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ORNTIM Eg aiîiîfî i bw .'îS! n D im im ehê^Æ ^ÂwM A \-iL »fc<ic^ Eti ;n-6 “ ■• ■ :lij ■P-K ■ù vj:atjaiavf5r. L(«JP B^TROZ, Ré&cteur en chef. jd^À L ^ M : ’atraiîisiaiit' îè u d î • rp: - ‘ ^ i - ” J ■li - ■ :;) l D l i.) ;*:5 1 .t J:. • o: «««. o 3sr N a K -= w * ^ ■._ -«.ff. tfr. i * *• !£• I l Ï# ................... •* * ’• * Six m o u .... ;,,. ........... 2 &. 1 tei'iBonn «nx bareânxda je B n u la tte rttu lHlKii«Mx4lpoit«. — LVwwew*. I - d*aTmao« et eoiitmiie de pldn dg^t Jim ii'4 Bécqgtioft d’wi> .— , "i- ' :■B'UîR'SSüLtJbfiSea eû3 --ü s , i mpiAOTIM I t ■ ÉepiHUTBATION ... -- -S>RraE\**®^' I**'àEiarrî^p,IftB»’:î;-':fc -..■ 1 Aknonces légales .— r “t>,20 o. la ligne. I œelame»l.>,.Mf,..i...~a..« .Tî t o n o n < » » T O & n e t o » . . . — .; :v | ï^ts,^AT?«.î;:!8--.v-*r.*^ l" " , ,~ ■ i ’B;.;ao.. . o* li'ldolii» f4w-‘B'hii«ài6* 4 ’^1WW«i«m4i.*iaie , ... H >Lef ànnonée» rédamee, etc;, cracerteurt Patia eties DéparteaaïAs «ontiefnm'ifiwrtameat D! .7;-10âllXf1roesilt;âoiouiniL. . » .U --»>• !'3 su 'iivi Aux Lecteurs. I uffcgrammepàîitique du Courrier rt'UisE. dont j ’ai l’honneur de pren- f la direction aujourd'hui, est celui gj’ai toujours défendu. En conti n t donc, comme par le passé, de les principes de Justice et de rté trop souvent méconnus; en me ,jit avec le concours diéooué, éclairé I sus collaborateurs à l’étude des wmes économiques ou sociales, en- i es combattant les prÿugés popu- fta, les erreurs, les utopies des radi- ^ . socialistes , des collectivistes, f 0 mptirai mon devoir et je me tirai digne die la confiance qui m’est lée en prenant possession die mon Æ^ns T accomplissement de mes déli- Ijjjj fonctions, qu’il me soit permis de Ijsipto' sur le dévouement die tous ceux Isà, dons l’intérêt même du Pays, ont I l tour le triomphe du parti républi- |jji progressiste. I Quant à nos adversaires politiques, Kopprccieronf, ;'oge l’espérer, la cour- Itists dont je n’ai jamais su me dlépar- llir même au plus fort des batailles Mitdorales. Pour la dignité die noire Mmfasion, on doit laisser complète- laoit de côté les questions purement ligsoimeiles pour n’envisager que les ■Sieset les principes qu’on défend, I It talent die Véertoain ne consiste liu à injurier, à calomnier; quand cause est juste , on n’éprouve lonoâ le besoin de recourir, pour la l^mdre, à des écarts de langage que IblMmnêtes gens réprouvent. La dis- losston n’est d’ailleurs possible, ou léitôt utile et intéressante, qu’avec des Iwifrodlicfeurs courtois et de bonne foi. I Cest dans ces conditions qu’il me liim donné, j’en suis convaincu, de tenir utilement la cause républicaine Imressiste, à laquelle la population lit cette contrée est si dévouée. I Mon unique ambition est £ assurer, lAiec lè concours de nos amis politiques, tktnomphe de notre parti qui rendrait |i la France la paix, la prospérité, et I m prestige ô l’extérieur. L oup B ertroz . SenlU, It 2 Avril 1904. litre des Ratai. L’homme du jour est éTidemment ï. Pelletan, en passe de deTenir triste- ■ett célèbre par le gâchis dans lequel Il plongé notre M arae, qu’on a eu le tort de loi confier. Si les découvertes Itlt commission d’enqnète que tout le uide connaît, présentent un caractère ligisTité incontestable, elles sont par- bis d’on comique achevé. Mais quand ils’agit de questions concernant la dé- iose nationale, il n’est pas permis de lire. La plaisanterie, aussi burlesques {u soient les scènes mises en Itunière [ir les documents officiels, serait de amais goût en la circonstance. Ex- 'nllent orateur, écrivain de talent, U. Pelletan possède peut-être une éru- . htioa assez complète au point de vue dis connaissances humaines. L’organi- i^on d’une Maurine telle que l’exige la Écurité de la France, est une chose pillai échappe complètement. Qu’im- jorte! De par la volonté des radicaux- ■Kialiites, il devait être ministre, et le (ortefenille de la Marine lui a été oc- hoyé comme par hasard! Yoilà com- Beat les radicaux jouent avec les des- tiiiéesda pays! Si oe ministre improvisé avait rempli s rôle de figurant, s’il avait tenu ompté des rapports, des déciâûms des omités ------------------------ --------- -- comp----------- , comités techniques dont la direction est confiée à des hommes de valéitr et de science, se bornant à sonmettoe e u . conseil des ministres les propositions faites par les chefs de service à la süito d’examens épprofbndis, le mal serait, loin d’être aussi gravé. Il n’en A pas. é té ainsi. M. Pelletw, fusant preuve d’un- aiitcHÎtarisme rare-, a traité les ami raux en sous-offlciers; de plusj en don nant carte blanche à son chef de cabi net, aussi incapable qtte.luirjnême,.il. plaçait notre Marine dans un état^d’in- fériorité sans précédent, qui à. j^rmis de la comparer à la marine turque !... Et c’est ainsi que l’anarchie la’plus complète n’a cessé de régner dans les bureaux de la rue Royalè, dans ùos ar senaux et les chantiers de construc tions, où les ordres, les contre-ordreg les plus bizarres se snccédaimt, don nant mnsi une idée du déstirroi de l’ad ministration centrale. Interruption de travaux urgents; crédits votés-par la Chambre dans l’iotérêt de la défemsè des ports, de l’armement des lavirM, recevant d’autres destinations ou bien affectés à la conclusion de marchés qu’on devait annuler après un commen cement d’exécution ; réductions d’effec tifs de troupes et du personnel ouvrier, dont l’augmentation s’imposait eu égard aux complications pouvant surgir d’un moment à l’autre en Extrême-Orîent, rien, n’a manqué & la désorganisation de notre Marine, dans des temçs cri tiques où la France a plus que jamais bèsoin de son prestige, de son influence à l’étranger. 11 n’y a pas, dans tout ce qui a été dit sur cette lamentable affaire, la moindre exagération. Les faits sont lé, palpables, et si incroyables qu’ils pu; raissent, ils ne sont hélas! que d’une rigoureuse exactitude. On ne connmt malheureusement pas toute l’étendue du gâchis. Depuis longtemps les oM- ciers supérieurs signalaient an ministre des abus à supprimer, des réformes à adopter, des réparations de bâtiments ou d’engins à effectuer pour la mise en état de défense des ports, des cuiras sés, etc... Et avec un sans-gêne décon certant, M. Tissier, muni de pouvoirs extraordinaires, déchirait les- rapporte des amiraux, ou bien, quelques mois plus tard, les renvoyait à leur auteur avec une annotation inepte ou incohé rente. L’attitude du t Bloc » était prévue, on savait qu’il était résolu à sauver M. Pelletan de sa fausse situation aux dépens de la marine. Aux yeux des ra dicaux-socialistes, à l’exception de ceux qui ont eu le courage de dénoncer les faits, de jouer le rôle-d’accusateurs, la question de la Marine n’est que 'secon daire. Que nous ne soyons pas capable de mettre à la mer une escadre com plète au premier signal, afin de faire respecter le pavillon français, pour les radicaux, ça ne signifie rien. L’unique objectif de ces excellente c blocards > est de conserver intact, indemne le c Bloc > ! < Ne touchez pas é Pelletan ! < à la veille des élections! > s’est écrié M. Bourgeois lui-même, c la Répu- c blique serait en danger ! t, Yoilà une façon de parler et de con cevoir les choses tout au moins singu lière. M. Bourgeois a évidemment voulu dire que It parti radical serait en danger, ce qui devrait être dans l’ordre des choses. Mais, comme les dé tenteurs du pouvoir font passer leurs intérêts avant ceux dé 'la 'déftetoé'ni^-'- ’ nale, on s’est boraé' à- nono^r ii|^ . commission extra-parlementaire , U besogne sera tragj» ldi-même. li n'y nr . _ avons vu uneÆnsjde ptae lea émunes • sé courber àla Ohainbrevet tout eàt diti> i C’est triste I O’eatirooBnmt 1 ^ ^ %OOT B bmroz . ” ‘ . Conelnaioïklogiqne.. Notre confrère, ia iSfpnéiigaeFroaçeise» ■ donne à cette n gi-ttsdjtïf-affaire de la , marine la concïùsion qull convient”. « Èt mainUnant,. que . penser de ce m h - nistrfi publiquement.accusé d’itaapeeité-.et qui accepte que Von, fasse une enquête pour savoir sfil est vraiment aussi incapable ■qiion U’dit f ■ " i l < De quelle autorité, je vous le demande, va disposer demain ce ebefpoûr eommarù- ' der aux 'marins avertis ? c L’enquête ne fera hien, car elle sera faite auprès 'des intéressés, auprès des"^ chefs de tous les services maritimes, auprès ' des subordonnés durninistre, et on terra- des serviteurs sincères dé là patrie placés dans cette alternative de dénoncer, leurs chefs et de sacrifier leur carrière, ou de couvrir les tares qui ruine la marine, w ■Voilà qui reflète bienïopinion pïibUqne à la suite de ces débats qui ont mis notre marine en si mauvaise posture. Lafiaerre -japonaise. Lta.Défenuse da Yalon* La concentration continue de part et d'autre. Les Japonais se répandent de plni^ en pins dans la région qui avoistne. le 'ïalon. De Fort-Arthur, nn seul télégramme ert airivé. U est sigae dé l’amiral ' Hakbaroff et atteste que 1a marine russe se tient tou jours en éreU pour parer à une nouTelle attaque de l’amiral Togo. , PARLEMENT SBNAT Siamct du 31 mars. M. Bouvier, ministre des Finances, dé- pese nn cahier de crédits supplémentaires voté par la Chambre. La séance est suspendue pour pemettre a la commission dés finances de lès exa miner. A la reprise de la séance, Jf. Bottwcr, ministre des Finances, dépose nn projet de loi, adopté par là Chambre, portant ou verture d’un crédit extraordinaire d’un million pour secours aux victimes du cy clone de la Réunion. Puis on vote sans discussion les projets de lot d'intérêt local inscrits à l’ordre du jràr, et on valide les électioné de H. de Saint-Quentin, dans le Calvados, et de U. Barbaza, dans L’Aude. U. Antonin Duimst a ensuite la parole. Le rapporteur général du budget fàit connaître que là comnüssion des finances n’a pas crû devoir proposer au Sénat l’ap probation de crédits dont elle a été saisie Il y a à peine une heure. 11. s’agit de prés de trente millions et une pareille sommé ne peut être votée sans examen sérieux. La commission a toutefois fait excepton pour certains crédits (primes à la marine mar chande, primes a l'industrie de la soie, subventions postales, etc.) ayant un carac tère d'nrgencé et représentant' un total de i.ieo.OOO francs. Les conclutions du rapporteur généi^ sont approuvées a l’unaniiuté de S63 voix. Egalement à l’unanimité — de 273 voix, celte fois — est voté le million pour la Réunion. _ .. L’ordre du jour est épuisé. On s ajourne au 24 mai. C " CBAMBBB' -TîTv fil- . •■ .’-.iü'J'l--' ^U^téW W ilièilT' fà'- «W : Stoonn «ax RétervürtML: U ChaaÉHé’sW I’'4èdi!liée~eWriiiiài éu'^ Kl mai. mi t u A m , «91» pwfépHîlBlrâvifl'ést A Lannoy, grâce à Fin-i-.»,—.— ~ dé paix^I A ijevriL^iC»i^aÉjKi q» aàiîge à m Ifôie isi j t ^ n e et les Tonvnera, lag^râ nw'pàsjéÂéràe. ^ Les psfMi et j^ ^ ie r s dt’êaienseuL au cpprs d'une réiHW tafipe hier, voté la grève fégérato. , ; LechMsgaestcpmpletdMurdenxjisines etp^eldl^ùi te antreit.nw ieiiww** nwni'lFéviste s*àecentiga et neitaee de der. ;Vén^.féii&al. , . ^ ^ On m ate netamment la cessation dn ; traviR (^és,tèn»teiiiHiTtei» du ÿélimeBt. Léiiôiâbrê des- grtvlstes est actuellemenX def^l^faviTooilntéimsaiit daq tissagBs> ,etdlxt^'tuiM.Léé4i«ristéi e s s ^ -.^''AiteiîâdSine rA^onrtëaiiê',tàdri^ matte àïa Bourse aitraràil,nrifétetes teinteisrs sé sohv rendus en énanHiint, rue dù Faüâwiug-ile-Eém, noUr teniéf de' débaiitiïerîMUdvtiérste fitsturcn dé H. DavidetdelaSpciôtélinièM-,ri - llFont l'énüst a -fâire'affandohnerle tra vail à 200 ouvriers de cette dernière Usine. A zA^f^stfr-Soume ;-'400 ouvrins d r rnsineiGtfmÉAMâ o n t^ tté te tînvail. A Ftequiinÿ, I» fisàigeBnoYden et Ite - guyekten grève. Les ^visteserganisaut wmm jÉttifW uu . Associatioii deai agents des postes de l’Oise, Le dimanche 20 nmrs, les membres do l’Association générale des agents des postes et télégraphes de l'Oise se sont réunis en vue de former une section de l’Association des agente des postes pour le département de l’Oise. Ont été élus membres du bureau : MM. Combe, commis principal à Creil, préti- dent; Duru, commis principal â Compié- gne, trésorier; Saint-Georges, conunis principal à Creil, secrétaire. Le Conseil d’administration est composé de : MM. Jouerre, receveur à Nantenil ; Beiron, commis à Sehlis; Ballenger, com mis à Creil; Bigot, surnuméraire à Cràil; Legrand, Billon, commis à Compiègne; Roy, commis à Beanvais; Mlles Martin, employée à Chanuily, et de Smnt-Andriau, employée à Comptene. -4 --------- ^ ---- Chômages sur les voies navigables. Le Journal offieiel indique la fixation des chômages en 4904 sur les voles navi gables de la région du Nord et de l’Est. Pour lé canal latéral à l’Oise, la durée du chômage est de 30 jours, du 45 juin an 45 juillet. Rivière d'Oise canalisée : bief de Ve- netteet Verberie, 46jonr», du 45 juin au 4*’juillet; Les: bateaux chargés pourront rester à flots dans les parties prolondes des biefs. ; PAiaoHAOi scoutiBS.,— La place flous ieauÇopp.MÏHiê^. :.. ■ii .cç t-j ,. Lis PnShroiyrt TarT^ATStet/-^--- u rbcetté :aura Ueu dteanefewB:nvrttj4BQà,j éeuiuAlusireretdeatieJttroishssuVtiiàioa < ÏT Rauéglaarxlmndte«i»i»tatntMirp 4^,rue5fîMllê-dei«i^ ;/ I .0 .’jf - ; .:3 Cli » » * : VonuBi PüBLiQnxr--î=-iir voiture de PbiJii US.OsÉvié. — ;ienx;'niinWM:; ofcadrons de nbtre rigiteut'sont palflis A- Ainfèns'oùllagi^ s’àceniub. Œdps ni'PiçtJis.' -r-. LTiûbîttrded'O^ mencait à Pâques. C'ést ce jonr-là que s’bflixient les élrènnes. On les üonnart sôus formé d’ieufs parce qu’ayant é|4 privé dé cet aliment pendant tout le CaïAme, on voyait àvéc bonheur arriver la fêle dé Pâques qui permettaR dé 'nonveau d’ea ' usage, An début, e’éfaient’desim pte :» de ponte dards m teinte en oronge ou en v)bld,'qtu l’on t.offrait- Plustardi te œufs én sucré, en Cartefl point, en ivoifé et^en t»oü iculptéî rtm- pteèrsot loi àafSfie poule et pdigtent; sOuS formé d'mnft* dé' Pâques,!d’offrir dé réels èàdèéùï. On cite encore losp™diga- lités^ mites à la cour de Louis TqV ét de Louis ïV par te rOf et tes courtii^» of- frknt à là dame de leur cceur dès œufs dœit le contenu vqiréîentMt- qdelqadois toute une fortune. . : : Rien donc d’étonnant à: ee_qne. cette coutume sa soit perpétuée et que, te loxe aidant, les œufs de Pâques-soient devenus dé vèritabteébjets de luxe. — Nord, - r Le,ju>mméAlbmt Owjardiiu, tonnelier et représentant mi :vins, âgé de 49 aUs, demeurant à..ÉenUs, étàit.disparn dépuis qnélqne témps, laùsant les siens dans ime grande inqtdétude. Son cadavre vient d’étre découvert duas l’O te, préede Rienx, par M. Lassagne, débitant, ^ tra versait la rivière dans une barque. On ne sait à quelle cause attribuer cette mort. ------- P«Uee oovraoUoiineile vie SaBlie. Présidenite de M.PaisaÛ t, président. tUnistère pnblic : M. Mxusinzn, subtitut CàamanS. — S u s te unit du l" t u t mars, te voitnre dits < Càravue », appartenant an lirar fiermond, utraprananr de battages à SeaUs, était détruite par un incendie. Deux be'gu les nosunés Tenbanrverivytt (Hturi), filé de 40 ans, êt'Vsn Iwiœbike (Jeu-B«P- tUte). 40 avs, qui avaieas quitté le service du sieur Germond te veille fi Foutaine-!es- Corps^iuds, et avatent été trouvés le matin dn sinistre, fi Bitegny, non lote de te voitnre in cendiée, fu m t arrêtés. Ils bénéflsiireiu d m e ordonnuoe de non lieuda oeehef, mais I m - men de leur casier flt connaître que le t en Raiiée leur était interdit. : ^ Le irUntnal leur octroie fi ebaeun un d’emprteenncinut après quoi ils sarcnt ~ duitsfiteirbntiire. talagny-Saint-Epin. - Sésirut pr<ndrele train, et arriVut trop, tard à te g a n ^ e ^ ^ ^ voir se munir d’un botet, le n o i ^ . (Jeu-Marte), 85 ans, patefreaier à^ Paris, a eieitedé te treiUage pour pdnéim dan 1’^ ceinte du chemin de fer. interpellé par le p M de stitlon, Le Fetson, dm aUehfire le prodtain train et tôt gratifl* d’un proefii-vttbai... Il eitcoiadamué fi 16 francs d’amende aveee appUsadon de 1a loi de sursis. Ckantübi. — Le 21 février, le nommé Hard^ eutle (Ihomu), sujet sngUis. » Mrriçe de M. Aiuaud, a voyagé sans billet de Fontoise ÿ Cnil. Coût : 16 francs d’amende. -L e 10 lé de 60 ,s’est t e s JU_ : -i , • .'.-.v .IV* r îîîf c 'b I n est condamaé fi 16 AsOtenes d'amende CiteiLis^ âakuouveteKi nommé BvckaetlfJr" 0. te 10 févrb^:);' stei^érieii. iëdivido ^ol douuelte, ett OfÙW q’oinprboaneiiiiik> — ToursuIv|jitei. 'ell. d»uf le'eomrih ’teMMfbie' IgéleOffsôm. I de poteg *u de CïeiL Ctt ~i te oorret- fitrcurmois i >oto eommls fi fibdennr. le d»Uf IS COU'ini a» a m u u in ■wimvr, lé Braehf (8mite|.1#de’4ll ans, est son- é fi aiz4ndt •moivd’4gÿAomltm•nt.— lné Eivard (Viqtqrit éfé de 86 ans. lodnement. ' ,'îf ~ remmé Eivard (Vi^trit éfé de 86 ans. MHÿtiiri^— ---- H-e— feiWsoitnemei.. I 32 féVrier,'teiomntdi>iÉàat (Ccditu- h), figé de 62 ans, Amiaafié.snrnneloa- tatUt de b n i t o i ^ luggiitO^ A d a p t^ A g n ito^lï*Ù roduit^^^a^J^^ a briH «n loFaaac>a«tmtièr6 dt<ueiaMl’r « m»iM Mute Bq-ehfis«»isn2ii»vettn6éfteiiamMi-. l'.lOMiait dten^isenneuum. : — pénr vteiuees efeicéMhSur :sa, dovLil métuid avoir fi as HM|dra,: ]é^ vÆ iaœ tæ appUeadon de 1a loi de rorsis. -T S Tfôîvlia“ï 06011®.- sour«e>. te 4 Mnier-dai^r, ly j g£*et CbamdOTg»'(Albw^^éaiT.denin* tiir, ae sent ftit voiturer par te Ctempagnte du Mord, jusqu’à Creil SM^Olit. ’i k ; Es léeoltent chaenn 26 francs d’a i f ^ e ; laJiiÙeiûuvoaout-tinç^ H0 le nommé Boutey peurBaptisteKM&ô ans, de passage i M fe.™ bà’Sb' en.'Viieie u s a M. VlininE, cAA~ lôairir. Comme Mi Wgréuxtei f a i s ^ t - - - . . — . là qnfilàd' di-maire rt W demaidtjfdjtep^ pWi ^idendti.-1# lemiié UsWsQp BUteUgtei grotsièremmt, te garde cbemiiaMoMMdtc:. rronli pour te condmie eu- pcste, em sa part dV>atrtgtfe • ^ ' BteajEASteondamné par détemâ ttesjuqir. d‘«mpris«pmneeki Dr. . MantouJMstBamin. - Le 16 t t ^ t , ù l t garde«bampSinLunaire. s’étentrierAi sM feu épcU^Riâuier. iÆù tes. ite. qiegglM d'abwd n iw àfia, te.beuseate ét eXeica iflit: L’iruoibte ^ g ie r qiffpSAeed «te^evrifie- ue dit pai te vérité, est condamaé a six Jours d'empriionnsmvnt et 6 fTanos d’amende. Rarau. — Expulsé defnnee à U suite te plnstenraoeudamnafions, te nommé T erb n an l (Bamy). figé de 40 wa. sujet beige, est^ « « tmvsli er à. Bany. où Ua dettenvean aurlait’attudsndea H chut déeouvert. T* de quitter Karay pour nnt ^ ----- - ——- Il est gratifié d'un mois d’emprisounenteUt. . Saûd-Uaxmin.— PourulvÎM pour v o ^ boii d u s une propriété de M. T « ^ 1? mées BoUrsiÀ (Eélène), femme Ledru, 84 à ù deteeurut fi Saint-Maximin. sw t egniantWéS diasane à 26 francs d’amende, avec te béuéâce- de te loi Béreiger. — CoOdunné par début te 12 ouinze jours d’emprisonnement poer abw e; aux eellets, te nesuté Ondot ^'te 86 ans. muouvrier fi Saint-MaziiUB, a te n u **^£ê*'^nnal réduit te paine à 50 franes d’amude. rtrbsns. - Arrêté le t t mars à Y «^ te nommé Fettes (Jaequss), 37 ans, m^ gissier, est eondamné peur vagabead^ff^ à qntexé joiM d’emprisomaement. renieiùl. — Dans te soirée du dix vers onze Mures, lâ nommé EnyartH—- . figé de 39 ans, muouvrier fi Mentlàvifb,u surpris par tes gardes Uvassenr al — I aguta de l’ateeÂA: te rerbraekel s’e s t i i ^ i t e é r une direetion inennte. ^ a £ ^ u pirinêavao une tealene à t '^Ê*^Mn«l‘eôn<hmner à nn mited’iiqlibeir namnt et 60 Irues d’uaeude, Yantgiiy. — Ponrehasseàl’aideteteOiMr I '.RDILLETON d u COOBUntR D tr O I S K IL’I D IO ÏE ÉMILE RICHEBOURG PREMIERE PARTIE LA. C ÏIX JT E XXV CERCUEIL DES INSECTES (Suite) ^ Mon père m a acheté un piano et il appris à jouer un peu ; c’est très diffi- d'apprendre ; cela m’ennuie et me Oh ! je suis très paresseuse. Moa Sait beaucoup de choses, il voudrait ^apprendre tout, mais je ne comprends pas. Voyez-vous, j'aime mieux courir dans du jardm. causer aux papillons aux roses et chanter avec la fauvette jjue de rester assise la tête penchée sur un livre. eut un joyeuse exclamation. Adrien, reprit-elle, là, là, regardez» , Je vois un oiseau qui saute sur les ^fanches. ,77 C’est une de mes fauvettes. Si vous ®éüezpag près de moi, elle viendrait jus- H '*i mes pieds ; quelquefois elle tourne instant autour de ma tête et se pose mon épaule. C’est là, dans ce noise- quelle avait fait son nid cette année, ’)iou petit nid. avec des brins d’herbe et au fond un peu de mousse et de Je l’ai vue travailler; doucemei>t, ge approchais tout près d’elle ; elle n e voyait lilcn, mais elle n’était point effarou chée. C'est avec son petit bec fin et en écartant ses ailes quelle arrangeait les brins d’herljc. Comme elle était active, comme elle travaillait! En trois jours elle construisit sa petite maison, qui avait pour toiture un belle feuille verte de noisetier. Le lendemain il y avait dans le nid un joli petit œuf gris tacheté de points noirs; puis bientôt ü y eut cinq, tous pareils. Alors, elle ne quitta plus du tout son nid. Tous les jours je venais la voir. Dès qu’elle m'entendait elle se soulevait,' levait son bec, allongeait le cou et me regardait avec ses jolis petit yeux noirs. Je lui parlais et elle m’écoutait ayant l’air de me com prendre, En même temps, perchée sur une branche, une autre fauvejte chantait, comme pour me dire qu’eUe était con- tenle. j Un matin, je ne vis plus ma fauvette sur son nid ; inquiète, j'écartai les feuillages et me haussai autant que je pus pour re garder dans le nid. Les œufs n’y étaient plus ; à la place il y avait des petits oi seaux toul petits, tout petits, sans plumes» En avançant la tête j’avais remué les bran ches et fait un peu de bruit. Les petits, qui dormaient sans doute, se réveillèrent, et je lis se dresser cinq petites têtes roses, sans yeux, et cinq petits l>ecs grands ou verts. Ils demandèrent à ^ manger, les mignons. Presque aussitôt je vis arriver mes deux fauvettes et elles se mirent à voltiger autour du noisetier, ayant lair inquiet. Alors je m éloignai un peu, et tout de suite, l’une après l’autre, elles vinrent se poser au bord du nid et je les vis donner à manger aux petits» Adrien, voyez donc comme elle nous regarde, ma gentille fauvette, et^comms elle tourne gracieusement sa petite tÔte. ooire* j*~Bîen sûr, elle entend que je vous padé* d’elle. I — Comme moi, elle vous écoute, répon dit le jeune homme en souriant. ' \ — Les petits grandirent vite, reprit Aurore, au bout de quelques jours, ils avaient déjà des plumes; enfin, je vis pousser leurs ailes, et un soir, il s’envo lèrent du nid. Ils n’y sont pas revenus, mais ils n’ont pas quitté le jardin, ils y sont encore. Les oiseaux aussi aiment les fleurs*et la verdure. Ils courent avec moi dans les allées, ils jouent dans les massifs; ils me connaissent, et quand je chante, ils chantent avec moi. ! — Ne vous arrive-t-il point, parfois, de pleurer après avoir chanté? demanda le marquis, — Quand j’ai du chagrin, je pleure. — Quel chagrin pouvez-vous donc avoir ? — Si je trouvais morte une de mes fauvettes, rien ne pourrait me consoler. Je suis triste quand je vois s’effeuiller une rose, mais une autre qui s’épanouit chasse ma tristesse. Pourquoi les fleurs ne res tent-elles pas toujours belles ? Ah ! rien ne devrait môurîrl... Ici, je n’ai pas seule ment mes fleurs et mes oiseaux, j’ai aussi mes insectes, et ceux que je préfère sont les scarabées et les papillons. Hélas I il y en a de méchants qui font la guerre aux autres, ils les tuent... Eh bien I trouver un de mes insectes sans vie est une douleur pour moi, et je pleure! Elle se leva en disant au jeune homme : — Suivez-moi, i Elle le conduisit à un endroit du jardin, devant un petit carré de terre, ayant la forme d-un tumulus, marqué, à l’extrémité d’une plalCT^ande, par ui^ entourage de. pensées et d'immortelles. — C’est là, lui dit-elle tout bas» . I — Là, fit-il, cherchant à comprendre, qu’y a-t-il là? — C’est le tombeau, répondit-elle» — Le tombeau? — Vous comprenez ? — Pas encore. Elle prit une petite pelle, de celles qu'on achète aux enfants, se mit à genoux et, recueillie, ereusa la terre. Quand elle eut fait un trou de quinze à vingt centimètres de profondeur, le marquis vit apparaître un coffret de métal argenté. Là jeune fille enleva le reste de la terre, sortit le coffret du trou et l’ouvrit. Dans le coffret, garni de satin blanc, il y avait un morceau de soie blanche roulé et arrangé comme un linceul. ' i Pour mieux voir, le jeune homme s’in clina. Aurore ouvrit le morceau de soie., t — Vous voyez, dit-elle toujours à voix basse. Le jeune hpmme avait sous les yeux une douzaine de scarabées de grandeurs diffé rentes, de couleurs variées, et quelques papillons dont les ailes tombaient en pous sière* Soudain, la jeune fille poussa un petit cri aigu. — Encore une'fourmi, dit-elle d’un ton douloureux ; ce sont les fourmis, les mé chantes bêtes qui tuent mes papillons et mes scarabées. Les voilà, continua-t-elle tristement, ils sont morts, je ne les verrai plus dormir sur une fleur et sé baigner dans une goutte de rosée... Pauvres scara bées! P a u v ^ pâpHlons ! Etelle semit à pleurer et à san^oter» _ Immobile, lé'marquis la regardait avec siupéfacUon. ^ Au 'boht d’iin instant elle ramena les pli s delàr'"’ - - - - * ou remit dans la petite pouveau. G^la i4t,elle se releva et essuya ses yeux avec un mouchoir de batiste Au même instant, un grand papillon, ^aux ailes de velours, piquées de rouge et rayées de jaune orange, passa devant elle et alla se poser à quelques pas sur une balsamine, i Ah I ah ! fit-elle, s’adressant au papu- lon, te voilà, lu reviens... Qh I le vilain coureur î Je ne t’ai pas vu hier, où étais- lu? , . , , Tout en parlant, elle s était apnrochée du lépidoptère qui passa, en se balançant, de la balsamine à une rose. Alors elle se retourna vers le jeune homme. Elle venait de pleurer, de sangloter, maintenant elle riait, Adrien éprouvait un malaise étrange. 'Une lueur subite traversa son cerveau, 11 itressarllit et sentit dans son cœur comme un déchirement. . Oh I pensa-t-il, idiote ! elle estîdiotel XXVI LA FEMME MUETTE Le marquis de Verveine était devenu 'affreusement pâle; il avait comme envie jde pleurer. Aurore l’examinait, muette de surprise» Cependant elle s'approcha dè liii e t, appuyant sa liiain sur son bras : ., 1 ^ Qu^vez-vous? lui demanda-t-elIe. — Mais rien, rèpottdit-il. — On dirait qü’ü y a des larmes dans Hros yeux. -^’Non, non, vous'vou^ trompez. — A la bonne heuré. Elle lui prit la main. —. Allons, venez, dit^elle. - — Où voulèie-vous me conduire? Dans la maison. ' . Ils^ suivirent l’àHée daiu laquelle ils se » buvaient et ne tardèrent'pas à arriver de- Jvant le vieux bâtiment, dont la porte était ouverte. Ils montèrent les quatre marches^ de pierre et;firent quelques pas dans.^ comdpr. Aurore s’arrêta devant une porte» l’ouvrit, et ils entrèrent dans un yaste *aii^ par deux grandes fené^s» | L^ameiiblement, très vieux et sévère» était riche cependant. Le canapé, lès fau« feuils, lés chæses étaient couverts ^ rieil* lès tapisseries : les mêmes tapisseries tom* baient de chaque côté des fenêtres, , serré^ ^ par leurs attaches. Les murs, d ^ ^ d*na papier de couleur sombré,' attristaient cet intérieur monacal, que ne parvâaaièntp» à. égayer deux grandes ^aces de Vmiise fn plusieurs tableaux superbes que-l'êj^ avaw ridés dans leura vieux cadres dôrâi. A côté d&lacheminéc, pareille à celles"qu’on trou ve encore dans queJqilçs 'vièift'clmtèaz^^se , trouvait le piano, chaigé de <sa®®wf3e mu sique. Sur une table, au miÉéli'dè &'î>ièce» il y avaitiun album de gravures, tm/ètlès^ dé jgéogràphie, un livre de botalfiqhe et ÎTristoirehaturelle des minéraux de Buflbn* Au fond, en face des deux fenêtres^ un' voyait une sorte, de lit de repos, dont la courte-ipointe de sdîe rose, bordée d’une! magnifique ét riche dentelle, conthistaif singulièrement avec les aütrès in e ^ e s de l’appartement. . ’ ' Après! avour. jeté un coup d'cril autour de. lui; le regm sd^ inanpi& '^ ^ â t : ■ arrétéenr le lit de repos. ^ - I — Quand je su» falirâée,'Iui 'dîi'Aû* rore, ce qui m'arrive quelquêàbis, surtout en été, d a ^ l^jgrèiùdès chaleurif .;’p'est là que je me rüpdàe. ^ , î

litre des Ratai.bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_03_MRC.pdf · bureaux de la rue Royalè, dans ùos ar senaux et les chantiers de construc tions, où les ordres, les contre-ordreg

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O R N T I M E g

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" i - ' :■B'U îR 'SSüLtJbfiSea eû3 --ü s , i mpiAOTIM I t ■ ÉepiHUTBATION

. . . - - - S > R r a E \ * * ® ^ ' I * * 'à E i a r r î ^ p , I f t B » ’:î;- ':fc -. .■

1 Aknonces légales .— r “t>,20 o. la ligne. I œelame»l.>,.Mf,..i...~a..« .Tît o n o n < » » T O & n e t o » . . . — .; :v | ï^ts,^AT?«.î;:!8--.v-*r.*^ l " " , ,~ ■

i ’B;.;ao.. . o* li'ldolii» f4w-‘B'hii«ài6* 4 ’ 1WW«i«m4i.*iaie , ... H>Lef ànnonée» rédamee, etc;, cracerteurt Patia eties DéparteaaïAs «ontiefnm'ifiwrtameat D!

.7;-10âllXf1roesilt;âoiouiniL. . » .U --»>• ! ' 3

su 'iiv i

A u x L e c t e u r s .

I uffcgrammepàîitique du C o u rrie r rt'UisE. dont j ’ai l’honneur de pren- f la direction aujourd'hui, est celui g j’ai toujours défendu. E n conti­n t donc, comme par le passé, de

les principes de Justice et de rté trop souvent méconnus; en me

, jit avec le concours diéooué, éclairé I sus collaborateurs à l’étude des wmes économiques ou sociales, en- i es combattant les prÿugés popu- fta, les erreurs, les utopies des radi-

^ . socialistes , des collectivistes, f 0 mptirai m on devoir et je me

tirai digne die la confiance qui m ’est lée en prenant possession die mon

Æ^ns T accomplissement de mes déli- Ijjjj fonctions, qu’il me soit permis de Ijsipto' sur le dévouement die tous ceux Isà, dons l’intérêt même du P ays, ont I l tour le triomphe du parti républi- |j j i progressiste.I Quant à nos adversaires politiques, Kopprccieronf, ;'oge l’espérer, la cour- Itists dont je n’ai jam ais su me dlépar- llir même au plus fort des batailles Mitdorales. Pour la dignité die noire Mmfasion, on doit laisser complète- laoit de côté les questions purement ligsoimeiles pour n ’envisager que les ■Sies et les principes qu’on défend,I It talent die Véertoain ne consiste liu à injurier, à calomnier; quand

cause est juste , on n’éprouve lonoâ le besoin de recourir, pour la l^mdre, à des écarts de langage que IblMmnêtes gens réprouvent. La dis- losston n’est d’ailleurs possible, ou léitôt utile et intéressante, qu’avec des Iwifrodlicfeurs courtois et de bonne foi. I Cest dans ces conditions qu’il me liim donné, j ’en suis convaincu, de tenir utilement la cause républicaine Imressiste, à laquelle la population lit cette contrée est si dévouée.I Mon unique ambition est £ assurer, lAiec lè concours de nos amis politiques, tktnomphe de notre parti qui rendrait | i la France la paix, la prospérité, et I m prestige ô l’extérieur.

L o u p B e r t r o z .

SenlU, I t 2 A v r il 1904 .

litre des Ratai.L’homme du jour est éTidemment

ï. Pelletan, en passe de deTenir triste- ■ett célèbre par le gâchis dans lequel I l plongé notre M arae, qu’on a eu le tort de loi confier. Si les découvertes Itlt commission d’enqnète que tout le uide connaît, présentent un caractère ligisTité incontestable, elles sont par- bis d’on comique achevé. Mais quand il s’agit de questions concernant la dé- iose nationale, il n’est pas permis de lire. La plaisanterie, aussi burlesques {u soient les scènes mises en Itunière [ir les documents officiels, serait de amais goût en la circonstance. E x- 'nllent orateur, écrivain de talent, U. Pelletan possède peut-être une éru-

. htioa assez complète au point de vue dis connaissances humaines. L’organi- i^on d’une Maurine telle que l’exige la Écurité de la France, est une chose pillai échappe complètement. Qu’im- jorte! De par la volonté des radicaux- ■Kialiites, il devait être ministre, et le (ortefenille de la Marine lui a été oc- hoyé comme par hasard! Yoilà com- Beat les radicaux jouent avec les des- tiiiéesda pays!

Si oe ministre improvisé avait rempli s rôle de figuran t, s’il avait tenu

ompté des rapports, des déciâûms des o m ité s ------------------------ --------- --

comp-----------— ,comités techniques dont la direction est confiée à des hommes de valéitr et de science, se bornant à sonmettoe e u . conseil des ministres les propositions faites par les chefs de service à la süito d’examens épprofbndis, le mal serait, loin d’être aussi gravé. I l n’en A pas. é té ainsi. M. P elle tw , fusant preuve d’un- aiitcHÎtarisme rare-, a traité les ami­raux en sous-offlciers; de plusj en don­nant carte blanche à son chef de cabi­net, aussi incapable qtte.luirjnême,.il. plaçait notre Marine dans un état^d’in- fériorité sans précédent, qui à. j^rmis de la comparer à la marine turque !...

E t c’est ainsi que l’anarchie la’plus complète n’a cessé de régner dans les bureaux de la rue Royalè, dans ùos ar­senaux e t les chantiers de construc­tions, où les ordres, les contre-ordreg les plus bizarres se snccédaimt, don­nant mnsi une idée du déstirroi de l’ad­ministration centrale. Interruption de travaux urgents; crédits votés-par la Chambre dans l’iotérêt de la défemsè des ports, de l’armement des lavirM , recevant d’autres destinations ou bien affectés à la conclusion de marchés qu’on devait annuler après un commen­cement d’exécution ; réductions d’effec­tifs de troupes et du personnel ouvrier, dont l’augmentation s’imposait eu égard aux complications pouvant surgir d’un moment à l’autre en Extrême-Orîent, rien, n’a manqué & la désorganisation de notre Marine, dans des temçs cri­tiques où la France a plus que jamais bèsoin de son prestige, de son influence à l’étranger.

11 n’y a pas, dans tout ce qui a été dit sur cette lamentable affaire, la moindre exagération. Les faits sont lé, palpables, et si incroyables qu’ils pu; raissent, ils ne sont hélas! que d’une rigoureuse exactitude. On ne connmt malheureusement pas toute l’étendue du gâchis. Depuis longtemps les oM- ciers supérieurs signalaient an ministre des abus à supprimer, des réformes à adopter, des réparations de bâtiments ou d’engins à effectuer pour la mise en état de défense des ports, des cuiras­sés, etc... E t avec un sans-gêne décon­certant, M. Tissier, muni de pouvoirs extraordinaires, déchirait les- rapporte des amiraux, ou bien, quelques mois plus tard, les renvoyait à leur auteur avec une annotation inepte ou incohé­rente.

L’attitude du t Bloc » était prévue, on savait qu’il était résolu à sauver M. Pelletan de sa fausse situation aux dépens de la marine. Aux yeux des ra­dicaux-socialistes, à l’exception de ceux qui ont eu le courage de dénoncer les faits, de jouer le rôle-d’accusateurs, la question de la Marine n’est que 'secon­daire. Que nous ne soyons pas capable de mettre à la mer une escadre com­plète au premier signal, afin de faire respecter le pavillon français, pour les radicaux, ça ne signifie rien. L’unique objectif de ces excellente c blocards > est de conserver intact, indemne le c Bloc > ! < Ne touchez pas é Pelletan ! < à la veille des élections! > s’est écrié M. Bourgeois lu i-m êm e, c la Répu- c blique serait en danger ! t,

Yoilà une façon de parler et de con­cevoir les choses tout au moins singu­lière. M. Bourgeois a évidemment voulu dire que I t p a r t i radical serait en danger, ce qui devrait être dans l’ordre des choses. Mais, comme les dé­tenteurs du pouvoir font passer leurs

intérêts avant ceux dé 'la 'déftetoé'ni^-'- ’ nale, on s’est boraé' à- n o n o ^ r i i | ^ . commission extra-parlementaire , U besogne sera tragj»ldi-même. li n 'y n r . _avons vu uneÆnsjde ptae lea émunes • sé courber àla Ohainbrevet tout eàt diti> i

C’est triste I O’eatirooBnmt 1 ^ ^%OOT B b m r o z . ” ‘

. C o n e ln a io ïk lo g iq n e . .Notre confrère, ia iSfpnéiigaeFroaçeise» ■

donne à cette n gi-ttsdjtïf-affaire de la , marine la concïùsion qull convient”.

« È t mainUnant,. que . penser de ce m h - nistrfi publiquement.accusé d’itaapeeité-.et qui accepte que Von, fasse une enquête pour savoir sfil est vraiment aussi incapable ■qiion U’dit f ■ " i l

< De quelle autorité, je vous le demande, va disposer demain ce ebefpoûr eommarù- ' der aux 'marins avertis ?

c L’enquête ne fera hien, car elle sera faite auprès 'des intéressés, auprès des"^ chefs de tous les services maritimes, auprès ' des subordonnés durninistre, et on terra- des serviteurs sincères dé là patrie placés dans cette alternative de dénoncer, leurs chefs et de sacrifier leur carrière, ou de couvrir les tares qui ruine la marine, w

■Voilà qui reflète bienïopinion pïibUqne à la suite de ces débats qui ont mis notre marine en si mauvaise posture.

Lafiaerre -japonaise.L ta .D éfenuse d a Y a lo n *

La concentration continue de part et d'autre. Les Japonais se répandent de plni^ en pins dans la région qui avoistne. le 'ïalon.

De Fort-Arthur, nn seul télégramme ert airivé. U est sigae dé l’amiral ' Hakbaroff et atteste que 1a marine russe se tient tou­jours en éreU pour parer à une nouTelle attaque de l’amiral Togo. ,

PARLEMENTS B N A T

Siamct du 31 mars.M. Bouvier, ministre des Finances, dé-

pese nn cahier de crédits supplémentaires voté par la Chambre.

La séance est suspendue pour pem ettre a la commission dés finances de lès exa­miner.

A la reprise de la séance, Jf. Bottwcr, ministre des Finances, dépose nn projet de loi, adopté par là Chambre, portant ou­verture d’un crédit extraordinaire d’un million pour secours aux victimes du cy­clone de la Réunion.

Puis on vote sans discussion les projets de lot d'intérêt local inscrits à l’ordre du jrà r, et on valide les électioné de H. de Saint-Quentin, dans le Calvados, et de U. Barbaza, dans L’Aude.

U. Antonin Duimst a ensuite la parole. Le rapporteur général du budget fàit

connaître que là comnüssion des finances n’a pas crû devoir proposer au Sénat l’ap­probation de crédits dont elle a été saisie Il y a à peine une heure. 11. s’agit de prés de trente millions et une pareille sommé ne peut être votée sans examen sérieux. La commission a toutefois fait excepton pour certains crédits (primes à la marine mar­chande, primes a l'industrie de la soie, subventions postales, etc.) ayant un carac­tère d'nrgencé et représentant' un total de i.ieo.OOO francs.

Les conclutions du rapporteur généi^ sont approuvées a l’unaniiuté de S63 voix.

Egalement à l’unanimité — de 273 voix, celte fois — est voté le million pour la Réunion. _ . .

L’ordre du jour est épuisé. On s ajourne au 24 mai.

C "C B A M B B B '-TîTv fil- . •■.’-.iü'J'l--'

^ U ^ t é W W i l i è i l T '

fà'-« W :

Stoonn «ax RétervürtML:

U ChaaÉHé’sW I’'4èdi!liée~eWriiiiài éu'^■ Kl mai.

mi tu A m

, «91»pw fépHîlBlrâvifl'ést

A Lannoy, grâce à Fin-i-.»,—.— ~ dé paix^I A ije v riL ^ iC » i^ a É jK i q » aàiîge à m Ifôie isi j t ^ n e e t les Tonvnera, la g ^ râ nw 'p às jé éràe . ^

Les p s fM i et j ^ ^ i e r s dt’êaienseuL au cpprs d'une réiH W tafipe hier, voté la grève fégérato. ,

; LechMsgaestcpmpletdMurdenxjisines e tp ^ e ld l^ ù i t e an tre it.n w ieiiww** nwni'lFéviste s*àecentiga et neitaee de der.

;Vén^.féii&al. , . ^On m a te netamment la cessation dn

; traviR (^és,tèn»teiiiHiTtei» du ÿélimeBt. Léiiôiâbrê des- grtvlstes est actuellemenX def^l^faviTooilntéim saiit daq tissagBs>

,e td lx t^ 'tu iM .L éé4i«risté i e s s ^

-.^''A iteiîâdSine rA ^ o n rtë a iiê ',tà d r i^ m atte à ïa Bourse a i t r a r à i l ,n r if é te te s teinteisrs sé sohv rendus en énanHiint, rue dù Faüâwiug-ile-Eém, noUr teniéf de' débaiitiïerîM Udvtiérste fitsturcn dé H. DavidetdelaSpciôtélinièM-,ri -

llFont l'énüst a -fâire'affandohnerle tra­vail à 200 ouvriers de cette dernière Usine.

A zA^f^stfr-Soume ;-'400 ouvrins d r rnsineiGtfmÉAMâ o n t ^ t t é t e tînvail.

A Ftequiinÿ, I» fisàigeBnoYden et I t e - guyekten grève. Les ^vistesergan isau t

w m m jÉ ttifW u u .

A sso c ia tio ii deai a g e n tsd e s p o s t e s d e l ’O is e ,

Le dimanche 20 nmrs, les membres do l’Association générale des agents des postes et télégraphes de l'Oise se sont réunis en vue de former une section de l’Association des agente des postes pour le département de l’Oise.

Ont été élus membres du bureau : MM. Combe, commis principal à Creil, préti- dent; Duru, commis principal â Compié- gne, trésorier; Saint-Georges, conunis principal à Creil, secrétaire.

Le Conseil d’administration est composé de : MM. Jouerre, receveur à Nantenil ; Beiron, commis à Sehlis; Ballenger, com­mis à Creil; Bigot, surnuméraire à Cràil; Legrand, Billon, commis à Compiègne; Roy, commis à Beanvais; Mlles Martin, employée à Chanuily, et de Smnt-Andriau, employée à Comptene.

-4--------- ----C h ô m a g e s s u r l e s v o ie s

n a v ig a b le s .Le Journal offieiel indique la fixation

des chômages en 4904 sur les voles navi­gables de la région du Nord et de l’Est.

Pour lé canal latéral à l’Oise, la durée du chômage est de 30 jours, du 45 juin an 45 juillet.

Rivière d'Oise canalisée : bief de Ve- netteet Verberie, 46jonr», du 45 juin au 4*’juillet;

Les: bateaux chargés pourront rester à flots dans les parties prolondes des biefs.

; PAiaoHAOi scoutiBS.,— La place flous

ieauÇopp.MÏHiê^. : . . ■ii . c ç t-j , .

L is PnShroiyrt TarT^ATStet/-^--- u rbcetté : aura Ueu dteanefewB:nvrttj4BQà,j éeuiuAlusireretdeatieJttroishssuVtiiàioa < ÏT R auég laarx lm ndte« i» i» ta tn tM irp 4^,rue5fîM llê-dei« i^ ;/

I .0 .’jf - ; .:3 C l i » •» *

: VonuBi PüBLiQnxr--î=-iir voiture de

PbiJii US.OsÉvié. — ;ienx;'niinW M :; ofcadrons de nbtre r ig iteu t'so n t palflis A- A infèns'oùllagi^ s’àceniub.

Œdps n i'P iç tJ is .' -r-. LTiûbîttrded'O^

mencait à Pâques. C'ést ce jonr-là que s’bflixient les élrènnes. On les üonnart sôus formé d’ieufs parce qu’ayant é|4 privé dé cet aliment pendant tout le CaïAme, on voyait àvéc bonheur arriver la fêle dé Pâques qui permettaR dé 'nonveau d’ea ' usage, An début, e’éfaient’desim pte

:» de ponte dards m teinte en o ro n g e ou en v)bld,'qtu l’on t.offrait- P lustardi t e œ ufs én sucré, en Cartefl point, en ivoifé et^en t»oü iculptéî rtm - p teèrsot loi àafSfie poule et pd ig ten t; sOuS formé d'mnft* dé' Pâques,!d’offrir dé réels èàdèéùï. On cite encore losp™diga- lités mites à la cour de Louis TqV ét de Louis ïV par te rOf et tes courtii^» of- frknt à là dame de leur cceur dès œufs dœit le contenu vqiréîentMt- qdelqadois toute une fortune. . : :

Rien donc d’étonnant à: ee_qne. cette coutume sa soit perpétuée et que, te loxe aidant, les œufs de Pâques-soient devenus dé vèritabteébjets de luxe. —

Nord, - r Le,ju>mméAlbmt Owjardiiu, tonnelier et représentant mi : vins, âgé de 49 aUs, demeurant à..ÉenUs, étàit.disparn dépuis qnélqne témps, laùsant les siens dans ime grande inqtdétude. Son cadavre vient d’étre découvert duas l’O te , préede Rienx, par M. Lassagne, débitant, ^ tra­versait la rivière dans une barque. On ne sait à quelle cause attribuer cette mort.

-------P « U ee oovraoU oiineile vie SaBlie.

Présidenite de M.PaisaÛt, président. tUnistère pnblic : M. Mxusinzn, subtitut

CàamanS. — S u s te unit du l" t u t mars, te voitnre dits < Càravue », appartenant an lirar fiermond, utraprananr de battages à SeaUs, était détruite par un incendie. Deux be'gu les nosunés Tenbanrverivytt (Hturi), filé de 40 ans, êt'Vsn Iwiœbike (Jeu-B«P- tUte). 40 avs, qui avaieas quitté le service du sieur Germond te veille fi Foutaine-!es- Corps^iuds, et avatent été trouvés le matin dn sinistre, fi Bitegny, non lote de te voitnre in­cendiée, fum t arrêtés. Ils bénéflsiireiu dm e ordonnuoe de non lieuda oeehef, mais I m - men de leur casier flt connaître que le t en Raiiée leur était interdit. : ^

Le irUntnal leur octroie fi ebaeun un d’emprteenncinut après quoi ils sarcnt ~ duitsfiteirbntiire.

talagny-Saint-Epin. - Sésirut pr<ndrele train, et arriVut trop, tard à te g a n ^ e ^ ^ ^voir se munir d’un botet, le n o i^ . — (Jeu-Marte), 85 ans, patefreaier à^ Paris, a eieitedé te treiUage pour pdnéim dan 1’ ceinte du chemin de fer. interpellé par le pM de stitlon, Le Fetson, dm aUehfire le prodtain train et tôt gratifl* d’un proefii-vttbai...

Il eitcoiadamué fi 16 francs d’amende aveee appUsadon de 1a loi de sursis.

Ckantübi. — Le 21 février, le nommé Hard eutle (Ihomu), sujet sngUis. » Mrriçe de M. Aiuaud, a voyagé sans billet de Fontoise ÿ Cnil.

Coût : 16 francs d’amende.

- L e 10lé de 60

,s’est te s

JU_ ■ : -i , • .'.-.v .IV* r îîîfc 'bI n est condamaé fi 16 AsOtenes d'amende

CiteiLis âakuouveteKi nommé BvckaetlfJr"0. te 10 févrb^:);'stei^érieii. iëdivido ol douuelte, ett OfÙW q’oinprboaneiiiiik>

— ToursuIv|jitei. 'ell. d»uf le'eomrih

’teMMfbie'IgéleOffsôm.I de poteg *u de CïeiL Ctt ~i te oorret-

fitrcurmois

i

>oto eommls fi fibdennr. led»U f IS C O U 'in i a » a m u u i n ■w im vr,

lé Braehf (8mite|.1#de’4ll ans, est son- é fi aiz4ndt •moivd’4gÿAomltm•nt.—

lné Eivard (Viqtqrit éfé de 86 ans.

lodnement. ' , 'î f ~

remmé Eivard (Vi^trit éfé de 86 ans.MHÿtiiri^— ---- H - e —

feiWsoitnemei..I 32 féVrier,'teiomntdi>iÉàat (Ccditu- h), figé de 62 ans, Amiaafié.snrnneloa- tatUt de b n i t o i ^ luggiitO^A dapt^A gn

ito ^ l ï* Ù r o d u it^ ^ ^ a ^ J ^ ^ a briH «n loFaaac>a«tmtièr6 dt<ueiaMl’r « m » i MMute Bq-ehfis«»isn2ii»vettn6éfteiiamMi-.

l'.lOMiaitdten^isenneuum.

: — pénr vteiuees efeicéMhSur :sa, dovLil métuid avoir fi as HM|dra,: ]é^

v Æ ia œ tæappUeadon de 1a loi de rorsis.

- T S Tfôîvlia“ ï 06011®.- sour«e>. te 4 M nier-dai^r, ly jg£*et CbamdOTg»'(Albw^^éaiT.denin* tiir, ae sent ftit voiturer par te Ctempagnte du Mord, jusqu’à Creil SM^Olit. ’i k

; Es léeoltent chaenn 26 francs d’a i f ^ e ;laJiiÙeiûuvoaout-tinç^ H 0

le nommé Boutey peurBaptisteKM&ô ans, de passage iM fe .™bà’Sb' en.'Viieie u sa M. VlininE, cAA~ lôairir. Comme Mi Wgréuxtei f a i s ^ t - - - . .— . là qnfilàd' di-maire rt W demaidtjfd jtep ^ pWi idendti.-1# lemiié UsWsQp BUteUgtei grotsièremmt, te garde cbemiiaMoMMdtc:. rronli pour te condmie eu- pcste, em sa partdV>atrtgtfe • '

BteajEASteondamné par détemâ ttesjuqir. d‘«mpris«pmneeki Dr. .

MantouJMstBamin. - Le 16 t t ^ t , ù l t garde«bampSinLunaire. s’étentrierAi sM feu épcU^Riâuier. iÆù tes. ite. qiegglM

d'abwd niw àfia , te.beuseate ét eXeica iflit:

L’iruoibte g i e r qiffpSAeed «te^evrifie- ue dit pai te vérité, est condamaé a six Jours d'empriionnsmvnt et 6 fTanos d’amende.

Rarau. — Expulsé defnnee à U suite te plnstenraoeudamnafions, te nommé Terbnanl (Bamy). figé de 40 wa. sujet beige, est « « tmvsli er à. Bany. où Ua dettenvean aurlait’attudsndea Hchut déeouvert. T*de quitter Karay pour nnt ----- - — — -

Il est gratifié d'un mois d’emprisounenteUt. . Saûd-Uaxmin.— PourulvÎM pour v o ^

boii d u s une propriété de M. T « ^ 1? mées BoUrsiÀ (Eélène), femme Ledru, 84 à ù

deteeurut fi Saint-Maximin. swt egniantWéS diasane à 26 francs d’amende, avec te béuéâce- de te loi Béreiger.

— CoOdunné par début te 12 ouinze jours d’emprisonnement poer abwe; aux eellets, te nesuté Ondot ^ ' t e86 ans. muouvrier fi Saint-MaziiUB, a ten u

**^£ê*'^nnal réduit te paine à 50 franes d’amude.

rtrbsns. - Arrêté le t t mars à Y « ^ te nommé Fettes (Jaequss), 37 ans, m ^ gissier, est eondamné peur vagabead ff à qntexé joiM d’emprisomaement.

renieiùl. — Dans te soirée du dix vers onze Mures, lâ nommé EnyartH—-. figé de 39 ans, muouvrier fi Mentlàvifb,u surpris par tes gardes Uvassenr al —

I aguta de l’ateeÂA: t e rerbraekel s’e s t i i ^ i t e é r une direetion inennte.

^ a £ ^ u pirinêavao une tealene à t'^Ê*^Mn«l‘eôn<hmner à nn mited’iiqlibeir namnt et 60 Irues d’uaeude,

Yantgiiy. — Ponrehasseàl’aideteteOiMr

I

'.RDILLETON d u COOBUntR D trO ISK

IL’ I D I O Ï EÉMILE RICHEBOURG

PREM IERE PARTIE

L A . C Ï I X J T E

XXVCERCUEIL DES INSECTES

(Suite)^ Mon père m a acheté un piano e t il

appris à jouer un peu ; c’est très diffi- d'apprendre ; cela m’ennuie et me

Oh ! je suis très paresseuse. Moa S a i t beaucoup de choses, il voudrait

^apprendre tout, mais je ne comprends pas. Voyez-vous, j'aime mieux courir dans

du jardm . causer aux papillons a u x roses et chanter avec la fauvette

jjue de rester assise la tête penchée sur un liv re .

eut un joyeuse exclamation.Adrien, reprit-elle, là, là, regardez»

, Je vois un oiseau qui saute sur les fanches., 7 7 C’est une de mes fauvettes. Si vous

®éüezpag près de moi, elle viendrait jus- H'* i mes pieds ; quelquefois elle tourne

instant autour de ma tête e t se pose mon épaule. C’est là, dans ce noise- quelle avait fait son nid cette année,

’)iou petit nid. avec des brins d ’herbe et au fond un peu de mousse et de Je l’ai vue travailler; doucemei>t, ge

approchais tout près d’elle ; elle n e

voyait lilcn, mais elle n ’était point effarou­chée. C'est avec son petit bec fin et en écartant ses ailes quelle arrangeait les brins d ’herljc. Comme elle était active, comme elle travaillait! En trois jours elle construisit sa petite maison, qui avait pour toiture un belle feuille verte de noisetier. Le lendemain il y avait dans le nid un joli petit œuf gris tacheté de points no irs; puis bientôt ü y eut cinq, tous pareils. Alors, elle ne quitta plus du tout son nid. Tous les jours je venais la voir. Dès qu’elle m 'entendait elle se soulevait,' levait son bec, allongeait le cou e t me regardait avec ses jolis petit yeux noirs. Je lu i parlais e t elle m’écoutait ayant l’a ir de me com­prendre, En même temps, perchée sur une branche, une autre fauvejte chantait, comme pour me dire qu’eUe était con- tenle. j

Un m atin, je ne vis plus ma fauvette su r son nid ; inquiète, j'écartai les feuillages et me haussai autant que je pus pour re­garder dans le nid. Les œufs n ’y étaient plus ; à la place il y avait des petits o i­seaux toul petits, tout petits, sans plumes» En avançant la tête j ’avais remué les bran­ches et fait un peu de b ruit. Les petits, qui dormaient sans doute, se réveillèrent, e t je lis se dresser cinq petites têtes roses, sans yeux, et cinq petits l>ecs grands ou­verts. Ils dem andèrent à manger, les mignons. Presque aussitôt je vis arriver mes deux fauvettes e t elles se m irent à voltiger autour du noisetier, ayant la i r inquiet. Alors je m éloignai un peu, e t tout de suite, l’une après l’autre, elles vinrent se poser au bord du nid e t je les vis donner à manger aux petits»

Adrien, voyez donc comme elle nous regarde, ma gentille fauvette, et^comms elle tourne gracieusement sa petite tÔte. ooire* — ‘

j*~Bîen sûr, elle entend que je vous padé* d’elle. ‘I — Comme moi, elle vous écoute, répon­d it le jeune homme en souriant. '

\ — Les petits grandirent vite, reprit Aurore, au bout de quelques jours, ils avaient déjà des plum es; enfin, je vis pousser leurs ailes, e t un soir, il s’envo­lèrent du nid. Ils n ’y sont pas revenus, mais ils n’ont pas quitté le ja rd in , ils y sont encore. Les oiseaux aussi aiment les fleurs*et la verdure. Ils courent avec moi dans les allées, ils jouent dans les massifs; ils me connaissent, e t quand je chante, ils chantent avec moi.! — Ne vous arrive-t-il point, parfois, de pleurer après avoir chanté? demanda le marquis,

— Quand j ’ai du chagrin, je pleure.— Quel chagrin pouvez-vous donc

avoir ?— Si je trouvais m orte une de mes

fauvettes, rien ne pourrait me consoler. Je suis triste quand je vois s’effeuiller une rose, mais une autre qui s’épanouit chasse ma tristesse. Pourquoi les fleurs ne res­tent-elles pas toujours belles ? Ah ! rien ne devrait m ôurîrl... Ici, je n’ai pas seule­ment mes fleurs e t mes oiseaux, j ’ai aussi mes insectes, e t ceux que je préfère sont les scarabées e t les papillons. Hélas I il y en a de méchants qui font la guerre aux autres, ils les tuen t... Eh bien I trouver un de mes insectes sans vie est une douleur pour moi, et je pleure!

Elle se leva en disant au jeune homme :— Suivez-moi, iElle le conduisit à un endroit du jard in ,

devant un petit carré de terre , ayant la forme d-un tum ulus, marqué, à l’extrém ité d ’une plalCT^ande, par ui^ entourage de. pensées et d'immortelles.

— C’est là, lui dit-elle tout bas» .

I — Là, fit-il, cherchant à comprendre, qu’y a-t-il là?

— C’est le tombeau, répondit-elle»— Le tombeau?— Vous comprenez ?— Pas encore.Elle prit une petite pelle, de celles qu'on

achète aux enfants, se m it à genoux et, recueillie, ereusa la terre . Quand elle eut fait un trou de quinze à vingt centimètres de profondeur, le marquis vit apparaître un coffret de métal argenté. Là jeune fille enleva le reste de la terre, sortit le coffret du trou e t l’ouvrit. Dans le coffret, garni de satin blanc, il y avait un morceau de soie blanche roulé e t arrangé comme un linceul. 'i Pour mieux voir, le jeune homme s’in­clina. Aurore ouvrit le morceau de so ie ., t — Vous voyez, dit-elle toujours à voix basse.

Le jeune hpmme avait sous les yeux une douzaine de scarabées de grandeurs diffé­rentes, de couleurs variées, e t quelques papillons dont les ailes tombaient en pous­sière*

Soudain, la jeune fille poussa un petit cri aigu.

— Encore une'fourm i, dit-elle d’un ton douloureux ; ce sont les fourmis, les mé­chantes bêtes qui tuent mes papillons e t mes scarabées. Les voilà, continua-t-elle tristem ent, ils sont m orts, je ne les verrai plus dorm ir su r une fleur e t sé baigner dans une goutte de rosée... Pauvres scara­bées! P a u v ^ pâpHlons !

Etelle semit à pleurer et à san^oter»_ Immobile, lé'marquis la regardait avec siupéfacUon. Au ' boht d’iin instant elle ramena les pli sd e là r '" ’ - - - - *ourem it dans la petite pouveau. G^la i4 t ,e l le se releva e t essuya

ses yeux avec un mouchoir de batisteAu même instant, un grand papillon,

^aux ailes de velours, piquées de rouge et rayées de jaune orange, passa devant elle e t alla se poser à quelques pas sur une balsamine,i Ah I ah ! fit-elle, s’adressant au papu-lon, te voilà, lu reviens... Qh I le vilain coureur î Je ne t ’ai pas vu hier, où étais- lu ? , . , ,

Tout en parlant, elle s était apnrochée du lépidoptère qui passa, en se balançant, de la balsamine à une rose.

Alors elle se retourna vers le jeune homme.

Elle venait de pleurer, de sangloter, m aintenant elle riait,

Adrien éprouvait un malaise étrange. 'Une lueur subite traversa son cerveau, 11 itressarllit e t sentit dans son cœ ur comme un déchirement. .

Oh I pensa-t-il, idiote ! elle estîdiotel

• XXVILA FEMME MUETTE

Le marquis de Verveine était devenu 'affreusement pâ le ; il avait comme envie jde pleurer. Aurore l’examinait, muette de surprise» Cependant elle s'approcha dè liii e t , appuyant sa liiain sur son bras :

.,1 Qu^vez-vous? lui demanda-t-elIe.— Mais rien, rèpottdit-il.— On dirait qü’ü y a des larmes dans

Hros yeux.-^ ’Non, non, vous'vou^ trompez.— A la bonne heuré.Elle lui p rit la main.—. Allons, venez, dit^elle.

- — Où voulèie-vous me conduire? Dans la maison. ' .Ils^ suivirent l’àHée daiu laquelle ils se

» b u v a ie n t e t ne tardèrent'pas à arriver de- Jvant le vieux bâtim ent, dont la porte é ta it

ouverte. Ils montèrent les quatre marches de pierre et;firent quelques pas dans.^ comdpr. Aurore s’arrêta devant une porte»l’ouvrit, et ils entrèrent dans un yaste

*aii^ par deux grandes fené^s» | L^ameiiblement, très vieux et sévère»

était riche cependant. Le canapé, lès fau« feuils, lés chæses étaient couverts rieil* lès tapisseries : les mêmes tapisseries tom* baient de chaque côté des fenêtres, , serré^ par leurs attaches. Les murs, d ^ ^ d*na papier de couleur sombré,' attristaient cet intérieur monacal, que ne parvâaaièntp» à. égayer deux grandes ^aces de Vmiise fn plusieurs tableaux superbes que-l'êj^ avaw ridés dans leura vieux cadres dôrâi. A côté d&lacheminéc, pareille à celles"qu’on trou­ve encore dans queJqilçs 'vièift'clmtèaz^^se , trouvait le piano, chaigé de <sa®®wf3e mu­sique. Sur une table, au miÉéli'dè &'î>ièce» il y avaitiun album de gravures, tm/ètlès^ dé jgéogràphie, un livre de botalfiqhe et ÎTristoirehaturelle des minéraux de Buflbn* Au fond, en face des deux fenêtres^ un' voyait une sorte, de lit de repos, dont la courte-ipointe de sdîe rose, bordée d’une! magnifique ét riche dentelle, conthistaif singulièrement avec les aütrès in e ^ e s de l’appartement. . ’' Après! avour. jeté un coup d'cril

autour de. lui; le regm sd^ inanpi& '^ ^ â t : ■ arrétéenr le lit de repos. - I

— Quand je su» falirâée,'Iui 'dîi'Aû* rore, ce qui m'arrive quelquêàbis, surtout en été, d a ^ l^jgrèiùdès chaleurif .;’p'est là que je me rüpdàe. ^ ,

î

Page 2: litre des Ratai.bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_03_MRC.pdf · bureaux de la rue Royalè, dans ùos ar senaux et les chantiers de construc tions, où les ordres, les contre-ordreg

dais]M bota te y tn ta r» kMWMéCnatiar — “ ------- -— * n m tiif teMBt

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4 e S e o l to4 b M ^p jtn «B S Bvdl IMd.

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3î. PodM (Aif»4 J0Mph-a»»ri««MfM)i P r^ BritUin, 76 *M. tn t VMIMe P i ^ 16.

81. Jtïltonadiiri,71aa«. r. saattteawrttvt, 14.Mtriagu.

86. b u t J t i u n (Pan)) M temoiidla Va> notttuillaiit^JoiteUat). nasoBTrian, loua ten i te a i t ^ à Stalii.

Pablieatiamt itU m ia g u .17. b M mvep î^aiit-yietBMoMpk-ÀlfNd),

Umoiaditr, dimtBnwt i teBlis, piaat te la Halle, 16, « aetadMatM i Paria, n u CaatbM, 13bit, etdtBoiadltPMB- e d i« (Marie). iaatOBtriee, demearant àl î e te p e e w b e . M-

— ^ 'V s tx de< lat v U u id e

' è J ^ t i r â» 4 " Avril 4904. S n -w i^ o i i de la conTentioa aecmtte

par'IÜ tr^ièa Btiadien le S marf 4888, U d e là 'riaiide à Senlia, penr le mèia d’aaril 4M i, eatSxé coiame aBit ;

Èmuf.4» ca tin iiB : TUdre de traacbe, eidotte,

(tNtMaaeii^traii- dtegraaaeetçfttea ceBrârtee,IelDl6. 4fr.70

«• — Plàttdde6tkdpaB>*,ddtésaonarépanle, t r a d re n - . . . , . . . . 4 50

f Punehet^ireaboBt de'jmi&rme, col­

lier . . . . . . . . . . . . 4 80■

4"teld |i« ietfudeT eaa 4 95S* — ^ in le ,p o itrin e ... 4 868* — Cel|ier. 4 55

Jbuton.4>* eatigerie ; Gigot, filet, cOtel*"* S 45S* Ip iu a le ..... 4 953* — Poitrise,collier... 4 55

Lee mereeBBx de 8* e t 3* eatdgraie de eluKpe ejçtee t e ’idaiide d o ira t porter une éti^piette indifuuit leur catégorie et le prix de cette cat^im e.

n réanlte de la note d-deaana, qni noua oat ennniôûiqnéeptela Kairie, qnelea prix pour le miria d’a n il aont diminnOa de 0,05 anr le boeof et le menton et de 0,4 0 anr le rean.

FAITS LOCAUXAPREMONT

Suicmi. — Jeudi matin, en rentrant an domieBe; paternel, nn jenne boaune d’Apremont-a décooTert le cadavre de aon père, fiervoiaier (Francoia-Dcairé), âgé de Ot aaa, bfldieren, pendn dans aon grenier.

Le déaeapOré ae livrait i la boiaaon et était piacfeia en état d’ivreate pendant dea aemaiaee entières.

ÀUMONTTra. — La Société de tir l'Aumontoise

organiae nn concours d’amatenra é la cara­bine de prédaion laFrançatu. Ôavertare demain dimanche. Le Loncoora dnrera jnaqn’à l’époiiemoat de 800 cartons. Prix as plna haut point obtenn dans une seule série. Valeor eftectiTe dea prix, 450 franc.

4" prix, un beau Bronze d’art, i’Auaut, hauteur O'SO ; nn diplOme ; nue épinglette or.

S 'p rx , im snperbe Revolver; nn di­plôme ; nne épinglette or.

3* prix, nn aervice à thé ; nn diplOme ; une ^inglette argent.

i* prix, nne belle Montra ; nn dipIOme ; nne épinglette.

5* prix, nne inmelle de théâtre ; nn di­plôme ; nne épinglette.

6* prix, nne demi-doazaine de Con- teanx ; nn dipIOme ; nne épinglette,

7* prix, nn Service de fnmenr ; nn di­plôme ; nne épinglette.

8* prix, nn Albnm a photographies ; nn diplôme; nne épinglette.

9* prix, un Cartel ; nn dipIOme ; nne épinglette.

40’ prix, nn Réveil-Matin ; nn dipIOme; nneép^ le tte .

Et divers antres prix.BETKISY-SAINT-PIERRE

La Compagnie d’are p-océdera, le len­demain de Pâques, an br de l’oiseau, dans l ’ancien étang.

RiuinoNS. — Demain dimanche, de 40 heures a nudi, an café Braillon, paiement des cotisations par les membres de l’Epar­gne de Béthisy.

— A 3 henres, à la Mairie, paiement dea eotiaatioBa par les membres de la Société de Secours mutuels des sapeurs-pompiers et convives. _____

Suianx. — M. Leclerc (Lonis), âgé de 88 ans, s’est pendn jendi soir.

te am m eM 4 « d lo ia irao ,

Abt. 1".

ditjnss DE M* G a s to n L -O IR ,

licencié en droit, avoué a Senlis, 4 4,m e Saint-Pierre,

snccessenr de M* DELAPoaiz;

BORANA J U x u s ia i . .^ M.rJaii^-HatbieB Tr»‘ Câl(% re c m a r bnntliste et convoyeur A R oruk v iea iye donner «a démissien te lOBS^ihtenant territotU an 48* régimem d’inteBmie d’Amiens. \

ÇHA IttN TA U CHinuAmx Bite^Ecoims. — Cith

fwniéMMtre de h Proelm ation de l’Imm maeaUe C o n c e p t . Triiuum. — Mer­credi 6 et jendi 7 avril 4904, lematia, messe â neuf heures ; le soir, instmction et salut à einq hsiiras et demie. — Ten- diédi 8'Svril, cHKiire du Tridnum, tons la présidence de Mgr Douais, évéqne de Bean- vais ; i sept henres, messe de communion ; é dix henres, mbisa solennelle, instmction par Sa Grandeur ; é trois henres, vtores de la Sainte-Yiet^ et salut solennel.

Avis. — M«“ veuve Fécheux prévient sa clientèle qu’elle continue toujours le commerce de boulangerie que son fils tenait A Chamant.

c m iiT iL L yAn Mnsiii DE Connii.— Le musée Condé

rouvrira ses pohesAu publie les dimanches jeudis et jonrs de fêtes, de 4 h. A 5 h. A partir du 40 avril.'^

Coups. A la suite d’une discussion les nommte Kellett ét Sadléir se sént p « ^ réciproqnmnént dès conps dhnnché der­nier. La gendarmerie a drèssé ’ procès- verbal.

CIREB-LES4PELL0Ddiieud CanTOiUL. Dans sa réunion

de mardi dernier, la Commissien dRétila- BMntalea nommé délégué éu tten ^ ipeBr le canton de Nenilly-en-Thelle, M. -teque- rel, maire de Cires-les-Vello.

lÆ COURRIER DE L’OISE.

G R S I l L i

RomnAnon. — Dans VOffieUl, nens .re­levons la nomination de K. Marcq, comme greffier du tribunal de première instance de Creil.

Les. ydidaAKs. — Section de Creil, — Les membres de la 473* section des Vété­rans des arniées de terre et. de mer sont prévenus que les pwcepti<ms du 8* tri- mesfae 4 904 auront lien les dimanches 3 et 40 avril 4904, de dénx henres A quatre henres, salle des réunions, â la Mairie dé Creil.

Les personnes qui désirent se faire inscrire n’ont qn’A adresser leur demande A l’on des memores du Comité on se pré­senter â la perception nanties de leur carte d’électeur et de leur livret militaire.

Les vétérans ayant dix années d’inscrip­tion ont été renbers cette année. -

Une Société de secours mutuels, i’Epa- Ut4, fonctionne pour les membres de là section qni sont adhérents; eUé assure nne somme de 400 francs â la veuve on aux ayants droit en cas de décès d’un membre adhérent de la section.

Situation.au 45 mare 4904 : Membres inscrits : 304.457.Fonds placés : 46.370.085 R. 95.

Le Comité.NàCROLOGiE. — Nens apprenons la mort

de M. Eugéne-Joseph B i^et, ancien con­seiller municipal, cnlbvaienr.

Ses obséqnes ont été célébrées lundi dernier, en l'église Saint-Médard, an mi- lien d’une nombrense affluence de parents et d’amis. -

AcaDENi. — M. Bonlogne (Léon), ve­nant de Vernenil, croisa snr la route, prés dé Taux, nne automobile eondniie par le constrnstenr Clément. Il voulut passer entre ce véhicule et une voilure de maraicher allant en sens contraire ; mal lui en prit, car il eut la jambe brisée et dut être con­duit â l'hOpital.

M. Clément s’est offert spontanément A dédommager M. Boulogne qui a, bien en­tendu, accepté l’offre.

DàsERTECR. — Un sieur Benoit (Gaston), qni avait deserté, le 4 8 février 4901, son régiment, le 481* dqjigne, pour filer en Belgique, s’est constitué prisonnier di­manche dernier, â la gendarmerie de Creil.

Benoit a été conduit â Saint-Denis, oA sen régiment est en garnison.

Escàfadz. — Deux gamins de 40 â 44 ans, descendant d’tm bain venant de Paris, prenaient des billets ponr Manbeoge, dans riotention de gagner la Belgique en­suite, quand iis fuient interrogés par le ccintiO.eib Delaherche ; ils lui avouèrent qu’ils s’étaient enfuis de chez leurs parents, dont ils donnèrent les noms et adresses.

Les parents furent avertis et leurs enfants leur forent renvoyés.

CoNiRAVENiios. — Une triple contra­vention ponir ivresse publique, insultes et conps, a été dressée contra on peu recom- mandable individu de 85 ans, Vincent (Auguste), â qui le séjour du département de la Seine est interdit ponr deax ans en­core, bonvé conché snr nn bottoir de la me Jnles-Jnillet.

i - ^ o u n u i ^ r ^ ^ â n s l'OiJicMl, nous ifêtens lu tethiiteteB de H. Bralé, cteuno /imapfier du i r i b n u de première iutm icé tefoépjf.<n-Vt^

RiCBOLonE. ^ Mardi dernier ont eu fî"* ^ «bséÿwu deM ^ .Bmte ’l t e i i iR , l’épouse mgnttée de nobe excellent ami M. Emile Mennier, négocii^ en dubte|u,<«gp]dtat de . ht justice depabi.

Une bée homibeiis» assistance de pa­rents et d’amis avait tenu A apporter A M. et AM»* Lotdse llè te ie r, sa fin», le témoignage de regrets nhanimes que M>* Meunier.

Nous renouvelons A tonte sa fomille l’expression doulotbouse de nos condo­léances les plus sincères.

CoNvdaEUCx DU D' PAUiEiEn. — Le docteur Pauthier a fait dimanche, A Crépy, ime conférence sur les pran ien secetnss A'

/-dBBBSII! aaitteeaSte.^^m gtearA te8^§VBII- cardiers uihulahciers des nompagniai ge upeurs-pompiers.

Cette rénmon comptait plus de 860 sa- murs qui avaient r ^ d u A la convocation te Uentenant Lai^iéi^Ticepiteident de

- l’Dmop départementale, qui présidait la oonfénncé.:

lÀ eitts^estet terminée par nn exposé de là ce^uite tee devrpnt teinr,. en cas d’inééttdiéi les bnmèardidra des Aueurs- poiD4iers et.siit:Ies qui serUnt sni- viet, sffit^puiir rinsbillation du poste de secours, soit pour la transmission des com­mandements.

Un brancardier de Senlis, le si^mir Oe- lainê, a fait exécuter devantl’assistànce la manœuvre te'brancard^ puis toutes les Compagnies réunies sé.sent réndues avec leur matériel sur la placé delà République

' et ont procédé A dasexereicis varjéA

R iv ales , -rr- Lundi, veis_ciBq heurès.du soir, 11 y avait grçund raàiemblement dans l’nne ,det niës lé* plus' frteuoiténde la ville; iiétàit prevo^é par Sué dsime 'aes environs croyant avoir A se plaindre d’une autre habitant cette rue et passant peur la maîtresse de son époux.

AcciDEiras DU TRAVAIL: — Le 85 nurs,A cinq heures et demie du soir, M. Peltésse (Fenunand), âgé de 46 ans, tonpilleur A Pusine Maxim» Clair, en traversant l’ate­lier de débit, est toinbé dans nne fosse de transmission et a en le pied gauche blessé par un engrenage. Henreusement ponr lui, M. Peltesse élan chaussé de sabms, ce qui l’a garanti d’no Accident plus grave, ten sabot a été broyé. L’examen médical a iàit constater un arrachement et nu décolle­ment des téguments plantaires du talon ganehe.

Soins du ;D< Portemer. Incapacité' de travail d’environ quinze jours.

— Le 89 mars, A huit heures du matin,A ru in e Maxime Clair, dans l’atelier de débit,' M. Deléchenault (Leiiis), scienr, s’est enfoncé une écharde dans Xemédiiis dé la main gauche, ce qui hii a occasionné un panaris.

Soins du D'Portemer. Repos de quatre A cinq jours.

— Le 30 mars, A trois henres du soir, A Geresmes, dans les chantiers de M. Launé (Emile), enbepreneur, M, Veraet (Léon), maçon A.Crépjr, en faisant des scellements A un pont, a glissé sur une pièce de'bois et s’est fortement contusionné la jambe gauche, ce qui lui a occasionné une pé- riostit4 an tibia.

Soins du D' Cailloux. Ricapacité ap-> proximative de travail de vingt jours.

FLEURIMESLa FAtb de la Brioche . — C’est le

lundi de Pâques qu’on tire la brioche A Fleurines, et cette léte qiû date des temps les plus reculés est toujours en vigueur et promet d’attirer lundi beaucoup de prome­neurs.

G ILLOCOÜRTBa l . — Le jour et le ' lendemain de

Pâques, il y aura bal chez M*>* Carrigand.GÔUVIEUX

Accidents du travail. — Jeudi dernier,M. Bottiogne (Gustave), camionneur-Uvreur chez M. Collinet (Amoroise), marchand de charbons et bières a Chantilly, était occupé à descendre un fût de bière de sa voiture chez M. Leigh (Hiram), entraîneur A Gon- vienx. Le fdc de bière est descendu sur le poulain avec nne telle rapidité que M. Bou­logne n’a pas eu le temps de se retirer et a eu le pied droit fracturé. M. le docteur Delacroix, de Chantilly, qui le soigne, estime l’incapacité de travail A quinze jours.

— Un plombier, M. Piuhot (Lonis), ou­vrier plombier chez M"* veuve Lecomte,A Chantilly, était occupé dans la salle de baias de M. Arnaud, propriétaire.

Par suite d’un faux pas, il est tombé A terre avec une couronne de plomb qu’il portait et s’est tait une entorse au genou gauche. 11 fut bausporté chez son père, a (Riuvieux, où M. le docteur Delacroix, de Chantilly, lui a donné ses soins.

n ne (louiTa reprendra son travail avant ' troMsanuinés. ■ • • ^

— Majrdl, Blet (Gabriel), qui *0 bfbuvfdt «1 état d’tvreüe, a brisé deux carreaueA la maismi d’habitation de M. Kohler, directeur d’usine A Goùvieux.

LEVIGNEN: Le lundi de Pflpes, A 8 h.de'Pap^-m idi, A la maison commune, la 'Société musicale de Lévignen offrira une zéance anx habitants de la localité.

Au programme figurent tm grand nombre de chansonnettes, des monologuas et scènes comiques et des morceaux de musique instrumentale.

L’enbée sera gratuite.

:CoNTaAVXHTiON.—Un procès-verbal rient d’être dressé par la gendarmerie de Betz contre le nommé Caux, dit < P’tiot-Roux a, âgé'de SOans, qui a été surpris visitant des collets, par le garde champêtre Lucet.

. N«f4TEülL-LE-HAUD0UINLes YànERANS des AbhAes de Terre e t

DE Me r 4870-74. — 4073’ Section. — Sui­vant décision prise par le Conseil de Sec­tion, dans sa séance du 43 mars dernier, l’assemblée générale d’avril est reportée an éUmmuke 47 avril, A deux heures du seir.

Des convocations portant l’ordre du jour de la séance seront adressées en temps utile A tons les membres de la Section.

. L’fMton Utteieale a élu les membres de son Conseil d’administration. Ont été nom­més : président, M. Legrand; vice-prési­dent, M. Delaltre; membres : MM. Bon- jean, Garnotel, Flacon et Delépine.

La Section de la € Dotation de la Jeu­nesse de France >, vient de procéder comme suit A la reconstitution de son bu­reau : président, M. Servange; bésorier, M. Carrére; secrétaire, M. Debetz.

RàcoHrERSE. — M. Normand, de Nan- teuil, qui représente depuis trente-deux ans, pour les vins et spiritueux, la maison Martin René, de Jeinville-le-Pont, a ob­tenu une médaille d’honneur et un di- pléme, pour ses bons services. Nous félici­tons vivement M. Normand.

Un accAs de Folie. —Les employés de la gare de Nanteuil-le-Baudouin remar- qaérânt, A la descente du train de 5 h. 80 du soir, un individu gesticulant, frappant sur les vagons cemme un forcené et mena­çant tons ceux qui tentaient de l’appro­cher.

A un moment donné, ils le virent pren­dre son portemonnaie, et lanCer le contenu de divers cOtés, déchirer et mâcher des billets de banque. Voyant qu’il était en présence d’un malheureux en proie A une crise de folie, ils s’en emparèrent avec quelque difficulté et le mirent en sûreté.

Le lendemain matin, devenu plus calme, cet individu put se' fabe connaître. C’est un nommé Jacques Rouanet, matchand de futailles, âgé de 48 ans, demeurant a Paris,5, passage Léon.

U a été reconduit dans sa famille par les soins de M. le docteur Grenier, maire de Nanteuil.

NEUILLY-EN-THELLENo h in a iio n . — M. Meyronse, brigadier

de gendarmerie A Neuilly-en-Thelle, vient d’étre promu au grade de maréchal des logis et affecté A Breteûil. Malgré tons nos regrets de te voir nous quitter, nous sommes heureux de lui adresser, arec t’as- surauce de notre sympathique souvenir, nos félicitations et nos vœux tes plus sin­cères.

Nos Gymnastes. — Demain dimanche, la Seciété de gymnastique de Neniily-en- Thïtle, recevra ta Société de Sainte- Genoviéve, et exécutera avec eiie divers exercices et moaveiUents d’ensemble snr ta piace du Marché.

Concert. — Le même jour la Société musicale Les Amateurs réunit donnera un concert sur la place du Marché, de 3 hen­res 4/8 A 4 heures 4/8 de l’après-midi. Le programme suivant sera exécuté :

S o lfir ino , sllévro mililair* Allier.La Croix R ovg t, e n v iim r* .. . . . T üb ik ï.Le R etour u lu Vtr, gr*sd*.vaiSi. Chabas.Lupdunum, la iiai.it.'............... A l l ie r .Crontladl-Toulon, pas rtdoublé. X...

ORRY-LA-VILLEMutation . — Mlle Calippe, institutrice

A Epsrray, est nommée en la même qua­lité A Muntgrésin en rempiacamert de Mlle Besnard.

PONT-SAINTE-MAXENCEE lections Mucipalbs du 4» Ma i (904.—

M. Davert, conseiller mnnicipal, A l'appro­che de la période électorale, tout en re­merciant ieséiectenrsde la confiance qu’ils est bien vonin ini accorder jusqu’à ce jour, en l’honorant de leurs suffrages, regrette que son état de santé ne lui permette plus d’accepter un nonteau mandat, et décttee toute candidature aux prochaines élec­tions.

Pont-Sainte-Maxence, le 29 mars 1904. MonsMur le Rédacteur mi chef;

On.me conmc^qné A l’instant même un entrefilet anmp»i«, pain dans vobe numéro de dernier, auEojetde la réunion de la (bnimiMon d’enqutte de l’àvant-projet du Chemin de far d’Anlnay-les-Bmidy A fiive- couit; mon devoir est d y répondre; ce qui d’aiilenrs ma sera facile d’autant pus que i’entrefllet est inexact.

Tons les membres de la Commission d’en- quétè peuvent le dire.

Premièrement. — J’ai voté la proposition de M. Gandillon qni demandait un tracé pins économique, et ce, au point de vue do trafic des marchandises, aussi bien que des billets des voyageurs.

Pourqnoi, en eS>t, faire un tortillard in­compréhensible dé 53 kiiomèbes, si on pon- -vait fàbe un tmcé de 45 A 46 kilomètres.

Et encore, teut en me ralliant A cette sage proposition, et par crainte que quelques com­munes ne fassent délaissées, j'ai, par a u en - DEMENT, fait voter l’addition snivante ; a Tout en d e teen a n t le plus de communes possible. >

Voilà nn premier point tranché. Deuxièmement. -:- Quant A la déviation de

la ligne proposée en second lien et votée par ;10 voix sur 12 votants, déviation qui bisait passer la ligne par Nery, Béthisy, Saintines, Saint-Sauveur, avec raccordement par Ver- berie, je l’ai combabue, comme conseiller généml du canton, et M. le Maire de Ville­neuve et moi, nous nous sommes abstenus ; mais en faisant toutes nos réserves.

Et, en effet, comment pouvait-il en être autrement?

HM. les Ingénieurs de la Compagnie du Nord, interrogés sur ma demande, oat affirmé qu’ils ne pouvaient établir ni gare, ni halte, ni arrêt depuis Brasseuse jusqu’a Rivecodrt, A cause des remblais considérables qu’ils étaient obligés deconsbuire ; U n’y avait même pas de gare A Verberie.

Voyez-vous une ligne de chemin de fer coupant les propriétés et les chemins sur les territoires de Roberval, Rhuis et Verberie, sans donner A ces communes la moindre com­pensation, soit par nne gare, on même im simple arrêt ?

G est inadmissible.Et de l’aube côté, on laisse enbevoir, par

la déviation sur Néry, qu’il y aurait raceorde- meht avec Verberie et comme voyageurs et comme trafic de marchandises.

Eh bien I si on n’est pas de parti pris, on comprendra l’abstention de M. le Maire de Villeneuve et la mienne.

Il est préférable que Verberie, pouvant desservir Saint-Vaast de-Longmont et Rhuis, ait nne gare plutét que de ne rien avoir du tout, pas plus que Roberval et Rhuis — si l’on admet — (ce qui n’est pas fait), que la Compagnie d u N ord consente à cette déviation.

En tout cas, il y aurait probablement une nouvelle enquête.

Je conclus donc en affirmant que j’ai rempli mon devoir, comme représentant les intérêts de mon canton ; tous mes collègues. de la Commission d’enquête sont là ponr en justi­fier; et si j’ai le droit de manifester quelqne surprise A la lecture de l’entrefilet anonyme émanant de Brasseuse, c’est que pr cisémcnt cette commune est desservie par la ligne en projet.

J ai la conviction. Monsieur le Rédacteur, que votre loyauté vous fera un devob d’in­sérer cette rectification.

Agréez l’assurance de ma parfaite considér ration.

A. Beb d in ,Conseiller général.

P.-S.—lantile de dire que tons iesmembres de la Commission d'enquête ont voté dès le début do la séance l’utilité publique de la ligne en projet.

ROUVILLEF éte d e Sa in te-Fontaine. — Cure gra­

tuite. — Parmi les lectrices et les lecteurs de notre journal, il y a certainement — malhenrenst ment. devons-nous dire — des anémiques, des santés délabrées, des poi­trines délicates, des voies respiratoires atteintes de toux, laryngites, etc. Dans le nombre de ces malades, quelques-uns ayant l’argent et le temps ont pu essayer les pastilles Valda ou la tisane des Shakers. Mais nonr avens mieux A indiquer er, si on vent suivre notre cecsail, on obtiendra des résultats satisfaisants, sans bourse dé­lier, teut en passant une jeurnée agréable. Les personnes bien portantes feront bien aussi d’en profiter : cela ne fera que for­tifier divantage lenr santé.

Donc, le jour de Pâquéi, allez A la fête dite de Sainte-Fontaiue, dans les bois de Rouville et de Lévignen. LA, vous emiiirez vos poumons de bon air pur et vivifiant ; vous vous enivrerez de la bonne odeur des bois, de la lé ie priLtaDiére, prémices de la frondaison ; vous ferez sieste sous le chêne vénéré de nos tfenx les Gan'ois on sons les sapins balsamiques. Tout cela sur- pasre les meilleurs produits pharmaceu­tiques. Pourtant, si vous tenez es.entielid- ment A boire une tisane qneitonque, vous trouverez non seulement snr l’emplacement de la fét-:. mais encore A Rouville, chez les frères Garnotel, aubergistes, le bon vin national, joyeux et réconfortant. Et puis, st ie grand air vous a donné de l’appétit, vous aurez par surcroit : pain, charcuterie, gâteanx et iliDS.

Eùfiii, pour terminer, la jeunesbe pourra quadriller, valser, polksr, mazarker an bal qni aura lieu ie soir dans la salie de Garnotel (Florentin).

Qu’on se le dise.

SAVON DU CONfiO du teint.

Le célèbre Régénérateur de la Cheveltire. Voir l’annonce Royal Windsor, 4* page.

Fumure phosphatée des Betteraves à

En présence de la sitnat'on tonte nT ciale où se trouve actuellement l’ind»2i betterarière, U est de la plus grande^ portance pour elle de diminuer ses ds penses et d’avoir par suite recours la fumure phosphatfe, A la fom ed’S phosphorique qui se montre la plus tagense, étant donné sa grande efflcsSl et fon prix économique : les Scori» T h o m a s , m a r q u e « E T O IL E

De nombreuses recherches ont été tBa, tuées en ce sens dans ces dernières arniZ" d’abord chez MM. Stanislas Têtard et m ' à Gonesse (Seine-et-Oise), puis A d’Agricnliure de Bwthonval, et erfln thl! des cultivateurs dans la Somme, le Pa< a? Calais et — à la dernière campams dansleNo-d.

Des nombreux chiffres de rendements « d’analyses fcurnis par ces essais, il résnle

4° A quantité égale. Ut Scorie* T h o m a s o E T O IL E » donnent ia rendements tupérieurt ou au moins éaavr à ceux du superphoiphate, et cela mb, une dépense moindre.

2» A d'pense égaU, les Scorie* T h o m a s « E T O I L E u te montreat nettement supérieure au tuperphosphàt,

3° Comparéet au superphosphate aii point de vue analyuque. Ut ricorie* T h o m a s « E T O IL E » donnent i l coeffieUnt de pureté et un coefficient salin plus élevés. ,

Les S c o r i e s T h o m a s «ETOILE» se recommandent donc de façon toute spé claie A l’attention de la culture bêtlers viére et méritent d’êirè utilisées par ella sur une vaste échelle, cela an plus m»d intérêt de l’Agriculture

LES VARICESL’E l i s i r d e V ir g in ie guérit les

Varices, quand elles sont récentes; il le, améliore et les rend inoffensives quand- eues sont invétérées, n supprime la &i- blesse des jambes, la pesanteur, l’engour­dissement, les douleurs, les enfinres. n prévient les ulcères variqueux ouïes guérit et empêche leurs récidives fréquentes Traitement facile et peu coûteux. Le flacon' I* f r . 5 0 , franco, Paris, 8, rue de là Tachene. Envoi gratuit de la brochu» explicative.

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Guérison des hernies et difformités du corps A tout âge, plus de 80 ans d’eipé- nence. breveté s, g. d. g. Bandagiste- Orthopédiste, ancien curateur herniaire, venant de Paris, attaché A la chirurgie Aprèî 3 mois d’application du bandage VUMCHET, le malade,, que les hernies ont allié depuis plusieurs années, obtient la cure certaine et redevient aussi robuste qu’avant.

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Merci et reconnaissance.Montataire (eise).

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dances, s’adresser directement 34 bit, rK de Dunkerque, PARIS.

léMoiiiteur éM Rentiers

BBsSSSiSSS^3 m g f eaimo « S S B S B s a M

1* eérant : Bd Gnteoni.Imyrimsrie AdministraiiTe et Cexmtreiili

teSonlis.

ET DE'

M " BALÊZEAUX. no­taire à Chantilly ;

DELAUNAY, notaire à Senlis.

V E I V T Esnr licitation

En l’Etude et par le ministère de M ‘ B a l é z e a u x ,

notaire A Chantilly,E N C E N T T R O I S T O T S

«DM* faeuUi de réunion totale où partielle,DE ; ! • UNE

FEBM ESise à .G O irV IE E X ,

DITE

^ e r m c i S a i n t e - i B .n n e ^

UN CLOSEntouré ü^murs,

A Lôté de la Ferme Sainte-Anne ;

3* UN

s u à T R O S S V , commune de Saint-Maximin ;

D E D l MAISONSSisesàSAlNT-MaXIlliiN;

9 8 PIECESDE

TERRESises communes de

G euvieux e t S a in t M aximin;le tout plut amp,ement désigné

ci-apris.

L’adjudication aura lieu le D im a D c b e 3 44 A v r i l

1 9 0 4 4 ,ù deux heures de relevée.

E n l’E tude de M' Balézeaux, notaire.

En exécution d’un jugement contradictoirement rendu par le Tribunal civil de Senlis, le seize |r in mil neuf cent trois, enregis-

Et A la requête de Monsieur Nicolas Boussard, champignon­niste, demeurant A la Ferme de Sainte-Anne, commune de Gou- 'vieux,

Demandeur,Ayant M* G. Loir pour avoué;En présence ou eux dûment

appelés de :1* Madame Anne Clotilde Bous­

sard, sans profession, demeurant à Saint-Maximin, veuve de Mon­sieur Alphonse - Eugène-Armand Rénaux ;

2* Madame Anne-Michelle Boussard, épouse assistée et au­torisée de Monsieur Alexandre- Joseph Quinnepeut, champignon­niste, avec lequel elle demeure A Chavilie, et ce dernier tant en son nom personnel en tant que de besoin que pour assister et autoriser son épouse;

3* Madame Marie - Adélaïde Boussard, épouse de Monsieur Albert-Médéric Lavallée, entre­preneur de charpentes, avec le­quel elle demeure à Chantilly, et ce dernier tant en son nom personnel en tant que de besoin que pour assister et autoriser son épouse ;

4’ Madame Eugénie-'Yiclorine Boussard, épouse de Monsieur Alexandre-Arsène Rénaux, a-vec lequel elle demeure â la Ferme de Sainte Anne, et Monsieur Ré­naux, tant en son nom personnel en tant que de besoin que pour assister et autoriser ia dame son époiue,

Péfèndéiwi,

Ayant M* Sainte-Beuve pour avoué.

Il sera, le D im a n c h e v in g t- q u a tr e A-vril m il n en f c e n t q u a tr e , à d e u x h c n re a d e re le v é e , procédé, en l’étude et par le ministère de M'Balézeaux, notaire à Chantilly, commis A cet eflet, A la vente sur licitation, au plus offrant et dernier enchéris­seur, en cent un lots, des im­meubles ci-après désignés, sur les mises A prix suivantes :

D É S IG N A T IO NHT

M Iis E S A P R I X

Premier Lot.U n e F e rm e avec ses ai­

sances, circonstances et dépen­dances, situées terroir de Gou- vieux, appelée la Ferme Saint- Aune, composés de :

Bâtiment d’habitation élevé sur cave d’un rez-de chaussée et de deuxéteges avec grenier au-des­sus couvert en pannes ;

Grande cour ;Âù fond dé cette cour :A gauche, bâtiment élevé sur

cave A usage de buanderie et d’hébiiaiion ;

Bâtiment A usage de remise, en retour, 1 âtiment A usage dégràn- jie fi la suite, toit fi porcs fi eùtfi j

Bâtiment A usage d’écurie et d’étable A droite en entrant ; bâti­ment situé dans une deuxième cour conUguê su bâtiment qui précède A usage de bergerie ; bA- timent A la suite formant l’habita­tion du berger ;

Bâtiment A usage de poulailler et toit A porcs ;

Autre bâtiment A usage de grange faisant face A la bergerie, bâtiment A la suite â usage de magasin ;

Tous ces bâtiments sont cou­verts .en pannes, sauf le poulail­ler qui est couvert en zinc;

Puits avec pompe. Jardin ;L’ensemble d’une contenance

de cinquante et un ares -vingt- trois centiares environ, section A, numéros 666, 667, 668, 669, 696 du cadastre, tient d’un côté Monsieur Boussard, d’autre côté Monsieur Boussard, d’un bout par devant , le chemin des Bar­rières, et d’autre bout par der­rière Monsieur Boussard.

Mise à prix : 15.000 fr.

' Deuxième Lot.Un hectare dix-neuf ares neuf

centiares environ de terre, ter­roir de Gouvieux, lieu dit le Che­min de Saint-Leu, proche la Ga­vée atix Anes, dont 'vingt cinq ares environ, forme un clos en partie entouré de murs et le sur­plus en culture, tenant ensemble du levant au chemin de Saint- Leu, du couehàni Monsieui^Rim- bert Péyén, du nord en pOmté au chemin de Saint-Leu, et du nid fi fifioDsieur CUmviUiér,

Section A, numéros 379, 380, 382, 384 du cadastre.

D ans U clos se trouvent une pe­tite cabane et un hangar.

Mise à prix: 1.000 fr.Troisième Lot.

U n Co! p s d e F e rm e , situé A Trossy, «ÿmmune de Saint- Maximin, en la rué des Orfèvres, avec porte cochère donnant sur la rue et comprenant savoir :

A gauche en entrant, un corps de bâtiment dont :

Maison d’habitation composée de grande cuisine, chambre A coucner A la suite avec alcove, cabinet sur le côté, petite cuisine avec pompe, grenier au-dessus.

Ecurie et grange A la suite avec grenier A fourrages au-dessus.

Ecurie avec grenier au-dessus, petite grange, autre grande écu­rie pour huit chevaux

Grenier au- dessus du tout cou­vert en tuiles, cabinets d’aisances dans le fond.

Jardin derrière et sur le côlé entouré de murs de tous côtés.

retour d’équèrre, grande étable de conslruction récente, grenier A fourrage au-dessus coOTert en ardoise», grande auge en fonte. .

PoulaiBers, toit A porcs.Autre bâtiment couvert en tui­

les, sous lequel: un manège A tetteraves A la suite,'rem ise:ii&n^r p cftvd sou9-C6 lisnflflr"r a t ^ t i S î ® ^ ’

Petite écurie, taanderie, cobA- Bte fi l « p ^ s{ch*» fi i

Cour entre ces divers bâti­ments.

L’ensemble tenant par devant A la rue, par derrière A la ruelle des Champignolles, d’un côlé l’ar­ticle quatre ci- après, et d’autre côté Monsieur Rénaux Frédéric et Monsieur Rénaux Edmond.

M iseàp m : 3.000 fb.Qaatriéma Lot.

U n e M at so n , sise A Saint- Maximin, en la rue des Orfèvres, construite en pierres et moellons, couverte en tuiles, comprenant quatre logements composés de chacun trois chambres, greniers au-dessus, cave.

Grand jardin derrière. L’ensemble, d’une contenance

de dix ares environ y compris l’emplacement des bâ’dments, tient par devant A la rue des Or­fèvres, par derrière A Monsieur Druelle,d’un côtéMonsieur Bous­sard, A cause de la ferme article trois ci-dessus, et d'autre côté A Monsieur Bléry et A Madame Sammier.

Mise à prix : 3,800 fr.Cinquième Lot

U n e Sfadson, sise A Saint- Maximin, en la rue des Orfèvres, couverte-en- tuiles, comprenant une pièce au rez-de-chaussée et trois pièces au premier étsgè.

Grenier au-dessus.Jardin derrière,La tçuL d’une contanmoai j

compris l’emplacement des bâfl- ments, d’en'viron trois ares, tieot par devant à la rue des Orlèvres. par derrière A l’asile communal de Saint- Mèximin, d’un câli Monsieur Frédéric Rénaux, et d’autre côté A Madame veuve Du four.

Mise à prix: 1.500 fr.

Terroir de Gouvieux.

Sixième Lot.Treize aaes soixante-huit ce^

tiares de terre, Ueu dit A l’Alié* de Senlis ou la Salle Thomas, te­nant d’un côté A Monsieur Quina- peut, d’autre côté A M onsieur Chrétien, dit Bonnet, d’un bo» aux héritiers de Monsieur An­toine Foyen, et d’autre bout * l’allée de Senlis.

Section B, numéro 958 du ca­dastre.

Mise à prix ; 140 fr.

Septième Lot.Un are douze centiares de ter­

re, lieu dit au Chemin Neuf, ^ nant d'un côlé M. Boussard, d’aulie côté Monsieur SylvesW Lefèvrs, d’un bout au chemin, » d’autre bout Monsieur Henri L» marre.

Cette piêee contient, d’aprét It 'mesurage, un are vingt-neafeef tiares.

Section C, numéro 646 du dS* dterôs,

V is ê f i i r ix : J l f o

Hnitién ares c

«, Ueu dit L „,ièo, tenant i

. :]S e veuve Noël 1 Sgr* Monsieur ’ * £ i o , d’autre b ^^m iaaâée A Sau.

chemin dé W w i.d e C re ü .^

section B , nnma dlslM-

HiM A prix : Nenvièn

Dix-sept ares .A» terre. Proche _ i,-.n t d’un côlé a l /^fixières A Sainte

, M onsieur Bd ZCTt A M onsieur

I ^ t r e .b o u t A Mdsàrd-’

Cette pièce contte I hornagc, d ix 'n eu f e

M ie centiares.Cadastrés section

ggi et'859'du cadastMtMAprix:

Dixième J, Huit Ares cinqu yyes de terre. Ad Carrières, proche Id aant d'un côlé Mad^ l’autre côté Mon Chfétieii, d’m bon

J douze ci-après, et I Monsieur Mommelfi I Section A, numér |d u l ^

U se A prix : Onzième

Onze ares vingt-R de terre, Ueu (üt Ad Bwrières, proche lef g.fit d’un côté Mon Mahien, d’autre côté pMcn Louis-Antoir Monsieur Mismacqj liant Monsieur Mon

I Henri.I Seeffon A, numérIdaitr*.

I j ^ Aprix : Douzième J

- Vingt-neuf ares .I douze centiares de i |m Figuier, tenant d’i I sieur Mtenaacq, d’a i ^ I sieur Mommelé Louis Ibout mineures 'Wate' 1 bout plusieurs.I Section A, numér— leadastre; numéro 49l

Use A prix : Treizième J

Huit ares cinquand dires de terre, lieu d

1^ tfiiaumont, tenu Messieurs Braque d'autre côlé A Monsie

atiix, d’un bout i dis, et d’autre boq

Nivarre-Cocatrix. Section A, numérosl

’i cadastre.Mise A prix :

Quatorzième :I Huit ares cinquante Tires de terre, lieu 1 nier, tenant d’un boq g Senlis, d’autre boii ninze ci-dessous, da Honneur Boudin-Jo

1 Monsieur Meesc _ Section À, numéro

Misa A prix : Quinzième ]

[ Vmgt-cinq ares SQ ■eatisres de terre, lieu ■ontisr, au dessus dm ■ mt d’un côlé Me»_

' et Meunier, d8 Monsieur Dutilloz, i Monsienr Achille Foyâ N bout Monsieur Bon [ Section A, numéro ■utre.

Nise A prix- :. Seizième L< ITMiite-qnatre ares ■"’és de terre, lieu d

Aues, tenant d’ui d’autre côté à

-ubont A Monsieu ' ffautiie bout au u a t-^ â L a C h a u

^ é c ^ n B, numén

MiseAprix:

Dix-septième |l^ -sep t ares neuf “ M, heu dit le Cher

mt d’M côté Mo , dMtre côlé Ma

7*n Ludon, d’un ■“ .varillon, et d’à mm de Samt-Ma: ®on B, numéro

His* A prix Dix-hniti

soix terre, li

L S S o« ietenant

» Victor Tess Guyot

t tzeAprix: Dix-neuvi

^ ^ ® ^ a r e s terre, U

«iseApri

t r .» .

K S ? de 1

Page 3: litre des Ratai.bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_03_MRC.pdf · bureaux de la rue Royalè, dans ùos ar senaux et les chantiers de construc tions, où les ordres, les contre-ordreg

' l'TÀ'-V

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BnitiM sZot.t îg r f ^ «iWB &aze : c M ttm t I ■- Uam Mt An. r\r»TnT <4 A 1a | âft mL ^ , Ben dit Aa-DMsas ds la

WK tMiant tfSm câtA à Ma. IIS ^ s T tm a itf trrm eâté à Ma-1 BMaeiV t a i f t t f a a c6té lSStM »eIioëlN .e!dt»,d’a n tra |!* w . 3oaaai*dv: tfairtw

^àMMW'0 iaB ,tvi

i î î L ^ ' t t i t " d T L n r a S ï ï S | B i ^llfKnAA^ Sfletkm

lmiaTAuTo c«uei 1^.9'jmaumauKv k «._ , _ _ --S iM cA iiew Km ç o » B tfy i» et^ SLme Vautre Ixmi au «âieoiiii I , -bout Momlenr îïSSsaée i Saint.Laii, d’a v tn F«7aB> «t o’antM iwnt Monaieiir

SeetioB A, 'aomdio 679 partie dn eadaaire. '

tenant dùa liei^ Sossàiid.* d!ait<r»

. L de ' Le^fasaMM,' bout rUoiis'enr. Vârillôni

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Se^on B, numéro 408 dui ^ . I M iiekpnx : 130 fr.

KM à prix : 960 fir. Vîngt-troisième LotN euTièm el^t

jix-.ept a r n n ^ jsenfaarea 9*‘ d’au' re bout le ehemfn de Sainteaw te, Proche les Barnèresj »”• de U C h a u s ^ . tenant un ÎS td ’an côté au chemin d esM lé Monsieur » —«-* iK ^ies à Saint-^Lêu, d’autre I <fe®tre % Monsieur Beuaeard, d'uo

X U i u i v i a i — " -------------

Vingt et un ares trente.qnatre' centiares de terre, lieu dit lé Chemin de SaintXen, tenant d’un cété MonMeur Ouaehée, d’autre cété Monsieur Louis.rAlesandrB'

CinquantièneLét traeé«tiareede'te«N^ Bén dil' ln

Eugène Bfiolot, {ISwèies à Saint^Lêu, d’autreK*»»™ _,cé é MonMenr J æum

Foyen, d’un bout Madame Féret, d’autre bout au chemin de Creil.. Seclion B, numéro 407 du ca-1 dastre.

Mite à prix^ 80 b. Vingt-quatrième lo t

Huit ares cinqosnte-cinq cen-

2 t Monsieur Bouasard, et ^tre bout à Monsieur Bons-0 dt 'Cdte piiee contient, d’après le

iMiae, düi’neuf ares seucanie- '^eèntiares. ' 'I Msstrés section A, muqéros

Ht et'8^ du cadastre. ' BiMàprix: 170 fr.

Dixième Lot

lie r» de te r« ‘lieu dit le. Clos g ^ - t ’M ^ o î r d ’ï ï bo^desu, e t d’a u t;e bout le che.tenant d’un cété Monsieur Bons

sard, d’autre cété Monsieur Bous- sard, d’un bout Monsieur Bous-ares «nquante^sinq cen- "*Î5> sw>"«eur cous- ,

ï ï r t o r “ T O - D ^ , â des î«>“‘ M onsieur l a cadMtre.

Section B, numéro 358 du ca­dastre.

Mise h prix: 318 b .Trente-huitième Lot.

Trente-qualre ares seize cen­tiares de lerrs, lieu dit SoUa la Châusrée ou le Pavé de la CJtons- sée, tenant d’an cété aux héritiers Lepiuè, d’autre cété Monsieur ....................................... t le ri-

chem lnde Là Chau.-sée.

'Section C, numéros 1168 et 1169Hns ds terre ,Miérss. proche le Figuier, te 2 jun cété Madame Minguet, hitte cété Monsieur Louis r^ e n , d’un bout à l’article uis â-aprèa, et d’antre bout

Mommelé Auguste. Sedion A, numéro 331 du ca-

IM».Use à prix: 86 fr.

Onzième Lot^

I Bouasard.Section A, numéros 851 et 8521

du cadastre.Mise à prix : 88 fr.

Vingt-cinquième ioL Huit ares cinquante quatre cen­

tiares de terre, lieu dit le Clos Gontiarou le Ctos des Carrières, tenant d’un cété Monsieur Bous- sard, d’antre cété Monsieur Bous-

Mise h prix : 340 fr.Trèntë-neurième Lot.

lit ares cinquante-quatre cen- tière de terres heu dit le Chemin de Saint-Leu, tenant d’un cété

I mineure Watel, . d’autre. célé Monsieur Feuillette Jules, d’un bout nord Madame veuve Noël

I Nicolas et d’autre bout le chemin ds Salnt-Leu.

, ires de ttnn ,id ieu Ait le EMbÉon Amné, tenant ^ , c é t é ffênaiear Basson et. M n tw nr Fçpsn,-d’autre êété ’ iftitsieur FacÆnand ThmnMam, ü ’unbent lê «hemitt de Saint-MsximiB, et d’autre bout Madame veuve (Sia- pard. ;

Section B, numéro 145 du ca­dastre.

Misekprix.*: . 618fr. Cinqoante-nnième Lot.

Quarante-deux ares soixante-j et-onze-centisreis de terie^^Ueu dit le Bosquet ou l’Allée de Sen- I s, tenant d’un cété Monsieur j Delleau-Barbot, d’aufrecété Mon­sieur Teiier, d un bout l’allée de I Senlis, et d'autre bOüt bs ehemin j du Plan. . . .

Section À, numéro 816 du ca dastre.

Mise k prix ; 430 fr.Ciàqaàate-deoxième Lot.

Un hectare ironie six.ares soi­xante six centiares de terre, lieu dit le Bosque^ tenant d’un cété Monsieur Texierjpar laànumérqs. 831 et 844, d’âutrà cété Monsieorl Texier et Monsieur Delleau Geor-1 gesj d’iuLboutMonaieUr^ Nicolas 1 Gesseau

!.S|ef^te^dte-tfaÉTitaia LoLOnze ares soixante-neuf ceh

e, 1 eu dit le Chemin ' tenant d’un éété

_ “ y ^ i l S ’ P ^ ^ rM O n sieu r Eloi Foyen, d’mttre ectfon B, numéro 870 dsuca-lostë^ Monsirur Boussard, d’ùn

dastre. . . . l-bout le ch min de Saint^Len, etMiwk«piix:« 960fr.T . 4datqrètbhutle<<diemin de Saintr.

, Sqction B, numéro 112duca-r Vingt M un, àros i e ^ éénliares I dastre.-

de tp m ,lian ‘dit4aCétsdnPiant,l ifiaekorix t 430 frtenimt des deux oCdlb MçmsieDri « *»»»•Texi-c, d’un bout Monsieur.Ps<-| Qaehe-vingtième Lot.dS‘p ^ ' ’ D&^OÎt aros dix-s^t^cenlia^

R n.i-Y-i'ir. Vsn A jsw»dolorTOi Uéd oit Au-dessto “ ®*"Jde la Chausséei.tenai'itdtuu cété'

I lUfArretAiat* 'Paviass rl'avvfa-A />AlAtiÛrokprix: SlÔfr.Soixante-sixième Lot.

Douze arra'enyiron de bois.

Monsieur Texier, d'autre cété Monsieur Têxier, d’autre bout la Remise. Pointue, et d’autre bout i’AUée.de Creil.

Section B, 'numéro 487 du ca-d’a^rès les titres, et èinq arësidasfre. yingt^six ceniiaros^ d’ rè s -te j ly s s lp r ix :bornage', au lien dit Tooâicq, t».

la r« iére Nqnstte, d’aiitre cétà Madame Sahier-Qui népeut, d’un bout Madame Min- guet, d autre boutfSiltotio.

SectioaG,nttmpxq 7Ql.paiii»du cadastre*'-' ■' ■ ” * - - .

M j ^ | n x : : 430fr.Sôixahfo4ej^iémé-L(it.'

Huit aroAcinquaiita-

180 fr,Qqàtro-TiBgt-nhièmé Let.

CÉze ares soixante-cenUaros dit â l’Orme de r o c é t é ^ i^ e v r ÿautrevétéMon

sieur MommeTé Aigosh-,: ifuo bout Monsieur .Louis’. L ng4,,et d’aidre bout Monsieor.Oauchée.

SêctioaB, numéro 36J du ca' dasfre. .

M isëkprix: llS ir iQutn-fingtrqaatmzÙliBe LotHuit arManngtôt un centiareu

de bois, é iS/Cé.s de la Lorturo, les Carrières, où la Ca>ée aux Anes, tènant d’un cété au chemin de la Cavée aux Anes, d'âutre célé à Monsieur B;usiar<!, d’un bout Monsieur Boussard, et d’au­tre bout à la Céts.

section A, numéros' 670 et 671 ducBdaet.e.

Misekifirâ: 80 fr.Qâstrfr*vingt-qaiiizièaie Lot.

TrontS'-Cinq ; a ^ cinquante

launae, et d’antre bout Mon-î de terre, üeaditlaCtiainpiFiani-1 Séction B-, inUméro 345.du ca- I lieux, tenant d’un cété héritfero j dastre. -.

Section B, numéros ‘dii cadastre.

Trente,etun.arostrente quàtrë cenharos de terro , lieii'd it an I huit centiares deterro et iricfaes. Chemin de Saint-Maximih, te-|lr«u.dit la Cavée aux Anes, te­nant d'ùn' cété Monsieur LôUiS-1 nent ducouchant i^ontieiàr.Bous, Augtathièiemmélét.d’atttroi,'célié:isari et par'hàche Mbiteieurl MudsieurBoussard e t MonsieurI-B.'ussarj, du levant Monsieur! ’Varillon, dun bout.. l’Allée de Boussard, du midi à Monsieur I Greil, et d’autre bout .le chemin Boiteamrdi et-dii nord Monsteifr l de Saiut-Maximin. | Boussard.

>' Axr 9,.

OMS ares vingt-huit centiares diSSSîSsction A, numéro .650 du ca-

aieifs, heu dit Au-dessus des uifres, proche la Figuier, te-0 d’on cété Monsiear Hurot- miag, d’autre célé A Monsieur Ma Louis-Antoine, .(Tun bout Iptàtnr Mismacq, et d’autre lui Monsieur Mommelé Louis Isii.SeeSon A, numéro 309 du ca-

lïin.Um k prix : 110 fr.

Douzième LoL J Tngt-nenf ares quatre-vingt- Itca centiares de terro, lieu dit liFiraier, tenant d’un cété Mon- làu Mismacq, d’autre. cé.é Mon-

rMommelé Louis-Henri, d’un t minenres Watel, et d’autre il plusieurs.

J Stetion A, numéros 295, 296 du iMMbe; numéro 49 du bornage.

Mise k prix : 300 fr.Treizième Lot.

Hdt ares cinquante-cinq cen- in de terre, lieu dit a la Céte achaumant, tenant d’un cété bsleors Braque et Meunier, laire cé'.é à Monsieur Navarre-

d’un bout à la sente de lalis, et d’autre bout Monsieur

i-Cocatrix.1 SecdoB A, numéros 1207 et 1208 àiaiastre.

Mise à prix : 85 fr.Quatorzième Lot.

J Iiit ares cinquante-cinq cen- llres de terre, lieu dit au Fi- ■per, tenant d’un bout à la sente | t Senlis, d’autre bout à l’article

Dze ci-dessons, d’un côté è nenr Boudin-Joly,. d’autre

l ü Monsieur Meescait.1 Section A, numéro 304 du ca- Ihlre.

Mise à prix: 88 fr.Quinzième Lot.

I Boussard.Section A, numéros 853 et 8541

durodastro.Mise k prix : 88 fr.

Quarantième LoL Neuf ares cinquante^^ix cenMise à prix : 85 fr.

Vingt-sixième lot.Quatre ares que^nte centiares 15* — i m» •

de pré, au Canton des Jniù,n a â d’un cété à Monsiear F^vm. S«H ^ «ôté Madame

tiares de terro, autrefois plantés aro, heu dit la Tanière

bout .Monsieur Gesseaume Au­guste. .

Ssction C, numéro 910 du ca­dastre.

iNeuf.Section C, numéro 754 du en-

dasfre.Misé k prix : 100 fr.

ïlise k prix : 48 fr. I Quarante et unième Lot.Vingt-septième Lot. I Dix-sept ares dix centiares de

Quarante-quatre ares soixante- treize centiares de terre, heu 14,““, «ôté Monsieur HoctoUier, dit l’Orme de Creü, tenant d’un Monmeur H ur^M a-cété Monsieur Louis-Augustel^*“>4®® ”* ^ "* F **'**■ Mommelé, d’autre cété au même, | , Section E, numéro 3574 du ca-d’un bout à l’allée de Creil, et d’autre bout au chemin de Saint- Maximin.

Section B, numéro 293 du ca­dastre.

Mise k prix : 480 fr.Vingt-huitième LoL

[dastre.Mise k prix : 170 fr.Qnairante-deaxième Lot.

Douze ares quatre vingt-deux centiares de terre, lieu diile Che­min des Plans, la Remise Poin­tus, tenant d'un cété au chemin

Dix-sept ares neuf centiares 14? P 'f“ . h’ l r ç cété et d’un u i de terre, plantés en pommiers, I J4o“*}eur Texier, d autre bout heu dit le Mont de Chaumont. te-1 Monsieur Havy. nant d’un côté Monsieur H urst-| Section B, numéro 858 du ca- Mahieu, d’autre côté aux abontis-1 dastre, sauts, d’un bout la Frotte, d’autre bout Monsieur Bretteville et Monsieur Renaux-iPerrot.

Section A, numéro 408 du ca­dastre.

Mise k prix : 170 fr.Vingt-neuvième LoL

Dix-sept ares de terre, heu dit le Chemin de Saint-Leu, tenant d’un côté Monsieur Emile Foyen, d’autre côté Madame Sallier- Quinepeut, d’un bout le chemin de Saint-Leu, et d'autre bout

üigt- anq ares soixante- six I Monsieur François MeUé. ■"“les de terre, heu dit le Clos

il, au dessus des Carrières,1 d'an côté Messieurs Bra-

I et Meunier, d’autre côté leur Datilloz, d’un bout seur Achille Foyen, et d’au-

bwut Monsieur Boiusard. ikction A, numéro 680 du ca-

Section A, numéro 622 du ca­dastre.

Mise k prix : 170 fr.Trentième Lot.

Vingt et

kise à prix : 260 fr.Seizième LoL

vm ares vingt-sept centiares de terre, heuditPOrme de Creil, tenant du nord Madame Deletaihe, du midi à Monsieur Boussard, d’un bout à TaUée de Creil, et d'autre bout au chemin

I de Saint Maximin.Section B, numéro 292 du ca- ■» ite terre, heu dit la Cavée dastre.

biM, tenant d’un côté à plu■ d’autre cété à Chevaluer, I Mise à prix : 218 fr.wal i Monsieur Boussard,

i™dre bout au chemin de•MU à La Chaussée. I Cinq ares quatre-vingt-un c»n- ^ÿon B, numéro 384 du ca- hares de terre, lieu dit la Cavée

aux Anes, tenant d’un cété au 1 chemin, d’autre côté Monsieur

otu ir. I Boussard, d’un bout Monsieur Foyen Pierre, et d’autre bout au

- I chemin de la Cavée.

5,5m Cété. Monsieur Cha-1

Trente-unième LoL

kiiekprix:

Dii-sepüème Lot.

Jjdintre côA Madame veuveI hout Mon-

d’autre bout au ^ de Saint-Mazimin.

Trente-deuxième Lot.itM- I Dix-sept ares huit cen'isres deU®»nB, numéro 325 du ca- t®Te, Ueu dit le Chemin des Da-

mes, tenant des deux côtés à I Monsieur Texier, d’un bout & l'ai I lés de Creil, et d’autre bout à I Chrétien Courtois.

Section B, numéro 284 du ca- I dastre.

Mise k prix : 170 fr.

*«kprix: 170 fr. ûix-huitième LoL

soixante douze cen-1 dl* dit le Chemin

ou le Dessus de la eviJ.’ 2.*”® d’un côté Mon- teta. 2 d’autre côté

d’un I d’au-

Guyot 'Vincent,

ItT^d® de Creil.

Trente-troisième Lot.Vingt et un ares trente-six cen­

tiares de te rre , heu dit le Champ Familieux ou Au-dessus

i f f l ®> numéro 375 partie des Carrières, tenant d’un côté f «ire. Monsieur Nicolas Boussard, d au-

Q. , Ire cété plusieurs, d’un bout au^ I Rideau ou le Petit chemin de

kiseàprix :I "h-neuTième Lot Senlis, d’autre bout plusieurs.Iî“8tciiw.— Section A, numéro 862 du ca-

? cinquante cen- dastre.a,.-eterre ] 1- 1, er, I.A1IX- J .'’AUée de ^ d m côté Monsieur |

Monsieur U^ÿdior.d’un bout à l’al-

et d’autre bout“•■etisei-. . - P*!" Tarticle i^7“ oi-aprèa.

® B, numéro 787 du ca-ÜiekPGï : 288 fr.

k '''"ïlième Lot.Ve®. *oi*anle-dix sept

dit aux

^ •». numéro 860 du ca-

300 fr. jjj-i ‘"«l*tinième Lot.

trente-six Lî“>«ta6 '‘®® dit la Re-

haSum *“î d’un célé “ “ die, d’autre tété

®ard, d’un teu t

• O ' «mnéro 803 partie

SOOfr.

Mise k prix : 318 fr.Trente-quatrième Lot.

Cinq ares quatre-vingt-deux centiares de terre, l'eu dit Près des Barrières, tenant d’un côté les maisons de Messieurs Le- maira, Bourson et autres, d'autre côté su chemin de Carrière, d’un bout Monsieur Nicolas Bous*ard, d’autre bout eu pointe sur la mai son Compagnon.

Seclion A, numéro 861 partie du cadastre.

Mise k prix : 60 fr.Trente-cinquième Lot.

Deux ares quafo*ze centiares d’après les titres, et un are soi­xante dix-neuf centiares d’après larpantege, lieu dit le Chemin nauf, tenant du nord à Monsieur Boussard, au midi à Monsiear Mommelé Louis Henri, au levant le Chemin Neuf, et au couchant Monsieur Henri Lamarre.

Section C, numéro 647 du ca­dastra.

M iM àprix: 22 fr.Trente-sixième Lot.

Quarante-deux are* soixante- d« iMpt, iipg 4tt

Mise k prix: 430 fr.Quarante-troisième Lot.

Dix-huitaressoixante-septcen tiaros d’après le mèaurage, et treize ares soixante centiares d’après les Utros, de terre, lieu dit le Chemin de Saint Leu, te ­nant d’un cété Monsieur Masson Louis Joseph, d’antre cété Mon­sieur Boussard par l’aiticie qua­rante quatre ci-après, d’un bout la Remise de TOrme, et d’autre bout le chemin de Saint-Leu.

Section B, numéro 98 du ca­dastre.

Mise k prix : 190 fr.Quarante-quatrième Lot.

Quarante et un ares treize cen­tiares d'après le mesurage, et qnarante-deux ares soixante et onze centiares d’après les titres, de terre, heu dit le Hermé, tenant d’un céte à Monsieur Boussard par Tarticle quarante-cinq ci- aptès, d’autre côté Monsieur Oua- cbée, d'un bout...... d’autre boutle chemin de Saint-Haximin.

Ssction B, numéiros 135 et 136 du cadastre.

Mise k prix: 410 fr.Quarante-cinquième Lot.

Dix-huit ares vingt et un cen- tiaras de terroj lieu dit Derrière Mont, tenant d’un bout au che­min des Noues, d’un cété Mon­sieur Foyen et Monsieur Chré­tien, d’autre céte Monsieur Au­guste Mommelé, et d’autre bout Monsieur Chrétien Letellier.

Section A, numéro 78 du ca­dastre.

Mise à prix : 185 fr.Quarante-sixième Lot.

Dix-sept ares huit centiares de terro, plantés de Pommiers, heu dit le Champ Famiheux, tenant d’un cété Monsieur Oiuchée, d’autre cété Madame veuve Min- gueL d’un bout Monsieur Gavi gneanx-Beaugrand, et d’aufre bout Monsieur Bousssard.

Section A, numéro 689- du ca­dastre.

Mise k prix : 170 fr.Quarante-septième Lot.

Onze ares trente huit centiares de terre, plantés de pommiers, heu dit le Cliamp Famiheux, te nant d’un côté Monsieur Mom­melé Auguste, d’autre cété è Monsieur Feuillette, d’un bout ht Montagne, et d’autre bout Mon­siear Auguste Mommelé.

Section A, numéro 791 ou 736 du cadastre.

118 fr.

Mise k prix : Cinquantei-tFoisième lot.

Trente-quatre, ares .dix-neufI

et 843! Letellier, d’anfre eété aux abou­tissants, dtttn bout Mtmsienr An-

1 370'fr I toine Foyen outoine Foyen ou représentant, et d’autre.'bout'M.'Auguste Mohx-] inelée., . 1

Sectien À, huihéro 708 dn cà-centiarès ,ié lèrré, lieu dit TOrmede Créil, teuint de toutes parts à|. Mise k prix : 88 fr.Monsieur Texier. - » . r ,, i •

Section B, numéro 582 dn ca­dastre.

Soizanfé^uiyèmeLot.

Misa i prix: 340 fr-,Cinqoante-qaatrième Let.

Misék prix; 315 fr. Qiiàfre-Tiagt-daQxième LoL

dix. neuf Orme Mon

sieur Lucien Foyen, d’autre cété M. Geo^BM^^DeQèâu; 'dTiùi’ bout l’allée de CreiL et d’autre bout le eheinin de Saint Maximin,

section Bi^nurééro ^ ^ u cà-

min de Saint-Len, .tenant d’un cété et fn n ’bbut Monsieu]; Henri

Quarontè-dsux ares soixintè-rklêssony d’IHitré cété Madame quatorze centiâres. de terre; lieulîi®®* et .d ’aufre boutdit la .Croix Rompue, tenant d’un

. Quatija., areq v |« t- s e p i Cen-k tiares de terre, Iteu dit au chè-l'oestre.

’ ’ MiéékpriX: 340fr.Qaî^-Tiogt-trois!èmè Lot.

Section .A, numéros 672, 673,1 |665pditie du ctnlastre.

M isékprix: 380 fr.

Qliâtre-yilîgt-seizè LoL Vingt , et un ares trente-cinq i

ceutiaces dov terrai lieu dit -lâ| Neuve Rivière, tenant d’un cété Madame Mabieiix Jules, d'autre j célé Munsieur .'FeiuUeUe: Jules, d'un bout'la'rivière Nonette,ei d’autre bout le cbemin.

Section. G, numéros 634 et 635 { du cadastré.

Misékprix: 218 fr.

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OISSOLilTiOMLM f O l p t f t f

jimi. ^ : .,

A la dita-in riigt st n a ir s xü atn® cvat qaatH,'las ArtitimiteM d* '-dite réeuis,(n b' « k -Ué«igénénl« •str(erdiasiii*,(ttTui4 a liqoidation d* là SociéU.

Sagoy, piéstdaM d l ’tdmini*ifst oa MsOl 'floste, a <té i i 'in r a é i^ ___

pouvoirs lai p in s^ tn iâ -Voeztndta 'été dépekd'Hi

6-iffi de M Juihaa -daJPaix dn esateXi 4* Crép*r«t> au Creffa tu Tr.bimal as Crm- mvrc* dà SsnBs. fs'^jéimtar Avrt' mir nmfdMt’qaatfd,

Le Lt'qitMtsteNi . 383 I. SAfiirr; '

y i f f f x i & ü R U f t ü xlül BQM STÀT

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«’adrenar sÉ

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Itadas'il

Vingt et un. ares ^ n t ecété Monsieur Boussard, d 'àôtn cété lès héritiers de Monsisar François Chrétimi, d’un bout le ehémiu du Plan, et d’autre bout Monsieur Feuillette.

Section B, numéro. 479 du ca­dastre.

Misékprix: 430 fr.

Cinquante-cinquième. LoL

Section Ai numéro 686 du cSHlchami dastre. | aux

t l ^ k p r i x ; « frv Soixante-nenyième LoL

Douze ares quatre-vingt-deux centiares de leri>e, lien dit le Mont de Chaumont, tenant d’im cété Monsieur Boussani, d’autre

lté Madame. veuve

«

Qaatré-TiBgt-quatriènw Lot.

te5eT lieT ditrc".vé:“? S Ï Ï S , i : | œ £ d S - M ^ ^

Quatre-yiugt-dix-sqitième LoL«amtiâFes de te r ra lieu diT la! Trente quàlra erré dix.;seet omtiares M towe, neu mt gg j,g„ fg

aux d ^ . c ^ ^ N | “ ^

MoSsdSÏ BoS S S ^ ' ^ K

Section G, numéro 28 duca-j dastre.

M isékprix:. 340 fr.

^Quatre-vingL-dix-hnitièine Let.

tenant du nord à Monsieur C bré-|^ ’®3i*te.tien, an midi Monsieur Brassard,! Section A, niunéro 330 du au levant le chemin ^ la cavée | dastre.aux Anes, et au couchant Mon­sieur Pierre Foymu

M isékprix: 80 fr.

Cinquante-sixième Lot.

IQ M kptfr: ISOfr.Soixanle-dixièiile Lot.

Onze arra^nto-m eùcen

y j N i s SUR L i c i i i A a ; ^Par le BiDit’èi* de ÎTMmoMiM.

n e t i i r o à i a l i r ^ ^

n i

S Pièces de Terre l lifeabus terroir de :

tramu d’un'cété M ra ~ [rè s

<rntt b»ttt Monsieur Yicfcôr Ts»* Mon^oof I ou reprôÉwataiit, et d'autre d'im bout to sente, et d*su tiîe l)ou t^‘* '™ ” 7 , J S * ; ^ ^

V ^ — * * — * Tyimaures walôi* ■

Sécuon À, numéro 661' du ea- dasfre.

Misékprix: 218 fr.

de terre,' dit'Au-iIteéitUir <

chant etdu mid^à Monstenr Bous sard, et du nord au chemin dit TAUée de Sralis et au chemin des Carrières à La Chaussée.

Section B, numéro 406 dn ca­dastre.

M isékprix: 75 fr.Cinquante-septième LoL

Dix-sept ares de terre, heu diti

autres, d’un bout Monidèur Lon- g^t, d’autre; bout' 'Uuachée

m le â » n n i drSam t Leu.Section B, numéro* 371,371 bis,

1371 ter.IGsek prix : 284 fr’.

Quafro-visgt-eiJiqniMue Lot.. Dix ares sept centiares de

^ je ^ o n ^ A, numéro 1846 du ca-:j®u|ffee#r’p*m’ ijHftintft']

IKMkpHx:: 40 fr.

Q n a f re rT ^ H ix -n ra r i^ LolJTrente-quatre arêa .dix-sept]

A irsA a ffi» n & tt,i« e a é k

StcUon numéro dastre.

"Zi'** i . «lo» sept eeiuiitres aei v* t iie ir»f t a*-*» »H oiuéenr|têm , lieu dit à la Cavée auxI.centiares terre , li6U"dit le s l^ „ . ® lŒLI^TllE, aeiRiraà

Ânes, tenant d'un côté Monsieur I Plmis ou la Petite Fontaine.:-te-1 ^ *>Wsf4u ca - |B o iu sa^ d'autre côlé Monsieur | nant d'un côté et d'un b o a iM sn - |te itt|eS i curgé ds û w té .' o8*sara> Kass# ma. o.t.à«àw.Sa..l 'pAârtcxra. ' n ' A l l l n C à - -

Mise k prix :. llÇ jr..gloixante-onzième Loti

Boussard, d’un bout, au chemin | sieur Teider, d'autre céte M.on-1 ........................................... sieur Dever Gesueaume, et d’au-1

Dix-sept ares neuf centiaros de terre, heu dit le Champ Fam4--

TA liée de' Creil, tenant d’un côté I }îr2*“ * <Fnn côte krensieur jà Monsieur Pierre Foyen, d ’a u - î?®®'" d’autre cétéIra cété aux héritiers Douihot,! M®***®?* Thomassm, de La d’un bout au diemin de Ssint- M’ximin, d’autre bout k TaUée de CreU.

Section B, numéro 325 du ca­dastre.

M isékprix: 170 fr.

Ida Camp, et d’autre bout à laI «été.

iSscUen A, numéro 663 du ca- l-dastM.'' '

l ^ k f r i x : 100 fr.Qoat^ ylngt sixième Lot.

Saixants 'et onze ares six cen

tre bout le chemm du Pim.section B, numéro 868 d u ca -|

dastre.Geatièma Let.

Dix-neuf ares quatre-vingt-1

Badada IP Lotus XSCATir, doemr «B droiL '

tvooé k SsaUs, 7, rii* da.viBénR, sueef da M* Muatre-

quatorze centiaros de terro, heuimaussee, auu nom Monsieurl.,-«';;;i;“5^-torre iien di t èi ’Omi a l “ ‘ 4 ““ ][touis Chrétien, et d a u t r o ^ f i t d i d ra l ®

I Monsiear Gavi^eanx.SecLonA, numéro

I dastte.Mise k prix:

I du ca

Cinquante-huitième Lot.Dix-sept ares de terre, heu dit

TAUés de Cieil ou le Gros Cail-

170 fr.

Soixante-douzième LoLVingt-cinq ares soixante-qn

I centiares de terro, lieu

de Saint Leu, tenant des deux | Moreau, d’autre cété Monsieur côtés Monsiew Ç®®^?^> d im |p gjj.j^mg.y^tome), d'un boutmm, et d autre bout a 1 allée del|^QjjgjQm,ygj;.^on,

‘^ & n B. numéro 331 du ca-1

lou, tenant d’un célé Monsieur I ÎS.?™,*Louis.-Jeseph^Maason, d’autrel âviStro " t e T M o S ? “t e

jdastre-Misekprix.' 710 fr.

Quâtrô-Tingt-septième Lot.Cent tmièine LoL

Dix ares soixante-cinq centia-1 1res de terre, heU dit a la Selie|

Un hectare risquante-deux! Thomas, tenant dun côté Moa-| ares trênte.qnatre^oentiara (te I sieur Louis Foyen, d’autre cotél

‘ ‘ iluaieurs, d’un buut Monsieur!cétéMonsieurDever-Gaasaeame,!®.^” r-ü---- .— - - — -„r---- — — ____ . .d’un bout Madame veuve Dala-r*“?“’,“ ““„??’4,*^®“ **®nrFran-jteiie, lieu dit La ChauSàéa, te-1piu,ieurs, d’un buut teille, et d’autre bout à plusieurs. jO?** o“*®“*’n e u to Itout a Mon-1 nant d’im cété Monsieur Feuil jJuies Perpette ou représentant,

Secüon B, numéro 548 partie r * l“ ’.. ,’“ ’ latte, d’àulrêcélé mi chemin de* h autre buut Monsieur Texier.idastre. I , Section A, numéro 326 du car| Carrières A La C lm u n ^ f im l gection B, numéro 950 paiI HomtfVA I « X aUawmÎsb oIa t a f'kmvsaaAA I a wwitaw»» j

Mise k prix : Quarante-huitième Lot.

Soixante-huit ares trente-trois centiares de terre, lieu dit le Boa quet ou TAilée de Sanlis, tenant d’un côte Monsieur Auguste Gss- seaume, d’eutre côté Monsieur Texier, d’un bout Monsiear Bous­sard, et d’autre bout à Taliée de Senlis.

Section B, numéro 951 du ca­dastre.

Mise k prix : 688 fr.Quarante-nenvième Lot.

Un hectare cinq ares dix sept cert'ares de terre, lieu dit TOrme de Creil ou TAilée de Creil, tenant des deux côtés Monsieur Mom mêlé Louis Henri, d’un bout Ma­dame Delelaille Chrétien, et d’au­tre bout l’allée de Creil.

Cette pièce est traversée par Faliée de Senlis.

Section B, numéro 522 du ca­dastre.

W M kpris; i.OfiOfr.

cadastre.Misékprix: 170 fr.

Cinquante-neuvième Lot.Trente-quatre ares dix-neuf{

centiaras ds terre, lieu dit le Che min de Saint-Leu, tenant d’un

Mommelé, (Traire célé [deux céiés Monsieur BourêarA héritiers de Pierre-Mane O u ^ I q’un bout au levant au chemin de mer, dun bout au (4iemm delsaint-Maximin,Saint-Maxiinin, et d’autre bout au chemm de Saint Leu.

Section B, numéro 113 du ca­dastré.

348fr.

dastre.M isékprix: 260fr.Soixante-treizième LoL

Trente-six ares ipietre-vingt- onze centiares de terre, heu dit le Buisson Armée, tenant deà

Section B, numéros 143 et 144 du cadastre.

MiMkprix:Soixantième Lot.

Vingt rinq ares soixante-iniatre I centiares de. terre, plantés de

Mire k prix: 870 fr.

Soixantè-quatorzièiBe Lot.Soixante-cinq ares cinquante-

sept de terro, fnche et bms, heu dit la Chaibonnièro, tenant .d’un «été à M . nrieur' Harat-Mahien,

pommiers, en bo r^ ro de la Mon- j d'autre céte è plusieurs, d’un bout 5 8 “®.l“ w. 441e FiguiM, tenant U un bois, et d’autre bout à la d’un célé hénuero de Monsieur veuve de M. Jean Foven..Ch8r.es Joly, d’autre cété la.Mon-1 ®sgg,io„ p , numéros 1^8 et 1439tagne, d'un bout le chemin duj Très Patrie, et d’autre bout à Ma- ' «®“®“ ‘ •dame Robert Marie.

Section A, numéro 1070 du ca­dastre.

M isékprix: 260 fr.Soixante-unième Lot.

Dix-sept ares neuf Centiares de

Misékprix: 680 fr.

Soixante-qunzième Lot.Dix-sept ares neuf centiares

de terre. Près la Couture, tenant d'uu Côté plusieurs, d'autre cé'é le petit: chemin de la Chaussée,

uix-sopi ares neui (tonuaros ue j',£n bout M. Boussard, et d’autre terre, heu dit te Mont de Chau-1 la Montagne, mont, tenant (l’un (telé Mommelé ggction A, numéro 675' du ca- Auguste, d autre (teté Monsieur Lucien Foyen,d’unb9utlaremise à Monsieur Jean Faucqn, et d’au­tre bout plusieurs.

Section A, numéro 236 du ca-| dastre.

Mis* k prix : 170 fr.

Soixante-deuxième Lot.

Misékprix: 170 fr.Srixante-seizièoie Lot^

Quatre ares vingt-sept ëéntia- res de terro, heu dit Prés la Cou­ture, tenant d'un cété Monsieur

I Boussard, d'aulro cété 1e petit I chemin de la Chaussée, d’un bout

Vingt-cinqaressoixante-quatrejMonsieur Boussard, et d’autre centiares ds terre, Ifeu (ht te {bout en pointe an petit chemin. Mont de Chaumont ou la Corne j Section A, numéro 674 du ea- de Toutevoye, tenant d’un cété Idastre.Madame veuve Jules Mahieux, d’autre cété Monsieur Grsveaume

d un bout ■Mise k prix : 40 fr.

Soixanie-dix-septième Lot.Dix-sept ares , neuf centiarosipi . - ___________

de terre, lieu dit le Gros Caillou, tenant d’un cété Monsieur Fran­çois- Gesseaume , d'autre cété Monsieur Texier, d'un bout Mon­sieur Texier, et d’autre bout Monsieur Boussard.

Section B, nunéro 749 du ca-

Prosper, dun bout Monsieur |Chrétien-Courtois, et d’autre bout les héri'.iers de Monsieur Chartes Joly.

Section A, numéros 129 et 1301 du cadastre.

Mise k prix : 260 fr.

Soixante-troisième Lot.Vingt et un ares trente-cinq]dastre.

centiares de terre , lieu dit le Misékprix: 170fr.Champ Famil.'eux, plantés de |pommiers, tenant d’un cétéMcm-t Soismte-dix-haitièmi Lot. sieur Lucien Foyen, d’autra côté| Onatroarésvini»fc.aBi>te«nlî«i«.« Monsieur Ouachés, d’un bout tel j-S erre Jirà chemin de la Fretle, et d'autre i r a A n e ^ ^ ^ t f u n ^tMonsieurGavigneaux-Beau p t é b ^ s ie u r M « m f i? d ’ratre

» Ji- a.. X Icô'.A Jdonsieur, Delteau-Barbot-Section A, numéro 811 du ea-1 d’uns Kmil Monsieur Pierre Hem

dsstre. •• Invbert, et d'autre bout à la C a -Mise kprix : 218 fr ivée. ' '„ . , . . . _ , I Section A, numéro 659 dn ca-Soixante-qnatrième Lot. dastre.

I f i i o k ; ^ : 4Ôîf,

partieldu cadastre.

Cent draxième LoLVingt et un ares trente-quatre 1

centiares, de buis; heu dit A.la] Fontame Billy,. tenant d'un c m ] plusieurs, d’autre cété 1e Do-f maine du Lys, dfon bout te Do- màiue du-Lys, et d'autre bout au

bout au chemin de Là Chaussée, et (Tautre bout au chemin de Ui

I ChauMée A CreU.Section B, numéro 403 dn ca

dastre.M iukprix : 1.828 fr.

Qaatr^ringt-hnitièou LoLDouze'ares quatre-vingts cen- , ______

tiares de teroe, lieu dit A la Cavéel num é^ 624 pàrtie au cadastre, a u x Anes; tenant d’un cétéMon | SectiOn'Fi numéros 626 et 628 sieurBou8sard,d’autre côté Mon- ' - ' '

s s ' s s ’s a s ï ' s ’ t t ;bout le chemin de la Cavée aux Anes.

Section A, numéro 662 du ca­dastre.

H U ekprix: 180 fr.Qiiafre-Tingt-neiiTieine LoL

du

N T - C B S a - 'C P S BPXI SDITI P IID B lS C B kU D I M i i r à a

s'um

P R O P R I Ë T £siffié* rente As

p iè s C H A im iX Y , tsrroir de Genvirax,

- hradit L B S A T O t d K S

En nià M al L o t

(l’atyndisalionann Usa b M w àil t » A m U I M M ,

Afan Afridi» > .M rsadtae* d« «ridm da jM W ri

T f ü S r ^ s s s f s w S 'ia«dela»<0rtllffA

Terroir de Sam t-M uim m . Cent troitièiie Lot.

Seize ares sept centiares de terre, A prendre dans une pièim dé vmgt. et un ares soixante- deux centiares, sise heu dit le

, Foud de Tros»y ou la Vallée, Soixante-trois aras soixante et | pour tenir. d!uu cété Monsieur

un centiares de terre, friches « | jules-Emile'Renaux, d autre cété carrières, iieu dit les Grouettes, jle.chemn de Bamte Barbe, d’un {enant d’un cété MonsteûBoiUfl bout Mademoiselle Reiboré, «t sard,d’àutre cété Monsieur Bras-’|d autre bout : Madame Vuaplard. aard, d’un bout Monsieur W us-1 ; gection A;-numéro 499 partiel- sard^et par tache te çh em in jlu |j eactaetre. !'• classe. TChanm Famiheux, etd'autre bout '- —_».i.» .i - I M isekpnxt 160fr.

A rw B A tfTstaA M n^jjwia àtvonA-4 StiUs;A r BALiOAIIX,xotiA««4aB»’

tüiy;An ttsOt da SrihÉMtAMkA»

g ^ ' r i i l* «sMw ddi chùÿH Ml'O^QWf

B sur iss Baux potff viA«.

au terrain communaLSection A, n u m ^ 664, 665

partie et 6 » partie du cadastre.Mise k prix : 638 fr.

Q ufro-Tingt-dixième LoL

Aux termes du jugement du\ seUejuia mil neuf cent tràisettS-\ énàncè qui a ordonné là vente, Uà facuUé de réunion totale ou paiy^

BadsCiH’làknsBÛAVT, dMMarsn.dfélL

troué k Stalii, L ras gs-VneiFd* r OdÉBO.

sua sm oiieaku m m n à tia st» .!

j b ü F i o i i ^ iTrente-quatre ares dix neuf firile des immeubles sis e» an] centiares de terre, heu dit TOrme I même - territoire a été expressé^ de Creil, tenant d’un célé Mon-1 ment réservée aux vendeurs. sieur Lucien Foyen. dtejutre céléMesrieurs Varillon e t Boussard,, . . . ,d’wi bout Talléé de Creil, et] Le cahier des charges, danses. - ^d’aUtrO’bôutte chemin de Saint-jet conditions auxquelles s e r o n t ^ V n r t f F t l n- • I ____ a 1 —M aaé AA I . . . - - - . -”Maximin.

appméolo

dastre:U se k prix: - 348 fr.

Qâatrfr-riogt-iiDzièmé Lot.Trente-six are® quatre-vingt

dix-sept centiares de terre; Iten dit au Éhemiu de Saint-Leu, fe - | neri“crat qiStre.

vendus tes immeubles ci-desaiû, I 9 où Si*AABEAS8«JS Achacun peut en prandre connais-j ^

U ‘M|BdiMtioB««a W A M aaril I S A v i » ^ l -----

section Bv numéro 326 du

Fait et rédigé.jiarTa'roué pmm- suivant soussigné, . r

À Senlis, te mû]nart d’un'cété. bfonsienr Louis| Chrétten et autres, d’au re cété M. Bousmri, d’Uu bout au che min da .'Saint Leu, d'auire bout à la Reaôise du chemin de Ssibt- Leu. "

Section B, numéro* 96 et 97-du cadastre.

W sekprix : 370fr.Qustre-Tipgi-donzièmé Ifil

Dix-sept areéiiait centiares de terre, lieu ditau Chemin de Saint-'I.«n, tenant d’im-cété M onsieu rfa__,Mahieu'dit Lvtnbin, ^Anire célé'I dès'

Signé! Et emreè^stré.

LOIR.

'7IM*«dkMid4p.

«ivfldsi_______

rO idsla i^ k Bgdo.

S’adresser ioD les reiseigieM(4 ;

i ' A M* JL O IR , avoué à Sen­lis, pourouivant la vente ;

2* A. M*. SAymB -B B U t^ , avoué - A'- Sentis, -présent A' Ta vente;- ; '" '

3*.A^M‘BAiÙËSEÂCX. noteira *'^*pÉjàftâfr!sdu'aàlr'

;Â.,;Mvgé 'd*

, A- AM’M Qgri^âwiidlfc I sûBMnteMit ls-WÉ®ÊB® -va

r A M” SAHRKfBITB «t tvonéi A «salis. g JS m s

“lïiîîSK Se F G ï es 4*AM--------------- -----

_ _iAngiftte PnrroL tfnnrf-vèHlè';'.bout,ra chemm de S ïfntLen,'ett 'i . '; -.^. i^ _ -- ,,^ v -„ , ,td’auire bout aû«hen& de Saint I c ^ Maximin. TSeiuis, présent A la venlm

Section B-, numéro-117-du c a - | Pour inserttenddastrO'

IfiN k p ris ; 170 fr.

«s.c'-;--,; .'Kiri.r-oi ,essti-ïîl

Page 4: litre des Ratai.bmsenlis.com/data/pdf/js/1904/bms_js_1904_04_03_MRC.pdf · bureaux de la rue Royalè, dans ùos ar senaux et les chantiers de construc tions, où les ordres, les contre-ordreg

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Kt M'LOIIBOit, BOUiie i Pidoy-sw-OisA.

VENTE SUR XI€aTATION|D’OBB

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L’»djndie*üoB s m U f » ,Iti JMsBaBch* SA A vril

t » 0 4 , d deiM htum derOetée,

Xn U MsirîA do U eosnannA ds SADII'LXO-B’XSSXBXNT,

«t nar U niaistirA dA H* Loiibois, BAirfTA 1 P/dcy-sur-OisA

esmsia 1 OAt iffAsradresssr pour te reiueignmenU :

A M* LoBls Xseary, AToad i SabBi, pottrirt»MtIaw»^.j^ BolairA iPriÀy-diirOIsA, déposltiirA dn c*hi«r dasâiargM.

>a PalaU dA toCcAj i , Paris, lA 13 ATlil 1904, i 9 hAurts ;

FERME DE MiÜLIIY(SeiBA-tt-Mara*).

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(Ose).•CoBtABiBce : 38 »r»s 80 eaeVam.

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% Pari», rui da Roma, ill"* KN6RARD, atoad, BX«ANÇH| BOtailA.

Enda da H* BHEBin,,, halisiar i Poat Srià» *àx*aea.

v e n t I I m o b il ie r ePAB SaiTI DB aiPABT

i BOBEBTÀL,La DüiAIKHE .10 AVRIL I90A

à tlu u ru .lPar ta Bdalstèrada H-Bbbibb.

879

Gonunnxie d e S a in t-B iao in iie .;

C«BibnoâoD de B orduee ,DE TB0TT0IR8

e t d e C a u s iv e a n z p a v é e .

La pobUe ait prdTaaa qa’il sara praadte pabâraiBiaBt. la 17 aart

i deax baoras da seir, ab la MairlA da SaiBt-MaxiiBiD.par-daTaBt la Haira, asiistd da daax Coasaillan inmiidMiii at dB Cendaetaiir das PoBts.d-aaBssdas. et aa p r^nm da Radarenr rnooicipal, a l’Adjodi- aatioB aa rabais, snr loonissloBs eaehatdas, das traTaaz i azdeaur aoar OonatPiiellAn da Bepdupat, da TpaIMps at da Canivadiix pavia.

La Bioattat da davis s’dliva i la gonma da aapt mlHa einq oanta fpanaa.

Ob ponna praBdra coBBaissaaca dB daVii, dB eablar das ebargas, das coBdittÀBS. at astres pilcas établies es TBAidaJ'adjadJBattoB, aa Saardta- riat da U Htiria, toos ias joors bob fdrids, da ciaq baoras i sept baoras du soir. , „ .La dfatra,169 EURBEBDURCQ.

V e n te , aa Pabis-da'Jsstiea, i Paris, le 83 avril 1904, i I haoras, en degz lots :R R g i C n U sise ras V ia la ,!

1* H IA lo .ü ll n*4 ,P ap ia . | Revaoa : A8C0 franca aaviroo.

Hiia i prix : 20.000 fp. r r n | É r sise eooiBiBni de,

r r t n l f l l l N é ry , cmlon da C ré p y (Oiie). — CoBtsBaBca : 100 naoL 81 ara* 94 oanL

BeTABB : S.OOO francs aaviron.Misa i prix : 60,000 fr.

S'adrauer i H* BEBNIS, avoné t Paris, 8, me da l’Wy, i M" PBABC018.BERI0N,PAGES, avonés at i M' J08SEI, Botaire; 877

Etode de M* BIET, notaire à Crépy- en-Valois (0!sa).

A V B I V Æ f M J EPAB AWOWOAHOB TOLOBTilBlLe Dimanche S i Àvril 4904,

àdeux kewres,Earfinda,

En m a»M ou on d ita ll ,DB

CORPS DE FERMEBTDBI

P e t i t e A Æ e is o x A Sises & DUVY,

l o g e m e n t s D’OUVRIERSSis andit lien,

U N E P A T U R E Sise, andit lied,

X J N B O I Sappelé le Boit de BaUoy,

Sia connu une deTRUMILLY,XT

104 hoot. 5 0 n roo env iron

TERRE c Û It IU B L ESis terroirs de

TRüMILLY . ROCQOKMONT, SÉRY, AUGÈt^-Si-VINCENT, DDVY, ROüVILLE. ORMOY- YILLERS et CRÉPY, cantoB de Crépy-en-yalois.

Entrée en jouittmtee U i i Ne- vembre 4904.

I Possibilité pour l’aequérenr du bloc de traiter avec H » Lhostb, qui cultiTO les te rre , pour U re­pris» de son matériel d’exploita­tion. 364

A G E I I Ü R

Exploitation Agricoled e S 8 0 la ec ta rea j

L S niButas d’uns gara.8’adrasiar à M* BiBT,notaira à Crépy.

356

U n Ü A fivpate iir t i io y e le i on tbtval, à l’éttt da noaf.^ai « n e Chaunrne * un obi val, en bon état.

S’adiesatretaez M. BÜCHÀUPIO^ i Bray-RuUy (Oise).

Bf. S ln r tiia (Em ila) fadw ,,ioiDidiié$ RàbiUy^’TUalIr, pÿé-J .vifBt 'és raBnD'*TQMi<<i iiin’i' ■«

pa» -l»ô « a ^ e v o ia rre lt' ’m n ii'a ftster nate-1 d a m e B te r lé ’ (d A tu éa tln eL l e a l e a n m é . ' R S ' i

M ERtlE P i É l Etvjte prapy^

i 26 lnnM lexl.060 kilrg, à v e n d re

I cbiz A CaBTUB, à Onnoy-Ia-Bavi«.l_________ 378

ITBÊS GRANDE GRANGE]A lA b E J É R

R n e d n l i o n , au coin de là rua du Hianma,

8’adrassar à M” V « Kjrtwra-Hsvy^ 3, roa du GbaseabarGuénn. 1818

EUia da H- BELAUNAT. notalra àSidis.

A L A U B R

P R O P R I É T Éadae d S en lie ,: ,

i l'apgla dé la- tu* Du Lion at da larual SdUt'Giilas, t

oanBraBant : mtUon d’bibitatioBl i v r a W i nsnf. écutia, raitea,!

.^d in at dépandaueas. .Eaii àt Oaz.

8’adrassir à M’ BBLiDRaT, notai».!1871

■ A Compùpns

joiPOSITAIRE*kBB LA '

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887

B réa da M'BIST, notai» à Crépy

A . V B M ' B F I BPAB AtlDOICATIOll

le ésudi 7 Avril 1904, d u«M hettre du loir,

an la Mairie da ROCQDKVONI,2 1 h e c t.3 4 a u * e s 6 6 e e n t.

d e Terre,a i tpents-dsux pléeea sises terroirs

da ROCQUEMONT at TRIIHILLT.

PaeuHé da traiter avant Padjndi- eatioB, ail est fait des oSTas snffi- Isantas.

Padlités da paiamanL S’adresser pour tous FransaigBa-

BMnts, audit X* Bm ,Et pour traiter, é MM. Bbbmhbdi

iBiBxs, 58, rua da Maubinga, à IParis.

A C é l M B Re o e n s le n ez e e p tte n n e U e ,

i la suitada maladie,

Boda da M’ B^LéVHéT, Botaira iSaalis.

A ütesaes’ de iSheite

M A I S O Nnvoo Eoupie, .Jardin

a t DéipondaiioasSisaàSEMLIS, _

rua dn Cbat-HiréL n* 6.l'S’adrassar : pour visiter, àM.Ppuii-

labd, ébénlsta, rua Saint-Tvas; at pour traiter, à M* Bbladbat, ^ ulra. ipi

À h O V E R PETITE MAISONS’adrasw 1 M- PXm, notiiro. OB

à H. LBPETII, 7, ros da la TraDte Saidis. 3*

ptnéa da M* PÉIIZON, BOUira iSMilis.

A Vendin par Adjodieationle Mardi 40 Àvrü 4904,

à deux heurts,A Sbmus, an ratada da M' FéiizoB,

notaire,.par la mlnistèra dudit M'FénzoH, au présence da H’Rihob, notaire

t Cenrgtvaox,DBB

BELLE PROPRIETEconnna sons.la nom da

C h â te a u d e B é a n v a l , Sisai8EMllS;

roBla da Conpiigua, n* 28, ruade Bon-Sacoun ét ebamin dn

PUarinaga da Bon-Sacotvs.

Etudes da H* LOMBOIS, notaire 1 i Précy^ur-Ois»,lit H* HXLLOnEE, notaire i Xaro.

A eédar i l’amiable, e zp lo ita - I tton a g r ic d ia , comprenant : eoppa » féPBie sis commBoa da Vill»»-sons-Saint-L»u, et 86 nac- taras environ da Tsrps» labou- psblat sis terroirs da Ttliers-sons- gaint-Lau at SaiBt-Lan-d’Eîseiast.

liftaiB iT una

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Seigle 10 . . . Orge 11 . . . Avoine 7 86, Posému de ter» 8 40. _ . ,

Beur» le kilo Ira qté 880 5 3 80, 8e 8 60 5 8 80,aufs,taceBt8 .. 5 . . tr. ..

Votaflies (taprire).—Bindonsde 15 .. 5 1 8 .. O i u 8 . . 5 8 . . . ( taBards5. . 5 6 ... Poulets 5 . . 5 7 80. neotts . . . 5 . . . . Lapins de 8 .. 54 .. tapieee.

Bestiau*. - 1 5 vaches gmses de 1 M 5180 e kilog., 70 vaChes heroijères de 1 . 5180 le

kU. 6 vadtes ataoui^tes f» nièce. 65 porcs gras d e l . . 51051e ku. 4W mai|M ou cou»US de 88 5 80 la pièce; 180 m ÎStde lS5 88tr. ta pièce. U o ^ u x de ^ 5 800fr. ta pièce. . . poniatas de . . 5 .;ff . ta ÿèce.

1 > * A ndely* (Eu»), 28 sas».Blé blatte de 90 . . 5 «l «L Seigtaip 80 51160,

Orge 13 hO 514 60. Avoine 13 60 514 . „ le tout aux 100 kilos.

Pain le kilo Ire qté , , e.; te . .a . B ev» le kilo , , ,5 I ...fEnfs ta douzaine. . . è . fT. . .

R o y e (Somme), 88 mus.Blé 80 ,, 51060. Seigle 13 85 5 13 50. O^e

14 .. 5 14 50. Avoine 13 . . 5 13 50,1e tout aux 100 kilos.

S«i***m*.(5iw*)>29>Bsis. ^Blé 1» qté 90 60, te 19 85. Seigle 1485. Orge

..^ f ie c h o lx M 88,1 » .W « » , le m auh 100 kilos.

Fonds d’Etat français.3 ’/. perpétueL. . . . . 1. 11. • •. ■S ‘/.amettissable..,..............

Valenn françaises. Banque de France...... . . . . .Crédit Foncier, . . . . . . . . . . . . .Crédit Lyotmais ........Société Générale..................Suez,.

niumitM de fer français. Est - actions . i . . . . . . . . . .Lyon ——Midi — . . . . . . . . . . . . .Mord — . . . . . i . . . . . . .Orléans —Ouest “ . . . . . . . . . . . . .l i t obUgstions...................Lyon : — . . . . . . . . . . . . .Midi — ..........Mord — . . . , . . , , . . 1-,Orléans — ....................Ooest —Ville ds Parla, — Obligations 1866 4 ’/ . i t ---■*1869 8 ..........................1871 S*/,..........................1875 4 .............i r e 4 Y..........................1898 3 V. .............Crédit fonder, - ObUgariona.Commcnales 1879.........Fonolères 1879.............Cothmnnalei 1880....... ........ .................

- 1885.,,.,..........Mitma d’or,

D e - B e c » * Eenetaa.., ........

96 10 9810

Russe 1889,..-.. Rio Ttatix;,:-...;

Bciâiie firtae.

8776670

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