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Livre PRÉMONITION / Cécile Menendez Curated by Laura Serani - Dirigé par William Guidarini Coédition Le Garage Photographie / Arnaud Bizalion Editeur Livre de 152 pages – Format 165 x 120 mm - 95 photographies en couleur Impression quadrichromie (Grafiche dell’Artiere - Bologne, It.) - ISBN 978-2-36980-111-5 Couverture toilée Setalux Metal avec marquage à chaud

Inspiré d’événements survenus dans sa propre vie, le travail de Cécile Menendez, nous ouvre les portes d’un univers, mystérieux, onirique. Le temps y est suspendu, le récit est flottant, entre rêve et réalité. Prémonition  de Cécile Menendez est le 4ème projet de création porté par Le Garage Photographie, après  Marseille, de  Didier Ben Loulou (2014),  Ceux qui restent, de William Guidarini (2015) et Vélodrome, le douzième homme, de Lionel Briot (2016).

Disponible uniquement sur commande Le Garage Photographie > http://k6.re/b1rkQ // Arnaud Bizalion Editeur >http://k6.re/9OGRJ Edition Courante : 28 € // Limited Edition : 38 € (sold out) // Coffret Prestige : 150 €

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ContexteCécile Menendez, photographe émergent issu du territoire de Marseille Provence a été sélectionnée dans le cadre d’un appel à candidature lancé par Le Garage Photographie au printemps 2016. Un comité d’experts en photographie et de partenaires du projet  composé de William Guidarini (directeur artistique du Garage photographie), Arnaud Bizalion (éditeur), Laura Serani (curatrice et critique), Alain Arnaudet (La Friche Belle de Mai - Marseille), Anne Marie D’Estienne d’Orves (adjointe au Maire de Marseille déléguée à l’Action culturelle - Spectacle vivant – Musées – Lecture Publique et Enseignements artistiques), et Didier Ben Loulou (photographe, résident au garage photographie en 2012-2014) s’est prononcé en faveur du travail de la photographe, retenant son originalité, sa qualité, et son potentiel éditorial.

La photographie de Cécile Menendez nous ouvre les portes d’un univers intérieur, suspendu entre rêve et réalité, puisant sa force dans son histoire familiale. Elle questionne sur les degrés de proximité du rapport que chacun entretient au monde, exprimé au travers de séries narratives, sortes de fictions intimes inspirées d’événements survenus dans sa propre vie.

L’origine de ce travail se situe ainsi au coeur d’un événement tragique : la perte d’un enfant in utero. Phénomène assez fréquent (la mort in utero touche 1 % des naissances chaque année) mais sujet tabou, peu traité en photographie avec une approche sensible et non descriptives.

La photographie dans le processus de deuil et de séparation joue un rôle particulier, devenant presque mystique. Car l’image d’un disparu n’est plus que sa représentation troublante de réalisme. Dans la perte d’un bébé in utero, il ne reste pas grand chose pour raconter cette histoire qui reste sans images.

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Intention de l’auteur« C’est parce qu’elle n’a pas vécu longtemps que son souvenir dépend entièrement de moi. La photographie a ses limites, dans le deuil elle joue un rôle particulier, elle devient presque mystique. Car l’image d’un disparu n’est plus que sa représentation troublante de réalisme. Dans la perte d’un bébé in utero, il ne reste pas grand chose pour raconter cette histoire qui reste sans images.

Après le départ d’Alice en 2009, qui vécu huit mois in utero, Héloïse naquit en 2010. Ces deux événements proches et poignants dans mon histoire familiale sont à l’origine de ce travail. L’image récurrente d’une fillette tantôt perdue dans les dédales d’un labyrinthe sombre, tantôt seul dans un square sur un cheval à bascule, une Alice tenant un lapin entre ses bras, sont autant d’images qui s’interprètent comme une prémonition. Le fil

conducteur est le deuil, dans l’attente d’une seconde chance, celle de se réapproprier sa propre histoire et de l’écrire à nouveau autrement, comme pour s’éloigner de la douleur, et revisiter la réalité en lui donnant un aspect de fiction, de narration poétique autour d’une petite fillette fantasmée d’un impossible deuil. Loin d’une commande photographique, ce travail fait écho à un besoin de création qui perpétue une interrogation portant sur les degrés de proximité du rapport que chacun entretient au monde. Ce questionnement est exprimé au travers d’univers fantasmés dans lesquels les portraits des membres de la famille côtoient des mises en scène déclinées avec une sensibilité particulière, de celle qui trouble, analyse et fait vibrer la réalité jusqu’à la faire ressembler à une fiction ».

Cécile Menendez - Janvier 2017

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Note d’engagement Qu'il s'agisse de l’attribution d’un prix, d’une bourse ou d’une résidence, chaque fois la sélection finale des gagnants et des gagnantes est difficile et parfois même un peu douloureuse. Probablement car les participations sont de plus en plus nombreuses, le niveau des participants élevé et les dossiers rigoureusement construits. Le choix du travail à retenir pour la publication en 2017 du livre prévu par le programme du Garage Photographie et les éditions Arnaud Bizalion, n’a pas échappé à cette consuétude et le comité s'est débattu longuement dans les difficultés du choix, avant de retenir un seul des trois dossiers finalistes, extrêmement différents l'un de l'autre.

Le projet de Cécile Menendez, enfin retenu, traite de façon sensible et originelle un sujet difficile et rarement affronté, celui de la mort prénatale. L’ensemble de ses images, entre autobiographie et fiction, journal et visions, exerce une sorte de magnétisme auquel il est difficile de rester indifférent. Sans connaître l'histoire, il émane des images une certaine nostalgie, une tristesse, un sens de solitude, sensations qui prennent avec Cécile Menendez des formes étranges et, surtout, sensations qui ne devraient pas accompagner des récits liés à l’enfance. Mais, justement, ses images traitent en même temps d'enfance et d'enfance niée. Silencieuse et mystérieuses elles racontent une histoire si difficile à dire, celle du deuil d'une femme qui au moment de donner la naissance, se retrouve, seule, sans l'enfant qui devait être là. Subitement, mais lentement, Cécile Menendez avec la photographie, pratique solitaire et silencieuse par excellence, a trouvé le moyen de partager sa douleur et un vécu qui souvent restent enfermés dans le silence et le déni. En couleur, souvent prises avec un appareil Polaroid, les images ressemblent à des flash-back, des visions sibyllines où s’alternent signes, rêves et cauchemars, sous des éclairs électriques qui balaient tout repère temporel et spatial. On revisite le passé avec la connaissance des faits survenus et tout de suite après, on est projeté dans un futur proche. Pris dans un rêve ou bien dans un rituel magique, face à des visions ou à des prémonitions, sans comprendre, on pressent, on ressent. Les échos et les visages de la douleur, apparaissent et disparaissent à travers la trame de la vie des autres, vie qui continue, qui relance le jeu, jusqu’à laisser percer des lueurs d’espoir et puis laisser la possibilité de la joie. Et même dans ces moments, réalité et fiction continuent à tisser une histoire où les petites protagonistes de cette pièce familiale, Alice et Héloïse, dans un va-et-vient continue et confondant, nous perdent dans un labyrinthe où les symboles, comme des cailloux, nous guident vers la sortie et la solution de l’énigme.

Malgré une fréquence annuelle et une collaboration régulière, les livres édités par le Garage Photographie et Arnaud Bizalion, dont Prémonitions est le quatrième ouvrage, ne font pas partie d’une collection, au sens classique du terme. En effet , à fin de mieux traduire et valoriser le travail du photographe, chaque livre est conçu telle une expérience éditoriale nouvelle, où les choix du format, du papier, du graphisme, etc. changent à chaque fois.

Laura Serani, Commissaire d’exposition et auteur

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BiographieCécile Menendez est née en Belgique en 1970. Issue d’une formation scientifique, elle s’engage dans la photographie à son arrivée en France au début des années 2000, au contact de photographes et professionnels de la photographie tels qu’Antoine d’Agata, Anders Petersen, Mathieu Pernot, Laure Vasconi, et Christian Caujolle. Elle est diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de la Photographie d’Arles en 2015. Ses photographies nous ouvrent les portes d’un univers intérieur, suspendu entre rêve et réalité, puisant leur force dans son histoire familiale, sur fond de guerre civile espagnole, dans l’angoisse de la maladie de son père et les récits et prophéties qu’elle entend au près de sa mère médium. Proche de la photographie de Nan Goldin, William Eggleston, Diane Arbus et Annelies Strba, ses inspirations proviennent également de la musique (RadioHead, Bjork, Thom Yorke, Nick Cave, PJ Harvey), du cinéma (David Lynch et Nic Pizzolatto), des œuvres de l’artiste Oscar Munoz, et du vidéaste Bill Viola. Expérimentant plusieurs appareils dont certains limités par leurs fonctionnalités basiques, elle sélectionne par essais, erreurs, les clichés les plus poétiques, mystérieux, ceux dont les effets de couleurs, le flouté, les images ratées, les accidents serviront au mieux le propos narratif de ses séries, sortes de fictions intimes inspirées d’événements survenus dans sa propre vie. Vit et travaille à dans le sud de la France www.cecilemenendez.com

L’auteur du texte Laura Serani Directrice artistique, commissaire d’expositions et auteur, Laura Serani collabore régulièrement avec des nombreuses institutions et maisons d’éditions en Europe et ailleurs. Elle a été notamment Déléguée artistique du Mois de la Photo à Paris (en 2014 et en 2008), Directrice artistique des Rencontres de Bamako, la Biennale africaine de la Photographie, au Mali (en 2009 et 2011), Directrice du Si Fest (en 2007 et 2008) et a longtemps collaboré avec Fotografia Europea - Reggio Emilia en Italie.  Auparavant, de 1985 à 2006, L.S. a dirigé la Collection Fnac ainsi que le réseau des Galeries photographiques de la Fnac (Europe, Brésil,Taiwan). Auteur de nombreux ouvrages, parmi lesquelles : La photographie entre histoire et poésie (Mazzotta), Inverno de Sarah Moon (Silvana Editoriale), La vie en rose de Malick Sidibé (Silvana Editoriale), Malick Sidibé, (Collection Photo Poche / Actes Sud), Inside Niger de Nicola Lo Calzo (Kehrer Verlag), Nous avons fait un très beau voyage, avec Jacques Borgetto, Bernard Plossu, Françoise Nunez et Sophie Zenon (Editions Filigranes), Evanescences de Jacques Borgetto (Editions Filigranes)… Dans la Collection des éditions L'Artiere elle a publié en 2016 Promises to keep de Max Pam et Ultimo Domicilio de Lorenzo Castore. Avec Le Garage Photographie et Arnaud Bizalion éditeur, Laura Serani a participé à la publication de Ceux qui restent de William Guidarini et Vélodrome de Lionel Briot  ; en préparation Prémonitions de Cécile Menendez et un ouvrage de Klavdij Sluban. Depuis 2014 présidente du jury résidences pour la photographie à la Fondation Les Treilles et commissaire de l'édition 2017 du Celeste Prize /Visible White,  Laura Serani est, et/ou a été membre de plusieurs jurys (Prix Niépce, World Press, New York Photofestival, Vipa, Prix de la Fondation Manuel Rivera-Ortiz, Circulations, Premio Emergentes Braga, Descubrimentos/Photo Espana, Villa Perochon, Pop Cap...) , et nominateur pour différents prix (Prix Pictet, Mack Books, British Journal of Photography ..). https://www.linkedin.com/in/lauraserani/

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PARTENAIRES POUR L’EDITION PHOTOGRAPHIQUE

ABE et LGP développent une démarche éditoriale avec depuis 2013 sur la base d’un livre par an. Il se caractérise par un travail d’équipe

mené sur la durée (12 mois) entre le photographe, Arnaud Bizalion,  William Guidarini pour Le garage photographie et Laura Serani (curatrice et critique) sur tous les aspects du

projet éditorial, pour une petite édition de 700 ex avec 20 tirages de tête. Le photographe avec lequel nous travaillons présente un profil ciblé. Il est soit l’auteur en résidence au garage photographie (Didier Ben Loulou, 2014 / Klavdij Sluban, 2018), soit un jeune auteur émergent issu de la région PACA, dont c’est la première édition (Ceux qui restent / William Guidarini, 2015 ; Vélodrome Le douzième homme / Lionel Briot, 2016 ; Prémonition / Cécile Menendez, 2017). Une exposition est également produite, pour porter la sortie du livre, présentée à La Friche Belle de Mai / Marseille.

Arnaud Bizalion développe une édition de création dans le champ de la photographie d’auteur. Les ouvrages sont le prolongement de la pensée artistique, ils s’imaginent et prennent forme peu à peu grâce à l’apport de chacun. Artistes et éditeur sont confrontés au grain, à la lumière, à l’objet, à la forme, au sens, au choix, à la cohérence d’une écriture difficile qui prend forme dans un livre, dans des livres. La création est là, toujours présente, exigeante, diverse.

www.arnaudbizalion.fr

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2014 MARSEILLE Didier Ben Loulou

2015 CEUX QUI RESTENT William Guidarini 2016  VELODROME LE DOUZIEME

HOMME 2017 PREMONITION Cécile Menendez

LE GARAGE PHOTOGRAPHIE est depuis 2010 un espace de création au service des auteurs photographes dans le cadre de projets construits, finalisés par l'exposition et l’édition. Cette démarche est développée pour des auteurs en prise avec le réel, dont le résultat témoigne et interroge, tout en s’inscrivant dans une approche narrative singulière et une esthétique contemporaine. Situé à Marseille, LGP a une double vocation : • Favoriser la pratique tout public, à travers la formation et l’animation et un ensemble de

rencontres autour du médium photographique, toute l’année. • Soutenir et mettre en valeur la création contemporaine, par des projets de résidences

d’artistes, d’expositions et d’éditions. LGP est administré par l’association iCi et Là, créée en 2004 qui reçoit le soutien de la Ville de Marseille, du Département des Bouches-du-Rhône et de la Région Provence Alpes-Côtes d’Azur.

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RESIDENCES

LE GARAGE PHOTOGRAPHIE invite, tous les deux ans, un photographe auteur pour une mission d’observation du territoire de Marseille Provence.

Ce dispositif, qui permet à l’artiste de poursuivre son travail photographique, est basé sur 3 axes fondamentaux :

LA CREATION, par une immersion longue sur le territoire (4 résidences au total sur 24 mois).

LE PARTAGE d’expériences (avec tous les publics du garage photographie).

LA RESTITUTION au grand public par l’exposition et le livre (avec Arnaud Bizalion éditeur).

2012-2014 : Didier Ben Loulou

2015-2018 : Klavdij Sluban

EDITIONS

LE GARAGE PHOTOGRAPHIE édite un livre par an avec Arnaud Bizalion Editeur. Une démarche éditoriale qui s’appuie sur 3 axes :

Un travail d’équipe mené sur la durée (12 mois m i n i m u m ) e n t r e l e p h o t o g r a p h e , A r n a u d Bizalion, William Guidarini pour LGP et  Laura Serani (curatrice et critique) sur tous les aspects du projet éditorial, pour une  petite édition de 500 ex avec 20 tirages de tête disponibles.

Un photographe au profil ciblé. Le photographe avec lequel nous travaillons est soit l’auteur en résidence au GARAGE PHOTOGRAPHIE (Didier Ben Loulou, 2014 / Klavdij Sluban, 2018), soit un jeune auteur émergeant issu de la région PACA, dont c’est la première édition (CEUX QUI RESTENT / William Guidarini, 2015  ; VELODROME LE DOUZIÈME HOMME /  Lionel Briot, 2016 ; PREMONITION / Cécile Menendez, 2017).

Une exposition est produite, pour porter la sortie du livre, présentée à la Friche La Belle de Mai à Marseille.

LE GARAGE PHOTOGRAPHIE ET LA FRICHE BELLE DE MAI, partenaires pour la diffusion d’oeuvres photographiques

Née de l'ancienne usine de la Seita, aujourd'hui lieu de création et d'innovation, La Friche la Belle de Mai est à la fois un espace de travail pour ses 70 structures résidentes (400 artistes et producteurs qui y travaillent quotidiennement) et un lieu de diffusion (600 propositions artistiques publiques par an, de l'atelier jeune public aux plus grands festivals). Avec près de 300 000 visiteurs par an, la Friche la Belle de Mai est un espace public multiple où se côtoient une aire de jeux et de sport,

un restaurant, 5 salles de spectacles et de concert, des jardins partagés, une librairie, une crèche, 2400 m2 d'espaces d'exposition, un toit terrasse de 8000 m2, un centre de formation. Sur ce nouveau territoire culturel et urbain, on imagine, on crée, on travaille pour que chaque idée puisse trouver son terrain d'application. La Friche, par sa taille et son grand nombre d'espaces peut offrir ses lieux de travail aux artistes et permettre, de surcroit, une simultanéité de projets. Ici, sculpteurs, comédiens, peintres, photographes, danseurs, producteurs, peuvent prendre le temps nécessaire à leur écriture et à leur production. Tous les publics, toutes les disciplines artistiques, des bébés à la Crèche jusqu'aux parents dans les expositions du Panorama, en passant par les tout-petits aux spectacles du Théâtre Massalia, les adolescents au Playground, et les jeunes adultes aux concerts de musiques actuelles du Cabaret Aléatoire… La Friche a un crédo : l'exigence artistique et le croisement des pratiques et des publics, que l'on retrouve tout au long de l'année dans sa programmation artistique.

Le Garage Photographie a su réunir tous les talents qui ont permis au beau projet « Vélodrome  le douzième homme » d’exister et d’attirer un public nombreux et très divers l’an passé :  un artiste engagé avec un travail remarquable (Lionel Briot), une talentueuse commissaire (Laura Serani), la belle qualité d’édition du livre (coédité avec Arnaud Bizalion éditeur).  C’est pourquoi je suis heureux de poursuivre notre collaboration en accueillant l’exposition "Prémonition" de Cécile Menendez du 1er au 29 octobre 2017 dans la Galerie de la Salle des Machines. Merci de m’avoir associé au jury de sélection qui a choisi cet artiste parmi les très belles candidatures. Nous pourrons, comme cela fut le cas lors du précédent projet, envisager l’organisation d’autres événements autour de l’exposition. Alain ArnaudetDirecteur Général Friche la Belle de Mai 

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PREMONITION / Photographies de Cécile Menendez EXPOSITION 1/29 OCTOBRE 2017

Commissariat Laura Serani et William Guidarini Friche la Belle de Mai (Galerie de la Salle des Machines)

Production LE GARAGE PHOTOGRAPHIE