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crédit photo : Pierre Joosten LES TERRASSES DONNENT L’ENVOL AU PRINTEMPS PAGE 28 LE PROMONTOIR DE CAP-ROUGE RéVèLE SES SECRETS PAGE 6 NOS ATHLèTES AUX JEUX DU QUéBEC PAGE 36 Marie Walsh Archives : Gilles Samson www.lechodecaprouge.ca | JOURNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUGE | mai 2013 | vol. 4 numéro 3 GRATUIT Votre caisse présente et engagée dans son milieu Éducation 16 000 $ Santé et services à la communauté 13 500 $ Sports et loisirs 14 500 $ Oeuvres humanitaires 4 500 $ Développement économique - 2 000 $ Arts et culture 17 000 $ Près de 68 000 $ retournés à la communauté Le mensuel qui vous informe à Cap-Rouge, Pointe-de-Sainte-Foy et les Bocages

L’Écho de Cap-Rouge

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Le mensuel qui vous informe à Cap-Rouge, Pointe-de-Sainte-Foy et les Bocages

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gratuit

Votre caisse présente et engagée dans son milieu

Éducation16 000 $

Santé et services à la communauté13 500 $

Sports et loisirs 14 500 $

Oeuvres humanitaires4 500 $

Développement économique - 2 000 $

Arts et culture 17 000 $

Près de 68 000 $ retournés à la communauté

Le mensuel qui vous informe à Cap-Rouge, Pointe-de-Sainte-Foy et les Bocages

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Jointe par téléphone, la présidente de la Table des aînés, Judith Gagnon, a mentionné les raisons qui ont motivé ses démarches. « Notre organisme représente 150 000 personnes. Beaucoup de nos membres nous parlaient de cette publicité

qui, selon eux, démontrait que les aînés étaient des incapables. Après de nom-breux commentaires allant dans ce sens, nous avons décidé d’agir », explique-t-elle.

En premier lieu, une lettre a été écrite et envoyée au ministre Christian Paradis

et une seconde aux normes canadiennes des publicités, basée sur l’article 14-A.

[Il est reconnu que des publicités peuvent déplaire, sans qu’elles enfreignent pour autant les dispositions de cet article ; et, le fait qu’un produit ou un service en particulier puisse offenser certaines per-sonnes ne constitue pas une raison suffisante pour s’opposer à une publicité sur ce produit ou ce service.

Les publicités ne doivent pas :(a) tolérer quelque forme de discrimination personnelle que ce soit, y compris la discrimina-tion fondée sur la race, l’origine nationale, la religion, le sexe ou l’âge ;] – source Le Code cana-dien des normes de la publicité.

Mme Gagnon ne s’en cache pas : elle aimerait voir les publi-cités retirées des ondes. Elle devrait recevoir une réponse de la part des normes canadiennes des publicités d’ici le mois de mai.

Ayant pris connaissance de leur récri-mination, les normes canadiennes des publicités ont confirmé qu’il y avait bel et bien matière à porter plainte contre l’entreprise. De son côté, la présidente de Club de l’âge d’Or de Cap-Rouge, Janine Lévesque, appuie la démarche de la Table.

beLL s’exPLiQuePour sa part, Bell a expliqué au Journal

que l’objectif de mentionner Cap-Rouge n’avait rien de méchant. « Nous aurions pu mentionner n’importe quelle autre muni-cipalité au Québec. Notre objectif n’était pas de rire de Cap-Rouge », a laissé enten-dre Véronique Arsenault, Chef division-naire adjoint, Relations avec les médias chez Bell.

Concernant la plainte formulée par la Table de la concertation des aînés, elle a confirmé que l’entreprise l’a bel et bien

reçu qu’une réponse leur a été envoyée par la poste le vendredi 5 avril. « Pour Bell, il est très important de demeurer à l’écoute et l’entreprise remercie la Table de leur avoir fait parvenir leurs commentaires à l’égard de leurs publicités. »

« Nous trouvons regrettable que l’or-ganisation se soit sentie offensée par nos publicités télé Quiz. Ces publicités ont pour but de faire connaitre les avantages de Télé Fibe. La raison pour laquelle les personnes de l’équipe abonnée au câble éprouvent de la difficulté à répondre aux questions est tout simplement parce qu’ils ne connaissent pas bien la nouvelle tech-nologie de Télé Fibe », explique-t-elle.

« En aucun cas, Bell n’avait dans l’idée de véhiculer des préjugés envers les per-sonnes âgées ou de déprécier ces person-nes. Nous voulions simplement mettre en vedette des consommateurs du câble et des consommateurs de Télé Fibe. Nous prenons en considération les commentai-res reçus pour nos publicités futures. »

Les PubLiCités de beLL Fibe sèment La grogne

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

depuis le mois de février, bell diffuse de nouvelles publicités dans lesquelles on peut voir deux couples, l’un âgé dans la mi-trentaine et l’autre dans la soixante, s’affronter dans le cadre d’un jeu-questionnaire. dans toutes les publicités, le couple plus âgé, qui représente la technologie de leur principal concurrent, est incapable de répondre adéquatement aux réponses. dans l’une d’elles, le couple mentionne même qu’il vient de Cap-rouge. outre cette mention, la table de concertation des aînés a décidé de porter plainte pour âgisme contre le géant des télécommunications.

Mme Judith Gagnon de La Table de concertation des aînés a qualifié la publicité d’âgisme.

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En effet, après avoir siégé sur le conseil pendant cinq ans, elle a cru bon de tirer sa révérence. La trésorière du conseil, Mme Rita Veilleux, a tenu à souligner l’apport important de Mme Gagnon au sein de l’organisation au cours des dernières années. « Isabelle a toujours démontré un professionna-lisme exemplaire et un sens de l’éthique hors pair. Elle a su faire preuve d’un grand leadership à titre de présidente. Ce ne sera certainement pas facile de chausser ses souliers… », a-t-elle dit.

C’est avec beaucoup d’émotion que Mme Gagnon a tenu à remercier ses anciens col-lègues. « Tout au long de ces années, j’ai pu voir des gens capables de travailler ensemble pour le bien projet commun. Évidemment, je vais aider à la transition et demeurer dis-ponible pour vous », a-t-elle lancé.

Outre son départ, deux postes de femme et quatre d’hommes étaient à pourvoir. Lors de la soirée, Marie-Hélène Mercier, une résidante de Cap-Rouge présentement en congé de maternité, a été élue. Toute-fois, des postes sont encore à pourvoir.

des Citoyens signent Le Livre d’or

Lors de la soirée, il y a également eu la traditionnelle signature du Livre d’or. Pour l’occasion, trois citoyens ont été honorés pour leur implication exceptionnelle dans le milieu carougeois.

Présenté par le Club Optimiste de Cap-Rouge, le premier à avoir eu l’honneur de signer le livre fut le directeur général de la Caisse populaire Desjardins de Cap-Rouge, M. Michel Bédard. Grâce à ses nombreuses implications dans le milieu, notamment

à titre de président d’honneur de la cam-pagne de financement pour la restauration de l’Église Saint-Félix ainsi qu’à son impli-cation au sein du conseil d’administration de la Maison Michel Sarazzin, les membres

du Conseil du quartier n’ont pas hésité à lui rendre hommage. Son esprit de com-munauté, son dévouement et sa générosité ont également été soulignés.

Impliquée dans les causes reliées à l’avancement de la femme, Mme Jacqueline Laurencelle Fournier a elle aussi eu le plaisir d’ajouter sa signature. Sa candidature a été soumise par le Mouvement des services à la communauté de Cap-Rouge. Cette infirmière de formation, détentrice d’un brevet d’ensei-gnement spécialisé, continue de participer

activement à des formations dans le cadre du programme de l’école féministe d’été de l’Université Laval, en plus d’être membre de l’orga-nisme Femme, politique et démocratie. Sa grande dispo-nibilité, sa grande générosité et son implication dans le milieu en ont fait une candi-date de choix pour recevoir les grands honneurs.

Enfin, le dernier et non le moindre à avoir apposé sa signature dans le registre doré est un homme réputé pour son dévoiement pour sa clientèle et son milieu. Encourageant la consomma-tion locale à Cap-Rouge, il s’est également fait un devoir de faire profiter ses étudiants en médecine dentaire de son

expertise, formant ainsi la relève. C’était donc avec un immense bonheur que les gens dans la salle ont pu voir le dentiste Michel Bigras, dont la candidature a été présentée par un collègue, signer le prestigieux registre.

isabeLLe gagnon Quitte Le ConseiL

marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

Le Conseil de quartier du Cap-rouge tenait son assemblée générale annuelle le 16 avril. Lors de l’évènement, l’annonce de quelques départs des membres du conseil d’administration a eu lieu, dont celui de la présidente, isabelle gagnon.

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Isabelle Gagnon a annoncé son départ lors de l’assemblée.

Une partie du nouveau conseil d’administration. Les postes seront déterminés lors d’une prochaine rencontre.

Le dentiste Michel Bigras a été très touché de signer le Livre d’or.

Tout comme M. Bigras, M. Michel Bédard et Mme Jacqueline Laurencelle Fournier étaient très heureux de signer le prestigieux registre.

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La cuisine est entrée dans la vie de M. Bélair un peu par la force des choses. « Durant mon adolescence, j’ai travaillé dans des chaines de restaurant. C’était selon moi, c’est ce que j’étais capable de faire le mieux, ce choix de carrière s’est un peu imposé de lui-même », explique celui qui détient une formation professionnelle.

Après avoir obtenu son diplôme, il est allé acquérir de l’expérience dans des éta-blissements culinaires d’envergure dans l’Ouest Canadien, soit le Wickanninnish Inn à Tofino, membre Relais et Château et au Restaurant Teatro à Calgary. Après y avoir passé quelques années, il est revenu au Québec pour travailler comme sous-chef au restaurant Pop ! Toujours à la recherche de nouveaux défis, il occupa le poste de chef à La Pinsonnière. Après plus de trois ans à cet endroit, il partit en France faire des stages dans des établissements étoilés. De retour à Montréal, il travailla au Bistro Marly pendant un an, pour ensuite accepter le poste de chef exécutif à l’hôtel Place d’Armes.

Le bonne entente, une agréabLe surPrise

dans sa vieC’est d’ailleurs durant son passage là-

bas qu’il a eu vent que le Bonne Entente avait besoin d’un chef, il décide de tenter sa chance. « J’ai toujours eu un intérêt pour cet établissement. Quand j’ai su qu’il cherchait quelqu’un, j’ai appliqué. Quand j’ai eu l’offre, je n’en croyais pas mes yeux. Me faire offrir un poste de chef ici, c’était juste… Wow », décrit-il.

Comme tous ses passages dans les autres établissements ont été des cycles de

deux à trois ans, est-ce que cela veut dire que les gens de Québec ne pourront avoir la chance de découvrir et de déguster sa cuisine que pour un court laps de temps ? « Absolument pas ! Ici, c’est pour du long terme. À 32 ans, j’ai la chance d’être chef dans un établissement réputé. Que puis-je souhaiter de plus », se questionne-t-il ?

D’ailleurs, malgré son impressionnante feuille de route, M. Bélair est d’une grande humilité. Lorsqu’on lui demande quelles sont ses plus grandes qualités dans une cuisine, il répond d’emblée. « Il faudrait le demander à mon patron. » Après un bref moment de réflexion, il mentionne que son côté rassembleur est certainement l’une de ses plus grandes forces. Visiblement un gars d’équipe, il sait utiliser à son plein potentiel toutes les forces de sa brigade. « Si un mem-bre de mon équipe dresse mieux les assiet-tes que moi, je n’ai aucun problème avec ça. Je lui laisse cette tâche », explique-t-il.

Passionné des vins autant que de la cui-sine, c’est avec beaucoup d’enthousiasme qu’il entame son nouveau défi. Chose cer-taine, avec M. Bélair à la tête des cuisines, le Bonne Entente continuera d’être un incon-tournable pour tous les épicuriens !

Jean-François béLair, un CheF CinQ étoiLes

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

À 32 ans, Jean-François bélair est le chef du très réputé bonne entente, anciennement connu sous le nom de Château bonne entente, depuis le mois de novembre. Le sympathique montréalais d’origine est très heureux d’être venu s’installer dans la vieille Capitale pour y pratiquer son art culinaire. Pleins feux sur un jeune chef dont la feuille de route est bien garnie.

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Jean-François Bélair est très enthousiaste devant son défi professionnel.

La centaine de convives ont pu se délecter de nombreuses petites bouchées et avoir un aperçu du nouveau menu.

Le JournaL L’éCho de CaP-rouge eST PuBLié eT édiTé PaR LeS édiTionS PRime inC.

940, boulevard du Lac, Québec (Québec) G2m 0C9

PubLiCité : brigitte Landry 418-580-2744

inFormation : CaroLe roy 418 580-0537

éditeur : alain Têtu

direCteur généraL : dominic Simard

direCtriCe de L’inFormation : Carole Roy

direCteur ProduCtion et Création : éric monette

CoordonatriCe aux oPérations et serviCe CLientèLe : annik Gauthier

JournaListes : Carole Roy, marie-France Simard

CoLLaborateurs : andré Juneau, nicole St-Hilaire, Raphaël Leblond, marika Corcoran, andréanne martin, danielle Roberge, Simon Bastarache, éric Gagnon, Jocelyne Vien, Jean Rodier, Clinique physiothérapie pédiatrique

ProduCtion graPhiQue : éric monette

imPression : Transcontinental

tirage : 13 500 exemplaires

déPÔt LégaL : Bibliothèque nationale du Québec

*Veuillez noter que pour être publiée, l’opinion du lecteur doit être signée.

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« Le nom représente bien notre philoso-phie de traitement qui reflète l’interaction entre le physiothérapeute et son patient. Il y a de l’activité et du mouvement. C’est impor-tant que le patient se sente impliqué dans son traitement parce qu’on sait que c’est ça qui est le plus efficace. Le professionnel qui dirige le souffrant vers le bon endroit, ça fait aussi par-tie des outils de traitements qu’on utilise et dont l’efficacité est prouvée scientifiquement. Je crois beaucoup au concept de l’équipe », soulignait d’entrée de jeu le physiothérapeute.

sPort et bLessures« Notre expertise est très pointue du

côté des atteintes vertébrales, des maux de

dos et du cou. Nous avons augmenté notre implication auprès des équipes sportives avec une physiothérapie sportive et active. Nous suivons toutes les équipes de sport du CNDF, les clubs de soccer et les activités du Séminaire St-François ainsi que le Rugby. L’équipe de football demande plus de suivi parce qu’il y a habituellement plus de bles-sures importantes. Nous sommes également présents lors des tournois de Taekwondo pour les premiers soins et auprès de Ski-bec », explique le docteur Langevin. Notons que Patrice Pépin, un des physio de l’équipe, était présent lors des derniers Jeux olympi-ques avec l’équipe féminine de Soccer qui a remporté le bronze.

PréCieuse têteNon content de soigner le corps, Pierre

Langevin s’intéresse aussi à la santé de notre boite crânienne en ajoutant une autre corde à son arc. La clinique Cortex s’occupe des commotions cérébrales est aussi interdisciplinaires avec un neuropsychologue et un thérapeute du sport. « Les statistiques démon-trent que ce type d’accident est de plus en plus fréquent, mais nous croyons que les gens sont plus alertes à les détecter alors qu’autre-fois le blessé prenait des cachets et attendait que ça passe avec le danger réel d’avoir des séquelles durables », nous apprenait monsieur Langevin. La liste des symptômes associés à une commotion cérébrale compte une trentaine de signes qui varient de l’étour-dissement aux nausées, aux maux de tête, à une fatigabilité accrue ainsi qu’à un désordre émotionnel pouvant causer de l’irritabilité et même de l’anxiété pouvant conduire à la dépression.

Le CorPs ne Change Pas, mais La sCienCe évoLue

Dans les années 1990 la recherche en physiothérapie et en médecine aussi, portait sur les maladies, la physiologie et

l’anatomie. Depuis 2000 il y a beaucoup plus de données scientifiques disponi-bles sur les modalités de traitements manuels. La tendance est aux exercices de contrôle moteur et de renforcements.

« C’est prouvé que les gens qui ont mal dans le cou verront leur situation s’améliorer en combinant la manipulation verté-brale avec des exercices faits à la maison. On sait maintenant que les traitements qui fonction-nent le mieux sont ceux actifs », précise le Pierre Langevin.

Passionné À PLein temPs

Partageant son temps entre la clinique et l’en-seignement à l’université Laval Pierre Langevin donne des cours aux physiothérapeutes post-gradués dans le système canadien. Il juge très

important le transfert de connaissances afin que les patients qui viennent à la cli-nique reçoivent un traitement équivalent avec chaque physiothérapeute. « L’in-teraction qui gravite autour du malade entre le médecin, le physio et tous les autres intervenants est une approche qui a fait ses preuves pour le plus grand béné-fice du client », a-t-il conclu.

PHYSioTHéRaPie inTeRaCTiVe, La FoRCe du nomBRe

« Le mouvement C’est La vie »

- PieRRe LanGeVinPar CaroLe roy

caro [email protected]

Physiothérapie interactive n’est pas un nouveau joueur dans le décor de Cap-rouge. avec ses trois adresses, l’hêtrière, Campanile et saint-augustin regroupant 23 physiothérapeutes à temps plein et une clientèle sans cesse croissante, la clinique répond à un besoin réel auprès d’une population de plus en plus active et de mieux en mieux renseignée. Pierre Langevin, copropriétaire, nous parle de ses convictions et de sa vision de la physiothérapie.

PersonnaLité du mois

Toujours à l’affut des nouveaux traitements, il va de soi pour Pierre Langevin qu’il est impor-tant de transmettre son savoir. Les résultats de ses recherches sont d’ailleurs publiés dans différentes revues spécialisées.

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redéCouvrir La nouveLLe-FranCe

Les fouilles à Cap-Rouge auront permis de revisiter l’histoire telle qu’on la mécon-naissait ou qu’on la racontait. Ce que l’on appelle, le troisième voyage de Cartier, était vu comme un échec. On était venu, ça n’avait pas duré et on était reparti. « Ce qu’on a pu établir avec ces nouvelles recherches archéologiques, histo-riques et autres, c’est qu’on avait là quelque chose qui était très dif-férent des expéditions de Cartier de 1534 et 1936-37 au cours desquelles on faisait de l’exploration. C’est clairement une volonté du roi de France qu’en 1541 on établisse une colonie de peuplement en Amérique. Entre 400 et 600 personnes se sont installées ici alors que quand Cham-plain est venu fonder Québec, ils étaient à peine une trentaine », raconte l’historien de la Capitale nationale

Nicolas Giroux. Ce fut donc une expédition colossale soutenue directement par le roi. L’épisode de 1541-43 est considéré comme une volonté de la France de s’établir en Amérique. Même si concrètement l’aventure ne dure que deux ans, il y a une appropria-tion de territoire qui ne sera pas contestée par la suite. On voit la permanence de cette appropriation dans la cartographie jusqu’au

17e siècle. Le territoire est désormais iden-tifié comme étant une possession française. « Les noms que les Français ont donnés aux endroits restent. Ça nous permet de recon-sidérer cet épisode perçu comme un échec, comme étant plutôt la naissance de l’idée d’une Amérique française. Ça nous a aussi permis de dépoussiérer Roberval », soutient l’archéologue Gilles Samson.

un Protestant maL-aimé

On connaissait peu Roberval et ce qu’on avait écrit sur lui était souvent erroné et parfois mal intentionné parce qu’il était protestant et que l’histoire d’ici fut la plu-part du temps écrite et retranscrite par des catholiques et des prêtres. Le portrait qu’on faisait de ce grand voyageur n’était pas très flatteur, on le décrivait comme un courti-san qui aurait volé la place de Cartier. « En réalité Roberval fut un militaire compétent qui faisait partie de l’état-major de l’armée du roi de France à l’époque et qui a été envoyé ici non seulement pour ses quali-tés de gestionnaire civil, mais également pour celles d’officier militaire. Ça prouve aussi l’importance qu’attachait le roi à la réalisation de cette entreprise qu’était la colonie française. Il a mis à la tête de cette expédition quelqu’un qui pouvait la mener à bien et qui s’est entouré de gens capables de l’assister », précise l’historien.

CaP-rouge, berCeau de L’amériQue Française

Le fait que la colonie ne s’est pas pour-suivie dans le temps et que le pôle de peu-plement se soit établi à Québec au 17e siè-cle change tout. Concrètement, aujourd’hui le centre est à Québec et Cap-Rouge est en périphérie, si la colonie avait duré on aurait le modèle inverse. « Comme ce fut longtemps vu comme un échec, ce n’est pas quelque chose dont on a beaucoup parlé et ça a été évacué des livres d’histoires. On a beaucoup glorifié Cartier pour son voyage de 1534 où il a pris possession de territoi-res en plantant une croix à Gaspé, mais c’est un geste un peu symbolique. La vraie appropriation du territoire fut de l’occuper et la volonté de le faire s’est manifestée entre 1541-43 en implantant une colonie à Cap-Rouge », relate Gilles Samson.

veritas Puisque cette partie de l’histoire est

un peu tombée dans l’oubli, l’objectif avec l’exposition, la publication du livre La rumeur dorée, Roberval et l’Amérique de l’historien Bernard Allaire et ultérieure-ment, la mise en valeur du site, est de faire connaitre à la population que c’est à Cap-Rouge que la France a décidé de s’installer en Amérique à ses touts débuts.

L’exPoSiTion La CoLonie ReTRouVée

CaP-rouge, berCeau de L’amériQue Française

Par CaroLe roy

caro [email protected]

Les saisons de fouilles archéologiques 2007-2008 effectuées sur le site Cartier-roberval furent grandement instructives et jettent un éclairage nouveau sur nos débuts en amérique. mené sur le promontoire de Cap-rouge par une vingtaine de spécialistes du Québec, des états-unis, de France et d’angleterre, ce projet interdisciplinaire de stature internationale livre enfin ses conclusions. L’historien nicolas giroux et l’archéolo-gue gilles samson, responsable de ce projet, dévoilent le résultat des fouilles et invitent le grand public à visiter La Colonie retrouvée, exposition qui dévoile pour la première fois la réelle importance historique de Cap-rouge dans la première colonie française d’amérique

LA CoLonIE RETRoUvéE PREMIèRE FRAnCE d’AMéRIqUE 1541-1543Au Musée de l’Amérique française 2, Côte de la fabrique, Québec 418-692-2843

L’archéologue gilles samson et l’historien nicolas giroux.

C’est là, enfouie, cachée sous d’autres couches d’occupation, qu’une partie du fort du cap rouge a été découverte.

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Coupelle à boire. Clef en fer. Essai de remontage d’un creuset servant aux essais métallurgiques.

*noTe : TouS CeS aRTeFaCTS onT éTé miS au JouR SuR Le SiTe aRCHéoLoGiQue CaRTieR-RoBeRVaL eT SonT deS TémoinS de L’oCCuPaTion CoLoniaLe FRançaiSe de 1541-1543.

L’ExPosITIon REGoRGE d’ARTéFACTs. voICI L’oCCAsIon dE s’IMPRéGnER dE CETTE hIsToIRE FAsCInAnTE, JUsqU’ALoRs TRès PEU doCUMEnTéE ET ConnUE.

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Rencontré peu avant le début de la conférence, le directeur adjoint de l’école, Sébastien Simard, a rappelé la pertinence d’une telle initiative. « L’idée d’offrir cette conférence est survenue l’an dernier. Cathe-rine Ménard, Simon Bastarache et moi-même étions en contact. Après discussions, nous avons décidé d’offrir une conférence dans laquelle les élèves pourraient entendre des témoignages de deux jeunes qui ont étudié ici et qui ont vécu de l’intimidation. On souhaitait ainsi parler de l’intimidation autrement puisque Simon et Catherine, à travers leur histoire, apportent des solutions concrètes que les élèves peuvent mettre en application », explique M. Simard.

« Selon nous, le fait de l’avoir vécu nous donne une certaine crédibilité auprès des jeunes. D’autant plus que nous ne sommes pas beaucoup plus vieux qu’eux. En plus, notre approche est bien différente de celle des spécialistes. Nous venons témoigner, leur dire comment nous nous sommes sen-

tis en tant qu’intimidés et comment nous nous en sommes sortis. Le but est aussi de sensibiliser les intimidateurs au mal qu’ils font subir et d’inciter les témoins silen-cieux à dénoncer les comportements inac-ceptables », mentionne Simon Bastarache.

des histoires CoLLées sur La réaLité

Au cours des 70 minutes que durent leurs témoignages, Catherine et Simon n’ont pas peur d’utiliser les vrais mots pour décrire ce qu’ils vivaient et d’appuyer leurs dires sur des faits concrets. « À l’école, je me faisais traiter de “tapette”. La moitié de la classe était contre moi. Je me rappelle que durant les cours d’éducation physique, personne ne me voulait dans son équipe. J’étais vraiment “rejet”. En secondaire un, j’ai même pensé m’enlever la vie. Je ne voulais pas mourir : je voulais seulement que ça cesse », se sou-vient-il. « En secondaire trois, je suis allé rencontrer le directeur pour lui dire ce que

je vivais. Une intervention a été faite et la situation s’est grandement améliorée. »

Même chose pour Catherine dont le calvaire a débuté alors qu’elle n’avait que 8 ans. « J’ai vécu de la violence physique et psychologique de la part des autres élèves pendant six ans. C’est lors d’un cours de théâtre que j’ai craqué et que je me suis confiée à ma professeure. Elle a fait une intervention auprès des élèves pour que

ça cesse. Ça été le début de la fin de ma période d’intimidée », se rappelle-t-elle.

Avec leur conférence, ils souhaitent surtout redonner espoir aux jeunes vic-times d’intimidation. « Nous souhaitons que les jeunes qui en vivent se disent en nous écoutant qu’il y a des solutions qui existent et que c’est possible de s’en sor-tir. Nous en sommes la preuve ! », conclut joyeusement Catherine.

inTimidaTion : une ConFéRenCe Qui donne de L’eSPoiR

des Jeunes Qui ParLent aux JeunesPar marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

« Je n’arrive pas à nous comprendre… Quelle est cette haine qui nous habite pour encourager les autres à se suicider ? », a questionné simon bastarche, collaborateur au Journal, lors de sa conférence sur l’intimidation présentée dans le cadre du cours d’éthique et études religieuses des élèves de secondaire un du Collège des Compagnons. ayant lui-même vécu de l’intimidation, cette présentation, qui se déroulait le 10 avril dernier, avait comme objectif de sensibiliser les jeunes aux méfaits de ce fléau, mais également de leur proposer des solutions tangibles pour que la situation cesse.

sébastien simard, directeur adjoint du Collège des Compagnons, entouré des deux jeunes conférenciers Catherine Ménard et simon Bastarache.

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L’anCienne Caisse PoPuLaireC’est dans cette maison blanche de la

rue Saint-Félix que les habitants allaient confier leurs maigres économies et faire leurs emplettes. Construite en 1955, la propriétaire Cécile Ménard mit sur pied la première Caisse populaire de Cap-Rouge

en plus de gérer l’épicerie. Ce qui retient notre attention c’est non pas le caractère ancestral de la maison, mais plutôt sa fonc-tion qui marqua son temps et qui s’inscrit dans l’histoire de Cap-Rouge. Après avoir sonné et attendu quelques longues minu-tes au seuil de la porte, une dame ayant

presque 40 ans de plus que la maison elle-même m’ac-cueillit. Elle m’expliqua qu’autrefois, étant copro-priétaire de la maison, elle travaillait souvent aux côtés de Cécile Ménard. Elle m’entraina vers le salon et m’indiqua qu’il servait de petite épicerie. Avec un peu d’imagination, je réus-sis à remplacer les divans fleuris par des tablettes remplies de produits. « Un congélateur pour la viande se trouvait là me pointa-t-

elle, là-bas, la crème glacée et le garde-robe au fond servait de rangement ». Elle s’approcha d’un meuble et me raconta que c’est celui qu’elles utilisaient à l’épo-que pour la caisse popu-laire et attira mon attention vers la brocheuse qui trône sur l’une des tablettes et qui n’a pas bougé depuis. Elle me révéla que la Caisse connut de nombreuses dif-ficultés puisque les gens plutôt pauvres n’avaient que quelques sous noirs à déposer. La Caisse populaire Desjardins à Lévis au même moment, voyant un grand succès, multipliait ses caisses dans toute la région et voulut notamment en ouvrir une à Cap-Rouge. Malgré ces obstacles, Cécile Ménard croyait en son projet et garda la caisse ouverte un nombre respec-table d’années, jusqu’en 1961.

La maison iLdéFonse-deLisLeSitué sur la rue Provancher, le ter-

rain de la maison Ildéphonse-Delisle appartenait en 1854 à Antoine Juchereau Duchesnay. Ce n’est qu’en 1946 qu’elle fut construite et le propriétaire Ildé-phonse-Delisle la vendit l’année suivante à la famille Petitclerc. Celle-ci la garda pendant quarante ans et c’est Gérard Boulanger qui l’acquit en 1988. De style vernaculaire américain, ce type d’archi-tecture s’étend de 1875 à 1950, un courant inspiré des États-Unis caractérisé par la standardisation des modèles de maison où la simplicité et de faibles coûts doivent

prédominer. Plusieurs variantes existent, mais ces maisons à un ou deux étages se distinguent notamment par un toit à deux versants pentus ou en demi-croupe, la pré-sence de lucarnes, un plan rectangulaire et un revêtement de bardeaux de bois. Pour affronter les grands vents, certaines d’entre elles ont également un tambour ; c’est le cas de la maison Ildefonse-Delisle. Il serait même possible de croire que l’ar-chitecte s’est inspiré d’un temple grec par sa façade du même côté que le mur pignon. L’extérieur de la maison a subi peu de rénovations depuis sa construction. Quant à l’intérieur, puisque des rénovations s’avé-raient nécessaires, Monsieur Boulanger en profita pour exercer sa passion ; il conver-tit les pièces en grand atelier de peinture tout en conservant l’aspect ancestral de la maison notamment par des planchers et poutres de bois. Accessible au public, vous pourrez admirer ses toiles de paysages québécois et il est également possible de vous inscrire à un cours de peinture.

L’histoire de deux maisons raContée

Par marika CorCoran

mar ikacorco ran@hotmai l . com

Ce mois-ci, deux autres maisons retiennent notre attention : la maison ildéphonse-delisle et une maison qui servait de Caisse populaire dans les années cinquante.

La maison Ildéphonse-delisle.

La Caisse populaire et la petite épicerie.

Page 9: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 9

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Page 10: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 310

On peut comprendre que certains Carougeois aient été blessés par l’image

que cette publicité projette du résident de Cap-Rouge. Par contre, d’autres auront

compris qu’il s’agit d’une fiction et qu’on aurait pu identifier n’importe quel autre lieu avec le même effet négatif dans sa population. Alors, pourquoi ne pas avoir inventé de toutes pièces un topo-nyme comme, par exemple, Ste-Marie la Moderne, le petit village sympathique dans le film « La Grande Séduction » ?

Par ailleurs, un autre aspect de la publicité de Bell Canada en a fait réagir plusieurs. Tel que mentionné précédem-ment, il s’agit du rôle d’ignare attribué aux personnes aînées. Avait-on besoin de ridi-culiser des aînés pour illustrer le caractère nouveau de la technologie proposée et l’in-térêt qu’elle comporte, particulièrement pour la jeune génération ? Le rôle des aînés n’aurait-il pas pu être plus positif et plutôt favoriser le dialogue entre les générations « antenne de lapin » et « fibre optique » ?

Dans ce contexte, on comprend très bien la position de la « Table de concerta-tion des personnes aînées de la Capitale nationale » qui a décidé de dénoncer la publicité de Bell Canada sur la nouvelle technologie FIBE auprès des autorités concernées.

En ce qui concerne la référence à Cap-Rouge, l’image véhiculée est si loin de la réalité qu’elle est fiction. Il est vrai que légalement la Ville n’existe plus, mais l’appartenance, l’identification à un lieu débordent largement le carcan légal.

nous on vient de CaP-rouge :La ville qui a accueilli Jacques-Cartier

lors de son voyage au Canada en 1541 :La ville qui possède le plus long viaduc

ferroviaire au Canada, qui fêtera son 100e anniversaire cette année :

La ville composée majoritairement de constructions résidentielles, donc une basse densité de population, favorisant un milieu de vie de haute qualité ;

La ville qui renferme près de 20% de

parcs et espaces verts ;La ville qui, selon les spécialistes de

l’immobilier, a su conserver son pouvoir d’attraction au fil des ans et maintenir une valeur d’évaluation élevée ;

La ville qui abrite une population par-ticulièrement scolarisée avec un niveau de formation cégep et universitaire qui dépasse 65 % ;

La ville choisie par Bell Canada pour tester le système Vista, précurseur de l’in-ternet d’aujourd’hui ;

La ville qui a tracé les premières pistes de ski de fond en milieu urbain ;

La ville qui a accueilli les premières nouvelles boîtes postales au Québec ;

La ville qui a été la première à implan-ter le bac à déchets universellement utilisé aujourd’hui et qui favorise le recyclage.

La ville qui a été parmi les premières à être dotée de la technologie FIBE.

On me dit que la pénétration de cette technologie dans Cap-Rouge est des plus importante. Peut-être est-ce la raison pour laquelle le toponyme Cap-Rouge serait venu spontanément à l’esprit du concepteur ? Fort à parier que les responsables du développement chez Bell Canada nous connaissent bien, ils savent que les Carougeois représen-tent un échantillonnage exceptionnel pour l’essai de nouvelles technologies. C’est la deuxième fois que Bell Canada utilise Cap-Rouge pour l’implantation d’une nouvelle technologie (Écho de Cap-Rouge, mai 2012). Encore faut-il connaitre Cap-Rouge pour comprendre l’utilisation de ce toponyme, ce qui n’est pas le cas de la masse à laquelle le mes-sage s’adresse.

Conséquemment, l’image projetée de Cap-Rouge est négative pour l’ensemble des auditeurs et à l’opposé de la personna-lité et de la qualité des résidents, nouveaux et anciens, conséquence du rôle attribué à ceux qui s’identifient à Cap-Rouge dans la publicité de Bell Canada. Vite une nou-velle publicité plus positive.

Nous on vient de Cap-Rouge… et on en est fier !

nous on vient de CaP-rougeCette phrase toute simple a propulsé la ville originelle de Cap-rouge dans l’actualité bien malgré elle. Je crois sincèrement qu’il n’y a pas un Carougeois qui ne connaisse cette phrase répétée à n’en plus finir dans la publicité de bell Canada pour faire connaître sa technologie Fibe. une phrase fondamentalement anodine qui possède désormais une signification plutôt choquante par le rôle d’ignare attribué à ceux qui la prononcent.

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Page 11: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 11

En plus d’annoncer à la centaine de membres présents que l’actif de leur coopérative financière s’est établi à 339 M$, représentant une hausse de 5% par rapport à l’année précédente, le volume d’affaires sous gestion a lui aussi connu un bond de 10% grimpant ainsi à 725 M$.

Fiers de leur saine gestion, les dirigeants de l’établissement finan-cier ont proposé à leurs membres de verser une ristourne individuelle de 400 000$ et une ristourne collective de 40 000$. La proposition a été acceptée par la majorité présente dans la salle. Le directeur général de la Caisse, Michel Bédard, en a pro-fité pour remercier les membres, qui chaque année, acceptent de verser une partie de leurs excédents dans la communauté.

À cet effet, au cours de l’année 2012 la Caisse s’est encore une fois illustrée par son engagement dans son milieu. Elle a octroyé une somme de 43 500$ en commandites et dons afin d’encourager les initiatives des organismes de son milieu. Égale-ment, par le biais de son Fonds d’aide au développement du milieu, plusieurs organismes ont pu bénéficier d’une aide financière pour la réalisation de leur projet pour une somme globale de 24 000$.

une assembLée généraLe branChée et dynamiQue

D’ailleurs, la distinction coopérative a été au cœur de cette assemblée générale annuelle. Au début de l’évènement, les gagnantes du prix Coup de cœur Desjardins lors du Gala Mini Star, Marianne Goulet et Audrey Demers, sont venues présenter leur numéro aux membres. Visiblement, les per-sonnes présentes ont beaucoup apprécié leur prestation donnant ainsi le ton à cette

assemblée qui se voulait dynamique.Outre ce coup d’envoi sympathique,

l’ajout du vote électronique a permis de gagner beaucoup de temps, en plus de permettre aux dirigeants de tâter le pouls auprès des membres sur différents aspects. Tout au long de la soirée, diverses questions ont été posées aux personnes présentes, notamment à quelle fréquence assistent-ils à leur assemblée.

La participation des membres a éga-lement été sollicité pour déterminer le grand gagnant du concours « Votre pré-sence : payante pour notre milieu! » mis sur pied spécialement pour l’évènement. Ce concours permettait à un organisme

du milieu de recevoir un montant d’argent correspondant à cinq fois le nombre de membres présents à l’Assemblée. Après une période de votation, trois organismes étaient finalistes, soit : Club Kiwanis Sillery - Sainte-Foy - Cap-Rouge, Jumelage Saint-Félix et Club spor-tif 50+ Cap-Rouge. C’est d’ailleurs ce dernier qui a été nommé le grand gagnant repartant ainsi avec un montant de 635$.

Enfin, deux postes étaient à pourvoir sur le conseil d’adminis-tration de la Caisse et un sur le conseil de surveillance. Comme seulement trois candidatures ont été déposées à cet effet, Louis Lévesque et André J. Roy ont été réélus sans opposition sur le conseil d’administration. Même son de cloche du côté du conseil de surveillance où Denise B. Bol-duc a également été réélue.

La santé FinanCière de La Caisse desJardins de CaP-rouge se Porte bien

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

La Caisse populaire desjardins de Cap-rouge est en excellente position dans son marché. C’est ce qui est entre autres ressorti lors de son assemblée générale annuelle qui se tenait le 22 avril au Club de golf de Cap-rouge.

Sam HamadDéputé de Louis-HébertPrésident de la Commission de l’économieet du travail – Porte-parole de l’oppositionofficielle pour le Conseil du trésor et la Capitale nationale

Hôtel du Parlement

1045, rue des ParlementairesBureau 3.01Québec (Québec) G1A 1A4

Tél. : 418 263-0621Téléc. : 418 644-5977

Bureau de circonscription

810, route Jean-GauvinBureau 202Québec (Québec) G1X 0B6

Tél. : 418 528-0483Téléc. : 418 644-1253

[email protected]

Ce tableau est pour vous!Informez-nous et il nousfera plaisir de partager vos réalisations avec lescitoyens de Louis-Hébert.Expédiez l’informationà Joël Godin, Conseillerprincipal par courriel :[email protected]

TABLEAU D’HONNEURde votre député de Louis-Hébert,

SAM HAMAD

Démocratie au Collège des Compagnons.J’ai eu le privilège d’assister au Parlement étudiant du Collège des Compagnons. Une excellente initiation pour nos décideurs de demain. Il y a beaucoup de potentiel. www.csdecou.qc.ca/collegedescompagnons

Plein de talents au Gala Mini-Stars du club optimiste de Cap-Rouge.De nombreux jeunes ont présenté leurs talents de chan-teurs (euses), comédiens (nes), musiciens (nes) et danseurs (es) sur la scène de la salle de spectacle du Collège des Com-pagnons. Je vous présente ici les gagnantes dans la catégorie danse. La troupe de huit jeunes filles de l’école Les Violons Verts était heureuse de nous montrer leurs médailles.Félicitations à tous les par-ticipants, il y avait beaucoup de talent!

Une visite au Mouvement des Services

à la communauté du Cap-Rouge s’impose.

J’ai été encore une fois impressi-

onné par l’ampleur de l’organisation

du Mouvement d’entraide tant au

niveau des différents services tels : le

comptoir de vêtements échange, les minipuces, le bazar pour

bébés, le service de récupération couture que pour le service

alimentaire « popote roulante ». www.msccr.com

Je suis toujours heureux de rencontrer ces gens généreux qui

ont un dévouement remarquable. Lors de mon passage, j’ai

offert une contribution pour leur action bénévole.

Bravo pour toute cette générosité.

Mesdames Sylvie Desjardins, Françoise

Otis, Rita Veilleux, Kathy Hotte, Yseult Roy Raby, Catherine Giroux, Suzanne Thibeault-Raviolatti et Berthe Tardif.

Un lancement réussi de la brochure du centenaire du Tracel.J’étais heureux de participer au lance-ment de la brochure « Le Tracel de Cap-Rouge, 100 ans d’histoire ». Ce document contient des informations diverses sur cette icône qu’est notre unique Tracel. La Société historique du Cap-Rouge avait invité pour l’occasion l’historien, Monsieur Jean-Marie Lebel, afin de raconter l’histoire du Tracel. L’église Saint-Félix de Cap-Rouge était bondée.Félicitations à la Société et au comité du Centenaire pour la belle soirée!

Me voici en présence de Monsieur Jean-Marie Lebel, Madame Louise Slater, présidente de la Société historique du Cap-Rouge et Madame Denise Tremblay, conseillère à la ville de Québec.

Dans l’ordre habituel : Hania Monteil, Lysandre Monette, Clara Lévesque, Ann-Frédérique Godin, Lysandre Chrétien, Camille Fortin, Daphnée Gagnon-Beaulé et Juliette Pankow.

Je souhaite une très belle fête des Mères à toutes les mamans. Vous êtes si importantes dans nos vies!

Les gagnantes du prix Coup de cœur desjardins lors du Gala Mini star, Marianne Goulet et Audrey demers, ont lancé le coup d’envoi de la soirée.

Le président Gilles dion en compagnie du jeune dirigeant stagiaire, hugo Paré-Morin.

Le Club sportif 50+ Cap-Rouge a reçu un montant de 635$.

Page 12: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 312

Déjà impliquée au sein de la Société historique de Québec, Mme Dion n’a pas hésité à embarquer dans ce projet unique. « Avec cette commémoration, nous sou-

haitons rendre hommage à ces femmes qui ont tout quitté pour venir peupler la colonie. On espère, en quelque sorte, réécrire ce pan de l’histoire », mentionne

celle qui prendra les traits de Marguerite Ardion de La Rochelle durant la durée des célébrations.

Pour sa part, Mme Giard a été mise au parfum de cette activité lorsqu’elle faisait des recherches généalogiques sur sa famille. « J’étais curieuse de savoir qui avait été le premier Giard à arriver au Qué-bec. Au fil de mes recherches, j’ai décou-vert que le premier Giard avait été marié à une Fille de Roy. Je me suis donc rendue au kiosque de la Société des Filles du Roy lors des Fêtes de la Nouvelle-France et c’est là qu’on m’a parlé de cet évènement », explique celle qui incarnera Suzanne De Licerace de Bordeaux.

un ProJet PassionnantToutes les deux emballées par le pro-

jet, elles lui consacrent entre cinq et dix heures par semaine, et ce, depuis le temps des Fêtes. « Nous avons la chance d’avoir diverses conférences nous relatant, entre autres, la vie de ces femmes ainsi que leurs us et coutumes. Des ateliers de for-

mation nous sont également offerts afin de nous aider à bien les incarner. Nous avons également reçu une biographie de notre “jumelle” afin de bien la connaitre. Ainsi, contrairement au mythe véhiculé, nous apprenons que ces filles étaient bien souvent des orphelines et non des femmes de petites vertus. À cette époque, il y avait sept hommes pour une femme. Ce sont elles qui choisissaient et non l’inverse », relate avec conviction Mme Giard.

D’ailleurs, pour bien les personnifier, elles n’ont pas hésité à débourser entre 500 $ et 700 $ pour se faire confection-ner des costumes d’époque sur mesure. Outre le costume, les 36 bénévoles doivent également payer les frais de leur voyage en France, qui aura lieu du 3 au 16 juin, durant lequel diverses commémorations seront organisées dans les principales vil-les d’où proviennent les Mères de la Nation québécoise.

« Pour nous aider à payer notre voyage, nous avons mis sur pied un tirage dont le grand prix est un voyage d’une valeur de 5 000 $. Les billets sont au cout de 10 $. Le tirage aura lieu le 18 mai prochain. Nous offrons aussi des conférences un peu partout, soit dans les écoles ou dans les foyers pour ainés. En échange, nous demandons aux gens de nous acheter des billets. Les personnes intéressées peuvent nous joindre via [email protected], concluent-elles.

des Carougeoises Font revivre Les FiLLes du roy

Par marie-FranCe simard

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trente-six ! C’est le nombre de femmes, qui en 1663, ont bravé les intempéries pour venir s’établir en nouvelle-France. Pour célébrer le 350e anniversaire de cette arrivée, la société d’histoire des Filles du roy a lancé l’idée aux femmes de personnifier l’une d’entre elles. des femmes de partout à travers la Province ont répondu positivement, dont deux Carougeoises : nathalie dion et maryse giard.

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Maryse Giard et nathalie dion revêtent fièrement leur joli costume d’époque.

Au cours des derniers mois, de belles amitiés sont nées grâce aux Filles du Roy.

Page 13: L’Écho de Cap-Rouge

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L’Aréna l’Activital était rem-pli de soleil les 29 et 30 mars alors que le Club de patinage artistique de Saint-Augustin-de-Desmaures (CPA St-Augus-tin) présentait son annuelle revue sur glace. Sous le thème « Beach Party à la Playa », les 83 patineurs et patineuses en ont mis plein la vue à la centaine de spectateurs présents. Sur des rythmes enjoués, les jeunes athlètes y sont allés de nombreuses performances tout au long des 15 numéros présentés.

LEs LIons, ToUJoURs IMPLIqUés Le Club Lions de Cap-Rouge/St-Augustin

continue à soutenir les organismes œuvrant pour la jeunesse. Une contribution de 1 000 $ a été remise aux Cadets de la marine pour continuer à entretenir les instruments de musique. Rappelons qu’en novembre dernier, les Cadets avaient contribué activement au cocktail-bénéfice des Lions. Précisons par ailleurs que le Club a aussi financé l’acquisi-tion de trois ordinateurs mis à la disposition des jeunes qui fréquentent la maison des jeunes de St-Augustins.

ChAnT LIBRE En ConCERTEn attendant l’été, rien de mieux qu’un

spectacle du Groupe Chant libre. Au pro-gramme de très belles chansons d’ici et d’ailleurs, qui révèlent toute la richesse de la francophonie. Laissez-vous bercer par plus d’une trentaine de choristes, accom-pagnés au piano par Jocelyn Turbis, sous la direction de Lise Langevin. Un incontournable printanier pour toute la famille, le samedi 11 mai à 20 h à la salle Jobin de l’Hôtel de Ville de Saint-Augustin-de-Desmaures. Admission générale 5 $, gratuit pour les moins de 12 ans.

LE soUPER dE hoMARd EsT dE REToUR

L’Association de jumelage Cap-Rouge St-Augustin invite les amateurs de homard à son traditionnel souper de homard, le samedi 25 mai à 18 h, au Centre com-munautaire de Cap-Rouge. Vous n’êtes pas friand du crustacé ? Sachez qu’un deuxième choix de menu est ajouté. Pro-fitez de ce moment pour en apprendre davantage sur la venue des cousins Chau-raisiens et amis Allemands qui seront des nôtres du 25 juin au 10 juillet. Information et réservation avant le 15 mai auprès de Mme Dina Haché-Martin au 418-688-8395.

ATELIERs-CoURs d’éCRITUREVous rêvez d’apprendre à écrire un

récit, un roman ou même vos mémoires, mais vous avez besoin d’un guide ? Sté-phane Ledien, écrivain et auteur du livre « Un Parisien au pays des pingouins » anime depuis la mi-avril des ateliers-cours d’écriture à l’École d’Arts Visuels de Cap-Rouge. Deux ateliers sont offerts : - « De la lecture à l’écriture « les mardis et jeudis soirs (au choix) de 19 h à 22 h ; - « Mémoires ou carnets de voyage « le samedi matin de 9 h à 12 h. Information et inscription au Centre communautaire au 418 641-6301 poste 7327 ou via le www.centreartmaisonblanchette.org.

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Page 14: L’Écho de Cap-Rouge

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Vous aurez aisément deviné qu’il est question de ce dimanche annuel qui met en relief ces femmes qui ont un jour porté en elles une partie du monde dans lequel nous vivons. La fête des Mères. Ce dimanche n’est pas sans rappeler Pâques avec ses réunions familiales autour d’un brunch ou à défaut de fêter une résurrec-tion, nous célébrons tout simplement la vie en remerciant celles par qui tout est possible. Tous les prétextes visant à nous

réunir en famille autour d’une table sont autant d’occasions à saisir pour renouer entre nous et pour préserver ces liens qui nous définissent. En secret nous savourons également le merveilleux soleil printanier.

mamanLe premier mot qui sort de la bouche

de l’enfant est souvent celui-là. Il nous revient en boucle lors de mauvaises sur-prises qui nous laissent sans mots, sauf lui bien sûr. Il est toujours le premier mot que l’on distingue à travers les sanglots, il habille la plainte et indique souvent la profondeur du chagrin qu’il nomme. Maman est la prière la plus courte et la plus récitée par le peuple humain. Madar, mama, maman, madre, mueter, majka, matri, mytyr, matu’a vahine, mèdra, matri et des centaines d’autres encore nomment celle qui est le premier amour terrestre de chaque être. Difficile de ne pas remarquer que toutes ces façons de la nommer ont une certaine parenté comme si une origine commune nous liait les uns aux autres. Vus de la lune, nous sommes tous et toutes frères et sœurs et notre mère s’appelle Maman.

grand-maman« Tire la chevillette et la bobinette

cherra ». Cette image de grand-mère alitée et malade est de moins en moins connectée à la réalité contemporaine. Les femmes qui ont eu des enfants ont toutes les chances de rester jeunes plus longtemps que celles qui n’ont pas eu cette chance. Les enfants nous provo-quent, nous déniaisent et nous obligent à rester à jour pour suivre le rythme. Les mères continuent à veiller sur leur progéniture avec les moyens de l’épo-que et les grands-mères modernes et branchées, qui ont plus de temps libres, sont des atouts non négligeables pour donner un coup de pouce aux jeunes familles. Que le Grand-méchant-Loup se le dise !

arrière-grand-mère En un demi-siècle, la situation des

femmes, au Québec comme au Canada, a changé du tout au tout. Le marché du tra-vail est ouvert aux femmes, le droit de vote est un acquis, la religion a perdu de son pouvoir discriminatoire et l’égalité entre les sexes continue de faire son petit bon-homme de chemin. Ces nombreux com-bats pour que cessent ces injustices ont été menés par des femmes courageuses dont l’histoire n’a souvent retenu que le nom du mari. En cette occasion de la fête des Mères, prenons le temps de retrouver ces noms abandonnés au mariage afin de mieux savoir qui remercier. Joyeuse fête des Mères à toutes !

La SeuLe VaLeuR uniVeRSeLLe

mères et mondesPar CaroLe roy

caro [email protected]

mère nature, mère supérieure, langue maternelle, carte mère, reine mère, maison mère, fille-mère, mère poule, belle-mère, matrice, marâtre, génitrice, mère porteuse, mère bio-logique, terre mère, grand-mère, mère célibataire, idée mère, mère nourricière, mère au foyer, mère de famille, cellule-mère, mère patrie, roche-mère, cellule-mère, déesse-mère, branche mère, plante mère, mère courage, sous la jupe de sa mère, mémérage, mère de dieu et bien sûr, maman…

Page 15: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 15

Entre autres, l’enfant est appelé à réa-liser différentes activités de motricité fine (ex. : découpage, coloriage, écriture de son prénom), à développer ses habiletés socia-les (ex. : se faire des amis, gérer un conflit) et cognitives (ex : repères dans le temps, nombres), à fonctionner en groupe (ex. : respecter les règles du chacun son tour) et à développer son estime de soi et sa personnalité. En plus d’acquérir plusieurs habiletés nouvelles, l’enfant est aussi appelé à s’habiller lorsqu’il quitte l’école, à ouvrir ses contenants lors de la collation, à utiliser les toilettes, à rester attentif aux consignes, etc. C’est pourquoi il est par-ticulièrement important de préparer l’en-trée en milieu scolaire afin que ce moment de transition soit bien vécu par tous.

Voici des exemples d’activités qui pourraient aider votre enfant à développer ses habiletés et son autonomie en prévi-sion de l’entrée à la maternelle :

autonomie dans Les aCtivités de La vie Quotidienne :

Ne faites pas pour l’enfant, mais plutôt laissez-lui le temps de faire par lui-même, même si cela augmente le temps de réali-sation de l’activité (ex. : boutonner sa che-mise, remonter sa fermeture éclair, lacer ses souliers, préparer sa collation, etc.).

Ne donnez pas la réponse à votre enfant s’il ne sait pas comment faire. Demandez-lui comment il ferait pour accomplir l’acti-vité et utilisez ses réponses pour l’orienter en lui posant des questions (ex. : après avoir croisé tes lacets, qu’est-ce que tu vas faire ?). Amenez votre enfant à réfléchir par lui-même, car il retiendra alors beau-coup plus facilement comment réaliser l’activité que si la réponse lui est donnée.

aCtivités de motriCité Fine :

n Stimulez l’intérêt de votre enfant au découpage, au coloriage et au dessin en utilisant des thèmes qu’il affectionne (ex. : princesses, moyens de transport), en l’encoura-geant et en le félicitant, en mettant ses créations en valeur (ex. : afficher dans la cuisine, faire un cadeau à grand-maman), en variant les modalités utilisées et en donnant des choix (ex. : crayons de bois, feutres, cires ; peinture ; craies ; feuilles ; cartons ; tableau ; miroir).n Faites découper et coller différentes for-mes (cercle, carré) à votre enfant pour réa-liser un bricolage. Assurez-vous que votre enfant utilise des ciseaux adaptés pour lui (taille adéquate, droitier/gaucher).n Faites colorier différentes formes (gros-ses, petites, circulaires, irrégulières, etc.) à votre enfant sans dépasser.n Faites tracer votre enfant dans des che-mins pour relier deux images (ex. : Némo le poisson doit aller rejoindre ses amis dans l’océan). Graduez les chemins qu’il utilise (ex : plus large au plus étroit, moins de changements de direction à plusieurs changements de direction).n Demandez à votre enfant de ramasser des petits objets un à un (ex. : petites perles, petits cailloux) avec son index et son pouce, sans s’aider de son autre main. Demandez-lui de tous les garder dans la paume de sa main au fur et à mesure qu’il les ramasse. Vous pouvez ensuite lui demander de ressortir les petits objets un à un en les amenant au bout de son pouce et de son index.

aCtivités PerCePtivo Cognitives :

n Encouragez votre enfant à nommer les couleurs qu’il choisit lorsqu’il colore, les

formes qu’il découpe, le nombre de perles qu’il enfile, ainsi qu’à séquencer ses jouets par grosseur (ex. : plus petit au plus grand), par catégorie (ex. : fruits vs légumes), etc.n Encouragez votre enfant à utiliser adé-quatement les termes : en haut, en bas, en dessous, au-dessus, à droite, à gauche, en avant, en arrière, en plaçant des jouets à différents endroits et en lui demandant

d’identifier la position.n Encouragez votre enfant à copier des formes (croix, X, carré, cercle, triangle, etc.), en les intégrant à des dessins (ex. : croix dans une fenêtre de maison).n Encouragez votre enfant à signer ses créations à partir d’un modèle pour écrire son prénom.n Encouragez votre enfant à identifier des parties de son corps, du vôtre ou de celui des personnages qu’il dessine.

Quand ConsuLter ?Si vous remarquez que votre enfant

apparaît plus lent ou plus maladroit com-parativement aux autres enfants de sa gar-derie, qu’il a de la difficulté à manipuler adéquatement les ciseaux, le crayon ou des petits objets, qu’il réalise ses activi-tés de la vie quotidienne avec lenteur ou maladresse (s’habiller, manipuler des ustensiles, etc.), qu’il tarde à connaître les formes, les couleurs, les nombres, etc., il pourrait être pertinent de consulter un ergothérapeute.

L’entrée à la maternelle constitue une étape charnière du développement de l’enfant. en effet, ce dernier, en plus d’entrer dans une nouvelle routine de vie liée au rôle d’élève, fera l’apprentissage de nouvelles activités et continuera d’acquérir de l’autonomie dans ses activités de la vie quotidienne.

Pédiatrie

phys ioen fant . com

Par Le serviCe d’ergothéraPie de La CLiniQue de PhysiothéraPie PédiatriQue

une éTaPe imPoRTanTe danS Le déVeLoPPemenT de L’enFanT

L’entrée À La materneLLe

santé

RéFéRenCeS :

miniSTèRe de L’éduCaTion, du LoiSiR eT du SPoRT du QuéBeC. (2006). PRoGRamme de FoRmaTion de L’éCoLe QuéBéCoiSe, VeRSion aPPRouVée. CHaPiTRe 4 : éduCaTion PRéSCoLaiRe (P.51-68). QuéBeC : GouVeRnemenT du QuéBeC.

ReGRouPemenTS deS eRGoTHéRaPeuTeS du miLieu SCoLaiRe. (2007). au-deLà de La RéadaPTaTion, L’eRGoTHéRaPeuTe à L’éCoLe : RôLe de L’eRGoTHéRaPeuTe en TanT Que SeRViCe éduCaTiF ComPLémenTaiRe auPRèS deS éLèVeS en diFFiCuLTé. monTRéaL : FédéRaTion deS PRoFeSSionneLLeS eT PRoFeSSionneLS de L’éduCaTion du QuéBeC.

oRdRe deS eRGoTHéRaPeuTeS du QuéBeC. (2012). L’eRGoTHéRaPie auPRèS de L’enFanT Qui PRéSenTe un ReTaRd de déVeLoPPemenT. monTRéaL : oRdRe deS eRGoTHéRaPeuTeS du QuéBeC.

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aLLeRGie ou inToLéRanCe ?

Le gLuten, Cette moLéCuLe Qui dérange

dès que le mot « gluten » apparait dans un article ou sur un aliment, il attire l’attention. Certains commerçants en font même une devise santé si bien que le consommateur ne sait plus réellement s’il doit oui ou non cesser de consommer du gluten et les raisons qui font que cette molécule est soudainement mise de l’avant dans les discours.

nutrition

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a f f i l i ée aux C l in iques méd ica les Lac ro ix www.nut r i s imp le. com

Par : andréanne martin, dt.P.

santé

Qu’est-Ce Que Le gLuten ?Le gluten est une molécule qui confère

une texture moelleuse aux aliments qui en contiennent. C’est un agent texturant que l’on retrouve dans plusieurs céréales, dont le Seigle, l’Avoine, le Blé, l’Orge et le Triticale (SABOT). Le gluten n’est pas problématique en petite quantité chez une personne qui n’en est pas intolérante ou allergique.

On ne nait pas allergique au gluten ou intolérant à cette molécule. Il s’agit d’une problématique héréditaire, mais les causes exactes sont encore floues. Ce qui semble se dégager, c’est qu’il y a manifestation après un stress tel qu’une opération, une maladie, une infection, une grossesse,

etc. Les symptômes sont très individuels à chacun. Parfois, on assistera à des dou-leurs intestinales, des changements au niveau de la consistance des selles ou bien les symptômes découleront plutôt de la malabsorption tels que la fatigue, l’anémie, le manque de calcium dans le sang pou-vant mener à l’ostéoporose, ralentissement de la croissance chez l’enfant, etc.

aLLergie ou intoLéranCe ?L’allergie est bien différente de l’intolé-

rance, puisqu’un mécanisme immunitaire la caractérise. Cette réaction du système immunitaire, face à la molécule de gluten, provoque une inflammation au niveau de

l’intestin et une destruction graduelle de la paroi des sites d’absorption intestinaux. En éliminant ces petits cils essentiels à l’absorption de ce que l’on consomme, il peut y avoir à long terme des répercussions causées par cette malabsorption (anémie, fatigue, diarrhée, ostéoporose, dépression, etc.). Autrement dit, à la consommation de gluten, le système immunitaire de la personne allergique s’attaque à son propre système digestif.

L’intolérance n’est pas aussi claire que l’allergie, puisqu’on ne connait pas encore les causes exactes et qu’il n’existe pas de donnée précise pour formuler un diagnostic franc. Toutefois, ces personnes intolérances au gluten le savent lorsqu’elles le retirent de leur alimentation et se sentent beaucoup mieux. Avant de le retirer, si on soupçonne que la cause de nos malaises digestifs est le gluten, il importe de savoir si oui ou non, il

s’agit d’une allergie, car si tel est le cas, les conseils nutritionnels seront beaucoup plus sévères qu’en cas d’intolérance, puisqu’il y a destruction de la muqueuse intestinale à chaque bouchée contenant du gluten.

Mes clients qui vivent avec la maladie coeliaque (allergie au gluten) vous diront que les précautions à prendre prennent un temps fou à énumérer. Ne pas utiliser le même grille-pain que la famille, les risques de contamination croisée sont tellement présents dans plusieurs industries alimen-taires qu’il importe d’appeler régulièrement les compagnies pour qu’elles certifient que le produit que vous vous apprêtez à acheter est réellement sans gluten, bref, en plus de connaitre les aliments qui contiennent du gluten, il y a beaucoup à faire.

Je vous mentionnais plus tôt que le gluten est un agent texturant. Laissez-moi vous dire que la première fois que mes clients goutent au pain sans gluten, mal-gré le fait que l’industrie ait réalisé de vrais petits miracles pour l’amélioration de la texture, cela demeure difficile à accepter au niveau des papilles gustatives. Cuisiner soi-même est le mot d’ordre !

Les clients se sentent beaucoup mieux en retirant toute trace de gluten et ce bien-être est évidemment la raison première pour laquelle ils continuent la diète sans gluten !

À Québec, chez NutriSimple, nous avons la chance d’avoir dans notre équipe la spécialiste de la maladie coeliaque, Mme Nicole Leblanc, diététiste-nutrition-niste. N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir davantage.

Page 17: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 17

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Ingrédients1 tasse de farine tout usage sans gluten1. c à thé de sucre1 pincée de sel1 tasse de lait d’amande2 œufs2 c. à table d’huile1 c. à thé de vanillePréparation :n Tamiser la farine et les ingrédients secs dans un bol.n Ajouter le lait en fouettant, ensuite les œufs en fouettant jusqu’à ce que la préparation soit lisse.n Ajouter l’huile et la vanille et bien

mélanger. Laisser reposer quelques minutes à température de la pièce.n Chauffer une noix de beurre, d’huile ou de graisse et cuire les crêpes.n Vous pouvez remplacer le lait d’amande par du lait de vache ou autre lait végétal. Si vous voulez faire des crêpes salées, ne pas mettre de vanille.

muFFins aux brisures de ChoCoLat et aux bananes

12 muFFins

Ingrédients :1 ½ tasse de farine tout usage sans gluten¾ tasse de sucanat ou cassonade1 c. à thé de vanille2 c. à thé de poudre à pâtePincée de sel3 petites bananes2 œufs½ tasse de beurre fondu ou margarine

sans produits laitiers¼ tasse de lait ou de lait d’amande½ tasse de pépites de chocolat½ tasse de noix de GrenoblePréparationn Chauffer le four à 350F.n Mélanger le sucre et le beurre, ajouter

les bananes en purée, les œufs, le lait et la vanille.n Dans un autre bol, mélanger les ingré-dients secs.n Ajouter graduellement les ingrédients secs à la préparation liquide et battre.n Ajouter les pépites de chocolat et les noix.n Mettre dans des moules à muffins et cuire à 350F, 25 minutes.

Bien manGeR SanS TRaCaS

truCs et astuCes sans gLutenPar : annie Caron de L’aCadémie CuLinaire

L’intolérance au gluten arrive avec son lot de tracas en cuisine. il est pourtant simple de bien manger quand on connait quelques trucs et astuces qu’il me fait plaisir de partager avec vous.

santé

1. SauceS : Pour épaissir les sauces blanches et les soupes, utiliser la fécule de pomme de terre, mais il faut la tamiser 2 fois, car elle a tendance à faire des grumeaux. On peut aussi utiliser la fécule de maïs, mais en grande quantité, elle altère le gout des sauces. On peut aussi utiliser la farine de riz ou de tapioca.2. Poudre à Pâte : Aug-menter la poudre à pâte des recettes à 2 c. à thé par tasse de farine sans

gluten si vous convertis-sez une recette conçue pour la farine de blé. 3. temPS de cuiSSon : Diminuer la température de cuisson de 25F et augmenter légèrement le temps de cuisson, car les produits sans gluten lèvent plus lentement.4. PâtiSSerie : Toujours tamiser nos farines. Quand on fait un gâteau, toujours battre 2 minutes. Quand la pré-paration pains, muffins, gâteaux est prête, laisser

reposer 20 minutes avant de cuire.5. PâteS végétaleS : Les pâtes végétales sont un excellent compromis pour les repas sans glu-ten. On peut utiliser des courgettes, des carottes, des betteraves, du céleri-rave, des patates douces. Après avoir bien lavé nos légumes, on les passe au Spirouli pour en faire des spaghettis et on sert nos pâtes de légumes avec notre sauce préfé-rée sans gluten.

5 trucS culinaireS infaillibleS

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Rencontré à son point de service de Cap-Rouge à ce sujet, le médecin et PDG fondateur du Réseau des Cliniques médi-cales Lacroix, Marc Lacroix, a expliqué les raisons qui le motivent à offrir de tels soins à sa clientèle. « Depuis notre ouver-ture en 2009, nous constatons qu’à Qué-bec il n’y a pas beaucoup d’alternatives

en ce qui concerne les soins palliatifs, mis à part les quelques rares ressources, comme la Maison Michel-Sarrazin. D’ailleurs lorsque l’on se compare avec l’Europe, nous remarquons que le Qué-bec a un retard dans les soins à domicile, incluant les soins palliatifs, qui peuvent en bonne partie être donnés à domicile »,

explique M. Lacroix.C’est d’ailleurs suite

à ces observations, mais également grâce à son expérience de dix ans en région durant lesquelles il a été amené à donner des soins palliatifs à domicile, qu’il a décidé

d’aller de l’avant dans ses démarches pour éventuellement offrir ce nouveau service. « Je pense que c’est une belle façon de donner ce type de soins (à la maison). Je crois également que c’est une façon plus humaine qu’en milieu hospitalier. Évidemment, je ne peux dire que tous les cas pourront demeurer jusqu’au bout à domicile, mais dans certaines situations les personnes pourront décéder dans leur maison, entourées des leurs. »

Toujours selon M. Lacroix, cette approche aurait comme effet de faire diminuer l’anxiété chez les patients. « Dans les cas de soins palliatifs, la dimension de l’anxiété occupe une partie importante de la thérapeutique. Lorsque nous sommes chez nous, natu-rellement nous sommes plus confor-tables. Cet aspect devient d’ailleurs plus facilement gérable à la maison qu’en milieu hospitalier où les patients doi-vent combiner avec un nouvel environ-nement, des nouveaux soignants, etc. À la maison, nous pouvons impliquer la famille dans les soins à donner au patient. »

une éConomie d’argent Pour Le système PubLiQueUn autre argument qui rentre en ligne

de compte dans le choix d’offrir des soins en fin de vie à la maison est celui de réduire les couts dans le système de santé publique. « C’est une façon économique de donner des soins. Ça coute beaucoup moins cher que de garder un patient dans un hôpital », estime M. Lacroix.

Ce service sera exclusivement privé. Les soins seront prodigués par des infirmières formées qui se déplaceront à domicile avec les médicaments. « La différence entre ce que les CLSC offrent présentement en services à domicile, c’est que nous ne serons pas gérés par le Ministère de la Santé pour développer notre service et nous allons nous auto-financer. C’est-à-dire que nous n’atten-drons pas l’aval du Ministère en ce qui concerne l’achat d’équipement, du finan-cement et de la procédure. Ce qui nous permettra nous adapter plus rapidement aux besoins du client. »

Le Dr Lacroix souhaite mettre sur pied cette nouvelle ressource d’ici la fin de l’année. Il espère également ouvrir une maison en soins palliatifs d’ici un à deux ans.

La CLiniQue LaCroix aJoute Les soins PaLLiatiFs À domiCiLe

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

C’est désormais confirmé, la Clinique médicale Lacroix projette bel et bien d’offrir des soins palliatifs à domicile en 2013. d’ailleurs, des démarches en ce sens ont déjà débuté.

Les docteurs Marc Lacroix, Marie-ève Collins et Julie Marois ont à cœur le bien-être de leurs clients.

santé

Page 19: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 19

En effet, parmi les 18 numéros présentés, quatre prix ont été attribués dans différentes catégories, soit chant, danse, instrument et autres, en plus du Coup de cœur Desjardins. Le jury, constitué de trois personnes, a eu la délicate tâche de déterminer les grands gagnants selon des critères bien établis : la présence sur scène, l’origi-nalité et le talent.

Après délibération, Émile Chapados, 9 ans de l’École Les Sources, a remporté dans la catégorie chant grâce à sa reprise de la chanson « Rolling in the deep » de la populaire chanteuse Adele. Pour sa part, Roxanne Blanchette, 9 ans de l’École Les Bocages, s’est démarquée dans la catégorie instrument par son interpré-tation au piano de la chanson Arabesque/Angry Bird. En danse, c’est le groupe formé de Lysandre Chrétien, 11 ans, Camille For-tin, 12 ans, Daphnée Gagnon-Beaulé, 9 ans,

Anne Frédérique Godin, 11 ans, Clara Levesque, 9 ans, Lysandre Monette, 11 ans, Hania Monteil, 9 ans, Juliette Pankow, 10 ans de l’École Violon Vert qui a gagné. Enfin, le prix dans la caté-gorie Autres et le Coup de cœur Desjardins ont été attribués à Marianne Goulet, 9 ans, et Audrey Demers, 9 ans, toutes deux de l’École l’Arbrisseau, grâce à leur interpréta-

tion de la pièce de théâtre Les Cadeaux de Marc Favreau.

« Leur prestation a été grandement appréciée. La centaine de personnes pré-sentes ont été impressionnées par leur imitation de Sol et Gobelet », explique Réginald Perron, membre du Club Opti-

miste de Cap-Rouge impliqué dans l’or-ganisation de ce spectacle amateur. « Ce que l’on constate lors de ce Gala, c’est qu’il y a beaucoup de talent parmi les jeunes ! », s’exclame-t-il. « Cet évènement leur permet de démontrer de quoi ils sont capables. C’est tellement beau de voir la fierté dans leurs yeux après leur perfor-mance », renchérit-il.

de nombreuses aCtivités Pour Les Jeunes

Cette soirée est d’ailleurs organisée dans le but bien avoué de permettre aux jeunes Carougeoises et Carougeois de vivre une expérience unique loin des distractions technologiques. « Les jeunes pitonnent beaucoup aujourd’hui », sou-ligne M. Perron. « Je pense que le Gala Mini Star leur permet de découvrir autre chose tout en s’accomplissant », men-tionne-t-il. D’ailleurs, devant le succès de l’évènement, M. Perron confirme qu’il reviendra l’an prochain.

Outre cette activité prisée, le Club Optimiste de Cap-Rouge organise d’autres loisirs destinés entre autres aux jeunes de 11 à 14 ans. « À chaque vendredi de chaque mois, nous organisons des soirées disco qui ont lieu au centre communautaire de Cap-Rouge. La prochaine aura d’ailleurs lieu le 26 avril prochain à 19 heures 30. »

Également, une activité d’appréciation durant laquelle dix jeunes de 12-13 ans auront la chance de voir leur implication dans différentes sphères soulignées aura lieu la première fin de semaine de mai au Club de golf de Cap-Rouge.

Le gaLa mini star souLigne Les Jeunes taLents d’iCi

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

grâce au Club optimiste de Cap-rouge, 32 jeunes âgés entre 6 et 12 ans ont pu faire valoir leur talent lors de l’annuel gala mini star, qui se tenait le 22 mars dernier à l’auditorium du Collège des Compagnons. Lors de cet évènement, de nombreux jeunes artistes ont reçu des distinctions pour souligner la qualité de leur prestation.

CouR

ToiS

ie

La jeune pianiste roxanne blanchette lors de sa performance.

marianne goulet, 9 ans, et audrey demers, 9 ans, toutes deux de l’école l’arbrisseau, ont remporté deux prix grâce à leur interprétation de la pièce de théâtre Les Cadeaux de marc Favreau.

CouR

ToiS

ie

art de vivre et culture

Page 20: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 320

En « grand tourisme », les circuits vous permettront de voyager à bord de vols nolisés ou réguliers, de résider dans des hôtels d’excellente qualité classés « 3 étoiles », situés en centre-ville ou à proximité des lieux de villégiature où vous pourrez bénéficier de petits déjeu-ners sous forme de buffets froids dans la plupart des villes, et d’être transportés dans des autocars grand confort de 49 places alors que les produits « première classe » vous offriront des hôtels majo-ritairement classés 4* où vous pourrez déguster des petits déjeuners chauds dans la plupart des hôtels.

Il est important de noter que Trafalgar propose désormais des circuits spéciale-ment conçus pour voyager en famille. Une foule d’activités diversifiées est offerte pour plaire à tous !

Vous souhaitez avoir plus de liberté pour faire vos propres découvertes ? Il existe désormais un type de circuits qui vous offrira un heureux mélange de décou-vertes guidées et de temps libre.

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Vous êtes assurés que le circuit sera unilingue francophone. Tous les départs des circuits garantis et si vous voyagez seul (e), un service de partage garanti vous est offert.

voir Le monde de L’intérieur Que diriez-vous de pouvoir aller par-

tager le repas d’une vraie famille en Tos-cane ? De vous glisser dans la peau d’un gladiateur ? D’apprendre à cuisiner une véritable pizza italienne ? De déguster un véritable festin dans un château en Alle-magne ? Ce ne sont que quelques-unes des

expériences authentiques qui sont offertes pendant les circuits Trafalgar.

Parmi les multiples visites qui vous seront offertes, toutes plus intéressantes les unes que les autres, on vous réserve des surprises. Les « trésors cachés » des circuits « première classe » vous étonne-ront puisque leur description n’est pas mentionnée à l’itinéraire. Que ce soit une visite exclusive du lieu de résidence de la famille de Michel-Ange à Florence ou une expédition dans l’escalier hélicoïdal de Bramante au Vatican, lieu peu accessible au public, où les marches ont été franchies par les anciens papes, vous ne cesserez d’être ravis par ces découvertes exclusives.

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Trafalgar, Insight Vacations offre une nouvelle façon de voyager, toujours en environnement francophone. Un rythme

décontracté, des autobus de luxe avec plus d’espace pour chacun, des hôtels de grande qualité situés dans les meilleurs emplace-

ments, des accompagnateurs-guides qui jouent plus le rôle d’un concierge privé, des dégustations de produits exclusifs, des groupes moins nombreux et des visites exceptionnelles avec entrées prioritaires ne sont que quelques-uns des avantages des circuits offerts par Insight Vacations.

en LibertéPour un séjour plus long, un départ

moins tôt le matin, plus de temps libre, des visites plus détaillées et un séjour décontracté, les circuits Trafalgar offrent maintenant un produit « en liberté » qui vous permettra de bénéficier de tous ces avantages.

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depuis de nombreuses années, le nom trafalgar est considéré comme une marque de qualité et de diversité quand il s’agit de circuits en europe. Que vous souhaitiez voyager en « grand tourisme », en « première classe » ou encore avec plus de liberté, aucun doute que vous trouviez le circuit qui vous convient parmi la gamme de produits offerts par trafalgar et par sa compagnie sœur insight vacations. tous les départs des circuits garantis et si vous voyagez seul (e), un service de partage garanti vous est offert.

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Page 21: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 21

Toute sa vie, Diana-Marie Lanteigne Ouellette a cultivé une fascination pour les couleurs, senti-ment qu’elle s’expliquait difficilement. Partout où elle allait, que ce soit ici ou à l’étranger, ses pas la guidaient vers les galeries d’art. Ses yeux n’avaient de cesse de s’abreuver de toutes ces couleurs sur les toiles. Elle avoue qu’elle enviait ceux qui maniaient si savamment couleurs et pinceaux. « Je suis allée suivre un cours et quand le profes-seur a dit que tout le monde pouvait pein-dre, ce fut un élément déclencheur. C’était en 1980… », raconte l’artiste. Dès lors, elle a suivi diverses formations, s’est initiée à différents médiums, a exploré maintes techniques pour littéralement craquer sur l’aquagraphie qui valse avec l’eau.

sa teChniQueTechnique sans idée préconçue, l’aqua-

graphie est imprévisible, hasardeuse, aventureuse, imaginative et créative.

Huile, aquarelle, pastel, acrylique, encre de chine et eau sont autant de médiums utilisés pour créer l’alchimie des cou-leurs. Devant la toile, on sent et ressent l’instant présent, le geste est spon-tané. On y met ses émotions, la main se laisse guider par les éléments. Le souffle du vent, l’odeur de la mer, le ressac des vagues, le bruissement des feuilles, la quiétude du bord de mer, son immensité. Diana-Marie Lanteigne Ouellette s’installe sur le bord de la mer dans son Nouveau-Brunswick natal et la main peint ce que

le corps capte en émotions. « Tellement libérateur que de mettre cet instant de bonheur sur papier avec des couleurs », exprime-t-elle.

Faire voyager Les toiLes Un jour, en avril 2011, une amie que

qu’elle reçoit à diner demande à voir ses

toiles. « Il faut que ça voyage ces toi-les-là », a-t-elle fait observer. Ce simple commentaire venait de donner des ailes à l’amante des couleurs. « En aout de la même année je suis allée à mon chalet au Nouveau-Brunswick et je les ai toutes faites encadrer, il y en avait 40. Je ne savais pas encore ce que je ferais avec ça. Quand à mon retour je les ai montrées à ma fille et qu’elle m’a demandé ce que je comptais en faire, il est né cette idée d’ex-

poser dans la grange de sa ferme à Saint-Vallier. Dans cette galerie d’un jour, j’en ai vendu 12… c’était au-delà de mes espé-rances », confie-t-elle. Ça confirmait que son art plaisait.

La beauté inspire Diana-Marie Lan-teigne Ouellette. Il arrive qu’elle s’installe devant une toile pour le simple bonheur d’y être. Parfois rien ne vient et soudain une petite voix lui dicte d’utiliser une couleur et c’est ainsi que la page blanche devien-

dra une harmonie d’instants fluides.

L’œuVRe de diana-maRie LanTeiGne oueLLeTTe

harmonie d’instants FLuidesPar CaroLe roy

caro [email protected]

« Quand bien même il y aurait deux mille personnes dans la salle, je serais à l’aise, car je les aime mes toiles », confie d’entrée de jeu mme diana-marie Lanteigne ouellette qui met la dernière touche à l’exposition qu’elle présentera un mois durant à la bibliothèque roger-Lemelin. rencontre avec une artiste attachante.

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Page 22: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 322

« Grâce à cette boutique, nos élèves apprennent à gérer une entreprise ainsi que la mise en marché des produits. Ils peuvent donc tout de suite mettre en application la théorie apprise dans leurs cours », explique Sylvie Thibodeau, ensei-gnante en gestion des opérations.

D’ailleurs pour Emmanuelle Turcotte, cet aspect du cours est vraiment stimu-lant pour les étudiants. « Souvent la partie théorique est plutôt ennuyante. Grâce à ce petit commerce, nous pouvons travailler sur quelque chose de concret. En plus, ça nous permet de confirmer si c’est vraiment cela que nous voulons faire dans la vie. »

La boutique, qui regorge de vêtements de designers québécois, est également une belle vitrine pour les diplômés de l’École de mode du Campus. « Pour nous, c’est important de leur offrir une place de choix dans notre boutique. Je pense entre autres à Lois jeans. Ce sont deux anciens d’ici qui sont designers pour la collection homme et femme. De là la raison pour laquelle nous en retrouvons ici », souligne Mme Thibodeau.

Concernant les profits générés par la vente des vêtements, ces derniers sont réinvestis directement dans ce commerce étudiant. « Nous faisons des petits profits qui servent généralement à acheter du matériel dans la boutique ou pour des projets pédagogiques étudiants », men-tionne Mme Thibodeau. Au moment de mettre sous presse, la boutique laboratoire E-009 fermait ses portes. Elle ouvrira à nouveau en octobre prochain pour la sai-son automne-hiver 2013 où une nouvelle cohorte apprendra les rudiments de la gestion d’un commerce.

des déFiLés de mode Outre la boutique, les étudiants orga-

nisaient également une présentation de mode la fin de semaine du 23 et 24 mars à Place Laurier. Lors de cet évènement, des-tiné aux jeunes étudiants en secondaire 4 et 5 de la région de Québec, les tendan-ces mode pour les bals de finissants 2013 étaient présentées. Également, les étu-diants en Commercialisation de la mode

en ont profité pour dévoiler les manne-quins d’un jour qui ont participé à un casting de sélection, leur donnant ainsi la chance de vivre un shooting photos et une présence sur scène lors du défilé.

En plus de cette activité, les étu-diants planchent aussi sur le réputé ÉM13, l’Évènement mode, qui offre toute une program-mation d’activités et d’évènements met tant en valeur le savoir-faire des étu-diants des deux programmes de mode. Le point culminant de cette activité sera sans contredit un défilé exclusif, intitulé « Le CNDF présente la relève », le 3 mai prochain qui se déroulera sur la scène du

Festival Québec Mode. Les organisateurs promettent d’en mettre plein la vue aux spectateurs présents.

Enfin, pour terminer l’année, un « hap-pening », soit le Showroom se tiendra le 8 mai, au Campus Notre-Dame-de-Foy.

un PrintemPs Fort oCCuPé Pour Les étudiants en mode du CndF

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

Le 20 mars dernier se tenait la soirée d’ouverture de la boutique laboratoire e-009 des étudiants de deuxième année en Commercialisation de la mode du Campus notre-dame-de-Foy. sous le thème des couleurs printanières, un bar à bonbons ainsi qu’un punch coloré aux reflets de la saison étaient mis à la disposition de la centaine de personnes venues encourager les étudiants dans le cadre de leur cours pratique.

sylvie Thibodeau, enseignante en gestion des opérations en Commercialisation de la mode et l’une de ses étudiantes, Emmanuelle Turcotte, lors de la soirée d’ouverture de la boutique E-009.

Page 23: L’Écho de Cap-Rouge

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Je sais que certains irréductibles ont déjà pédalé leurs premiers kilomètres ! Pour ma part, j’avoue ne pas avoir encore osé braver la chaussée. Mais avec la neige qui fond et le soleil qui se pointe le bout du nez… ça ne devrait pas tarder !

La route, ça se Partage ! Ça vous dit quelque chose ? Ce slogan

de la SAAQ que l’on a pu voir sur les pan-neaux et entendre à la télévision prend tout son sens, car selon les statistiques du CAA Québec, il y aurait, au Québec, plus de 3,5 millions de cyclistes et un peu plus de 5 millions de conducteurs de véhicules ! Et tous circulent sur les mêmes routes…

Ainsi, rappelez-vous qu’un feu rouge ordonne un arrêt obligatoire pour tout le monde : automobilistes, piétons et cyclis-tes. Comme les cyclistes sont autorisés à se déplacer sur les pistes cyclables, mais aussi sur les routes, ils doivent toujours rouler

dans le sens de la circulation automobile. Une exception s’applique toutefois dans le cas d’une rue à sens unique et où la signa-lisation le permet. Les cyclistes doivent rouler à l’extrême droite de la chaussée et toujours en file indienne s’ils se déplacent en groupe (maximum de 15 cyclistes).

CirCuLer en PeLotonCeux qui circulent en peloton et qui ont

la vilaine habitude de cracher ou de libérer leurs narines en route (oui oui ! ça arrive !) sont priés de le faire lorsqu’ils ont regagné la queue du peloton. De même, pour éviter les chutes en échappant sa gourde, on boira une fois à la queue du peloton. Et tiens, pourquoi ne pas remercier la personne qui vient de donner le relais ? Ça fait toujours plaisir !

signaLer ses intentionsSignalez toujours vos intentions (arrê-

ter, continuer tout droit, tourner à gauche

ou à droite) en vous ser-vant de votre bras et/ou de votre main. Même s’il est vrai que les cyclis-tes ne possèdent pas de clignotant, il est tout de même crucial de démontrer ses intentions. Sachez d’ailleurs que le cycliste qui continue tout droit a prio-rité sur le vé h i c u l e qui tourne

à droite. Établissez toutefois un contact visuel avec l’automobiliste. Éviter de le faire peut présenter un danger.

vigiLanCe, vigiLanCeAutomobilistes, vous avez l’obligation

de vérifier si la voie est libre avant d’ouvrir votre portière. Et vous,

cyclistes, rappelez-vous que ce n’est pas parce qu’une voiture est garée qu’elle ne représente aucun danger ! Soyez vigilant en tout temps.

Aussi, saviez-vous que le code de la sécurité routière

rend obligatoire de munir son vélo de réflecteurs ? Et si vous roulez de soir, d’un réflecteur actif ? Selon les statistiques de la SAAQ, 29% des accidents à vélo ont lieu le soir. Les réflecteurs augmentent sans contredit votre sécurité et celle des autres usagers de la route. Ne les négligez surtout pas !

En respectant quelques règles de prudence et de courtoisie, il est si agréable de cir-

culer à vélo… Ne vous en privez pas,

la belle saison passe si vite ! Allez-y, péda-

lez en toute sécurité !

Comme je suis une fervente amatrice de vélo de route (je suis d’ailleurs membre de deux clubs de la région - Cyclorizon et rav !), j’ai pensé, avec l’arrivée du printemps, vous présenter quelques règles élémentaires du « code d’éthique et du savoir-vivre » du cycliste.

ParLons étiQuette

Par danieLLe roberge

rouLer en séCurité et… aveC Courtoisie !

danie l l e roberge@par lonse t ique t te. com

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w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 324

Le spectacle a débuté sur les chapeaux de roues avec un medley fort bien inter-prété par Catherine Boies, Valérie Amyot et

Liana Bureau. D’ailleurs, c’est à Catherine Boies qu’est revenue la laborieuse tâche de personnifier le rôle principal de Dolorès

Vancartier. Contre toutes attentes, la jeune femme a relevé le défi avec brio nous faisant même oublier que le rôle a jadis été popula-risé par la célèbre Whoopi Goldberg.

Tout au long de la comédie musicale, le public a pu entendre toutes les chansons tirées du populaire film, dont Hail Holy

Queen, My God et I Will Follow Him, en plus de quelques ajouts pour bien illustrer les propos, comme Live And Let Die et Rescue me. Chacune des interprétations a été d’un calibre comparable à celles enten-dues dans le film original.

En plus de la qualité incroyable des interprétations, le texte était tout aussi à la hauteur. Le public s’est esclaffé à plu-sieurs reprises grâce aux répliques bien construites remplies d’humour, notam-ment lors de la scène durant laquelle Dolo-rès, nouvellement arrivée dans le couvent des sœurs, insiste pour dire la prière… Un moment cocasse qui a valu plusieurs rires dans la salle, en plus d’une bonne main d’applaudissements de la part du public.

une mise en sCène vivanteUn autre élément fort intéressant du

spectacle était sans contredit le change-ment de décor. Le tout se faisait vers la fin des scènes par les autres comédiens don-nant ainsi une fluidité déconcertante au déroulement de l’histoire. D’une scène à l’autre, les comédiens se trouvaient tantôt dans un bar, tantôt dans le couvent. Les spectateurs n’y voyaient que du feu.

Également, la metteure en scène, Katee Julien, n’a pas hésité à faire descendre dans la salle les comédiens, faisant ainsi parti-ciper le public. Un dynamisme contagieux s’est alors emparé de la foule qui a visible-ment apprécié jouer un rôle minime, mais actif dans la comédie musicale.

D’ailleurs, les commentaires positifs à l’égard de la pièce fusaient à la fin de la prestation des 15 comédiens amateurs, qui ont eu droit une ovation de quelques minutes. En effet, Florence Bergeron nous a confié avoir beaucoup apprécié la pièce. « J’ai adoré le jeu des comédiens. Le choix des chansons était vraiment bien fait. C’était une excellente adaptation du film », a-t-elle mentionné.

Jessica Marcoux abondait elle aussi dans le même sens. « Les voix des inter-prètes étaient vraiment impressionnantes. La mise en scène était vraiment réussie. En plus, c’était très drôle. »

Bref, un autre beau succès que la met-teure en scène Katee Julien pourra ajouter à sa liste déjà bien garnie.

RoCk’n nonne

une Comédie musiCaLe sans Fausse note

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

mettez sur scène 15 talentueux chanteurs doués pour jouer la comédie. Faites-leur réciter un texte amusant, « punché » et distrayant entrecoupé de chansons et de danse. ajoutez à ceci un décor savamment pensé, des costumes tout aussi bien assortis et une mise en scène bien ficelée. vous avez ainsi tous les ingrédients réunis pour une comédie musicale très réussie à laquelle l’écho a eu le plaisir d’assister le 20 mars dernier au Campus notre-dame-de-Foy : rock’n nonne.

Le talent et les interprétations étaient à couper le souffle.

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Le spectacle a débuté en force avec un magnifique medley.

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C’est grâce à l’initiative de deux étu-diants de l’Université du Québec à Montréal que naissait en 1994 Qualité Étudiants. La franchise qui avait pour but de créer un tra-vail d’été aux étudiants en administration

a rapidement fait des petits, le mouvement s’est diversifié et continue de prendre de l’ampleur. Qualité Étudiants c’est plus de 100 franchisés qui offrent durant la belle saison, un répit aux propriétaires désireux

de revamper à peu de frais. Faire affaire avec des entrepreneurs étudiants est un geste intelligent qui favorise les deux partis.

Au fil des ans Qualité Étudiants qui donnait uniquement dans la peinture, a amélioré son offre et propose désormais le nettoyage des gouttières, l’entretien de vos fers forgés, le lavage à haute pression de revêtement extérieur de votre demeure, portes de garage, entrée d’asphalte, etc. L’entreprise assure également la prépara-tion des surfaces tels le sablage, le grattage et le lavage et touche aussi la teinture de bois pour vos patios, clôtures et balcons. C’est un peu plus qu’un coup de pinceau !

L’avenir est JeunePlus de 100 franchisés et 2000 tra-

vailleurs étudiants feront affaires cet été avec le grand public. Cet apport autant éco-nomique que social prépare nos jeunes aux réalités du marché du travail. Ce sont des étudiants qui embauchent des étudiants pour offrir un service professionnel à des prix plus que compétitifs. Les employés sont payés à pourcentage sur les contrats, ce qui donne un salaire moyen d’environ 15 $ de l’heure. Depuis sa fondation, 25000 résidences du Québec ont bénéficié des services de Qualité Étudiants. L’entreprise dessert maintenant la grande région de Montréal, celle de Québec, l’Outaouais et le Saguenay. On peut parler de succès.

Formation ContinueTout se peint et tout s’apprend. Une

formation intense et pertinente fut offerte aux franchisés et à leurs employés tous les week-ends de janvier afin de mieux connai-tre les matériaux, les différents produits à

utiliser et les techniques de travail. En mai une seconde formation pratique tenant sur la manipulation et l’utilisation des harnais et des échelles sera donnée à tous ces jeu-nes travailleurs afin d’assurer la sécurité de tous en plus d’optimiser le rendement. Sou-lignons en passant que tous les employés sont assurés à la CSST. « La communica-tion entre les franchisés est franche et tous s’entraident en s’échangeant conseils et astuces. Avant de répondre à un client qui a une demande spécifique, on se renseigne et tout le monde participe à la réponse y compris Betonel qui nous donne toujours un solide coup de main », nous apprenait Marc-Antoine Laperrière.

vitre.netLe nouveau volet chez Qualité Étu-

diants, Vitre.net, a déjà le vent dans les voi-les. Pierre Olivier Brassard 19 ans, étudiant en administration, en est le directeur. « Le processus de sélection est très rigoureux, sur 3000 auditions 30 seulement furent reçus. En plus des nombreuses heures de formation, ce tri contribue à assurer une qualité au client. Le nettoyage comprend le cadre, le moustiquaire et une lubrifica-tion du rail des fenêtres de sous-sol, ce qui nous distingue, entre autres, de nos com-pétiteurs », précisait Pierre-Olivier. L’offre s’adresse autant au résidentiel qu’au com-mercial et le travail débute à la mi-mai.

mais enCore…Le travail est garanti deux ans. Si la

peinture lève avant l’expiration de ce délai, on reprend gratuitement, nous assure-t-on, le client est protégé. Encourageons local et confions nos travaux à des jeunes d’ici.

QuaLiTé éTudianTS eT ViTRe.neT

engageons des Jeunes d’iCi

Par CaroLe roy

caro [email protected]

intéressant de rencontrer des jeunes qui partent leur entreprise estivale. marc-antoine Laperrière et Pierre-olivier brassard nous invitent à opter pour Qualité étudiants et vitre.net.

Mise au point

RégulièRe :

3499$Haute

peRfoRMance :

11999$

3688, de l’Hêtrière, Québec 418 877-4018 www.performancebegin.com

de qualité étudiants, Marc-Antoine Laperrière et de vitre.net Pierre-olivier Brassard.

Page 26: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 326

Complexe Lebourgneuf | 825, boul. Lebourgneuf Marché du Vieux-Port | 160, Quai Saint-André Sainte-Foy | 3280, chemin Ste-Foy

so-cho.com

SAVEUR - FRAÎCHEUR - VARIÉTÉ

3 SUCCURSALES

62 VARIÉTÉSEmmenthal

Cari

Diable suisse

Orange gingembre

Cajun et raisins Infernale

Feta olives noires

Bien que vous en connaissiez certai-nement plusieurs, il est toujours bon se rappeler quelques petits trucs de range-ments afin de bien profiter de l’été sans être encombré et sans avoir à toujours tout ramasser.

on organise Le CabanonOn prépare les outils de jardinage,

on regroupe le sarcloir, le transplantoir, les cisailles et on vérifie les boyaux. On organise le tout dans un contenant de plastique à compartiments qui nous

suivra autour de nos plates-bandes. N’oublions pas l’inventaire de nos pots à fleurs, des jardinières et des accessoires décoratifs ; les brisés et dépareillés peu-vent déjà prendre le chemin du suivant ou de la récupération… ou de la pou-belle. Les petits bouts de ce qu’on ne sait pas, peuvent être regroupés dans une boîte d’au-cas, mais la plupart du temps ce sera une boite bien inutile, mais on se donne le droit.

Pour éviter d’avoir des tablettes encom-brées sans trop savoir quoi y trouver, je vous suggère des boîtes en bois ou des rangements en plastique de formats uni-formes. Il y a en a de grandes variétés dans les magasins à 1 $ et deviennent de judicieuses façons de gérer les flacons, les ficelles, les graines d’oiseaux ou les pinceaux. L’idée, c’est de placer par thèmes sans toute-fois être excessifs. Les crochets sont pratiques pour suspendre les pel-les, les râteaux et même l’escabeau. Des bacs de plastiques empilables sont très utiles pour les jouets d’enfants. Un pour les jouets du carré de sable et l’autre pour les ballons ou les jeux de gazons. Plus le sol du cabanon est libre d’objets, plus il devient facile d’y passer un coup de balai.

seConde vieProfitez de l’inventaire pour éva-

luer les objets qui pourraient avoir une deuxième utilisation. Les pots en grès peuvent être peints de la couleur du parasol ; une poubelle peut servir à regrouper les bâtons de hockey, un treillis peut être placé au mur du caba-non et servir à suspendre des accessoi-res avec des crochets en S. Il faut se rappeler que tout objet de matériaux plus noble, bois, fer etc. ainsi que tous les paniers, peuvent se métamorphoser afin de s’offrir un nouveau décor. Une assiette en grès peut également servir de baignoire pour les oiseaux. Laissez libre court à votre créativité et profitez bien de votre été.

LeS TRéSoRS du CaBanon

L’organisation au PrintemPs

Le printemps arrive et vient le moment de métamorphoser nos espaces intérieurs comme extérieurs afin de bien profiter de la saison estivale. Ce que l’on désire c’est d’être prêt pour la première belle journée. Les beaux mobiliers, les beaux aménagements floraux, les accessoires colorés, on a juste à entrer dans une boutique et tout nous fait craquer. Ce que je vous propose avant de succomber aux achats, c’est de faire votre inventaire. Peut-être avez-vous déjà chez vous, ce qu’il faut pour faire revivre votre terrasse.

Pot en grès peint en bleu azur.

organisation de a À Z

Zone a t lan t i s , l ’ o rgan i sa t ion de a @ zen www.zone-a t lan t i s . com v ien joce lyne@videot ron .ca

Par JoCeLyne vien,

« L’idée, c’est de placer par thèmes sans toutefois être excessifs. »

Page 27: L’Écho de Cap-Rouge

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LeS TRéSoRS du CaBanon

L’organisation au PrintemPs

Il était une fois un petit garçon appelé Éliot. Alors qu’il rendait visite à ses grands-parents dans leur coquette maison de Cap-Rouge, il aperçut son grand-père au travail sur le terrain. « Que fais-tu là grand-papa », lui demanda-t-il ? « Je prépare le terrain pour l’été », de répondre l’aïeul. « Tu sais, il y a beaucoup de travail. Je commence par enlever les abris de protection sur les arbres. Ensuite il faut ramasser tous les déchets que la fonte des neiges nous fait découvrir et j’examine les arbres et les arbustes pour couper les branches cassées par la neige ou gelées par le froid. »

On devra aussi nettoyer le garage et l’entrée, sortir les vélos et gonfler les pneus pour qu’ils soient fin prêts pour les beaux jours. On s’assurera du bon fonctionnement de la tondeuse.

« Est-ce que tu sors le BBQ aussi », demanda le garçon ? « Bien sûr ça fait par-tie des préparatifs de l’été. Pourquoi t’in-téresses-tu tellement au BBQ mon petit

gourmand ? Oh, je vois, tu te rappelles les hot dogs ! Mais chaque chose en son temps. Il faudra ensuite vérifier la condi-tion des plates-bandes et de la pelouse. Pour les plates-bandes je redresse les arbustes écrasés par la neige et découpe les bordures pour bien séparer les plates-bandes de la pelouse. Comme je fais du compost avec les feuilles à l’automne, je vais donc en répandre sur les plates-ban-des pour que les plantes et les arbustes soient beaux tout l’été. »

Père-grand continua ainsi sa liste. Pour la pelouse, il ira chez le pépinié-riste acheter un nécessaire d’analyse de sol afin d’identifier les nutriments qui manquent dans le sol afin de mettre le bon fertilisant. « Et non, jeune homme, ce n’est pas toxique. Il y a aujourd’hui des fertilisants qui contiennent des éléments naturels tout à fait sécuritai-res. » « Mais pourquoi tu en mets pour faire pousser le gazon si tu n’aimes pas le tondre », demanda candidement le

garçon ? « Tu devrais aller voir grand-maman, elle aussi a beaucoup de cho-ses à faire », de répondre le grand-père.

« Bonjour grand-maman qu’est-ce que tu fais ? » « Je nettoie les meubles du patio. Demain je vais laver les fenêtres avec l’aide de grand-papa lorsqu’il sera revenu du garage après avoir fait faire la mise au point de la voiture. Il faudra aussi nettoyer l’intérieur et l’extérieur du solarium, un gros travail à faire. Si nous avions une piscine, ce serait aussi beaucoup de tra-vail pour la nettoyer et ajouter les produits requis pour assurer une bonne qualité de l’eau pour la baignade. Aussi, je vais sortir les vêtements d’été et remiser les vête-ments d’hiver. Tiens, voilà grand-papa ; petite pause café avant de m’attaquer au nettoyage de l’auto que j’aurai peut-être le courage de cirer ! Autant profiter du beau temps », a lancé en riant la grand-maman.

« Mais dis-moi Éliot qu’est-ce que tu es venu faire ici aujourd’hui ? » « J’avais quelque chose à demander, mais vous êtes trop occupé », a-t-il répondu. « Que voulais-tu ? » « J’aurais aimé que tu me fasses des carrés au Rice Krispies. » Combien pariez-vous que grand-maman ne sait rien refuser à son petit-fils ? Bien entendu qu’elle les fera ses gâteries pré-férées. Elle trouvera un petit moment en soirée. « En tout cas, vous allez être prêt pour l’été pas à peu près, j’espère qu’il va faire beau », a lancé l’enfant en quittant.

Vivre dans un milieu arborescent comme Cap-Rouge avec des terrains de bonnes dimensions assure une meilleure qualité de vie, mais un peu plus de travail aux changements de sai-sons. Au travail tous !

La « CHeCk-LiST » de FeRn !

Le Conte du PrintemPs

Par CaroLe roy

caro [email protected]

La liste des choses à faire quand arrive la belle saison n’en finit parfois plus de s’étirer, à un point tel qu’il arrive que l’on oublie l’essentiel. sous forme de conte printanier, voici la « check-list » de Fern… Qui est Fern ? Ce voisin que l’on a tous et qu’on envie pour son organisation.

Le groupe vocal Les Loriots de Cap-rouge présentera son concert printanier le 18 mai prochain à l’auditorium du ssF. « ensemble sous un arc-en-ciel » promet de vous en mettre plein les oreilles.

Il fera bon être l’Auditorium du Séminaire Saint-François ce samedi de mai et se laisser séduire par Loriots. Sous la baguette du chef Tim Vermilyea, le groupe vocal vous convie à être « Ensemble sous un arc-en-ciel » pour y entendre

des airs francophones, anglophones et pourquoi pas un peu de Gospel pour faire plaisir au chef. Et puisque le mai-tre de la baguette avoue son penchant pour le jazz, parions qu’il nous réserve de belles sur-prises. Admission : 22 $ pour les adultes et 14 $ pour les enfants. Réser-vation et information auprès de Michel Bou-chard au 418-654-1039. Apprenez-en davantage sur les Loriots en visitant le www.lesloriots.ca.

Le chef Tim vermilyea s’assure de tirer le meilleur de ses 60 choristes avec l’aide de leur nouveau pianiste répétiteur, Louis Laprise.

LeS LoRioTS en ConCeRT

ensembLe sous un arC-en-CieL

Par CaroLe roy

caro [email protected]

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Page 28: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 328

Tout d’abord, il y a le restaurant Chez Victor, situé sur la rue Saint-Félix, qui peut se targuer d’être la première terrasse officiellement ouverte à Cap-Rouge. En effet, depuis le 12 avril, ses clients peuvent profiter de sa terrasse chauffée et couverte, bien à l’abri des intempéries. Pour la maintenir à une température adéquate, quatre bruleurs au propane fonctionnent en perma-

nence. Outre la confortable terrasse, les amateurs de hamburger auront le plai-sir de découvrir des nouvelles saveurs disponibles sur le menu spécialement sorti pour la saison estivale, dont un au canard confit.

Pour accompagner votre burger favori, Chez Victor vous offre une panoplie de produits de micro-brasserie de partout à travers le Québec.

des nouveautésDu côté du Pub Saint-Philippe, la ter-

rasse devrait ouvrir au mois de mai. La propriétaire, Mireille Doyon, confirme le retour des fameux plateaux de fruits de mer. « En plus, nous avons la chance d’avoir un employé qui fait les meilleurs cocktails en ville ! »

Pour sa part, le restaurant Les Bou-canes prévoit ouvrir sa terrasse au mois de juin. La copropriétaire, Mélanie Boutin, confirme que plusieurs surprises et de nombreuses nouveautés seront ajoutées menu. Chose certaine : la terrasse fera peau neuve !

Le resto-pub l’Immédiat n’a pas encore de date arrêtée, mais espère qu’elle sera ouverte au mois de juin. Les habitués de la place pourront se délec-ter de leur fameux smoked-meat ou encore se laisser tenter par les nouvelles salades offertes sur le menu. Enfin, Chic Alors ! devrait ouvrir sa terrasse vers la fin avril. Là aussi des nouveautés seront ajoutées au menu, dont une nouvelle gamme d’entrées et une nouvelle carte des vins.

Maintenant, espérons que le soleil soit au rendez-vous pour enfin profiter des belles terrasses carougeoises.

Les terrasses ouvrent À CaP-rougePar marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

Le printemps semble être à nos portes. Cette saison marque habituellement le renouveau dans la nature, un adoucissement du temps, la fonte des neiges, le bourgeonnement, mais surtout… l’ouverture des terrasses ! votre journal a d’ailleurs réalisé sa petite enquête à savoir quelles terrasses seront ouvertes prochainement ainsi que les nouveautés à venir.

Avec sa terrasse chauffée, Chez victor a pu ouvrir sa terrasse à la mi-avril.

C’est fin avril début mai que le Chic Alors ! souhaite accueillir ses clients sur sa terrasse.

Le Pub st-Philippe est le seul restaurant à avoir une terrasse autour du Lac saint-Augustin.

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w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 29

de rabais

À l’achat de quatre pneus

inspection Multipoints de type a incluant vidange d’huileÀ partir de

4088$pour huile 5W-20

5888$pour huile synthétique 0W-20

reMplaceMent des plaquettes (ou sabots) de freinÀ partir de

réusinage des tambours ou remplacement des disques en sus.

14888$ 15488$pour les camions

batterieÀ partir de

9499$pneus toutes saisonsjusqu’À

100$

laMes d’essuie-glaceÀ partir de

595$Ch.

filtres à air d’origine hondaÀ partir de

32$Filtre à air de l’habitacle

1866$Filtre à air du moteur

pose et balanceMent de pneusÀ partir de

4995$

Page 30: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 330

c.r. Le 13 mars dernier, dans le cadre du concours « L’épargne chromatique de desjardins » la Caisse de Cap-rouge remettait un montant de 500 $ à kimberly therrien-vachon pour ses bonnes habitudes d’épargne !

C’est dans le cadre du concours que Kimberly a engraissé son cochon ! Cette jeune fille de 17 ans a la tête pleine de pro-jets. C’est ce qui l’a amenée à épargner et à participer à un des nombreux concours de Desjardins pour les jeunes !

Pour participer, il suffisait de déterminer un objectif d’épargne (100 $ minimum), de choisir une durée de plan d’épargne (6 ou 12 mois), d’établir la fréquence des virements et de profiter d’un taux d’intérêt supérieur.

Si tu veux, tu peux ! Voilà la motivation que la Caisse populaire Desjardins de Cap-Rouge tente d’inculquer aux jeunes de son milieu !

Il y a trois ans, j’ai convaincu mon par-tenaire photo d’aller passer une semaine à La Havane. Le but : connaitre un peu plus Cuba, me rapprocher de ces gens extraor-dinaires et, évidemment, faire de la photo.

Notre forfait comprenait avion, hôtel

et petits-déjeuners. Qu’avons-nous mangé me demanderez-vous ? Eh bien, soyez sans crainte, nous avons très bien mangé et à bon prix. Par exemple, à l’un des meilleurs restaurants (un grand restaurant comme dirait ma mère), le Café Del Orienté, repas :

50 $ par personne incluant vin et service. Mais vous pouvez facilement trouver de très bons repas à plus ou moins 30 $ par personne, incluant vin et service. Ces restaurants n’ont absolument rien à envier à la cuisine des hôtels tout compris, au contraire !

Notre hôtel se nomme le Telegrafo (photo 1). Situé à deux coins de rue du Capitol (photo 2), cet hôtel 4 étoiles est confor-table. Chambres spa-cieuses climatisées et très propres, personnel très sympathique, consom-mations au bar ou sur la magnifique terrasse à bon prix. Par contre, comme partout à Cuba, vous devrez faire faire deux tours de grille-pain à vos rôties le matin, un classique !

La Havane compte plus de 2 millions d’habitants. Ce qui est fantastique, c’est que vous pouvez circuler dans tous les quartiers sans aucune crainte (photo 3), ce qui n’est évidemment pas le cas en Répu-

blique dominicaine, au Mexique ou dans les pays d’Amérique du Sud. Bien sûr, il y a les petites arnaques à un peso du quartier tou-ristique, mais vous pouvez toujours, sans crainte, refuser de payer. Ce qu’il faut com-prendre, c’est que ces gens sont pauvres et ont quand même des enfants à nourrir. Je ferais probablement comme eux.

danS La LenTiLLe du VoYaGeuR

La havane ou voyage Pour PhotograPhe !

Par Jean rodier

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Ce que la plupart d’entre nous connaissent de Cuba, ce sont les hôtels (tout compris) au bord de magnifiques plages. idéal pour se reposer seul, en couple ou en famille. au retour, pouvons-nous dire que nous connaissons Cuba ? évidemment non.

Le Capitole de La havane. Construit de 1920 à 1929 Il porte ce nom en référence au Capitole des états-Unis à Washington.

Rue obispo du quartier Guanabacoa.

Un des plaisirs de se promener dans les petites rues, c’est qu’il y a toujours un portrait intéressant à faire. Cette vieille dame revenait du marché et voulait bien se faire prendre en photo.

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Kimberly Therrien-vachon en compagnie de Lina Poitras, conseillère services aux membres.

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Se promener à pied dans les rues est un vrai plaisir pour le photographe, qu’il soit amateur ou professionnel (photo 4). Une des petites « arnaques « de certains Cubains est justement d’accepter de se faire photo-graphier et de demander un peso après clic.

Après avoir passé quelques jours en ville, je vous recommande de trouver un chauffeur de taxi qui parle anglais (ce n’est pas trop compliqué si vous vous adressez à un membre du personnel de l’hôtel) et de lui demander de vous amener dans de petits villages près de La Havane (photo 5), là où il n’y a pas de touristes. Le chauffeur sera ravi de vous suivre une journée complète pour plus ou moins 80 $. Personnellement, je propose toujours au chauffeur de m’at-tendre sur un coin de rue ou de m’accompa-gner à pied à la recherche de bons clichés. Il y a à coup sûr de belles images à capturer. Un petit truc : sur la rue, vous n’avez qu’à

dire bonjour aux gens pour obtenir de très beaux sourires. Du coup, vous vous sentirez accepté et très à l’aise.

Dans vos bagages, pensez à apporter des cadeaux : bas de nylon, dentifrice, brosses à dents, petites voitures ou jouets pour les enfants que vous croiserez sur la rue, stylos, vernis à ongles, etc. Avec 20 $ vous trouverez tout ce qu’il faut pour faire plaisir, dans un magasin à 1 $.

À l’hôtel, n’hésitez pas à donner quelques pourboires de 1 peso, vous verrez…

Je pourrais écrire encore longtemps sur cette ville très chaleureuse…Je vous invite à voir des photos de mes trois voyages à La Havane à l’adresse suivante : s.joomeo.com/51563ae967d4a

De plus, sentez-vous bien à l’aise de communiquer avec moi, si vous avez des questions. Il me fera plaisir de vous répondre dans un délai raisonnable.

Chaque semaine, le chef propriétaire Martin Côté vous propose une cuisine gourmande, inspirée des produits de saison.

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Le Malecón. Promenade qui longe la mer et le Canal de Entrada. Il débute dans la vielle havane et se termine juste avant le tunnel qui mène au quartier Miramar (8 km). Il y a toujours des Cubains qui s’y reposent, pêche, etc.…

Petite ville de san Antonio de Los Baños.

La nouVeLLe TouRnée PRoVinCiaLe BRuneT/RêVeS d’enFanTS.

aidons abigaeLLe À réaLiser son rêve !

Par CaroLe roy

caro [email protected]

Le coup d’envoi de la troisième tournée provinciale brunet/rêves d’enfants a pris son envol le 11 avril dernier et se poursuit jusqu’au 18 mai prochain. en adhérant à l’outil masanté, aidez la petite princesse abigaelle à réaliser son rêve, celui de rencontrer les princesses de disney World.

Une escouade d’ambassadeurs invitera la popu-lation à s’inscrire gratuitement à l’outil MaSanté dans les 150 succursales de la bannière situées aux quatre coins de la province. Pour chacune des inscriptions reçues, 1 $ sera remis à la Fondation Rêves d’enfants. La clientèle de Brunet permettra ainsi à la petite Abigaelle, âgée de 4 ans, de réaliser son rêve de découvrir le monde magique des princesses à Disney World !

Qui est abigaeLLe ? Enfant prématuré avec une malformation cardiaque, Abigaelle ne respirait pas à

sa naissance. Sa condition était aggravée par une atteinte hépatique et des troubles pulmonaires. La fillette a ainsi passé deux ans et demi à l’hôpital, soit plus de la moi-tié de sa vie. Bien que la durée des hospitalisations ait diminué graduellement, encore aujourd’hui, elle doit se rendre à l’hôpital une fois par semaine pour y rencontrer plusieurs spécialistes. En tout, elle est suivie par 21 professionnels !

La coquine Abigaelle adore s’ha-biller en princesse. Tantôt elle est Cendrillon, tantôt Blanche-neige ou Jasmine. Parfois, la fillette n’enfile qu’une jambe de pantalon afin de transformer ses jambes en queue de sirène comme Ariel.

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Le 27 mars dernier, s’est tenue à Saint-Augustin-de-Desmaures, une rencontre sur les pratiques culturales et l’amélio-ration de la qualité de l’eau dans la zone

agricole du bassin versant de la rivière du Cap Rouge.. Destinée aux producteurs agricoles, cette soirée avait pour but de rassembler ces derniers afin d’échanger

sur les problèmes de pollution de l’eau et d’examiner les solutions collectives qui pourraient être apportées à ces probléma-tiques communes.

La soirée a débuté par une présentation de résultats de caractérisation de l’eau de la rivière. Les données présentées ont été acquises en 2010 et 2011 dans six stations d’échantillonnage. Les paramètres analy-sés étaient les matières en suspension, les coliformes fécaux, le phosphore et l’azote,

qui sont les principaux polluants impli-qués en milieu agricole.

Les résultats montrent que tous ces paramètres, à l’exception de l’azote, contri-buent fortement à la dégradation de l’eau de la rivière. On observe des concentrations de phosphore suffisamment élevées pour favoriser la prolifération des algues dans la rivière. Les matières en suspension sont concentrées à un point tel qu’elles donnent à l’eau la couleur brune et opaque que l’on s’est malheureusement habitué à voir. Les concentrations en coliformes fécaux ren-dent l’eau de la rivière généralement impro-pre à la baignade (plus de 7 fois sur 10) et parfois même impropre aux activités nau-tiques comme le canot (2 fois sur 10) selon les normes environnementales en vigueur. Fait important, l’agriculture seule ne per-met pas d’expliquer tous ces résultats. Les activités domestiques devront donc aussi être examinées afin d’améliorer la situation.

Les résultats sommaires de l’étude et des recommandations visant à modifier les pratiques culturales et, ultimement, améliorer la qualité de l’eau de la rivière ont également été résumés dans un cahier d’information qui a été remis aux produc-teurs agricoles.

Par ailleurs, sachant que la pollution de l’eau est souvent liée à l’entraînement du sol cultivable dans l’eau lors des fortes pluies, le CBRCR a aussi présenté, au cours de la soirée, l’exemple d’un aménagement correcteur de berge auquel il a participé, à l’automne 2012, avec l’aide financière du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ). Ensuite, un conseiller du MAPAQ a présenté les différents volets du programme d’aide financière Prime-Vert (2013-2018), un programme qui encourage notamment l’effort collectif des producteurs agricoles dans le domaine agro-environnemental.

Pour clôturer la soirée, les producteurs ont été invités à discuter librement des solutions qui pourraient être mises en place et à témoigner de leur expérience auprès des intervenants présents à la soirée et qui y représentaient l’Organisme des bassins versants de la Capitale, le Club agro-envi-ronnemental de la Rive-Nord, l’Union des Producteurs Agricoles et le CBRCR.

L’intérêt des producteurs à améliorer leur environnement, qu’il soit agricole ou naturel, l’expertise des partenaires impli-qués dans le projet et le soutien du MAPAQ sont de réelles sources d’encouragement. Le CBRCR souhaite poursuivre dans cette voie en 2013 et s’investir concrètement dans l’animation d’une table de travail où seront régulièrement conviés les interve-nants de la zone agricole du bassin ver-sant. C’est donc une histoire à suivre !

RenConTRe d’inFoRmaTion SuR La QuaLiTé de L’eau de La RiVièRe du CaP RouGe en miLieu aGRiCoLe

notre rivière : Faites-en votre Fierté !

raPhaëL LebLond, Chargé de ProJets

Les producteurs agricoles du bassin versant sont invités à se regrouper pour mieux agir.

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sAvIEZ-voUs qUE…n l’on compte environ 60 producteurs agricoles dans le bassin versant ?

n la zone agricole du bassin versant de la rivière du Cap Rouge n’abrite qu’une partie du problème et qu’à sa pollution, s’ajoute celle de la zone urbaine située en aval ?

n le semis direct est une alternative prometteuse au labour traditionnellement pratiqué en agriculture, car il entraîne moins d’impacts sur l’eau et améliore la rentabilité des travaux ?

n le site internet www.cbrcr.org propose dorénavant de l’information dédiée au secteur agricole ?

Page 33: L’Écho de Cap-Rouge

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Rencontrés peu après leur victoire, Édouard Desaulniers, Carl Mayotte et Gabriel Cyr semblaient bien heureux de leur prestation. « Nous avons présenté le même numéro que lors de la finale locale, c’est-à-dire, un arrange-ment original de musique de films et de téléséries bien connus du public, dont les Simpson et Star Wars, le tout agrémenté de masques et de légers pas de danse. D’ailleurs, nous avions pris le temps de le bonifier avec de nouveaux accessoires », mentionne Gabriel Cyr.

Lors du spectacle au Cégep de La Pocatière, les jeunes musiciens ont eu la délicate tâche d’ouvrir la finale régionale. « Nous étions vraiment dedans, donc le public a embarqué avec nous. Dès les premières

chansons, les gens dans la salle se sont mis à applaudir. On s’est dit que c’était bon signe. Assez pour être désignés les grands gagnants ? Je ne sais pas, mais chose cer-

taine, nous avons tous les trois trouvé que cette per-formance avait été notre meilleure jusqu’à mainte-nant », relate Carl Mayotte.

Visiblement, ils n’ont pas été les seuls à apprécier leur performance puisque les membres du jury ont eux aussi été renversés par la qualité de l’exécution de leurs arrangements, leur complicité ainsi que l’ori-ginalité de leur concept.

La grande FinaLe régionaLe et…

aPrès ?Chose certaine, les

gars de Triton Trio ne chô-meront pas au cours des prochaines semaines. Ils

devront jongler entre l’école et les répé-titions en prévision du jour J. « Pour la grande finale régionale, nous allons jouer le même numéro. Toutefois, comme la

mise en scène n’est pas notre grande force, nous allons demander à la metteure en scène Katee Julien, celle qui a entre autres signé la mise en scène de la finale locale de Cégep en spectacles, de nous donner un coup de pouce », mentionne Gabriel Cyr.

Évidemment, ils aimeraient bien gagner le concours, mais ils ne seraient pas amers advenant le cas contraire. « Juste de pouvoir passer quatre jours à Laval avec des pas-sionnés de musique, recevoir des conseils, c’est un prix en soit ! C’est sûr qu’on aime-rait bien remporter, mais… on verra rendu là-bas. On s’attend à ce que le calibre soit assez élevé », suppose Carl Mayotte.

Par la suite, les musiciens espèrent travailler sur un concept de spectacle. Ils se produiront d’ailleurs le 26 octobre à 20 h au Vieux Bureau de Poste de Saint-Romuald.

Rappelons qu’au fil des ans, de nom-breux artistes ont vu leur carrière prendre son envol grâce à Cégep en spectacles. C’est le cas notamment de Sylvain Cos-sette, France D’amours, Claude Legault, Patrick Huard, Éric Salvail, Martin Petit, Isabelle Boulay, Isabelle Blais, Yann Per-reau, Vincent Vallières, Arianne Moffat, Louis-Jean Cormier, Pépé et sa guitare, pour ne nommer que ceux-là.

triton trio sera de La grande FinaLe régionaLe de CégeP en sPeCtaCLes

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

Le charme a opéré une fois de plus pour triton trio qui est sorti grand gagnant de la Finale régionale de Cégep en spectacles le 23 mars dernier. Cette fois, l’évènement se déroulait du côté du Cégep de La Pocatière. C’est donc avec grand bonheur que le trio représentera le Campus-notre-dame-de-Foy lors de la grande finale régionale qui se tiendra le 27 avril prochain au Collège montmorency à Laval.

Le sympathique trio est présentement sur une belle lancée.

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Plus de 50 ans après le lancement de Spoutnik, les satellites demeurent des engins spatiaux privilégiés pour la recher-che spatiale du fait de leur faible coût comparé aux missions habitées. L’utilisa-tion de ses sondes interplanétaires nous a permis d’accroître nos connaissances sur les planètes de notre système solaire.

Comment reConnaitre un sateLLite Lors

d’une soirée d’observationIl nous arrive souvent le soir de regar-

der le ciel. Si vous êtes un peu patient, il ne faudra pas plus de quelques minutes d’observation pour qu’un satellite tra-verse silencieusement la voûte céleste au-dessus de votre tête. Comment les reconnaitre ! Ces engins se déplacent, comme des avions, sauf qu’ils ne cligno-tent pas comme le font les avions.

Depuis 1957, plus de 8 000 satelli-tes ont été lancés en orbite autour de la Terre, dont plus 3000 sont en état de fonctionnement. Parmi ce nombre, on retrouve la station spatiale internationale. Du fait de sa dimension et de sa brillance,

elle ne peut être confondue avec un autre satellite. La station spatiale met plus de 5 minutes à traverser la voute céleste. De plus, sa rotation rapide autour de la Terre (90 minutes) nous permet de l’observer à quelques reprises dans une soirée.

Bonne observation !

L’astronomie vous intéresse ! Un cours sera proposé ce printemps

par un spécialiste qui vous donnera des connaissances de base pour bien débuter en astronomie. Il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances scientifiques ni équipement pour participer à cette for-

mation. Plusieurs sujets seront abordés et une attention particulière sera apportée sur le fonctionnement des appareils et sur la pratique de l’astronomie dans notre région. Un incontournable pour tout astronome amateur qui désire améliorer ses connaissances !

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sans même qu’on le réalise, les satellites jouent un rôle important dans nos vies. Pensons aux satellites de télécommunications qui transmettent, non seulement nos appels téléphoniques à l’échelle planétaire, mais qui assurent également la couverture des évènements sportifs et d’actualité en temps réel. Ces satellites ont transformé notre vie quotidienne (internet, gPs, cellulaires, etc.) où l’on peut suivre tout ce qui s’y passe au moment présent dans le monde sans toutefois être obligé de se déplacer.

station spatiale internationale.

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Début des cours : Mai 2013Cout : 110 $ (80 $ pour lecteur de l’Écho)Durée : 12 semainesContenu : Plus de 12 soirées d’observation Information et inscription : Éric Gagnon (418) 682-0184

Page 35: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 35

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Page 36: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 336

Tout d’abord, lors du premier bloc de compé-titions, ce sont plus de 103 ath-lètes de la Capi-t a l e - Na t iona le qui ont pris part aux dix épreuves qui étaient pré-sentées entre le 1er et le 5 mars. De ce nombre, 21 athlètes de l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge se sont démarqués. Il s’agit de Jean-Christophe Bergeron en gymnastique artistique, Kim Beaumont et Cynthia Cloutier en haltéro-philie, Antoine Dufour et Mathieu Sévigny au hockey masculin, Clément Lautier, Jean-François Monger, Agathe Le Roy en judo, Justine Belzile, Thomas Pelletier,

Antoine Yaël en patinage artistique, Alice Gilbert, William Légaré, Émilie St-Amand en plongeon, Anne-Catherine Blais, Fré-déric Berthiaume en ski de fond, Michelle Huot, Sammy Noël-Parisé, Shannon Mee-han, Julia Pichette et Thomas Rioux en taekwondo. Du côté de Saint-Augustin-de-Desmaures, trois athlètes se sont illus-

tré au hockey masculin, soit, Benjamin Gagné, Philippe Soucy et Tommy Cardinal

Lors du deuxième bloc de compéti-tions, auquel plus de 96 athlètes de la Capitale-Nationale ont participé aux 11 épreuves qui se déroulaient du 6 au 9 mars, 15 athlètes de l’arrondissement Sainte-Foy-Sillery-Cap-Rouge ont eu d’excellents

résultats se démarquant ainsi dans leur caté-gorie respective. Il est question de Jeff-Yang Bilodeau en badmin-ton, Philippe Berge-ron, Alexanne Verret en escrime, Audrey Champagne, Marie-Ève Côté, Sandy Latour et Victoria Paquet au hoc-key féminin, Alexan-dre Rivard en karaté, Sophie Beaulieu, Camelia Dasser, Laury Lachance, Sarah-Ève Lemay et Élisa Roberge en nage synchronisée, Esther Dion et Béatrice Lamarche en patinage de vitesse. Encore une fois, trois athlètes de S a i nt -Au g u s t i n - d e -Desmaures ont brillé. Il s’agit de Brandon Gignanc et de Maude Vigot en karaté ainsi qu’Antoine Gagnon-Lamarche en patinage de vitesse.

Par leur détermi-nation, leur travail

acharné et leur constance, ces jeunes ont su se démarquer lors de cette importante compétition. L’Écho de Cap-Rouge tient à féliciter chacun d’entre eux pour leur per-formance et leur esprit sportif. Rappelons que la 49e finale des Jeux du Québec se tiendra du 1er au 9 août 2014 dans l’agglo-mération de Longueuil.

48e FinaLe deS Jeux du QuéBeC

nos Jeunes athLètes se hissent au 3e rang

Par marie-FranCe simard

mf@lesed i t ionspr ime.ca

Lors de la 48e finale des Jeux du Québec, qui se déroulait du 1er au 9 mars à saguenay, les jeunes athlètes de notre territoire ont fait excellente figure en se hissant au troisième rang du tableau des médailles, avec un total de 61. La délégation de la Capitale-nationale a d’ailleurs dressé un bilan positif des deux blocs de compétitions. voici donc la liste des jeunes athlètes d’ici qui se sont illustrés dans leur discipline respective lors de ces Jeux.

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Les athlètes qui se sont démarqués en haltérophilie dont kim beaumont et Cynthia Cloutier en haltérophilie.

de nombreux jeunes de notre secteur se sont illustrés en taekwondo.

L’équipe de hockey féminin entourant les deux médaillés en boccia.

Jeff-yang bilodeau en pleine performance.

nos athlètes avant leur grand départ pour le saguenay.

Page 37: L’Écho de Cap-Rouge

w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 37

Au total, près de 600 athlètes représentants 48 clubs de Taekwondo du Québec, de l’Ontario et de la Nouvelle-Écosse étaient présents. Le club de Taekwondo CRSA n’en est pas à sa première organisation d’une compétition d’envergure et à chaque fois les bénévoles sont présents pour faire de l’évènement un franc succès. Le directeur technique du club M. Martin Montes et son prési-dent, M. Jean-François Simard, ont d’ailleurs reçu de nombreux commentaires positifs sur l’organi-

sation de la part des entraîneurs, des arbitres et des athlètes présents.

Il faut évidemment saluer les performances des athlètes du Club de Taekwondo CRSA. Au total, ils ont remporté 5 médailles d’or, 4 d’argent et 5 médailles de bronze. De plus, soulignons la performance de Lodovic Simard (ceinture bleue), un habitué de la plus haute marche du podium qui encore une fois a livré toute une perfor-mance dans ses combats pour remporter l’or.

Taekwondo du CRSa

une réCoLte de 14 médaiLLes Pour nos athLètes

Par CaroLe roy

caro [email protected]

naGe SYnCHRoniSée

sePt médaiLLes en sePt Pour FLavie

Par CaroLe roy

caro [email protected]

toute une saison pour la nageuse synchronisée du volet provincial du club synchroélite, Flavie Petitclerc, âgée de 9 ans, qui est montée sur le podium lors des trois compétitions auxquelles elle a participé depuis le début de la saison.

10 séances pour sentir la différence20 séances pour voir la différence 30 séances pour un corps tout neuf — (Joseph Pilates) Fondateur

LE PILATES TRANSFORME VOTRE CONDITION DE VIE (CAS VÉCU)

Technique d’entrainement musculaire, la MÉTHODE PILATES est une approche d’entraînement global du corps basé sur six principes de base : la respiration, la concentration, le contrôle, le centrage, l’alignement et la fluidité.

Nous avons approché une élève du CENTRE PILATES QUÉBEC afin de nous témoigner les bienfaits que le Pilates lui a apportés au cours de ses années d’entrainement. C’est avec plaisir que Marie-Josée nous a raconté comment le Pilates a transformé sa vie au quotidien.

Dès la vingtaine, notre élève à commencée à sentir des douleurs lombaires, mais c’est lors de sa troisième grossesse, que son état s’est aggravé. Elle a alors été diagnostiquée : arthrose et arthrite sévère dans la région lombaire. Marie-Josée à

reçu deux séries d’injections de corticoïde dans la colonne, ce qui malheureusement, n’a pas donné de résultat concluant.

Afin de retrouver son état de santé d’autrefois, cette dernière à du prendre 1000 mg d’anti-inflammatoire tous les jours, en plus de séances de physiothérapie. Malgré tous ses efforts, les maux de dos persis-taient. Certains gestes du quotidien devenaient de plus en plus difficiles à effectuer.

« J’ai commencé le Pilates et beaucoup d’exercices étaient semblables à ceux que je devais faire en physiothérapie. J’ai donc décidé de poursuivre les séances. Dix ans plus tard, je n’ai plus mal au dos et depuis maintenant plus de trois ans, je n’ai plus besoin de médication. Grâce à cela, j’ai une meilleure qualité de vie,

et j’espère convaincre d’autres personnes qui comme moi, veulent améliorer leurs conditions de vie. » — Marie-Josée

Au Centre Pilates Québec, nous offrons du PILATES sur appareils ainsi qu’au sol. Nous favorisons les groupes de dix participants pour que chacun d’entre eux puisse bénéficier d’une attention soutenue d’un instructeur certifié pouvant apporter des corrections aux positions et aux mouvements exécutés.

418 780-2332 ou 418 670-1819 | www.centrepilatesquebec.com 3190, boul. Neilson, Sainte-Foy

Huguette Carbonneau, Centre Pilates Québec Inc.Instructeur certifié Ann McMillan, Sol et Appareils

15, rue Rotterdam, Saint-Augustin-de-Desmaures

7777, boul. de la Rive-Sud, Lévis

249, Rte du Pont, Saint-Nicolas

D’abord en novembre, lors de la compétition régionale de figures qui se déroulait à la Piscine Jacques-Amyot, Flavie a décroché une médaille d’or. La jeune Augustinoise répétait ainsi son exploit de l’année dernière alors qu’elle participait à sa toute première compétition.

Par ailleurs, lors des trois épreuves de la finale régionale des Jeux du Qué-bec présentée à la Piscine Lucien-Flamand du centre Wilbrod-Bhérer, Flavie a remporté une médaille d’or en duo en compagnie d’Ali-cia Castro-Lebel, l’or à nou-veau avec son équipe chez les novices 12 ans et moins ainsi qu’une médaille d’ar-gent en figures.

Enfin, les 16 et 17 mars dernier, lors de la compé-tition Inter Division 1 qui se déroulait à l’Université Bishop’s de Lennoxville, la jeune nageuse a encore brillé. Avec sa coéquipière, elle a récidivé en remportant l’or en duo, l’argent en équipe novice 12 ans et moins et finalement une médaille de bronze, en figures, où

plus de 50 nageuses se livraient une forte compétition.

Les 3, 4 et 5 mai prochain, le club SynchroÉlite sera l’hôte de la compétition provinciale de la Coupe du Président à laquelle par-ticiperont plus de 400 nageuses.

Le grand gymnase du PePs de l’université Laval était plein à craquer le samedi 13 avril pour la compétition « Québec 2013 - invitation est du Canada « , un tournoi interprovincial de taekwondo, organisé conjointement par le Club de taekwondo de Cap-rouge et saint-augustin, en collaboration avec le Club de taekwondo de beauport.

Peut-être lourdes toutes ces médailles, mais elles donnent des ailes à la jeune Flavie.

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Ludovic simard, plastron bleu, médaillé d’or.

olivier Côté, plastron bleu, dans un combat particulièrement spectaculaire, qui au final, lui vaudra l’or.

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Populaire en raison qu’il peut être prati-qué à tout âge, le vélo peut être décliné sous plusieurs formes : moyen de transport, loisir ou discipline sportive. Que ce soit pour le vélo de course, le vélo hybride ou tout sim-plement, le vélo de montagne, la région de Québec est très bien pourvue avec ses corri-dors cyclables totalisant près de 400 km de pur plaisir pour les randonneurs passionnés.

où rouLerPour les férus de randonnées, voici

quelques incontournables. Tout d’abord,

le corridor des Cheminots, accessible à partir du stationnement de la bibliothèque Félix-Leclerc, à Val-Bélair. Auparavant une

voie ferrée, c’est désormais un sentier sur chemin plat de 22 kilomètres (44 kilomè-tres aller-retour), passant de l’arrondisse-ment de La Haute-Saint-Charles jusqu’à La Cité-Limoilou. Se rendant jusqu’au Chutes Montmorency, le parcours offre des paysa-ges pittoresques aux cyclistes, aux piétons et aux amateurs de patin à roulettes.

Le deuxième que je vous recommande de faire, c’est le Parc linéaire Le Grand Tronc. Très linéaire, la géographie du ter-rain de cette piste cyclable est plutôt plate car elle est aménagée sur l’ancienne voie ferrée du chemin de fer le Grand Trunk. De plus, elle traverse une zone agricole et elle est souvent parallèle à la Route 116. Si le paysage est parfois monotone, on remarque que beaucoup d’efforts ont été investis dans l’aménagement de la piste, son aménage-ment paysager, les haltes routières accessi-bles en tout temps dans chaque ville traver-sée, la signalisation efficace et parfaitement visible, la préservation des anciennes gares, etc. Le dernier tronçon à l’approche de Lévis, dans Saint-Nicolas et Saint-Rédemp-teur, celui que j’ai parcouru, est en asphalte. La poussière de roche et l’asphalte sont en bonne condition sur tout le trajet et on peut tout à fait y circuler avec un vélo de route avec des pneus étroits. Faisant partie de la Route verte et du Sentier Transcanadien, il assure un lien avec la région de Lotbinière, jusqu’en Estrie. Situé à l’ouest de Lévis, à proximité de St-Étienne-de-Lauzon et du village de St-Rédempteur, vous apprécierez ce corridor cyclable de 13 km, se parcou-rant essentiellement en milieu forestier. Je recommande donc cette piste cyclable qui reçoit un haut taux d’achalandage l’été, fré-quentée majoritairement par les habitants de la région comme les cyclotouristes et les jeunes familles.

Finalement, un sentier que j’ai eu la chance d’essayer à deux reprises, et que je vous recommande, c’est La Liseuse, via le circuit Dansereau. D’une distance d’envi-ron 15 km et situé à Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, il faut prendre le temps d’admirer le paysage et la beauté de la nature que nous offre la majestueuse rivière Jacques-Cartier entre Pont-Rouge et Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier. À travers ce sentier, il vous est possible de bivouaquer à même sur les roches, lorsque la rivière est à un niveau d’eau moyen ou bas. Côtoyant certains lieux forts de l’imaginaire poétique et romanesque d’Anne Hébert, quatre poè-mes choisis pour leur puissance évocatrice jalonnent le parcours et invitent à la décou-verte des mots, à la rencontre des lieux, au

un SPoRT à La PoRTée de TouS

Les randonnées À véLo

Par simon bastaraChe

s im_bas ta rache007@hotmai l . com

sport autrefois méconnu et pas toujours à la portée de tous, le vélo acquiert aujourd’hui une popularité grandissante, non seulement par l’accroissement de ses nombreux produits dérivés, rendant ainsi sa pratique plus conviviale et polyvalente, mais aussi par une demande accrue de la population. Favorisé par l’apport d’une diversification des nombreux modèles de vélos offerts sur le marché et gagnant de plus en plus en visibilité, le vélo répond mieux que jamais aux besoins de tous.

Corridor des Cheminots.

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w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 3 39

recueillement. Absolument gratuit, avec un chalet d’accueil au point de départ et d’arrivée, moderne et impeccablement entretenu ainsi qu’un service de réparation de base accessible, un vrai coup de cœur

pour les cyclistes amateurs ainsi que pour toute la famille. Ainsi, je vous souhaite à tous et à toutes, un bon début de saison de vélo. Amusez-vous et soyez prudent sur les routes !

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nos Jeunes, initiés aux PrinCiPes d’une bonne gestion FinanCière !

Par CaroLe roy

caro [email protected]

désireuse d’encourager les jeunes à l’épargne, la base fondamentale d’une bonne gestion financière, la Caisse populaire desjardins de Cap-rouge recevait récemment deux classes l’école l’arbrisseau.

Chaque année, la Caisse organise pour les écoles faisant par-tie de son programme de caisse scolaire une journée complète de visite incluant la visite de la Caisse, celle de la maison Alphonse Desjardins et de la Galerie d’Art Louis-Carrier à Lévis. Les enfants apprennent le fonctionnement d’une institution financière avec des mises en situation, les principes de la coopération et l’histoire du Mouvement Desjardins.

Pour ce faire, la Caisse n’hésite pas à prendre l’organisation d’une journée de visite en main et de gâter nos jeunes. En effet, du transport scolaire, en passant par les différentes collations dont un petit passage aux Chocolats favoris de Lévis et plusieurs cadeaux offerts. Quelle belle initiative que d’intéresser et conscientiser les jeunes à la gestion de leur budget !

Le sentier de la Liseuse.

Mon père et moi au départ du sentier de la Liseuse.

Panorama le long du sentier de la Liseuse.

Parc linéaire de Lotbinière.

deux classes de 6e de l’école L’Arbrisseau.

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w w w . l e c h o d e c a p r o u g e . c a | JOU RNAL L’ÉCHO DE CAP-ROUG E | mai 2013 | vo l . 4 numéro 340

PREMIÈRE FRANCE D’AMÉRIQUE 1541-1543

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LE 1ER

MAI

mcq.org/colonie 2, CÔTE DE LA FABRIQUE, QUÉBEC. Le Musée de la civilisation est subventionné par le ministère de la Culture et des Communications.

En 1540, le roi de France veut étendre son royaume au Nouveau Monde. Jusqu’ici méconnue, l’épopée de ces premiers Français d’Amérique se livre enfin. La passionnante découverte d’une page inédite de notre histoire!Une coréalisation de la Commission de la capitale nationale du Québec et du Musée de la civilisation.

Hôtel officiel

Site mobile

Une coréalisation