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Montrez nous votre industrie

Loiselet - illuminations

Partout, nous voyons et entendons parler de changements profonds dans l'organisation de l'entreprise, d'innovations technologiques importantes et prometteuses, de nouveauxcomportements poussés par une sollicitation permanente de �� pour montrer sa puissance, smartphones, montres, lunettes, voitures, avions, et autres machines de plus en plus intelligentes ��

�� !�� orchestrées de plus en plus, certes, par une solution logicielle, ��"��#�"�� $��$�� %� �� "�� &�� ! ��artisan dans l'expertise de son savoir, négliger sa valeur �� (�� ) ��

*�� mets délicieux qui y sont préparés sont l'oeuvre de compagnons compétents et passionnés, et Il est fondamental, comme le souligne Simone Weil "que pour chacun, son propre travail, �� -�

%��.�� Président de Clip Industrie

.�� /�� industrie

Clip Industrie 2014 p 1

Yves COLAS - SMACMoulage de pièces techniques en élastomère Clip Industrie 2014 p 2

CÉLINE GOUVILLE - AIP91Clip Industrie 2014 p 3

Xavier CHARRITON - TICEMSupport accoudoir SIC


Le système d’information, allié du gestionnaire pour satisfaire au mieux les clients grâce à l’utilisation optimale des process

La révolution industrielle du XIXe siècle avait eu pour but de suppléer l’homme sur les travaux physiques. Cette technologie était principalement orientée vers la transmission, la manipulation et le contrôle de la force.

Une technologie parallèle qui a trait à la manipulation et la transmission de l’information est venue la seconder. Le terme « informatique » a été créé en 1962 sur la contraction des mots « information » et « automatique ». Il représentait bien la volonté des hommes d’automatiser certaines tâches longtemps réalisées à la main, en particulier le calcul.

Toutefois, les premiers systèmes sont à vocation purement décisionnels. Ils sont fondés sur la croyance qu’il existe un lien très fort entre les systèmes informatiques et la prise de décision. Ils utilisent pleinement les outils d’optimisation mathématiques, comme la recherche opérationnelle, systèmes d’ordonnancement et de suivi de la production.

Malgré des progrès considérables, en vitesse comme en puissance de calcul, et dans la performance des algo-rithmes, on a atteint des limites. Nous avons peu à peu abandonné l’idée de remplacer l’homme par la machine, mais de s’en faire un allié, un support pour être plus performant.

Le système devient désormais système d’information : celui qui fournit des informations. On le dit intégré, à la fois verticalement (court, moyen, mais aussi horizon stratégique), et horizontalement : avec les clients et les fournisseurs. Grâce à des solutions de simulation, les décideurs peuvent envisager diverses hypothèses et �� "��7� ��"�8�� ! ��"��;<=�>?.�>=?@

Toute l’entreprise doit maintenant être orientée vers la satisfaction du client. Un système d’information perfor-mant est donc celui qui assiste les managers pour l’obtention de ces objectifs, selon les trois axes du triptyque, Qualité - Délai - Coût : - Qualité : en permettant l’enregistrement des données, l’analyse des données statistiques, en étant un �� >=? - Délai : en permettant au gestionnaire d’anticiper les besoins en matières, en capacité, en étant un �� .<=�.<=&&�� B��=&?��=F=�� "��#�" ��@ - Coûts : en fournissant au gestionnaire toutes les informations pertinentes sur la situation de l’entreprise.

;��J�� KZ[\� �� J��

<��?�� Formateur et Conseil en Gestion Industrielle Ancien Directeur Opérationnel de SPACE Auteur du livre « Produire Juste-A-Temps en Petite Série » - les Editions d’Organisation

Conseil auprès de Clip Industrie

Clip Industrie 2014 p

Échange de Données Informatisées


Christophe LAFFONT - ESAT IndustrielScie à ruban horizontale

Sommaire Pages

Calcul des Besoins Nets (CBN)

Échange de Donnees Informatisees (EDI)

ERP 9

Fifo

Flux tendu

Gamme de fabrication

GPAO 10

Juste a temps

Kanban 16

Lean 19

Lifo 25

Méthode 5s 26

Méthode smed 35

MRP 40

Maitrise Statistique des Procédés (MSP)

Nomenclature 47

Ordonnancement d’atelier 48

Ordre de fabrication (OF)

Ordre d’Approvisionnement (OA)

OP

PDC

PGI 55

Plan Stratégique

Plan Industriel et Commercial (PIC)

Programme Directeur de Production (PDP)

SPC (Statistical Process Control en anglais)

Système d’Information (SI) 56

Taux de Rendement Synthetique (TRS)

Traçabilité 59


Fonderie de GENTILLY - 2e prix du grand concours Clip Industrie


Calcul Des Besoins Nets (CBN) :

Le calcul des besoins nets détermine les besoins qui serviront à générer les ordres de fabrication (O.F.) et les ordres d'approvisionnement (O.A.) à tous les stades du processus. (source René COLIN)

Cela permet de déterminer la charge de travail des postes pour une période donnée et d’équilibrer les charges en fonction des capacités.

Pour calculer les besoins nets, il faut :��! �� ! �� ),�� ).��

Échange de Données Informatisées (EDI) :

L'Échange de Données Informatisées (EDI) ou en version originale Electronic Data Interchange, est le terme ��$�� "�� messages standardisés, de machine à machine. L'EDI a été conçu à l'origine dans l'optique du « zéro �� $�� le traitement de l'information : disposer rapidement d'une information �"�� $��F�� ;F&�� $�� $�� ;F&�� #��$�� échangées, et de réduire considérablement les coûts de traitement tout en améliorant la sécurisation des transactions. Ceci est maintenant indispensable selon la politique de gestion en juste à temps qui augmente le nombre de transactions à traiter dans un temps de plus en plus court.=��"�� "�� ;F&� c'est-à-dire qu'elle va émettre des messages électroniques normalisés qui seront télétransmis vers �� "��) qui seront capables d'interpréter et d'intégrer automatiquement les données correspondantes dans leurs systèmes d'information respectifs sans papier ni intervention humaine. Ce processus permet la suppression �� "� ��

ERP

�;� ��<��=��$�� $�� de l'entreprise », et traduit en français par « progiciel de gestion intégré » (PGI). Ce type de logiciel correspond, pour une organisation, au support de base capable d'assurer une « gestion intégrée », ��$�� "�� et l'intégration de l'ensemble des fonctions de l'entreprise dans un système informatique centralisé (��). ��


FIFO L'acronyme FIFO est l'abréviation de l'expression anglaise First In, First Out, que l'on peut traduire par « premier arrivé, premier sorti ». Cette méthode est employée en informatique pour décrire une méthode de gestion des �� $�� logistique, dans la gestion des stocks. (source Wikipedia)

Dans l'industrie, pour les pièces sans contrainte particulières (mise à jour, date de péremption, etc.) elle permet une gestion des stocks de petites pièces (boîtes de rondelles par exemple) optimisée par rapport au temps ��&�� $�� rangement cohérente, ce qui est rarement le cas. L'exemple le plus classique est celui où l'on "charge" par l'avant (une étagère par exemple�� en LIFO (dernier entrée, premier sorti�� -��-�� peu utilisées. (source Wikipedia)

On peut distinguer FIFO dans la tenue physique du stock, mais aussi FIFO dans la valorisation du stock. Ce sont K�� (Source René Colin) Flux tendu (Voir Juste à Temps)

Gamme de fabricationUne gamme de fabrication est un document qui répertorie toutes les phases d'élaboration d'une pièce jusqu'à son stockage. Il s'agit de noter étape par étape l'évolution de la fabrication d'une pièce. Les gammes sont des cas particuliers de mode opératoire. Les deux grandes familles de gammes de fabrication sont les gammes d'usinage et les gammes d'assemblage. (source Wikipedia)

GPAOUn logiciel de GPAO, Gestion de la production assistée par ordinateur, est un programme modulaire de gestion de production permettant de gérer l'ensemble des activités, liées à la production, d'une entreprise industrielle :

�� couple homme/spécialité) permettant la création des gammes

(nomenclature de fabrication)�?�� ;"��

La GPAO est notamment caractérisée par un système de réapprovisionnement en produits et composants appelé calcul des besoins nets ou CBN.Le CBN est basé sur le système MRP. II est le fruit des travaux de l'APICS (American Production and Inventory Control Society).Les fonctions de la GPAO sont communément incorporées, depuis les années 1990, aux Progiciels de gestion intégrés (ERP ou PGI) qui s'appliquent à toutes les fonctions de l'entreprise. (source Wikipedia)

=��?�*�� .<=�� 8��J� �%=&?>�� de MRPII. (Source René Colin)


Mounir AALABOU - SCIFActivité chaudronnerie Clip Industrie 2014 p 11

David Calvez - A.M.I. - L’avenir appartiendra aux femmes


David Calvez - A.M.I. - Soudeur


Stéphane GESLIN - GESLIN-SASOutillage Clip Industrie 2014 p 14


Juste à TempsLe Juste-à-temps est une méthode d'organisation et de gestion de la production, propre au secteur de l'industrie, qui consiste à minimiser les stocks et les en-cours de fabrication.%��#�" ��/��/�� J� �� $��/�� /��/��/��/�� /�� (source Wikipedia)

KanbanUn kanban (カンバン ou 看板, ��!��"��#�� $�� $"�� /�� ?� �� J��$��[��Z��J� �� "�� "��"�� Le nombre de kanban en circulation doit être limité pour éviter la constitution d'en-cours trop importants. La méthode kanban ne dispense pas cependant d'établir des prévisions de vente et un programme de production �� J�� ?�� J��.<=��J� ��

�� &�� $"�� dispose dans une boîte.

�� %�� ! ��

substitue le kanban de manutention.�&�� ! �� >��

J��$"�� >��J��

�� (source Wikipedia)

Remarque�� >�� "�� K�� J�� manutention et production��.�� (Source René Colin)


Nicolas BARBIER - CITA Production - découpe chalumeau


*��%<�&;<�?&�%=�� $��&�


LeanLe mot « lean » (de l'anglais lean, « maigre », « sans gras », « dégraissé »�� $�� ;�� en matière de productivité, de qualité, de ��$��( �� muda en japonais�� 7�� J� �=�� >J� ��TPS��%�� et surtout l'industrie automobile��?�� "��"�� J�� <�� >�� "�� "�� « automatisation à visage humain »��

�� %��heijunka��#�"�� %�&��#�" �� SMED��

�� peu visibles chez Toyota, et de ce fait moins connus en dehors de l'entreprise�� ( �� andon�� poka yoke�� J��« Cinp pourquoi », roue de Deming, 8D��

�� J� �� "�� J�� $�� %�� [��Z� [��Z�� "; � ��[��Z�le terme même lean a été inventé au MIT en 1987�� 1996��=�� F��F��" ��"�� J� ��1996��J�� J� ��J�2004��J��?�� $�� "�� "��J� �� "�� 8�� "��J��J� ��$��


Virginie STURNER - SERMABLa puissance de l'eau

�� B�� ( ��$�� !�� en termes plus triviaux, on fait la « chasse aux stocks »).�� B�� B�� -�� J�� #�� J� �� ?�� kaizen�� "�� genchi genbutsu�� "�� "�� "��(source Wikipedia)



Édouard FUGIER - SERCS - Ressuage

Édouard FUGIER - SERCS - Soudure TIG


É��&;<�>;<?>�<�� $��

Édouard FUGIER - SERCS - Torche TIG


Christine BLANC - SDMS - Enceinte détecteur de neutrons1er prix du grand concours Clip Industrie Clip Industrie 2014 p 24

LIFOLast In, First Out, souvent abrégé par l’acronyme LIFO, signifie « dernier arrivé, premier sorti ».

Cette expression est utilisée dans différents domaines:

décrire une manière de traiter un groupe de données. La dernière donnée ajoutée à la structure est ainsi la première à être retirée (sauf commande particulière). La structure de pile repose sur ce principe.

pour décrire la manière dont

prélevés. Le premier arrivé

cela semble aberrant pour des denrées périssables,

(étagères, tiroirs, etc.c'est souvent la méthode habituelle, si le mode de

pour utiliser une autre méthode comme le FIFO.(source Wikipedia)


Méthode 5S La méthode des 5 S (en anglais the 5 S's) est une technique de management japonaise visant à l'amélioration �� B�� Élaborée dans le cadre du système de production Toyota (en anglais Toyota Production System ou TPS), elle tire son appellation de la première lettre de chacune de cinq opérations constituant autant de mots d'ordre ou principes simples :�>��整理?) : débarrasser�>�� 整頓?) : ranger�>��清掃?) : nettoyer�>�� 清潔?) : ordonner�>�� 躾?) : être rigoureuxNota : Cette démarche a été traduite en français par le �� 8<F<;��$��8��ou plus littéralement ôter l'inutile)�<��F��F��<�� "Buts�� >�� ?��>��objectif propre :�%�� J�� 8�� %�� "��=�� ;�� L'ensemble du système permet par ailleurs :�F�� personnel (il est plus agréable de travailler dans un lieu propre et bien rangé��F�� F�� 7�� F�� %�� Déroulement :Seiri (Débarrasser) :Lors de cette étape, il s'agit d'éliminer de l'espace de �� règles permettent de prendre les bonnes décisions :�� ou plus) depuis un an est jeté (ou recyclé si possible��

�F�� mois est remisé à l'écart (par exemple, au département des archives, ou au magasin à l'usine��F�� semaine est remisé à proximité (typiquement dans une armoire au bureau, dans le rangement au poste à l'usine��F�� F�� heure est au poste de travail, directement à portée de ��; �� Cette hiérarchisation du matériel de travail conduit logiquement à SeitonSeiton (Mettre en ordre) :?� �� 8�� de management visuel pour l'assister, mais souvent, le plus simple leitmotiv de Seiton est : « Une place pour �� Lors de cette étape, on cherche à aménager l'espace de �� Les règles de Seiton:�%�� (proximité, objets lourds faciles à prendre ou sur support…)�F�$�� <�� ( ��de l'opérateur�?�� > �� &�8�Seiso (Nettoyer) :Une fois l'espace de travail dégagé (Seiri) et ordonné (Seiton�� J�� conséquences considérables en provoquant des �� >��F�� <�� J� �� J�� >��


Stéphanie VILLARD - AMP industries - Engrenages droits en aluminium


Marc BRAVAIS - McPhy Energy Connexion cartouches

Seiketsu (Rendre évident, Maintenir la propreté)��J� ��>�� >�� Shitsuke(Être rigoureux)?� �� )��" de �� J� ��>�>�� $�� $��\��>�� (source Wikipedia)



Virginie STURNER - SERMAB - Manutention découpe jet d'eau


Virginie STURNER - SERMAB - Soudure aluminium


Stéphane GESLIN - GESLIN-SASContrôle Clip Industrie 2014 p 32


Aurélien BESSOU - SUD Découpe Industrie - découpe laser


Méthode SMED

La méthode SMED (SMED est l'abréviation de l'anglais Single Minute Exchange of Die, littéralement « changement �*��+��3:��#��"��3��;��#) a pour objectif de réduire le temps d'un changement de série, et permettre ainsi de réduire la taille de lot minimale. Elle a été développée par Shigeo Shingo pour le compte de l'entreprise Toyota. Si les temps de changement de série deviennent nuls, on peut alors envisager une fabrication à l'unité sans augmenter les coûts.Lors d'un changement de fabrication, la partie mise en train (l'amorce de la fabrication) peut représenter une part importante dans la fabrication ; et la partie mise en train n'est pas productive. Le but est de diminuer ce ��$�� On distingue deux types de réglage :�<��7 �� ( �� <��7 ��" �� ou peuvent se faire) machine en fonctionnement, donc en production.�� &�� $�� " ��?�� F�� " �� ( �� " ��et fait en réglages internes. Il est nécessaire d'étudier dans le détail les conditions réelles de l'atelier. Une ��J�� ( ��J�� "��(��&�� $�� $�� 7�� )�� J�� Séparation des réglages internes et des réglages externes?�� ( �� par exemple un changement d'outil��" �� " �� telles par exemple la ��3��:��).Transformation de réglages internes en réglages externes?�� " ��=��"�� <� �� ?�� ( �� Supprimer les réglages. Par exemple : utilisation de rondelles fendues d'épaisseurs connues intercalées entre deux plans pour éviter un réglage manuel avec mesure. >>


D'une façon plus générale, on utilisera des techniques qui évitent des aller-retour pilotés par un opérateur autour d'une valeur cible. Les technologies utilisées seront typiquement : des cales ou butées pré-dimen-sionnées, des asservissements digitaux qui positionnent automatiquement...Réduire les temps de réglageShingo propose, par exemple, de positionner, hors production, les dispositifs à une valeur estimée proche de la valeur à atteindre, au lieu de partir d'une position �" �(�� $�� 'àla valeur cible. On peut aussi adopter des moyens de ��$�� )�� $�� $��Réduire les temps des autres opérationsShingo cite l'exemple d'écrous serrés sur de longues ��$�� %�� -�� (�� $�� de nombreux tours d'écrous inutiles. Shingo a alors �� $�� serrés. Le temps de serrage a été drastiquement réduit.>�� $"� ��("clamps" ou "sauterelles" par exemple�� ) �� %�� .(��$�� (��Shingo, car il ne s'agit pas ici de réduire la taille des lots, le changement de roues de voitures en compétition J��[��#( ��>.;F�Impact comportementalShingo a remarqué de nombreux freins psychologiques en tentant d'implémenter sa méthode. Ceux-ci peuvent être résumés ainsi :�>�.��>�� " minutes ce que nous changions en quelques heures, il nous démontre que nous travaillions mal ou que nous étions paresseux.�<�� emplois. Shingo a contredit ce point, en argumentant que le but était au contraire de changer plus souvent.F�� "��J�� >.;F �� J� �� $ ��=�� $��retour en popularité dans les années 2010. (source Wikipedia)


Céline GOUVILLE - AIP91Clip Industrie 2014 p 3

Élyse STRAGAPEDE - LAINE THIEBAUT - notre coeur de métier : la soudure

Élyse STRAGAPEDE - LAINE THIEBAUT - opérateur CN


Élyse STRAGAPEDE - LAINE THIEBAUT - ajustage contrôle


MRP

.<=�� $�� .� ��<��=��.� ��<�� =��

.�� <��=�� ?��OQLF�� $�� %��( ��;<=�Enterprise Resource Planning, ou progiciel de gestion intégrée en français��.<=�� J� �� .�� .<=��)�� $�� 8�� .<=�=��>��?��*��"��composants »�� "¡ � ��[�¢�� .<=K��.<=&&�Manufacturing Resources Planning��?�� *��+��"��@��#��*��+��"��3��*H��#�� J� �� .<=��#�"��*��+��*��=��.<=��.<=�� [�¢Z��8��J�8�� .<=��.<=Z��.� ��<�� =��/��"��@��K��#), �� [�¢�� .<=[��.� ��<�� =�� #�"�� [��[��.<=K��.�� <��=�� £��"��U�#�� .<=K�� $�� [��F�� .<=��"�� ;<=��.<=��¤Z��J�� qui ne prenait pas encore en compte les capacités de production de l'entreprise�� ¥��[��Z�� !�� .<=�Materials Requirements Planning�� "�� J�� .<=K�Manufacturating Resources Planning)�� .�� F�� %� ��.�� %� ��vision produit� �=�� .�� *�� vision composant� �?�� .�� vision processus) XY�� .�� =�� vision ressource) XZ�� X[��\��*]�3�� XY��

>>


Stéphane GESLIN - GESLIN-SAS - PrécisionClip Industrie 2014 p 41


Christophe LAFFONT - ESAT Industriel - Touret

À l'aide des macro-données techniques et ��$�� industriel et commercial (P.I.C.�� macro-produits). Le raisonnement est alors à long terme. ?�� =&?�� (main d'œuvre et niveau de stocks) aux �� demande en termes de quantité.Grâce aux données de la charge globale, établissement d'un Programme Directeur de Production (P.D.P.�� $�� J��terme. Un Plan de charge (P.D.C) est alors ��>�� $�� ou les recours à l'embauche d'intérimaires. La recherche�� utiliser les ressources au maximum de leur �� .<= �� "�� .<=K�� telles que la ��$�� $��l'ordonnancement�� $�� ¦�� § �� .<=K�� gestion intégrés (ERP, Enterprise Resources Planning) et reste souvent l'un de leurs modules fondamentaux. (source Wikipedia)


Sandra Gibert - LUBAT - usinage de précision


Sandra GIBERT - LUBAT - Usinage de précision



Karen JOSEPH - McPhy Energy Soudure prototype appareil sous pression

Maîtrise statistique des procédés (MSP) La maîtrise statistique des procédés (MSP) (Statistical Process Control ou SPC en anglais), est le contrôle statistique des processus.Au travers de représentations graphiques montrant les écarts (en + ou en - ou en =) à une valeur donnée de référence, il sert à anticiper sur les mesures à prendre pour améliorer n'importe quel processus de fabrication industrielle (automobile, métallurgie, etc.).C'est surtout au Japon après la Seconde Guerre mondiale que cette discipline s'est implantée grâce à William Edwards Deming, disciple de Walter A.Shewhart .L'amélioration de la qualité des produits japonais avec l'utilisation systématique des cartes de contrôle a été telle, que les pays occidentaux ont développé à leur tour des outils pour le suivi de la qualité.Cette discipline utilise un certain nombre de techniques telles les plans d’expérience, les techniques de régression, les diagram- mes de Pareto, la capabilité, les cartes de contrôle, etc.

Le contrôle en cours de production a pour but d'obtenir une production stable avec un minimum de produits non conformes ��"��$�� )��qualité est « dynamique » : il ne s'intéresse pas au résultat isolé et instantané, mais �� qu'une pièce soit dans les limites des ��$�� répartition chronologique des pièces à l'intérieur des intervalles de tolérances. La MSP ou SPC a pour objet une qualité accrue par l'utilisation d'outils statistiques visant à une production centrée et la moins dispersée possible. (source Wikipedia)

NOMENCLATUREListe de tous les sous-ensembles, pièces intermédiaires et matières premières entrant dans la composition d'un ensemble "parent" avec indication, pour chacun d'eux, de la quantité nécessaire.(source Wikipedia)


Ordonnancement d’atelier :

L’ordonnancement d'atelier consiste à organiser dans le temps le fonctionnement d'un atelier pour utiliser au mieux les ressources humaines et matérielles disponibles dans le but de produire les quantités désirées dans le temps imparti.Concepts de base de l'ordonnancement : Tâches :�� B�� $��dont la réalisation est caractérisée par une durée pi (on a ci = ti + pi.�;�� B�� ou plusieurs) ressource k avec une intensité aik souvent supposée constante pendant l’exécution de la tâche. Dans certains �� B�� ( ��"�� "�� "�� F�� une tâche une fois commencée. On parle alors respectivement de problèmes préemptifs et non préemptifs.Ressources :Une ressource k est un moyen technique ou humain requis pour la réalisation d’une tâche et disponible en �� %��8�� J�� B�� (�� les hommes, les machines, l’espace, etc.�� F�� elle est consommable (matière première, budget, etc.) ; la consommation globale (ou cumul) au cours du temps est limitée.On distingue par ailleurs les ressources disjonctives (ou non partageables) qui ne peuvent exécuter qu’une tâche à la fois (machine-outil, robot manipulateur) et les ressources cumulatives (ou partageables) qui peuvent ( �� B�� équipes d’ouvriers, poste de travail).Contraintes :Les contraintes temporelles intègrent en général :�� "�� des tâches (délai de livraison par exemple) ou à la durée totale d’un projet ;�� décrivent le positionnement relatif de certaines tâches par rapport à d’autres (e.g contraintes de gammes dans le cas des problèmes d’ateliers) ;�� Ces contraintes peuvent toutes s’exprimer à l’aide d’inégalités de potentiels qui imposent une distance minimale entre deux instants particuliers associées aux tâches (le plus souvent les dates de début).Les contraintes de ressources :Les contraintes de ressources traduisent le fait que celles-ci sont disponibles en quantité limitée (leur capacité). 8�� J�� $�� $�� "�� .��.��% �� Flow Shop)�% �� Job Shop)�%� ��$�� (source Wikipedia)


Danièle BOUCHOT - BOUCHOT MÉCANIQUE - Tournage aiguille




David Di Mambro - IDEE FIXE - Peinture en cabine


David Di Mambro - IDEE FIXE - L'odeur du bois



Agnès PEREZ - EFITAMCarénage de phare3e prix du grand concours Clip Industrie

Ordre de Fabrication (O.F.)Document, ensemble de documents ou programme donnant ordre de fabriquer des �� $�� données. (source Wikipedia)

Ordre d’Approvisionnement (O.A.)Aussi appelé Ordre d'Achat, c'est un document utilisé par l'acheteur pour formaliser une transaction d'achat ou d'approvisionnement.(source Wikipedia)

O.POrdre de fabrication ou ordre d'approvision-�� $�� §�� l'entreprise a pour but d'avoir des O.P. aussi proches que possible de ceux qui permettent de satisfaire les clients sans pour autant fabriquer trop de produits.(source Wikipedia)

P.D.C : Plan de charge ({��=>?) (source Wikipedia)

PGI :Les PGI/ERP industriels trouvent leur origine ��$�� On reconnait le PGI/ERP industriel à ce qu'il repose sur un module central de type GPAO et/ou MRP assurant une couverture plus ou moins étendue de fonctionnalités telles que :�� $�� 7ordonnancement ;�� fabrication ;�� $�� maintenance, gestion de la qualité.(source Wikipedia)


Plan stratégique Plan présentant la stratégie à long terme ainsi que �� $ �� ceux du plan industriel et commercial il doit être ��(source Wikipedia)

Plan Industriel et Commercial (P.I.C.) (Voir MRP)

Programme Directeur de Production (P.D.P) (Voir MRP)

SPC (Statistical Process Control)(Voir Maîtrise statistique des procédés - MSP)

Système d’Information Un système d'information (SI) est un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, person-nel, données et procédures) qui permet de collecter, ��$�� -�� L'apport des nouvelles technologies de l'Information (NTIC) est à l'origine du regain de la notion de �J� ��¬�� moyens informatiques, électroniques et de procédés de télécommunication permet aujourd'hui - selon les besoins et les intentions exprimés - d'accompagner, d'automatiser et de dématérialiser quasiment toutes les opérations incluses dans les activités ou �� Ces capacités de traitement de volumes importants de données, d'inter-connexion de sites ou d'opé-rateurs géographiquement éloignés, expliquent qu'elles sont aujourd'hui largement utilisées (par exemple dans les activités logistiques) pour traiter et répartir l'information en temps réel, en lieu et place des moyens classiques manuels - plus lents - �� Ces capacités de traitement sont également fortement appréciées par le fait qu'elles renforcent le caractère « systémique » des données et traite-ments réalisés : la cohérence et la consolidation des activités lorsqu'elle est recherchée et bien conçue permet d'accroître la qualité du contrôle interne de la gestion des organisations, même lorsque �� (source Wikipedia)

Karen Joseph - McPhy Energy - Empilage STACK


Christophe LAFFONT - ESAT Industriel - Soudure pulsée

Karen Joseph - McPhy Energy - Bain de fusion



Aurélien BESSOU - Sud Découpe Industrie

Taux de Rendement Synthétique (TRS) ��<>�� processus industriel. Il est calculé en multipliant trois taux intermédiaires, qui permettent de comprendre les causes de la performance ou non-performance :- le taux de disponibilité : durée de fonctionnement brute / durée totale possible de fonctionnement.- le taux de productivité : durée de fonctionnement nette des arrêts (pannes…) / durée brute de fonctionnement.- le taux de conformité : durée de production d'unités conformes / durée de production nette.

TraçabilitéLa traçabilité désigne la situation où l'on dispose de l'information nécessaire � �� (éventuellement de façon rétrospective) la composition d'un matériau ou d'un produit tout au long de sa chaîne de production et de distribution. Et ce, en quelque endroit que ce soit, et depuis l'origine première du produit jusqu'à sa $�� « du berceau jusqu'à la tombe » pour les produits industriels, ou « de la fourche à la fourchette » pour un produit alimentaire. Les règles et bonnes pratiques en matière de traçabilité sont déterminées par des normes et/ou des organismes de Contrôle nationaux ou internationaux. Ainsi en Europe, la traçabilité des aliments est sous le contrôle de l'EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments).Le terme vient de l'anglais traceability ��$�� traçage » ; il n'est pas reconnu mais simplement toléré par l’Académie française. (source Wikipedia)


Nicolas BARBIER - CITA Production - Première soudure robot

Nicolas BARBIER - CITA Production - plasma


ÉLyse STRAGAPEDE - LAINE THIEBAUT - usinage CN

Bruno VARGAS - ETS VARGAS SAS - Alésage


1

2

3

Stéphane GESLIN1 - Usinage de précision2 - Poste de travail

3 - Christine BLANC - SDMS Moyens d'essai vide /optique/thermique ERIOS

4 - Mounir AALABOU - SCIFActivité férroviaire

5 - Agnès PEREZ - EFITAMConduit sortie échangeur 4

5


1

2

3

1 - Didier Soudain - Laine Thiebaut - soudure2 - David Calvez - A.M.I. .(�� )��#��sont belles3 - Yves Colas - SMAC Suspensions spatiales4 - Aurelien Bessou - Sud Découpe Industrie - ridelle5 - Agnès Perez - EFITAM Boitiers électriques 4

5


AMI : )�� £££� ��$��

AIP 91 :

AML MICROTECHNIQUE MAROC�� £££�� 7

AMP Industries : .��

BOUCHOT Mécanique��£££��

CITA production�� £££�� 7

CTA-MGA�?�%�?��)��%��.�%�.�� 77� ��7

EFITAM�� -�� $��£££��$ ��

ESAT Industriel : ; �� >��%��www.reseau-gesat.com/Gesat/Ariege,09/Pamiers,3040/esat-indus-triel-de-pamiers,e109/

Établissements VARGAS : ��£££��7

Fonderie de Gentilly : ��.��?��£££��-�� J��7

GESLIN SAS : ��£££��-��

IDEE FIXE : ?�� £££��$"��7

LAINE THIEBAUT�.��£££��- �� 7

LOISELET�� £££�� 7��

LUBAT : ��£££�� 7

McPhy Energy : �� J�� J�� J�� J�� £££��J��7��7

MDISPLAYS :

SCIF�>�� ?��$�� &�� £££��7

SDMS��£££��7

SERCS�� "��£££��7

SERMAB : F�� £££��7

SMAC : �� "�� £££��-��7

Sud Découpe Industrie �� £££��-�� 7

TICEM��)��&�� £££� ��7

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Loiselet - illuminations

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