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Utrillo à Barbizon ? - Communiqué de Presse N°1- Avant-projet Page 1 sur 1 UTRILLO- Communiqué de presse1.docxUTRILLO- Communiqué de presse1.docx Les peintres de Montmartre trouvent refuge à Barbizon… un espace MAURICE UTRILLO dans le « village des peintres » ? les peintres du XXe siècle de «l’Ecole de Paris» Suzanne Valadon, Maurice Utrillo, André Utter, et leurs amis : Mogdiliani, Max Jacob, Erik Satie… vont être célébrés désormais dans ce village de Barbizon où est né l’impressionisme. LASSOCIATION MAURICE UTRILLO a été créée en Novembre 1963, par l’épouse de l’artiste, Madame Lucie Utrillo-Valore et Monsieur Jean Fabris. L’Association gère un important centre de documentation sur Maurice Utrillo, Suzanne Valadon, André Utter et Lucie Valore (correspondances, photographies, catalogues d’expositions et de ventes ...) et une bibliothèque de plus de 3000 ouvrages d’Histoire de l’Art. Son but est également de promouvoir et de faire respecter l’œuvre de ces artistes. Organisatrice d’expositions internationales, l’association recherche des tableaux de Maurice Utrillo et Suzanne Valadon et tous tableaux de l’Ecole de Paris ou autres.En 2009, elle organise à la Pinacothèque de Paris une exposition conscacrée à Maurice Utrillo et Suzanne Valadon. En 2010, est inauguré par Jean Fabris l’espace Utrillo, comprenant une quinzaine de tableaux, 15 000 photographies et de nombreux documents. En 2015, deux œuvres du Musée Utrillo-Valadon sont envoyées au Japon pour une exposition qui réunit plus de 80 peintures. Maurice Utrillo est un peintre bien-aimé en terre nippone : aujourd'hui, de nombreux cafés portent son nom… L'espace Utrillo va s'installer dès cet Eté à Barbizon, avec son fond documentaire, ses expertises et ses archives. Dans le célèbre "village des peintres". l'association va pouvoir organiser des manifestations internationales prestigieuses. Un nouvel atout pour le rayonnement touristique et artistique du Sud-Seine et Marne… Maurice Utrillo et Suzanne Valadon Né à Paris dans le quartier de Montmartre de père inconnu, Maurice Utrillo (1883-1955) est le fils de Suzanne Valadon (1865-1938), modèle et artiste peintre. Il vit avec sa mère et sa grand-mère à Montmartre ou dans le nord de Paris. Encouragé à peindre pour trouver un dérivatif à un alcoolisme précoce, il continue par plaisir et partage l’atelier de sa mère au 12, rue Cortot à Montmartre. Il vend sa pre- mière œuvre en 1905 et expose au prestigieux Salon d’Automne en 1909. Son art l’aide à sur- monter un quotidien douloureux, scandé d’internements et de cures de désintoxication. Le quartier Montmartre fournit à Utrillo le sujet de centaines de tableaux. Il peint à plusieurs reprises une rue ou un monument qui l’inspire, comme l’Eglise de Clignancourt. Des architectures aus- tères alternent avec de petites silhouettes ani- mées. L’apogée de sa carrière de 1912 à 1914, sa fa- meuse «période blanche», se caractérise par les empâtements blancs, écrasés au couteau, où est parfois mélangé du plâtre qui se fabriquait alors sur la butte Montmartre. Le marchand Paul Guillaume (1891-1934) dé- couvre la peinture d’Utrillo dès les années 1910 grâce au poète Max Jacob (1876-1944) qui habite également Montmartre. Paul Guillaume organise finalement en 1922 une exposition de trente-cinq de ses œuvres qui apporte le succès à Utrillo. Le peintre est lancé et ses œuvres se vendent beau- coup plus cher. C’est la période dite «colorée» du travail du peintre.

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Les peintres de Montmartre trouvent refuge à Barbizon…

un espace MAURICE UTRILLO dans le « village des peintres » ? les peintres du XXe siècle de «l’Ecole de Paris» Suzanne Valadon, Maurice Utrillo, André Utter, et leurs amis : Mogdiliani, Max Jacob, Erik Satie… vont être célébrés désormais dans ce village de Barbizon où est né l’impressionisme. L’ASSOCIATION MAURICE UTRILLO a été créée en Novembre 1963, par l’épouse de l’artiste, Madame Lucie Utrillo-Valore et Monsieur Jean Fabris. L’Association gère un important centre de documentation sur Maurice Utrillo, Suzanne Valadon, André Utter et Lucie Valore (correspondances, photographies, catalogues d’expositions et de ventes ...) et une bibliothèque de plus de 3000 ouvrages d’Histoire de l’Art. Son but est également de promouvoir et de faire respecter l’œuvre de ces artistes. Organisatrice d’expositions internationales, l’association recherche des tableaux de Maurice Utrillo et Suzanne Valadon et tous tableaux de l’Ecole de Paris ou autres.En 2009, elle organise à la Pinacothèque de Paris une exposition conscacrée à Maurice Utrillo et Suzanne Valadon. En 2010, est inauguré par Jean Fabris l’espace Utrillo, comprenant une quinzaine de tableaux, 15 000 photographies et de nombreux documents. En 2015, deux œuvres du Musée Utrillo-Valadon sont envoyées au Japon pour une exposition qui réunit plus de 80 peintures. Maurice Utrillo est un peintre bien-aimé en terre nippone : aujourd'hui, de nombreux cafés portent son nom…

L'espace Utrillo va s'installer dès cet Eté à Barbizon, avec son fond documentaire, ses expertises et ses archives. Dans le célèbre "village des peintres". l'association va pouvoir organiser des manifestations internationales prestigieuses. Un nouvel atout pour le rayonnement touristique et artistique du Sud-Seine et Marne…

Maurice Utrillo et Suzanne Valadon

Né à Paris dans le quartier de Montmartre de père inconnu, Maurice Utrillo (1883-1955) est le fils de Suzanne Valadon (1865-1938), modèle et artiste peintre. Il vit avec sa mère et sa grand-mère à Montmartre ou dans le nord de Paris. Encouragé à peindre pour trouver un dérivatif à un alcoolisme précoce, il continue par plaisir et partage l’atelier de sa mère au 12, rue Cortot à Montmartre. Il vend sa pre-mière œuvre en 1905 et expose au prestigieux Salon d’Automne en 1909. Son art l’aide à sur-monter un quotidien douloureux, scandé d’internements et de cures de désintoxication. Le quartier Montmartre fournit à Utrillo le sujet de centaines de tableaux. Il peint à plusieurs reprises une rue ou un monument qui l’inspire, comme l’Eglise de Clignancourt. Des architectures aus-tères alternent avec de petites silhouettes ani-mées. L’apogée de sa carrière de 1912 à 1914, sa fa-meuse «période blanche», se caractérise par les empâtements blancs, écrasés au couteau, où est parfois mélangé du plâtre qui se fabriquait alors sur la butte Montmartre. Le marchand Paul Guillaume (1891-1934) dé-couvre la peinture d’Utrillo dès les années 1910 grâce au poète Max Jacob (1876-1944) qui habite également Montmartre. Paul Guillaume organise finalement en 1922 une exposition de trente-cinq de ses œuvres qui apporte le succès à Utrillo. Le peintre est lancé et ses œuvres se vendent beau-coup plus cher. C’est la période dite «colorée» du travail du peintre.