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Leonard Bernstein Candide, Ouvertureonct.toulouse.fr/documents/10180/1784081/Livret ONCT 04... · 2016-11-03 · Leonard Bernstein Candide, Ouverture Qui s’intéresse à la comédie

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Leonard Bernstein Candide, Ouverture

Qui s’intéresse à la comédie musicale a aussitôt en tête les lumières de Times Square et de l’avenue de Broadway. Indissociable de la culture américaine, le genre prend son essor à New York. Marquée par l’esprit des luxueuses revues dans les années 1920 – où s’illustrèrent les fameux Marx Brothers – et par l’évolution du jazz, la comédie musicale s’impose précocement comme un carrefour de styles et de techniques. Outre qu’elle associe danse, musique, paroles, elle se prête à l’intégration des courants esthétiques les plus récents. Dès 1924, George Gershwin et son frère parolier Ira signent des musicals marqués par le sens du swing, à l’image, en 1928, d’Un Américain à Paris, carnet de voyage ramené du «  vieux continent  »  : auréolé du succès de sa Rhapsody in Blue, George Gershwin s’était rendu en Europe où il avait fait la connaissance d’Igor Stravinsky et de Maurice Ravel. « Toutes ces formes différentes, on peut les désigner par le terme de musical, parce qu’elles ont toutes quelque chose en commun  : elles appartiennent à une forme d’art qui a des racines

américaines, qui correspond à notre langue, à notre rythme, à notre comportement, à notre manière de vivre. » (Leonard Bernstein)Dans le paysage contrasté des comédies américaines, la figure de Leonard Bernstein s’impose irrésistiblement. En novembre 1943, le jeune chef américain remplace au pied levé le chef d’orchestre Bruno Walter à la tête de l’Orchestre Philharmonique de New-York et devient célèbre en l’espace d’une soirée. Rénovateur de la direction d’orchestre, auteur d’opéras, de symphonies, de musique de chambre, Bernstein vit non sans regret cet héritage éclectique occulté par le succès de West Side Story. À mi-chemin entre l’opérette et la comédie musicale, Candide revisite les codes des deux genres. Du conte philosophique de Voltaire, Bernstein et Lillian Hellmann, son librettiste, élaborent un livret où la tragédie le dispute au rire. Brillante et enjouée, l’Ouverture expose les thèmes les plus fameux de l’opéra : le duo « Oh happy me » d’abord, puis l’air virtuose « Glitter and be gay », monument de bravoure vocal et de théâtre.

VENTS D’EST, VENTS D’OUEST

La ligne de séparation entre l’Est soviétique et l’Ouest nord-américain est durablement inscrite dans

les mémoires. Entre les deux nations, une concurrence acharnée vit le jour, dont le sport et la musique constituèrent

des développements inattendus. Pourtant, l’examen rétrospectif des cultures américaine et soviétique témoigne d’au moins deux points communs : l’amour du jazz – particulièrement

présent dans l’U.R.S.S. des années 1920 – et l’émergence d’interprètes-compositeurs d’exception, à l’image de Leonard Bernstein et de Dimitri Chostakovitch.

LEONARD BERNSTEIN (1918-1990)Candide, ouverture

durée de l’œuvre : 4 min

GEORGE GERSHWIN (1898-1937) Rhapsody in blue pour piano et orchestre

durée de l’œuvre : 16 min

DIMITRI CHOSTAKOVITCH (1906-1975)Symphonie n°5 en ré mineur, op. 47

Moderato Allegretto

Largo Allegro non troppo

durée de l’œuvre : 45 min

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Dimitri Chostakovitch Symphonie n° 5 en ré mineur op. 47

George Gershwin Rhapsody in blue pour piano et orchestre

L’écriture de la Rhapsody in Blue naît d’un malentendu  : en 1924 un journal américain aiguillé par de fausses rumeurs, annonçait que George Gershwin, alors occupé à des comédies musicales, préparait un jazz concerto. Qu’à cela ne tienne, le musicien se mit aussitôt à l’ouvrage. La Rhapsody s’impose comme une œuvre avant-gardiste réunissant deux univers jusqu’alors musicalement – et socialement – opposés. Du grand répertoire, elle reprend l’écriture pianistique, le brio exigé du soliste. Du jazz, les références à la modalité et l’improvisation qui dramatise l’ensemble. Chaque solo fait de l’instrument concerné un personnage, tel le glissando de clarinette qui ouvre l’œuvre, à l’origine, une simple gamme de dix-sept notes transcendée en un motif-manifeste par le clarinettiste Ross Gorman. Une trompette avec sourdine « oua-oua », cet accessoire

omniprésent dans le jazz se la réapproprie moqueusement. Si l’entrée du piano ramène un instant dans l’univers concertant, l’orchestre reprend aussitôt le dessus. Des portraits facétieux, mélancoliques ou furieux sont à peine esquissés – quelques mesures au plus. Le compositeur retrouve ainsi l’esprit originel du concertare, ce terme à l’origine du concerto  : lutter, se diviser, qu’il actualise grâce au jazz. Au pianiste d’imposer sa virtuosité face à un orchestre déchainé qu’il ne peut faire taire. Théâtralisant à l’extrême cette pièce instrumentale, Gershwin instille à sa Rhapsody in Blue l’esprit des comédies musicales de Brooklyn. Entre la vénérable musique européenne et le jazz américain en devenir, se dégageait une troisième voie  : celle d’une musique « classique » américaine portée par une énergie et une agressivité qui ne laisseraient pas d’étonner ses contemporains.

Dans l’U.R.S.S. des années 1930, Dimitri Chostakovitch fit des débuts flamboyants  : après le départ à l’étranger de figures majeures telles qu’Igor Stravinsky, Serge Prokofiev ou Sergueï Rachmaninov, le régime fit appel à de jeunes musiciens afin de reconstruire la culture soviétique. Les études brillantes de Chostakovitch au conservatoire de Leningrad, son talent de pianiste et l’originalité de ses trois premières symphonies en firent le chef de file du renouveau musical. En outre, ses liens avec l’intelligentsia intellectuelle (le poète Vladimir M a ï a k o v s k i , l e m e t t e u r e n scène Vsevolod Meyerhold, etc.) poussèrent bientôt le jeune compositeur vers l’opéra. En 1930, son Nez inspiré par la nouvelle de Nicolas Gogol devient l’un des premiers opéras soviétiques. En janvier 1934, son second opéra Lady Macbeth du district de Mtensk est créé à Leningrad puis à Moscou. L’œuvre, récit violent d’une sanglante émancipation féminine, fait l’unanimité. Deux ans plus tard, le 27 janvier 1936, Staline assiste à Lady Macbeth. Le lendemain, un article assassin intitulé Du Chaos dans la musique paraît dans La Pravda – journal officiel du régime.

« C’est la négation de la simplicité, du réalisme, un transfert des caractéristiques « meyerholdiennes », du chaos gauchiste, du formalisme, de l’«  esprit d’innovation  » petit-bourgeois. (…) Jouer à l’hermétisme est un jeu qui peut très mal finir. Chostakovitch nous montre sur scène avec le naturalisme le plus grossier, le plus bestial, la lubricité d’une riche marchande, il représente avec réalisme des scènes d’amour sous la forme la plus vulgaire.  » Après avoir été désigné comme l’un des espoirs de la musique soviétique, Chostakovitch devient brutalement l e r e n é g a t d e l ’ e s t h é t i q u e jdanovienne. Rétrospectivement, cette chute spectaculaire apparaît comme l’un des moments de basculement du régime soviétique. Succédant à la liberté esthétique des années 1920, l’U.R.S.S. des grandes purges impose de puissants dictats aux artistes. Vsevolod Meyerhold est assassiné en 1940, Prokofiev – rentré dans son pays natal en 1936 – est totalement marginalisé, Chostakovitch enfin est désigné comme l’un des artisans du « formalisme ». Pour le compositeur, qui avait achevé sa Symphonie n°4 en 1936, le choc est terrible.

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En décembre 1936, la Revue de Paris publie un texte signé par lui : « je ne peux concevoir mon développement futur en dehors du contexte de la construction du socialisme dans mon pays. Je me donne à moi-même l’objectif de servir notre merveilleux pays par ma musique. Un compositeur ne peut avoir de plus grande satisfaction que de réaliser que son œuvre contribue au progrès de la culture musicale soviétique qui a pour tâche de jouer un rôle essentiel dans la transformation de la conscience humaine (…) Mon but est de réaliser mon propre style musical fait de simplicité et d’expression.  » C’est dans un tel contexte que la Symphonie n° 5, commencée en avril 1937, est achevée. Créée avec succès en novembre 1937, l’œuvre symbolise la mise au pas de l’artiste. Le lendemain de la première, le critique Alexeï Tolstoï écrit : «la réponse concrète d’un artiste soviétique à de justes critiques ». Lors de la création, le programme avait mentionné que «  l’ensemble de la symphonie est l’histoire d’une longue lutte intérieure de l’âme qui finit par vaincre.  » En décembre 1937, un nouveau texte évoque « le finale de la symphonie, qui affirme la vie, fait penser à la lutte de l’auteur dans sa vie quotidienne pour échapper au cercle fermé de l’expérience individualiste. ».

Autant d’indications destinées à rassurer le pouvoir en place. De fait, le cadre classique des quatre mouvements, le respect de la forme sonate dans le Moderato initial et dans l’Allegro final incitent à considérer l’œuvre sous cet angle. Pour autant, l’angoisse sous-jacente du premier mouvement, le sarcasme perceptible de l’Allegretto, la mélancolie du mouvement lent sont autant de gestes indissociables de Chostakovitch. Résolument allègre, rompant avec la tragédie des trois premiers mouvements, optimiste jusqu’à la caricature, le mouvement final développe l’une des caractéristiques futures du musicien  : l’ironie. Le martèlement des cuivres, les accords claironnants, l’obstination rythmique semblent incliner vers l’optimisme réclamé par le réalisme-socialiste. À Boris Khaikin, l’un de ses proches, Chostakovitch confia pourtant : « J’ai terminé fortissimo et en majeur et tout le monde dit que c’est une symphonie optimiste et affirmative. Je me demande ce qu’ils auraient dit si j’avais terminé pianissimo et en mineur ? »

Charlotte Ginot-Slacik

PROCHAIN CONCERTsamedi 12 novembre

18H - HALLE AUX GRAINS

Tarifs 15€ (zone 2) - 20€ (zone 1) - Placement libre dans chaque zone

Tarifs Jeunes pour les moins de 27 ans 5€ en réservation immédiate en zone 2 ou 15 minutes avant le début

du concert dans la limite des places et des zones disponibles.

HappyHour

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DIRECTION

Sabrie Bekirovabizet Carmen, suites 1 et 2 pour orchestre

bizet Symphonie n°1 en ut majeur

une heure avec

Bizet

carmen

Les Concerts Happy Hour réinventent l’apéritif : une heure, consacrée à un chef-d’œuvre du répertoire, pour permettre

à ceux que le concert impressionne de découvrir autrement les plus belles pages de l’orchestre. Découverte, rencontre, musique. Venez passer une Happy Hour avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse !

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LAHAV SHANIDIRECTION

Premier chef d’orchestre invité de l’Orchestre Symphonique de Vienne, le Wiener Symphoniker (à compter de la saison 2017/2018). Lahav Shani, chef d’orchestre israélien de 27 ans au talent prodigieux, a vu sa carrière de chef d’orchestre s’envoler en 2013, année où il a remporté le premier prix du Concours International de Direction d’Orchestre Gustav Mahler à Bamberg. Il s’est depuis rapidement imposé comme l’un des jeunes chefs d’orchestre les plus talentueux de sa génération, faisant forte impression tant par sa maturité que par sa musicalité naturelle et instinctive. En janvier 2016, Lahav Shani a remplacé Philippe Jordan à la tête de l’Orchestre Symphonique de Vienne pour une grande tournée européenne avec au programme des concerts entre autres à Paris, Francfort et Munich. Il deviendra, lors de la saison 2017-2018, Premier chef d’orchestre invité de l’Orchestre Symphonique de Vienne.

En juin 2014, les débuts berlinois de Lahav Shani, à l’occasion du remplacement de Michael Gielen à la tête du Berlin Staatskapelle (Orchestre d’État de Berlin) pour des concerts au Konzerthaus et à la Philharmonie de Berlin, ont fait sensation. Son retour à la direction de l’orchestre est prévu en décembre 2016 lors de quatre représentations de La bohème au Berliner Staatsoper (Opéra d’État de Berlin) ainsi qu’en mai 2017 pour des concerts à la Philharmonie de Berlin. En décembre 2015, Lahav Shani a pris, au pied levé, la place de Franz Welser-Moest, alors souffrant, pour des concerts à la tête de l’Orchestre Philharmonique de Vienne dans la salle du Musikverein où il a mené sous sa baguette la Symphonie n°1 de Mahler et dirigé depuis son piano le Concerto pour claviers en ré mineur de Bach, une prestation qui lui a valu une « standing ovation » du public et des critiques élogieuses.

© Marco Borggreve

Dans le cadre de la saison 2016/2017 et des suivantes, Lahav Shani va prendre la tête d’orchestres tels que l’Orchestre Symphonique de la Radio Bavaroise, l’Orchestre Philharmonique de Vienne, l’Orchestre Philharmonique de Los Angeles, le Berlin Staatskapelle (Orchestre d’État de Berlin), le Dresden Staatskapelle (Orchestre d’État de Dresde), le Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin (Orchestre Symphonique de la Radio de Berlin), l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l’Orchestre Philharmonique de la Radio Néerlandaise, l’Orchestre P h i l h a r m o n i a , l ’ O r c h e s t r e P h i l h a r m o n i q u e T c h è q u e , l ’Orchestr e P hi lha r moni q u e Royal de Stockholm, l’Orchestre S y m p h o n i q u e d e G ö t e b o r g , l’Orchestre Symphonique de la Radio de Francfort, l’Orchestre du Gürzenich de Cologne, l’Orchestre S y m p h o n i q u e d e B a m b e r g , l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre national du Capitole de Toulouse, l’Orchestre Philarmonique de Rotterdam, l’Orchestre Philharmonique Royal des Flandres, le Hallé Orchestra, l ’ O r c h e s t r e S y m p h o n i q u e de Birmingham, l ’Orchestre Philharmonique de Séoul et l’Orchestre Symphonique Yomiuri du Japon.En octobre 2013, Lahav Shani a été invité pour faire l’ouverture de la saison de l ’Orchestre Philharmonique d’Israël, invitation

au sujet de laquelle le quotidien israélien Globes, dans la critique de l’une de ses prestations, a écrit  : «  ce concert restera dans les mémoires comme un concert étourdissant, voire un événement historique depuis la création de l’Orchestre Philharmonique d’Israël ». S’en est immédiatement suivi une réinvitation aux côtés de l’orchestre pour les deux saisons suivantes. L’étroite relation qu’il entretient avec l’Orchestre Philharmonique d’Israël a été instaurée en 2007 lors de son interprétation du Concerto pour piano de Tchaïkovski sous la baguette de Zubin Mehta, et s’est poursuivie en 2010 lorsqu’il a rejoint Zubin Mehta et l’orchestre en tournée en Asie, tournée à laquelle il a participé en tant que pianiste soliste, assistant du chef d’orchestre et contrebassiste.Lahav Shani est né en 1989 à Tel Aviv. Il a commencé à étudier le piano à l’âge de six ans avec Hannah Shalgi et a continué avec le professeur Arie Vardi à l’École de Musique Buchmann-Mehta à Tel Aviv. Il a ensuite parachevé ses études au sein de l’Académie de Musique Hanns Eisler à Berlin avec pour professeurs Christian Ehwald, pour la direction d’orchestre, et Fabio Bidini pour le piano. Au cours des dernières années, il a eu pour mentor Daniel Barenboim.Lahav Shani est représenté par Intermusica sur la scène internationale.

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Tous les concerts

sont à 5€ pour les moins

de 27 ans**Dans la limite des places et catégories disponibles

Light from the outside world

JEFF MILLSChristophe Mangou - directionÉvénement

CONCERT

Le DJ Jeff Mills mixe avec l’Orchestre national

du capitole de Toulouse

Jeudi 1er & vendredi 2 décembre20 h - Halle aux grains

Lice

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°1-1

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CMJN 00/80/100/00

noir seul

noir + soutien de bleu CMJN 60/00/00/100

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fichier Illustrator CS3 du logotype PRINT

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PREMIER VIOLON SOLOGeneviève Laurenceau

PREMIERS VIOLONSDaniel RossignolSharon RoffmanVitaly RasskazovMaryse UrsuleJacqueline BourdariasSylvie MougeatFrédéric PazioMary RandlesAline MarciacqSébastien PlancadeOlivier AmielAude PuccettiStéphane GuiocheauJean-Baptiste Jourdinsandrine martin

SECONDS VIOLONSFabien MastrantonioChiu-Jan YingFrancois DrouhinYves SapirMarie Jose FougerouxVirginie AllemandEdwige FarencAlexandre DalbigotSandrine MartinDavid BenetahGuilhem BoudrantEstelle BartolucciEléonore EppQuentin Debroeyer

ALTOSBruno DubarryJuliette GilLaura EnsmingerIsabelle MensionTymoteusz SypniewskiGilles Apparailly

Claire PelissierVincent Cazanave-PinMailyss CainSamuel JolyAudrey LeclercqJoyce Blanco Lewis

VIOLONCELLESPierre GilVincent PouchetPhilippe TribotBenoît ChapeauxGaël SeydouxThomas DazanSébastien LaurensMarie GirbalLéa BirnbaumAude Dubois

CONTREBASSESDamien-Loup VergnePierre HequetGérard PonsMichel RenaultDaniel Ben SoussanVictor Garcia GonzalezConor Mc CarthyTarik Bahous

FLÛTESSandrine TillyJoséphine Poncelin De RaucourtClaude Roubichou

HAUTBOISLouis SeguinJean Michel Picard

CLARINETTESFloriane TardyEmilie PinelLaurence PerryJean-Paul Decamps

BASSONSEstelle RichardMarion DeleplancqueMylène Poulard

SAXOPHONESPhilippe LecocqCyril GalyFlorence Lecocq

CORSJacques DeleplancqueJean Wilfrid GrongnetHervé LupanoBenoit Hui

TROMPETTESRene-Gilles RousselotNicolas PardoJulien Rieffel

TROMBONESDavid LocqueneuxAymeric FournesFabien Dornic

TUBASylvain Picard

TIMBALESEmilien Prodhomme

PERCUSSIONSThibault BuchailletChristophe DewarumezMatthieu ChardonAurélien HadyniakGeoffrey Saint-Leger

HARPESGaëlle ThouveninCécile Barutaut

PIANOInessa Lecourt

BANJOPatrick Vivien

Formation Orchestrale

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Halle aux Grains - 05 61 63 13 13 www.onct.toulouse.fr