Voici notre poème, la musique et quelques illustrations :

-Vent sur Tunis-

Un dromadaire déambulait dans le désert,

Il était assoiffé et devait se reposer.

Un manque d’eau… Quelle misère !

Il décida de s’allonger.

Le vent souffle sur Tunis,

Emportant le sable chaud

Des merveilleuses oasis

Fouettant aussi les chameaux.

En arrivant au palais,

Ils rencontrèrent un fakir,

Que la foule acclamait,

Le serpent les faisait rire.

Ils virent aussi un éléphant,

Qui dansait en se dandinant,

Mais quand la musique s’assombrit,

L’empereur aussi s’assoupit.