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LE PÔLE FONCTIONS PUBLIQUES D’AG2R LA MONDIALE CRÉE :
« LES RENDEZ-VOUS DE LA FONCTION PUBLIQUE »
Actes du 1er colloque du 18 novembre 2016 :
Le management public est-il compatible avec le bien-être
au travail ?
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SOMMAIRE
Présentation des intervenants
Edito
Parce qu’il n’est ni une valeur morale, ni une fin en soi, le travail doit avoir du sens
La souffrance au travail, une notion si relative
Moins de financement, plus de travail, un avenir en pointillé
Promouvoir la prise de risque, désensibiliser l’importance de la « faute »
Au cœur des organisations, croire à l’humain
Objectiver les contraintes au travail
Les mutuelles du Pôle Fonctions Publiques AG2R LA MONDIALE
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PRÉSENTATION DES INTERVENANTS
Robert CHICHE Président de SMACL Santé Président de l’UGM Pôle Fonctions Publiques AG2R LA MONDIALE
Jean-Pierre DEWITE Directeur Général du CHU de Poitiers, Président de la Conférence des Directeurs Généraux de CHU
Éric FAURE Président de la Fédération Nationale des Sapeurs Pompiers
Jean-Robert MASSIMI Directeur Général du Conseil Supérieur de la Fonction Publique Territoriale
Hugues PERINEL Ancien Directeur des rédactions du Groupe Le Moniteur, journaliste et coach
André RENAUDIN Directeur général d’AG2R LA MONDIALE
Jean-François VERDIER Inspecteur Général des Finances, ancien Directeur de la Direction Générale de l’administration et de la Fonction Publique
Victor WAKNINE Concepteur de l’IBET (Indice de Bien Etre au Travail)
Christian OLIVERES Ancien Directeur général dans de nombreuses collectivités
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Le 13 janvier 2016, le pôle mutualiste d’AG2R LA MONDIALE a décidé de franchir un cap important en créant une Union de groupe mutualiste (UGM), réunissant 4 mutuelles de la fonction publique, représentant les 3 fonctions publiques sous l’appellation de « Pôle fonctions publiques d’AG2R LA MONDIALE» : la Mutuelle du ministère de la Justice (MMJ), Smacl Santé, la Mutuelle nationale des sapeurs-pompiers de France (MNSPF) et la Mutuelle des hôpitaux de la Vienne (MHV).
En ouverture de la journée, André Renaudin, Directeur général d’AG2R LA MONDIALE, a salué le public et les intervenants en insistant sur le fait qu’AG2R LA MONDIALE « est un Groupe singulier souvent décrit dans la sphère assurantielle comme
original et précurseur. Original, car nous avons toujours défendu un modèle de protection sociale alliant dans leur diversité, leurs complémentarités et leurs valeurs les membres paritaires et mutualistes, dans une logique de conjugaison de la performance et de la solidarité. Notre gouvernance en est le reflet ». Précurseur, « car nous avons été les premiers à faire tomber les barrières en unissant au sein du Groupe, à grande échelle, des organismes régis par les 3 Codes que sont le Code de la Sécurité sociale, le Code des assurances et le Code de la mutualité ».
« L’objet de cette UGM est de faire travailler ensemble les 4 mutuelles qui la composent, de façon dynamique, pour mieux appréhender le futur de la protection sociale dans la fonction publique, dans le respect de leurs spécificités en partenariat avec AG2R LA MONDIALE », a expliqué Robert Chiche, président de l’UGM. « Nous souhaitons, à travers cet évènement, donner une tribune aux fonctionnaires des 3 fonctions
publiques sur des thèmes qui sont au cœur de leurs actions », a poursuivi R. Chiche. Il a également insisté sur les défis à relever: « Une maîtrise drastique des moyens de fonctionnement, une exigence croissante de qualité de service, une redéfinition quelque fois radicale des missions et des territoires ».
EDITO
« Le groupe AG2R LA MONDIALE est original, et précurseur »
« Faire travailler ensemble, de façon dynamique, les 4 mutuelles qui composent le pôle »
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Parce qu’il n’est ni une valeur morale ni une fin en soi, le travail doit avoir du sens
Ce 1er colloque s’articulait autour d’une question essentielle : « Le management public est-il compatible avec le bien-être au travail ? ».
Chargé d’en assurer l’animation, Hugues Perinel, ancien Directeur des rédactions du Groupe Le Moniteur, journaliste et désormais coach, est parti d’une anecdote personnelle : « En préparant ce colloque, j’ai croisé dans un train une personne qui tenait une chronique dans la Lettre du cadre territorial et que je faisais intervenir souvent. Il s’agit du philosophe André Comte-Sponville. Je lui ai demandé s’il voulait échanger un peu sur le sujet qui nous concerne ce matin ou du moins me livrer son regard de philosophe…
Je vous rapporte quasiment mot pour mot sa réaction : « Vous les managers, vous faites un métier difficile, votre travail est de faire travailler les autres. Or, travailler, ils ne préféreraient pas… Ce qu’ils cherchent, ce n’est pas le travail mais le bonheur. Il semblerait qu’il y ait maldonne dès le départ. Votre travail, vous managers, est de transformer cette supposée maldonne en convergence d’intérêt… Il s’agit pour l’employeur de mettre la quête du bonheur au service de l’efficacité et pour les individus de mettre l’efficacité au service de leur bonheur… Mais attention à ne pas confondre les rôles, le jour où l’employeur met le bonheur plus haut que l’efficacité, il y a danger pour sa pérennité, et le jour où les individus mettent l’efficacité plus haut que le bonheur, il y a danger pour l’humanité. Le travail n’est ni une valeur morale ni une fin en soi, c’est pourquoi il doit avoir un sens et c’est là que vous, managers, vous intervenez ».
« Il s’agit pour l’employeur de mettre la quête du bonheur au service de l’efficacité et pour les individus de mettre l’efficacité au service de leur bonheur… »
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La souffrance au travail, une notion si relative
Plusieurs intervenants ‘managers’ ont pris place à la tribune, soumis à la question par Hugues Perinel.
Pour Jean-François Verdier, Inspecteur général des Finances et ancien Directeur général de la Fonction publique de 2009 à 2013, les fonctionnaires souffrent avant tout de l’image médiatique que l’on renvoie de leur travail, celle de tire-au-flanc dont Coluche a fait un sketch mémorable autour de l’horloge identifiée comme le seul objet que l’on ne pouvait voler au sein d’une administration.
« J’ai souvent mené avec moi certains de mes interlocuteurs qui avaient
cette vision des fonctionnaires, sur le terrain, dans des guichets où les fonctionnaires reçoivent nos concitoyens les plus en difficulté. Ils ont alors compris ce que pouvait être la souffrance au travail et ont changé de point de vue sur la Fonction publique. Pour motiver les agents, il ne faut pas leur donner plus d’argent, même si parfois ça se justifie, mais leur donner un cadre pour conforter les meilleures conditions pour rendre le service public ».
La souffrance au travail reste une notion aux contours indéfinis dans le monde hospitalier, comme l’indique Jean-Pierre Dewitte, Directeur général du Chu de Poitiers. « Je suis toujours très prudent lorsque j’aborde cette question. Dans les hôpitaux, la souffrance est un terme que l’on réserve aux patients, par pudeur. Je n’ai pas le sentiment d’être confronté à un phénomène de burnout généralisé dans mes services. Je crains que nous ayons tendance à vouloir ‘psychologiser’ un peu tout. J’ai plutôt le sentiment que les conditions de travail évoluent dans le bon sens et que les valeurs dont vous parliez habitent plus fortement le personnel hospitalier.
Quand les attentats se sont produits en France, 110 % du personnel hospitalier a répondu présent, j’indique 110 % puisque même les retraités nous ont rejoint pour faire face à cette horreur ». Les élus auraient une « mauvaise image de l’hôpital public », qui « coûte trop cher » et qu’il faut « restructurer en permanence, comme c’est le cas à travers la création de 135 Groupements hospitaliers de territoire (Ght). En France, nous comptons beaucoup trop d’hôpitaux et cette réforme vise à harmoniser les établissements selon leurs spécialités ».
« Quand les attentats se sont produits en France, 110 % du personnel hospitalier a répondu présent, j’indique 110 % puisque même les retraités nous ont rejoint pour faire face à cette horreur »
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Moins de financement, plus de travail, un avenir en pointillé
Autre espace-temps, autre regard, celui d’Éric Faure, Colonel de sapeurs-pompiers professionnels, Président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France et Directeur du Sdis de Seine-et-Marne. Le contexte est particulier : « Dans les Sdis, le service public est rendu par 80 % de personnes qui ne sont pas fonctionnaires, à savoir les volontaires. Dans le management au quotidien, nous nous devons d’intégrer cette mixité.
Pour un pompier, sortir de la routine, c’est, paradoxalement, aller au-devant de la souffrance, pour la soulager au mieux. Et c’est dans ce contexte de l’urgence, de la catastrophe, que la solidarité des équipes se nourrit ». Pour Jean-Robert Massimi, Directeur général du Conseil supérieur
de la Fonction publique, « le contexte actuel est propice à générer du trouble chez les agents de la Fonction publique. La baisse des ressources financières se conjugue à un rythme de réformes rarement atteint. Les lois Maptam et Notre, l’émergence des métropoles, des communes nouvelles, l’accélération des fusions intercommunales, etc... C’est pour cette raison que nous sommes aujourd’hui ici à parler de management, préoccupation qui ne cesse de croître au regard des nouvelles exigences législatives ».
Jean-Pierre Dewitte met l’accent sur les « oubliés du statut, les professions administratives et techniques qui ont peu bénéficié d’évolutions positives ces dernières années ». L’hôpital est un concentré des défis à relever pour une fonction publique parfois trop autocentrée : « Je n’ai pas autorité pour demander à un médecin de se déplacer à tel endroit pour des obligations de service. Le vrai Drh dans les hôpitaux, ce sont les médecins. Avec cette particularité qui mine l’esprit de cohésion d’équipe : la raréfaction des médecins nous oblige à recruter des chirurgiens intérimaires à 5 000 € la journée ! ».
« Le contexte actuel est propice à générer du trouble chez les agents de la Fonction publique »
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« Quand l’exemple vient d’en haut, ça percole plus facilement jusqu’aux agents »
Jean-François Verdier préfère apprécier le verre à moitié plein que celui, à moitié vide, que les pessimistes adorent. « Dans le cadre de la démarche sur la Qualité de vie au travail ou encore de la prévention sur les risques psychosociaux, les managers sont de plus en plus sensibilisés aux conditions de travail. Dans la Fonction publique d’État, des ergonomes interviennent pour améliorer les conditions de travail dans les services. Enfin, nous devons, nous, personnel encadrant, donner l’exemple, réaffirmer en permanence l’importance des missions du service public. Quand l’exemple vient d’en haut, ça percole plus facilement jusqu’aux agents ».
Jean-Robert Massimi évoque la diversité « des sources de recrutement » susceptible de remettre en cause « l’égalité de traitement entre les agents ». « Avant, le fait que les agents passent par un concours pour être recrutés facilitait les choses. Si l’on peut considérer que l’élargissement des modes de recrutement est un progrès, c’est une difficulté supplémentaire pour les ressources humaines, confrontées à des parcours différenciés d’agents et des rémunérations différentes. Quant aux démarches de Qualité de vie au travail, elles ont l’avantage de pointer le fait que si un problème émerge, c’est que tout le monde a été mauvais en amont. Le 1er levier du bonheur au travail, c’est la prévention ».
Moins de financement, plus de travail, un avenir en pointillé
« Le 1er levier du bonheur au travail, c’est la prévention »
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Promouvoir la prise de risque, désensibiliser l’importance de la « faute »
Au feu, les pompiers… Dans le contexte actuel, le rapprochement métaphorique est facile. « Les sapeurs-pompiers sont exposés en permanence à ce que j’appellerai le décalage managérial. Confronter à l’urgence d’une situation extrême, où des vies sont en jeu, il ne peut être que dans la prise de risque. C’est dans ce contexte difficilement prescriptible qu’il se révèle. Or, dès qu’il
retrouve la caserne, si on demande à un sapeur-pompier de changer une ampoule, il est en faute ! C’est pour cette raison que je prône volontiers l’inventivité au cœur même du quotidien d’une caserne », explique Éric Faure.
Le Colonel insiste par ailleurs sur un autre point : « Nous parlons d’exemplarité. Je trouve dommage qu’au sein du Ministère de l’Intérieur, notre tutelle, la personne en charge des sapeurs-pompiers, au-delà de ses compétences propres, soit rarement issue… des sapeurs-pompiers ! Il faut toujours chercher une forme de cohérence dans le management ». Jean-François Verdier confirme la frilosité française sur « la culture de la seconde chance, quasiment absente dans la Fonction publique. Ce qui pousse donc à la promotion de ceu x qui ne prennent pas de risques ». L’ancien Directeur de la DGAFP préconise « la création d’une école du management commune aux 3 Fonctions publiques » sans faire de cette thématique un passage obligé dès la formation initiale : « La notion de management se découvre à un stade plus avancé de la carrière ». Parce qu’un « bon médecin peut être un mauvais manager », souligne Robert Dewitte. « On n’apprend pas si facilement à être responsable, surtout dans les écoles », prolonge Jean-Robert Massimi.
« Les sapeurs-pompiers sont exposés en permanence à ce que j’appellerai le décalage managérial »
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Le corps des sapeurs-pompiers est un lieu de « cohésion sociale », avec ses 7 000 casernes et autant de foyers, d’amicales, « de possibilités d’échanger en dehors du cadre du travail ». C’est aussi un pacte de générosité, les pompiers alimentant eux-mêmes une caisse pour venir en aide aux familles touchées par le drame de la disparition d’un des leurs. « C’est pour cette raison que les orphelins chez les pompiers ne sont pas reconnus pupilles de la Nation, notre générosité interne est plus grande que celle de l’État ! », explique Éric Faure. « Il faut favoriser la fluidité dans les espaces informels de nos lieux de travail », confirme Robert Dewitte. Face aux contraintes rencontrées par les salariés, « les crèches ouvrent plus tôt et ferment plus tard dans les hôpitaux. Nous nous adaptons ». Dans cette recherche d’optimum, « la qualité du dialogue social est capitale. Quand on sait le faire fonctionner, les solutions émergent plus facilement », ajoute Jean-Robert Massimi. Mais si les dispositifs existent, les moyens manquent. Jean-François Verdier a souvent veillé, dans le cadre de ses nombreuses fonctions, « à prendre part au CHSCT, à participer à l’élaboration de ce qui s’apparente aujourd’hui au Qvt (Qualité de Vie au Travail), à mettre en place une charte de la gestion du temps, qui interdirait par exemple les réunions
au-delà de 18h30 et encouragerait le droit à la déconnection numérique le week-end ». C’est ainsi que s’est achevé ce 1er temps d’échanges en tribune.
Au cœur des organisations, croire à l’humain
« La qualité du dialogue social est capitale. Quand on sait le faire fonctionner, les solutions émergent plus facilement »
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Les 150 personnes présentes dans l’auditorium du siège social d’AG2R LA MONDIALE (Boulevard Haussmann, Paris) ont ensuite écouté l’exposé de Victor Waknin, consultant, créateur de Mozart consulting.
À partir du concept « Travaillez mieux pour vivre mieux », il a formalisé l’Ibet, « un indice de mesure du bien-être au travail ». « L’objectif est d’intégrer le sens du travail au cœur même de notre vie, qui ne connaît pas de césures au quotidien. Si je vais mal au travail ou si je vais mal dans ma vie tout court, ce malaise n’entre pas dans un
agenda. Nous n’avons qu’une vie, qu’une seule santé. Le sens du travail est un invariant ». La Fonction publique, dans sa diversité, se doit de réussir sur ce chantier « parce que seul l’être humain est en capacité au final de donner du sens au travail qu’il réalise ». Directeur général dans de nombreuses collectivités, souvent amené à gérer des réorganisations internes, Christian Oliveres, a proposé une synthèse à la fin de cette riche matinée. Avec la nécessaire prise de distance : « Je crois que le management est compatible avec le bonheur au travail. Parce que les agents publics structurent le sens
sociétal. Et ce malgré le fait que la vie quotidienne impose une procédurisation galopante de nos modalités de travail, en contradiction avec la capacité de réactivité et d’efficacité des agents en situation d’urgence. Pour ce faire, le management passe par l’objectivation des contraintes, par un aller-retour permanent entre l’éthique et les injonctions, pour dépasser parfois la double détente politique et administrative de la gestion des collectivités ». A méditer…
Objectiver les contraintes au travail
« L’objectif est d’intégrer le sens du travail au cœur même de notre vie, qui ne connaît pas de césures au quotidien »
« Le management passe par l’objectivation des contraintes, par un aller-retour permanent entre l’éthique et les injonctions »
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À propos d’AG2R LA MONDIALE :
AG2R LA MONDIALE, 1er groupe de protection sociale et patrimoniale en France, propose une gamme complète de produits et de services en retraite, épargne, prévoyance et santé. Acteur de référence en assurance de la personne, présent sur tous les territoires, le Groupe assure les particuliers, les entreprises et les branches, pour protéger la santé, sécuriser le patrimoine et les revenus, prémunir contre les accidents de la vie et préparer la retraite.
Société de personnes à gouvernance paritaire et mutualiste, AG2R LA MONDIALE cultive un modèle de protection sociale unique qui conjugue étroitement rentabilité et solidarité, performance et engagement social. Le Groupe consacre chaque année plus de 100 millions d’euros pour aider les personnes fragilisées et soutenir des initiatives individuelles et collectives.
Suivez l’actualité du Groupe : www.ag2rlamondiale.fr / Twitter : @AG2RLAMONDIALE
À propos d’AG.MUT :
AG.MUT, union de mutuelles de livre II du groupe AG2R LA MONDIALE, propose une large palette de services sur mesure adaptés aux besoins des mutuelles :
• Partenariats techniques (réassurance, tiers payant, délégation de gestion),
• Partenariats commerciaux (mise à disposition de produits, services ou réseaux de distribution),
• Adossement aux moyens du Groupe avec entrée dans le périmètre de combinaison,
• Intégration de la mutuelle au Groupe (substitution, fusion, entrée dans le GIE).
AG.MUT, par ce positionnement très différenciant sur le marché, illustre la volonté du groupe de respecter la sensibilité, les attentes, les structures et la gouvernance de ses partenaires mutualistes.
AG.MUT regroupe à ce jour 16 entités mutualistes, couvrant plus d’1 million d’adhérents, plus d’1,8 million de personnes et encaissent plus d’1,2 milliards d’euros.
Les mutuelles du Pôle Fonctions Publiques AG2R LA MONDIALE
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À propos de la Mutuelle du Ministère de la Justice :
Depuis 70 ans, la MMJ, seul organisme de protection sociale référencé par le Ministère de la Justice, oeuvre pour proposer à ses adhérents des prestations santé et des garanties de prévoyance performantes.
Aujourd’hui, 150 000 magistrats, greffiers, personnel pénitentiaire, agents du ministère (…) et leur famille lui font confiance pour les protéger, les accompagner au quotidien, quels que soient les évènements de la vie. Fort de cet engagement mutualiste, ses adhérents bénéficient de services exclusifs en cas de coup dur ou de projets immobiliers. La Mutuelle du Ministère de la Justice est très attachée à son système d’entraide et de solidarité. Ces valeurs sont d’ailleurs portées par l’ensemble des acteurs de la MMJ, près de 340 délégués nationaux, 500 correspondants sur le terrain et 100 collaborateurs. « Vivez bien protégés avec la MMJ »
www.mmj.fr
À propos de SMACL SANTÉ :
SMACL SANTÉ est une mutuelle livre II code de la mutualité créée en 2006 et dédiée exclusivement à la protection sociale des agents territoriaux en complémentaire santé et en prévoyance. Plus de 1500 collectivités ont confié la protection sociale de leurs agents à SMACL SANTÉ. SMACL SANTÉ est une mutuelle de la FNMF, dédiée exclusivement à la protection sociale des agents territoriaux en complémentaire santé et en prévoyance. Elle est aussi membre fondateur de l’UGM Pôle Fonctions Publiques de AG2R LA MONDIALE créée début 2016.
SMACL SANTÉ emploie 50 salariés, son chiffre d’affaires est de près de 30 millions d’euros fin 2015 pour un portefeuille assuré de plus de 100 000 adhérents bénéficiaires des garanties proposées par SMS. Son siège social est à Niort, elle dispose de 4 agences régionales à Dijon, Angoulême, Rouen, Niort, et d’un bureau à Nice, elle offre par ailleurs à ses adhérents des points de contact dans toutes les structures d’accueil du réseau AG2R LA MONDIALE, Viasanté et MBA.
www.smacl-sante.fr Twitter : @SmaclSante
Les mutuelles du Pôle Fonctions Publiques AG2R LA MONDIALE
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À propos de la Mutuelle nationale des sapeurs-pompiers de France
Mutuelle de référence de la corporation, la MNSPF propose des solutions Santé et Prévoyance pour répondre aux besoins de l’ensemble des acteurs sapeurs-pompiers : sapeurs-pompiers professionnels, sapeurs-pompiers volontaires, personnels administratifs et techniques et aussi le réseau associatif ainsi que les collectivités territoriales de référence que sont les Services Départementaux d’Incendie et de Secours.
Créée et gérée depuis l’origine par des sapeurs-pompiers, la Mutuelle nationale des sapeurs-pompiers de France a fêté ses 23 ans d’existence nationale et 68 ans d’expérience.
La MNSPF en bref :
• 283 577 personnes protégées en santé / prévoyance
• 23 élus au Conseil d’administration
• 70 collaborateurs
• 26 millions d’euros de cotisations
www.mnspf.fr
À propos de la Mutuelle des Hôpitaux de la Vienne :
Mutuelle dédiée à la fonction publique hospitalière depuis 1959. Basée à Poitiers au sein du CHU de cette ville depuis sa création avec plus de 20 000 personnes protégées, elle est la mutuelle de la fonction publique hospitalière leader sur sa région. Son chiffre d’affaires est de 12,7 millions d’euros.
www.mhv-sante.fr
Les 4 mutuelles sont adhérentes à la FNMF (Fédération nationale de la Mutualité Française)
Les mutuelles du Pôle Fonctions Publiques AG2R LA MONDIALE
NOTES
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Prenez contact, restez associés aux travaux du Pôle Fonctions Publiques AG2R LA MONDIALEPôle Fonctions Publiques Interlocutrice : Florence de Vogüé Contact : [email protected]
MMJ Président : Jean-Pierre Belmas Contact : [email protected]
SMACL Santé Président : Robert CHICHE Contact : [email protected]
MNSPF Président : Antoine Hubert Contact : [email protected]
MHV Président : Christophe Pageaut Contact : [email protected]
www.fonctionspubliques.ag2rlamondiale.fr/
