impliquerait une augmentation de 5% par an de la population sil ny avait pas de sida !
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  • Que penser de ces deux faits bruts ? Il est absurde de penser quun pays comme lUganda puisse atteindre un taux de croissance de 5% lan. Par ailleurs les donnes botswanaises posent un problme vritable quant au modle (Epimodel) utilis pour estimer le nombre de sropositifs et la mortalit, lesprance de vie censs en dcouler.
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  • La raison vritable du miracle ugandais est lutilisation de tests Elisa la place de lutilisation de la dfinition de Bangui. Une vrification des rsultats Elisa par le Western Blot devrait conduire une diminution encore plus drastique des cas de sropositivit Le continent Africain, finalement, a peine plus de sropositifs recenss (et non pas estims) que les Etats-Unis dAmrique
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  • Les rsultats de ltude sur la cause des dcs en Afrique du Sud sont en tous cas significatifs : depuis plusieurs annes, le nombre des dcs attribus au sida tourne autour de 10000 par an. LEpimodel, appliqu en Afrique du Sud, conduit un nombre aberrant : 370000, ce qui laisse 130000 morts/an pour les causes classiques, soit environ 3 pour mille, loin devant la France, qui prsente un taux annuel de mortalit de 9 pour mille. http://www.statssa.gov.za/Publications/P03093/P03093.pdf La mortalit en 2002 tait de 499268 personnes, pour une population de 45454211 habitants, soit un taux de 11 pour mille, mettre en rapport avec le taux de 13 pour mille observ en Hongrie. http://www.statssa.gov.za/Publications/P0302/P03022002.pdf
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  • Il est temps de se poser la question : Quest ce que lEpimodel ? Les personnes testes sont les femmes enceintes (tests antnataux). Certaines tudes des annes 80 ont montr que la prvalence de la sropositivit dans la population gnrale tait la mme que chez ces femmes enceintes (Ghys & al.) Il semble donc, qu une certaine poque, lEpimodel prsentait un semblant de validit.
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  • A lheure actuelle, ou la relation montre dans ces annes-l est fausse, ce qui entrane la fausset de toutes les estimations donnes dans les mdias Ou bien, la relation entre vih et sida est beaucoup moins vidente quon la dit
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  • Pour comprendre un peu plus, voici les donnes pour les Etats- Unis, obtenues grce aux publications des CDC et du NIH Nombre de cas de sida avr, de 1985 nos jours Rfrences : CDC p 405-406 http://duesberg.com/papers/chemical-bases.html
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  • On retrouve la mme volution concernant la mortalit due au sida, avec un dcalage dun ou deux ans : http://membres.lycos.fr/intoxsida/efficacite_traitements.png
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  • Prvalence de la sropositivit pendant la mme priode Sources : 2004: 950,000 http://www.niaid.nih.gov/factsheets/aidsstat.htm Columbia Chronicle: Government health agencies report up to 950,000 HIV cases in US http://www.ccchronicle.com/back_new/2004_fall/2004-11-22/citybeat.php? id=333 2000 and 2003: 950,000 http://www.avert.org/statsum.htm http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5347a3.htm 2001: 950,000 http://www.wrapp.net/art-not-being-treated.html 1 million: http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/mm5021a5.htm 1996: 950,000 http://hab.hrsa.gov/reports/rp14.htm 1991: 1 million http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001880.htm Prior to 1990: one million http://www.consumeralert.org/fumento/hiv-pill.htm 1990: 1 million http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001846.htmhttp://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001846.htm 1989: 1 million to 1.5 million http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001477.htm 1988: 1 million to 1.5 million http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00001274.htm 1987: 1 million to 1.5 million Human immunodeficiency virus infection in the United States: a review of current knowledge. MMWR 1987; 36 (Suppl 6) 1-48 http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/00014715.htm 1 million to 1.5 million Dondero T. Human immunodeficiency virus infection in the United States: A review of current knowledge. MMWR 1987;36:125-174. http://hivinsite.ucsf.edu/InSite?page=kb-07&doc=kb-07-04-01-01 Curran, J. W., Morgan, M. W., Hardy, A. M., Jaffe, H. W., Darrow, W. W. and Dowdle, W. R. (1985) The epidemiology of AIDS: current status and future prospects. Science 229, 1352-1357
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  • Comment expliquer cette volution ? Lexplication classique : - partir de 1995, lincidence du sida symptomatique a chut grce lutilisation de la trithrapie. Mais cette diminution a commenc en 1993 ! Remarquer par ailleurs la stabilit de la prvalence de la sropositivite, mesure par screening des banques de sang.
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  • Lexplication alternative : -Avant 1985, les essais thrapeutiques recherchant lradication des maladies opportunistes ont cr de nouveaux cas de Sida. Une tude a posteriori concernant le Bactrim montre bien quon a jou avec le feu. -Aprs 1985, lintroduction de lAZT (oxydant trs puissant) a fait senvoler les cas de Sida -- partir de 1992, la suite de lexprimentation Concorde, le dosage dAZT a t graduellement diminu jusquau quart de la dose initiale -- partir de 1995, la lamivudine (rducteur soufr) a t rajoute au rgime mdicamenteux.
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  • Expliquons un peu tout cela Si un virus (VIH) est seul responsable de la sropositivit, puis du Sida, la relation entre VIH et sropositivit doit tre NECESSAIRE et SUFFISANTE Sil existe une exprience qui montre que la sropositivit (prsence de certaines protines nommes P24, GP120,) ne ncessite pas dinfection, la premire partie de notre condition est fausse !
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  • Eh bien, cette exprience existe !! http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retriev e&db=PubMed&list_uids=1909456&dopt=Abstract Voici dailleurs la publication originale :publication originale Des souris exposes des cellules provenant d'une autre ligne de souris (alloimmunes) ont montr la production des anticorps gp120 et p24, censs crs lors d'une infection vih. Ces rsultats sont considrs comme surprenants par les auteurs car ces souris n'ont pas t exposes au vih.
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  • Pour affiner un peu ce concept dalloimmunognticit, il est Intressant de lire labstract suivant : Milton & alMilton & al : The alloimmunogenicity of heated blood and lymphoid cells Il date de 1985, mais il indique clairement que le sang, les ganglions lymphatiques et les cellules de la rate dun mammifre peuvent par eux-mmes provoquer une maladie alloimmune lors de leur injection dautre mammifres de la Mme espce. Plus intressant, le fait de les chauffer leur fait perdre toute alloimmunognticit. On retrouve donc l de quoi mettre bas largument habituel en faveur dune infection virale : Il ny a pas que les virus dont laction peut tre anantie par chauffage.
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  • Si donc le VIH nest pas ncessaire pour faire apparatre la sropositivit, est-il pour autant suffisant ? Le Professeur Luc Montagnier na-t-il pas dit lui-mme, en 1990, que, pour quil y ait sida, le vih ne suffisait pas ? Et selon les meilleurs virologues, dont le Professeur Montagnier lui-mme ( 5), le vih est incapable de tuer lui-mme les lymphocytes T. On ne sait dailleurs pas comment ils sont dtruits. Professeur Montagnier
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  • Le VIH nest donc ni ncessaire, ni suffisant pour provoquer la Sropositivit, et encore moins le Sida. Mais, dira-t-on, la sropositivit peut se transmettre, comme le fait un virus. Du moins cest ce qui est clam partout !
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  • Dans ce domaine comme dans celui des tests, le flou artistique rgne galement On trouve ce sujet tout et son contraire. Mais les tudes ont t apparemment rsumes par le ministre de la sant franais, dans le texte suivant : http://www.sante.gouv.fr/pdf/dossiers/sidahop/ch16.pdf On y dcouvre p 202 que la probabilit de transmission par acte est de lordre de 1 pour 2000 dans le cas dun rapport vaginal.
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  • Ce qui est trs faible, et peut tre interprt comme un bruit de fond Il existe des tudes cherchant montrer par exemple la protection par prservatifs. Ce qui est droutant, cest que de nombreuses tudes montrent que cette protection est illusoire. http://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/rr5402a1.htm
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  • Par exemple, cette tude publie dans le Lancet montre que, si le prservatif empche la transmission des MST classiques, il nen est rien quand il sagit de la sropositivit : Lancet. 2003 Feb 22;361(9358):645-52. Lancet. 2003 Feb 22;361(9358):645-52. Plus trange est cet entrefilet du Dr Anand Pant, de luniversit de Berlin : (au bas de la page) http://www.fu-berlin.de/presse/fup/fup99/fup_99_226.html O il crit : Aprs examen de 20 tudes portant sur 12000 Consommateurs de drogue, on constate que dans des cas, les utilisateurs de prservatifs prsentent un taux de transmission suprieur ceux qui nen utilisent pas.
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  • En ce qui concerne la transmission par seringues non striles, l encore, les tudes pidmiologiques jettent la confusion: En 1997, Bruneau & al. publiaient larticle suivant dans lAJE : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrie ve&db=pubmed&dopt=Abstract&list_uids=9420522 Ils indiquent, la fin de labstract, la conclusion suivante : En dfinitive, Montral, ceux qui participent aux programmes seringues strilises ont apparemment un taux de transmission plus lev que ceux qui ny participent pas.
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  • Arrivs ce point, nous nous devons de nous poser une question importante : Si la sropositivit ne se transmet pas la manire dune MST classique, que signifient les tests vih ?
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  • Tout dabord, il faut se demander ce que signifie la fausse positivit Par exemple, Mylonakis & al. donnent les situations correspondant cette fausse sropositivit : [conditions associated with false positive ELISA are] autoimmune disease, renal failure, cystic fibrosis, multiple pregnancies, blood transfusions, liver diseases, parenteral substance abuse, hemodialysis, or vaccinations for hepatitis B, rabies, or influenza...Causes of indeterminate WB [Western Blot] results include...nonspecific antibody reactions (eg, due to lymphoma, multiple sclerosis, injection drug use, liver disease, or autoimmune disorders). Also, there appear to be healthy individuals with antibodies that cross-react with specific HIV-1 peptides or recombinant antigens...The Association of Public Health Laboratories now recommends that patients who have minimal positive results on WB, eg, p24 and gp160 only, or gp41 and gp160 only, be told that these patterns have been seen in persons who are not infected with HIV and that follow-up testing is required to determine actual infective status. The clinician must judge the test results within the context of other epidemiological and clinical information [i.e. gay men and IV drug users are likely to be defined as positive based on this prejudice in the presence of ambiguous test results]. In the appropriate clinical setting, positive ELISA and WB test results in patients with a normal CD4 + count and CD4/ CD8 ratio and undetectable HIV-1 RNA should be questioned, repeated, or confirmed with supplemented testing. A false-positive serological test result may be supported by normal CD4 + count and CD4/CD8 ratio and undetectable HIV-1 RNA, but is ultimately established by subsequent serological testing and, especially, close follow-up. [i.e. there is no test that can be absolutely relied on] Mylonakis E et al. Report of a False-Positive HIV Test Result and the Potential Use of Additional Tests in Establishing HIV Serostatus. Arch Intern Med. 2000 Aug 14/28;160:2386-8.
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  • Les tests initialement dvelopps dterminaient, non pas la prsence ou non dun virus, mais le taux danticorps certaines protines retrouves en quantit importante chez les malades. Il a fallu dterminer une valeur limite permettant de sparer les srongatifs des sropositifs. Cette valeur limite a t value daprs les donnes cliniques et non pas en fonction de la prsence ou non dun virus. Cest pour cela que cette valeur limite a t dfinie aprs de nombreux ttonnements.
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  • En effet, dans le cas du test Elisa, qui mesure en une fois tous les anticorps, la personne prsentant un rsultat valant 90% de lindex sera dclare ngative, celle qui prsente 110% de lindex sera dclare positive En ralit, chacun dentre nous prsente des anticorps aux protines du vih , non pas parce que nous avons rencontr ce virus dans notre vie, mais parce que ces protines proviennent dun autre phnomne quun phnomne infectieux :
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  • Les scientifiques appartenant au Groupe de Perth ont avanc une nouvelle hypothse: la disparition des marqueurs des lymphocytes TH1 (les fameux CD4) provient de limpact de certains composs oxydants, et/ou de la dficience en rducteurs. www.theperthgroup.com www.theperthgroup.com
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  • Cette thse permet-elle de mieux expliciter les contradictions que nous avons releves, ainsi que les observations concernant la maladie Sida ?
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  • La sropositivit en Afrique. La sropositivit est maximale dans les rgions faisant partie du socle cristallin archen. Se souvenir que les roches du Drakenberg en Afrique du Sud ont pratiquement 3 Miards dannes. Or ces roches sont trs pauvres en slnium, oligolment essentiel du systme immunitaire, permettant en particulier le fonctionnement de la GPx, qui limine leau oxygne en transformant le GSH en GSSG. Cela entrane une oxydation directe du GSH en sulfinate et sulfonate, puis sulfate, et une perte en soufre rduit, qui slimine sous forme de sulfates ce qui provoque en particulier la diarrhe.
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  • Do proviennent ces assertions ? La gravit du Sida est directement lie au taux de glutathion. Limplmentation en prcurseurs de la cystine multiplie par deux lesprance de vie. http://herzenberg.stanford.edu/Publications/Reprints/LAH448.pdf Le slnium et la glutathion peroxydase sont en dficit chez les malades. Look MP, Rockstroh JK, Rao GS, Kreuzer KA, Spengler U, Sauerbruch T. Serum selenium versus lymphocyte subsets and markers of disease progression and inflammatory response in human immunodeficiency virus-1 infection. Biol Trace Elem Res 1997;56(1):31-41. Singhal N and Austin J. A clinical review of micronutrients in HIV infection. J Int Assoc Physicians AIDS Care 2002;1:63-75. Romero-Alvira D and Roche E. The keys of oxidative stress in acquired immune deficiency syndrome apoptosis. Medical Hypotheses 1998;51(2):169-73. Patrick L. Nutrients and HIV; Part One - Beta carotene and selenium. Altern Med Rev 1999;4:403- 13. Baum MK, Shor-Posner G, Lai S, Zhang G, Lai H, Fletcher MA, Sauberlich H, Page JB. High risk of HIV-related mortality is associated with selenium deficiency. J Acquir Immune Defic Syndr Hum Retrovirol 1997;15:370-4. Campa A, Shor-Posner G, Indacoche F, Zhang G, Lai H, Asthana D, Scott GB, Baum MK. Mortality risk in selenium-deficient HIV-positive children. J Acquir Immune Defic Syndr Hum Retrovirol 1999;15:508-13. Baum MK and Shor-Posner G. Micronutrient status in relationship to mortality in HIV-1 disease. Nutr Rev 1998;56:S135-9 http://ods.od.nih.gov/factsheets/selenium.asp
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  • Tous ces thiols sont oxyds en sulfates Massive loss of sulfur in HIV infection. Breitkreutz R, Holm S, Pittack N, Beichert M, Babylon A, Yodoi J, Droge W. AIDS Res Hum Retroviruses. 2000 Feb 10;16(3):203-9. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/entrez/query.fcgi?cmd=Retrieve&db=pubmed &dopt=Abstract&list_uids=10710208 Le Sida est donc associ une dficience en rducteur, une diminution des lymphocytes T1, une augmentation de protines anormales, associes un ARN particulier. Il apparat des anticorps ces protines anormales, mesurs par les tests Elisa et Western-Blot.
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  • Lexistence de faux positifs. Les causes apparentes de fausses positivit des tests Elisa ou Western Blot sont nombreuses : Ce document indique les principales : http://www.aafp.org/afp/20010201/483.pdf En particulier, il indique p 2001 : Maladies autoimmunes Grossesses multiples ou transfusions Hpatites Utilisation de drogues injectables Vaccination hpatite, etc(dont la grippe) Voir galement : http://archfami.ama-assn.org/cgi/reprint/9/9/924.pdf Dans le modle du stress oxydatif, ces faux positifs sont de vrais positifs, aux protines P24, GP120, cres loccasion de ces maladies, qui crent un stress oxydatif.
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  • Lexemple des hpatites est clair, puisque loccasion de ces maladies, il y a consommation de glutathion. NB : remarquer que lEpimodel dont nous avons parl au dbut est bas sur le dpistage antenatal, chez des personnes multipares !! Il nous faut donc rechercher les substances ou les vnements capables de consommer la rserve rductrice des cellules.
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  • Il a t montr que le glutathion et la cystine rduisaient de nombreux antibiotiques nitrs (mtronidazole ( flagyl ), chloramphnicol, nifuroxime). On peut trs certainement rajouter cette liste la nitrofurantone et dautres antibiotiques nitrs. Curieusement, la structure active du mtronidazole est identique clle de lImurel, dont leffet immunosuppresseur est bien connu. Biological Pharmacology, Vol 50, n9, 1367-1371, 1995 Tochter JH, Edwards DI Ce document indique clairement que les thiols (dont le glutathion) sont oxyds par les azotures organiques, dont fait partie l AZT. J of Biological Chemistry, Vol 269, N 23, Issue of June 10, pp 15999-16008, 1994 Reardon JE, Crouch RC, St John-Williams L antibiotiques nitrs Ce document De la mme manire, les drivs nitross provenant du mtabolisme de nombreux mdicaments oxydent le glutathion ou le pigent. Par exemple, cette publication montre bien loxydation du glutathion par le sulfamthoxazole ( bactrim )cette publication Enfin, comment passer sous silence la trs forte affinit du soufre II vis- -vis des ions mercuriques contenus dans les drivs du mercure mtaboliss. La formation de sulfures mercurique et mercureux conduit galement lacidification du milieu cellulaire.
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  • Les drogues rcratives sont pratiquement toutes des substances comportant (ou menant ) des azotes oxyds. Il nest pas besoin de faire de grands discours pour dmontrer que les nitrites dalkyle (poppers) font partie de cet ensemble. Les tudes rcentes montrent bien que les amines secondaires et tertiaires conduisent un stress oxydatif important (par exemple, la cocane augmente la production deau oxygne par la superoxyde dismutase). La formation dhydroxylamines et de N- oxydes est chimiquement tout--fait envisageable. Le groupe de Perth envisage galement la possibilit que le caractre oxydant du sperme (trs nombreux ponts disulfure) puisse expliquer une diminution locale temporaire des CD4 dans le cas de relations anales http://www.biolreprod.org/cgi/reprint/52/6/1209.pdf
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  • De manire gnrale, les oxydants azots semblent prendre de court le systme oxydorducteur de la cellule (contrairement aux oxydants oxygns, qui sont trs bien contrls par la catalase, la Glutathion peroxydase,) Or, ces oxydants azots sont ceux qui sont utiliss comme antibiotiques dans les maladies vnriennes, dans les helminthiases et les typhodes si frquentes en Afrique. Ce modle permet galement de mieux comprendre les assertion de David Gisselquist et de ses associs (Brody, Potterat, Vachon) qui publient depuis deux ans des tudes montrant que la transmission du vih se fait trs souvent en Afrique loccasion de soinsDavid Gisselquist
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  • On conoit aussi, dans ces conditions, que lAZT, qui certes joue un rle pour dtruire les cellules des organismes responsables des maladies opportunistes, soit long terme responsable de lapparition des symptmes du Sida. En ralit, la rsistance lAZT est simplement due leffondrement immunitaire quil provoque Voir http://www.tig.org.za/pdf- files/debating_azt.pdfhttp://www.tig.org.za/pdf- files/debating_azt.pdf Ce document Ce document a bien tabli la toxicit in vivo de lAZT, concernant le taux de glutathion, son action mutagne (do les soit-disant rsistances) et laugmentation des promoteurs du vih .
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  • On constate donc que lAZT et la littrature permet de vrifier que cest vrai pour dautres oxydants azots) est capable de dnaturer les protines et lADN des mitochondries, et par l-mme provoquer la mort cellulaire. Il a mme t montr que lapoptose (suicide) cellulaire, responsable de la dpltion en lymphocytes (donc en CD4) pouvait survenir en prsence de ces oxydants azots, car ceux-ci modifient profondment la concentration cellulaire en monoxyde dazote et en peroxynitrites ONOO -. La mort cellulaire entrane logiquement lapparition des fossoyeurs que sont les champignons, en particulier les mycobactries et les candidas, et sans doute galement les Pneumocystis Carinii, qui ont t reclasss rcemment dans cette catgorie.
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  • Les maladies champignons sont donc la consquence logique du stress oxydatif. Il est dailleurs frappant de constater que les antifongiques naturels (tea tree par exemple) contiennent des structures rductrices.
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  • Mais dira-t-on, le VIH a bien t isol ?
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  • Et les membres du groupe de Perth (mdecins et biologistes), qui remettent en question la mthode disolation du virus. Dans ce domaine apparaissent deux coles, qui reconnaissent en gros ce qui vient dtre dit prcdemment. Les tenants du modle de Peter Duesberg, membre de lacadmie des Sciences amricaine, qui prtendent que le vih est un rtrovirus inoffensif, qui na rien voir avec le sida. Voir cet article de Stefan Lanka et cette tude de Eleni Papadopoulos & al. pour se faire une ide du problmecet article cette tude
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  • La thse de Peter Duesberg a un point faible, savoir quil nie tout lien entre sropositivit et Sida, car, virologiste de renomme mondiale, il ne nie pas le lien entre le vih et les protines que lon a dcouvert loccasion des tudes de Gallo et Montagnier. Stefan Lanka, le suite dEleni Papadopoulos et du Groupe de Perth, pose la question de la validit du processus disolation et de caractrisation du vih . La principale objection vient du fait que les images que lon attribue au vih proviennent du plasma total et non du matriel que lon a suspect comme tant rtroviral dans la bande de densit 1,16 g/mL obtenue par double centrifugation dans un gradient de sucrose. Les premires photos au microscope lectronique de cette bande ont t faites en 1997 par Gluschankof, Gelderblom & al. et ne prsentent absolument pas les structures attendues.Gluschankof, Gelderblom & al.
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  • De plus, on a montr que la diminution des marqueurs que sont les CD4+ apparat galement dans des cultures de lymphocytes de personnes srongatives lorsque ces cultures sont stimules par les mmes protines que les cultures de lymphocytes provenant de personnes malades du sida This graph is from a 1986 paper by Gallo and Zagury which shows T4 cells being depleted over the course of several days. The 3 cultures are said to be 'non- activated', 'activated-negative', and 'activated-positive'. The table purports to show that the T4 cell decrease is a result of 'infection by HIV', yet a closer look at the data shows that the decreases are commensurate with the level of 'activation', that is oxidizing agents, and not 'HIV'. In the lab, the oxidizing agents are PHA and other chemical stimulants that NEED to be added to cultures in order for so-called "HIV" to be harvested. In the real world, the oxidizing agents to which so-called "AIDS" patients are exposed include, among other things, drugs, semen, other foreign proteins, other microbes, etc. http://groups.msn.com/aidsmythexposed/shoebox.msnw?action=ShowPhoto&Phot oID=158
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  • Pour approfondir le dbat, on pourra visiter les sites suivants: (en anglais) Site de Peter Duesberg Le Groupe de Perth Le dbat du British Medical Journal Lexprience qui prtend permettre la production continue de virus dans le but dobtenir les protines associes La mise en cause de cette exprience Quelques articles scientifiques ont t traduits en Franais. Lire en particulier les interviews dEleni PapadopoulosFranais
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  • Conclusion provisoire Le Sida serait , non pas un trouble d un virus, mais un trouble mtabolique progressif associ lapparition de protines (celles des tests), un peu comme laugmentation du taux de cholestrol. Ce trouble pourrait tre une maladie alloimmune. Cest pourquoi cette dgradation de la sant est transmissible (et non infectieuse). Cette transmission est vidente lors de transfusions, un peu moins lors de grossesses, et pratiquement inexistante lors de rapports sexuels. Ce trouble mtabolique serait cr par un statut rdox perturb (en particulier, le taux de glutathion) par les molcules existant depuis 30 40 ans et qui sont (ou promeuvent) des oxydants azots (certains antibiotiques, certaines drogues,, lAZT), ainsi que par une dficience chronique en enzymes permettant dy remdier (dficience due soit une malnutrition sur des terres pauvres en slnium ou une diminution de ce mme slnium sous leffet des oxydants susnomms). Lorsque ce drglement atteint un certain point (peut-tre de non-retour), les maladies opportunistes apparatraient. Les inhibiteurs nuclosidiques de la rtrotranscriptase et les inhibiteurs de protase actuels (lamivudine, emtricitabine, lopinavir) ont ceci en commun quils sont de bons rducteurs. Il est donc tout fait logique de penser quils nagissent pas contre le vrus , mais plutt en rduisant ce stress oxydatif.