LETTRE AUX PARTENAIRES

CHAIRE MODÈLES ENTREPRENEURIAUX

EN AGRICULTURE

Notre chaire « Modèles entrepreneuriaux en agriculture » a été inaugurée en octobre 2018. Cela fait donc -au moment où cette lettre est diffusée- dix-huit mois que notre partenariat a officiellement démarré. Sachant que nous avons bâti une convention sur trois ans, nous sommes ainsi à mi-parcours de notre première collaboration C’est donc le moment privilégié pour faire un point sur les activités menées et anticiper l’avenir.

Je tiens tout d’abord à vous remercier de votre engagement permanent dans cette chaire. Lorsque nous organisons des événements, lorsque nous vous sollicitons, lorsque nous évoquons nos recherches, vous êtes présents, impliqués et curieux. C’est donc avec grand plaisir que je collabore avec vous et j’espère que cette collaboration se poursuivra. Sachez que l’EM Normandie, dans son ensemble, s’associe à moi pour vous remercier de votre implication.

La chaire Modèle entrepreneuriaux en agriculture a été de construire afin de mettre en avant l’esprit entrepreneurial des agriculteurs et, comme il s’agit d’une chaire de recherche, d’effectuer des travaux visant à comprendre les évolutions du monde agricole et la manière dont les agriculteurs peuvent y répondre. Entreprendre, c’est être acteur du changement que l’on soit en installation, en reprise ou en transition. C’est cette agriculture en mouvement qui nous intéresse.

Partant de cette idée, nous avons choisi d’opérer un focus sur trois mouvements : la méthanisation agricole, les circuits courts et les nouvelles formes d’agricultures. Ce ne sont pas les seules stratégies vers lesquelles doivent tendre les agriculteurs

mais dans la perspective d’une structuration de notre travail et donc de publications, il nous fallait identifier des axes de travail pertinents et sources d’intérêts pour la communauté scientifique. Nous restons bien évidemment ouverts sur d’autres problématiques mais il est évident que nous devons éviter la dispersion.

Ces choix résultent également d’une analyse de nos ressources internes et des centres d’intérêt des acteurs agricoles normands. Avec la méthanisation, nous abordons un sujet hautement important comme en atteste le plan de développement de la méthanisation en Normandie. Les circuits courts sont également centraux dans les débats locaux comme le montrent les projets de structuration de l’approvisionnement en produits de la ferme dans de grandes villes françaises et notamment au Havre. Les nouvelles formes d’agriculture sont un sujet plus innovant, plus atypique. Il nous semblait apportant de l’aborder afin de diversifier notre pipeline de recherche.

Chers partenaires,

En ce qui concerne la méthanisation agricole, nous avons publié plusieurs articles de recherche qui touchent aux problèmes d’acceptabilité sociétale et de gouvernance. Ils montrent qu’il ne faut pas négliger les problèmes de gouvernance dans les échecs de projets. Même si les revendications de parties prenantes peuvent ruiner certains projets, la gouvernance explique également certains échecs. Nous nous interrogeons ainsi sur le rôle que peuvent avoir les collectivités locales et les industriels dans les équipes-projet de méthanisation agricole. Les agriculteurs doivent légitimement maintenir leur indépendance mais ils ne doivent pas exclure d’emblée toute entrée de partenaires non agricoles dans la gouvernance : toutes les options doivent être étudiées sans a priori. Ces travaux de recherche ouvrent la voie à d’autres recherches. Nous démarrons actuellement une étude sur la performance des unités de méthanisation. Nous avons, par ailleurs, entrepris des pourparlers avec des acteurs publics et privés de la méthanisation qui pourraient potentiellement devenir des partenaires de la chaire à vos côtés.

En ce qui concerne les circuits courts, nous avons désormais assez bien délimité notre problématique. Alors que la loi Egalim suggère une augmentation de l’approvisionnement en produits locaux, les agriculteurs doivent se mettre en ordre de marche. Cependant, il ne s’agit pas d’imposer aux agriculteurs de développer une offre en circuit court. Certains n’en ont pas l’intérêt alors que l’offre en « circuit long » leur procure des revenus suffisants et que leur organisation est bien rodée. Certains agriculteurs qui sont déjà en circuits courts n’ont par ailleurs pas les moyens fonciers pour faire face à la croissance. Il faut donc imaginer une structuration

collective territoriale pour répondre à la demande. C’est tout l’enjeu de cet axe de recherche.

En octobre 2019, nous avons réuni un petit collectif d’agriculteurs en circuits courts afin qu’ils nous aident à construire un questionnaire destiné aux producteurs. Dans ce questionnaire, nous sondons les agriculteurs sur leurs pratiques en matière de circuits courts et, plus particulièrement, sur les difficultés logistiques qu’introduit le modèle des circuits courts. Ce questionnaire a été diffusé dans la presse en décembre 2019. Malheureusement, nous n’avons eu que peu de retours. Nous avons cependant fait appel à des étudiants de l’EM Normandie pour augmenter notre volume de réponses et pouvoir communiquer des premiers résultats dans le courant de l’année. Ce questionnaire est en train d’être instruit avec l’aide d’étudiants en junior entreprise et de stagiaires. Nul doute que cet axe de recherche qui gravite autour des freins et des opportunités liés au développement des circuits courts est source de recherches, de publications et de questionnements pour les acteurs du monde agricole : on voit avec la crise du Covid-19 à quel point les circuits de distribution de produits de la ferme sont bousculés et en même temps comment ils font l’objet de nouvelles attentions de la part des consommateurs. D’une manière générale, les crises que nous connaissons depuis plusieurs mois sont une source d’interrogations pour le grand public comme cela a été mis en avant dans un article publié dans le journal Le Monde en octobre 20191.

1 Condor, R. « Le cas Lubrizol montre qu’une vision basée sur l’autosuffisance alimentaire locale doit être questionnée », Le Monde, 18 octobre 2019.

Focus sur les trois axes de recherche

Concernant, les nouvelles

formes d’agricultures, nous avons présenté une communication de recherche dans un colloque scientifique à Bordeaux en 2019. Le caractère innovant du sujet (à mi-chemin entre l’agriculture urbaine et les micro-fermes rurales) a été confirmé. Dans cette recherche, nous montrons les points de convergence entre les petites fermes urbaines et les petites fermes innovantes rurales. Nous mettons notamment en avant des valeurs communes autour de l’entrepreneuriat, de l’innovation et de l’agroécologie. Cette communication et les échanges durant le colloque mettent en évidence un renouveau des micro-fermes. Alors que de nombreuses petites fermes non reprises à la suite d’un départ en retraite sont laissés à l’abandon et/ou sont partiellement louées à des fermes de taille plus importante, nous suggérons un renouveau des micro-fermes. Celui-ci s’explique notamment par un retour à la terre de nouveaux entrepreneurs agricoles, par l’émergence de nouveaux modèles comme la permaculture et par une augmentation des flux de produits locaux.

Si l’on fait l’addition des publications effectuées depuis l’inauguration de la chaire, nous en sommes à environ une dizaine d’articles (colloques et revues). C’est un bon chiffre pour une chaire qui démarre. Cela montre que les sujets que nous abordons intéressent la communauté scientifique interne et externe. Au-delà des aspects purement quantitatifs, c’est la dynamique globale que je tiens à souligner. Premièrement, les travaux de la chaire suscitent l’intérêt de nos collègues de l’EM Normandie qui ne s’intéressaient pas jusqu’alors à l’agriculture. Deuxièmement, la chaire commence à trouver sa place dans les réseaux professionnels locaux. C’est

un enjeu important et même prioritaire car la particularité d’une chaire est de

proposer des recherches qui s’inscrivent dans des problématiques de terrain. Troisièmement, nous commençons à avoir de visibilité au-delà des cercles scientifiques ou locaux. Nous travaillons depuis peu avec un journaliste qui a

pour mission de diffuser nos travaux. Nul doute que ceux-ci trouveront un écho croissant dans les années à venir. Enfin, quatrièmement, L’esprit entrepreneurial agricole commence à être diffusé auprès de nos étudiants.

Au-delà de la recherche, la pédagogie

Au-delà de la recherche, il nous faut ainsi parler de pédagogie, de nos étudiants. La chaire est pour l’instant une chaire de recherche mais elle doit être interconnectée avec la formation. Il en va de vos enjeux en termes de « marque employeur ». Sur le sujet de la formation, nous avons instauré trois dispositifs : un concours du meilleur mémoire en agriculture, des événements non scientifiques ouverts au grand public et un cours de gestion de projet structuré autour du thème de l’agriculture. Concernant les mémoires, l’idée était d’inciter nos étudiants à réaliser leur mémoire sur des thèmes en rapport avec l’agriculture. La première édition a conduit à une remise de prix lors de la cérémonie de remise des diplômes en mars 2019 à Deauville (2000 personnes présentes). Une étudiante a ainsi reçu un chèque de 300 euros par la chaire.La prochaine remise de prix qui devait avoir lieu en mars 2020 a été décalée en octobre prochain en raison de la crise du Covid-19. Nous diffuserons à cette occasion le nom du lauréat dont le sujet portait sur la blockchain alimentaire. Au-delà du gagnant, c’est le nombre de participants au concours qui est intéressant : alors que cinq étudiants avaient candidaté à la session précédente, une dizaine de personnes a candidaté cette année. C’est encore faible par rapport au nombre de diplômés de Master 2 mais la progression est notable.

En ce qui concerne les événements grand public que nous organisons chaque année (ateliers agri-connexions et tables rondes), on note la présence de moins de 10 étudiants à chaque fois. C’est assez faible mais cette participation n’est pas plus importante dans d’autres événements de l’école. L’intérêt de l’agriculture n’est donc pas en jeu. Il s’agit plus globalement d’un intérêt des étudiants pour ce type d’événements. A noter que les étudiants présents aux événements de la chaire sont très intéressés par le sujet ; ils sont souvent fils ou filles d’agriculteurs et perçoivent très positivement l’intérêt de la chaire. Rappelons que la cible de ces événements n’est pas systématiquement les étudiants mais le monde agricole en général. Sur chaque événement, nous arrivons à réunir entre 30 et 50 personnes. Au-delà de l’événement lui-même, nous communiquons avant et après l’événement sur les réseaux sociaux et dans la presse. Nous ne sommes pas en mesure de mesurer précisément les impacts médiatiques mais nous tâchons au moins de mettre en avant la chaire et ses partenaires dans la communauté journalistique.

En ce qui concerne les cours, nous avons proposé en septembre 2019 de faire travailler les étudiants sur des projets liés à l’agriculture dans un cours de « Gestion de projet ». Deux campus ont été visés : Caen et Le Havre, représentant près de 500 étudiants de troisième année. C’est une bonne expérience qui sera vraisemblablement renouvelée (sous réserve de modifications des programmes de formation). Les évaluations des cours ont été positives même si quelques étudiants trouvent le thème de l’agriculture un peu limitatif. En tout cas, cela a permis de voir que l’agriculture est un sujet de société, au-delà d’être un sujet de spécialistes en agronomie.

Nous avons à cœur de développer ce genre d’expériences avec l’idée que cela puisse fonctionner ou non. Il semble important d’impliquer nos étudiants non seulement pour les sensibiliser à l’agriculture mais aussi pour vous mettre en avant auprès d’eux. Actuellement, nous n’avons pas de formation ou de modules spécialisés en agriculture mais nous y réfléchissons.

Comme vous pouvez le constater, la chaire est active à la fois en termes de recherches, d’événements et de formation. La direction de l’EM Normandie est, par ailleurs, soucieuse de valoriser cette expertise. Il faut toutefois rappeler que cette chaire est jeune, que les processus de recherche sont longs et que l’encrage médiatique et régional prend du temps. Nous nous inscrivons dans le temps pour asseoir notre légitimité. Au cours des 18 prochains mois, nous comptons ainsi poursuivre le travail engagé à la fois en termes de recherche, d’organisation d’événements et de présence médiatique. Nous aurons également à cœur de diffuser nos recherches dans vos propres cercles afin que votre communauté puisse bénéficier de nos réflexions.

En vous remerciant encore une fois de votre implication dans la chaire MEA.

Bien cordialement,

R. Condor Titulaire de la chaire « Modèle Entrepreneuriaux en Agriculture »

1. PUBLICATIONS DEPUIS 2018

1.1. Publications de recherche

∙ AISSAOUI S., BUENO MERINO P. and GRANDVAL S. (2018), « Dysfunction of a Solidarity Partnership : the Risk of Having No Contract in the CSA Cooperation », Academy of Management (AOM) 78thAnnual Meeting, Chicago, Illinois, USA, August 10-14.

∙ AISSAOUI S., BUENO MERINO P. et GRANDVAL S. (2018), « L’impact de l’identité relationnelle sur la co-création de valeur collective en circuit court de distribution amapien », 7èmes Journées Georges Doriot, Montréal, Canada, 16-17 mai.

∙ BOURDIN S., NADOU S., 2020, The role of a local authority as a stakeholder encouraging the development of biogas: a study on territorial intermediation, Journal of Environmental Management, n°258.

∙ BOURDIN S., COLAS M., RAULIN F., 2019, Understanding the problems of biogas production deployment in different regions: territorial governance matters too, Journal of Environmental Planning and Management.

∙ BOURDIN S. 2020, Le NIMBY ne suffit plus. Etude de l’acceptabilité sociale des projets de méthanisation, L’espace politique, A PARAITRE

∙ BOURDIN S., NADOU S., RAULIN F., 2019, Les collectivités locales comme acteurs intermédiaires de la territorialisation de la transition énergétique : l’exemple de la méthanisation, Géographie, Economie, Société, A PARAÎTRE

∙ CONDOR, R. (2018), « L’entrepreneuriat collectif : un modèle pour renforcer la résilience des exploitations agricoles ? Le cas de la méthanisation en France ». 7ièmes Journées Georges Doriot, Montréal, Canada, 16-17 mai.

∙ CONDOR, R. (2018), « Émile Ryckeboer, paysan pionnier. Il a osé !. Émile Ryckeboer, Jean Leroux (collab.), Paris, Orep Éditions, 2016, 224 p. », Systèmes alimentaires / Food Systems, n° 3, p. 287-292 (note de lecture d’ouvrage).

∙ CONDOR, R. (2020), Entrepreneurship in agriculture : a literature review, International Journal of Entrepreneurship and Small Business , A PARAÎTRE.

∙ CONDOR, R. (2019). L’entrepreneuriat collectif dans la méthanisation agricole-Motivations et challenges. Systèmes alimentaires, 2019 (4), p.71-91.

∙ CONDOR, R. et LAVISSIERE M. C. (2019), Les nouvelles agricultures : une analyse à partir des représentations de la presse, Colloque de la Société Française d’Economie Rurale, Bordeaux, Décembre.

Entrepreneuriatagricole en général

Circuitscourts Méthanisation Nouvelles

agricultures TOTAL

2 2 6 1 11

Répartition des publications par thème

∙ Entre 15 et 20 pages∙ Entre 8000 et 10 000 mots∙ Evalué par 2 voire 3 collègues inconnus

∙ 3 voire 4 tours d’évaluation∙ Jusqu’à 3 ans entre la première version

et la version acceptée

Format d’un article de recherche en quelques chiffres

2. ÉVÉNEMENTS ORGANISÉS DEPUIS L’INAUGURATION

2.1. Événements grand public

.

1.2. Publications presse

∙ Bourdin, S. (2019). Le Biogaz, opportunité entrepreneuriale éco-responsable, Forbes, 06 novembre 2019. https://www.forbes.fr/environnement/le-biogaz-opportunite-entreprenariale-ecoresponsable/

∙ Condor, R. (2019). Le cas Lubrizol montre qu’une vision basée sur l’autosuffisance alimentaire locale doit être questionnée, Le Monde, 18 octobre 2019. https://www.lemonde.fr/idees/article/2019/10/18/incendie-de-rouen-le-cas-lubrizol-montre-qu-une-vision-basee-sur-l-autosuffisance-alimentaire-locale-necessite-d-etre-questionnee_6016028_3232.html

∙ Condor, R. (2019). L’agriculture, un terreau de réflexion et d’inspiration pour les digital natives, 18 octobre 2019. https://blog.ecole-management-normandie.fr/?p=2795

∙ Condor, R. (2019), Les Néo-Paysans, des entrepreneurs comme les autres ?, Blog EM Normandie. 03 janvier 2019. https://blog.ecole-management-normandie.fr/?emn-expert=chaire-mea-visite-de-fermes

∙ Condor, R. (2018). L’agriculture, un nouveau terrain d’étude pour l’EM Normandie, Blog EM Normandie. 05 novembre 2018. https://blog.ecole-management-normandie.fr/?emn-expert=lagriculture-nouveau-terrain-detude-lem-normandie

∙ Lambert, R. (2019). Les circuits courts peuvent-ils tenir leurs promesses ?, The Conversation, 7 octobre 2019. 3300 lecteurs à ce jour.

Événement Date et lieu Exposition

Inauguration de la chaire MEA EMN, Le Havre, 18 octobre 2018

Environ 80 personnes présentes + exposition médiatique

Ateliers agri-connexions EMN, Caen, 16 janvier 2019

Entre 30 et 40 personnes présentes + exposition médiatique

Table ronde « Nouvelles tendances en matière de consommation alimentaire et entrepreneuriat agricole »

EMN, Le Havre, 26 mars 2019

Environ 30 personnes présentes + exposition médiatique

Table ronde « Être agriculteur et diplômé de Business School »

EMN, Caen, 26 novembre 2019

Environ 20 personnes présentes + exposition médiatique

Ateliers agri-connexions

Lycée Agricole de Tourville-sur-Pont-Audemer, 16 janvier 2019

Environ 20 personnes présentes + exposition médiatique

Table ronde « Accompagner la méthanisation agricole »

Colloque Méthanisation agricole, EMN, Caen, 03 et 04 mars 2020

Environ 80 personnes présentes + exposition médiatique

2.2. Événements scientifiques

Événement Date et lieu Exposition

Atelier « Développement durable agricole », Colloque de l’Association de Science Régionale de Langue Française (ASRDLF).

Juillet 2018, EMN Caen.

Environ 20 personnes présentes pendant l’atelier (universitaires et quelques acteurs du monde agricole)

Atelier « Entrepreneuriat agricole », 7e Colloque Georges Doriot.

École des Sciences de Gestion, Montréal, Québec, Mai 2018.

Environ 30 personnes présentes pendant l’atelier (universitaires principalement)

Type d’expérience Programme EMN Date Exposition

Prix du meilleur mémoire en agriculture 2019

Tous les M2 Année 2017-2018

2000 personnes présentes pendant la remise du prix en mars 2019

Cours de « Gestion de projet » avec fil rouge « Agriculture »

U3 Caen et Le Havre

Septembre-Octobre 2019

Environ 480 étudiants

Prix du meilleur mémoire en agriculture 2020

Tous les M2 Année 2018-2020

Remise du prix en mars 2020 lors de la remise des diplômes de l’EMN

3. EXPÉRIENCES PÉDAGOGIQUES

4. PERSPECTIVES 2020-2021

Au niveau de la recherche :

∙ Poursuite de la recherche sur les Circuits courts avec résultats de l’enquête sur la logistique comparée « circuits courts-circuits longs » en septembre 2020

∙ Poursuite de la recherche sur la méthanisation agricole (performance) avec des résultats au 1er trimestre 2021

∙ Publication de la recherche sur les « Nouvelles agricultures » en 2021 (sous réserve d’acceptation par les pairs)

∙ Réflexion en cours sur une recherche portant sur les impacts de la crise du Covid-19 sur l’agriculture normande (relocalisation industrielle)

Au niveau des événements :

∙ Sous réserve de mesures liées au Covid-19 : Afterwork ”Permaculture et agriculture urbaine” sur notre nouveau campus du Havre le 23 juin à partir de 17h

∙ Ateliers Agri-connexions : janvier 2021

∙ Atelier académique « Entrepreneuriat rural, innovation agricole et transition agroécologique», 8ième Congrès Georges Doriot, EMN, Paris, 27-29 mai 2020. (décalé à une date ultérieure)

∙ Les autres événements seront définis en Comité de Pilotage en octobre 2020

Au niveau pédagogique :

∙ Prix du meilleur mémoire en agriculture (sélection en juin 2020, jury en octobre 2020, remise du prix en mars 2021)

∙ Cours de Gestion de projet en U3 avec fil rouge sur l’agriculture (à confirmer)