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LES SOCIETES FACE AUX RISQUES
Carole Euger-loir4. Les sociétés face aux risques
• Un risque naturel dans un DOM-TOM ou en métropole.
On rappelle que les hommes peuvent être confrontés à des risques naturels et que leurs activités sont parfois à l’origine de risques technologiques . On
• Le couloir de la chimie au sud de Lyon.
• Les inondations du Bangladesh.
risques technologiques . On analyse les facteurs de l’inégale vulnérabilité des hommes et des sociétés. On interroge la capacité de ces dernières à mettre en œuvre des politiques de prévention .
Plan de la séquence
Séance 1 : Introduction et Les sociétés face aux risques (approche générale)
Séance 2 : Les inondations au Bangladesh (une situation-exemple)
Séance 3 : Le couloir de la chimie au sud de Lyon (autre situation-exemple)
Séance 4 : Évaluation
Séance 5 : Correction et mise en perspective
Séance 1 : INTRODUCTION
LISBONNE: Tremblement de terre de 1755
Grand panneau du musée national de l’Azulejo, « Lisbonne avant le tremblement de terre » (1700-1725)
• Comparez la vision de Voltaire et celle de Rousseau.
• Quelle est la cause de la catastrophe pour chacun d’entre eux ?
« Jardin Sainte-Catherine », Lisbonne, Joao Clama, 1760, Musée National d’Art, Lisbonne
Séance 1 : INTRODUCTION (suite)
• Quels sont les risques qui nous menacent quotidiennement ?
• Pourquoi peut-on dire que le risque zéro n’existe pas ?
• Quels sont les principaux risques auxquels vous
• DOCUMENT : Risque zéro ?J’ai commencé à faire la liste,depuis le moment où je me suislevé, des risques que j’ai courus etdes dangers que j’ai fait courir auxautres. C’est hallucinant ! […] Enconduisant, éventuellement unpeu vite pour arriver à l’heure, enpolluant, en passant dans destunnels, en allumant une cigarette,en buvant un bon verre de vin, risques auxquels vous
pourriez être confrontés dans votre région, département, ville (vallée de la Seine) ?
OBJECTIFS : •Discuter avec les élèves de leurs perceptions des r isques.•Identifier les différents types de risques.
en buvant un bon verre de vin,nous n’arrêtons pas de courir desrisques et de faire courir desdangers aux autres, et si nous yréfléchissions trop longtemps,nous ne nous lèverions pas.Albert DU ROY, journaliste, colloque « Risque zéro » 1999
A quels types de menaces l’homme est-il confronté ?
MENACES NATURELLES
MENACES TECHNOLOGIQUES
- Quels sont les types de catastrophes naturelles que vous connaissez ? Exemples ?
- Pouvez-vous citer des catastrophes technologiques ? Exemples ?Exemples ?
Sites Internet utiles avec les élèves :
www.prim.net
(rubrique éducation : liste et définitions des risques )
www.notre-planete.info/geographie/risques_naturels
www.ecologie.gouv.fr
www.prevention2000.org
www.vie-publique.fr
Identifier les principaux risques naturels
ExemplesAvalanche Séisme Cyclone
InondationsVolcanisme
InondationsVolcanisme
Identifier les principaux risques technologiques
Risque industriel, Le HavreRisque industriel, Le Havre
Risque nucléaire : centrale nucléaire de Cattenom en France
Risque de rupture de barrage : barrage de Grandval (cantal)
Risque lié au Tansport des Matières Dangereuses (TMD): Naufrage de l’Erika
Problématique
Comment les sociétés, dans une perspective de développement durable, c’est-à-dire sur le long terme, peuvent-elles gérer les risques présents sur un elles gérer les risques présents sur un territoire ?
I. Les sociétés face aux risques naturels.
1. Aléa, enjeu, risque, vulnérabilité.
-Quel constat peut-on faire en observant cette carte ?
Répartition inégale des victimes de catastrophes naturelles : certaines régions sont très touchées (Asie)touchées (Asie)
-Pourquoi ?On peut alors noter les hypothèses des élèves
Manuel Delagrave CAP 2007
Confrontation avec des documents
-Situer sur la carte, la Californie et
Les cahiers Foucher CAP 2007
-Confrontez les 2 cartes et localisez la zone la plus touchée au monde .
- A quels risques naturels cette zone est-elle exposée ?
C’est l’aléa
-Cette zone est-elle très peuplée ?
C’est l’enjeu
-Situer sur la carte, la Californie et l’Iran.
- Quelle population semble, en théorie, la plus exposée ?
- Laquelle a été la plus touchée ?
- Comment expliquez-vous une telle inégalité face à un risque identique ?
C’est la vulnérabilité
Manuel Belin CAP 2004
La gestion des risquesDocument 1 : L’exemple de l’Inde Document 2 : Médecins du Monde
Documents Manuel Géographie Seconde Générale, Hachette éducation 2006
Document 3 : Exemple du Japon
- Comparez la gestion des risques à travers ces trois documents.
Qu’est-ce qu’un risque ? (trace écrite)Aléa : Probabilité de survenue d’un phénomène d’origine naturelle (potentiellement dangereux) ou accidentelle (sur un site industriel).Enjeu : Ensemble des personnes et des biens susceptibles d’être affectés par un phénomène naturel ou technologique.Risque (naturel ou technologique) : confrontation d’un aléa avec des enjeux (un séisme ou une explosion dans le désert n’est pas un risque alors explosion dans le désert n’est pas un risque alors que dans une zone urbanisée, il en devient un).Vulnérabilité : Capacité des sociétés à résister aux effets des catastrophes naturelles ou technologiques.Risque majeur : conséquence d’un aléa d’origine naturelle ou technologique, dont les effets peuvent mettre en danger un grand nombre de personnes et causer des dégâts importants, et qui dépassent les capacités de réaction.Catastrophe : risque majeur (naturel ou technologique) devenu une réalité concrète d’une gravité exceptionnelle .
Manuel Belin CAP 2004
OU Bilan schématique• Voici un organigramme
représentant les liens entre les différentes notions géographiques abordées. Complétez-le en y faisant figurer les éléments de la liste ci -dessous :
ALEA•……………….………………..………………..
ENJEU•……………………..……
Vulnérabilitéliste ci -dessous :
• Événement réel• Exposition plus ou moins
grande• Capacité des populations à
résister à l’aléa• Probabilité qu’un phénomène
dangereux se réalise
RISQUEExposition d’une personne à un danger probable
CATASTROPHE•………………….…………………
Vulnérabilité
………………
Séance 2 : Les inondations au Bangladesh
Bangladesh/Région de Dacca/Habitations inondées aux alentours de Dacca, Yann Arthus-Bertrand
Une inondation désirée…• […] Je me forçais à ne pas avoir peur : en
juillet, le Gange fait plus de 15 Km delarge…[…] Et puis, soudain, on arrivedans les « char », ces îles fluviales quiémergent périodiquement- tout autantqu’elles disparaissent- , au gré descaprices de l’eau. Un incroyablelabyrinthe parsemé de roseaux. Undédale de bancs vaseux, instables, oùs’agglutinent pourtant 10 millions depersonnes. En 1960, chaque bangladaispossédait son terrain. Aujourd’hui, enraison de la démographie galopante (123millions d’habitants), 40% sont sansterres . Aussi, lorsque, à la faveur d’unecrue, de nouveaux « char » émergent,terres . Aussi, lorsque, à la faveur d’unecrue, de nouveaux « char » émergent,ceux qui ont tout perdu s’y précipitent.Des terres à saisir ! Et si fertiles qu’ilspourront obtenir quatre récoltes de rizpar an… Le paradoxe, c’est que lespaysans survivent dans l’entonnoir dudelta grâce aux inondations et auxtonnes de limon déversées par les troisfleuves les plus brutaux du monde…
-Pourquoi ces inondations sont-elles indispensables à la population ?-Où est le paradoxe ?
« La saison du déluge », Géo,n°246, août 1999
…mais un bilan humain lourdCyclone Sidr, novembre 2007 : 4500
morts, des millions de sans abri
« La saison du déluge », Géo,n°246, août 1999
Document : SURVIVRE AU DELUGE
Je suis arrivé au Bangladesh quelques jours après le passage d’un cyclone. Presque une coutume : sur les neufs cyclones les plus meurtriers de tous les temps, sept ont frappé l’ancien Pakistan oriental. Sur la côte est du Bengale, je découvre la situation. Dans la nuit, la mer est montée de six mètres et les vents ont soufflé à 250 kilomètres à l’heure. La tempête a dévasté Chittagong, le premier port du pays, et projeté les bateaux contre le rivage. Sur le littoral, l’eau a tout englouti, paillotes et rizières. Plus d’électricité ni de routes. Des îlots ont sombré corps et biens. Dans l’après-déluge, l’odeur de la mort s’installe, des corps et biens. Dans l’après-déluge, l’odeur de la mort s’installe, des cadavres flottent à la surface. […] Les enfants trimballent des jarres, à la recherche d’eau potable. Juchés sur les toits des maisons, les survivants attendent qu’une barque les évacue. Cela peut prendre une semaine. Mais de toute façon, beaucoup de Bangladais ne veulent pas partir et attendent la baisse des eaux. A cause des voleurs qui s’empresseraient de s’approprier les lieux. Ils savent que, plus tard, il sera impossible de les déloger.Propos recueillis par Eric Lebourhis, Géo n°246. Août 1999-En utilisant les documents, décrivez les conséquenc es du cyclone sur le Bangladesh : manifestations, dégâts humains e t matériels.
- Etudiez le nombre de victimes depuis 1970. Quel co nstat faites-vous ?
Comment limiter le risque sans se priver des effets
positifs ?
Encarta
I. Situation géographique• Document 1 : planisphère climatique
Document 2 : La répartition de la population au Bangladesh et dans les pays voisins
(Manuel Géographie
seconde Belin)
Le Bangladesh n’est qu’un immense delta où viennent se rejoindre le Gange et le Brahmapoutre, deux des plus grands fleuves du monde C’est un pays au ras de l’eau qui ne compte que 8% de terres hautes. Lorsque les fleuves entrent en crue, que s’y ajoutent les grandes marées, ressenties jusqu’à 400 kilomètres à l’intérieur des terres, et que les cyclones se mettent de la partie, le Bangladesh n’est plus qu’une vaste plaine inondée.Site alerte-meteo.com
Document 3 :Les inondations
1. Situez géographiquement le Bangladesh .
2. A l’aide d’un atlas et des documents donnez ses caractéristiques géographiques et démographiques : domaine bioclimatique, relief, altitude, population…relief, altitude, population…
3. A quels risques naturels le Bangladesh est-il soumis ?
« La mécanique: un entonnoir entre océan et Himalaya », Géo, n°183, mai 1994
II. Convergence de risques
1. Une mousson phénoménale
2. Trois fleuves surpuissants
3. Un pays plat né du limon
4. L’Himalaya s’élève encore
Où ?Quoi ?Quand ?CSQ ?
Quels fleuves ?D’où viennent-ils ?Où se jettent-ils ?Relief ?Quel débit ?Pourquoi ?
Que sont les « chars » ?Caractéristiques ?Quelle utilisation ?Problème ?
Autre cause de la ruée des eaux ?CSQ ?
1. En utilisant les documents, remplissez le tableau suivant :
III. Gestion des risques.
1. Maîtriser les fleuves
« Quatre méthodes pour maîtriser les fleuves »Géo,mai 1994, n°183,
2. Protéger la côte.1. Aménagements dans le delta du Bengale
« Trois stratégies pour affronter l'océan Indien », Géo n°183, mai 1994,
Manuel seconde Hachette Education
Inondations Cyclones
Solutions envisagées
Faisabilité
Bilan
- A l’aide des documents, remplissez le tableau. Travail en binômes.- Aborder la notion de « scénario répétitif »
Manuel seconde Hachette Education
Les inondations au Bangladesh
Inondations
Fleuves descendent de l’Himalaya nourris de l’eau de la fonte des neiges
Cyclone tropicalMousson
Terres fertilisées par les limons
Déboisement accélère la ruée des eaux et l’érosion
Formation des « chars »
Population pauvre
Très forte densité de population Occupation des terres
les plus basses
+Gestion difficile des secours
Beaucoup de victimes
Dernières études…
• Le Bangladesh se situe à l’aval de trois grands fleuves: le Gange, le Brahmapoutre et la Meghna (GBM) et ne représente que 7% de leur bassin hydrographique qui s’étend sur 1,75 million de km2. Ce pays draine cependant jusqu’à la mer près de 92% des écoulements générés dans ce bassin versant, dont 80% s’opèrent durant les cinq mois de mousson de juin à octobre. Le Bangladesh est par conséquent particulièrement menacé par les inondations du fait de sa position en aval du GBM mais aussi de l’importance des précipitations sur la région. Le pays est parfois victime d’inondations désastreuses, notamment lorsque se cumule la montée des eaux de l’ensemble du GBM. Celles-ci restent responsables de destructions plus ou moins
•CHANGEMENT CLIMATIQUE, INONDATIONS ET GESTION DES C RUES : LE CAS DU BANGLADESH
•Qazi Kholiquzzaman Ahmad
restent responsables de destructions plus ou moins importantes même si elles n’occasionnent pas systématiquement de déplacement de population. Le changement climatique a amplifié le phénomène. La fréquence des crues de grande ampleur a augmenté au cours des dernières décennies et les inondations pourraient devenir plus importantes, de plus longue durée et plus fréquentes à l’avenir dans la région. Une gestion efficace de ce problème suppose une triple approche: (i) une politique volontariste du gouvernement reposant à la fois sur des mesures structurelles et non structurelles; (ii) une coopération régionale en matière de gestion des crues, de partage d’informations et d’actions à mener, et enfin (iii) un engagement local permettant de développer la capacité des populations touchées à réagir efficacement et à minimiser les pertes, dommages et souffrances causés par les inondations. Le débat porte ici sur la réalité de ces approches, leur potentiel et leurs perspectives, ainsi que les problèmes qu’elles soulèvent.
Dernières études…• LE RETRAIT DE LA POLITIQUE DE
LUTTE CONTRE LES INONDATIONS DANS LE DELTA DU GANGE-BRAHMAPOUTRE AU BANGLADESH
Shapan Adnan
• L’aménagement des eaux et des terres pose de sérieux problèmes au Bangladesh, en raison des fortes densités et du volume de population dans un pays où la frontière agricole et le processus d’intensification de l’agriculture ont atteint leurs limites. Pendant près d’un siècle eurent lieu de virulents débats sur les stratégies les plus adéquates pour aménager l’hydraulique du delta du Gange-Brahmapoutre. Les contestations ont été sociales et politiques, amenant divers groupes d’intérêts, des agences de développement divers groupes d’intérêts, des agences de développement et les populations affectées par les aménagements dans des conflits et des confrontations parfois dures. L’optique principale du gouvernement et de la majorité des bailleurs de fonds et conseillers est que le delta a besoin d’être protégé par de lourds ouvrages contre les inondations, les typhons et les intrusions salines. Cela s’explique non seulement par le besoin de préserver les vies humaines et leurs biens, mais aussi de promouvoir une agriculture intensive – caractérisée par l’utilisation des variétés à haut rendement –, des zones industrielles et le développement économiques. Dans ce but, des infrastructures hydrauliques pour le contrôle des crues, le drainage et des aménagements pour l’irrigation ont été construits, tels les digues, les polders, les écluses, les barrages...
- « Menaces sur les deltas »
Revue Hérodoten°°°°121 (2ème trimestre 2006)
Article AFP 24 mai 2008
Le Bangladesh, régulièrement victime de catastrophes naturelles, a annoncé samedi que 100 millions d'arbres allaient être plantés pour créer une barrière naturelle contre les inondations et les cyclones.
Le chef du gouvernement intérimaire soutenu par l'armée, Fakhruddin Ahmed, a lancé le projet à Dacca en soulignant que les arbres "combattraient les tempêtes, les raz-de-marée, les inondations et les sécheresses (...) de façon naturelle".
Il a appelé tous les Bangladais à construire un "mur d'arbres sur la côte qui soit un rempart contre les désastres".
A cause du réchauffement climatique, les catastrophes naturelles sont devenues plus fréquentes ces dernières années au Bangladesh, où 40% des 144 millions d'habitants vivent sous le niveau de pauvreté, selon des experts de l'environnement.
Les arbres vont être plantés durant les trois prochains mois, saison des pluies, a précisé à l'AFP le ministre adjoint de l'Environnement, Raja Debashish Roy.
"C'est le plus grand programme de plantation jamais entrepris dans le pays. Nous l'avons fait pour protéger notre pays, sujet à des calamités naturelles, des fréquents cyclones et inondations qui ont été exacerbés par le changement climatique", a-t-il dit.
Le Bangladesh a été frappé par deux inondations importantes l'été dernier et en novembre, un cyclone a ravagé les régions côtières, tuant au moins 5.000 personnes et faisant des dizaines de millions de sans-abri.
Quelque 14% du territoire sont déjà couverts par la forêt mais le gouvernement voudrait porter ce nombre à 20%.
Séance 3 : Le couloir de la chimie au sud de Lyon ( situation non traitée)
Le "couloir de la chimie" au sud de Lyon
(Cdrom Images de France © CNDP)
Conclusion
• Notions de catastrophe, de risque majeur…A relier avec la notion de développement.de développement.
Manuel seconde Belin 2006
Autres possibilités …
• Il est également possible de construire ces séances de travail sur une situation au CDI : Travail en petits groupes sur des catastrophes différentes.
• Les séances suivantes sont alors • Les séances suivantes sont alors consacrées à la mise en commun et au lien que l’on peut faire avec l’éducation civique…
EVALUATION /Travail sur une autre situation liée à un pays riche : Cyclone Katrina.Objectif : mettre en relief les différences d’impact sur un pays riche.
EVALUATION/Travail en groupes sur d’autres types de risques naturels : tsunami,
EVALUATION
Travail en groupes sur d’autres types de risques naturels : tsunami, tempête de 1999, séismes de Kobé, Iran, Chine…
Objectif : réinvestir les notions
LIEN AVEC EDUCATION CIVIQUELe citoyen et les médias : Étudier le traitement d’une catastrophe par
les différents médias…
Autres possibilités…Ce thème peut être traité en commençant par
l’étude des situations.Séance 1 : Les inondations au Bangladesh
(Situation-étude de cas)Séance 2 : Le couloir de la chimie au sud de Lyon
(Situation-étude de cas)Séance 3 : Mise en perspective, identification des Séance 3 : Mise en perspective, identification des
invariants et des différences.Séance 4 : ÉvaluationSéance 5 : Correction et lien avec éducation
civique
Ressources pédagogiquesRisques naturels :
- Atlas mondial du développement
- Géographie des risques naturels en France, Y. Veyret, Hatier 2004
- « Villes et risques naturels », Yvette Veyret, www.cafe-geo.net, 11 janvier 2006
- Géographie des risques naturels, Documentation photographique 8023 Octobre 2001
- Les risques majeurs, TDC n°824, 15-30 novembre 2001
- Les risques majeurs et la ville, Aléas et enjeux n°04, janvier 2003
- « Mourir à Saint-Pierre, la Montagne Pelée », Géo n°228 Février 1998
- « Croissance de la population et risques : l’exemple de la Caraïbe », Population et Avenir, n°692, mars-avril 2009
- Manuels scolaires Histoire-Géographie de CAP
- Manuels scolaires Histoire-géographie de seconde générale
Risques technologiques :
« Risques technologiques et débat démocratique », Problèmes politiques et sociaux n°941, Octobre 2007
« Risques industriels : épée de Damoclès ? » n°04, janvier 2003
- Inondations, Aléas et enjeux n°05 Février 2003
- Menaces sur les deltas, revue Hérodote, n°121, 2ème trimestre 2006
- « La saison du déluge arrive au Bangladesh », Géo n°183, mai 1994
- « Bangladesh : survivre au déluge », Géo n°246 août 1999
- Les risques volcaniques, TDC n°802, octobre 2000
« Risques industriels : épée de Damoclès ? » Alternatives économiques n°214 Mai 2003
Manuels scolaires Histoire-Géographie de CAP
Manuels scolaires Histoire-géographie de seconde générale
Sites internet :
- www.prim.net : rubrique éducation
- www.notre-planete.info/geographie/risques_naturels
- www.ecologie.gouv.fr
- www.prevention2000.org/cat_nat
- www.vie-publique.fr : rubrique ressources, politiques publiques, environnement