Lycées Vauvenargues 60 Boulevard Carnot - 13100 Aix en Provence Tel : 04 42 17 40 40 - Fax : 04 42 17 43 72 http://www.lyc-vauvenargues.ac-aix-marseille.fr/spip-lyc-lp/ proviseur.vauvenargues@gmail.com

L’accompagnement personnalisé

Les enseignements d’exploration

Les enjeux de l’orientation

Les conseils pour réussir

ENTRER EN SECONDE AU LYCÉE GÉNÉRAL ET TECHNOLOGIQUE

LES LYCÉES VAUVENARGUES, BÂTISSEURS D’AVENIR

S’ORIENTER

LA SECONDE GENERALE : UNE ETAPE IMPORTANTE L’objectif principal de la classe de Seconde générale consiste à poursuivre sa scolarité, en classe de 1ère générale, technologique, voire professionnelle. Les taux de passage en 1ère au lycée Vauvenargues sont excellents (autour de 94%), notamment en 1ère générale (littéraire, économique ou scientifique). Au cous de cette année , l’élève pourra explorer de manière active des domaines techniques et les méthodes d’innovation.

L’ORIENTATION : UN PROCESSUS LONG ET PROGRESSIF Le projet personnel de l’élève a commencé en collège, notamment en 3ème. Il se poursuit en Seconde, puis dans le cycle terminal, enfin dans l’enseignement supérieur. C’est pourquoi nous menons, à Vauvenargues , une ambition réaliste : la continuité « bac-3, bac + 3 ». L’élève découvrira les objectifs et les méthodes de travail propres aux sciences de l’ingénieur.

DES DISPOSITIFS EN PLACE POUR AIDER ET INFORMER Un accompagnement personnalisé, chaque semaine, organisé autour du projet de chaque élève Un stage d’une semaine en février, dans une entreprise et un secteur d’activité en lien direct avec ce projet. L’exploration de nouveaux champs de connaissances et de compétences pour conseiller et guider. Plusieurs rencontres avec des professionnels, pour échanger sur des métiers, dans toutes les branches.

L’ELEVE DE SECONDE EST ACTEUR DE SON CHOIX Dès le début de l’année, les objectifs sont fixés à chaque élève : se donner les moyens de réussir (connaissances et compétences) dans les disciplines du tronc commun. Tout au long de l’année, se forger un profil, croire en soi, faire vivre ses rêves …. pour les réaliser.

ETRE ACCOMPAGNE !

L’ ACCOMPAGNEMENT, UN ASPECT ESSENTIEL A LA REUSSITE

L’ ACCOMPAGNEMENT PERSONNALISE : UNE AUTRE RELATION A L’ENSEIGNANT - 2h par semaine, deux professeurs de français (pendant 1h) et deux professeurs de sciences (pendant 1h) se partagent une classe pour proposer des actions de soutien pour les élèves en difficulté mais aussi d’approfondis-sement pour ceux qui sont en situation de réussite. - 1h par semaine, le professeur principal aide chaque élève à s’adapter à la classe de Seconde, à s’organiser, à acquérir les bonnes méthodes de travail, à mener son projet d’orientation de façon réaliste. -Les élèves porteurs de troubles spécifiques des apprentissages sont pris en charge individuellement et systéma-tiquement et accompagnés par l’équipe pédagogique et éducative.

LES ENSEIGNEMENTS D’EXPLORATION : UNE AUTRE FACON D’APPRENDRE - 3h ou 4h par semaine, travailler en petits groupes, dans une démarche de découverte, à travers des supports innovants, selon des méthodes nouvelles. - Se préparer aux TPE de 1ère : les Travaux Personnels Encadrés, première épreuve du « bac ».

UN ESPRIT NOUVEAU DE RESPONSABILITE ET D’AUTONOMIE - Accepter d’être accompagné, mais aussi d’accompagner ses camarades, être « à côté d’eux » dans une esprit de solidarité et d’entraide. - Se fixer des objectifs, expérimenter, explorer, compter sur soi et avoir confiance en soi.

EXPLORER Qu’est-ce qu’un enseignement d’exploration (EDE) ?

Il s’agit d’un enseignement d’une durée annuelle de 54 heures. Il a pour objectif principal de :

- faire découvrir des champs nouveaux de connaissances et les méthodes associées; - informer sur les cursus possibles au cycle terminal du lycée comme dans l’enseignement supérieur

(ce que nous appelons le « bac-3, bac+3 »);

- identifier les activités professionnelles auxquelles ces cursus peuvent conduire.

- acquérir des compétences transversales que l’élève pourra réutiliser dans les disciplines du tronc commun

- acquérir des méthodes de travail différentes, souvent en petits groupes,

pour développer l’autonomie et préparer l’esprit « TPE » en 1ère

- Bref ….. apprendre différemment

L’EDE n’interfère pas dans la décision d’orientation mais influence la relation aux savoirs et aux savoir-faire

1. EDE n°1 : L’élève découvre obligatoirement l’univers des sciences économiques et sociales

2. EDE n°2 : Il doit ensuite choisir un second enseignement d’exploration différent du premier

Souvent, ces EDE sont enseignés à raison de deux heures par semaine, afin de laisser des plages libres aux élèves et favoriser ainsi leur autonomie et leur responsabilité dans l’accès aux savoirs et à la culture

L’EDE n°2 : un choix parmi 11 propositions

ICN (Informatique et Création Numérique), SI (sciences de l’ingénieur), CIT (création et innovation technologique), MPS (méthodes et pratiques scientifiques),

SL (sciences de laboratoire), LS (littérature et société), Patrimoine, Arts du son, Italien LV3, Latin, + le couplage SI/CIT.

Un choix supplémentaire en sciences et technologie Afin de valoriser les voies technologiques et scientifiques, l’élève peut,

en plus de l’enseignement d’exploration d’économie, coupler deux EDE : - Sciences de l’Ingénieur (SI) + Création et Innovation Technologiques (CIT)

Cette combinaison s’adresse :

- à des élèves qui se passionnent pour les technologies et envisagent des études en BTS ou DUT. - d’excellents élèves qui souhaitent une poursuite d’études dans les grandes écoles d’ingénieurs et envisa-

gent, après le baccalauréat, une classe préparatoire à ces grandes écoles (CPGE) accessible au lycée Vau-venargues. Ce couple d’EDE est unique à Aix . Il est désectorisé, et accessible sur dossier pour les élèves

résidant hors secteur de recrutement du lycée Vauvenargues. Pour ceux qui le souhaitent, il est associé à une section « euro-allemand » ,

LV1 et LV2, qui se poursuit en 1ère et Terminale S, option SI.

Attention ! En entrant en seconde, certains élèves ont des préférences, d’autres des aptitudes bien marquées ; d’au-tres enfin sont encore hésitants quant à leur orientation future. Grâce aux enseignements d’exploration, ils ont dorénavant le loisir d’expérimenter plusieurs possibilités avant de faire un choix. Ce choix pourra d’ail-leurs être encore corrigé, pendant le cycle terminal. Le lycée Vauvenargues propose en effet plusieurs dis-positifs pour assouplir les parcours scolaires, et permettre ainsi au plus grand nombre d’élèves de réussir.

LA SECTION EUROPEENNE ALLEMAND LV1 OU LV2 Cette section européenne est réservée aux élèves qui se destinent à un baccalauréat scientifique

avec l’option sciences de l’ingénieur. Elle est conçue sur le même modèle que la section européenne - anglais (voir plus haut).

A l’entrée en seconde, les élèves ont le choix entre plusieurs EDE n°2 dont :

SI ou CIT ou ICN ou SI + CIT (voir page 3 « explorer »)

Les élèves qui ont choisi l’un ou les deux EDE précédents, et qui ont un bon niveau de langue en allemand peuvent demander à suivre l’ « euro allemand » en Seconde,

pour la continuer en 1ère S SI ou STI2D puis en Terminale S SI ou STI2D et se diriger ensuite vers les études supérieures d’ingénieur ou de technicien supérieur.

Un enseignement linguistique renforcé - une heure supplémentaire d’allemand

-une heure de sciences de l’ingénieur dispensée en allemand

Un parcours original et valorisant Après trois années de classe « européenne », une épreuve spécifique permet d’obtenir un baccalauréat « mention européenne ». Cette mention donne accès aux études supérieures dans les pays germano-

phones et aux nombreux cursus doubles proposés par les universités franco-allemandes.

Un atout professionnel indiscutable Chez Siemens, 15% des 200 postes offerts par an s'adressent à des candidats germanistes. Ce pourcenta-

ge atteint 60% chez Bosch France. Première cible des entreprises : les ingénieurs. L’allemand devient un atout maître pour les jeunes diplômés.

MODULE EUROPEEN DE CULTURE ET DE CIVILISATION

EN ANGLAIS APPROFONDI Ce module est une option destinée à tous les élèves qui entrent en Seconde,

quel que soit leur enseignement d’exploration. Les élèves admis au « Module Européen » bénéficient de 2h d’anglais supplémentaires :

Un enseignement approfondi -Perfectionnement de l’oral et de l’écrit

- Préparation du TOEIC et du TOEFL - Préparation du Cambridge First Exam

Un parcours valorisant -Découverte de la civilisation anglo-saxone (Royaume-Uni & Etats-Unis)

-Reportages et enquêtes sur le terrain

Les inscriptions au Module Européen se font le jour de l’inscription de l’élève au lycée. Le niveau B1 est recommandé. Un test de sélection, organisé dans les jours suivant les inscriptions,

déterminera en fonction des résultats l’admission des élèves.

SECTION EUROPEENNE ANGLAIS :

Une demande d’ouverture à la rentrée 2016 d’une section européenne Anglais a été déposée au Rectorat qui rendra sa décision fin mars.

CONSEILS POUR REUSSIR SON ANNEE DE SECONDE

RÈGLE D’OR DE L’APPRENTISSAGE

EN SECONDE

- On apprend les leçons.

-On évoque le cours et on refait les exercices.

Si ces opérations sont réussies, alors on peut dire "j'ai compris".

En seconde comme au collège, le travail en classe conserve un rôle essentiel. Il convient de maintenir son attention pendant toute la durée du cours et de participer en posant le plus de questions possible. Si une chose semble obs-cure à l'un, elle ne manque pas d'être floue pour les d'autres. Il ne faut jamais hésiter à demander des éclaircissements. Cependant au lycée, les méthodes de travail personnel, plus généralement appelé travail à la maison, vont jouer un rôle accru dans la réussite scolaire. En seconde, dans chaque discipline et pour chaque leçon, le rythme de travail et la quantité de connaissances à assimiler augmentent. Cela impose une nouvelle rigueur dans les études. Pour s'as-surer une véritable compréhension et gagner en efficacité dans les applications, les connaissances doivent être dis-ponibles en mémoire, les démarches et les procédures à mettre en œuvre doivent devenir des automatismes. Un nouvel « art de vivre » s’impose.

RECOMMANDATIONS ASSOCIÉES À LA RÈGLE - Apprendre son cours est l’activité prioritaire.

Cela doit être planifié dans le temps de travail, chaque soir.

- Refaire les exercices traités en classe. En cas d'échec, consulter la correction, puis recommencer. Selon le degré de difficulté, refaire la même chose avec l'aide d'un livre d'exercices corrigés. S’assurer que l’on comprend en s’interrogeant et en interrogeant les autres.

-On ne commence un devoir qu’après ces deux premières phases.

Pour un devoir à la maison, on démarre la recherche seul mais le travail de groupe ou en binôme permet de confronter les idées.

Le processus enclenché s’autoalimente ; l’acquisition des savoirs et savoir-faire semble devenir naturelle.

Cette règle peut surprendre, en effet les élèves s'exclament souvent : "je n'ai rien à faire ; j'ai tout compris." Comprendre avant d’apprendre, ou encore « apprendre sur le tas » en appliquant

avant d’étudier... sont de dangereuses illusions.

APPRENDRE LE COURS Un cours ne s’apprend pas en lisant et relisant le cahier. Apprendre un cours se fait avec l’écrit : il faut

donc se munir de papier de brouillon, de crayons et de stylos, si possible de plusieurs couleurs.

A. Le soir même du cours (pour profiter de la mémoire immédiate et la réactiver) :

Parcourir la totalité de la partie de cours à apprendre. Noter le titre et le plan de la leçon au brouillon, préciser le but du titre et de chaque chapitre.

Ce premier passage est aussi l’occasion de soigner ou de corriger la présentation du cours : corriger l'or-thographe, souligner, surligner, encadrer...

Reprendre chaque partie en détail. Noter tous les éléments importants : notions, définitions, mots de vocabulaire, théorèmes, formules, da-

tes… S’efforcer aussi de dire à voix haute tous les mots, même ceux qui ont une écriture symbolique.

Reprendre une troisième fois en s’interrogeant sur le « pourquoi ? » Pourquoi introduit-on cela ? Pourquoi et comment utilise-t-on telle ou telle connaissance ? Si on n’a pas toutes les clés, on note les questions pour les poser à d’autres (élèves ou profs)

On essaie de reproduire les principaux raisonnements.

B. La veille du cours suivant (pour vérifier l’apprentissage et optimiser le suivi du cours) : Reprendre une feuille de brouillon, et, sans ouvrir son cours dans un premier temps,

essayer de redonner le contenu des étapes 1 et 2 du point A (titre, plan, éléments importants). Comparer avec le cours et reprendre autant que nécessaire... On sait la leçon si l'on peut la répéter sans aide et si l’on se sent prêt

à réutiliser les connaissances acquises.

« Je puis vouloir une éclipse, ou simplement un beau soleil qui sèche le grain, au lieu de cette tempête grondeuse et pleureuse ; je puis, à force de vouloir, espérer et croire enfin que les choses iront comme je veux ; mais elles vont leur train. D'où je vois bien que ma prière est d'un nigaud. Mais quand il s'agit de mes frères les hommes, ou de mes sœurs les femmes, tout change. Ce que je crois finit souvent par être vrai. Si je me crois haï, je serai haï ; […]. Si je crois que l'enfant que j'instruis est incapable d'apprendre, cette croyance écrite dans mes regards et dans mes discours le rendra stupide ; au contraire, ma confiance et mon attente sont comme un soleil qui mûrira les fleurs et les fruits du petit bonhomme. Il faut croire. Le peuple, méprisé, est bientôt méprisable ; estimez-le, il s'élèvera. La défiance a fait plus d'un voleur ; une demi-confiance est comme une injure ; mais si je savais la donner toute, qui donc me tromperait ? Il faut donner d'abord. » Alain

Le tutorat Chaque élève peut bénéficier de l'aide d'un adulte référent.

L’éducation nationale est engagée depuis bientôt 50 ans dans une évolu-tion en profondeur destinée à répondre aux défis de notre temps : élever le niveau de formation et de qualification de l’ensemble de la population, former des citoyens responsables, assurer l’épanouissement de la per-sonnalité de chacun.

Notre République a déjà fourni un effort considérable et les enseignants ont consacré une grande énergie pour transformer leur métier. Toutefois, des années 60 à aujourd’hui, la principale réussite aura résidé dans notre capacité à assurer l’accès de la presque totalité d’une classe d’âge à l’enseignement secondaire. Mais il existe une grande différence entre savoir accueillir et savoir faire réussir. Or, et c’est là le défi historique à relever, l’écrasante responsabilité institutionnelle qui nous incombe, il s’agit maintenant de faire réussir tous nos élèves. Pour les plus déshéri-tés, les plus défavorisés culturellement, ceux à qui l’ignorance ne pèse pas ou ceux qui n’ont, au départ, ni méthode, ni volonté, cela représente, sans nul doute, une tâche complexe.

Toutes les études montrent que c’est en changeant de méthode que nous parvenons parfois à atteindre cet objectif. Nous sommes aujourd’hui invités à l’innovation permanente, à l’expérimentation. Nous sortons de l’époque de la reproduction de modèles pour entrer dans un monde où, avec une plus grande autonomie, chacun de nous est appelé à prendre des risques, à se risquer à une véritable liberté pédagogique dans un cadre cohérent et concerté.

Notre établissement est résolument engagé dans cette voie. Nos équipes ne comptent ni leur temps ni leur peine pour garantir la personnalisation de leur enseignement, développer une pédagogie de projets, mutualiser leurs expériences et leur savoir-faire, se former et assurer par une aide individualisée des parcours réussis à leurs élèves.

Notre métier est l’un des plus beaux du monde. Il n’y en a que trois autres de comparables. Celui du médecin qui guérit les plaies de l’âme et du corps, celui de l’avocat grâce auquel justice est rendue à l’homme injuste-ment accusé et en qui le criminel trouve un ultime défenseur, celui de l’artiste qui éveille les esprits à la beauté et à la contemplation. Le profes-seur est un réducteur d’ignorance. Lui aussi, soigne, défend, éveille… Son engagement, celui d’une vie entière, prend tout son sens d’être confronté à la passion du non savoir qui habite les hommes et les femmes depuis toujours, pas moins aujourd’hui qu’hier, ni plus d’ailleurs.

Montaigne s’écriait : « combien ai-je vu de mon temps d’hommes abêtis par téméraire avidité de sciences », et nous alertait : « est-ce une manière pour éveiller l’appétit envers leurs leçons, à ces tendres âmes et crainti-ves, de les y guider d’une trogne effroyable, les mains armées de fouets ». Les fouets d’aujourd’hui ne sont plus de cuir et de bois, ils s’ap-pellent fatalisme, relativisme, défiance, peur, immobilisme, déterminis-me…L’enseignant est celui qui découvre chez l’autre le germe enfoui qui lui permettra de s’élever. C’est de cela qu’il s’agit, dans notre travail : élever, faire progresser, faire pousser ? Nous attendons de nos élèves une adhésion au projet destiné à les changer mais sans doute, n’iront-ils vers l’inconnu qu’accompagnés de notre propre enthousiasme, de notre capacité à les étonner et ainsi, par notre action, à les encourager à pren-dre un jour le risque de penser par eux-mêmes.

Les Langues vivantes Des mesures pour améliorer le niveau des élèves :

- Organiser l'enseignement par groupes de compétences, - Moduler l'enseignement en vue de périodes intensives ; - Nouer des partenariats avec des lycées étrangers ; - Elargir le champ des enseignements en langue étrangè-re, en enseignant une discipline non linguistique en lan-gue vivante, notamment en série littéraire ; - Favoriser la pratique de la langue, à l'aide du multimédia et d'outils nomades numériques.

La Culture Pour favoriser l'accès de tous les lycéens à la culture, l'édu-cation artistique et culturelle s'organise autour de plusieurs axes :

- La généralisation des partenariats ; - L'accès au patrimoine cinématographique par le biais de

séances de projection ; - Le renforcement de la pratique artistique, avec le déve-

loppement d'ateliers, une chorale de grande qualité ; - La création d’un « espace des arts », accessible à tous.

Notre projet d'établissement comporte un volet culturel, intégrant l'enseignement de l'histoire des arts; la musique, les arts plastiques, et l'ensemble des projets artistiques et culturels. L'utilisation des moyens multi media, au service de la découverte culturelle, est encouragée.

La Maison des lycéens, créée en 2014 Le rôle de la Maison des lycéens (MDL) est élargi. Placée sous la responsabilité des élèves, elle devient un levier déterminant du « vivre ensemble », un outil essentiel du développement de la vie culturelle au sein du lycée. Elle rassemble les élèves qui souhaitent s'engager dans des actions citoyennes et initier des projets dans les domaines artistique, sportif, citoyen et humanitaire. L'abaissement de 18 à 16 ans de l'âge pour prendre des responsabilités associatives encourage nos lycéens à s'investir dans leur établissement.

« La patience est l’art d’espérer » Luc de Clapiers, Marquis de Vauvenargues, 1715 - 1747

UN CADRE POUR REUSSIR