LIEN COUV MAI 2008 · aufildesconseilsau fil des conseils LE LIEN - septembre 2013 3 6 mai 2013 Le Conseil municipal, à l’unanimité, -approuvele Compte de gestion et le Compte

LA TALAUDIER Le Lien COUV sept 2013_LIEN COUV MAI 2008 06/09/13 15:08 Page2

SOMMAIRE

Magazine Municipal d’Information

L a T a l a u d i è r e - L e L i e nEdité par la Municipalité de LA TALAUDIERERevue diffusée gratuitement, reproduction et vente interdites

Edition : ABSYGRAPH COMMUNIGRAPHIE

R E D A C T I O N - D O C U M E N TAT I O N - D I F F U S I O N :Mairie de La Talaudière - CS 30141 - 42351 LA TALAUDIERE CedexD i r e c t e u r d e l a p u b l i c a t i o n : L o u i s D R E V E T

Photos © : R. DIMIER - M. ECLACHE

DÉPÔT LÉGAL : 3 ème TRIMESTRE 2013

Editorial p. 1

Etat civil p. 2

Au fil des Conseils p. 3 à 5

Le Budget p. 6

Vie des Sociétés p. 7 à 10

Informations p. 11 à 21

Jumelages p. 22 et 23

Environnement p. 24

Informations p. 25 à 31

Sport - Animation

Comité des Fêtes p. 32

Témoignage p. 33 à 36

septembre2013

Les fresques du grand mur de la Sablière,

face à l’Etang paysager, sont terminées, réa-

lisées par l’Atelier 7ème Sens.


LE LIEN - septembre 2013 1

EDITO

MAIRIE - HEURES D’OUVERTUREdu lundi au vendredi inclus :de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h.le samedi : de 9 h à 12 h.TEL. 04 77 53 92 00FAX 04 77 53 82 07Courriel : [email protected]

Site web : www.latalaudiere.fr

PERMANENCESPascal GARRIDO, Maire• sur rendez-vous

Ramona GONZALEZ-GRAIL, 1re Adjointe(Enfance - Jeunesse - Sports)• mercredi 14 h - 17 h

Marc PLOTON, Adjoint(Education)• jeudi 9 h - 12 h

Marie-Jeanne LAGNIET, Adjointe(Action sociale)• mardi 9 h - 12 h

Louis DREVET, Adjoint(Communication)• vendredi 9 h - 12 h

Daniel GRAMPFORT, Adjoint(Culture - Jumelages)• jeudi 14 h - 17 h

Marie-Pierre JUQUEL, Adjointe(Urbanisme)• mardi 14 h - 17 h

Gilles LAFONT, Adjoint(Environnement)• lundi 14 h - 17 h

Dominique SOUTRENON, Adjoint(Voirie - Accessibilité)• samedi 9 h - 12 h

Marcelle GLANDUT, Conseillère déléguée(Personnes âgées)• lundi 15 h - 17 h

Suzanne GAGNAL-DOMPS,Conseillère déléguée (Eau et Assainissement)• sur rendez-vous

René DIMIER, Conseiller délégué(Multimédia)• sur rendez-vous

Isabelle RICHAGNEUX,Conseillère déléguée (Bibliothèque)• sur rendez-vous

Nathalie CHAPUIS, Conseillère déléguée(Jeunesse)• sur rendez-vous

Sébastien RAVEL, Conseiller délégué(Petite Enfance)• sur rendez-vous

De plus, un Adjoint est de permanencele samedi matin de 10 h à 12 h.

C’est la rentrée, les vacances estivales sont terminées, il est temps d’en faire lebilan et de reprendre ses activités.L’été, c’est aussi, pour la Commune, le temps des travaux dans les bâtiments sco-laires, sportifs et dans tous ceux qui ont besoin d’être prêts début septembre. Il res-tera à exécuter la fin des travaux de voirie. Les abords des écoles ont fait l’objetd’une priorité.

• Nous sommes confrontés, comme l’ensemble des collectivités, à la régle-mentation qu’elle soit relative à la sécurité, la santé, les déplacements ou lebien-vivre ensemble.• Nous sommes aussi sensibles à la fiscalité qui nous incite à être modéréspour ce qui nous concerne. C’est-à-dire les impôts locaux qui vont bientôtarriver dans les boîtes aux lettres. A La Talaudière, la Taxe d’habitation estmoitié moins chère qu’à Saint-Etienne pour une qualité de services souventsupérieure.• Nous sommes aussi alertés par les remarques des habitants sur le fonc-tionnement général de la Commune. Certains font des comparaisons entre lafaçon dont sont traités les quartiers et le centre-ville, fleuri, illuminé et mieuxentretenu. Et puis il y a aussi les herbes folles qui poussent sur les trottoirset qui ne sont plus traitées aux désherbants comme autrefois.

Au risque de déplaire à certains, je dirai que la réglementation, en matière de sécu-rité de santé, de circulation, de stationnement… c’est l’affaire de tous. Cela deman-de des efforts que l’on appelle le “civisme”.Chacun comprendra que le centre-ville accueille une population nombreuse etnécessite un entretien plus important que les quartiers qui, dans la plupart des cas,n’intéressent que ceux qui y habitent.Au moment où nous devons nous adapter à de nouveaux systèmes de vie en com-mun, un effort doit être consenti. Par exemple : désherber à la main, c’est meilleurpour la santé et pour la qualité des eaux des rivières. Mais ça demande beaucoupplus d’intervention que répandre des produits phytosanitaires. Aussi, à défaut duconcours des riverains des voiries dans les lotissements, la Commune devraitembaucher beaucoup plus de monde ce qui aurait des conséquences sur lescharges et donc sur la fiscalité. Le geste qui consiste à prendre en charge son trot-toir, son devant de porte entre dans la catégorie du “civisme” et concourt à limiterles coûts.Il ne suffit pas de dire : “Je paye des impôts, la Commune n’a qu’à se débrouiller, j’aile droit de jeter un papier par terre, il y a des gens payés pour ramasser”. D’abord,ce geste est verbalisable d’une amende de 35 € et il ne participe pas au respect denotre environnement.

Je suis sûr, qu’avec la rentrée, plein de bonnes résolutions seront prises et chaquecitoyen talaudiérois mettra tout en œuvre, pour moins consommer d’énergie, moinsproduire de déchets, respecter le stationnement et les limitations de vitesse, parti-ciper au bien-vivre ensemble et prendre en compte les contraintes réglementairesqui, bien partagées, ne sont pas si fastidieuses que cela.

Bonne rentrée à toutes et à tous.Le Maire,

Pascal GARRIDO

LE LIEN SEPT 2013_MP 06/09/13 15:18 Page1

Naissances

LE LIEN - septembre 20132

état-civil

état-civil

é

DécèsMARS 2013GAUDON Christian JeanGOUTAGNY Anne Marie

épouse LAURENTBEAL Colette Marie

épouse PETITHOSPITAL Jean-DenisLHOSPITAL Marie

veuve LASSARAREYMOND René Jean SIENNAT Gérard LudovicRICHIER Robert Antoine PALABOST Claudia

veuve VERCASSONBEAL Clément Jean

AVRIL 2013FAURE Pierre MauriceMAYOL JosephPITAVAL Jean EtienneCHEVILLON Christophe LAVAL Etienne JosephBOUARD RenéFAYOLLE Maria

veuve GOYPROLANGE Christiane Jeanne

épouse MANISSOLBLOUIN Antoinette Léonce

veuve JOUSSERANDMORANDI Marie

veuve PEAGNOMICHEL Patrick Jean-PierreMARTIN Roger Marius

MAI 2013GIRAUDET Reine Jeanne

épouse MAYSAUVIGNET Marie Thérèse

veuve EPALLEALREME Ahmed GÉRIN Claudette Françoise

veuve BONNEFOY JUIN 2012COURT Marie Antoinette

veuve VACHERHAMON Lucienne Françoise

veuve NOIRYREYNAUD Marinette Claudette

veuve MONTAGNEPATRIAT Odette Marie

veuve GROSSY

MARS 2013FOURNIER Élise JulietteROCHE Celestine ChristineHERTZOG Lucas QuentinJULIEN Johanna Laurence*(naissance à La Talaudière)BAYLE Erwane RobertBENBETKA MyriamFURTAK Clarisse Agnès

AVRIL 2013GARDES ElenaEYMARON Timéo DavidFERRIOL Valentin SachaMAURIN Charline JoCOLDOLD MOUTAMALLE CataleyaNésia

MAI 2013HADADI Adam SlimaneOKONIEWSKI Éléa

JUIN 2013MOSA Adriano LucianoBERTHOIS NathanFATISSON Johanne DianeMACAUDIERE Maël Jean

MariagesMARS 2013MATHIVET Thierry Paul

/ MONTAGNON Céline Sylvy

MAI 2013DI ROSA Laurent

/ THERME Marianne CatherineRANDAZZO Renaud Jules

/ HOSPITAL Céline JosianeLACOMBE Laurent André

/ GARCIA Amandine JosianeCHAUVAT Jean-Philippe Laurent

/ SIEGWART Cécile ClaireLOUNIS Samir

/ BENAINI Samia

JUIN 2013GENTY Fabien Germain

/ CHEYTION Laurie NathalieCOURT Gérard

/ AZEVEDO HélèneCOUTURIER Adrien Jérôme

/ PETIT AurélieROUSSET Denis Jean

/ NOIREL Véronique MarcelleHUPIN David Marie

/ CASTERA Marion PauleBRET Dominique

/ MAGDALENC Florence

Les informations concernantl’état civil sont publiées avecl’accord des familles.

Une naissance à La TalaudièreJusqu’en 1955, les naissances avaient lieu majoritairement à domicile parcequ’il existait des sages-femmes de proximité. Ainsi, à La Talaudière, entre1890 et 1960 environ, deux sages-femmes libérales ont apporté succes-sivement leur aide aux futures mamans. Il s’agit de Mme Reine Dumas(†1963) et de sa fille Mme Marie Reymond (†1969) qui habitaient au 41,rue de la République. Progressivement, à quelques exceptions près, toutesles futures mamans sont allées accoucher dans les maternités de Saint-Etienne, de Saint-Priest-en-Jarez, de Saint-Chamond ou de Firminy. Les trèsrares naissances survenues à La Talaudière sont dues à une urgence malmaîtrisée ou à une volonté familiale. La dernière date du 18 mars 2013 avecdéclaration en Mairie le lendemain. La précédente avait eu lieu le 23 no-vembre 1971 avec aussi enregistrement en Mairie le lendemain.


au fil des conseilsau fil des conseils


6 mai 2013Le Conseil municipal,à l’unanimité, - approuve le Compte de gestion et le Compte admi-nistratif 2012 de la Commune ;- accorde une subvention de 2 258 € à l’EURL Liamone,enseigne Payou, 25 rue de la République, pour la mo-dernisation de son magasin dans le cadre de l’Opérationurbaine pour améliorer et valoriser le commerce local (FI-SAC) ;- fixe les tranches d’imposition servant de calcul au quo-tient familial pour l’année scolaire 2013-2014 ;- fixe les tarifs de Cantine et de Garderie périscolaire desÉcoles publiques maternelle et primaires pour l’annéescolaire 2013-2014 ;- approuve l’admission en non-valeur sur le Budget del’Eau de la somme de 1 742,34 € ;- approuve le projet de convention, à titre publicitaire,entre le Centre culturel communal « Le Sou » (cinéma)et un commerçant talaudiérois à l’occasion du Festivalde Cannes ;- décide l’intégration de la Commune de La Talaudière,en tant que nouvel actionnaire, à la SPL* “Cap Métropole”pour faciliter la mise en œuvre de la politique publiquelocale ;- accorde des subventions exceptionnelles :

• 969 € au Club bouliste (organisation du Challengede la Municipalité),

• 1 000 € au Cyclo-La Talaudière-Sorbiers (organi-sation de La Talaudiéroise) avec en plus l’offre par la Com-mune d’un vélo à gagner par tirage au sort ;- approuve la participation de la Maison du Patrimoineet de la Mesure aux Z’Estivales 2013 organisées cet étépar Saint-Etienne Tourisme ; - approuve le Tableau des effectifs au 1er mai 2013 ; - décide le recrutement de deux agents au titre des em-plois d’avenir et d’un agent au titre du contrat d’ac-compagnement à l’emploi ;- approuve le rapport annuel du Comité consultatif de laSécurité, le rapport annuel de la Commission Urbanisme-Bâtiments communaux-Voirie-Eclairage public-Eau-Ac-cessibilité ;- approuve le rapport annuel sur le prix et la qualité duservice de l’Eau ;- approuve la modification des statuts du SIDEFU* ;- approuve la modification de la composition du prochainConseil de Communauté de Saint-Etienne Métropole ;- approuve la demande d’agrément dérogatoire (dispo-sitif Duflot), au titre du Programme Local de l’Habitat,déposé auprès de la Préfecture de Région par l’inter-médiaire de Saint-Etienne Métropole ;- décide de confier au SIEL* la dissimulation des réseauxsecs du quartier du Roule (15 247 €), la modification de

l’armoire des feux tricolores de la rue Lazare-Carnot etde la rue de la Brayetière (4 110 €), et l’aménagement del’accès au Parc San Esteban (60 219 €). * SPL : Société Publique Locale* SIDEFU : Syndicat Intercommunal Des Eaux du FUran* SIEL : Syndicat Intercommunal d’Energies de la Loire

La campagne de communicationdu 114

Le 114 est le numéro national d’urgence unique et gra-tuit à destination des sourds, malentendants, apha-siques et dysphasiques. Dorénavant, les personnesayant des difficultés à entendre ou à parler n’ont plusbesoin d’aller chercher une personne entendantepour contacter les pompiers, la gendarmerie, la po-lice ou les urgences médicales. La personne en si-tuation d’urgence, qu’elle soit victime ou témoin, peutdésormais, 24 h/24 et 7 j/7, envoyer un SMS ou unfax au 114. Son appel sera traité immédiatement etle service concerné interviendra dans les plus brefsdélais.

Le feu d’artifice du 14 juillet.




3 juin 2013

les compagnons du devoir

Le Conseil municipal,A l’unanimité, - accorde une subvention exceptionnelle :

• à L’Harmonie de la Chazotte (2 233 €) pour couvrirla rémunération du directeur ;

• à l’Étoile sportive Football (7 152 €) pour aider leclub à payer ses frais d’arbitrage ;- accorde une subvention de 2 332 € à l’entreprise in-dividuelle Voldoire, enseigne Cook’is, 7 rue de la Ré-publique, pour la rénovation de son magasin dans lecadre de l’Opération urbaine pour améliorer et valoriserle commerce local (FISAC) ;- décide de prendre en charge la part que l’Etat n’est pasen mesure d’assurer pour le soutien du commerce localdans le cadre du FISAC ; il manque 21 800 € pour quetous les dossiers validés de la première tranche soientfinancés ;- décide de modifier le règlement intérieur de la Piscinemunicipale qui sera ouverte au public de 13 h à 19 h, du29 juin au 1er septembre (à l’exception du 14 juillet etdu 15 août) ; les tarifs de 2012 sont maintenus ;- décide de recruter du personnel auxiliaire à temps par-tiel pour assurer le fonctionnement de la Piscine (cais-siers, adjoints techniques…) ;- décide de recruter pour un an renouvelable, un chargé

de mission au titre de l’urbanisme, de l’aménagementurbain et des marchés publics ;- fixe les conditions de reprise des voies et des réseauxdes lotissements privés ;- dénomme « Allée du Port sec » une voie de la zone d’ac-tivités de Molina, commune à Saint-Jean-Bonnefonds età La Talaudière, afin de faciliter le repérage des entre-prises par le GPS ;- émet un avis favorable à la demande formulée par lesentreprises Loire Offset Titoulet et Viandes Limousin Fo-rez, deux installations classées pour la protection de l’en-vironnement ;- émet un avis favorable au projet de Schéma départe-mental d’accueil et d’habitat des Gens du Voyage pour2013-2018 ;- prend connaissance de la liste des 5 personnes tiréesau sort à partir des listes électorales, le 31 mai 2013, sus-ceptibles d’être désignées comme jurés de la Courd’assises du département pour 2014 :- prend connaissance du courrier de M. le Maire, relatifau projet d’A 45, adressé au Président du Conseil général,au Président de Saint-Etienne Métropole, aux députésdu Sud-Loire, et au Président de la Chambre de Com-merce et d’Industrie de Saint-Etienne-Montbrison, et desréactions qu’il a suscitées.

Parmi les Meilleurs Apprentis de la Loirea Maison des Compagnons duDevoir a participé au Concours

des meilleurs apprentis organiséchaque année par la Société desMeilleurs Ouvriers de France, lesMOF. 11 jeunes en formation par al-ternance (2ème année) ont participé àce concours ouvert aux apprentisâgés de moins de 21 ans : 3 plom-biers, 6 menuisiers et 2 métalliers.Début décembre 2012, les candi-

dats ont reçu le sujet à traiter sous laforme d’un plan à réaliser concrète-ment : une maquette avec assem-blages d’éléments en cuivre et enacier soudés, un bas de porte avecpanneau, une balance en fer… Aprèsconcertation avec les maîtres destage, formateurs de la Maison desCompagnons, les jeunes se sont lan-cés dans la réalisation de leur “ob-jet”. Ce travail qui exige entre 80 et100 heures doit se réaliser hors dutemps en entreprise avec toutefois lapossibilité de le réaliser dans l’en-treprise, hors horaire avec l’accord dupatron, ou à la Maison des Compa-gnons en prenant sur son temps deloisirs ; dans tous les cas, un effortpersonnel important est attendu.En mars 2013, trois professionnelsqualifiés MOF sont venus examiner

les pièces réalisées et les ont notées.Le 6 juin dernier, les 11 concurrentsont été accueillis au Musée desMeilleurs Ouvriers de France à Saint-Etienne pour recevoir leurs prix. Tousont été primés : les plombiers ontreçu 2 médailles d’or et 1 d’argent,les menuisiers 3 médailles d’or, 2d’argent et 1 de bronze, les métalliers2 médailles d’argent. Compte tenu deleurs excellentes notes, les 2 plom-biers médaillés d’or ont été admis àparticiper au palmarès national et,accompagnés de leur formateur, ilsrecevront prochainement au Sénat,à Paris, le diplôme attestant leurclassement.Ce très beau palmarès est une pro-motion des jeunes travailleurs ma-nuels et fait honneur à la Maison deLa Talaudière.

L


8 Juillet 2013



Le Conseil municipal,à l’unanimité, - approuve le rapport annuel du Comité consultatif de

la Communication ;- décide la création de l’Accueil de Loisirs périscolaire

soumise à l’approbation de la Direction départemen-tale de la Cohésion sociale et de la Caisse d’Allocationsfamiliales ;

- décide l’affectation du résultat 2012 du Budget de laCommune ;

- adopte le Budget supplémentaire 2013 de laCommune :

• Fonctionnement : 402 122 €• Investissement : 3 435 263 € ;

- décide la suppression de la régie des coupons multi-sports devenue inutile ;

- approuve l’avenant n°1 à la convention de partenariatfinancier entre l’État, le Département de la Loire et laCommune de La Talaudière, dans le cadre de l’opéra-tion urbaine en faveur du Commerce et de l’Artisanat(FISAC) ; par souci d’équité, la Commune compenserala défection de l’État et du Conseil général (21 800 €) ;

- approuve les subventions accordées dans le cadre duFISAC :

• SARL Moulin de Stal (Boulangerie Douheret) :1 500€ au titre de l’aide au conseil et 6 000 € autitre de l’aide à la modernisation ;

• Entreprise individuelle Dame Nature (PaulineDuranton) : 1 500 € au titre de l’aide au conseil ;

- attribue une subvention exceptionnelle de 433 €à EMAD Berlioz pour participer à l’achat d’uneclarinette, la même somme étant accordée par laCommune de Sorbiers ;

- fixe les tarifs du Centre culturel communal « le Sou »pour la saison 2013-2014, pour les spectacles et lecinéma ;

- attribue des subventions exceptionnelles : • au Comité des Fêtes (10 672 €) pour l’organisation

de la 24ème Fête du Sport du 21 septembreprochain ;

• au Sou des Ecoles (6 000 € dont un acompte de3 500 €) pour l’organisation du 14ème National àPétanque des 21 et 22 septembre prochain ;

• au Club bouliste (900 €) pour l’organisation d’unConcours de boules à l’occasion de la Fête duSport 2013 ;

• au Club de cyclisme A.S.O.S. de Saint-Galmier(1 500€) pour l’organisation d’une course de vélole samedi 21 septembre dans le cadre de la Fête duSport 2013 ;

• au Comité de Jumelage franco-allemand (1 500 €)pour l’organisation du camp international dejeunes à Küssaberg en août 2013 ;

• au 21ème Tour cycliste Loire Pilat dont 3 étapes (unecontre la montre) auront La Talaudière pour départou arrivée ou se dérouleront en partie au Stade deMéons en passant par La Talaudière ;

- décide de financer, en partie, la formation de 5 jeunesTalaudiérois au BAFA (Brevet d’Aptitude aux Fonctionsd’Animateur) en leur demandant de participer béné-volement à l’animation d’activités dans des associa-tions locales, en quelque sorte un BAFA-citoyen ;

- décide l’organisation d’un Forum d’expression,ouvert aux Jeunes de 15 à 18 ans, qui se tiendra auPôle festif le 15 novembre prochain et se poursuivrasur une année ;

- décide l’organisation, en octobre-novembre 2013, deChantiers éducatifs de 66 heures, encadrés et rému-nérés, pour 6 jeunes Talaudiérois de 16 à 25 ans, endifficulté d’insertion sociale et/ou professionnelle, enpartenariat avec le Conseil général et l’Associationd’insertion professionnelle STAF 42 ;

- décide d’attribuer une aide financière aux Talaudiéroisâgés de moins de 20 ans, selon le quotient familial desparents, et fréquentant EMAD Berlioz, CAP Danse, lesAssociations sportives locales ou le Centre social (pourcertaines activités) ;

- décide le recrutement d’auxiliaires pour la saisonculturelle au Sou ;

- approuve la modification du Tableau des effectifs dupersonnel communal au 1er août puis au 1er septembre2013 ;

- décide de recruter deux jeunes en contrat d’appren-tissage rémunéré dans le secteur des espaces verts, derecruter entre 20 et 30 intervenants et 3 auxiliaires àtemps partiel dans le temps méridien (surveillancedes cantines) et dans le cadre des animations orga-nisées suite à la réforme des rythmes scolaires ;

- décide de confier au SIEL les travaux préparatoires àla dissimulation des réseaux secs de la rue de laRépublique (5 940 €), le changement de 2 luminairesdu lotissement Les Mésanges (2 565 €) et la modifi-cation de l’éclairage public de la rue Evrard (10 087 €) ;

- approuve la vente à la SCI Les Cerisiers d’une parcellede 834 m2 située à la Pérolière ;

- décide l’interdiction de la pratique de la chasse sur lesparcelles du domaine privé de la Commune dans lequartier de la Goutte ;

- approuve le lancement de la procédure de modificationdu Plan Local d’Urbanisme ;

- approuve le traité d’adhésion à signer avec M. GillesJeanpierre pour le paiement de sa maison expropriée ;

- approuve le groupement de commandes de travauxavec Saint-Étienne Métropoie (réaménagement del’impasse du Roule pour 46 379 €HT) et avec Sorbiers(travaux sur la rue de l’Étang pour 70 000 € TTC).


1 ) Recettes de fonctionnement : 402 122 €

2 ) Dépenses de fonctionnement : 402 122€

3 ) Recettes d’investissement : 3 435 263€

4 ) Dépenses d’investissement : 3 435 263 €

Recettes de fonctionnement 2013

1 Charges à caractère général 113 437 € 28,21 %

2 Charges de personnel 184 671 € 45,92 %

3 Autres charges de gestion 35 146 € 8,74 %

4 Charges financières 7 331 € 1,82 %

5 Charges exceptionelles 29 032 € 7,22 %

6 Amortissements 32 505 € 8,08 %

7 Virement à l’Investissement 0 € 0 %

TOTAL 402 122 € 100 %

Dépenses de fonctionnement 2013

Recettes d’investissement 20131 Produits de cessions d’immobilisations - 160 000 € - 4,66 %

2 Dotations, fonds, réserves 1 121 423 € 32,64 %

3 Subventions - 328 764 € - 9,57 %

4 Opérations d’ordre 32 505 € 0,95 %

5 Opérations patrimoniales 149 779 € 4,36 %

6 Reports 2 620 320 € 76,28 %

TOTAL 3 435 263 € 100 %

Dépenses d’investissement 2013

12

3

45

1

3

45

6

2

1

345

6

1 25

6

7

1 Déficit antérieur 33 758 € 0,98 %

2 Capital emprunts 45 000 € 1,31 %

3 Subventions SIEL - 3 200 € -0,09 %

4 Immobilisations incorporelles 86 830 € 2,53 %

5 Immobilisations corporelles 275 631 € 8,02 %

6 Opérations patrimoniales 149 779 € 4,36 %

7 Immobiliations en cours - 354 530 € - 10,32 %

8 Participations et créances 15 653 € 0,46 %

9 Reports 3 186 342 € 92,75 %

TOTAL 3 435 263 € 100 %

2

8

1 Produits de gestion courante 2 300 € 0,57 %

2 Atténuation de charges 43 000 € 10,69 %

3 Impôts et taxes 83 898 € 20,86 %

4 Dotations subventions 28 661 € 7,13 %

5 Autres produits 6 000 € 1,49 %

6 Produits exceptionnels 10 050 € 2,50 %

7 Excédent antérieur reporté 228 213 € 56,75 %

TOTAL 402 122 € 100 %

6

7

4

6

udget



rès belle soirée ce samedi 1er juinau Sou pour la remise des Har-

monies d’or aux meilleures musiquesde film, retransmise en Eurovision et endirect !Comme pour les Césars, plusieursfilms étaient nominés, dans chaque ca-tégorie avec un hommage rendu à lamusique de La Vita e bella.Jack Revax, célèbre magicien en tenuede gala, jouait le maître de cérémonieet présenter les films au fur et à mesurede leur apparition à l’écran. Pourchaque nominé, L’Harmonie de la Cha-zotte jouait la musique du film pendantque la bande annonce et des extraitsdu film étaient projetés sur écran géantà partir d’un travail de création deDaniel Grampfort.Après la présentation musicale, pourchaque catégorie, Jack ouvrait l’enve-loppe et annonçait le gagnant. Des per-sonnages du film joués par des ac-teurs-musiciens apparaissaient etvenaient recevoir le prix, une très bellesculpture de Georges Sauvignet. Le pu-blic eut droit à toutes sortes de re-merciements sous la forme de gagsplus déjantés les uns que les autres.Ces petits gags ne doivent pas nousfaire oublier le tavail des musiciens etla qualité d’exécution de la douzaine demusiques de film jouée par L’Harmoniede la Chazotte dirigée par ses troischefs, M.-C. Larue, F. Plassard et J.-C.Narce. Deux heures de musique, deuxheures de spectacle : quelle formidablesoirée !


vie des sociétés

vie des sociétés

A Tout Choeur

L’EMAD-Berlioz

L’HarmonieConcerts annuels & Fête de la Musique

e Concert de printemps – les 15et 16 juin au Centre culturel – a

constitué l’objectif final du travail denotre groupe vocal. Le thème retenucette année était “L’amour”, dé-cliné en trois temps : l’amour nais-

sant avec Les Bancs publics deBrassens, puis l’amour passion in-carné par la Carmen de Bizet, puismalheureusement aussi l’amourperdu que Charles Trenet évoquedans Que reste-t-il de nos amours?.

Pour bien préparer ce spectacle,notre chef de chœur a organisé, le25 mai, une journée de travail et derépétition à Pommiers-en-Forez,profitant de la remarquable acous-tique du prieuré pour faire un en-registrement de quelques chansonsde notre répertoire.

Puis ce fut, le 21 juin, la Fête de laMusique au Pôle festif, organiséepar la Municipalité en intercommu-nalité et en partenariat cette annéeavec nous.

Les Harmonies d’or

’EMAD Berlioz est une école demusique proposant de nombreux

enseignements musicaux pour tousles âges.

• Le Jardin musical accueille les en-fants dès l’âge de 2 ans.

• L’Éveil musical, à partir de 5 ans,permet aux enfants, dès ladeuxième année, de venir décou-vrir plusieurs instruments dans

l’année par le biais du Parcoursdécouverte.

• Le Cursus diplômant est une for-mation complète en accord avec leSchéma départemental de déve-loppement des enseignementsartistiques, qui, dès 7 ans, permetaux enfants de se former à l’ins-trument et à la formation musi-cale, puis d’intégrer les classesd’ensembles : orchestres, groupede musiques actuelles, combojazz...

• Chaque année, l’école vous pro-posera de nombreux projets dontcertains en lien avec le Conseil gé-néral de la Loire comme l’accueilde « Cuivres en Loire », ainsi quedeux projets autour de la Mé-thode Létourneau et l’organisationd’un bal traditionnel.

Une école de musique

L

T

L



vie des sociétés

vie des sociétés

V

Le club Bouliste

L’E.S. Basket Cap Danse

A.M.I.

our la saison 2013-2014, l'EtoileSportive La Talaudière Basket et

Sorbiers Basket ont décidé, aprèsune expérience très concluante sur 4équipes jeunes en 2012-2013, de créerune Coopération territoriale pourtoutes leurs équipes jeunes (U17,U15, U13, U11, U9 et U7) afin de per-mettre la participation du maximumd'enfants aux différents championnatsdépartementaux et régionaux.Pour compléter nos effectifs nous re-cherchons des filles et garçons né(e)sentre 2003 et 2008 (inclus).Renseignements ES La TalaudièreAndré Celle - tél. 06 77 91 68 61mail: [email protected] Sorbiers BasketDominique Thizy - tél. 06 85 76 14 31mail: [email protected]

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e 15 juin, le Club Bouliste a or-ganisé son traditionnel Chal-

lenge des Commerçants.

Ce concours réunissant 16 dou-blettes représentant toute la ré-gion a été une très grande réussitegrâce à la générosité des Commer-çants talaudiérois qui ont répondu

remière Association de Dansede la Loire à obtenir un statut

d’École d’Enseignement Artistique(ÉEA), CAP Danse débutera la saisonen participant activement à la Fêtedu Sport, notamment en travaillantà la mise au point d’un spectacle encollaboration avec deux autres As-sociations talaudiéroises : la gym deL’Etendard et le Taï Chi. Cet évène-ment, initié par la Municipalité, sedéroulera en soirée le Samedi 21septembre à la Salle Omnisport dela Talaudière.

A découvrir : un nouveau professeur,

P jeune et dynamique, a intégrél’équipe pédagogique pour animerdes cours d’éveil, d’initiation et dejazz. Les cours, de tous styles et detous âges ont repris la semaine du16 septembre avec possibilité de 3cours d’essai en septembre-octobreet il n’est pas trop tard pour vousinscrire !

Rejoignez-nous ! Renseignements :

Pôle Sportif, 1er étage - 31, rue Evrard- La Talaudière - tél. 04 77 53 22 89

site : [email protected]

blog : cap-danse.skyrock.com

Lors du dernier Gala, de gracieuses salutations indiennes.

ne nouvelle saison pour A.M.I.Taï Chi La Talaudière - Sorbiers :

trois cours à la disposition des élèvesde 20 h à 21 h 30. Le Taï Chi est un art martial à la por-tée de tous : seul un travail réguliermaintient une certaine souplesse ducorps et de l'esprit. La rigueur decette discipline ancestrale procureun bien être tant "espéré".Renseignement : tél. 06 64 81 21 55

Uà nos sollicitations. Michel Deneuve,Président du Club ainsi que tous lesmembres du bureau remercient trèssincèrement toutes les personnesqui ont contribué à faire de ceconcours une belle journée bou-liste.

Renseignement : tél. 04 77 53 61 84

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vie des sociétés

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Le Tennis-Club Le Sou des écoles

Le Club Informatique Talaudiérois

a saison 2013 s’est terminéepar le repas de clôture qui, après

quelques animations tennistiques,a réuni une centaine de personnes,adhérents et leur famille.Avril et mai ont vu se dérouler leschampionnats par équipe, le Club LaTalau présentaient 5 équipes,3 masculines et 2 féminines, qui sesont honorablement comportées ;une mention spéciale à l’équipe2 masculine qui a gagné toutes ses

L rencontres et qui monte en pre-mière série. Beaucoup de satisfactions chez lesjeunes : l’équipe 13-14 garçons,l’équipe 11-12 garçons et l’équipe11-12 filles sont Championnes dela Loire, en individuel Yvan Cordierest Champion de la Loire des11-12 ans.Les jeunes du club se sont égale-ment illustrés dans l’épreuve duTTJ que nous avons organisée enmai et juin, Yvan Cordier est vain-queur en 11-12, Marina Gousmi en15-16, Maiden CHIHAB auteur de3 perf s’incline en finale.La nouvelle saison se prépare,l’ouverture se fera par un tournoiinterne homologué, du 27 août au21 septembre, Le club s’associe à l’organisationde la nouvelle semaine scolaire enproposant des activités chaqueaprès-midi de la semaine.

a section pétanque du Sou desEcoles en partenariat avec l’École

Michelet a proposé une initiation pé-tanque aux élèves de CM2 pendantdeux mois et demi. Tous les lundismatin de 10 h 30 à 11 h 30, 29 en-fants ont appris les règles et lesbases de la pétanque, encadrés parsix bénévoles du Sou et le Directeurde l’École. A l’issue de cette initia-tion, un concours a clôturé leur ap-prentissage.

a saison vient de se ter-miner dans la bonne hu-

meur avec la soirée degrillades à Grammond le 22 juindernier. Bien que la date en ait étéchangée à cause d’un malentendu,la participation est restée correcte. Auparavant, la sortie d’une jour-née à la Bambouseraie d’Anduze,avait été un succès grâce au untemps exceptionnel que nous avonsrencontré.Rendez-vous en septembre pour denouvelles activités.

a tablette - Pourquoi faire de ma-nière compliquée avec un ordi-

nateur ce que l’on peut faire sim-plement avec une tablette tactile ?La tablette tactile a pris aujourd’huisa place dans les foyers, plus de 5millions de Français en ont une.Même les personnes d’un âgeavancé l’utilisent sans difficulté.Elle vous suit partout, facile àprendre en main, légère, réactive,vous avez l’essentiel pour satis-faire vos besoins en informatique.

Le Club Informatique Talaudiérois(CIT) accueille les personnes de LaTalaudière et des Communes voi-sines. Trois groupes sont proposéspar niveau de connaissance : dé-butant, intermédiaire, débrouillé.En fonction du nombre d’inscrits, lesgroupes sont positionnés sur 4jours, le lundi, mardi, mercredi etjeudi. Les séances débutent à 20 hpour une durée de 2 heures.

L’image et le diaporama. Cette an-née, une formule supplémentairesera mise en place pour les per-sonnes qui souhaiteraient parta-ger leur connaissance et passionpour la photo et le diaporama. Cetteformule fonctionnera une semainesur deux le vendredi soir, elle pourraaccueillir un maximum de 14 per-sonnes.

Renseignements : 06 30 48 11 33cital.org/blog Les participants après la pétanque ...

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La F.N.A.C.A.


L’Etendard de La Talaudière a 100 ans

Le Vide-grenier de l’U.C.A.T.

a saison 2012-2013 s’annonçaitriche et intense pour L’Etendard.

Force est de constater que les pro-messes ont été largement tenues etque de nombreuses (bonnes) sur-prises sont venues l’enrichir. La saisonsportive avait démarré pour ses sec-tions qui faisaient le plein avec 400 li-cenciés. De nombreuses festivités ont jalonnécette année du 100ème anniversaire. Le23 février au Pôle festif, près de 250personnes se sont réunis pour dé-voiler Le Livre des 100 ans et pour lelancement officiel des festivités. Le

vendredi 3 mai, 400 membres se re-trouvaient dans une discothèquebien connue de la Commune, puis seréunissaient le lendemain à la SalleOmnisports pour exhiber un large pa-nel des activités offertes avant deconclure le dimanche au Pôle festifpar un thé dansant.Le point d’orgue de ces festivités futle 30 juin. Débutée par une messedans l’église, qui rappela les valeursde la société, la journée s’est pour-suivie par un défilé pleinement réussidans les rues de La Talaudière sousles rythmes de L'Harmonie de la Cha-

zotte. Au Pôle festif, lesdiscours du Maire, du Dé-puté, du Conseiller général,mais également du Prési-dent de la FSCF ont salué laforce éducative du club, saconvivialité, sa longévité,ses valeurs et ses résultats,devant un public attentif etnombreux. La journée sepoursuivit par le banquetdu centenaire, organiséavec talent. Les sportifs inscrits dansles compétitions ont offert

de bons résultats à leur club parl’intermédiaire des volleyeurs et desgymnastes. Parmi ceux-ci, les 20membres de l’équipe 1 adulte qui ra-mena le plus beau des trophées : letitre de Champion de France. Debeaux clins d’œil aux fondateurs duclub et aux armées d’encadrants quel’Association a connus en un siècled’existence. De beaux cadeaux pré-sentés par les sportifs aux dizaines debénévoles des festivités du Cente-naire emmenés par l’inarrêtable RenéGaulin, et également pour le Prési-dent Jean-François Charbonnier qui,à clôture des festivités, quittait sesresponsabilités après 18 ans d’exer-cice, heureux du devoir accompli.

Le passage du relaisentre Jean-François Charbonnieret Bernard Carrot.

uccès sans précédent pour levide-grenier organisé au Pôle de

la Viande par l'Union des Commer-

çants et Artisans de La Talaudière(UCAT), le dimanche 30 juin dernier.En effet, cette année le chiffre recordde 480 exposants vient d'être at-teint. Quant au nombre de visiteurs,il était également à la hauteur del'événement.

Dès 4 heures du matin, les chineursétaient là avec l'espoir de dénicher laperle rare.

Cette journée, bercée par un doux so-leil, reste donc une vraie réussite,grâce aux bénévoles fidèles au poste,

mais avant tout grâce aux amateursde ce genre de manifestation.Nous présentons donc nos remer-ciements à toutes ses personnes etvous disons : à l'année prochaine,toujours le dernier dimanche de juin.Ce sera le 29 juin 2014.

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vie des sociétés

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informationsinformations

Jeunes talents talaudiéroisUn rêve de petite fille devenu réalité !

Comme un clin d’œilIl n’y a pas que dansles dessins animésqu’à force de volontéet de ténacité, lesrêves deviennentréalité. Émilie estbien placée pour ledire. Agée de 25 ans,elle est une jeunefemme épanouie etfière de son parcoursqu’el le présente

comme un clin d’œil et un hommageà tous ceux qui, à La Talaudière etailleurs, l’ont accompagnée, for-mée, éduquée et, au final, lui ontpermis de faire de son rêve d’enfantune réalité.

Un parcours ordinaireÉmilie est née en 1988 à Saint-Étienne mais c’est dès 1992 qu’elleemménage à La Talaudière où sesparents ont décidé de s’installer,dans le quartier des Émeraudes.Après deux années sur les bancs del’école maternelle Danton, elle re-joint l’école Victor-Hugo. Elleconserve d’excellents souvenirs desa scolarité talaudièroise et de sesinstituteurs. “Ce sont eux, dit-elle,qui m’ont inculqué la rigueur et lapersévérance, deux qualités qui ontfavorisé mes réussites scolaires etprofessionnelles”.

Après ses années au Collège P. et M.Curie, Émilie fera le choix d’un cur-sus littéraire au Lycée Claude-Faurielpuis obtiendra avec succès une li-cence d’anglais à l’Université Jean-Monnet. Bien décidée à ne pas s’ar-rêter en si bon chemin, elle quitte larégion pour Nice afin d’y suivre uneformation hôtelière d’une année.Puis elle s’inscrit à une formation depersonnel navigant commercial dansune école lyonnaise.

étapes et est convoquée le 3ème jourpour un entretien individuel.

Beau début de carrièreLe 6 avril 2012 elle arrive au Qatar oùelle sera hôtesse de l’ai r. Ses deuxpremiers mois sur place sont consa-crés à une formation au service et àla sécurité. Elle devra même éteindreun véritable incendie en cabine etsuivre des épreuves de natation.Son tout premier vol la mène à Ban-galore en Inde. Puis, du Taj Mahal àla Grande muraille de Chine en pas-sant par Time Square, les voyages sesuccèdent. A ce jour, elle a visité unequinzaine de pays et la plupart descapitales européennes.

Un message aux jeunesÉmilie termine notre entretien par cemessage aux jeunes de notre Com-mune : “J’ai la chance d’avoir vu unepartie du monde grâce à mon métier.C’était un rêve que jamais je n’auraisimaginé pouvoir réaliser. J’espèreque mon expérience personnellesuscitera, chez les jeunes lecteurs,de nouvelles vocations et leur feraprendre conscience qu’il est impor-tant de ne pas mettre l’école de côtécar c’est la base de toute une vie.C’est avant tout d’un bon bagagescolaire dont a besoin une hôtesseavant de s’envoler. ” Pour conclure, Émilie nous dit queson plus beau voyage est celui quila ramène à La Talaudière lors dechacune de ses vacances ; “Je n’ou-blie pas que tout a commencé ici...”

Impitoyable sélectionEn 2012, à 24 ans, Émilie présentesa candidature dans une des plusgrandes et prestigieuses compa-gnies aériennes au monde “QatarAirways” avec l’espoir d’y rejoindreses 7000 employés. La sélectionse déroule à Nice, sur 3 jours, en-tièrement en anglais.Le 1er jour, une centaine de candidatsdoivent déposer leur CV et répondreà quelques questions de connais-sances générales. Tout est examiné,la démarche, l’allure, et, pour lesfilles, le traditionnel chignon quidoit être impeccable. Ce soir-là, le té-léphone sonne chez Émilie. Elle estconviée à la 2nd phase des tests aucours de laquelle chaque épreuveest éliminatoire : mathématiques,grammaire, vocabulaire, rédactionpuis entretien de groupe se succè-dent. Émilie franchit une à une les




Le Centre culturel communal Le Sou

ous l’avez reçue dans votreboîte aux lettres. La plaquette

de la saison du Sou annonce tout desuite la couleur, avec son gramo-phone au grand pavillon : la mu-sique sera l’invitée préférée de notresaison. Et c’est tant mieux : on ditqu’elle adoucit les mœurs ! Certes,il y aura de grands concerts (Yves Ja-mait, Gianmaria Testa, CanticumNovum, Kareyce Fotso, Michèle Ber-

nard) mais la musique se dévoileraaussi sous d’autres atours : descomédies musicales pleines de fan-taisies, ou des contes musicaux quinous emmèneront loin, vers descontrées maritimes et congolaises.

ne se raconte pas. L’autre spec-tacle jeune public, qui nous tient àcœur, vient de Belgique : c’est unspectacle de marionnettes, tendre etdrôle, qui botte les fesses aux cli-chés : Zazie et Max de la Cie 36/37.Soyez curieux, partagez ces mo-ments avec vos enfants : adulte,comme enfant, on se régale !

• Enfin, nous attirons votre attentionsur deux spectacles "coup decoeur". Le premier, En Travaux dePauline Sales est un excellent mo-ment de théâtre, et a créé le buzz auFestival d’Avignon 2012.

Le second est la toute nouvellecréation de la charmante Compagniebelge Baladeux : T’as ma parole.Nous l’avons accueillie la saisondernière en résidence. Elle nous re-vient avec une comédie musicale dechambre pour deux artistes et septpersonnages… De quoi titiller votrecuriosité !

• Aussi, pour aiguiser les chèresécoutilles de nos spectateurs, noussouhaitions, dès l’ouverture de lasaison, offrir une petite pépite mu-sicale, ourlée de délicatesse et dé-bordante d’humour. Ce fut donc laCompagnie du Sans souci et sa ju-bilatoire création Album de famillequi donna le "la" avec un spectaclede chansons sur l’intarissable sujetde LA FAMILLE. Un spectacle qui,semble-t-il, aux sons des éclats derire ou silences émus des specta-teurs, a trouvé un écho particuliè-rement fort en chacun d’eux.

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Oreilles grandes ouvertes pour une saison 2013-2014 très musicale !

Un Air de famille - Photo © J. Voisin

L’Intrépide Soldat de plombPhoto © L. Edelhoff

Yves Jamait - Photo © S. Kerrad

En travaux- Photo © T.-J. Valès

ABONNEZ-VOUS !Abonnement 3 spectacles : 36 €

Abonnement complet (10 spectacles) : 100 €

• Amuser, émouvoir, étonner, donnerà rêver, EN FAMILLE, c’est aussi ceque nous défendons à travers deuxspectacles jeune public, méticuleu-sement sélectionnés. Tout d’abord,nous accueillerons au Pôle festif, enpartenariat avec les saisons de Sor-biers et Saint-Jean-Bonnefonds, unspectacle rare et insolite venu d’Al-lemagne : L’Intrépide Soldat deplomb, de la Cie Stefan Wey. Cespectacle est un émerveillement,une expérience unique, qui se vit et




La Bibliothèque municipale a eu 20 ans !our fêter ses 20 ans, la Biblio-thèque a souhaité que le plus

grand nombre de ses lecteurs parti-cipent à l’évènement !

• Pour les adultes, la lecture dînatoirede cette année était une “spéciale 20ans”, au Sou, dans de vraies condi-tions de spectacle pour accueillir Vielchante Brel. 250 personnes ont as-sisté à ce très beau moment de chan-sons et d’émotion le 26 mars 2013.

• Le spectacle Oa pu ravir lesplus petits, les 5et 6 avril au Sou :ils ont pu plon-g e r d a n s l emonde féeriquedes contes, deshistoires, bercéstout en douceurpar le son de laharpe…

• Pour les pri-maires, la Biblio-thèque a ac-c u e i l l i d e u xauteures pour

des rencontres très intéressantes.Isabelle Chatellard, illustratrice, en fé-vrier, à qui nous avions consacré unepage dans le précédent magazinemunicipal, et Valérie Dayre, auteurepour la jeunesse. Six classes ont puvenir à sa rencontre au mois de maipour découvrir ce que c’est d’être écri-vain et comment on le devient (sou-vent très tôt !) Les élèves arrivent àcette rencontre en connaissant trèsbien l’œuvre de l’auteure, si bienqu’ils connaissent un peu l’auteure

aussi ! Comme les années précé-dentes, un partenariat CM2 - 6ème

s’est mis en place autour de l’œuvrede Valérie Dayre. Tout cela s’est clô-turé au Centre culturel “Le Sou” où lesenfants ont pu montrer à l’auteure letravail qu’ils ont mené toute l’annéeavec leurs enseignants : les textes misen scène et joués devant le publiccomposé surtout des parents et biensûr de Valérie Dayre, flattée et heu-reuse !

l’enfant doittoucher, suivreun tracé, fairedes petites ac-tions, bougerdes pages pourdécouvrir cequ’on ne voitp a s t o u t d esuite… et çamarche bien !

Afin d’exploiter leurs connaissances,tous les enfants sont venus à la Bi-bliothèque jouer avec des jeux confec-tionnés par leurs enseignants en par-tant des albums de la sélection.N’hésitez pas à nous les demander !

• Pour terminer l’année scolaire, les6èmes du Collège sont venus visiter laBibliothèque afin de découvrir le lieupour certains et de comprendre lesdifférences avec le CDI.

• Pour petits et grands, nous avons or-ganisé un concours familial ! Nousavons sollicité les commerçants de LaTalaudière afin qu’ils nous prêtent unpetit coin de vitrine dans lequel nousavons installé des indices permettantde découvrir des titres de romans por-tés à l’écran. Tous ont été partants etnous les en remercions encore ! Il fal-lait trouver 20 titres et dans l’en-semble, les familles participantes sesont bien débrouillées, seul Le tailleurde Gloucester de Beatrix Potter aposé problème a plus d’un !

• Nous avons aussi continué nosanimations avec les maternelles :Drôlalire et Matrulalu, deux partena-riats qui connaissent un franc succèset permettent aux enfants et à leursparents de découvrir des albums sé-lectionnés par des professionnels etqu’en général ils adorent !

Le prix Drôlalire a été attribué cetteannée à l’album Beurk ! d’André Bou-chard et c’est vrai qu’il est très drôle !Le thème de la sélection Matrulaluétait cette année “L’enfant acteurdans le livre !” Parfois dans le livre,

L’année scolaire redémarre, alors ve-nez nous rendre visite ! lecture, mu-sique, cinéma, des activités saines etpas chères !

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La Maison du Patrimoine et de la Mesure

La Vitrineu printemps 2013, L’Etendard deLa Talaudière a fêté ses 100 ans.

Pour cet événement, l’association aréalisé une rétrospective de ce siècleécoulé. Photos, médailles, coupesautant de souvenirs qui se sont af-fichés sur nos cimaises. Le jeu, par-fois difficile, étant de reconnaître unparent, un ami ou une connaissancesur des vieilles photos.Hélène Bertin, peintre, travaille “lamatière”. Cette plasticienne, adeptedu volume, n’a pas de limite quantà l’utilisation d’objets et de maté-riaux : fleurs, goudron, boutons,papiers, photos...Le résultat est im-posant et impressionnant.

Comme chaque année, le CentreSocial de La Talaudière nous a pré-senté les oeuvres de deux ateliersadultes d’art créatif. Pour l’enca-drement, il s’agit de mettre en valeurgravures, photos, images en réali-sant des cadres sophistiqués qui de-mandent grande patience et habi-lité. Pour la céramique, l’imaginationet la créativité doivent être asso-ciées à la technique du modelage,de l’émaillage et de l’enfumage. La saison artistique 2013-2014 vousdévoilera, une palette d’artistestout aussi talentueux. Aussi, n’hé-sitez pas à venir admirer leursœuvres et à les encourager.

A La Vitrine vous pouvez éga-lement : acheter des placesde cinéma et de spectacles duCentre culturel le Sou, découvrirles activités proposées par les as-sociations et trouver une multituded’idées pour occuper vos soirées etweek-ends.

A

Le vernissage du Centre social du 20 juin.

u printemps dernier, la Maisona organisé plusieurs manifes-

tations.

• Lors de la Nuit des musées, le 18mai, les visiteurs, équipés de lampesfrontales, ont pu découvrir ou re-découvrir la collection de poids etmesures par une visite insolite, lefaisceau lumineux permettant d’at-tirer l’oeil sur des détails peu vi-sibles ou sur des reliefs inédits.

• Pour la Journée du Patri-moine de Pays, le 16 juin,ce sont les mesuresrondes qui étaient àl’honneur : mesures devolumes en bois, en fer-blanc ou en aluminiummais aussi poids en lai-ton de tous âges et de toutesvaleurs...

• La Maison a enrichi tout derniè-rement sa collection : cent cin-quante instruments de mesures dephysique et de chimie (anciens oucontemporains) viennent d’intégrerles réserves du musée confiées par

un éminent professeur-collection-neur du Roannais. • Depuis cet été, les abords de laMaison ont été remaniés. Septbornes kilométriques et hectomé-triques de différents types et dedifférentes époques viennent ponc-tuer le chemin d’accès au musée Cesbornes réformées ont été donnéespar le service des routes du Conseilgénéral. La borne V07 rappelle que

la rue Évrard n’a été dénom-mée qu’en 1908 et qu’au-

paravant, ce chemind’accès aux Houillèresde la Chazotte était leVicinal Ordinaire n°7.Deux bornes font réfé-

rence à la Nationale 498,reliant la vallée du Gier à la

plaine du Forez, devenue en2006 la Départementale 1498. Si cestrois bornes sont en pierre de taille(granite d’Estivareilles ou de Péri-gneux), la 4ème est une borne enplastique du seul type agréé au-jourd’hui. Quant au trois petitesbornes elles scandaient les hecto-

mètres dans les intervalles kilomé-triques. Des mesures appartenantau Système métrique décimal etqui figuraient naguère dans toutbon manuel d’arithmétique ! Nousrecherchons toujours une ancienneborne Michelin (à tête carrée) pourcompléter notre présentation.

A

Le nouveau cheminement d’accès

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es petits Coissous se sont re-groupés à la Crèche le mercredi

19 juin pour partager “une heure duconte marionnettes” animée parSylvie et Mathilde. Tous les enfants

La Ribambelle

La Crèche les Coissous et le Jardin d’Enfants

La Petite Enfance

Après avoir bien révisé, noussommes allés les voir de plus près,leur donner à manger et les caresserlors de notre voyage à la ferme Pâ-querette le 21 Juin.

L Petit rappel : le Jar-din d’enfants estfermé depuis le 26juillet à 18 h 30 et arouvert le 26 août à7 h 30, quant à laCrèche elle est res-tée ouverte toutl’été. Contacts : l’équipe éducative de laCrèche et du Jardin d’enfants “LesCoissous” et Pascale Paulet, Direc-trice du Jardin d’enfants.Tél. : 04 77 38 59 34

e 16 avril dernier s’est tenuel’Assemblée générale ordinaire

du Relais Petite Enfance La Ribam-belle. Dès 19h, les adhérents ont eule plaisir d’assister à un spectacle deconte musical offert par l’Associa-tion. L’âne Grisou a émerveillé lesenfants, les instruments s’enchaî-nant au rythme des chansons durant40 minutes.

Venait ensuite ce temps formel de lavie associative qu’est l’Assembléegénérale annuelle. Les différentsrapports (rapport moral, rapportd’activité et rapport financier) furentprésentés puis soumis au vote desadhérents. Enfin, Mélissa Moritel,qui occupait le fauteuil de Prési-dente depuis 2010, appela au re-

nouvellement du Conseil d’admi-nistration et donna sa démission.Son action fut saluée par les élus deLa Talaudière et de Sorbiers. Qu’elle

soit à nouveau chaleureusementremerciée. La soirée se terminadans une ambiance conviviale au-tour d’un verre de l’amitié.

La nouvelle Présidente fut élue aucours de la réunion du Conseild’administration qui suivit. C’estdonc Christine Granjon qui succèdeà Mélissa Moritel ; Pascaline Villet,ayant pris, quant à elle, la Vice-présidence. Nous leur souhaitons labienvenue et les félicitons pourleurs nouvelles responsabilités.

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Mélissa Moritel, Présidente sortante.

Pour clore les festivités entre laCrèche et le Jardin d’enfants, nousnous sommes retrouvés avec Sandypour des jeux d’eau, et même si letemps ne nous a pas permis dejouer avec l’eau, nous avons passéune très bonne après-midi et par-tagé un bon goûter.

de 4 mois à 3 ans ont découvert leslivres et les comptines sur le thèmedes animaux de la ferme.




Samedi 31 août on a inauguré ... amedi 31 août, dès 10 heures dumatin, les élus du Conseil muni-

cipal, Raymond Joassard, Maire deSorbiers et Martine Nédélec son ad-jointe, Annick Massa l’adjointe auMaire de Saint-Jean-Bonnefonds char-gée de la jeunesse et de l’action so-ciale, les responsables de l’associa-tion de l’Ecole des Parents, AlainBoulerot de l’Atelier Royal, Pauline Du-ranton de Dame Nature, Marie Bon-compain de la société Landy, le di-recteur des services techniques de laMairie et Pierre Grail directeur del’école Michelet… se sont retrouvésplace du 14 Juillet à la Goutte.Ce matin-là, la Municipalité avait dé-cidé d’inaugurer le LAEP (Lieu d’Ac-cueil Enfants Parents), les fresquesmurales de la place Ethon-Wéry et dumur de l’Etang paysager, et les travauxréalisés à l’école Michelet.Le lien entre ces 3 sujets ? Vous allezdeviner... Cette manifestation a été or-ganisée en toute simplicité. Elle vou-lait marquer la rentrée.

Le LAEP est la première réalisationintercommunale du CISPD (Conseil In-tercommunal de Sécurité et de Pré-vention de la Délinquance) que nousavons mis en place avec Sorbiers etSaint-Jean-Bonnefonds. Une struc-ture du même type existe dans les 3Communes. Elle est animée par deuxaccueillantes qui sont des profes-sionnelles de l’association de l’Ecoledes Parents présidées par R. Dimier.Le LAEP est ouvert aux enfants âgésde moins de six ans, accompagnés deleur(s) parent(s) ou d’un adulte fa-milier pour participer à des tempsconviviaux de jeux et d’échanges.Cet accueil est gratuit. La fréquentation d’un lieu d’accueilenfants-parents est basée sur le vo-lontariat et le respect de l’anonymat.Participer à l’éveil et à la socialisationde l’enfant, apporter un appui aux pa-rents dans l’exercice de leur rôle parun échange avec d’autres parents ouavec des professionnels : tels sont lesprincipaux objectifs de ces lieux.

Par cela, le LAEP contribue à amélio-rer le lien entre enfants et parents, etparticipe à la prévention du disfonc-tionnements dans la cellule familiale,source de conflit lorsque l’enfantgrandit.

les fresques d’ethon-wery ont été réalisées par l’AtelierRoyal dirigé par Alain Boulerot qui aexpliqué dans quel esprit a été conçuce qui était au tout début un projet dePauline Duranton.Pour “meubler” ces grands murs quiaccueillaient jusque-là des boules,

c’est naturellement le thème du ma-gasin de fleurs et de la véranda qui aguidé l’artiste. Le projet a ensuite évo-lué lorsque les élus de la Communeont souhaité une approche globalesur les deux murs de la place. Unconcours a été organisé et c’est l’Ate-lier Royal qui a été chargé de la réa-lisation que nous avons, aujourd’hui,plaisir à admirer.

Les peintures du mur del’Etang ont été réalisées par l’Ate-lier 7ème Sens sur 4 thèmes choisis parla Municipalité :le sport, la nature,le fleurissement etla petite enfancedont une partie aété réalisée par les“grands” de l’écolematernelle. Le des-sin a été completépar un fleurisse-ment qui contribueà meubler encoreplus ce grand mur.

L’École Michelet a rouvertses portes le 3 septembre. Parents etenfants ont découvert les modifica-tions que la Commune a effectuéespour embellir et sécuriser ce lieu. En2012, des premiers travaux ont étéréalisés par la société Landy pour lesespaces verts et la cour et par la so-ciété Blanchard pour les crépis de lafaçade de l’école.Cet été le portail a été changé, descouvertines ont été posées sur les mu-rets qui ont été crépis eux aussi. Lasalle de la cantine a été entièrementrefaite et la rue devant l’école apportedorénavant plus de sécurité pour lesenfants. Les trottoirs élargis et les es-paces verts, qui seront plantés à l’au-tomne, éloignent, encore davantage,la circulation. Des passages surélevéset l’absence de stationnement devantl’école complètent la “sécurisation”du lieu.C’est l’ensemble de ces réalisationsqui ont été inaugurées samedi matin31 août.Le lien ? C’était l’enfant, bien sûr !

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Le Pôle jeunesseDes vacances studieuses pour les jeunes Talaudièrois

es premières recherches de jobd’été ont débuté très tôt pour

les jeunes Talaudiérois. L’opérationJob d’été organisée en avril dernierpar les Communes de La Talaudière,Sorbiers et Saint-Jean-Bonnefondsa accueilli une cinquantaine dejeunes qui ont pu valider leur CV, s’in-former sur les possibilités offertes surle territoire et postuler sur les emploisproposés par nos Municipalités.

• 50 jeunes Talaudiérois ont ainsipu intégrer cet été les services mu-nicipaux de La Talaudière. Pour cetteédition 2013, 5 sessions ont étémises en place pour renforcer les ser-

Municipalité pour la rentrée 2013. LeBAFA-citoyen permettra d’apporterune aide financière supplémentaireaux jeunes Talaudiérois qui souhai-tent devenir animateurs en contre-partie d’un engagement citoyen dansune Association et/ou lors d’actionsmunicipales. L’occasion aussi de rap-peler qu’en plus de préparer à la vieprofessionnelle, le BAFA est aussi uneexpérience riche humainement etsocialement. Les dossiers de candi-dature ayant été déposés cet été, lespremiers bénéficiaires devraient dé-buter leur formation dès le moisd’octobre ; nous leur souhaitons unetrès belle aventure !

vices de la voirie, des espaces verts,de la Bibliothèque, des Écoles… Unefois encore, le dispositif a été large-ment sollicité et a permis à desjeunes bien souvent mineurs d’ac-quérir leur toute première expérienceprofessionnelle et de gagner un peud’argent. Afin de mieux les accom-pagner dans leurs missions, un tempsde rencontre a été organisé pourchaque session au Pôle Jeunesse.Tous se sont ainsi retrouvés afin departager leur expérience. Un tempsd’accompagnement essentiel pourfaire entendre sa voix exprimer ses at-tentes et besoins, et pour faire naîtrede nouveaux projets comme ce fut lecas pour le Pôle Baby-sitting ou leBAFA-citoyen.

• D’autres ont pu découvrir en juindernier, les métiers de l’animationgrâce à l’intervention chaleureusede Mme Janique de l’UFCV Rhône-Alpes. L’objectif de cette matinéeétait de présenter le BAFA et le nou-veau dispositif mis en place par la

L

le Secteur jeunes du Centre social en mode vacances d’ete !es animateurs (Eric, Farrah,Leila,Christelle, Florian) ont

concocté un programme alléchantpour ces vacances d’été avec des ate-liers, du sport, des sorties exté-rieures (karting, soccer, Walibi …), dessorties aquatiques (piscines, bai-gnade à Aiguebelette, ski nautique,rafting …), un interpôle… Défis, laboom de l’été, le concours de pé-tanque, un camp cinéma, un stage defoot… Il y en avait tellement pour tous

les goûts quel’on n’a pas vule temps pas-ser !

C’est une fortecolonie talau-diéroise qui adébarqué surWalibi en ce dé-

L but juillet. Après les manèges à sen-sation le matin, le groupe s’est re-trouvé autour de l’espace piscine etses toboggans l’après-midi pour unejournée mémorable !

Les ados du Secteur Jeunes ont en-core assuré en organisant le concoursde pétanque de l’été au Centre social.Les participants ont apprécié ce mo-ment convivial autour des boules depétanque ; pour l’anecdote c’est Flo-

rian et Farès, une équipe 100% Sec-teur Jeunes, qui remporte la finale.

Perspectives...Pas le temps de s’ennuyer au Secteur Jeunes, les va-cances sont à peine terminées que les projets redé-marrent. Au programme de la rentrée : un projet cultu-rel mélangeant différents ateliers du Centre social (cirque, dessin, théâtre,guitare) et le Secteur Jeunes, l’organisation du concert solidaire, la mise enplace d’ateliers ludiques autour de la prévention et la préparation des tradi-tionnelles vacances solidaires…




Le Centre socialUne dynamique d’accompagnement culturel en famille

ans le respect du principed’éducation populaire, le Centre

social se veut être un acteur favori-sant l’épanouissement personnelet pose la pratique artistique duThéâtre comme un vecteur d’éman-cipation sociale. En proposant 3ateliers théâtre animés par la co-médienne Cécile Leoen de la Cie Wa-kibus, le projet pédagogique sedonne pour objectifs d’inviter lespratiquants à improviser, rire, écou-ter, imaginer, jouer. L’intervenantetisse entre eux un esprit de troupeoù chacun a un rôle à jouer. Elle leurapprend à bouger dans l’espace,échanger, s’écouter et construiredes saynètes, improvisées ou à par-tir de textes littéraires.

En fin de saison, les 3 ateliers ontproposé à leur tour une présentationde leur travail sur la scène du Soules 27 juin et 3 juillet 2013. L’atelierThéâtre Enfants a construit un par-cours à travers des contes revisitéspar les enfants, les Ateliers ThéâtreAdolescents se confrontant à destextes de dramaturges modernes :L’archipel sans nom et Eux seuls lesavent de Tardieu et C’est unefemme du monde de Feydeau. Leurenthousiasme et leur énergie surscène nous ont comblés ! Cette pratique autour des ateliersprend tout son sens en entrant enrésonance avec les projets d’ac-compagnements culturels conduitsauprès des familles du Centre de Loi-sirs, du Secteur Jeunes et du Club du3ème âge depuis 5 ans en partenariatavec le Sou, l’objectif étant pournous d’accompagner vers le spec-tacle vivant un public qui n’en estpas familier.Enfin, le Centre social s’inscrit de-puis quelques années dans le pro-jet Comédie itinérante de la Comé-die de Saint-Etienne et cette année,nous avons accueilli la pièce We arela France de Jean-Charles Masséra :un regard plein d’humour sur notresociété contemporaine, l’occasiongrâce au théâtre de nous question-ner sur le sens de nos vies…

Une Ecole du SpectateurEn outre, la pratique artistique auCentre social résonne depuis plu-sieurs années avec une École duSpectateur, car il nous semble es-sentiel d’accompagner les enfants etles adolescents au spectacle afinque leur pratique se double de l’ob-servation de comédiens profes-sionnels. L’équipe élabore des par-cours de découverte de spectaclesà partager en famille. Tous les ad-hérents bénéficient de tarifs préfé-rentiels sur ces spectacles et les en-fants participant aux ateliersbénéficient de la gratuité.

Ateliers Théâtre AdosAinsi, cette saison, les AteliersThéâtre Adolescents et leurs fa-

milles ont débuté la saison auCentre culturel communal Le Souavec Les Femmes savantes de Mo-lière par la Compagnie du détourpuis s’est vu proposer Lettresd’amour de 0 à 10, un texte de Su-sie Morgenstern mis en scène parChristian Duchange à la Comédie deSaint-Etienne.

Atelier Théâtre EnfantsLes participants à l’Atelier ThéâtreEnfants et leurs familles ont assistéà 2 spectacles autour de contes :- Pinocchio de Carlo Collodi, dont lamise en scène de Joël Pommeratproposée à La Comédie de Saint-Etienne étonna grands et petits parsa scénographie époustouflante !Cette aventure fut précédée d’unevisite des décors du spectacle ap-préciée de tous.- Poucet pour les grands, conte re-visité par Gilles Granouillet au Sou :les enfants ont adoré cette histoired’ogresse végétarienne amoureusedu petit Poucet.

D




les résidences

e 1er juin a eu lieu la kermesse an-nuelle de la Résidence Marie-Ro-

mier, et si le beau temps n’étaitpas de la partie, ce fut quand mêmeune belle réussite. Les résidants, lesfamilles de résidants, du personnel,

ercredi 26 juin, six enfants duCentre social avaient rendez-

vous avec leurs correspondants del'accueil de jour “La Rose desSables”. Depuis janvier dernier,sous l'impulsion de l'ergothéra-peute Julien Coudereau et de laresponsable de l'accueil de jourMaryse Boyer, les enfants et leurs aî-nés échangent régulièrement ducourrier.Un peu avant midi, Lucas , Rayan,Clara, Oranne, et Lennie, accompa-gnés de la directrice Babeth Blanc et

Marie-RomierORPEA “La rose des sables”

Séjour en gîte à Virigneux

les amis ont apprécié cet après-midi convivial. De nombreux standsde jeux étaient proposés ainsi qu’unstand de création des différents ate-liers de nos résidants, une buvetteavec d’excellentes pâtisseriesconcoctées par nos cuisiniers et en-fin une tombola richement dotéegrâce à quelques uns de nos four-nisseurs et partenaires. Les béné-fices réalisés sont reversés pourl’animation de la Résidence et ser-vent à acheter du matériel, à orga-niser des sorties, entre autres, le sé-jour en gîte à Virigneux du 1er au4 juillet pour 6 de nos résidants.

Un grand merci à la Municipalité de LaTalaudière pour le prêt du matériel.

de l'animatrice Marie-Cécile Méal-lier, sont venus remettre leurs der-nières missives de la saison, avantle déjeuner ensemble, invités par LaRose des Sables. Le déjeuner s'estpassé dans la joie et la bonne hu-meur ; l'après-midi, tout le monde aparticipé à un jeu de l'oie géant,prêté par les Archives municipalesde Saint-Étienne. A l'heure du goû-ter, le Centre social a régalé tout lemonde. La journée s'est terminée enchansons .

Résidence La Buissonnière

a résidence médico-socialeBTPRMS de La Buissonnière a

un nouveau directeur. Monsieur Oli-vier Lemaître occupe cette respon-sabilité depuis le 1er juillet. Marié etpère de deux petites filles, ces quatrenouveaux Talaudiérois arrivent deCharente. Bâtie en 1965, La Buis-sonnière tourne une nouvelle pagede son histoire. Profitant du Lien,Monsieur Lemaître revient sur cesannées et sur sa venue : “Dès monarrivée je me suis senti accueilli par

M L

L

le personnel et les résidants. Celarenforce ma joie d’arriver dans uncadre de travail très agréable. Jesuis reconnaissant envers tous ceuxqui se sont succédé pour construirece beau lieu de vie. Puissions-nouspoursuivre l’écriture de cette histoireinscrite dans celle de La Talaudière,désireux de partager nos dons et res-pectueux des fragilités de chacun.”




L’Association d’entraide Pierre Valdoepuis quelques mois le Foyer desRoses qui accueillait des per-

sonnes âgées a déménagé à Soley-mieux, sur notre territoire, Doréna-vant, c’est la résidence Marie-Romier.L’ancien établissement, situé à LaTour-en-Jarez à la “frontière” avec LaTalaudière, a été repris par l’Associa-tion Entraide Pierre Valdo pour y ins-taller un établissement dédié à l’ac-cueil de demandeurs d’asile. Le siègede cette association est à Lyon. Ellegère depuis 40 ans, dans le cadre duDispositif National d’Accueil, diversétablissements et activités dans lechamp de l’accueil, l’hébergement,l’accompagnement et l’insertion so-ciale et professionnelle à destinationdu public demandeur d’asile et bé-

le fonctionnement de l’établissement.Le statut de réfugié peut être ac-cordé sur 3 fondements :• la Convention de Genève, relative austatut des réfugiés, du 28 juillet 1951 :le statut de réfugié est délivré à“toute personne qui (...) craignantavec raison d’être persécutée en rai-son de sa race, de sa religion, de sanationalité, de son appartenance à uncertain groupe social ou de ses opi-nions politiques, se trouve hors dupays dont elle a la nationalité et nepeut ou, du fait de cette crainte, neveut se réclamer de la protection de cepays” ;• l’asile dit constitutionnel, qui tire sonorigine de l’alinéa 4 du préambule dela Constitution de 1946 : le statut deréfugié est accordé à “toute personnepersécutée en raison de son action enfaveur de la liberté” ;• le mandat du Haut-Commissariatdes Nations-Unies pour les Réfugiés(HCR) : pour ceux qui sont reconnusréfugiés par le HCR sur la base des ar-ticles 6 et 7 de son statut.Chaque demandeur d’asile doit dé-poser un dossier auprès du PADA(Plateforme d’Accueil des Deman-deurs d’Asile) gérée dans le cadre del’Office Français des Demandeursd’Asile.L’établissement d’accueil de La Tour-en-Jarez peut accueillir 200 réfugiés.Actuellement il y en a 150 dont 38 en-fants qui doivent être scolarisés. En

fonction des possibilités, ceux-ci sontaccueillis dans les écoles de La Tour-en-Jarez, L’Etrat, Sorbiers et La Ta-laudière.

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Les frais de cantine et l’utilisationdes transports en commun sont prisen charge directement par l’EntraidePierre Valdo.Dans l’attente de l’instruction de sondossier, chaque demandeur d’asiledoit être logé. Il perçoit une allocationde 330€/adulte. Il n’a pas le droit àl’emploi. Pour les enfants il n’y a au-cune allocation. Les frais de nourrituresont à la charge des demandeursd’asile.Après une instruction qui peut dureren moyenne 18 mois, la demandepeut être refusée. Ce refus signifie quela personne doit quitter l’hébergementgéré par Entraide Pierre Valdo. Si la de-mande est acceptée, la personne estadmise au bénéfice de la protectioninternationale. Le réfugié peut resterencore 3 mois en centre d’héberge-ment puis il doit s’insérer dans une vienormale et a accès à tous les droits so-ciaux.Les demandeurs d’asile qui viennentdans le département de la Loire sontprincipalement originaires de l’AfriqueSubsaharienne, des Balkans et duCaucase. Toutes les catégories so-ciales sont représentées : personnelpolitique, haut fonctionnaire, méde-cin, journaliste…Il n’est pas facile de quitter sa ville, sarégion. Il est très difficile de quitterson pays.

néficiaire d’une protection interna-tionale, d’une part, en situation d’ex-clusion sociale, d’autre part. L’En-traide Pierre Valdo intervient dans :• 2 régions administratives : Rhône-Alpes et Auvergne ;• 4 départements : l’Ardèche, laHaute-Loire, le Rhône et la Loire.Le centre d’accueil de La-Tour-en-Ja-rez est géré par une équipe socialepluridisciplinaire encadrée par unchef de service.C’est l’Etat par l’intermédiaire de laPréfecture qui assure, dans le cadre lé-gal de la réglementation internatio-nale, la prise en compte des deman-deurs d’asile.C’est l’Etat qui finance intégralement

Les responsables de l’établissementaccueillent des élus de La Talaudière.

Une réfugiée d’Europe de l’Est...

... et un de ses fils.



Un week-end d’été musical et culturelUn premier week-end d’été sous le signe de la fête et des échanges culturels ! Les 21 et 23 juin accueillaientsuccessivement la Fête de la Musique et la Fête des Jumelages 2013. Pour débuter un été plus souriant que le défuntprintemps, les Talaudiérois ont répondu nombreux à l’appel de ces fêtes.

21 juin, en musique !ême si le calendrier l’indiquaiten toutes lettres, l’été n’était

pas encore complètement installédans le ciel ce 21 juin. Peu importe,les Talaudiérois avaient envie defêter la musique comme il se doit, etc’est donc au Pôle festif que le ren-dez-vous annuel leurétait donné. Rendez-vous respecté puisquela salle était noire demonde !

Comme la 32ème Fête dela Musique avait pourthème national “LaVoix”, c’est tout natu-rellement aux choristesd’A Tout Chœur qu’avaitété confiée la missionde regrouper autourd ’ e u x d i f f é r e n t s

groupes vocaux. Les musiciens deL'Harmonie de la Chazotte avaient,tradition oblige, eux aussi leur placetrès appréciée par le public, aucœur de la soirée. L’occasion de re-prendre quelques-unes des plusgrandes musiques de films : James

Bond, La vie est belle ou Sister act.De 20 h à plus de 23 h, Les AnsChanteurs et Musirêve de Sorbiers,Mélodie des sources de Saint-Gal-mier et bien entendu A Tout Chœur,se succédèrent pour interpréter desclassiques de la chanson française

ou visiter un répertoire plusfolklorique ou internationalnon moins apprécié desspectateurs. Puis, surprisede fin de spectacle, dansun final enlevé et sympa-thique, Pascal Garrido,Maire de notre Communeétait devenu chanteur d’unsoir en se joignant auxhommes d’A Tout Choeurpour entonner le bel hom-mage aux dames qu’est lachanson de Serge Lama :Femmes, femmes, femmes !

23 juin : marche, pique-nique géant et danse latine !ouveau lieu, nouvelle forme, àl’initiative du Comité de coor-

dination des jumelages, les troisjumelages Talaudiérois organisaientle dimanche 23 juin leur tradition-nelle fête biennale. Pour cette édi-tion 2013 et après le succès de cellede 2011, c’est à nouveau par unemarche matinale sur le parcours dela Galoche, gentiment “prêté” etbalisé par des bénévoles du Sou desécoles, que débutait la journée. Nouveauté 2013, c’est sur le site del’étang paysager, tout près de laMaison de la Nature que se fai-saient le départ et le retour des mar-cheurs. A leur arrivée, vers midi et-demi, après les efforts réalisés surles 6 ou 14 kilomètres du parcours,un apéritif offert par la Municipalitéles attendait.

A cette occasion, nous avons ap-précié le déplacement à La Talau-dière de deux familles de Küssa-berg : Bernhart et Brigitte Rossaainsi que Jurgen et Sylvia Barabas.Quelques rafraichissements plustard, l’espace paysager près del’étang devenait un écrin calme etverdoyant pour un pique-nique par-tagé à l’ombre des arbres. Momentidéal pour reposer des jambes biensollicitées dans la matinée, maisaussi pour découvrir la prestation del’association stéphanoise “BarrioLatino” venue offrir une démons-tration de danses latines aux pique-niqueurs. Quant aux canards, ab-solument pas effrayés par cettenouvelle expérience, ils sont restésle bec cloué par les costumes cha-toyants des danseurs et les rythmes

endiablés de la musique latine.Une première Fête des Jumelages àl’étang réussie, même si le publicn’était pas, en nombre, à la hauteurdes espérances de nos Comités,ceux qui étaient là auraient souhaitéque cela dure encore plus long-temps. Rendez-vous dans deux ans !


M

N


jumelages

j


Le Jumelage Franco-Malien

Eucalyptus 42

Le Mali est en pleine effervescencedepuis le mois d’avril avec la pers-pective des élections présidentiellesqui doivent avoir lieu le 28 juillet. Leslistes électorales sont réactuali-sées, mais avec les déplacements depopulation, la difficulté est grande.Rien ne paraît simple et l’on peutjuste espérer, à l’heure où ce bulle-

tin paraîtra,que les Ma-liens aurontsu et pu sereconstruire.

• A Soma-dougou, lasaison desp l u i e s a

commencé avec peine, les ense-mencements ont pu débuter surcertaines parcelles.

• Le plan 2013 est en cours de réa-lisation : après l’achat de la motopour le Maire, le parc à bestiaux de

Karamani est terminé, le bureau etlogement du Directeur de Sirakoros’achèvent et l’argent pour l’instal-lation de l’eau potable à Koloni a étéenvoyé. Seuls les évènements ontretardé cette réalisation mais onpeut compter qu’en septembre lestravaux démarreront.

• Le gros chantier est la constructiondu mur d’enceinte de l’École de So-madougou que nous avons pro-grammé sur 2 ans compte tenu ducoût. Il y a quelques années nousavons réalisé la « devanture » (murqui longe le goudron c’est-à-dire laroute) avec son portail. Il devenaiturgent de terminer l’ouvrage d’au-tant plus que l’école subissait le pas-sage des troupeaux et des divaga-tions, sans compter l’insécurité deslocaux et des personnes. Rappelonsque nous avons obtenu une sub-vention du Ministère des Affairesétrangères de 7 600 €.

• L’année sco-laire a pu sedérouler ets’est termi-née mais, àce jour nousn’avons pasles résultatsd e s e x a -mens.

• La nomi-nation dun o u v e a uChef du vil-lage a été confirmée par la CourSuprême après l’appel de MamadouDembélé. Il s’agit de Bokari Tangaraque nous connaissons pour l’avoirvu participer aux réunions lors desmissions précédentes. Nous savonsque ce chef, aidé par le Comité dejumelage, saura s’impliquer dans lejumelage pour faire avancer les pro-jets, au bénéfice de la population.

La Talaudière-Sio, secteur de Somadougou

près une saison riche en confé-rences variées et même un

spectacle de tango, l'association“Eucalyptus 42” a déjà prévu sa sai-son 2103 - 2014.

Cette fin de saison a été marquéepar la Fête des Jumelages . Si lesspectateurs n'ont pas été nom-breux, la journée sous le soleil a per-mis aux participants d'effectuerl'une des deux marches proposées.L'apéritif et le pique-nique trèsagréables se sont terminés dansl'après-midi par un spectacle dedanses d'Amérique latine, proposé par l’association “Barrio la-tino” qui s'occupe de programmesd'aides humanitaires auprès desenfants d'Amérique latine. Cette association a été invitée par lanôtre.Nous continuons a avoir d'excellentsrapports avec nos amis espagnols,qui nous l'espérons vont nous per-

mettre d'élargir nos différents pro-jets de coopération.Nous espérons aussi que vous sereznombreux à la rentrée à venir vousjoindre à nous.Contact : Suzanne [email protected]

A

Cette importante usine de papier setrouve à proximité de Montañana.

C’est dans un petit village que noustrouvons cette chapelle

La récolte du riz à Somadougou.


jumelages


u.

Le camp d’été

Le Jumelage Franco-Allemand

es 3, 4 et 5 mai, nos amis alle-mands nous avaient invités à

l’occasion de leur 5ème Nuit de la Cul-ture qui se déroule de part et d’autrede la frontière. Nous avons ainsi, aufil de nos déplacements et de la nuit,tantôt en Suisse, tantôt en Alle-magne, pu découvrir les créationsde divers artistes sur des sites aussipittoresques qu’une forge ou uneusine désaffectée. La musique aussitenait une bonne place d’autantque pour notre contribution à cetévénement nous avions demandé àRoger Blanchet, accordéoniste, denous accompagner. Notre passagea ainsi été remarqué puisque ponc-tué d’inoubliables moments de mu-sique et de chansons françaises. Ledimanche midi, Manfred Weber,nouveau Bourgmestre est venu nousrencontrer avant le repas en com-mun.

Cette année le voyage entre adhé-rents s’est déroulé le dimanche 9juin et avait pour but la découvertedu site de l’Abbaye de Cluny. La vi-site du musée nous a permis decomprendre comment plusieurséglises s’étaient succédé jusqu’àCluny III bâtie de 1088 à 1130 et dontnous avons pu découvrir les ves-tiges. Après la pause-déjeuner dansla cour intérieure du Palais Jean deBourbon, nous avons bénéficié

d’une visite guidée du Haras natio-nal particulièrement appréciée. Il fal-lait alors songer au retour non sansavoir fait une petite halte au Do-maine du Voisinet à Blanot pour unedégustation, avec modération bienentendu !

Les participants sont repartis en-chantés de cette agréable journéeou nous avons réussi, contraire-ment à nos amis restés à La Talau-dière, à éviter la pluie.

rente-six jeunes collégiens de LaTalaudière, Küssaberg et Pfaf-

froda, et leurs accompagnateursont passé une semaine ensembledans un camping de la Forêt Noire,au bord du lac Schluchsee. Partis lelundi 19 août, nous nous sommesinstallés le soir dans les tentes. Legroupe a été accueilli officiellementdès le mardi matin par le nouveauBourgmestre de Küssaberg, M. Man-fred Weber. Cette semaine nous apermis de visiter le centre-ville deFreiburg, une mine d’argent àSchauinsland, le site touristique deTitisee, de faire une montée en té-léphérique suivie d’une descente àtrottinette tout-terrain, de nous bai-gner en piscine et dans le lac… A partles nuits froides sous la tente et

quelques éraflures, tout s’est trèsbien passé. De retour à La Talaudièrele samedi 24 août, tous les partici-pants gardent un excellent souvenirde cette nouvelle expérience derapprochement entre voisins euro-péens.

Prochaine activité de notre Jume-lage : l’accueil de nos amis alle-mands lors du week-end des 11, 12et 13 octobre. Vous souhaitez nous rejoindre ?Contactez - nous par mail : [email protected]

L

T

Le voyage annuel du Comité de jumelage.

La Nuit de la Culture à Küssaberg


environnementenvironnement


L’extinction nocturne de l’éclairage publicLa réflexion surla transitionénergétique Cette réflexion a été engagée dansle dernier numéro du magazine LeLien (voir p. 26). Il y était démontréqu’une des voies pour remédier auxdépenses d’énergie était la sobriété,la recherche d’économies dans notrequotidien. Chacun se doit de fairedes efforts dans ce sens.

que cet éclairage de nuit a des effetspervers sur la faune, la flore et par-fois même sur la population. Rappelde l’article 41 de la loi Grenelle 1 :« Les émissions de lumière artifi-cielle de nature à présenter desdangers ou à causer un trouble ex-cessif aux personnes, à la faune, àla flore ou aux écosystèmes, en-traînant un gaspillage énergétiqueou empêchant l’observation du cielnocturne feront l’objet de mesuresde prévention, de suppression ou delimitation ». Plus d’une centaine deCommunes de la Loire ont déjà ap-pliqué des extinctions totales oupartielles sur leur territoire. A ce jour,le SIEL, l’organisme en charge de cedossier, n’a reçu aucun avis négatif.

A l’échelle de notre Commune, uneextinction d’une durée de 6 heures(de 23 h 30 à 5 h 30 par exemple)permettrait une économie d’environ53 % de notre facture, soit sur la

base de la consommation de 2012,plus de 23 500 euros ! (chiffragesavancés par le SIEL, Syndicat Inter-communal d’Energies du départe-ment de la Loire, qui gère notreparc lumineux). Et l’on connaît latendance du coût du kW/h !

Alors, que faire à LaTalaudière ? Une délibération du Conseil muni-cipal en date du 30 mai 2011 a déjàévoqué ce sujet, rappelant que noussommes engagés dans la démarchedu Plan Climat Energie Territorialavec un objectif de réduction de20% de nos émissions de gaz à ef-fet de serre.

Les économies àl’échelle de laCommuneLa Commune, soucieuse de l’envi-ronnement et de son budget, a déjàréalisé des opérations visant à ré-duire ses propres dépenses d’éner-gie : audit sur les bâtiments et iso-lation, changement de chaudières,extinction des éclairages de nuitde presque tous les bâtiments pu-blics, ainsi que des illuminations defin d’année, mise en place de lumi-naires performants dans les rues quiont bénéficié de l’enfouissementdes lignes aériennes, remplacementdes lampes énergivores par desleds, plus économes.

Et l’éclairage public ?On peut aller plus loin, notammenten économisant sur la facture del’éclairage public. Nous savons tous

Plusieurs pistes se présentent ànous : installation de systèmesd’éclairage à détecteur de présence,réduction de l’intensité lumineuse,suppression des luminaires danscertains secteurs au regard de la fré-quentation, programmation diffé-renciée des heures et secteursd’éclairage, extinction des points lu-mineux sur tout ou partie de laCommune…

Bien entendu, cela ne se fera passans concertation ; le projet seraprésenté en temps opportun, lesbienfaits en seront débattus, chacunpourra s’exprimer.

À Sorbiers de 24 h à 5 h.

À La Tour-en-Jarez de 24 h à 6 h.

À Saint-Héand de 23 h à 5 h.

Les nouveaux systèmes d’éclairage.



Le 7ème marché aux fleurs

La Maison de la Nature

Le 8ème Marché aux Fleurs auralieu le dimanche 18 mai 2014toujours dans le superbe cadredu Parc municipal.

e printemps, la Commune aachevé l’installation de la nou-

velle signalétique pé-dagogique dans l’es-pace paysager de laSablière. Tous les visi-teurs avaient déjà puapprécier les grandspanneaux explicatifsinstallés en 2012.Cette année, de nou-veaux panneaux sontvenus compléter cetensemble.

Cette signalétique apour but d'informerles promeneurs sur lesthèmes variés quicomposent cet es-

pace : la faune, la flore, le patri-moine, la haie bocagère, l’arbore-

C tum, les jardins de simples et celuide fougères, prêles et autres plantestoxiques… Pour agrémenter le sen-tier de découverte, du mobilier lu-dique propose un éveil par des jeux.Ceux-ci permettent de découvrir destraces d’animaux et certaines es-sences de l’arboretum, ou de se fa-miliariser avec les oiseaux du parc.

eaux pluviales et sur le paysage pé-riurbain de notre Commune mar-qué par son passé minier.

Enfin de petits panneaux ont été misen place pour expliquer le fonction-nement, la réglementation et lemode de gestion écologique du site. Les trois tables de lecture nous ren-

seignent sur la vie de l’étang, sur lagestion du bassin de rétention des

e dimanche 19 mai de 9 h à 18 hse déroulait dans le Parc muni-

cipal le 7ème Marché aux Fleurs deLa Talaudière..

Comme de nombreux dimanches dece printemps 2013, le temps était

L maussade. Quelques exposants ontdéclaré forfait mais nous retrou-vions cependant des fidèles de cettemanifestation comme Fayolle horti-culture, le Gaec du Rosey, le Gaec deFleurs d'Azur.

On pouvait également découvrir lesstands d'artisanat de M. et MmeCotte, de Mme Bricaud, Mme Amar,et les jouets en bois Adoigtscadaboisde M. Girandon.

Notons également la présence de laLibrairie Bleue comme une orange etcelle de la Maison de la Nature quirencontre toujours un vif succès.

Le Centre social avait exposé à laMaison du Parc des compositionsflorales avec quelques superbespatchworks.

Enfin il était possible de se restaureravec le camion Au délice et en mu-sique grace à Chris et Léa, leur orguede Barbarie et leur bonne humeur.

Sous le signe du mauvais temps ...





le Fisac de La TalaudièreBilan de la première tranche

Chantal Vergeau“femme chef d’entreprise de l’année”Les Trophées de l’Entreprise ont récompensé cette année Chantal Vergeau,la PDG de l’entreprise talaudiéroise Valette & Gaurand Industrie.La société fabrique des billes industrielles en acier, verre ou plastique des-tinées au secteur de l’automobile, de la cosmétique, de l’équipement ouencore de la pharmacieutique.Les premières billes ont été fabriquées à Unieux en 1893 par MM. Teys-sier et Valette, destinées aux fabriques de cyles stéphanoises.En 1928, l’atelier de Forge s’installe àLa Fouillouse au bord du Furan maiscertaines étapes de la fabrication sontréalisées rue Mougin-Cognet près de laplace Carnot. Après une quinzained’années passées à Montreynaud, lasociété s’installe à La Talaudière en1991, dans une usine de 10 000 m2.Les dirigeants se sont succédé depuispresque 120 ans et ont géré les caps difficiles liés aux aléas politiques etéconomiques. Certifiée TS 16 949 et ISO 14 001 un nouveau challenge esten cours : l’ISO 26 000, qui englobe tous les aspects de la Responsabi-lité Sociétale de l’Entreprise. Cela fut possible et l’est encore grâce à unpersonnel motivé, compétent et fidèle.Même si de nombreux jeunes intègrent l’entreprise “de père en fils”, celle-ci réserve un bon accueil aux jeunes motivés ayant la volonté et la pas-sion d’apprendre un métier hors du commun : en effet Valette & Gauranddemeure le dernier fabriquant industriel français de billes de haute pré-cision ; plus de 70% du chiffre d’affaire sont réalisés à l’export.

La tribuneJean-Sabatier

a tribune du Stade Marcel-Thinet a été rénovée pendant

cet été. Des sièges, cédés gratuite-ment par le Stade Geoffroy-Gui-chard, y ont été installés. Les em-ployés municipaux qui ont réalisécette installation ont astucieuse-ment joué sur les couleurs et, avecun peu d’attention, on peut distin-guer sur la photo le sigle E ST del’Etoile Sportive Talaudière qui ap-paraît dans les gradins… vides.

n juillet 2012, l'Opération ur-baine en faveur du commerce et

de l'artisanat local est amorcée. Laconvention de partenariat est signéeentre l'Etat, la Commune et leConseil général.

La tranche 1 est lancée et elle se voitattribuer une enveloppe de 96 000 €pour l'aide à l'investissement.

18 commerçants ont présenté unprojet, l'aide nécessaire pour ré-pondre à toutes ces demandes defaçon égalitaire est de 117 800 €.

L'Etat et le Conseil général ne par-ticipant pas davantage, la Munici-palité décide de prendre en charge

la dépense complémentaire.Une subvention de 21 800 € estvotée par le Conseil municipal le8 juillet 2013.

On peut voir déjà dans certainscommerces de La Talaudière, desréalisations ayant abouti grâce àl'aide du subventionnement Fisac.

L'opération urbaine c'est aussi leconseil, l'aide à la communication età la modernisation, la formationsur des thématiques diverses.

En 2014 finira la première tranche,un dossier de demande de pour-suivre par une deuxième tranche esten cours.

E

L



L’A45, encore et toujours ...la Commission mobilité 21 a rendu ses conclusions

Nos conclusions• Depuis plus de 20 ans on nous amenti tant en ce qui concerne les al-ternatives à l’A45 que sur l’impactenvironnemental et le report modaldu rail sur la route.

• L’espoir est dans l’évolution de laréglementation et dans celle de laprise de conscience collective et in-dividuelle.

• Depuis plus de 20 ans nous disonsnotre opposition à ce projet, priori-sant une requalification de l’A47 etune amélioration des dessertes fer-roviaires.

• Depuis plus de 20 ans nous aler-tons les “grands décideurs” sur lesdifficultés de circulation au nœudA450/A7 et l’impact sur l’agglomé-ration lyonnaise.

• Au-delà de la satisfaction de re-trouver l’intégralité de nos analysesdans les conclusions de la Commis-sion Mobilité 21, notre inquiétude de-meure quant au gel des 11 hectaresde notre territoire dans l’attente desconclusions de nouvelles études.

• Certes, si ces études devaient mo-difier le projet actuel, la DUP du 16juillet 2008 tomberait ; mais ce n’estpas pour autant que nous pourrionsenfin dire que le risque n’existe plus.

nalyses et conclusions qui sontriches d’enseignements.

“La commission a été sensible auxenjeux d’aménagement du terri-toire qui s’attachent à l’améliorationdes liaisons entre Lyon et Saint-Etienne, qu’elle juge nécessaire.Toutefois, des avis divergents sesont exprimés quant à l’intérêt duprojet pour y parvenir.Certains commissaires ont ainsi faitpart de leur conviction que d’autressolutions, via notamment une re-qualification de l’A47 et le renfor-cement des dessertes ferroviairesentre Lyon et Saint-Etienne, per-mettraient d’apporter une réponsesatisfaisante aux problèmes qui seposent, tout en étant plus respec-tueuses de l’environnement. Ils ontsouligné que la réalisation de cetteinfrastructure conduirait peu ouprou à doubler l’autoroute exis-tante, à renforcer la congestion rou-tière de l’agglomération lyonnaiseet à provoquer un report modal du

rail sur la route parfois estimé del’ordre de 7000 voyageurs / jour àl’horizon 2020. Dans ces condi-tions, le projet ne s’inscrirait pas encohérence avec les orientations duGrenelle de l’environnement…… La commission a constaté qu’elledisposait d’informations contradic-toires pour se forger une opinion,tant sur ce que pourrait offrir letransport ferroviaire que sur les ef-fets du projet sur les conditions decirculation dans l’agglomérationlyonnaise.Après en avoir longuement débattuet fait une analyse comparative desenjeux nationaux, la commission adistingué le projet et sa probléma-tique. Elle estime que la situationtrès dégradée des conditions de

déplacement entre Lyon et SaintEtienne justifient que leur traite-ment figure dans les premières prio-rités du scénario n°2. Elle considèrequ’il importe de poursuivre les ef-forts déjà engagés pour le renfor-cement indispensable de l’offre fer-roviaire. Pour les déplacements parla route, dont les conditions sont au-jourd’hui très dégradées, la solutionne pourra, le cas échéant, être dé-cidée sous la forme du projet A45qu’après s’être assuré de manièrecontradictoire qu’il n’existe pas d’al-ternative effective à un coût raison-nable.Une poursuite des études est indis-pensable. La commission juge quesi la réalisation du projet A45 devaitêtre décidée, une solution satisfai-sante pour l’arrivée du projet surl’agglomération lyonnaise devraêtre trouvée pour éviter d’y aggra-ver les conditions de circulation,notamment au niveau du nœud A7-A450…”.

A

Le projet A45 à Pont Bayard.

A450, le 27 février 2012 à 8 h 30.Prise de vue extraite du film“Non à l’A45” © Mairie de La Talaudière




Le plan de circulation, le stationnement, la place Gambetta a Commune a lancé une étudesur le fonctionnement urbain

du centre-ville avec le bureaud’étude : “Municipalité Service”.Celui-ci a émis le diagnostic suivant :

Contexte général :• Une attractivité de l’emploi qui serenforce mais un risque de déclin dé-mographique.

• Une forte proportion d’utilisationde la voiture pour les déplacementsavec l’extérieur.

• Une motorisation encore fortepour une Commune de premièrecouronne, induite par une multi-motorisation importante.

• Une part des transports collectifsrestant encore relativement réduite(7%), malgré :

- une forte fréquence de des-serte en transport en commun ducentre de La Talaudière ( 8 min enpointe) à même de justifier unemeilleure insertion des transportscollectifs dans la circulation générale(itinéraire privilégié, couloir bus,site propre, etc.)

- un besoin pouvant s’inscriredans la problématique d’extensionNord-Est d’un TCSP (Transport enCommun en Site Propre) depuisChâteaucreux (orientation du PDU).

• Une faible part des modes doux

• Un jalonnement d’accès au centre

à mieux matérialiser, principale-ment à destination de l’offre de sta-tionnement.

• Une signalétique urbaine à sim-plifier et à rendre plus lisible.

La circulation :• Un centre urbain servant d’en-tonnoir à deux axes primaires clas-sés dans le réseau d’intérêt généraldu Département de la Loire

• Un axe principal (Mirabeau – Vic-tor-Hugo) supportant des niveaux detrafic difficilement compatibles avecses fonctions urbaines (jusqu’à 15000 véhicules/jour)

• Un trafic de transit représentantenviron 50% des trafics entrant ousortant du centre.

Le stationnement :Près de 1 000 places au total dans lecentre.

Zone bleue de 229 places corres-pondant à l’hyper-centre

Occupation ne dépassant jamais68% (hors jours de marché)

Offre apparaissant couvrir large-ment la demande globale mais dessaturations : parking de la PlaceJean-Moulin aux périodes de pointe.Zone bleue ponctuellement saturéeen fin de matinée.

Un respect de la règlementation dela ZONE BLEUE très approximatif :

55% de l’occupation est réalisée par19% de véhicules stationnant plusde 2 h, donc en infraction.

Ces 160 véhicules stationnant en

longue durée dans la zone bleuesont :

• pour moins de 20 d’entre eux, ceuxde résidants

• pour l’essentiel, ceux de per-sonnes venant travailler dans lecentre.

La place Gambetta :• Un espace de convivialité, de tran-quillité, de rencontre, d’animation,

de service et de commémoration de4 000m2:

- une fonction de parking.

- un espace affecté aux 2/3 à lavoiture.

- un accès difficile au parking.

• Trois hypothèses sont avancéespar le bureau d’étude.

- Hypothèse 1 : maintien du doublesens rue Victor-Hugo

- Hypothèse 2 : mise à sens uniquede la rue Victor-Hugo

- Hypothèse 3 : déviation sud de laRD1498 contrôle d’accès sur le coeurde ville rue Victor-Hugo et sesabords à dominante piétonne

Ces hypothèses demandent à êtreaffinées et chiffrées. Elles deman-dent aussi à être débattues avec leshabitants, les usagers et les com-merçants. C’est une vaste concer-tation que nous devrons mener en-semble. Ce qui est certain, c’estque notre Commune devra mettre enplace un plan de circulation et destationnement.

Une commémoration devant le Monumentaux Morts de la place Gambetta.

Un jour de marché, place Gambetta.


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Le nouvel accueil de loisirs périscolaire, c’est parti !Le temps de l’enfant au cœur des préoccupations

a Commune de La Talaudière adécidé de mettre en place la ré-

forme des rythmes scolaires dès le3 septembre 2013. La réflexion pourréussir ce projet a été menée depuisdécembre 2012 au sein de la Com-mission École mise en place à cet ef-fet et composée d’enseignants et deparents représentant les trois écolespubliques de la Commune et éga-lement des élus en charge des af-faires scolaires.

Des moyensPour assurer la cohérence et la qua-lité de cet accueil et pouvoir égale-ment bénéficier de subventions CAF,nous nous sommes inscrits dans unprojet éducatif territorial (PEDT), etnous avons obtenu l’agrément CAFet DDCS. Cela s’inscrit totalementdans notre projet éducatif local misen place en 2005.

Bien sûr, cet accueil de loisirs péri-scolaire est encadré par une direc-trice qui veille au bon fonctionne-ment de la structure ainsi qu’àl’encadrement des animateurs.

L’organisationDès juillet les parentsont pu inscrire leur en-fant sur les différentstemps proposés autourdu temps scolaire.

Ainsi le matin l’accueilpériscolaire débute à 7h 30 à l’École mater-nelle Jean Plathey et àl’École Victor-Hugo

pour les élèves de Victor-Hugo et deMichelet.

La pause méridienne est de 11 h 30à 13 h 30. Les parents peuvent venirchercher leur enfant entre 11 h 30 et12 h 30 pour prendre le repas à lamaison et revenir à 13 h3 0 à l’école.Les autres enfants peuvent prendreleur repas à la cantine.

Des choix d’horaireLe temps scolaire terminant à15 h 45, les enfants qui ne peuventpas rentrer chez eux ont le choix del’accueil périscolaire “libre” ou ilspeuvent quitter la structure à n’im-porte quel moment entre 15 h 45 et18 h 30 ou bien participer de 16 h à17 h aux activités proposées et en-cadrés par des animateurs issus desassociations sportives, culturellesde la Commune ainsi que par du per-sonnel municipal, tous salariés parla Commune.

Des activités variéesLes enfants vont pouvoir découvrirl’allemand, l’espagnol, le basket, letennis, le judo, le foot, la gymnas-tique, le yoga, l’éveil corporel, lecirque, le tir à l’arc, le handball, l’in-diaka, le tennis de table, la danse,la musique, les arts plastiques, l’ori-gami, un club nature, un club patri-moine, l’activité cuisine.

L

Ce temps d’activité est totalementgratuit. Il n’y a pas de modificationsur les tarifs du périscolaire (35 à 50centimes la demi heure en fonc-tion du quotient familial).

Bonne année périscolaire à tous !




Le Tour Loire-Pilat fait étape à La Talaudière

Connaissez-vous Multitud’ ?lors que de nouvelles formulestarifaires multimodales vont

être disponibles en région RhôneAlpes à l’image du système de la

carte Orange en ré-gion parisienne per-mettant de bénéficierde tarifs attractifs enusages combinés destransports en com-muns de plusieurs ag-glomération dontSaint Etienne Métro-pole, Lyon, …et si-multanément des TERSNCF il est peut-êtretemps de découvrirle site Multitud’.

En bus, en métro, entramway, en car ouen train : ce sont 17réseaux de transport

e n c o m m u nqui desservent la grande régionlyonnaise : Loire (STAS, TIL, STAR),Rhône, Isère, Mâconnais. Multi-tud' a pour objectif de mettre àvotre disposition toute l'informationnécessaire pour planifier vos dé-placements : horaires, calcul d'iti-néraires, taris, actualités, pertur-bations, infos pratiques, etc ...

En outre pour ceux qui disposentd’un site internet vous pouvez inté-grer dans celui-ci un calculateur detrajet. Ce module de recherche d’iti-néraire est téléchargeable gratuite-ment, sans inscription ni formalitépréalable.

Retrouvez tous les détails sur lesite www.multitud.org ou à partirdu lien sur le site de La Talaudière.

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a 21ème édition du Tour cyclisteLoire Pilat s’est déroulée princi-

palement à La Talaudière.Deux épreuves en ligne et une étapecontre la montre ont permis auxnombreux spectateurs d’apprécierles coureurs venus de toute laFrance. La Commune a sponsorisé lemaillot blanc du meilleur jeune.C’est Justin Legat, junior de la for-mation “M Santé” qui l’a remportésur les 3 étapes.

Stéphane Cognet de Chambéry s’estadjugé le classement général et leMulhousien Philippe Moreau, beauvainqueur de la première étape, ju-gée rue Jean-Brossy à La Talaudière,a terminé 3ème du classement géné-ral et a gagné le grand prix de lamontagne.

M. Frédéric Deloraz, gérant de Car-refour City à La Talaudière, a, quantà lui, sponsorisé le maillot rose.

Au-delà des performances spor-tives et des efforts que prodiguentles coureurs, c’est tout l’encadre-ment d’une épreuve comme celle-ciqu’il faut souligner.

Michel Le Chaigne, Président duComité départemental cycliste de laLoire a repris cette épreuve qui afailli disparaître après l’édition 2012.

C’est d’abord un budget important,à réunir, avec des sponsors qu’il fauttrouver, des contacts avec toutes lesfédérations départementales ; tra-cer les circuits ; obtenir les autori-

sations administratives des Com-munes, du Département et de l’Etat;trouver des salles publiques - c’estle Pôle festif qui a servi à La Talau-dière - pour l’accueil des équipes etles repas pour 110 coureurs, leursaccompagnants et tous les béné-voles et professionnels (médecins,infirmiers, gendarmes, cibistes,…).C’est aussi la fourniture de l’héber-gement hôtelier.

Enfin, pendant les deux jours desépreuves, c’est l’anxiété pour lamoindre défaillance qui altère latranquillité du Président jusqu’au di-manche soir quand tout est ter-miné.

Le spectateur qui prend plaisir à re-garder passer les coureurs n’a pasconscience de tout ce qu’il fautmettre en œuvre pour ce genre demanifestation. C’est aussi pour çaque La Talaudière apporte sonconcours au Tour Loire Pilat.

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La talaudière, ville sportive 8ème partie

L’Histoiredu ClubUn groupe de Sté-phanois originairesdu quartier de la Ri-vière se retrouve àSorbiers et y créeSorbiers-Handballen 1996. Un an plustard, après ententeentre les deux Com-munes, naît le ClubSorbiers-Talaudière-Handball. Cette nou-veauté locale cor-r e s p o n d a i t à l amontée en puis-sance et à la réus-

site de l’équipe nationale de hand.

A ce jour, l’Association compte 100adhérents, 20% de filles et 80% degars. Les entraînements ont lieu àSorbiers (Complexe sportif du Val-joly) et à La Talaudière (GymnasePierre-Damon et occasionnellementSalle Omnisports).

Le Club est subventionné à égalitépar les Communes de Sorbiers et deLa Talaudière, celle-ci donnant unesubvention moindre car compen-sée par la fourniture du matériel.

Les licences-adhésions coûtent 85€/an pour les Seniors et 55 €/anpour les Jeunes. Sur cette somme,lycéens et étudiants bénéficient de

30 €/an au titre de la carte M’RAmise en place par le Conseil régio-nal Rhône-Alpes.

pant jeunes et parents au Bessat,boissons d’accueil ou goûters…).

• La priorité est donnée à l’accueilet, à partir de 7 ans, à la formationdes jeunes qui représentent 60% del’effectif. Une initiative de Saint-Jean-Bonnefonds de mettre en placedes Coupons-Sport pour les écoliersa été reprise à La Talaudière avantd’évoluer vers une nouvelle for-mule inscrite dans la modificationdes rythmes scolaires.

• Le Club veut être une pépinièred’où émergera une élite qui pourrapoursuivre dans des équipes de ni-veau régional comme celles deSaint-Chamond ou de Saint-Etienne-Andrézieux. Il souhaite rester à unniveau départemental pour éviterles problèmes de déplacements etde frais d’arbitrage.

Sorbiers-Talaudière Handball

Le palmarès 2012-2013• Le Club est Champion de la Loire avec une

équipe masculine de moins de 18 ans, quifonctionne depuis plus de 6 ans.

• Le Club est très fier d’avoir obtenu leTrophée du Fair-play pour les ÉquipesSeniors Garçons et Filles, attribué surnotation des arbitres d’après le compor-tement des joueurs et du public.

Les PrésidentsFrancis Morel : 1996 - 2005Alexandre Blanc : 2005 -

Alexandre BlancPrésident de Sorbiers-Talaudière-Handball

Les Objectifs du Club • Le groupe amical du départ a évo-lué vers une association intercom-munale, à l’ambiance chaleureuse etau caractère très familial que les res-ponsables s’occupent à conserver.Tous les responsables, aussi biensportifs que gestionnaires, sont bé-névoles. Les familles assurent lesdéplacements des jeunes joueurs etparticipent à des manifestationsannexes qui servent à resserrer lesliens (courses d’orientation regrou- Le gymnase Pierre-Damon.



Le Relais pédestre

algré le temps incertain dumois de mai, le Relais pédestre

des enfants s’est déroulé sanspluie, le soleil était presque au ren-dez-vous, pour cette quatrièmeédition autour de l’Etang paysagerde la Sablière, organisé par le Comi-té consultatif Sport et Animation etle Comité des Fêtes de La Talau-dière.

41 équipes de 5 enfants, âgés de 6à 14 ans, ont participé à cettecourse, les écoles primaires de laCommune étaient bien représen-tées, quelques équipes d’associa-tions sportives et de groupes de co-pains s’étaient également inscrites.

Les spectateurs très nombreux ontapplaudi chaleureusement tous lescoureurs.

Trois départs ont été donnés enfonction de l’âge des concurrents.La première course (les 6-8 ans) fut

remportée par l’équipe « Les cat-cheurs » de l’école Victor-Hugo, uneéquipe de l’école privée Pelleport« La foudre destructive » a gagné lacourse des 9-10 ans et pour le relaisdes 11-14 ans c’est l’équipe du Judo-club qui est arrivée première. Danscette course, une équipe fémininede l’école Michelet « Les étoiles fi-lantes » s’est brillamment classéeen 5ème position.

A l’issue des courses, une collationétait offerte par le Comité desFêtes.

C’est devant un public très enthou-siaste que s’est déroulée la lecturedu palmarès. De nombreusescoupes furent distribuées, les plusjeunes participants ont reçu une

médaille pour lors première partici-pation à ce relais et, comme chaqueannée, chacun des coureurs a reçuun tee-shirt aux couleurs de La Ta-laudière.

Encore un grand bravo à tous cesjeunes que nous espérons retrou-ver encore plus nombreux l’annéeprochaine.

Cette manifestation ne pourrait pas être une réussite sans la participationactive d’adultes. Merci à celles et ceux qui ont organisé les inscriptions etformé les équipes dans les Écoles et les Associations. Merci aux bénévolesdes Associations qui ont aidé le Comité consultatif Sport-Animation et leComité des Fêtes à organiser ce Relais. Merci enfant aux parents qui sontvenus nombreux accompagner et encourager les jeunes coureurs. Rendez-vous à mai prochain.

Le 24 mai 2013

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témoignage

Au garage de la ChazotteAyant passé de longues années au Garage des Mines de la Chazotte, Joannès Bourgin et son copain Tanou Raymondnous apportent un précieux témoignage, réalisé à deux voix, sur ce volet peu connu de la vie des mineurs.

Joannès Bourgin est né le 30 décembre1930 à Estivareilles. Son père est fonc-tionnaire aux Ponts et Chaussées et samère ménagère et couturière. Il com-mence sa scolarité à Estivareilles et lapoursuit à Usson-en-Forez où son pèreest muté. Il quittera l’école à 14 ansaprès avoir passé le Certificat d’étudesprimaires. Il entre alors dans la vie ac-tive, devient apprenti, puis ouvrier mé-canicien, une activité qu’il pratiqueratoute sa vie.

De l’apprentissage au premieremploiAu sortir de l’école primaire, Joannès entre en appren-tissage dans le village d’Usson-en-Forez chez un répa-rateur de machines agricoles. Il est ainsi appelé à s’ini-tier à la fois à la forge et à la mécanique. Il reste dansl’entreprise jusqu’en 1948. Il rejoint alors son frèreaîné, Pierre, qui travaille comme carrossier à Saint-Etienne, rue de la Montat, chez Perrier-Porte. Il y est em-bauché comme mécanicien-forgeur.

Le service militaireEn avril 1951, Joannès est appelé sous les drapeaux poureffectuer son service militaire. Il est affecté au 504°Groupe de Transport stationné à Solbad Hall, prèsd’Innsbruck en Autriche. Il fait un stage de formation deconducteur et de mécanicien à l’issue duquel il passetous les permis et devient dépanneur. Il entre dans unatelier d’entretien, dépanne les véhicules, se perfectionneen mécanique automobile et participe à la transforma-tion des camions GMC destinées à la guerre d’Indochine.Il est libéré en septembre 1952 après 18 mois de service,avec le grade de brigadier.

Antoine Raymond, dit Tanou, est né le6 mars 1931 à La Talaudière. Son père, mi-neur, travaille au jour, sa mère est mé-nagère puis deviendra commerçante audécès de son mari. Il commence sa sco-larité à La Talaudière et la poursuit, en in-ternat, à Saint-Genest-Malifaux et àSaint-Etienne. La pension est souvent lelot des enfants de commerçants. Il quittel’école après le Certificat d’études etentre dans la vie active à 14 ans.

De l’apprentissage aupremier emploiAntoine est embauché comme “apprenti-manœuvre” chezCollomb, rue Mirabeau, qui est à la fois un garage et uneentreprise de transports et de négoce du charbon. Il a l’im-pression de perdre son temps. A 15 ans, il est embauchéaux Mines de la Chazotte, affecté au Lavoir à charbon. “Jefais ce que le chef me commande !” D’abord trieur à main(on disait aussi clapeur), il se tient debout devant un ta-pis roulant sur lequel circule le charbon criblé destiné àêtre “lavé”. Avec d’autres jeunes de son âge, il retire lesgros cailloux qui, jetés dans une benne, seront versés auterril. Progressivement, le travail devient plus intéressantet plus varié.

Le Cimetière militaire national de Rougemont (25), sur une su-perficie d’un hectare et demi accueille 2 169 tombes de soldatsfrançais, dont 1 251 sépultures de tirailleurs et de goumiersd’Afrique du Nord surmontées d’une stèle musulmane. Les corpsproviennent des combats de 1944-1945 dans les départementsvoisins : Doubs, Haute-Saône, Côte-d’Or et Vosges.112 au jus ! Vive la quille !



témoignage

t

Aux mines de la Chazotte

Une traditionPour la Sainte-Barbe, le 4 décembre, jour de la Fêtedes mineurs, sur décision du Directeur des Mines dela Chazotte, les chauffeurs du garage, à tour de rôle,livraient une grosse brioche au domicile de chaqueingénieur et du premier gouverneur, actif ou retraité.

• A son retour à la vie civile, Antoine retrouve un emploiaux Mines de la Chazotte mais, compte tenu de sa so-lide expérience, non plus au Lavoir mais à l’atelierd’entretien des loco-tracteurs qui se trouve près del’Usine à boulets, sous l’autorité du Père Séon. Très vite,

Haut-Forez, appelés plus communément “Les CarsRouges”, implantés rue Désiré-Claude à Saint-Etienne.La société assure les services sur Usson-en-Forez, sur LePuy par Yssingeaux et sur Rive-de-Gier. Il faut traverserune partie de la Ville pour aller charger les voyageursPlace Albert-Thomas ou au square Violette, près de laGrand-Poste. Joannès travaille au garage sous l’autoritéde M. Sabot.

En 1954, il épouse une Talaudiéroise Yvonne Lauvernay.Le mariage est célébré à Usson-en-Forez et le repas ré-unit les deux familles au restaurant Rival. Le menu, ha-bituel à l’époque dans les villages de campagne, nousparaît aujourd’hui pantagruélique : asperges enbranches, saucisson brioché, truites belle-meunière,coq bourguignon, haricots verts fins, poulet rôti, as-siette de fromages, bombe glacée, petits fours, piècemontée, corbeille de fruits, café, liqueurs ! Le coupleaura 3 enfants : Jean-Yves, Guy et Marie-Andrée.

En 1955, il entre comme mécanicien au garage Rey-naud, situé à La Talaudière au début de la rue de la Ré-publique (à l’emplacement du jardin d’hiver nouvelle-ment créé par Dame Nature, fleuriste).

Le service militaireEn avril 1951, Antoine est appelé sous les drapeaux poureffectuer son service militaire. Il est affecté au 1er BataillonAutonome du Génie à Strasbourg. Ayant déjà le permisde conduire les voitures, il passe le permis de poids lourd.Il est ravi d’être désigné pour suivre le peloton deconducteurs d’engins. Il se sent utile et par là-même va-lorisé. Il garde ainsi le souvenir d’un long déplacementde 4 mois à Rougemont (Doubs) pour réaliser le terras-sement d’un immense cimetière militaire destiné à réunirles corps des soldats tués aux combats de 1944 et 1945dans différents secteurs de l’est de la France. Il acquiertla pratique des engins de travaux publics et des camionset, assurant l’entretien des véhicules il se forme en mé-canique. Il est libéré après 18 mois de service.

Le départ à la retraite de Jean-Marie Bessetest fêté au Garage en 1962.

Le Garage a été construit pendant le Guerre de 39-45, sur lePlâtre de la Mine, entre les Bureaux et la rue de la Chazotte.



témoignage

Les bassins de mourre ou de schlammChaque dimanche matin, un travail spécial est imposé,en principe à tour de rôle, aux mécaniciens-chauffeursdu garage habilités à conduire les poids lourds. C’estsouvent Antoine et Joannès qui sont désignés. Ils’agit, à l’aide d’une grue et d’un camion, de vider lebassin de la mourre séchée (du charbon très pulvé-rulent provenant du lavoir) et de la transporter jusqu’aucrassier où elle sera déchargée. Il fallait, à tout prix, évi-ter que ce bassin de mourre très polluante ne débordedans l’Onzon proche.

il est affecté au Garage car il est parfaitement polyvalent,à la fois mécanicien et conducteur de voitures et de poidslourds. En 1953, il épouse Elise Jenic qui est Villardaire.Le jeune ménage s’installe dans la propriété familiale,au début de la rue Jules-Grévy. Il aure 2 enfants : Pierreet Christine.

• En 1956, Joannès entre au Garage des Mines de la Cha-zotte, comme mécanicien d’entretien et chauffeur. Placésous l’autorité du chef de garage, Francis Brancard, il estl’ami de Charlot Picq qui deviendra chef aux ateliers demécanique ; il rejoint Tanou Raymond, Jean Peyre, JeanDérail (un carrossier), Maurice Sébulski et tous leschauffeurs de la compagnie. Il habite à la Pérolière, prèsde son lieu de travail. En 1957, il déménage dans les HLMdu groupe Evrard.

Le Garage a été construit en béton armé, constitué d’al-véoles abritant chacune un camion, une camionnette oul’ambulance avec, au centre, l’atelier. C’est là que l’onfait l’entretien et les réparations des véhicules et mêmedes grues. Il faut alors démonter la flèche pour faire en-trer le bâti et le moteur dans l’atelier. Ces grues font par-tie du matériel du Lavoir et sont conduites par lePère Convers (dont l’épouse tient une épicerie au car-refour de la Chazotte) et par Jean Chatelard. L’étage in-férieur, à l’arrière, est réservé aux loco-tracteurs dieselqui assurent la manœuvre des wagons sur le plâtre dela mine et à leur entretien.

Le matériel roulantLe parc automobile est important et bien adapté aux besoins.

• 3 camions américains Diamond T de fort tonnageconduits, en 2 postes, par François Blanchard du Grand-Quartier, Jean-Marie Besset du Roule, Felix Fare, ClaudiusBonnard de Saint-Christo et François Brosse de Sorbiers.Ces camions servent au transport des déblais qui sont

• 1 camionnette conduite par Célestin Besset de Bas-So-leymieux, destinée à la livraison des bons de charbon descadres, ingénieurs et gouverneurs.

• 1 camionnette conduite par Maurice Sébulski au ser-vice de L’Harmonie de la Chazotte et de la colonie de va-cances des enfants des mineurs implantée à Pont-charra-sur-Isère. Mme Sébulski, épouse de Maurice, estemployée comme lingère dans cette colonie.

• 1 Tub Citroën aménagé conduit par Charles Louison,(plus tard par César Régnier) réservé au transport ducourrier et des enfants des ingénieurs dans les Collègeset les Lycées stéphanois.

• 1 Tub Citroën réservé au transport de la paie du per-sonnel (jusqu’à plus de 2 000 salariés payés en espèces),équipé d’un coffre boulonné sur le plancher. La veille dela paie, conduit par un des chauffeurs du garage, le Tubpasse à la Trésorerie, prend en charge la paie qui est dé-posée dans une banque de la Place de l’Hôtel de ville de

chargés à la sortie du lavoir à charbon pour être “ben-nés” au terril de la Calaminière ou au grand terril de Pré-Soleil près de l’actuelle usine Beillard.

• 2 camions Bedford conduits, l’un par Louis Vincent deSorbiers, au service de l’atelier, l’autre par Janisson deTerrenoire, au service des chaudières et du Parc à bois.

Les camions Diamond T utilisés à La Chazotte étaient d’ancienstracteurs américains qui, après avoir servi en 1944-1945,avaient été transformés en gros porteurs.

Les camions Bedford utilisés à La Chazotte étaient des camionsde l’armée anglaise qui, après avoir servi en 1944-1945,avaient été transformés en plateaux ou en bennes.



témoignage

tJoannès Bourgin participe à un concours de pêche dansle “petit bassin” en 1956. Deux bassins ont été creu-sés en 1850, alimentés par une dérivation de l’Onzon,car les Mines de la Chazotte sont alors de grandesconsommatrices d’eau pour les machines à vapeur etles chaudières, pour l’agglomération de la poussièrede charbon, pour le “lavage” du charbon, pour l’in-jection sous pression dans les chantiers d’abattage,pour la lutte contre les incendies… Le grand bassin, leplus proche du cœur des Houillères comporte une îleen son centre ; elle a été voulue par MaximilienEvrard, directeur, pour que L’Harmonie, société de pres-tige, puisse y donner des concerts. Le petit bassin seratrès vite réservé aux loisirs. Régulièrement empois-sonné, il attire les amateurs de pêche, uniquement lesmineurs et leur famille ; ils est le cadre de concours fré-quents et animés. Les deux bassins ont disparu à par-tir de 1968 avec le démantèlement du site minier. Encas de sécheresse, des wagons-citernes étaient rem-plis d’eau à la gare du Pont-de-l’Âne et tractés par unelocomotive par le tunnel du Montcel, ils venaient ren-forcer le niveau des bassins.

fond blanc destinée au transport des blessés gravesdu Puits Lacroix ou du Puits Saint-Joseph à l’Infirme-rie où se tiennent les infirmiers Louis Rascle et Fran-çois Thomas. Si nécessaire, le transport se poursuitjusqu’à la Clinique des mineurs située rue Buisson àSaint-Etienne. Les employés du garage sont à tour de rôle d’astreintede nuit pour assurer le transport des éventuels bles-sés. Rares sont les employés qui disposent alors dutéléphone. En cas d’urgence c’est Joseph Celle, dit Ri-gotte, longtemps gardien du feu des locomotives à va-peur la nuit, qui est chargé d’aller appeler le chauf-feur de permanence. Joannès se souvient d’avoir étédérangé trois fois la même nuit pour transporter desblessés.Il faut ajouter les voitures des cadres dont l’entretiense fait aussi au Garage, les citernes, etc.L’ingénieur responsable des installations du jour,M. Piot ou M. Bayon, a aussi la charge des garages.

La reconversion et le départ en retraite• En 1963, Joannès comprend qu’il ne pourra pas ter-miner sa carrière aux Mines de la Chazotte. La fer-meture est annoncée pour un avenir proche (elle in-terviendra le 13 janvier 1968). Il trouve un emploi de mécanicien d’entretien au garaged’une entreprise de ferraille, les Ets Métacentre im-plantés au Pont de l’Âne. Il y restera jusqu’en 1990, an-née où il fait valoir ses droits à la retraite. Passionnéde jardinage, il cultive une parcelle aux jardins ouvriersde la Chazotte implantés au Montcel ; conseillerécouté, il siège au jury communal des maisons fleuries.Il voyage avec son épouse, se rend souvent en Espagnechez sa fille Marie-André qui habite près d’Alicante…• Antoine est dans le même cas. Il termine sa carrièrede mineur en 1968. Il travaille 18 mois chez Michel Ba-roumas, réparateur de vélos et de cyclomoteurs, ruePierre-Bérard à Saint-Etienne. Ensuite, il est embau-ché comme chauffeur de camion-malaxeur (on dit latoupie) à la Centrale à béton de la Pérolière. Il fait va-loir ses droits à la retraite en 1991. Il passe beaucoupde temps à rénover la maison de campagne qui de-vient un refuge familial. Il jardine sous l’autorité de sonépouse, un chef-jardinier compétent. Il garde un ex-cellent souvenir : celui d’avoir été pendant de nom-breuses années le porte-bannière de L’Harmonie dela Chazotte.Grands-pères et arrière-grands-pères comblés, tousdeux sont très fiers de leur parcours , ils parlent de leurmétier avec passion et on sent nettement que, mal-gré la charge du travail et les mauvaises conditions devie, c’était le bon temps… à la Chazotte.

Saint-Etienne. Le lendemain, le chauffeur accompa-gné de deux gardes de la mine (généralement MM.Ruel et Girinon), d’un comptable et d’un gendarme,transporte le précieux chargement jusqu’aux bu-reaux de la Chazotte où sont préparées les paies quisont distribuées à chaque employé aux guichets si-tués à l’ouest du garage. Les 2 Tubs servaient aussi aux déplacements sportifs(foot et basket), le chauffeur étant indemnisé par lessociétés.• 2 camionnettes réservées au transport des blesséslégers. Les chauffeurs habituels sont Maurice Brossedu Puits-pointu et Claudius Mathevon du Valjoly.• 1 ambulance Renault marquée de la croix rouge sur

Témoignages recueillis les 23 et 26 juillet 2013


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Le Relais Pédestre du 24 mai 2013


Les fresques du rond-pointEthon-Wéry

Les fresques du rond-point Ethon-Wéry ont étéréalisées en trompe-l’œil par l’Atelier Royal.


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LIEN COUV MAI 2008 · aufildesconseilsau fil des conseils LE LIEN - septembre 2013 3 6 mai 2013 Le Conseil municipal, à l’unanimité, -approuvele Compte de gestion et le Compte