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L’Histoire inoubliable d’un prêtre jésuite et de sa conversion à ChristEspagne 1942 Alberto Rivera

La mère : Oh père Abraham ! C’est un des jours les plus heureux de ma vie. Aujourd’hui mon filscommence ses études pour devenir prêtre.

Père Abraham : Oui, madame Rivera. Vous l’avez bien préparé pour cette vocation. Ah! regardez, Alberto,voilà le séminaire. Pouvez-vous le voir?

Alberto : Oui, Père Abraham, je le vois.

Père Abraham : J’ai baptisé Alberto et maintenant j’ai l’honneur de le faire entrer par ces portes.

La mère : Viens mon fils.

Alberto : Non, maman, non! Je ne veux pas y aller... Emmène-moi à la maison, maman, s’il te plaît.

La mère : Alberto, arrête! Il faut que tu viennes, il le faut!

Alberto : Non, s’il te plaît maman!!

Père Abraham : Qu’est-ce qu’il a?

La mère : Je ne comprends pas! (Alberto commence son éducation à l’âge de sept ans)

Deux ans plus tard :

Le professeur : Père, il y a trois femmes ici. Elles sont venues pour le frère Alberto. Sa mère est en trainde mourir.

Le Père : Qui sont-elles?

Le professeur : Sa grand-mère et deux tantes.

Le Père : Faites-les entrer et allez chercher le frère Alberto.

Le Père : Le médecin vous a-t-il envoyées?

La femme : Oui, Père. Il ne reste pas beaucoup de temps. Père elle est très malade. Le médecin a dit qu’ilfaut que nous nous dépêchions pour qu’Alberto puisse la voir vivante.

Le Père : Il sera ici d’un instant à l’autre.

Le professeur : Frère Alberto, des membres de votre parenté sont ici pour vous emmener à la maison. Votremère est en train de mourir.

Alberto : Quoi, Père? (souffle coupé) Oh! Non! Non Père, je ne rentre pas à la maison!

Ceci est ma maison!Ceci est ma famille!L’Église est ma mère!

(Sous l’instruction intense des prêtres jésuites*, Alberto avait complètement changé.)*Le groupe des prêtres les plus rusés dans l’institution catholique romaine.

Le père : Mon fils, permettez-moi de vous poser une question. Levez la tète et regardez-moi. N’êtes-vous

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pas ici pour devenir prêtre?

Alberto : Oui, Père.

Le père : Ne savez-vous pas que vous êtes ici pour faire un des voeux les plus sacrés*, et c’est le voeuxd’obéissance?

*promesse à Dieu

Alberto : (avec la gorge serrée) Avec votre permission, Père, je me préparerai pour m’en aller.

Le père : Permission accordée.

Alberto : Père est-ce que je reviendrai? Est-ce que je vais revenir?

Le père : Oui, frère Alberto Rivera, vous reviendrez!

La femme : Au nom de Dieu, Alberto, dépêchez-vous! Votre mère veut vous revoir avant de mourir.

La femme : Pourquoi avez-vous transporté Madame Rivera dans cette chambre à coucher?

La servante : Elle a dit que des choses étranges qui l’effrayaient entraient dans sa chambre. Elle a demandéqu’on la transporte dans l’autre chambre.

La femme : Quelles choses étranges? Oh! Si le père à dit que ce serait bien, c’est bien.

La servante : Je ne sais pas. Je ne sais que ce que l’on me dit. Le père Abraham a dit que ce serait bien.

La femme : Monsieur Rivera, votre femme était une sainte. Elle aidait tout le monde (sanglot). Il n’y enavait pas de meilleures.

Le mari : Elle était complètement dévouée à la Vierge Marie et à son Église. A ma connaissance elle n’ajamais manqué la messe. Oui, Thérèse est une sainte.

La servante : Alberto est arrivé. Allez dire à Thérèse que son fils est ici!

Un enfant : Oh! Dieu merci! Oui, j’y vais, j’y vais!

La mère : Alberto mon fils, mon prêtre. J’ai peur, Alberto. Je ne veux pas mourir. Aide-moi, je t’en prie.J’ai peur. Je veux que tu m’aide! Prie la Sainte Vierge Marie pour moi. Prie pour moi, Alberto. J’ai mêmeprié le coeur sacré de Jésus, mais je ne reçois pas de réponses dans mon âme. (Souffle coupé) Aide-moi,Alberto. J’ai tellement peur ... aide-moi.

Alberto : Père Abraham, je ne sais pas quoi faire! Ne pouvez-vous faire rien de plus, Père?

Le Père Abraham : Mon fils, j’ai fait tout ce que je pouvais.

La mère : Oh! Dieu ... je vois ces choses laides qui reviennent pour moi. J’ai tellement peur. Maintenantelles sont dans cette chambre à coucher.

Le Père Abraham : Votre mère n’a pas reçu seulement les sacrements*, mais aussi l’indulgence spécialepar le pape**, notre saint Père. On a aussi dit une grande messe spéciale. Et maintenant, Albert, je viens delui donner le dernier sacrement de l’extrême onction.

* Sacrement de baptême, de la pénitence, de l’Eucharistie, de la confirmation et le sacrement du mariage.

**Pape Pie XII

Note : Mada me Rivera ne prenait p as de méd icament.

La mère : Oh! Non! Ne voyez-vous pas? Ils veulent me mettre dans le feu! Ils veulent me saisir,Alberto! Je ne veux pas mourir et y aller. Regardez ces gens-là en feu (pouah). Ces horribles monstres

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reviennent pour moi!! (souffle coupé) Non, Alberto, fais en sorte qu’ils me lâchent. J’ai peur ... aide-moi ... j’ai peur de mourir ... feu, monstres (sanglot) je t’en prie, aide-moi (souffle coupé) aide-moi ...

Alberto : Maman, maman reviens! (Sanglot, sanglot)

Le Père Abraham : Elle est partie mon fils.(Thérèse Rivera est morte à l’âge de 33 ans)

Le lendemain :

Le Père Abraham : Alberto, il faut que vous vous confiiez dans l’Église. Je suis le prêtre qui vous a baptisé.Ne me croyez-vous pas? Peut-être après les funérailles vous me parlerez. Au revoir, mon fils.

Alberto : Je ne suis pas votre fils!

Et en lui-même il se dit : C’est tout un mensonge. Les sacrements n’ont pas aidé ma mère. L’Église ne l’apas aidé quand elle avait besoin d’aide et de réconfort. Père Abraham doit être un menteur! Il est censé êtreJésus* et Jésus n’a pas aidé... Je me sens mort au-dedans. Je ne crois plus rien.

Après les funérailles :

Sur la tombe de sa mère Alberto se dit : Si Père Abraham a menti... Alors peut-être qu’il n’a pas fait ce qu’ildevait faire. Maman, si je deviens prêtre, alors peut-être trouverai-je les réponses et j’aurai la vérité. Voilàce que je ferai! O, Dieu aide-moi à devenir prêtre afin que je puisse apporter la paix à quiconque qui soitdans le besoin. Maman je retournerai à l’école pour toi. Je reviendrai te voir, maman quand je serai prêtreet tu seras fière et heureuse. (sanglot) Adieu, maman (sanglot) je t’aime tant!

Des années plus tard à San Diégo, 1979

Au Téléphone :

Électronique Glenco : Puis-je parler à Tim Clark, s’il vous plaît?

Un instant, s’il vous plaît.

Bonjour, ici Tim Clark.

Bonjour Tim, ici Sonny, Manchester.

Tim : Sonny, que c’est bien d’entendre votre voix. Où êtes-vous?

Sonny : Je téléphone de San Diego. J’ai un problème, Tim. Pourriez-vous m’aider?

Tim : Bien sûr, Sonny. Qu’est-ce qu’il y a?

Sonny : Un de mes amis a eu un accident. Il a besoin de logement pendant quelques jours.

Tim : Pas de problème. Il peut rester chez moi aussi longtemps qu’il le veut.

Sonny : Merci Tim. Il faut que je prenne l’avion ce soit pour Chicago. C’est que je n’aime pas qu’il soitseul. Vous allez constater que c’est une personne très spéciale. Nous serons chez vous ce soir à 6h30.

Tim : D’accord, Sonny. J’ai hâte de vous revoir. Comment s’appelle votre ami?

Sonny : Il s’appelle Alberto Rivera.

Dr. Rivera, je vous présente James Carter et Tim Clark.

Jim Carter : Enchanté

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Tim : Bonjour Docteur.

Alberto : Je suis heureux de faire votre connaissance frères.

Sonny : J’ai dit au docteur Rivera que vous aviez toute ma confiance.

Tim : Vous aussi vous avez toute notre confiance Sonny.

Sonny : Docteur Rivera est pasteur et prédicateur et il a une des histoires les plus inusitées que j’ai jamaisentendue. Il est un vrai chrétien qui crois en la Bible. Vous avez ma parole. Il faut que j’aille à l’aéroportsinon je vais manquer mon vol. Docteur Rivera, que Dieu vous bénisse. Je connais le combat auquel vousfaites face. Ma famille et moi nous prierons pour vous.

Tim : Au revoir Sonny.

Sonny : Merci pour tout. Ça été un plaisir de vous voir.

Tim : Qu’est-ce que vous avez fait en Espagne, Docteur Rivera?

Alberto : J’étais un prêtre jésuite et un évêque dans l’ancienne institution catholique romaine.

James Carter : Que c’est intéressant!

Tim : Les jésuites sont en tête de tous les ordres religieux dans l’Église catholique, n’est-ce pas?

Alberto : Oui, ils ont été fondés en 1541 par un homme qui s’appelle Ignatius de Loyola... dans le butd’arrêter la propagation du protestantisme. (Gens qui ont protesté contre l’enseignement catholique romain.)

* Théocratie occulte par Quenborough, page 308, Enc, brit., neuvième édition, art, jésuites.

Ils étaient l’intelligencia (les plus intelligents). Dans le passé, des jésuites ont conseillé des rois, ont faittomber des gouvernements et ils continuent de le faire. Ce sont les professeurs des universités catholiquesromaines.

Mes amis, les jésuites sont plus puissants que vous n’avez jamais imaginé.

Tim : J’aimerais en entendre plus sur ce sujet, Docteur Rivera.

Alberto : Appelez-moi Alberto.

Tim : D’accord Alberto. Combien de jésuites y a-t-il?

Alberto : À peu près 102,000.

Tim : Et ils sont complètement dévoués au Pape?

Alberto : Non!

James : Comment? Le Pape ne dirige-t-il pas le Vatican (siège central de l’institution catholique romaine à Rome)

Alberto : Non, mes amis, il y a un autre homme qui, en fait, mène la danse.

James : C’est incroyable! Qui est-ce?

Alberto : Dans le Vatican, c’est chose connue. L’homme est le général jésuite. Il est connu sous le nom de“pape noire.”

James : Vous voulez dire qu’il est de race noire.

Alberto : Non James. Il est de race blanche, mais il se revêt de noir. Il est le vrai pourvoir dans le Vatican.

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V. Théoc ratie occulte, d ame Qu eenboro ugh, ordre des jésuites, p age 911 , publié par les publicatio ns Émissaire , B.P . 842, S.

Pasadena (Californie), 91030.

Rien n’est comme il le semble, Messieurs. L’institution catholique romaine est pleine de surprises. Plus hautje montais, plus je voyais des choses qui me troublaient. J’imagine que c’est la raison pour laquelle environ86% des prêtres (y compris les jésuites) suivent des traitements psychologiques et psychiatriques.

Tim : Alberto, est-ce que vous pourriez commencer par le début?

Alberto : Oui, bien sûr! Je crois que la première chose qui a ébranlé ma foi, c’est la mort de ma précieusemère. Elle était complètement dévouée à l’Église et ne mettait jamais en question son enseignement parcequ’elle se confiait dans ses prêtres. Et quand elle est entrée dans une éternité sans Christ en criant et avecre regard d’horreur peint sur son visage, le prêtre m’a dit qu’il a fait tout ce qu’il pouvait. Ma mère a perduson âme. Je croyais que d’était notre prêtre qui était coupable. Alors je me suis voué à la prêtrise et j’aipromis de trouver la vérité. Oui, la mort de ma mère est le premier grand événement qui a ébranlé ma foi.

Le second événement qui m’a profondément troublé à eu lieu à l’éccole très tard une nuit. Je venais dem’endormir. Quelqu’un est monté dans mon lit et a commencé à m’embrassé. Qu’est-ce que... sors de monlit. PAN AÏE! Père recteur, (directeur) père, venez ici!

Le Gars : Mon nez! Vous m’avez cassez le nez!

Le Recteur : Qu’est-ce qui se passe ici?

Le Gars : Alberto m’a frappé sur le nez Père.

Alberto : Père, il est monté dans mon lit et ‘a embrassé, et...

Le Recteur : Sortez! Tout le monde hors de cette chambre. Restez ici, Alberto. Quelle honte, AlbertoAgenouillez-vous pour la confession!

Alberto : Mais Père, c’est lui qui est monté dans mon lit. Je ne comprends pas!

Le Recteur : À genoux, avouez votre péché.

Alberto : Quel a été mon péché?

Le Recteur : votre péché a été, Alberto ... qu’il vous a offert son amour et ceci était l’amour de Dieu et vousl’avez rejeté.

Alberto : (souffle coupé) a mon étonnement, l’homosexuel n’a même pas été questionné. Plus tard, j’aidécouvert l’homosexualité partout dans le système, depuis les prêtres jusqu’au cardinal (celui qui suit lepape).

Ne savez-vous pas que les injustes n'hériteront point le royaume de Dieu? Ne vous y trompez pas: ni les impudiques, ni les

idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les

ravisseurs, n'hériteront le royaume de Dieu. 1 Cor 6 : 9-10

Le fait que l’institution catholique romaine ne permette pas le mariage des prêtres ni des religieuses a causéde graves problèmes. Quand j’étais dans le confessionnal, quelques religieuses ont confessé leur lesbianisme,et d’autres ont avoué avoir eu des liaisons amoureuses avec des prêtres. ( voir “Le pr être la femme et le

confessionnal” par Chiniquy, publié par les publications Chick )

Tim : Ça doit être une source continuelle de frustration Alberto. Alberto j’ai entendu des histoires sur desouvriers qui creusaient dans une propriété catholique et ils ont découvert des cimetières souterrains cachés.Ils ont trouvé des squelettes de bébés, d’après ce qu’on croyait des bébés de religieuses qui étaient devenuesenceintes. Y a-t-il du vrai dans cela?

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Alberto : Oh, oui, C’est vrai. Cela a eu lieu à Seville en Espagne vers 1934. Aussi, une découverte a été faiteà Madrid en 1932 et une autre dans la région basque dans le Nord de l’Espagne. Les gouvernements desprésidents Aznar ont demandé qu’on fasse une investigation nationale de tous les monastères, couvents,écoles catholiques romaines et bâtiments religieux. Beaucoup de cimetières semblables ont été trouvés enEspagne et à Rome* et en 1936, les catholiques d’Espagne étaient outragés et ils ont attaqué et détruitbeaucoup de bâtiments religieux où ces tunnels existaient.

Des médecins du gouvernement ont examiné les corps et ont rapporté que dans la plupart des cas, la mortétait causée par suffocation. A la lumière de cela, n’est-ce pas étrange que l’institution catholique romaineest contre l’avortement?

* “Babylone : religion de mystère” par Ralph Woodrow, pages 116, 11 7, édition d e 1981 . On peut o btenir le témo ignage de la

soeur Charlotte qui révèle des informations semglable en écrivant à : A.I.C., B.P. 1513, Upland (California), 91710 U.S.A.

Vous voyez, dans la prêtrise catholique romaine, il n’y aurait pas d’institution catholique romaine.

Tim : Pourquoi pas?

Alberto : Parce que le voeu le plus important est celui du célibat, (jamais de relations sexuelles) sans lequel iln’y a pas de sacrement d’ordre. Cela place le prêtre sur un piédestal. Ils prétendent que Dieu lui accorde Sagrâce plus qu’aux autres parce qu’il reste célibataire. Si tous les prêtres se marient, cela détruiraient lesystème parce que l’institution est fondée sur certaines lois (canon) qui disent que le pape ne peut venir quede la prêtrise. Pas de pape, pas d’institution catholique romaine.

Le pape est sensé d’être le chef. Ce point a été bien expliqué par Augustin, un écrivain catholique romainqui vivait vers 420 A.-C. Dans la version originale de son livre “la ville de Dieu.” Des versions plus récentesont supprimé cette information afin de le cacher du public.

“Il (le pape) est le soleil, le souverain de l’univers. La lune (les gouvernements) de la terre) reflètent sagloire. La terre est tous ceux qui s’inclinent devant lui.”

Il a dit, en un mot, que Dieu a accordé au pape le droit divin comme Jésus-christ sur terre de contrôlersecrètement la population dans chaque pays par l’éducation, la politique, l’économie et la force militaire.

* Au temps d’Augustin, le pape s’appelait l’évêque de Rome.

** “L’autre côté de Rome” par Wilder, pages 155 à 159 , publié par Zondervan, Grand Rapids (Michigann, 49506, 1959. V oir

aussi “Cultes à Ball” les croisés tome 9, “Ange de lumière” et les Croisés tome 11, “Sabotage?”

Mon autre grand choc a eu lieu à l’école. J’avais 16 ans. Le professeur parlait de Pierre comme ayant été lepremier pape.

J’ai posé une question qui a failli me détruire.

Le professeur : Levez-vous Alberto! Qu’est-ce que vous avez dit?

Alberto : Je ne savais pas que j’avais défié le pape même. (Afin de prouver que l’apôtre Pierre était lepremier pape, le professeur avait dit que Simon Pierre était le roc sur lequel l’institution catholique romainea été bâtie.)

Comment Pierre pourrait-il être le roc sur lequel l’Église a été bâtie?

Le professeur : Parce que cela a bien été prouvé dans l’ancienne Bible araméenne qui n’existe plus.

Alberto : Je ne comprends pas? D’après ce que vous nous avez dit dans le latin et dans le Grec, Simon veutdire “sable” et Pierre veux dire “caillou.” Jésus n’est-il pas le roc?

Le professeur : Je ne vous ai pas donné la permission de poser des questions, Alberto.

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Alberto : S’il vous plaît, permettez-moi de continuer, je vous en prie. Jésus a dit “Sur ce roc je bâtirai monÉglise” Alors Pierre ne pourrait jamais être ce roc là, parce que juste après cela, Jésus appelle Pierre “Satan”Math 16:23.

Le professeur : Sortez! Ne rentrez plus dans ma salle de classe. Vous êtes hors de place! Vous parlezcomme un hérétique, (Toute personne qui n’est pas d’accord avec le pape ou les enseignements de l’institution catholique

romaine.) un communiste. Attendez dehors!

2 heures plus tard :

Le professeur : Je ne vous ai pas fait venir à mon bureau pour quelques choses de mal que vous avez fait,mais parce que ce que vous avez dit était très dangereux.

Alberto : Qu’est ce que j’ai fait? Pour quoi est-ce que vous m’avez traité de tous ces noms?

Le professeur : Il fallait bien que je me protège, bien que je sois d’accord avec ce que vous avez dit. Je nepourrais jamais permettre que mes étudiants sachent ce que je crois vraiment.

Alberto : Je ne comprends pas, Père.

Le professeur : Si je vous dénonçais au pasteur, on vous punirait. Ce que vous avez fait était très dangereux.Un jour vous découvrirez qu’il y a beaucoup de choses dont vous ne devez jamais parler. On vous a averti.Maintenant, allez.

(On ne nous permettait pas de lire des Bibles. Seulement les professeurs pouvaient les utiliser. Un jour, unétudiant plus jeune a glissé un Nouveau Testament dans mes mains.)

Alberto : Qu’est-ce que c’est?

L’étudiant : C’est une question de vie ou de mort Alberto. Lisez-le! Il faut que je m’en aille, adieu.

Alberto : J’avais peur. Il n’avait pas le sceau officiel d’approbation de l’Église catholique romaine sur lapremière page. (Nihil Obstat: Imprimatur) Alors, je l’ai caché.

Je porte des lunettes aujourd’hui parce que pendant trois ans je le lisais la nuit avec une lampe de poche sousles draps.

James : Qu’est-ce que vous avez fait quand vous avez découvert que Pierre était marié? *

* ( “ Jésus se rend it ensuite à la maison de Pierre, do nt il vit la belle-mère couchée et ayant la fièvre. Il toucha sa main, et la fièvre

la quitta; puis elle se leva, et le servit. (M ath 8 : 14-15 ) se trouve au ssi dans M arc 1:30 e t Luc 4: 38 ,39.

Alberto : J’ai failli mourir! Une nuit, j’ai lu ces mots choquants dans 1 Timothée, chapitre 3, versets 2,3,4,5.

2- Il faut donc que l'évêque soit irréprochable, mari d'une seule femme, sobre, modéré, réglé dans saconduite, hospitalier, propre à l'enseignement.

3- Il faut qu'il ne soit ni adonné au vin, ni violent, mais indulgent, pacifique, désintéressé.

4- Il faut qu'il dirige bien sa propre maison, et qu'il tienne ses enfants dans la soumission et dans uneparfaite honnêteté;

5- car si quelqu'un ne sait pas diriger sa propre maison, comment prendra-t-il soin de l'Église de Dieu?

Et puis j’ai trouvé ce verset: “Tu es Simon, fils de Jonas; tu seras appelé Céphas (ce qui signifie Pierre.” (Jean

1:42)

J’avais raison! Pierre n’était pas le roc, c’était Jésus!

Remarques: Pour toute question qui concerne le catholicisme romain, leurs dogmes ou doctrines, voir “Les deux Babylones” par

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Hilslop et “50 ans dans ‘l’Église’ de Rome” par Chiniquy. Publications Chick.

Vers cette époque, nous avons commencé à suivre des cous sur l’histoire de l’inquisition. Cela me faisaithaïr encore plus les protestants. Pourtant, quelques-uns des renseignements me secouaient. Peu savais-je quebientôt on m’entraînerait comme un agent d’espionnage (travail secret comme un espion) pour détruire les Églisesprotestantes.

L’Inquisition était la machine de cruauté et de pouvoir la plus horrible que le monde a jamais vu.L’Institution catholique romaine dès 1200 A.-C. Avait fait un total de *68 millions de victime. L’office saint,qui dirigeait l’inquisition, était organisé par les **moines dominicains Mais les esprits supérieurs derrièreseux étaient les jésuites. L’office saint était une chose de terreur partout où il s’était étendu. Personne n’étaità l’abri!

Aujourd’hui l’institution catholique romaine est occupée à réécrire l’histoire de l’inquisition pour cacherles erreurs. Des livres à ce sujet disparaissent silencieusement de bien des bibliothèques. C’est un dessecrets les mieux gardés des temps modernes.

* “L’autre côté de Rome” par J.B.Wilder, la maison de publication Zondervan, Grand, Rapids (Michigan),page 153.** Un groupe formé par un prêtre appelé Dominique.

Dans nos cours d’histoire ecclésiastique, les professeurs lisaient ce qui se disait vraiment pendant un desprocès de l’inquisition.

Le professeur aux élèves : Un jour, comme prêtres vous aurez à répondre à des questions sur l’inquisition.Dans ce cours, nous expliquerons ce qui s’est passé vraiment. Je lirai ce cas et vous montrerai pourquoil’Église avait l’autorité morale (droit ou pouvoir) de trouver cette hérétique coupable et de la condamner à mort.

Voici le cas :

Le 21 mai 1559, des chrétiens qui croyaient en la Bible rendaient un culte à Dieu dans un foyer. On l’asignalé à l’office saint. C’était considéré comme un crime punissable par la mort.

Le saint office : CRAC (l’on défonce la porte) Arrêter au nom de l’office saint! Saisissez les hérétiques! Ilsrendent un culte au diable. C’est une réunion de sorcières!

Une chrétienne : La dame est Dona Isabella lâchez-la, s’il vous plaît. C’est une comtesse. C’est la cousinedu roi Philippe.

Le saint office : Ha, quand il y a des hérétiques, il n’y a pas de comtesse, ni princes, si rois. Un hérétiqueest un hérétiques.

La chrétienne : Ayez pitié. Elle est enceinte. Elle va avoir un enfant!

Le saint office : Dieu ne protège pas l’enfant d’une hérétique parce que lui aussi, il sera un hérétique.Emmenez-la!

Le tribunal (Cour religieuse) et le jury s’assoient à la place de Dieu. Ne pas être d’accord avec eux, c’étaitdéfier Dieu.

Le saint office : Vous hérétiques abjurez-vous? (Renier) Vous repentirez-vous? (se raviser)

La chrétienne : Non, je ne le fais pas! Comment puis-je le faire? Nier (rejeter - dire q ue ce n’est pa s vrai) monSauveur. Comment puis-je nier Celui qui est mort sur la croix pour mes péchés? Comment puis-je nier Celuiqui m’a donné la vie? Comment puis-je nier celui qui set ma seule espérance dans l’éternité après que vousaurez massacré mon corps? Après que vous aurez détruit ma personne?

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Le saint office : Mort à la sorcière! Elle est menteuse.

La chrétienne : Monsieur, je ne vais pas mentir parce que j’ai appris la vérité.

Le saint office : Que c’est que la vérité? Dites-le-nous? Avouez, vous sorcière, quelle vérité?

La chrétienne : Vous voulez savoir la vérité. Je prie Dieu que vous puissiez le connaître parce qu’il est lavérité.

Le saint office : Dona Isabella, qui est-il? Qui est-il?

La chrétienne : Christ, mon Sauveur. Jésus a dit: “Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Pèreque par moi.” (Jean 14:6)

Le saint office : Arrêtez, hérétique! La Vierge Marie a dit cela! Menteuse! C’est la sainte mère qui a ditcela! Pas Jésus! Tuez-la! Mettez-la sur le banc de torture!

Dona Isabella a été mise sur le banc de torture. On laissait tomber de l’eau dans sa bouche goutte par goutte,forçant dans sa gorge un torchon de lin rêche (rude au toucher) et cassant jusqu’à ce qu’il est atteint sonestomac. Alors, on l’a arraché, tranchant tout, depuis son estomac jusqu’à sa bouche.

Dona Isabella refusait toujours de renier sa foi en Christ, alors, on l’a emmenée dehors afin de payer un pristerrible.

La chrétienne : Doux Jésus... Emmène-nous à la maison.

Le saint office : Brûlez-la pour la gloire de Dieu...

Sale hérétique! Sorcière!

Alors Dona Isabella dans sa robe trempée de sang meurt dans les flammes et est portée aux bras de sonprécieux Sauveur pour rencontrer son bébé qui, à son insu, était mort sur le banc de torture.

Fait historique : Philippe II est venu voir l’exécution de Dona Isabella, parce qu’elle était sa cousine. Il ajoui de l’exécution.

Le professeur aux étudiants : Alors vous voyez comment Dieu a protégé notre foi et sauvé l’Église.

Les étudiants : Oui Père, oui.

Tim : Alberto, ne saviez-vous pas que c’était mauvais?

Alberto : Oui, mais j’étais tellement embrouillé que j’en avais des cauchemars et pourtant, je haïssais lesprotestants. Je croyais qu’ils étaient nos ennemis les plus mortels. C’est pourquoi ils m’ont placé dans letravail d’espionnage (travail secret comme espion) afin que je m’infiltre (entrer furtivement dans un groupe sans que

celui-ci sache la vraie identité d e celui qui s’y introd uit) dans des Églises et les détruises.

J’avais 14 ans quand le cours sur le protestantisme et ses hérésies a commencé.

Tableaux :

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A

! Anglican

! Églises de

Dieu

! Méthodistes

! Luthériens

B

! Adventistes du septième

jour

! Nazaréens

! Églises de Christ

C

! Frères de

Plymouth

! Pentecôtistes

! Baptistes

! Évangéliq ues unis

D

! Alliance

missionnaire

! Assemblées de Dieu

! Mormons

! Témoins de Jéhovah

E

! Musulmans

! Coptes

! Orthodoxes grecs

Le professeur : Alberto, le groupe avec lequel vous travaillerez se concentrera sur ces quatre groupesd’Église. Frères de Plymouth, Pentecôtistes, Baptistes et Évangélique unis. (Groupe C)

Alberto : Avec le passage des années, je m’infiltrerais dans des centaines d’églises et d’organismes.

Vers 1550 A.-C., les jésuites ont commencé à s’infiltrer dans chaque religion et confession. Ils le fonttoujours aujourd’hui d’une manière beaucoup plus sophistiquée, grâce au mouvementoecuménique/charismatique. Et à quelques Églises fondamentalistes.

Des prêtres qui s’étaient infiltrés avec succès dans les frères Plymouth, nous ont donné des livres écrits parDarby, Scofield, Kelly, etc, Nous avons étudié leurs tableaux de la dispensation (qui montrent des époques

importantes de la Bible)

Le professeur : Celles-ci sont les sept églises de l’Apocalypse.

Alberto : Nous avons même tenu des services du type des Frères de Plymouth, Le prêtre nous a montrécomment rompre le pain le jour du Seigneur.

Quand ils croyaient que nous étions prêts, ils nous donnaient les adresses des églises dans lesquelless’infiltrer et nous disaient comment feindre que nous avions accepté Christ.

Tim : Comment saviez-vous où se trouvaient ces églises?

Alberto : La seule religion permise en Espagne était le catholicisme romain. Les prêtres locaux avaient deslistes. Si quelqu’un ne venait pas à la messe, on les notifiait à la police secrète. Ils les suivaient jusqu’à cequ’ils trouvent leurs églises souterraines.

On nous a enseigner comment jouer avec les enfants des membres de l’Église, et quelles questions poser auxenfants quand nous étions seuls. Aussi, quand on nous invitait à dîner, on nous montrait comment apporterdes fleurs à la dame, comment être très polis, et comment leur ouvrir les portes. Quand nous étions seulsavec elles, comment les flatter en leur disant combien elles étaient belles et charmantes.

Nous avons appris comment jouer avec leurs sentiments en démontrant une grande sympathie quand un deleurs bien aimés mourait ... aussi comment leur montrer un grand intérêt quand ils passaient par une grandecrise quelconque.

La partie la plus intéressante était comment diviser une Église et détruire un pasteur qui disait quel’institution catholique romaine n’était pas une Église chrétienne. Ou s’il disait que les catholiques romainsne pouvaient être chrétiens. Pour cette raison-là, il était notre cible.

En Espagne seulement, j’ai aidé à détruire au moins dix-neuf Églises.

Je me suis laissé prendre dans une descente en Espagne afin que mon nom apparaisse dans les journauxcomme un hérétique. J’ai aussi reçu une lettre personnelle du pasteur de cette Église, me recommandant

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comme un chrétien fidèle et digne de confiance. Il ne savait pas que j’étais responsable de la descente et dufait qu’il était en prison. J’avais 17 ans à cette époque-là.

Avec la lettre de ce pasteur, on m’a accepté dans une Église baptiste au Venezuela. L’institution m’y aenvoyé afin que je m’y infiltre et que je sois transféré à un séminaire théologique inter-dénominationnel (une

école religieu se protestan te qui prép are des étud iants pour le p astorat.)

Tim : Pourquoi tous les noms Alberto?

Alberto : Ils sont introduits dans un ordinateur gigantesque pour l’office saint.

Tim : Un instant, est-ce que vous êtes en train de dire que l’office saint qui a dirigé l’inquisition est toujoursen opération?

Alberto : Absolument! Ils ont les noms de chaque pasteur protestant et les noms de touts les membres desÉglises y compris les catholiques romains dans cet ordinateur.

Tim : Est-ce que ce sera utilisé contre eux à l’avenir?

Alberto : Absolument ... s’ils résistent à la super-Église (quand l’institution catholique romaine réunira toutes les

Églises protestantes sous son co ntrôle.) Mondial que Rome essaie de construire. Et les autres ennemis à l’intérieurde l’institution qui s’opposent au mouvement charismatique catholique romain seront tués!

Tim : Vous voulez dire ... une nouvelle inquisition?

Alberto : Bien sûr! Elle est la grande prostituée au dix-septième chapitre de l’Apocalypse. Les saints de latribulation seront mis à mort par elles. (Apoc 7:14; 6:9-11; 20:4)

Tim : Viens vite, Seigneur Jésus!

Alberto : Oui, ce ne sera pas long. (Voir les Croisés, tome 5, “Chaos”)

Maintenant, retournons voir comment j’ai détruit l’Église baptiste au Venezuela. La moitié de l’Églisecroyait que l’institution catholique romaine était une Église chrétienne et je leur disais ceci :

Oh! Oui. J’ai beaucoup de parents dans l’Église catholique qui aiment le Seigneur et je crois qu’ils sont descroyants chrétiens sauvés. C’est une église chrétienne.

Ceux qui ne croient pas ceci causent une énorme division et du dommage dans le corps de Christ.

* Beaucoup ont été détruits dans leur propre foi chrétienne quand des pasteurs les attaquent. Ça causetoutes sortes de confusion, de distordions et dissensions. Il faut que ça cesse. Il faut que nous prêchionsl’amour.

* Ce sont des prop ositions jésuites, sonnent-elles familières?

Note : ( Dieu a disposé le corps de manière à donner plus d'honneur à ce qui en manquait, afin qu'il n'y ait pas de division dans

le corps, mais que les membres aient également soin les uns des autres. (1 Cor12 : 24-25) )

Puis au pasteur et à ceux qui l’appuyait, je disais :

Oh! pasteur, vous avez raison! L’Église catholique n’est pas chrétienne. J’ai souffert à cause d’elle enEspagne. Ils haïssent les chrétiens. Mon cher pasteur set toujours en prison. Il faut que vous protestiez contrecela. Regardez mon nom dans le journal. Ils m’ont appelé un hérétique.

Pendant que le pasteur baptiste me faisait entrer dans le séminaire inter-dénominationnel, mon avonscommencé à faire circuler la rumeur que le pasteur avait une liaison amoureuse avec une fille de 18 ans.

Les autres chrétiennes : Que c’est terrible la pauvre enfant.

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Notes : Elle était une plante catholique. Elle a dit aux diacres (officiel de l’Église sous l’autorité du pasteur) quis’opposaient au pasteur qu’elle voulait confesser qu’elle et le pasteur avaient eu une liaison amoureuse. Lepasteur était innocent. Sa femme a divorcé. L’église était détruite. Et j’ai continué avec ma prochaine tâche.

James : Avant de continuer Alberto, existe-t-il quelques plans pour détruire un homme fort de Dieu quin’accepte pas un compromis?

Alberto : Oui, voici trois des moyens les plus important.

1. Le discréditer

2. L’isoler (être laisser tout seul sans amis ni secours)

3. La mort par des moyens différents.

Premièrement:

Détruire sa réputation par des mensonges, changeant quelques choses qu’il a dit, le faire passer pour unennemi du pays, lui causer des ennuis avec les officiels ou le tromper avec une femme. Elle pourrait jouerle rôle de sa secrétaire pour avoir une liaison amoureuse avec lui. Une fois nous avons fait appeler un pasteurà une maison tard dans la soirée. En route, nous avions une femme en détresse à côté de la rue. Il s’est arrêtépour aider. Elle a crié “viol”, a déchiré sa robe et son partenaire les ont photographiés, détruisant ainsi lepasteur.

Des agences gouvernementales ou la police font une enquête ou la police font une enquête sur lui parce qu’ila été accusé de toutes sortes de choses, de la vente des drogues jusqu’à la fraude de l’impôt sur le revenu.Quand il prouve son innocence, c’est trop tard. La presse l’a déjà fait paraître coupable.

On peut détruire son crédit comme par les cartes de crédit. On le dit à tout le monde sauf à lui, ce qui le metdans un vrai bourbier. Ils s’excusent de la confusion quand c’est trop tard, tout cela est pour le faire paraîtremauvais. Des appels secrets accusant sa femme ou ses enfants d’actes obscènes.

Ce n’est qu’un petit nombre de choses pour le faire paraître mauvais. Maintenant, on le considère commeétant une personne peu fiable et on le traite de menteur et de voleur.

Deuxièmement : Isolation

On commence une campagne de lettre et de rumeurs disant qu’il est trop discutable, (tout ce qu’il dit cause des

problèmes) il est un fauteur de troubles. Ceux qui s’opposent à sa position l’appellent un ennemi qui causede la division. Il est contre l’Unité! Il ne montre pas l’amour de Dieu! Il a ses propres doctrines ou croyancesétranges. On le laisse seul sans amis de pasteur.

On répand autre mensonge disant qu’il a eu une dépression nerveuse. Alors on ne peut compter sur ce qu’ildit. La plupart d’entre eux cèdent et acceptent un compromis. C’est plus facile que de faire face à la pression.On utilise l’isolation pour les contraindre à quitter le ministère.

Troisième - la mort - le dernier ressort

Quand il croit qu’il a un appel de Dieu et n’accepte pas de compromis sous toute cette pression pard’autres pasteurs, par des amis, et par la famille, alors des choses étranges ont lieu.

Il est heurté par une voiture dans un accident, va à l’hôpital. Quelque infirmière débranche son oxygène ouil y a une confusion de médicament. Il développe des complications et meurt.

Il peut mourir d’empoisonnement alimentaire ou on peut lui donner des drogues qui changent l’esprit et lemettent dans une institution mentale. Il peut avoir une bagarre mystérieuse avec un étranger qui le poignardedans le noir ou on fait un contrat pour l’assassiner. Comme vous pouvez voir nous sommes en guerre.

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Note : une technique fatale c’est de produire un double qui ressemble à la victime pourvue des papiersd’identification; utilisant son nom, il mène exprès une vie de débauchée, contrefait des papiers, ruinant soncrédit et détruit sa réputation.

Le séminaire protestant que je devais détruire se trouvait à Costa-Rica. Il était inter-dénominationnel.

Deux belles filles ont été assignées à travailler avec moi. Les deux étaient d’un groupe d’action de lajeunesse catholique, faignant d’être chrétiennes évangéliques, fondamentales, nées de nouveau qui croyaienten la Bible.

Carmen devait être mon amie au collège biblique. Marie a été assignée à détruire des pasteurs et à introduirele sexe parmi les étudiants.

Afin de prouver que j’étais anti-catholique, je me disputais devant les autres étudiants avec les prêtresjésuites qui venaient au collège biblique.

James : Ces jésuites vous connaissait-ils?

Alberto : Oh oui!, c’était ne farce. Je rapportais tout de cette institution à ces prêtres. A leur tour, ils l’ontpassé à l’office saint dans le Vatican.

J’ai causé des troubles parmi les étudiants en allant contre les règles sévères qui séparent les garçons et lesfilles. Je prenais la main de Carmen.

Les professeurs femmes : Qu’est-ce qui se passe avec cette école? Ma foi!

Alberto : Les professeurs femmes étaient missionnaires et célibataires. Elles étaient scandalisées.

J’ai fait venir quelques beau jeunes hommes catholiques qui feignaient d’être chrétiens afin qu’ils séduisentles professeurs femmes plus jeunes. Je visitais la résidence des filles après les heures convenables.

Une nuit, Carmen et moi, on a fait exprès pour qu’on mous découvre sur le domaine de la résidence desfilles. Carmen était dans sa chemise de nuit.

Carmen : Toutes les filles font la même chose avec d’autres étudiants.

Les filles : C’est dégueulasse!

Les professeurs : Oh! mon Dieu, comment est-ce que cela s’est passé?

Alberto : Cela a créé un scandale dans les journaux. Un prêtre jésuite a écrit l’article. Le collège a étéébranlé. On le considérait comme un lieu de corruption.

Je m’habillais comme un rustaud toujours en retard. J’ai initié des discussions avec les professeurs et puis,je les accusais de ne pas avoir d’amour chrétien.

Le professeur : Vous êtes en retard de nouveau Alberto?

Albert : ne me harcelez (tracasser) pas. Pourquoi est-ce que vous me persécutez tout le temps? Vous avezl’air d’un prêtre?

A chaque occasion je les convainquais qu’il y avait beaucoup de bons chrétiens dans l’institution catholiqueet que les écoles catholiques étaient les meilleurs à cause de la discipline. Pas d’excuse, jamais de scandales!

Marie avait été occupée. Beaucoup des dix-sept étudiants qu’elle avait séduits avaient été renvoyés.Maintenant, c’était le temps de travailler contre les pasteurs.

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Quand je voyais une Église chrétienne où les gens s’embrassaient beaucoup et un pasteur qui touchait Mariesouvent et regardait comment elle marchait, je lui disais de le détruire.

Marie : Oh! pasteur, je ne peux m’éloigner de vous.

Le pasteur : (La gorge serrée)

Trois pasteurs sont tombés : un Méthodiste, un Pentecôtiste et un pasteur de l’Église quadrangulaire. Nousexigions qu’ils cessent d’être anti-catholique ou ils payeraient les conséquences!

La mission a été un succès. Les trois pasteurs sont devenus oecuméniques. (La réunio n de toutes les Églises qui,

à la fin, se joindro nt à l’institution catho lique roma ine.) Ils ont commencé à prêcher seulement sur l’amour de Dieu.Ils ne pourraient plus jamais dire que les catholiques romains allaient en enfer. Tout selon nos plans.

Dans le collège biblique, la dernière goutte d’eau a été versée quand j’ai persuadé les étudiants de faire unegrève de la faim pendant trois jours pour améliorer les conditions.

Encore, cela a apparu dans les journaux. L’école était sur le point d’être condamnée. Les prêtres catholiquesexigeaient qu’on la ferme. C’est un outil du diable, prétendaient-ils.

Les officiels de l’école : Alberto Rivera, vous êtes en état d’arrestation.

Quand les officiels de l’école ont essayé de m’envoyer en dehors du pays, le Vatican, par le gouvernementd’Espagne, prétendait que j’étais un déserteur de l’armée. On m’a renvoyé avant qu’ils ne découvrent quej’étais un jésuite.

Note intéressante : Aujourd’hui, ce collège public est totalement oecuménique, travaillant de très près avecles prêtres catholiques romains.

James : Alberto, pourquoi ces filles séduisaient-elles ces pasteurs? C’est totalement mal.

Alberto : Elles l’ont fait pour deux raisons, James. Elles défendaient leur foi en détruisant leurs ennemiset en faisant des points pour sortir du purgatoire. Le système catholique romain a remplacé l’enfer bibliquepar le purgatoire* afin qu’ils puissent avoir leurs prêtres et leurs sacrements.

* En 593 A.-C. Le pape Grégoire I a entrepris l’enseignement du purgatoire comme un lieu temporelde purification pour ceux qui meurent comme catholiques romains. Le conseil de Florence l’a renduofficiel ne 1439.

James : Je ne comprends pas.

Alberto : La bible nous dit que ceux qui meurent dans leurs péchés sont perdus pour toujours dans le lacde feu.

(Et “la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles...” (Apocalypse 14:11)

Si quelqu’un va en enfer, il n’y a pas de deuxième chance. Tout est fini. Mais quand vous leur faites croirequ’il y a un purgatoire... et que vous pouvez en faire sortir leurs âmes brûlantes par des relations spécialesou par des influences, alors ils feront tout ce que le prêtre leur demande de faire ou ils paieront tout ce quele prêtre leur demande de payer.

Marie et Carmen croyaient que ce qu’elles ont fait leur donnait une grâce spéciale, ce qui veut dire qu’ellespasseront moins de temps et souffriront moins au purgatoire.

James : Alors, des gens tueraient, s’il le faillait?

Alberto : Oui, les moines et les religieuses qui assassinaient des chrétiens pendant l’inquisition, l’on faitpour sortir du purgatoire. C’est une arme puissante pour contrôler les catholiques romains.

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James : Alberto, qu’est-ce que c’est que la messe au juste?

Alberto : Ah, c’était une belle invention. L’évêque de Rome l’a imaginé en 368 A.-C. Pendant les sessionsdu conseil de Trente un mot nouveau a été créé pour expliquer la messe. C’était la “transsubstantiation” (ce

qui veut dire qu e le prêtre a le pouvoir de changer le pain et le vin en Dieu tout-puissant (le corps, âme et sang véritables de Jésus-

Christ)

James : Tiens, c’est du blasphème total et ils l’ont gobé?

Alberto : Absolument! Le prêtre prétend qu’il a le pourvoir de faire descendre le Christ des cieux pourrépéter la crucifixion chaque fois qu’on célèbre la messe.

James : C’est fou! La Bible dit: “Lui (Jésus) après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assispour toujours à la droite de Dieu” (Hébreux 10:12)

Alberto : C’est pourquoi ce verset n’est jamais lu aux catholiques romains. Un autre verset que les prêtreshaïssent: “Et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus-christ le Juste.” (1 Jean 2:1)

Parlant d’un avocat, l’institution catholique romaine a dupé ses disciples à croire ceci (et c’est de l’adorationdiabolique pure). (Voir “Le s deux B abylones” par Hislop , publié par les Frères Loizeaux, Neptune (New Jersey), le chapitre

intitulé “La mère de l’enfant” V oir aussi “Sab otage” les C roisés, numé ro 11, pa ge 23.)

Ce qui suit n’est pas dans la bible ... L’institution catholique romain dit : Jésus est dans les cieux commeun juge, sans miséricorde. Personne n’est permis de plaider sa cause devant Lui. Alors, Marie y est assisedevant Lui comme une mère pleine de compassion et de compréhension, priant son fils de pardonner lescatholiques romains qui la prient fidèlement et qui croient qu’elle est la co-salvatrice et la co-rédemptrice(prétendant qu’elle a répandu son sang en même temps que Jésus quand il a été crucifié à cause de sa douleuret de sa souffrance pour l’humanité).

James : Alors Marie est leur billet pour le ciel, après qu’il ont été au purgatoire?

Alberto : C’est juste! Ils ne pourraient jamais renoncer à la Vierge Marie par crainte de perdre leur salut.Le système. Le système a fait de Mairie une déesse. Marie était une pécheresse comme tous les hommes.Seul Jésus est né sans péché.

“Il n'y a point de juste, Pas même un seul” ( Romain 3:10)

“Car tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu”( Romain 3:23)

“Lui qui n'a point commis de péché, Et dans la bouche duquel il ne s'est point trouvé de fraude” (1 Pierre 2:22 )

J’ai aimé la vierge Marie de tout mon coeur. J’aurais donné tué pour elle. J’aurais volontiers donné ma viepour elle jusqu’au jour où j’ai trouvé quelque chose dans la bible qui a ébranlé mes fondements.

Pourquoi Jésus appelait-il sa mère “femme” “Femme, qu’y a-t-il entre moi et toi? (Jean 2:4) “Femme, voilàton fils” Puis il dit aux disciples: “Voilà ta mère.” (Jean 19 : 26-27)

C’est deux versets m’ont tellement troublé que je ne pouvais pas dormir. J’ai contacté un rabbin juif (maîtrereligieux) pour voir si c’était convenable de l’appeler de cette manière. Sa réponse était “non.” Il le trouvaitoffensant. La religion de Satan s’appelle “l’adoration de Ball.” Cela a commencé à Babylone où ils adoraientla reine des cieux. Dieu hait ce culte! (Voir la Bible le 7e et 44e chapitres de Jérémie). C’est pourquoi Jésusappelait Marie “femme.” Le même système (maintenant appelé catholique romain) a fait d’elle “la reine descieux”. (voir “Ange de Lumière,” tome 9

James : Alberto, qu’est-ce que l’Immaculé conception?

Alberto : Il faut que les catholiques romains croient que la mère de Marie a conçu sans péché et par

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conséquent Maire est née sans péché, la mettant ainsi sur un pied d’égalité avec Dieu (Jésus, le fils).

James : Tiens, aucun vrai chrétien pourrait gober ça! Partout des catholiques romains nous disent qu’ils sontnés de nouveau et sauvés. Est-ce qu’ils veulent dire quelque chose de différent de nous?

Alberto : Absolument! Quand on asperge d’eau un catholique pour le baptême (voir l’encyclopédie catholique,

tome II, page 261 (baptême).il croit qu’il et né de nouveau même s’il est un bébé. Un catholique romain croitqu’il est sauvé aussi longtemps qu’il adore Marie et reste fidèle su système. On leur dit qu’il n’y a de saluthors de l’institution catholique romaine.

Quand un catholique romain dit qu’il reçoit Jésus comme son Seigneur et Sauveur, il n’est pas en train devous dire ce que vous pensez. Il ne veut pas dire qu’il a le Christ ressuscité vivant dans son coeur. Il veutdire qu’il reçoit Jésus chaque fois qu’il mange l’hostie (ou le pain) quand le prêtre dit la messe. Il croit qu’ilmange vraiment le corps et le sang véritables de Jésus!

James : Qu’est-ce qu’un catholique romain veut dire quand il se repent? Veut-il vraiment dire qu’i demandea Dieu de pardonner ses péchés et qu’il est vraiment désolé et qu’il se détourne de ses péchés?

Alberto : Pas du tout. Il faut qu’un catholique romain paie Dieu en faisant pénitence. Le prêtre le pardonnemais le fait faire pénitence pour son péché. Cela veut dire qu’il faut qu’il dise 50 ave Marias (Je vous salue

Marie) ou la prière de Seigneur ou allume des bougies aux saints ou à la Vierge Marie ou fasse le tour del’église à genoux, n’importe quoi que le prêtre exige.

Maintenant, mon ami voilà ce qu’un catholique romain veut dire quand il vous dit qu’il se repent.

James : Alors, si un catholique est vraiment sauvé, il ne pourrait vraiment pas être d’accord avec le systèmecatholique romain, n’est-ce pas?

Alberto : Absolument! Il faut qu’il en sorte! (1 Corinthiens 6: 14-18; 7:1) S’il obéit à Jésus, le Seigneur ôterale système de son coeur et lui donnera la vie! Le système ne peut que lui donner la mort et la peur.

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Cette carte d’identité a été émise parle gouvernement espagnol en Espagneen 1967, sous le gouvernement dudictateur Franco. Ses forces desécurité étaient aussi sévère quel’avait été la Gestapo en Allemagne.Pour obtenir ce document, Alberto adû fournir un extrait de naissance, despapiers d’identification, et la preuvecertaine de son archidiocèse qu’ilétait prêtre. Plusieurs organisations desécurité y participaient, semblable auCIA et au FBI.

Ceci est une copied u d e r n i e rcertificat officielqu’on m’a donnéjuste avant mo

Après avoir détruit le séminaire théologique et après avoir été ramené au Vatican à Rome, j’ai été ordonnéprêtre jésuite. J’étais si adroit dans le travail d’espionnage que l’on me préparait pour être évêque. Voici macarte d’identité et le certificat officiel de l’archidiocèse (mes supérieurs) pour travailler dans des pays étrangers.

Remarque : après avoir quitté l’institution, j’ai été nommé évêque dans l’ancienne Église catholiqueromaine, recevant ma bulle de consécration sous la succession apostolique des papes romains.

Il a fallu que le prêtre Alberto Riverasoit approuvé par toutes ces organisations afin de recevoir ce document. Il n’y a aucun moyen que celapuisse être un faux. Il n’y a aucun doute qu’il était prêtre. Ce que vous voyez ici est une preuve certaine.Cedocument a été donné par un gouvernement qui a promis une soumission absolue au pape par le concordatsigné par un gouvernement d’Espagne et le Vatican.

ESPAGNOL ANGLAIS

Quand je suis devenu prêtre, je croyais que je trouverais la vérité et que j’aurais la paix dans mon coeurcomme je l’avais promis à ma mère. Au lieu de cela, je me sentais misérable! Plus j’allais haut dans l’ordrejésuite, plus je voyais de corruption (pourriture) dans l’institution. J’ai été invité àune messe noire secrète par des jésuites hauts de rangs dans un monastère de lapartie nord d’Espagne. Quand je me suis agenouillé pour baisé l’anneau d’un hautofficiel, j’ai vu un symbole qui m’a congelé le sang.

C’était un symbole maçonnique! Une chose que je haïssais et on m’avait dit decombattre contre cela. Tout tombait à l’eau. J’ai découvert que le pape noir (legénéral jésuite) qui dirige en fait le Vatican à Rome, derrière les coulisses, est aussi

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Croyants -Une Église Mondiale

Protestants de toutes les confessions - DesÉglises orthodoxes de toutes sortes -musulmans - brahamans - bouddhiste -mormons - des Églises occultes -Religions de l’est - M.T. - témoins deJéhovah - Science de l’esprit - judaïsme.

etcNous sommes infiltrés avec succès danstoutes ces organisations.

Non -Croyants - Un gouvernement Mondial

communistes - toutes les logesmaçonniques - socialistes -athées - anarchiste - syndicats.

etc.Notre chef-d’oeuvre est latroisième force qui est lemouvement charismatique.ceci est notre pont à Rome. Cesprotestants nous ont acceptés lesbras ouverts.

un maçon et un membre du parti communiste en Espagne. J’avais la tête qui tournait. J’ai découvert que legénéral jésuite est étroitement lié aux illuninés* à Londres.

* Ignatus Loyola - fondateur de la société de Jésus (les jésuites) était membre des “Alumbrados” ce qui veutdire “les éclairés” ou “les illuminés”.

James : Tiens, cela est vraiment trop!

Alberto : J’ai été malade pendant des semaines. Tout ce contre lequel on m’avait ordonné de lutter setrouvait dans les hautes sphères.

A cause de mon expérience dans l’espionnage, on m’a ordonné de joindre les forces oecuméniques sous lepape Jean XXIII. On ne devait plus appelé les protestants “hérétiques,” mais “frères séparés.” Lescommunistes n’étaient plus nos ennemis.

Grâce à nos agents secrets, nous sommes entrés secrètement dans la télévision et dans la publicationchrétienne et nous avons été acceptés comme professeurs, pasteurs, et évangélistes. Nous ne mettons enavant que l’amour et l’unité afin de nous réunir tous. Ceci est notre réveil.

Voir “L’alliance du Vatican avec Moscou et Washington” par Arvo M anhattan, 1982, publié par les publications Chick.

Les premiers groupes protestants sur lesquels ils ont agi étaient les adventistes du septième jour et leshommes d’affaires du plein l’Évangile. Puis c’était les baptistes, les méthodistes, les presbytériens, lesluthériens, jusqu’à ce qu’ils soient tous infiltrés y compris les mormons et les témoins de Jéhovah.

Ensuite, c’était tous les séminaires, universités et collèges. Les jésuites ont dirigé l’action de la jeunessecatholique la légion de Marie et les chevaliers de Colomb qui l’ont fait réussir. Maintenant ces groupes sontsilencieux en ce qui concerne Rome ou prétendent que le système romain est une Église chrétienne.

Ils sont en train de gagner par “compromis”. Presque tous les pasteurs protestants ont peur de parler contreRome. S’ils le faisaient, ceux qui ont été mis dans leurs Églises les attaqueraient sur ordre. Ceci est la grandeapostasie, la grande séparation dont la Bible parle avant que le Seigneur Jésus ne revienne.

“Que personne ne vous séduise d'aucune manière; car il faut que l'apostasie soit arrivée auparavant, etqu'on ait vu paraître l'homme du péché, le fils de la perdition,” (2 Thess 2 : 3)

La grande prostituée de l’Apocalypse 17 est le système catholique romain. La prophétie biblique la placedans une position de pouvoir énorme dans les derniers jours et puis montre sa destruction.

La perfidie de la prostituée de l’Apocalypse est démasquée. Les dirigeants mondiaux, avec qui elle a signé

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des (concordats), se rebellent contre elle afin d’exécuter la volonté de Dieu. La bible dit : “Et sa fuméemonte aux siècles des siècles ... Et une voix sortit du trône, disant : Louez notre Dieu.” (Apoc 19 : 1-6)

A cette heure, j’étais détruit, ma foi était partie! Je prenais des tranquillisants. Je devais parler devant uneréunion oecuménique de chefs protestants hispano-américain et de catholiques romains dans le Guatemala.

500,000 personnes devaient être dans le stada. J’ai commis un péché impardonnable (qui ne peut être pardonné)

J’ai exposé les plans de Rome.

Au Guatemala devant la foule en 1965

Comment puis-je vous prêcher la vie quand je suis mort et que le système que je sers sent la mort depuis lesconfessionnaux jusqu’à Marie, au purgatoire, à la messe, au sacerdoce qui tous nient la résurrection duChrist?

Comment puis-je parler de la vie quand je vous ai menti, que je me suis infiltré dans vos Églises et les aidétruites? Vous croyez que ce mouvement oecuménique signifie amour et unité. Mais, en réalité, il produiravotre mort. Parce que je ne suis pas votre frère.

Les jésuites : Il faut arrêter Rivera! Comment pouvons-nous le faire taire?

Alberto: Après la réunion, ils m’ont transporté par avion à Panama. De là, on m’a renvoyé en Espagne.

Dans l’avion : Rivera dort. Il payera pour ce qu’il a fait!.

Alberto : Ceci allait être le moment le plus noir de ma vie. Par une discipline sévère, ils ont essayé dechanger mon esprit.

Barcelone Espagne

Après des mois d’échec, ceci était leur dernier ressort.

Alberto : Qu’est-ce cet endroit?

Les jésuites : C’est un endroit secret pour les prêtres qui sont devenus fous.

Alberto : Oh! mon Dieu!

L’office saint m’avait jugé coupable d’hérésie par la folie. Abjurez, Rivera, et rendez publique vosconfessions. Il n’y a qu’une Église! ... la sainte mère : l’Église catholique romaine! J’étais dans une cellulerembourrée pendant des journées sans eau ni nourriture. Il m’a fallu signer des centaines de documents(papiers et questionnaires) et répondre à des questions psychologiques. La nuit j’étais tant drogué que je nepouvais pas dormir. J’étais malade et totalement épuisé.

Je les hais tous! Je hais tout!

Après deux semaines d’interrogatoire brutal, j’ai perdu l’espérance, j’ai dit à mes tourmenteurs :

Quand tous ces catholiques à qui nous avons menti mourront et iront en enfer, que leur dirons-nous? Cemorceau de pierre (une statue de Marie) ne peut pas les sauver. Marie elle-même a dit : “Faites ce qu’il vousdira” Ce que nous avons dit d’elle est un mensonge. La Bible le prouve.

En essayant de l’étranglé : taisez-vous, Rivera, vous parlez comme un protestant!

Aberto : Vous penser que vous tuez ou Dieu, mais vous le faites pour le diable parce que vous êtes enfants

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de Satan!

Les jésuites : Vous êtes le seul diable ici. Vous essayez de détruire notre foi dans la sainte mère, la ViergeMarie. Je pourrais vous couper la gorge, Rivera.

Alberto : On me donnait des traitements de choc et des drogues puissantes. Après deux mois, ma vessie étaitinfectée et tous mes sens étaient en train de disparaître. Le troisième mois, ma respiration s’est arrêtée. Onm’a mis dans un poumon d’acier. J’ai vu de nouveau la mort de ma mère et je savais que j’étais dans lemême état. J’étais remplie de craintes. Je savais que j’aillais en enfer.

Dans le moment le plus noir, le Seigneur Jésus est venu vers moi et avec ce verset il m’a donné la vie ...

“Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui: Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mesdisciples; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira”. (Jean 8 : 31-32)

J’ai demandé à Jésus de pardonner mes péchés. Immédiatement, la vie a inondé mon corps. Il m’a sauvé etguéri dans le même instant. Enfin, j’étais libre. L’amour de Dieu m’a rempli quand j’ai compris que Jésus-Christ est Jéhova, le Créateur de l’univers. Il est Dieu tout puissant et le Messie d’Israël.” (Jean 1:10 ; Hébreux

1:1-2) à cause de son obéissance à son Père céleste, il est allé à la croix et a répandu son précieux sang pournous laver de nos péchés. Il a payé un prix terrible.

“Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périssepoint, mais qu'il ait la vie éternelle.” (Jean 3:16)

Aucun prêtre catholique ne pourrait jamais appeler Jésus-Christ des cieux pour répéter cet acte horrible desouffrance comme ils le prétendent dans la messe.

La Bible nous dit clairement : “Lui (Jésus), après avoir offert un seul sacrifice pour les péchés, s’est assispour toujours à la droite de Dieu.” (Hébreux 10 : 12)

Après trois jours, Jésus est ressuscité des morts et s’est assis à la droite du Père dans les cieux.

Nous n’avons plus besoin de prêtres ni de confessionnaux parce que la Bible dit :

“ Ainsi, puisque nous avons un grand souverain sacrificateur qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu,demeurons fermes dans la foi que nous professons. Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui nepuisse compatir à nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettrede péché. Approchons-nous donc avec assurance du trône de la grâce, afin d'obtenir miséricorde et detrouver grâce, pour être secourus dans nos besoins.” (Hébreux 4 : 14-16)

La Bible dit : “Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nouspurifier de toute iniquité.” (1 Jean 1 : 9)

Ainsi nous pouvons directement à Jésus! Dieu merci!

Je suis sorti du poumon d’acier et j’ai ôté les tubes de mon corps.

Les Jésuites : Qui fous a fait sortir du poumon d’acier?

Alberto : Jésus l’a fait! Il m’a donné la vie.

Le Jésuite : Je vais cherchez une camisole de force.

Alberto : Une semaine plus tard, on m’a relâché. Je ne pouvais pas le croire. On m’a envoyé à Madrid toutseul.

A l’aéroport : Père Rivera ?

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Alberto : Oui! Un prêtre jésuite m’attendait. Il était un chien de garde du Vatican, l’homme en qui ilsavaient le plus de confiance. Il haïssait a terre sur laquelle je marchais. Il me travaillait pendant des journéesutilisant chaque méthode jésuite qu’il pouvait pour me persuader de servir le pape de nouveau. Je continuaisà lui dire comment j’ai été sauvé, et je lui ai montré la vérité dans la Bible. La parole de Dieu a touché soncoeur. À mon étonnement, il m’a donné mon passeport et les papiers (mentionner plus haut) dont j’avaisbesoin pour quitter l’Espagne.

Alberto, quittez cette prison tout de suite et ne revenez jamais! Je crois que le Christ a éclairé votre chemin.Suivez-le, Alberto priez pour moi ... N’écrivez pas priez seulement pour moi.

Cette nuit-là, j’ai quitté l’Espagne pour avion avec environ 40 sous dans ma poche. J’avais rompu avec lesystème. Le Vatican était étourdi. Ils ne pouvaient croire que je leur avais échappé. Et maintenant ma vieétait totalement changée pour servie le Seigneur.

Tim : Alberto, que faut-il que le pasteur fasse pour chasser de son Église ceux qui s’y infiltrent? Et pourtantgagner des catholiques romains pour Christ?

Alberto : Il faut que le pasteur ait le courage de dire de la chaire que, selon la Bible, les catholiques romainsne sont pas chrétiens! Que l’institution catholique romaine n’est pas une Église chrétienne. Et le plusdifficile de tout, c’est de dire que les catholiques romains qui meurent dans cette foi ne vont pas aupurgatoire, ni au ciel, mais en enfer parce que leur foi est dans leur propre système plutôt qu’en Christ etdans son sang versé qui lave leurs péchés.

James : Qui aurait le cran de prêcher comme cela?

Alberto : Je l’ai parce que je les aime.

“Et j'entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d'elle, mon peuple, afin que vous neparticipiez point à ses péchés, et que vous n'ayez point de part à ses fléaux.” (Apoc 18 : 4)

Il faut que nous communiquions ce message de vie aux 800 millions de catholiques romains qui ont étédupés à l’adoration de Ball par cette institution. Mon coeur souffre pour eux.

James : Comment pouvez-vous le leur dire Alberto?

Alberto : Je ne sais pas, James. Dieu seul sait comment cela se fera.

F I N

Remarques : À propos des q uestions qui concernent le catho licisme romain, leurs dogme s et doctrines, voir “Les deux B abylones”

par Hislo p et “ 50 ans dans l’Église d e Rome ” par Chin iquy.

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LA BIBLE DIT QU’IL Y A UN SEUL CHEMIN

Ceci est un temps de trahison, de corporels et de peur. Satan est en train d'intimider et de fairepression sur les hommes jusqu'à ce qu'ils se taisent. Des nuages sombres se rassemblent comme nousnous approchons de la deuxième venue de Jésus.

Il faut que des prédicateurs qui craignent Dieu plus que leurs assemblées se présentent, des hommesqui prient plus, qui croient la parole de Dieu, - condamnentle péché et l'appellent ce qu'il est vraiment, coûte que coûte!

La mère d'Alberto, complètement dévouée au système catholiqueromain, n’a jamais manqué la messe. Elle se confiait dans sonprêtre et dans la Vierge Marie et cela lui a coûté une éternité sansChrist.

Alberto, pieusement religieux, pourtant dévoré de haine, a vu lacorruption partout. Il a trouvé la liberté seulement quand il s’estrendu à Christ.

Dona Isabella et des millions d'autres avaient le courage de résister au système et dedonner leurs vies pour le Sauveur. Prions que Dieu nous donne la même hardiessequ'ils avaient afin que nous puissions glorifier Christ pour attirer tous vers Lui.

Ceci n'est pas un jeu, c'est une guerre peur votre âme!

C'est soit un engagement total et une soumission à Christ, soit une perte totale pourtoujours en continuant avec Satan et l'adoration de Baal.

C'est votre choix

Jésus dit: “Je suis le chemin, la et la vie. Nul ne vient au Père

que par moi." (Jean 14,6)

PERSONNE D'AUTRE NE PEUT VOUS AIDER.

"Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu

et les homm es, Jésus-Chr ist homme."

(1 Timothée 2,5)

Car c'est par la grâce que vous ê tes sauvés, pa r le moyen de la

foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est

point Par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie."

(Épé. 2,89)

CE QUE VOUS DEVEZ FAIRE:

PRIEZ À DIEU DE CETTE FAÇON:

Seigneur, je vois maintenant que selon la Bible je ne suis pas

sauvé(e) en étant un(e) catholique romain(e). Je rejette ce

système de dogme et de sacrements et je met ma confiance en

Jésus seul pour mon salut. J’accepte le sacrifice de Christ

comme parfait et comple t. Merci de la totale assurance d e la vie

éternelle au cie l.

SI VOUS AVEZ VRAIMENT FAIT D E JÉSUS VOTRE

SEIGNEUR (ROI) VOUS DEVEZ COMMENCER À

AGIR COMM E TEL.

1. Lisez votre Bible chaque jour pour accéder à mieux

connaître C hrist.

2. Parlez à Dieu, en prière, chaque jour (dans vos propres

mots).

3. Trouvez une église où la Bible est enseignée comme

l'entière parole de Dieu et où elle est l'autorité définitive.

4. Parlez à d'autres au suje t de Christ.

5. Suivez l'exemple de Christ et soyez baptisé(e).

(Mattieu 3,1 3-17; Actes 2,38)

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