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1 Les contes merveilleux des 6 ème 2 Collège Charles de Gaulle - Apt Année scolaire 2011-2012

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Les contes merveilleux des 6ème 2

Collège Charles de Gaulle - Apt

Année scolaire 2011-2012

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A la recherche de ses parents l était une fois une petite fille qui avait huit ans, elle était adoptée. Elle ne savait pas qu’on l’avait abandonnée et ne savait pas que ses parents adoptifs n’étaient pas ses vrais parents. Elle se nommait Alicia. Elle était très belle, courageuse, gentille et surtout très intelligente. Elle avait une longue

chevelure blonde bouclée. Ses yeux étaient bleus. Cette petite fille portait une tunique mauve qui descendait jusqu’aux cuisses, et un pantalon bleu marine ainsi que des ballerines beiges. Une nuit, elle rêva que ses parents l’avaient abandonnée. Le lendemain, elle le raconta à sa mère adoptive qui lui dit tristement que c’était la vérité. Alicia, triste, partit dans sa chambre. Le lendemain, elle décida d’aller chercher ses vrais parents. Elle fugua le soir même. Elle était fatiguée et décida de se reposer sous un arbre. Elle se réveilla en pleine nuit à cause d’un chatouillement. Elle entendit une petite voix qui disait : « tu es morte amie mortelle ? » et cette phrase se fut répétée longuement jusqu’à ce qu’elle vit une petite fée. Celle-ci lui demanda où elle allait. Alicia lui dit : « je vais chercher mes vrais parents, mais le problème c’est que je ne sais pas où ils habitent ». La fée la conduisit dans un royaume où il y avait plein de fées. Le roi de ce royaume était un lutin géant. Il regarda le visage au teint éclatant d’Alicia, et lui demanda : « qui es-tu, où vas-tu et d’où viens-tu, petite fille ? ». Alicia répondit méfiante : « je me nomme Alicia je viens d’un petit village sur une colline assez lointaine. J’ai fugué de chez mes parents adoptifs, je cherche mes vrais parents… » Le roi donna l’ordre d’accompagner la jeune fille dans une chambre. Il y avait une personne qui faisait le ménage, c’était un homme. Celui-ci dit : « bonjour, qui es-tu ? »

- Je m’appelle Alicia. Bonjour Alicia, tu es toute seule ?

- Oui, je cherche mes vrais parents qui m’ont abandonnée quand j’étais petite. - Je connais aussi quelqu’un qui a abandonné sa fille, plus précisément mon cousin.

Alicia réfléchit un moment, et elle lui posa cette question : « vous étiez son voisin ? » - Oui comment le sais-tu…

Il n’avait pas le temps de poser d’autres questions, qu’il reconnut Alicia, la fille de son cousin. Il lui raconta que ses parents ne voulaient l’abandonné mais qu’ils étaient obligés car ils n’avaient pas beaucoup d’argent. Il lui dit que maintenant ils étaient riches et qu’ils regrettaient de l’avoir abandonnée. Demain je t’amènerai chez lui, Alicia ravie, lui sauta dans les bras. Le lendemain elle retrouva ses parents et appela ses parents adoptifs qui eux étaient très inquiets. Ils se rencontrèrent tous et devinrent très amis.

Texte et illustration de Laéticia Campailla

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Lucie et Molie

l était une fois une petite fille appelée Lucie. Elle avait le visage rond avec des yeux marron

pétillants, le regard malicieux et doux. Son petit nez était retroussé. Elle avait une bouche gourmande et ses lèvres étaient vermeilles. Son teint était pâle, elle avait une chevelure blonde et épaisse, elle portait une robe vert pomme. Dans le parc avec ses parents elle était si heureuse, elle jouait à la corde à sauter. Mais un jour, elle perdit ses parents et sa soeur, qu’une méchante femme enleva. Ca faisait cinq ans qu'elle avait été enlevée par la méchante femme Eloisse. Le vendredi 10 février, elle reçut une lettre mystérieuse où il était écrit :

" Chère Lucie, si tu reçois cette lettre, viens me sauver, je suis à la fontaine magique… Mollie ta soeur qui t'aime"

Alors Lucie courut vers la forêt pour aller à la fontaine en évitant Eloisse. Sur le chemin Lucie vit un grand homme habillé de noir, elle lui demanda : « - Connaissez-vous la fontaine magique ? - Oui, mais es-tu mortelle ou immortelle ? - Je suis mortelle, pourquoi ? - Seuls les immortels peuvent y entrer ! - Comment devient-on immortel ? - Tu peux le devenir en me ramenant un oeuf du dragon. » Elle remercia l’homme et alla au château du dragon. Le dragon prit la petite Lucie dans ses pattes et doucement brûla ses vêtements. Elle lui raconta son aventure et le dragon lui donna un oeuf. Elle retourna voir l’homme vêtu de noir et devint immortelle. Elle retrouva enfin sa soeur bien aimée et ses parents.

Texte et illustrations de Victoire Rodriguez

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La princesse et le berger

l était une fois une princesse qu’on appelait Angélique. Elle était très proche des animaux. Elle était honnête, intelligente et elle aidait les animaux en danger. Angélique avait les yeux bleus et elle se laissait

facilement séduire. Elle avait une belle chevelure brune, avec des reflets roux. Cette adorable princesse portait une magnifique robe de soie bleu lavande qui faisait penser à un beau champ de lavandes. Un jour, une maléfique sorcière profita du sommeil de la ravissante princesse pour jeter un sort à tous les animaux, qui sous l’effet du sort, devinrent méchants. Un beau matin, Angélique se réveilla et partit dans la première ferme pour donner à manger à tous les animaux, car les fermiers avaient demandé à la princesse de leur rendre ce service. Elle était tellement gentille qu’elle accepta tout de suite ! Mais elle était loin d’imaginer qu’il y avait trois fermes. Et cela consistait en autant de travail. Mais elle se rassura en se disant que ce n’étaient pas des bêtes sauvages : Et puis, elle se dit qu’elle adorait les animaux. Alors, au travail ! Elle commença par les chevaux. Les chevaux la connaissaient depuis leur naissance. Elle remarqua qu’ils avaient changé, et elle n’était pas loin d’imaginer que la sorcière était la cause des dégâts. Pendant la traite des vaches, une vieille femme lui rendit visite. Elle avait un nez crochu, des cheveux blancs et une peau fripée. La princesse lui demanda ce qu’elle voulait. La vieille femme lui répondit : « - Bonjour demoiselle, je t’apporte de bons biscuits fait maison ! » La jeune fille était un peu méfiante. Elle ne voulut pas manger les biscuits de peur qu’ils ne soient empoisonnés. Pourtant, elle céda. Au début, sa tête si mit à tourner. Puis elle eut des douleurs au ventre. Enfin, elle tomba. La sorcière poussa un fou rire maléfique qui eut pour effet d’endormir la princesse pendant trois jours. Au bout du troisième jour, un berger vit au loin la jeune femme à terre. Il courut pour voir qui elle était. Ce jeune berger la porta dans la maison. Quelque temps après, la princesse se réveilla. Elle était allongée sur deux planches de bois. Le jeune berger vint à elle et lui

demanda ce qui s’était passé. Elle le lui raconta. Le berger lui avoua alors qu’il connaissait la sorcière et qu’il avait un remède pour guérir instantanément les animaux. La princesse comprit alors que la sorcière était la cause de l’état des chevaux. Elle put les soigner. Le berger et la princesse tombèrent amoureux l’un de l’autre.

Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. Texte et illustrations de Louana Hamada

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Lila « au pays des merveilles »

l était une fois une petite fille qui s’appelait Lila. Elle avait des yeux bleu turquoise, un nez camus, un regard très doux.

Sa bouche était gourmande. Elle avait le teint éclatant. Elle était vêtue d’une robe bleu lavande à dentelle blanche. Cette petite fille avait une chevelure raide et blonde. Elle avait douze ans. Un beau jour, Lila voulut se promener dans la forêt. Aussitôt dit, aussitôt fait, la fillette sortit de chez elle et alla se promener, quand tout à coup, elle dévala une pente pleine de sable et tomba dans un trou rempli de sable. Elle se cogna la tête et s’évanouit. Quand la petite se réveilla, elle ne se rappelait de rien. Elle se mit à pleurer très fort quand tout à coup, un lapin blanc l’entendit et vint vers elle. Quand il fut devant elle, elle s’arrêta de pleurer. Le lapin lui posa quelques questions. Il lui demanda : « Que t’est-t-il arrivé, ma pauvre petite, pour que tu te retrouves dans ce trou ? Il a dû t’arriver quelque chose de terrible ! » Lila répondit : « Je ne me souviens de rien… C’est le trou noir… » Sur ces mots, le lapin lui dit « Ne t’inquiète pas, je vais t’aider. Le lapin appela ses amis de la forêt qui aidèrent Lila à sortir du trou. Ils la ramenèrent chez elle et elle raconta toute l’histoire à sa mère.

D’après une œuvre connue, texte rédigé et illustré par Alexia Cortes

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Pierre-de-feu

l était une fois une princesse très belle avec de longs cheveux dorés et de beaux yeux bleus. Elle était orpheline car ses parents avaient été enlevés. Elle vivait au Maroc avec son frère Mussine qui était plus âgé qu’elle. Elle s’appelait Sarah et avait vingt-neuf ans.

Une nuit, elle fit un rêve. Ce rêve l’amena, dès le lendemain matin, à partir à la recherche de ses parents, Kader et Hourya qui

étaient en France, prisonniers de la sorcière Pierre-de-feu. Sarah partit sur un tapis volant que lui

avait donné une petite fille pour la remercier de son aide précieuse. Sarah promit à son frère qu’elle ne dévoilerait jamais son identité de princesse. Sur son chemin, la princesse dut traverser une montagne de verre. Mais pour cela, il lui fallait d’abord affronter un ogre. Elle lui dit : « Tu n’as pas le droit de toucher une princesse comme moi ! » Elle dévoila son identité, sans succès et désobéit à son frère. Elle continua son chemin et parvint à son but : un jardin ensorcelé, surnommé « les fleurs fanées », d’après une légende Elle y aperçut une sorcière laide apparemment très méchante. Elle se battit contre la sorcière, Pierre-de-feu, mais fut vaincue et tenue prisonnière. Un jour, un jeune garçon nommé David vint délivrer la princesse. Une nouvelle fois, elle dut se battre contre la sorcière. Cette fois-là, elle fut victorieuse. Elle délivra ses parents et repartit au Maroc avec eux et David, devenu son fiancé.

Ils se marièrent et vécurent heureux jusqu’à la fin de leurs jours.

Texte et illustrations de Mariam Abid

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L’ingénieux marin Il était une fois un marin qui partit à la conquête d’une île se nommant Line. Cette île n’avait jamais était trouvée mais le marin était sûr qu’elle existait. Le marin qui se prénommait Frankie avait une vieille carte qui datait de 1292. Il commença à la suivre mais elle indiquait qu’il fallait traversait une cascade. Sur la carte était inscrit : « Si on veut, on peut… » Frankie réfléchit mais ne trouva pas ce que cela voulait dire. Soudain, il eut une idée. Il pensa très fort qu’il pouvait voler et son vœu se réalisa. Il descendit la cascade en volant. Il fut émerveillé de voir que son bateau volait. Le bateau atterrit au pied d’une montagne. Il essaya de penser qu’il pouvait la traverser mais rien ne se passa. Il commença à croire que ce n’était qu’un rêve. Mais il regarda la carte et une phrase apparut : « Tu ne pourras utiliser que ton intelligence pour cette épreuve. » Il réfléchit à comment il fabriquerait le bateau et il trouva un ruisseau qui menait au sommet de la montagne. Il suivit le ruisseau mais quand il arriva au sommet, le ruisseau ne redescendait pas ! Il réfléchit et eut une idée. Il coupa avec la hache de son navire des troncs d’arbres et les posa près du bateau. Il prit le fil de son navire et attacha le navire à des palmiers. Il lâcha les palmiers et grâce à leur résistance, ils soulèvent le bateau. Il coupa les ficelles et le bateau roula jusqu’à la mer. La carte indiquait qu’il fallait se diriger vers le nord. Il navigua longtemps et trouva une île. Sur cette île se trouvait un trésor dans un coffre. Il l’ouvrit et y trouva une lettre qui disait : « Tu as réussi : le trésor que tu as remporté, c’est le bonheur de naviguer ainsi que la créativité dans ta vie » Frankie prit la lettre et retourna chez lui. Après cette aventure il décida de naviguer

Texte de Yan Motola