EDITORIAL

L’éducation : le premier

des projets L’école constitue le socle de la dé-mocratie et de la république : ce principe a historiquement guidé les politiques éducatives du Parti So-cialiste tant au niveau national que local. Des lois Ferry instaurant la gratuité et la laïcité aux lois Jospin visant à améliorer l’égalité des chances en passant par la création des zones d’éducation prioritaire, les grandes dates qui ont marqué l’histoire du système éducatif fran-çais portent l’empreinte de nos va-leurs socialistes.

Aujourd’hui, la droite réduit les ef-fectifs et les moyens accordés à l’école : nous devons, avec vous, continuer de nous battre pour dé-fendre une école qui favorise l’inté-gration, transmet les valeurs de citoyenneté et donne son visage positif à l’autorité. C’est là tout le sens des actions menées par Conchita LACUEY et son équipe.

Le bureau de la section.

LE PARTI SOCIALISTE ET SES ELUS A VOTRE

RENCONTRE

SAMEDI 26 SEPTEMBRE Place Hilaire Saura - Rue

Jean Jaurès à partir de 11h

PARLONS EN !

FLOIRAC LETTRE D’INFORMATION DE LA SECTION DE FLOIRAC DU PARTI SOCIALISTE

Numéro 2 - Septembre2009

UNE PASSION PARTAGEEUNE PASSION PARTAGEEUNE PASSION PARTAGEEUNE PASSION PARTAGEE

de la ville : nous sommes convaincus que les enfants res-pectent leur environnement scolaire dès lors que nous pou-vons leur offrir un cadre de vie qui les respecte, c’est à dire propre, moderne et adapté à leurs besoins, des bâtiments valorisant qui apportent aux enfants et à la communauté éducative, un cadre pédagogique plus favorable. Année après année, toutes les écoles de la ville auront été moderni-sées et après Jean Jaurès et Pierre et Marie Curie, ce sont maintenant Léon Blum et Aragon qui vont être transformées.

���� La modernisation de toutes les écoles

���� Le soutien scolaire aux enfants en difficulté

Depuis 2006, la ville a mis en place sa politique de réussite éducative qui permet, à raison de 2h/semaine, de proposer des activités péri-éducatives (théâtre, arts plastiques, etc…), scolaire (aide aux devoirs) ou d’accompagnement des famil-les. En 2009, plus de 300 enfants du primaire et des collèges ont aussi pu bénéficier de ce suivi individuel qui a permis, de l’avis général des enseignants, de valoriser l’enfant et son travail et de permettre ainsi de le replacer de façon optimale dans son parcours scolaire.

Dans le futur, une nouvelle école verra le jour sur la Zac des quais et le Collège Yves du Manoir sera reconstruit au cœur du quartier Libération comme un symbole du renouveau de ce dernier. Nous continuerons ainsi d’affirmer que le travail, le mérite, la laïcité, l’égalité et le respect sont les valeurs es-sentielles et constitutives des futurs citoyens que sont nos petits floiracais.

NE PAS JETER SUR LA VOIE PUBLIQUE

Imprimé par nos soins

Depuis de nombreuses années, Conchita LACUEY et les élus socialistes ont choisi de placer l’éducation au cœur du projet municipal avec comme priorités :

���� L’ouverture a des enseignements diversifiés,

avec notamment le pôle d’excellence Côté Sciences, la piste de sécurité routière ou l’apprentissage de la natation pour les élèves de CE1. Il faut également souligner le travail réalisé dans le cadre des « parcours culturels » qui permettent aux enfants de rencontrer un artiste et ses œuvres. Enfin toutes les écoles disposent des équipements informatiques les plus adaptés. L’objectif de cette ouverture est de faire de l’ensem-ble de nos établissements, des lieux d’excellence et de réfé-rence sur l’agglomération.

FLOIRAC

SECTION DE FLOIRAC DU PARTI SOCIALISTE

47 avenue Pasteur 33270 FLOIRAC 05 56 32 73 61

Si vous désirez en savoir plus sur le Parti Socialiste ou simplement échanger,

nous sommes à votre disposition lors de nos permanences tous les mercredis de 17h30 à 19h à

notre siège, 47 avenue Pasteur à Floirac. floirac.ps@gmail.com

REJOIGNEZ NOUS !

UNE PASSION PARTAGEE

UNE PASSION PARTAGEE

UNE PASSION PARTAGEE

UNE PASSION PARTAGEE ZOOM SUR

Qui sont les gagnants et les perdants de la crise? Il y a de cela quelques mois, à en croire le Président SARKOZY, un nouvel ordre économique mondial allait voir le jour avec pour maître mot la « régulation des marchés ». Des milliards d’Euros ont été prêtés aux banques pour les sauver d’un naufrage dont le citoyen de base n’était en rien responsable, et l’on préten-dait contrôler l’utilisation de l’argent des français. Que constate-t-on depuis ? L’activité spéculative a repris ses droits, de conforta-bles bonus sont toujours versés aux traders et les banques affichent des résul-tats trimestriels tout à fait honorables.

DES BANQUES QUI PRETENT MOINS, MAIS QUI SPECULENT TOUJOURS AUTANT

Pendant ce temps, les familles ne cessent de subir les conséquences de cette crise qui n’est pas la leur. Les petites et moyennes entreprises, prises à leur tour dans la tempête, aussi peu aidées par les banquiers que les ménages, sont de plus en plus nombreuses à déposer le bilan. Le chômage n’a jamais été aussi élevé, renforcé par tous les licenciements spéculatifs des grands groupes pour satisfaire les actionnaires. Où sont alors les belles promesses de régulation de l’économie mondiale ?

LES FRANCAIS TRAVAILLENT PLUS, MEME LE DIMANCHE, MAIS

GAGNENT MOINS

Il faut bien avoir conscience que le gouvernement FILLON ne cesse de prendre des mesures qui favorisent les plus riches et font perdre chaque jour un peu plus de pouvoir d’achat aux plus fragiles. Pendant que des privilégiés se voient re-mettre par le fisc, chaque année, un chèque de plusieurs milliers d’Euros grâce au bouclier fiscal, qui coûte à tous 15 milliards d’Euros par an, les français mo-destes voient leurs revenus et leurs droits reculer : obligation de travailler le di-manche (qui fera croire que les salariés auront le choix?), âge de la retraite qui recule, médicaments qui sont de moins en moins remboursés. Et le gouverne-ment a tellement creusé les déficits qu’une hausse des impôts directs est inévita-ble. Face à cette politique purement libérale, seule une gauche au pouvoir pourra à nouveau stopper ce mouvement de casse du système social. Chacun doit main-tenant se mobiliser, en nous rejoignant ou en votant contre la politique de de l’actuelle majorité dans toutes les élections à venir.

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