Les coûts cachés de l'informatique - O&O Software GmbH · Étude sur la réduction des coûts pour systèmes Windows Les coûts cachés de l'informatique Dipl.-Inform. Olaf Kehrer,

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Étude sur la réduction des coûts pour systèmes Windows

Les coûts cachés de l'informatique Dipl.-Inform. Olaf Kehrer, Informaticien diplômé O&O Software GmbH, Berlin – Février 2005

Les coûts jouent un rôle décisif dans la situation économique d'aujourd'hui. Si les dépenses dans le domaine de l'informatique ont été haussées au point d'en donner le vertige il y de cela quelques années à peine, ce même domaine constitue aujourd'hui un des favoris pour les inspecteurs et conseillers d'entreprises lors-

qu'il est question d'économiser de l'argent. Cependant, ce ne sont souvent que les coûts superficiels qui sont pris en considération, laissant un énorme potentiel d'économies derrière soi. Cette étude se penche sur le problème des coûts occasionnés par la fragmentation des données, révélant comment s'en tirer à peu de frais et comment éviter ces mêmes coûts à l'avenir.

Le mot magique des coûts de l'informatique est sans aucun doute TCO – "Total Cost of Ownership", que l'on traduit par "coût total de possession". On entend ici l'évaluation des coûts générés par l'utilisa-tion d'un micro-ordinateur, à l'intérieur du parc informatique d'une entreprise ou d'une organisation. Au fil des ans, on essaie de donner et de classer ces coûts le précisément possible. À commencer par l'achat de logiciels et de matériel informatique, suivi du personnel engagé pour la maintenance du maté-riel informatique ainsi que les coûts pour les mises à jour des logiciels, du vieillissement du matériel et finalement, de l'élimination des pièces usagées.

On peut ainsi constater que les coûts occasionnés par le fonctionnement du PC ont entre temps sur-passé de beaucoup les coûts d'achat et d'élimination du matériel. A elles seules, les heures que passe un spécialiste de l'informatique s'affairant à la réparation d'une application défectueuse peuvent atteindre des sommes astronomiques. À cela s'ajoutent les virus et

autres Malware1 causant eux aussi chaque année des coûts énormes dans les entreprises, s'ajoutant encore une fois à la facture de TCO.

Dans la présente étude, les coûts bien connus tels que les heures perdues, les jeux privés ou le temps passé à naviguer sur Internet ne seront pas considé-rés étant donné que nous mettrons l'emphase sur les coûts cachés et difficiles à cerner de la technologie de l'information.

La guerre entre les systèmes d'exploitation Depuis quelques années, les entreprises changent d'attitude face aux coûts occasionnés par l'informati-que. Ainsi, il n'y a pas que les coûts d'achat et d'ad-ministration qui soient au premier plan, mais de plus en plus le rapport coût/efficacité du logiciel même. En particulier dans le secteur des systèmes d'exploi-tation, il s'est développé depuis le gain de popularité de Linux une véritable compétition des TCO les plus

1 Programme ou partie de programme destiné à perturber, altérer ou détruire tout ou partie des éléments logiques indispensables au bon fonctionnement d'un système informatique. On distingue principalement quatre types de programmes malveillants : les virus informatiques, les vers, les chevaux de Troie et les bombes logiques. (Source: www.granddictionnaire.com)

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www.oo-software.com 1

http://www.granddictionnaire.com/btml/fra/r_motclef/index1024_1.asp

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avantageux. Des études publiées régulièrement déterminent en alternance Windows ou Linux en tant que vainqueur de la course aux coûts. Les coûts d'administrations y jouent également un rôle impor-tant, bien que ceux reliés à l'usage quotidien du système d'exploitation soient au premier plan. Si un employé accomplit ses tâches plus rapidement avec un des deux systèmes d'exploitation, ceci peut rapi-dement être le facteur déterminant d'une entreprise pour l'achat de ce dernier. Même les dépenses sup-plémentaires occasionnées par un changement peuvent dans certaines circonstances s'avérer éco-nomiques.

Les économies au travail et leur effet multiplicateur Cela va de soi que l'amélioration de l'efficacité des employés d'une entreprise entraîne des économies plus importantes que la réduction des dépenses administratives. En effet, les dépenses administrati-ves peuvent déjà être réduites au moyen de logiciels appropriés et ne s'appliquent seulement qu'à quel-ques employés – notamment au personnel informa-tique. La hausse de productivité de chaque employé a cependant un effet multiplicateur considérable. À court terme, cela résulte en un effet positif sur les coûts qui attire l’attention non seulement du côté des informaticiens, mais aussi du côté de la direction du domaine commercial d'une entreprise.

La fragmentation des données se produit dans tous les postes de travail. Il existe cependant d'autres coûts reliés à chaque poste de travail et qui entraînent un effet multiplica-teur, comme le font le système d'exploitation et autres logiciels utilisés. Ces coûts ne sont pourtant pas apparents. Ils sont cachés et se dissimulent la plupart du temps derrières les contingences techni-ques d'un système ou d'un logiciel. Au cours des paragraphes qui suivront, nous ferons la lumière sur un facteur déterminant de ces coûts cachés: la frag-mentation des fichiers sur le disque dur. Beaucoup connaissent ce phénomène et savent aussi comment

s’y prendre pour le contrer. Mais connaissez-vous aussi l'ampleur des coûts qu'entraîne la fragmenta-tion? Ils sont généralement beaucoup plus élevés qu’on le croit.

Un point intéressant et aussi crucial de la fragmenta-tion, est qu'elle se produit toujours et ce, immanqua-blement, dans tous les postes de travail. Peu importe le système d'exploitation utilisé, peu importe les logiciels utilisés. Elle fait partie du procédé de sauve-garde des données et demeure pour cette raison inévitable. Il existe cependant une solution appro-priée pour la contrer: la défragmentation au moyen d'un logiciel spécialement conçu à cet effet. Vous en apprendrez plus sur sa simplicité d'utilisation et son efficacité un peu plus loin dans la présente étude.

Le disque dur – Emplacement de sauvegarde de toutes les données Toutes données devant être sauvegardées en perma-nence doivent être déposées dans une mémoire secondaire. Il s'agit normalement des disques durs, de disquettes ou encore de CD-ROM. Depuis peu s'ajoutent à ceux-ci les USB-Sticks et diverses cartes de mémoire. Le disque dur demeure cependant le medium standard utilisé pour la sauvegarde des données. Le système d'exploitation ainsi que tous les programmes sont chargés à partir de celui-ci. Toutes les données y sont également sauvegardées. Que ce soit sur le poste de travail d'un ordinateur ou sur le serveur de fichier central d'une entreprise. Des données doivent constamment être lues et écrites.

Le disque dur compte de nos jours parmi les derniè-res composantes mécaniques d'un ordinateur, mis à part des lecteurs de CD-ROM et de DVD. Même si un ordinateur possède des processeurs rapides et des mémoires mobiles, sa vitesse sera toujours détermi-née par la vitesse du disque dur.

La capacité d'un disque dur atteint de nos jours environ 250 fois la capacité d'il y a 10 ans (voir illustration Illustration 1). La rapidité du traitement des données s'est aussi accrue énormément, néan-moins pas dans les mêmes proportions. La rapidité

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d'un disque dur est limitée de par sa mécanique et ainsi donc de par le facteur physique. Les facteurs déterminants sont ici le nombre de tours par minute et la vitesse d'accès nécessitée en moyenne pour la lecture et l'écriture des données.

Id

L'inévitable fragmentation L'ensemble des données est inscrit sur le disque dur en pistes concentriques. Chacune de ces pistes occupe un volume de mémoire déterminé, les fi-chiers de très grande taille devant être répartis sur plusieurs pistes. Afin de lire un tel fichier, il faut accéder à la première piste et enchaîner à la piste suivante. Cette dernière devrait normalement se trouve à proximité de la première, afin de minimali-ser le temps d'accès relatif en raison du reposition-nement de la tête de lecture.

Ce processus, qui semble être bien simple en théorie, s'avère être en pratique quasi impossible. Le système d'exploitation ne peut pas savoir d'avance où doivent être sauvegardés quels fichiers, combien et de quelle taille. Chaque fichier est considéré et sauvegardé en tant qu'unité. Le but principal visé par un système d'exploitation est la sauvegarde sécuritaire des don-nées effectuée le plus rapidement possible, afin d'éviter une perte de données en cas d'une panne de système. Ceci empêche forcément le positionnement optimal des fichiers. Mais que se passe-t-il lorsque la taille des fichiers est modifiée ou que l'on supprime ces derniers? Leur emplacement d'origine est alors libéré par le système d'exploitation et utilisé pour d'autres fichiers. C'est ainsi que se forment après un certain temps les soi-disant fichiers "fragmentés". Cela signifie que les données d'un fichier ne sont plus sauvegardées en tant qu'ensemble, étant à présent dispersées sur tout le disque dur (voir illus-tration Illustration 2).

Les conséquences qui en résultent sont évidentes: la lecture – et aussi l'écriture – d'un fichier fragmenté demande plus de temps, car la tête de lec-ture/d'écriture doit être repositionnée pour chacun des fragments de données. Ce procédé mécanique influence ainsi de beaucoup l'ensemble de la perfor-

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llustration 1: Développement de la performance d'un isque dur

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Source: E. Grochowski. R. D. Halem, "Impact of magnetic hard disk drives on storage systems", IBM Systems Journal, Vol. 42, No. 2, 2003

mance d'un système PC et cause de tout évidence des dommages.

Fragmentation de la mémoire libre Il n'y a pas que la fragmentation de fichiers qui signifie une perte de performance. La fragmentation de la mémoire peut elle aussi mener à une diminu-tion considérable de la vitesse du système. Cette forme de fragmentation est causée par la suppression de fichiers, laissant des espaces libres entre les fi-chiers.

Le système d'exploitation remplit ces espaces avec de nouveaux fichiers. Encore une fois: le système d'exploitation n'optimise pas l'emplacement de ces fichiers, même que de nouveaux fichiers créés sont dans certains cas immédiatement fragmentés. Ceci touche en particulier les fichiers de grande taille. Sur ce point, il n'y a pas que la défragmentation des fichiers qui doive être prise en considération lors de la défragmentation su système de fichiers, mais aussi l'assemblage des fichiers, afin de refermer les espaces qui se trouvent entre eux. On peut seulement ainsi s'épargner la fragmentation "Free Space", évitant du même coup une nouvelle fragmentation des fichiers. Cette dernière entraînerait une fois de plus la dégra-dation de la performance du système, réduisant considérablement les bénéfices de la défragmenta-tion.

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Illustration 2: Le sauvegarde des données sur le disque dur Les coûts dissimulés derrière la

fragmentation Maintenant que nous avons expliqué la structure des fondements techniques, nous allons maintenant procéder à l'illustration des coûts causés par la fragmentation à l'aide de calculs concrets.

Nous avons déjà mentionné que le disque dur repré-sente une composante mécanique d'un système d'ordinateur. Toutes les données y sont lues et écrites. Ceci s'effectue au moyen de la tête de lec-ture/écriture, qui se déplace très rapidement à une hauteur minimale au-dessus des disques. Chaque processus physique de lecture ou d'écriture se dé-roule en deux étapes:

1. Le positionnement de la tête du disque dur au dessus de l'emplacement correspondant sur le disque

2. suivit de la lecture ou de l'écriture des données

Le temps nécessaire mis pour la première étape est défini en tant que vitesse d'accès moyenne d'un disque dur. La vitesse moyenne d'accès des disques durs actuels se situe entre 9 et 15 millisecondes. On peut parler en moyenne d'environ 12 millisecondes. Le temps mis pour la deuxième étape (la lecture ou l'écriture des données suivie de leur transmission vers l'ordinateur) se nomme le taux de transmission des données. Celui-ci se situe entre 30 et 70 Mbites par seconde, ce qui veut dire que l'on peut estimer sa valeur moyenne à environ 50 Mbites par seconde.

La perte de temps causée par le prolongement du temps d'accès Afin de simplifier les choses, supposons que la lecture ou l'écriture des données proprement dites ne nécessite pas de temps, mais que seulement le posi-tionnement de la tête du disque dur entre en ligne de compte. Le calcul de la perte de vitesse se limite ainsi à la vitesse moyenne d'accès, s'appliquant à l'accès à un secteur du disque dur.

On en déduit qu'un fichier étant situé sur un espace continu du disque dur pourra être lu en dedans du

temps d'accès moyen. Si le même fichier était répartit sur deux emplacements, le double du temps d'accès serait nécessaire puisqu'il devrait être lu à partir de deux emplacements indépendants l'un de l'autre. Pour un fichier répartit à dix emplacements diffé-rents, le temps d'accès nécessité serait multiplié par dix. C'est donc dire que plus un fichier est segmenté,

Les fichiers ne sont pas sauvegardés un à la suite de l'autre., ce qui mène à une lecture plus lente, pouvant entraîner rapidement une nouvelle fragmentation, ralentissant ainsi le système.

Les fichiers sont sauvegardés un à la suite de l'autre. La rapidité d'accès s'en trouve considérablement augmentée et ceci prévient la fragmentation répétée des fichiers qui s'ajoutent.

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Illustration 3: Effets de la fragmentation sur un système Windows XP lors du démarrage

Lors du démarrage d'un système Windows XP, l'ordinateur exécute l'accès en lecture et en écriture de quelques 3900 fichiers, qui représentent une taille approximative de plus de 70 Mbites. Le graphique ci-contre démontre qu'un système fragmenté doit lire et écrire jusqu'à 5 fois plus de fragments de fichiers qu'un système défragmenté. Ceci ne ralentit pas seulement le démarrage, mais aussi les travaux effectués avec le système.

Source : propres expérimentations

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Fragments de fichiers

plus le nombre d'accès mis en oeuvre pour la lecture ou l'écriture est élevé.2

Observons maintenant le cas d'un système où un temps idéal nécessité pour le chargement de fichiers quelconques serait d'une seconde, ce dernier étant situé en un morceau à un emplacement continu du disque dur.

Il pourrait s'agir de fichiers de programmes de la famille de Microsoft Office (Word, Excel, Outlook et Access), mais aussi de fichiers normaux tels que des lettres, des documents, de tableaux de calcul ou encore des bases de données.

Si 100 de ces fichiers sont chargés en une journée, l'utilisateur devra attendre 100 secondes en tout pour l'exécution de processus de chargement. Supposons maintenant que ces données soient réparties sur le disque dur en deux morceaux et non en un. Ceci mènera au double du temps de chargement, laissant

2 S'il est permit de poser un commentaire sur ce passage: le temps d'accès ne se laisse certainement pas multiplier aussi simplement, puisqu'un emplacement, par exemple, qui se situerait près de l'emplacement original pourrait être atteint plus rapidement qu'un autre étant situé plus loin. Mais nous laissons de côté l'observation complexe de la physique du disque dur étant donné que nous nous basons toujours sur le temps d'accès moyen.

l'utilisateur attendre 200 secondes pour ces données, c'est à dire 100 secondes de plus qu'auparavant.

Cette perte de temps se multiplie de façon analogue pour les serveurs, puisque plusieurs données doivent chaque jour être lues et écrites, ce qui provoque pour ainsi dire un embouteillage.

Le temps de travail perdu hausse la facture Ces quelques deux minutes par jour ne semblent pas tellement dramatiques au premier abord. Mais si l'on prend par exemple une entreprise où 500 employés travaillent à l’ordinateur, ceci ferait un total de 50 000 secondes perdues par jour, ceci dû à la fragmen-tation des données. 13,8 heures par jour. Autrement dit: presque deux employés de plus sont nécessaires afin de combler cette perte de temps.

Selon le "Statistisches Bundesamt" (Office fédéral de la statistique en Allemagne), les frais de main-d'oeuvre moyens en 2000 s'élevaient à 27,96 Euro de l'heure dans l'activité industrielle.3.

Si l'on se base sur ces coûts, il en résulte d'une perte de 385,85 Euro par jour pour l'entreprise de l'exem-ple précédant. Pour une moyenne de 220 jours ouvrés, on en vient au montant de 84 887 Euro, soit

3 Statistisches Bundesamt, "Arbeitskosten 1992 bis 2000 Deutschland", 2000, http://www.destatis.de/

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http://www.destatis.de/



169,77 par poste de travail. Remarquons ici que c'est coûts n'apparaissent en aucun cas dans les factures de TCO et qu'il s'agit donc réellement de coûts cachés. Ceux-ci prennent dans notre exemple la forme des frais de personnel.

Réduction des coûts au moyen de O&O Defrag Il est cependant possible d'éviter ces coûts – au moyen d'une défragmentation à intervalles réguliers. O&O Defrag4 vous offre non seulement la défrag-mentation automatique et régulière mais également la possibilité d'exécuter la défragmentation en arrière-plan pendant le travail, sans pour autant déranger l'utilisateur. O&O Defrag s'occupe de tous les as-pects de la défragmentation de façon parfaitement autonome. De plus, il dispose d'une fonction inté-grée de consolidation de la mémoire libre grâce à laquelle la fragmentation Free Space est évitée.

Revenons une fois de plus à l'entreprise de l'exemple mentionné plus haut: une licence pour O&O Defrag pour 500 ordinateurs, incluant la gestion en réseau est disponible au coût de 6989,66 Euro5. Nous ajoutons à cela deux jours de travail de huit heures chacun, pour qu'un administrateur puisse tester et installer O&O Defrag sur tous les ordinateurs. Si l'on considère les coûts moyens de main-d'oeuvre par heure mentionnés précédemment, nous atteignons une somme additionnelle de 447,36 Euro, pour une somme totale de 7437,02 Euro. Répartis sur 500 postes de travail, cette somme représente des frais de 14,87 Euro par poste de travail.

Donc, si l'on met ces frais d'achats en relation avec les frais de 169,77 Euro par an pour chaque poste de 4 O&O Defrag pour serveurs et postes de travail est actuellement disponible. La Server Edition dispose d'une gestion centrale du réseau qui permet l'administration à distance. 5 Le montant de 6989,66 Euro comprend les licences de "O&O Defrag Professional pour 500 ordinateurs" (6755,00 Euro) et une licence "O&O Defrag Server Edition" (214,66 Euro). Tous les prix net plus taxe sur la valeur ajoutée.

travail causés par la fragmentation, les frais d'achat de O&O Software sont déjà couverts après 19,27 jours ouvrés des 220 jours ouvrés mentionnés précé-demment. En d'autres mots, l'entreprise économise par poste de travail plus de 150 Euro par an!

Les coûts de O&O Defrag sont couverts en l'espace de quelques semaines L'amortissement des coûts d'investissement pour O&O Defrag s'effectue en un mois seulement. Et nous ne tenons compte ici que des effets de la fragmentation normale et de l'élimination de cette dernière. À cela s'ajoute le temps gagné lors de la création d’un support de données et lors de la restau-ration de données, le ménagement de la mécanique du disque dur et le prolongement de la durée de vie des ordinateurs. Si ces avantages étaient compris dans le calcul, les frais de O&O Defrag seraient encore plus rapidement couverts.

Pourquoi Windows n'est-il d'aucune aide ?

Le système d'exploitation ne peut éviter la fragmentation Le système de fichiers même de Windows n'offre pas la possibilité d'éviter la fragmentation. Le système d'exploitation s'occupe uniquement de la lecture et de l'écriture des données et non de leur disposition optimale pour une accélération du temps d'accès. Pour ce faire, un logiciel de défragmentation est nécessaire. Ce logiciel doit être utilisé régulièrement, afin d'éliminer l'inévitable fragmentation.

Microsoft livre depuis Windows 2000 un logiciel de défragmentation intégré. Celui-ci est cependant en plusieurs points insuffisant face aux exigences quoti-diennes d'un système PC plus performant. Nous vous présenterons dans ce qui suit quelques-uns des problèmes les plus fréquemment rencontrés lors de l'utilisation quotidienne de ce logiciel intégré.

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Illustration 4: Coûts causés par la fragmentation

Des coûts moyens de 169,77 Euro par poste de travail par année mènent à une somme finale d'une valeur considérable. Le graphique ci-contre illustre ces coûts selon de nombre d'employés dans une entreprise. En utilisant régulièrement O&O Defrag, ces coûts peuvent être évités. En effet, l'achat du programme est amortit après quelques semaines seulement. L'axe des coûts a été construit en échelle logarithmique.

Coûts annuels

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Automatisation impossible La défragmentation de Windows peut être exécutée manuellement seulement. Il faut donc que l'utilisa-teur lui-même voie à ce que le défragmentation soit régulièrement exécutée. Une défragmentation non régulière mène d'une part au prolongement considé-rable du processus de défragmentation puisqu'il faut alors traiter plus de fichiers, et d'autre part, à une plus grande perte de performance entre deux proces-sus, affectant ainsi le résultat final. En effet, la frag-mentation peut se produire à chaque modification des fichiers et mène ainsi inévitablement à une perte de vitesse qui peut être évitée seulement par une défragmentation à intervalles réguliers.

Avec le planificateur de tâches intégré, O&O Defrag vous offre la possibilité d'automatiser la défragmen-tation pour toujours en un clic de souris. L'utilisateur peut lui-même décider s'il désire appliquer un horaire pour la défragmentation à intervalles réguliers. À moins qu'il ne préfère activer la fonction O&O AutoScheduling, qui mesure en arrière-plan de taux de fragmentation et lance une défragmentation lorsqu'un certain niveau est atteint. Ainsi, la perfor-mance du système demeure constamment à son plus haut niveau.

Un ordinateur trop chargé complique le travail simultané Pendant l'exécution du programme de défragmenta-tion de Windows, il est à peine possible de travailler tant la charge exercée sur le système est forte. L'or-dinateur est alors pratiquement inutilisable. Ainsi, le gain de vitesse atteint au moyen de la défragmenta-tion se trouve diminué par le temps où l'ordinateur n'est pas disponible, voir même dépassé.

O&O Defrag offre pour cette raison une fonction unique: la technologie O&O ActivityGuard Profes-sional, qui examine périodiquement le taux d'utilisa-tion des ressources du PC et adapte la consomma-tion en ressources de O&O Defrag V6.5 en consé-quence, afin que l'utilisateur puisse continuer à travailler sans gêne, même pendant une défragmenta-tion. Ceci facilite également la tâche à l'administra-teur de système, qui n'a pas à chercher d'horaire pour le lancement d'une défragmentation des postes de travail. En effet, il peut lancer celle-ci à tout moment, sans encourir le risque de gêner le travail des utilisa-teurs.

L'utilisateur doit posséder des droits d'administrateur pour l'exécution. La défragmentation de Windows doit être exécutée avec droits d'administrateur, ce qui signifie que l'utilisateur doit posséder les droits correspondants.

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Ceci lui donne le contrôle absolu de son ordinateur, ce qui représente un risque face à la sécurité de l'entreprise et qui est, par conséquent, impossible.

O&O Defrag offre plusieurs possibilités de contour-ner ce risque. L'exécution peut donc être interdite à l'utilisateur, afin que seulement l'administrateur puisse avoir le contrôle sur les paramètres. Il peut cependant donner aux utilisateurs accès à O&O Defrag, lorsque par exemple ces employés sont en voyage d'affaires avec un Notebook.

Administration à distance impossible L'absence de possibilité d'une gestion à distance avec la défragmentation de Windows est particulièrement problématique pour les administrateurs d'une entre-prise, puisque qu'il doit pratiquement s'occuper de défragmenter chacun des ordinateurs manuellement et ce, régulièrement. Cette administration qui tire presque de l'entraînement sportif demande beaucoup de temps, et par le fait même, de l'argent.

O&O Defrag dispose d'une console centrale de gestion, à l'aide de laquelle toutes les actions et options peuvent être exécutées. De l'installation automatique à la configuration, en passant par l'actualisation automatique du logiciel et des paramè-tres. Le concept particulier du site rend possible la division des ordinateurs en groupes, afin de pouvoir par exemple répartir les postes de travail et les serveurs. Ensuite, deux horaires différents de dé-fragmentation seront créés et appliqués automati-quement à leur groupe respectif. À partir de ce moment, aucune autre intervention n'est nécessaire.

Son intégration aux logiciels de gestion de système déjà existants tels que Microsoft SMS ou HP Open-View s'effectue sans problème. Grâce à sa conformi-té complète avec les standards Windows définis par Microsoft, il est possible d'exécuter automatique-ment les configurations correspondantes et même de créer des fichiers scripts. Les tâches d'administra-tion s'en trouvent réduites au minimum et font épargner temps et argent.

La défragmentation de Windows est insuffisante En général, la défragmentation de Windows est simplement un moyen rudimentaire qui s'applique peut-être à l'utilisateur occasionnel. Que ce soit au quotidien dans une entreprise ou pour un utilisateur au privé plus exigeant, cette solution presque insen-sée et les coûts reliés à la défragmentation manuelle sont disproportionnels comparativement à l'emploi d'un logiciel de défragmentation commercial dispo-sant des fonctions correspondantes et vous faisant épargner temps et argent.

Autres bienfaits de O&O Defrag Une multitude de problèmes sont causés par la fragmentation des données. Nous sommes déjà entrés dans les détails en ce qui concerne le pro-blème de la perte de temps causé par la lecture et l'écriture des données. Au cours de lignes qui sui-vent, nous nous pencherons sur quelques uns des problèmes pouvant s'ajouter à cause de la fragmenta-tion.

La mécanique du disque dur Souvent, nous entendons de nos clients que la défragmentation régulière des données a pour effet une usure plus rapide de la mécanique du disque. Ce qui entraînerait du coup une réduction de la durée de vie du disque dur. Ceci n'est cependant qu'une fausse rumeur, puisque des fichiers fragmentés ont un effet beaucoup plus néfaste sur la mécanique que des fichiers défragmentés. En voici un exemple:

Supposons que nous ayons un fichier qui doive être chargé à chaque démarrage de l'ordinateur. Nous démarrons l'ordinateur une fois par jour, en suppo-sant simplement que l'année contienne 220 jours ouvrés. Si ce fichier est réparti en 50 fragments sur le disque dur, la tête de lecture/écriture doit se reposi-tionner exactement 50 fois à chaque lecture. Ceci nous donne 11 000 mouvements de la tête de lec-ture/écriture répartis sur un an et pour ce fichier seulement.

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il ne s'agit pas là d'un problème de tous les jours, mais il peut avoir des conséquences fatales lorsqu'il survient.

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Illustration 5: Mouvements de la tête de lecture du disque dur

12000

éfragmentons enfin ce fichier. Pour ce faire, nous urons besoin de 50 mouvements pour la lecture du ichier et d'un mouvement pour l'écriture du fichier ragmenté, pour un total de 51 mouvements. À cela 'ajoutent les accès en lecture pour toute une année. uisque le fichier peut à présent être lu en un accès eulement, la tête devra se positionner une seule fois. eci nous donne donc 220 mouvements répartis ans une année.

ous avons donc au total 271 mouvements, défrag-entation inclue. Cela signifie une économie de 10

29 mouvements en comparaison avec le fichier ragmenté. Autrement dit, la tête du disque dur doit ffectuer environ 40 fois plus de mouvements en ne année avec le fichier fragmenté.

l apparaît donc très clairement que la mécanique du isque dur est en majeure partie mise à l'épreuve par fragmentation des fichiers. Elle mène à une usure lus rapide et possiblement au vieillissement préma-ré de la mécanique, contrairement aux systèmes

égulièrement défragmentés. Les coûts qui s'en uivent sont d'ailleurs considérables, si l'on pense par xemple aux coûts de remplacement des disques urs et au prix de la main-d'œuvre nécessaire à installation et à la mise en marche.

a restauration de données simplifiée n autre problème relié à la fragmentation du sys-me est celui de la restauration des données. Certes,

Mouvements

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2000

4000

6000

8000

10000

Défragmenté Fragmenté

Une panne du disque dur causée par un problème technique du matériel ou d'un logiciel peut entraîner la destruction de la table des matières du disque dur (il s'agit de la Master File Table pour les systèmes de fichier NTFS). Cette table des matières est en d'au-tres termes la clé pour accéder aux données. Si elle est perdue, on peut habituellement la récupérer à l'aide d'un logiciel spécialisé tel que O&O DiskReco-very. Ce dernier parcoure le disque dur en entier à la recherche de données supprimées et les restaure. Si ces données sont disposées de façon continue sur le disque dur– c'est-à-dire si elles sont défragmentées – la récupération des données s'effectuera simplement et rapidement. L'assemblage des données est cepen-dant relativement difficile, voire même impossible, lorsque les informations sur le système de fichiers ne sont plus disponibles.

Lorsque c'est le cas, un système défragmenté porte son fruit puisque la récupération des données s'effec-tue beaucoup plus facilement, plus rapidement et garantit plus de succès qu'un système de fichiers fragmenté.

Sauvegarde des données plus rapide La sauvegarde des données compte parmi les tâches administratives les plus importantes. Normalement, on effectue la sauvegarde des données une fois par jour afin d'y avoir accès dans leur version la plus actuelle s'il advenait une panne du système. La sauvegarde des données est le plus souvent exécutée sur les serveurs pendant la nuit et ceci, pour plusieurs raisons. D'une part, pour ne pas gêner le travail des utilisateurs, puisque le processus de sauvegarde implique un achalandage des serveurs en raison des multiples accès au disque dur. D'autre part, les données doivent subir le moins de modifications possible pendant le processus afin de garantir un résultat plus consistant. L'idéal serait également qu'aucune application pouvant modifier automati-quement les données ne soit active pendant ce

100100110010011110010000001101001011100110010000001100011011011110110111000010000100000000010011110010011001001111001000000110100101110011001000011011011110110111101101100001000010000000001001111001001100100111100100

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temps, afin de laisser à l'administrateur une certaine fenêtre de lancement pour l'exécution de cette tâche.

Avec la saturation des réseaux d'aujourd'hui, la sauvegarde consistante et complète des données est devenue une des tâches les plus difficiles pour les administrateurs. De plus en plus de données sont déposées, modifiées ou encore supprimées du ser-veur par les utilisateurs. Ces constantes modifications mènent à un haut taux de fragmentation des fichiers, qui en retour mène à une perte considérable de vitesse pour la lecture et l'écriture des données. Et la sauvegarde des données consiste précisément en la lecture de toutes les données.

Chaque administrateur est reconnaissant lorsqu'il peut raccourcir le temps mis pour la sauvegarde des données. Beaucoup pour ce faire font usage d'un logiciel qui n'offre qu'un certain contingent à l'utilisa-teur pour la sauvegarde des données. Ceci limiterait ainsi le volume de sauvegarde.

Bien peu pensent alors à la défragmentation de leurs données, qui aurait un effet bénéfique sur la rapidité de la sauvegarde. On peut alors gagner du temps, sans intervention dans le système ou dans le roule-ment quotidien.

Accélération des autres applications En plus de la sauvegarde des données, d'autres applications peuvent également bénéficier d'une hausse considérable de rapidité grâce à la défragmen-tation régulière des données. Parmi celles-ci les applications impliquant beaucoup de fichiers. Ce sont par exemple les programmes anti-virus, les processus de recherche et d'indexation, mais aussi le chargement d'applications qui se compose de beau-coup de fichiers individuels.

En bref De façon générale, il n'est pas facile de mettre le doigt sur les coûts cachés de l’informatique. Il existe un grand nombre de cachettes, particulièrement dans le monde complexe de l'informatique. À titre d'exemple, nous avons pu démontrer combien

d'argent on dépense chaque année sans le remarquer, chaque jour même, à cause de la fragmentation des données. O&O Defrag offre pour ceci une solution bon marché et rapide, évitant ainsi des dépenses trop élevées en un minimum de temps et d'argent. Mais tous les coûts cachés ne sont malheureusement pas aussi faciles à démasquer et à enrayer. Pour cette raison, chaque entreprise devrait faire usage d'une solution de défragmentation automatique et sans dérangement pour le travail quotidien, sans quoi elle jette son argent par les fenêtres. O&O Defrag en vaut la peine et ce, dès le premier ordinateur!

____ À propos de l'auteur

L'informaticien diplômé Olaf Kehrer est gérant de l'entre-prise berlinoise O&O Software GmbH. Il est entre autres responsable du développement de nouvelles technologies et de nouveaux produits.

À propos de la O&O Software GmbH

Depuis 1997, l'entreprise O&O Software développe des outils standard pour Windows, qui sont maintenant pré-sents et utilisés dans plus de 50 pays. On compte parmi nos clients les utilisateurs au privé, les PME, les établisse-ments publics ainsi que les entreprises commerciales globales. La gamme de nos produits inclut des applications d'optimisation d'exécution, de restauration de données et de suppression de fichiers en toute sécurité. Nos produits ont été désignés dans de nombreux tests comme étant technologiquement prédominants.

Vous trouverez de plus amples informations sur notre page Web ou en nous contactant directement :

O&O Software GmbH Am Borsigturm 48, 13507 Berlin, Allemagne Internet: http://www.oo-software.com/fr E-mail: [email protected] Téléphone: +49 (0)30 4303 43-00 Fax: +49 (0)30 4303 43-99

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Supplément: Le potentiel d’économies réalisables avec la défragmentation en réseau de O&O Defrag L’exécution manuelle de la défragmentation est peu pratique, autant pour les utilisateurs que pour les administrateurs et entraîne des coûts, puisque la défragmentation doit être gérée localement. La Server Edition de O&O Defrag offre de son côté la possibilité aisée d’administrer le réseau complet d’une entreprise tout en économisant temps et argent. La baisse des TCO (Total Cost of Owners-hip) se calcule ici indépendamment du nombre d’ordinateurs puisque les coûts d’administration produits ne sont pas proportionnels au nombre de systèmes. À cause du manque de personnel informa-tique, la maintenance des systèmes est bien souvent négligée. Ceci mène à la perte de performance des systèmes des utilisateurs, entraînant ainsi des pertes côté efficacité et productivité.

Le logiciel de défragmentation en réseau offre, en plus d’un outil de gestion flexible et sophistiqué ainsi que la planification des jobs, un outil permettant l’installation du logiciel ainsi que le contrôle des systèmes à travers le réseau. Les entreprises arrivent ainsi à faire diminuer les TCO, étant donné que les administrateurs de système contrôlent le réseau à partir d’une console centrale.

Les TCO (Total Cost of Ownership) peuvent être diminués radicalement au moyen de la défragmentation en réseau.

L’exemple qui suit compare les coûts d’administration d’une défragmentation manuelle avec ceux d’une défragmentation gérée en réseau. Supposons que la défragmentation manuelle d’un poste de travail ou d’un serveur, (incluant toutes les tâches administratives, la planification et les dépla-cements du personnel informatique) coûte au moins une heure de main-d’œuvre. De plus, la défragmenta-tion manuelle n’est exécutée qu’une fois par mois. On calcule des coûts de base pour le personnel informatique et autres d’un montant de 27,96 Euro

par heure, ce qui nous donne pour résultats les chiffres suivants :

Taille de l’entreprise Totalité des coûts de la défragmentation manuelle

100 postes de travail 2.796,00 Euro par mois



En introduisant un logiciel de défragmentation dans le réseau, on réalise alors des économies considéra-bles en ce qui concerne les coûts dus au personnel informatique. Les procédés peuvent être en tout temps contrôlés et complètement automatisés, permettant ainsi la maintenance optimale des systè-mes à des coûts administratifs minimaux. Ainsi, les postes de travail ne sont plus bloqués à cause de la défragmentation manuelle et de l’administration, évitant du coup les interruptions de travail.

Les dépenses reliées à l’administration d’une défragmentation en réseau sont indépendantes de la taille

de l’entreprise, voire négligeables.

O&O Defrag ne doit être configuré qu’une seule fois et les jobs n’ont à être définis qu’une seule fois. Grâce à la défragmentation en arrière-plan, les utilisateurs des postes de travail n’ont pas à inter-rompre leur travail puisque la défragmentation ne se fait pas sur place manuellement, mais en arrière-plan. Si on évalue pour l’administration d’une défragmen-tation en réseau 5 heures de travail par mois, on obtient les chiffres suivants :

Taille

de l’entreprise

Totalité des coûts de la dé-fragmentation automatique

100 postes de travail 139,80 Euro par mois



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Indépendamment de la taille de l’entreprise, les coûts informatiques et avec cela les TCO subissent une baisse considérable. Ces chiffres nous démontrent qu’il serait déraisonnable du point de vue du coût total de possession (TCO), de ne pas utiliser de défragmentation en réseau.

Pour une durée de vie prolongée des ordinateurs La plupart des entreprises ont reconnu la fragmenta-tion des fichiers comme étant un problème. Cepen-dant, bien peu sont informés des impacts de la fragmentation sur les coûts dus au remplacement du matériel, les coûts de l’informatique et les impacts sur le chiffre d’affaire de leur entreprise.

La fragmentation sous Windows NT/2000/XP peut mener à d’importantes pertes de performance des systèmes. Le remplacement prématuré ou inutile du matériel à plus

grande capacité en est une des conséquences.

L’amoindrissement des performances des systèmes causé par la fragmentation des fichiers peut mener au remplacement du matériel qui peut être évité. Au moyen de simples stratégies d’optimisation, les ressources existantes peuvent être utilisées de façon nettement plus efficace, dépendamment de leur degré de fragmentation. En outre, on ne remédie pas aux causes réelles des problèmes de performance puisque ces derniers reviennent à la charge même avec du nouveau matériel. Au lieu de réaliser de meilleures performances seulement au moyen de nouveau matériel, on peut utiliser le matériel déjà existant à son efficacité maximale dans tout le réseau en se munissant d’un logiciel de défragmentation. En raison des dommages importants relatifs à la perte de performance, les entreprises procèdent au remplacement bien souvent inutile ou prématuré du matériel informatique, alors que le même résultat pourrait être atteint en installant un programme de défragmentation tel que O&O Defrag.

Les coûts du remplacement des pièces se composent du prix des pièces même, en plus du temps mis par personnel informatique pour l’installation et du

temps d’arrêt de travail du système sur lequel on effectue le remplacement. Ces derniers doivent aussi être considérés dans le calcul des coûts.

Le prolongement de la durée de vie des systèmes optimisés au moyen de la défragmentation a une influence

importante sur la totalité des frais reliés au matériel informatique.

Supposons que l’achat d’un nouvel ordinateur soit d’une valeur de 1500 Euro, un ancien ordinateur ayant coûté la même somme. Supposons également que la durée de vie moyenne d’un système soit de 3 ans. Nous négligerons ici le matériel de l’ancien ordinateur qui pourrait être réutilisé pour simplifier l’exemple. Ajoutons à cela une année d’utilisation supplémentaire, due à l’efficacité des ressources matérielles obtenue au moyen d’une défragmentation à intervalles réguliers. Il nous faudrait également prendre en considération le temps mis par le person-nel informatique pour le démontage et le change-ment de système, que nous laisserons de côté encore une fois pour ne pas rendre l’exemple trop com-plexe.

Achat d’un ordinateur: 1.500,- Euro par système

Coûts reliés au matériel après 3 ans d’utilisation:

500,- Euro par système par année

Économies réalisées par le prolongement d’un an de la durée d’utilisation

500,- Euro par système par année

Une entreprise épargnerait ainsi 500 Euro par année, par poste de travail, seulement en reportant le rem-placement des pièces. Ces économies se répètent à chaque cycle de remplacement du matériel. A cela s’ajouteraient également les coûts de la main d’oeuvre informatique nécessaire au remplacement du matériel. Mais même en prenant pour base diffé-rents paramètres, les résultats mettraient encore en évidence les dimensions dans lesquelles se trouve le potentiel d’économies.

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Et pour finir, l’investissement que constitue O&O Defrag peut toujours être réutilisé après le rempla-cement du matériel.

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Documents

Les coûts cachés de l'informatique - O&O Software GmbH · Étude sur la réduction des coûts pour systèmes Windows Les coûts cachés de l'informatique Dipl.-Inform. Olaf Kehrer,