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Les secteurs porteurs pour entreprendre en

2018

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Depuis quelques années, l’entrepreneuriat est à la mode en France. A la mode dans les médias, dans les écoles, dans les soirées, dans certaines familles… Et c’est une excellente chose selon nous ! Le bémol, c’est que cette mode, comme toute mode, a tendance à pousser sur le devant de la scène des éléments caricaturaux. On nous montre en permanence les mêmes têtes, les mêmes réussites, parfois les mêmes concepts, en nous disant que c’est révolutionnaire, que ce sont des idées de génies et que donc les entrepreneurs sont forcément des génies visionnaires. Détrompez-vous ! Tous les entrepreneurs ne sont pas des génies visionnaires, bien au contraire. Bien sûr, les génies visionnaires existent, il y en a peut-être quelques centaines en France et quelques milliers dans le monde et tant mieux pour eux et pour tout le monde. Mais l’immense majorité des créateurs d’entreprises sont des gens comme vous et moi ! Des gens qui n’ont pas fait Polytechnique ni HEC mais qui ont une envie, des compétences et de la volonté. Et une attitude positive et dynamique. Chez CréActifs, nous voyons passer des centaines, voire des milliers de ces entrepreneurs, de tous horizons et qui créent des entreprises dans tous les secteurs d’activité. Comme pour tout, il y a des modes, des courants, des secteurs plus ou moins dynamiques en fonction des années. Il nous a semblé intéressant de brosser un tableau des secteurs d’activité qui nous paraissent opportuns pour entreprendre en 2018. La liste n’est pas exhaustive et elle est complètement subjective. Vous pouvez aussi très bien réussir dans d’autres secteurs d’activités. Mais voici quand même quelques pistes !

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1. La mobilité

L’offre de mobilité a explosé ces dernières années, pour répondre aux besoins croissants de déplacement des travailleurs, des séniors, des étudiants et des familles. Il est aujourd’hui possible de choisir, pour un trajet de moyenne/longue distance, entre le train, la voiture, le co-voiturage, l’avion ou le bus, et pour un trajet de courte distance en ville, entre le métro, le bus, le VTC, le taxi, le scooter ou le vélo partagé, le gyropode… La technologie a beaucoup apporté à la qualité de l’expérience client : elle a fluidifié l’offre, réduit les temps d’attentes, permis de baisser les prix et de comparer les modes de transport… Elle a aussi permis de mettre en relation les demandeurs et les offreurs de solutions de transport (co-voiturage, comparateurs…). Les modes de transport eux-mêmes en ont aussi profité : boitiers de géo-localisation pour les véhicules, moteurs hybrides ou électriques, optimisation des consommations et des trajets…

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Pour tirer parti de ces activités en tant qu’entrepreneur, voici quelques pistes :

Vous pouvez opérer vous-même un service de transport : organiser des lignes régulières et spécialisées entre deux ou plusieurs points, avec ou sans horaires, à la demande ou selon un calendrier pré-défini. Différenciez-vous en offrant des services exclusifs, en utilisant des technologies modernes ou en vous focalisant sur une niche (certains profils de clients spécifiques, certains trajets spécifiques…).

Vous pouvez mettre en relation des transporteurs / chauffeurs avec des voyageurs et ainsi devenir intermédiaire. Vous prendrez une commission sur les trajets effectués, comme Uber par exemple. Là encore, l’idée est de vous spécialiser sur une niche, un type de trajets ou de clients, des horaires particuliers, ou encore le transport de marchandises.

Vous pouvez lancer un service qui vient en complément d’un mode de transport : un service de livraison de bagages par exemple, comme on en trouve de très qualitatifs au Japon, ou bien un service de réservation innovant, comme l’a été Capitaine Train à sa création, en apportant une ergonomie exceptionnelle pour la réservation de billets de train.

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2. Les loisirs & le tourisme

La France est encore le premier pays touristique au monde avec près de 80 millions de touristes accueillis chaque année. En plus de ces touristes étrangers, il y a évidemment tout le marché intérieur, avec des Français qui passent leurs week-ends ou leurs congés à découvrir nos belles régions. Et non seulement ils ont besoin de se loger, mais aussi de se restaurer, de se divertir, de se cultiver et d’acheter des produits à ramener chez eux ou à leurs amis. Gardez à l’esprit que, s’il s’agit d’un secteur à fort potentiel, il peut aussi être soumis à une forte saisonnalité : pensez au tourisme de bord de mer, ou de montagne, ou même aux activités dédiées aux familles, forcément calquées sur les congés scolaires… A vous de diversifier vos activités pour pallier cette saisonnalité. Et puis, dans ce secteur peut-être plus que dans tout autre, il faut être attentif aux détails et toujours fournir une excellente quaité de service. La moindre erreur peut se révéler fatale avec les réseaux sociaux et autres sites de partage d’avis comme TripAdvisor.

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Pour tirer parti de ces activités en tant qu’entrepreneur, voici quelques pistes :

Vous pouvez ouvrir une chambre d’hôtes, soit en profitant du fait que vous avez de la place disponible dans votre maison (des chambres libres après le départ des enfants par exemple), soit en déménageant dans le but précis d’exercer cette activité et de changer de vie. Attention, n’espérez pas rembourser votre crédit immobilier et dégager une marge supplémentaire suffisante pour en vivre : ce sera ou l’un ou l’autre ! En d’autres termes, si vous voulez vivre de cette activité, il vous faut avoir fini de payer de votre maison.

Vous pouvez vous lancer dans la restauration, avec un restaurant « en dur » ou un foodtruck (moins cher à lancer). A l’heure des multiples guides très qualitatifs, il vous faudra vous démarquer avec un concept original, une cuisine en phase avec votre clientèle, un bon emplacement, un service au top… Et vous pourrez difficilement tout faire : cuisine, accueil, gestion… Vous devrez donc embaucher des gens avec des compétences spécifiques, qu’il faudra savoir manager. Et surtout, il vous faudra être prêt à travailler beaucoup, le soir, le week-end, à des créneaux où vos amis et votre famille sont justement disponibles !

Vous pouvez proposer vos services de guide touristique si vous connaissez bien votre région. Vous pouvez vous inscrire sur des plateformes web spécialisées et vous référencer auprès de l’office de tourisme local. Il vous faudra vous démarquer avec une niche particulière (actuellement les food tours sont en expansion par exemple) et aussi proposer des packages à vos clients : une dégustation, une visite guidée, une activité, un spa… Un grand atout est de parler plusieurs langues : vous pouvez même vous spécialiser sur une nationalité en particulier : par exemple les Indiens sont de plus en plus nombreux à venir visiter la France.

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3. Le consulting

Saviez-vous que plus de 30% des actifs américains travaillent à leur compte, en indépendant ? Et ce chiffre est en telle croissance ces dernières années qu’il devrait atteindre 40% d’ici 2020 selon les experts ! En France, ils sont moins nombreux (entre 12 et 15% selon les sources), mais leur croissance est aussi très importante, en témoigne le succès du statut micro-entrepreneur (anciennement auto-entrepreneur) et le récent doublement de son plafond de chiffre d’affaires. Même engouement du côté des étudiants puisque dans la plupart des écoles de commerce, c’est la spécialisation « Entrepreneuriat » qui a remplacé « Finance » sur le podium des spécialisations les plus demandées par les élèves. C’est tout un écosystème qui se constitue autour de ce phénomène : des plateformes web de mise en relation entre travailleurs freelance et clients (Hopwork, Comet…), des assurances et mutuelles spécifiques pour les indépendants (WeMind, Alan…). Cette tendance va complètement de pair avec le développement du télétravail dans les entreprises, l’ouverture de centaines de lieux de « coworking » à travers la France, la collaboration de plus en plus étroite entre les laboratoires de recherche, les universités, les entreprises et les étudiants, les freelances et autres Vous avez développé, au cours de votre carrière et/ou de vos formations, des compétences spécifiques, des expériences rares ? Vous pouvez en faire bénéficier des clients ! Ces clients peuvent être divers et variés (particuliers, entreprises, associations, écoles…) et ils peuvent être atteints par des canaux et des méthodes différentes. Vous allez donc vendre vos expertises, à l’heure, à la journée, ou au forfait (fixe ou variable, au résultat). L’une des compétences que vous devrez développer est d’estimer la capacité à payer de votre client. Est-ce un grand compte ? A-t-il beaucoup de budget à accorder à cette mission ? Si oui, tant mieux, vous pouvez certainement facturer un prix élevé. Sinon, la mission peut-être elle récurrente ? Pouvez-vous apprendre quelque chose ? Rencontrer de futurs clients ? Auquel cas vous pouvez facturer moins que votre tarif « officiel ».

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Comme vous vous en doutez, l’une des clés de votre réussite sera votre réseau et votre capacité à le développer et à l’entretenir. Il vous faudra pour cela participer à des événements, reprendre contact avec des gens croisés dans vos anciens jobs, bien utiliser Linkedin, vous rendre visible en donnant des conférences ou en participant à des tables rondes… Pour tirer parti de ces activités en tant qu’entrepreneur, voici quelques pistes :

Vous pouvez dispenser votre expertise auprès d’un nombre important de personnes, à travers un blog sur lequel vous écrivez vos visions de votre domaine, un livre que vous pouvez auto-éditer et vendre sur Amazon et d’autres canaux comme le site de la Fnac, des formations que vous pouvez donner à tout un chacun, des conférences que vous pouvez organiser… Il peut être intéressant de créer une « méthode » (d’où la publication d’un livre) un point de vue différent sur un marché, que vous représentez ensuite et qui sert de base à tout ce que vous vendez.

Vous pouvez au contraire avoir une approche privilégiant la marge au volume. Vous essaierez alors d’approcher directement des prospects à fort pouvoir d’achat, à qui vous pourrez vendre un accompagnement dans la durée : une entreprise dont vous accompagnez les équipes au changement, ou dont vous conseillez la direction sur tel ou tel aspect, un dirigeant que vous coachez… Pour cela, vous devrez aussi vous inscrire sur de nombreuses plateformes web.

Quelle que soit la stratégie choisie, vous pourrez opter pour une activité de conseil dans n’importe quel domaine. Par exemple, vous pourrez accompagner les entreprises dans leur transformation numérique, ou dans leur développement commercial ou encore dans leur stratégie.

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4. Le digital / développement

Depuis une vingtaine d’années, nous vivons une révolution numérique. Il y a toujours de nombreux pans de l’économie et de la société qui ne sont pas encore digitalisés, ou mal. Les opportunités sont donc immenses dans ce domaine, que ce soit comme designer, codeur, chef de projet, intégrateur… Il faut penser ou repenser l’ergonomie des logiciels et applications, la facilité d’utilisation, les fonctionnalités… De plus, quel que soit votre projet, vous aurez besoin d’un minimum de compétences informatiques. Même s’il s’agit d’une boutique physique. Vous devrez gérer une page Facebook, négocier avec des intermédiaires et des agences, faire de la publicité ciblée, répondre aux demandes des clients… Et tout cela via Internet ! CréActifs lance en 2018 ses formations spécialisées pour devenir codeur. C’est une opportunité unique de vous former à un métier qui ne connait pas la crise, loin de là. Les meilleurs de ce secteur sont capables d’imposer leurs prix sur le marché et de choisir leurs clients.

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Pour tirer parti de ces activités en tant qu’entrepreneur, voici quelques pistes :

Vous pouvez vous lancer dans le développement d’applications mobiles, pour autrui ou pour vous-même. Dans le premier cas, vous facturerez le client B2B, en général une grande entreprise, ou bien vous ferez de la sous-traitance pour une agence de développement d’applications. Dans le second cas, vous pouvez tenter de monétiser vos applications avec de la pub ou avec un modèle « freemium » : une partie des fonctionnalités sont accessibles gratuitement et les fonctionnalités avancées sont payantes. Certaines applications fonctionnent aussi sur un modèle d’abonnement mensuel (c’est par exemple le cas de Coach Guitar, dont le fondateur est passé par CréActifs).

Vous pouvez vous lancer sur une niche, comme l’UX (« Expérience Utilisateur ») ou vous spécialiser dans les cahiers des charges fonctionnels, qui seront ensuite transmis à des développeurs.

Si vous avez l’ambition d’embaucher des gens et de traiter beaucoup de contrats et de clients différents, vous pouvez développer votre affaire pour devenir une véritable agence. Il vous faudra rassembler les compétences les plus diverses, attirer les meilleurs talents, les garder et faire en sorte qu’ils travaillent bien ensemble.

Un métier est particulièrement demandé ces dernières années dans le monde de la « tech », c’est celui de « Data scientist », autrement dit le profil qui va s’intéresser aux données générées par les activités commerciales et qui va tenter d’en extraire de la valeur.

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5. L’éducation / la formation

Le business de la formation et de l’éducation pèse lourd et surtout, il est porteur de sens : il s’agit de former les gens pour leur donner la possibilité de travailler demain, de créer des entreprises, de développer leurs compétences… On se forme désormais à tout âge et pour tout budget, en présentiel, à distance, en groupe, en individuel, avec des vidéos… Dans certains pays, notamment anglo-saxons, c’est un secteur d’activité colossal, dans lequel les clients (B2C ou B2B) sont prêts à dépenser beaucoup d’argent, espérant un bon retour sur investissement. Le cas le plus extrême étant celui des MBA américains, facturés plusieurs dizaines de milliers de dollars, qui garantissent une progression de carrière et donc de salaire. Mais on retrouve aussi cette idée avec toutes les formations pour les métiers en vogue, parfois opérées par des entreprises d’un secteur en particulier, qui souhaitent recruter leurs franchisés de demain. Pour tirer parti de ces activités en tant qu’entrepreneur, voici quelques pistes :

Vous pouvez proposer vos services de formateur / professeur à des écoles, des universités, des organismes de formation, des entreprises… Vous délivrerez alors un message, un cours, une formation, conçus par l’organisme, l’école ou bien par vous-même. Vous facturerez la structure à l’heure.

Vous pouvez mettre en place des cycles de formation sur des thématiques particulières, louer des espaces et organiser vous-même l’ensemble, de la vente à la formation elle-même. Votre objectif sera alors de maximiser le remplissage de vos sessions de cours, sans altérer la qualité de la formation.

Vous pouvez aussi vous lancer dans l’e-learning, activité qui a le vent en poupe grâce à Internet. Soit vous faites des sessions de formation en direct en vidéo, soit vous les enregistrez au préalable et vous les diffusez ensuite. Vous pouvez adopter une stratégie de contenus gratuits en vidéo, pour vendre derrière des formations en « présentiel » ou bien opter pour une stratégie « freeemium », avec quelques vidéos gratuites et d’autres payantes. Vous pouvez créer tout un programme, avec des vidos et du texte, et ainsi constituer un « Mooc ».

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6. L’immobilier

L’immobilier est un secteur intéressant à plusieurs titres. D’abord, se loger est un besoin primaire et ce n’est pas près de changer ! Ensuite, il est relativement facile de se lancer dans ce secteur, y compris en parallèle d’une autre activité. En effet, il est possible de « faire levier », donc d’emprunter une bonne partie des sommes requises pour investir, parce que les banquiers connaissent bien ce secteur d’activité et qu’ils peuvent couvrir leurs risques en récupérant les biens immobiliers en question le cas échéant. La palette de métiers liés à l’immobilier est immense et vous trouverez forcément l’activité qui correspond à vos compétences. Et sachez que, si l’on considère le « temps long », l’immobilier est un placement toujours gagnant. Mais pour gagner sur des temps plus courts, il faut parvenir à acheter à bon prix, dans des marchés à potentiel : avoir du nez avant tout le monde ! Pour tirer parti de ces activités en tant qu’entrepreneur, voici quelques pistes :

Vous pouvez acheter des biens (appartements, maisons…), les rénover et les revendre avec une plus-value. Il vous faudra cibler les bons emplacements qui montent et acheter à bon prix pour vous y retrouver. Attention, avec ce modèle économique, vous n’avez pas de rentrées d’argent régulières. Il faut donc pouvoir tenir plusieurs mois ou années sans flux financiers !

Vous pouvez aussi simplement acheter des biens et les louer. Vous avez alors le choix entre les louer meublés ou vides, à court ou long terme, pour des touristes, des hommes d’affaires, des étudiants, des familles… Les rentabilités sont très différentes selon la localisation du bien. De manière générale, plus la ville est petite, meilleure est la rentabilité, mais évidemment le risque de ne pas trouver de bon locataire est plus grand. Là encore, vous pouvez avoir plusieurs stratégies : une stratégie patrimoniale qui consiste à privilégier la valeur du bien plutôt que le loyer potentiel (dans ce cas il vaut mieux acheter à Paris ou dans des endroits très prisés comme les

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stations balnéaires ou les villes touristiques) ou une stratégie de rendement maximum qui consiste à privilégier le montant élevé des loyers par rapport au prix d’achat du bien (dans ce cas il vaut mieux acheter de petites surfaces dans de petites villes universitaires par exemple).

Si vous n’avez pas de capital pour vous lancer, vous pouvez devenir intermédiaire (agent immobilier ou chasseur d’appartement). Tout ce dont vous avez besoin aujourd’hui, c’est d’un téléphone et d’un ordinateur.

Vous pouvez aussi vous lancer dans de plus grandes opérations, avec la construction et promotion d’immeubles par exemple, ou la rénovation de bâtiments particuliers. Vous pouvez aussi miser sur des pays qui montent, en achetant de l’immobilier et en pariant sur sa hausse. Certains entrepreneurs de l’immobilier ont construit des fortunes en investissant tôt dans des endroits comme Marrakech, Bali ou encore la Thaïlande.

Enfin, vous pouvez investir en immobilier via les plateformes de crowdfunding spécialisées, qui permettent d’accéder, pour quelques centaines d’euros au financement de programmes de construction et de promotion immobilière.

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7. L’international

Dans un monde qu’il est possible de traverser physiquement en moins de 24 heures et virtuellement en 1 seconde, les opportunités peuvent être démultipliées. Aujourd’hui, avec une bonne connexion Internet, on organise des réunions en vidéo avec l’Asie depuis son domicile dans la campagne française, on passe commande en Anglais à une usine ou un prestataire en Russie ou en Afrique et on peut livrer des produits et des services partout en quelques jours. Internet à cela de magique qu’il facilite grandement les recherches pour trouver un fournisseur ou un client. N’hésitez pas à en profiter ! Pour tirer parti de ces activités en tant qu’entrepreneur, voici quelques pistes :

Vous pouvez vous lancer sur un marché trop petit en France, mais qui, en tenant compte de tous les pays du monde, peut soudain représenter une belle opportunité. Par exemple, nombreux sont les entrepreneurs européens « bidouilleurs » à lancer des projets de produits high-tech et à les vendre surtout aux Etats-Unis, grâce à de belles vidéos de démonstration en ligne. Aujourd’hui, il est possible de penser « global » dès le lancement de ses offres, avec un site en Anglais ou autre langue et des publicités ciblées via Facebook auprès de vos clients potentiels, où qu’ils habitent.

Vous pouvez aussi viser un marché spécifique et y exporter vos produits ou services depuis la France, en jouant la carte du style français par exemple dans le luxe, l’artisanat ou la gastronomie.

A l’inverse, vous avez repéré de super produits en Australie ou au Japon mais vous ne parvenez pas à les trouver dans le commerce en France ? Pourquoi ne pas importer ces produits en France ? Si vous en avez besoin, d’autres en ont aussi surement besoin !

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