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1 L’Orphelinat de la Résurrection J’avais vingt-cinq ans au début des années cinquante et j’appartenais à un milieu aisé que les mauvaises langues appelaient les « profiteurs de guerre ». Mes parents — simples épiciers avant la guerre — avaient amassé une fortune prodigieuse grâce au marché noir et nous vivions dans une belle propriété de province servis par du personnel de maison. Mon père ne ressentait aucune culpabilité à cette situation disant qu’il n’avait fait que saisir les opportunités qui se présentaient à lui et que toutes les personnes se trouvant dans une situation comparable avaient agies de la même façon, ce qui était loin d’être faux. Fils unique, je vivais une existence confortable et oisive avec, toutefois, un penchant peu avouable ; une attirance sexuelle envers les enfants. La chair tendre et virginale de ces êtres innocents alimentait en permanence mes fantasmes et mes pollutions nocturnes et me maintenait dans un état de frustration permanent. Certes, comme c’était l’usage dans notre milieu, j’avais dépucelé notre plus jeune bonne qui venait d’avoir quatorze ans et, bien que je ne détestais pas la courser et la culbuter sur une table ou bien la prendre en levrette pendant qu’elle nettoyait le sol à quatre pattes, ses seins qui ballottaient et les poils hirsutes de sa moule à l’odeur forte étaient des repoussoirs qui gâtaient mon plaisir. Le seul enfant qui vivait dans notre propriété était le fils du jardinier ; un blondinet de huit ans qui courrait beaucoup et dont la culotte courte laissait deviner un petit cul bien appétissant. Bien sûr, j’aurais préféré que ce fut une fille mais faute de grives on mange des merles et je m’arrangeais, lorsque son père était occupé ailleurs, pour m’isoler avec lui dans la cabane à outils au fond du jardin. Usant de la politique de la carotte et du bâton j’étais arrivé à l’apprivoiser et à passer des moments fabuleux avec lui ; le bâton était la description apocalyptique de la punition qu’il recevrait si il parlait à qui que ce soit de nos jeux interdits, et la carotte était la généreuse part de dessert que je lui apportais à chaque fois ; flanc pâtissier, tarte aux pommes, etc. il ne faut pas oublier qu’à cette époque il y avait encore des restrictions et que ces gâteries n’étaient accessibles qu’aux familles bourgeoises ! Je procédais de la manière suivante ; j’allais voir la cuisinière et lui expliquais que j’avais une grosse faim et elle me donnait une part substantielle du dessert du jour que j’allais mettre bien en évidence dans la cabane. Ensuite, je récupérais le gamin et nous nous enfermions ensemble. Pendant que ses yeux restaient fixés sur le gâteau, je lui retirais sa culotte et l’allongeais sur une table, puis je prenais son petit paquet dans la bouche et faisais rouler ses petites boules et son bâton sous ma langue jusqu’à ce qu’il soit bien dur. Je redressais ensuite ses cuisses en les écartant et me livrais à mon activité favorite ; plonger mon visage entre ses fesses et assouplir la petite rondelle de son anus avec ma langue jusqu’à ce qu’elle s’ouvre, puis je suçais le majeur de ma main gauche et lui enfonçais dans le cul pendant que je branlais sa petite bite avec deux doigts de la main droite. Ce fut lors de notre troisième séance qu’il eut le premier orgasme sec de sa vie ! Ces jeux me mettaient dans un état d’excitation invraisemblable et, lorsque je ne pouvais plus tenir, je faisais descendre le gamin de la table, sortais ma bite et lui flanquais dans la bouche. Il me suçait jusqu’à ce que je décharge et, pour lui, c’était le signal ; il avalait la purée et se jetait ensuite sur le dessert qu’il dévorait en pleurant de bonheur sans même prendre le temps de se rhabiller. Je n’oublierai jamais la vision de ce gamin qui ingurgitait la part de tarte comme un ogre pendant que je tripotais son cul et que sa petite quéquette se dégonflait doucement. Malheureusement, la fois suivante, alors que je m’apprêtais à l’enculer pour la toute première fois, nous fûmes surpris par son père. La situation était délicate mais pas un mot ne fut prononcé ; le père rhabilla son fils, le petit lui montra la tarte, le père fit non de la tête et me regarda, je fis un signe d’assentiment et le père donna la tarte à son fils et ils sortirent. Le lendemain, mon père me prit à part :

L’Orphelinat de la Résurrection

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Un jeune homme trouve son bonheur en visitant un orphelinat catholique, dans les années cinquante, tant auprès des sœurs que des orphelines.

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L’Orphelinat de la Résurrection

J’avais vingt-cinq ans au début des années cinquante et j’appartenais à un milieu aisé que les mauvaises langues appelaient les « profiteurs de guerre ». Mes parents — simples épiciers avant la guerre — avaient amassé une fortune prodigieuse grâce au marché noir et nous vivions dans une belle propriété de province servis par du personnel de maison. Mon père ne ressentait aucune culpabilité à cette situation disant qu’il n’avait fait que saisir les opportunités qui se présentaient à lui et que toutes les personnes se trouvant dans une situation comparable avaient agies de la même façon, ce qui était loin d’être faux.

Fils unique, je vivais une existence confortable et oisive avec, toutefois, un penchant peu avouable ; une attirance sexuelle envers les enfants. La chair tendre et virginale de ces êtres innocents alimentait en permanence mes fantasmes et mes pollutions nocturnes et me maintenait dans un état de frustration permanent. Certes, comme c’était l’usage dans notre milieu, j’avais dépucelé notre plus jeune bonne qui venait d’avoir quatorze ans et, bien que je ne détestais pas la courser et la culbuter sur une table ou bien la prendre en levrette pendant qu’elle nettoyait le sol à quatre pattes, ses seins qui ballottaient et les poils hirsutes de sa moule à l’odeur forte étaient des repoussoirs qui gâtaient mon plaisir.

Le seul enfant qui vivait dans notre propriété était le fils du jardinier ; un blondinet de huit ans qui courrait beaucoup et dont la culotte courte laissait deviner un petit cul bien appétissant. Bien sûr, j’aurais préféré que ce fut une fille mais faute de grives on mange des merles et je m’arrangeais, lorsque son père était occupé ailleurs, pour m’isoler avec lui dans la cabane à outils au fond du jardin. Usant de la politique de la carotte et du bâton j’étais arrivé à l’apprivoiser et à passer des moments fabuleux avec lui ; le bâton était la description apocalyptique de la punition qu’il recevrait si il parlait à qui que ce soit de nos jeux interdits, et la carotte était la généreuse part de dessert que je lui apportais à chaque fois ; flanc pâtissier, tarte aux pommes, etc. il ne faut pas oublier qu’à cette époque il y avait encore des restrictions et que ces gâteries n’étaient accessibles qu’aux familles bourgeoises !

Je procédais de la manière suivante ; j’allais voir la cuisinière et lui expliquais que j’avais une grosse faim et elle me donnait une part substantielle du dessert du jour que j’allais mettre bien en évidence dans la cabane. Ensuite, je récupérais le gamin et nous nous enfermions ensemble. Pendant que ses yeux restaient fixés sur le gâteau, je lui retirais sa culotte et l’allongeais sur une table, puis je prenais son petit paquet dans la bouche et faisais rouler ses petites boules et son bâton sous ma langue jusqu’à ce qu’il soit bien dur. Je redressais ensuite ses cuisses en les écartant et me livrais à mon activité favorite ; plonger mon visage entre ses fesses et assouplir la petite rondelle de son anus avec ma langue jusqu’à ce qu’elle s’ouvre, puis je suçais le majeur de ma main gauche et lui enfonçais dans le cul pendant que je branlais sa petite bite avec deux doigts de la main droite. Ce fut lors de notre troisième séance qu’il eut le premier orgasme sec de sa vie ! Ces jeux me mettaient dans un état d’excitation invraisemblable et, lorsque je ne pouvais plus tenir, je faisais descendre le gamin de la table, sortais ma bite et lui flanquais dans la bouche. Il me suçait jusqu’à ce que je décharge et, pour lui, c’était le signal ; il avalait la purée et se jetait ensuite sur le dessert qu’il dévorait en pleurant de bonheur sans même prendre le temps de se rhabiller. Je n’oublierai jamais la vision de ce gamin qui ingurgitait la part de tarte comme un ogre pendant que je tripotais son cul et que sa petite quéquette se dégonflait doucement.

Malheureusement, la fois suivante, alors que je m’apprêtais à l’enculer pour la toute première fois, nous fûmes surpris par son père. La situation était délicate mais pas un mot ne fut prononcé ; le père rhabilla son fils, le petit lui montra la tarte, le père fit non de la tête et me regarda, je fis un signe d’assentiment et le père donna la tarte à son fils et ils sortirent.

Le lendemain, mon père me prit à part :

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– Alors, il paraît que tu aimes les enfants ?

– Euh...

– Le jardinier, sans me donner trop de détails, m’a dit que tu t’intéressais d’un peu trop près à son fils.

– C’est vrai que je ressens une attirance sexuelle pour les enfants.

– Les petits garçons ?

– Non, plutôt les filles mais comme il n’y en a pas ici...

– Je me demande d’où te vient cette perversion ! Moi, c’est plutôt les femmes avec des gros seins et un gros cul qui m’intéressent.

– Comme la cuisinière ?

– Comment tu le sais ?

– Juste une impression.

– Bon, parlons sérieusement ! Laisse tomber le fils du jardinier et, d’une manière générale, ne touche jamais à un enfant qui a des parents ; cela t’évitera de graves ennuis à plus ou moins long terme ! Si tu as envie de te faire des gamines, va à l’orphelinat !

– L’orphelinat ?

– Oui, l’orphelinat de la résurrection, il est situé à une vingtaine de kilomètres du bourg et il est tenu par des Sœurs. Je sais de source sûre qu’elles ont des soucis financiers pour nourrir la centaine de fillettes qu’elles hébergent et que les généreux bienfaiteurs qui leur offrent une assistance financière sont récompensés bien au-delà de leurs espérances, si tu vois ce que je veux dire.

– Merci, Papa !

***

Le lendemain, je me rendis à l’orphelinat de la résurrection. C’était une grande bâtisse austère entourée de hauts murs. Après avoir actionné le heurtoir de la lourde porte d’entrée, un volet s’ouvrit et le visage d’une jeune nonne en cornette apparut :

– Bonjour, je suis Sœur Emmanuelle, que désirez-vous ?

– Je souhaiterais rencontrer la Mère Supérieure.

– C’est pour une adoption ?

– Non, je n’ai pas de projet d’adoption pour l’instant mais je suis admiratif de votre œuvre et de votre vocation et j’aimerais parrainer financièrement des enfants pour vous aider à améliorer leur sort.

Le visage de la nonne s’illumina, elle manœuvra un gros verrou et me conduisit dans une salle spartiate munie d’une table et de deux chaises et me demanda d’attendre. Quelques minutes plus tard, elle revint avec une Sœur plus âgée à l’allure aimable et attentive :

– Bonjour Monsieur, je m’appelle Sœur Albertine et je suis la Mère Supérieure de cet établissement.

Je me présentai et réitérai ma volonté de parrainer des orphelins en lui remettant une enveloppe contenant une petite liasse de grosses coupures. Elle l’ouvrit, en évalua très vite la somme et me fit un sourire chaleureux :

– Merci pour votre générosité ! Si vous saviez à quel point nous en avons besoin ! Quel genre d’enfant souhaiteriez-vous parrainer ?

– J’adorerais que ce soit une fillette ni trop jeune ni trop âgée, disons entre huit et dix ans, pour que nous puissions communiquer.

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– Préféreriez-vous un petit ange candide pourvu de son innocence originelle ou plutôt une petite hétaïre ayant un certain « vécu » ?

– Compte tenu de ma propre inexpérience, l’hétaïre m’éviterait sûrement de commettre des maladresses.

– Parfait, Sœur Emmanuelle va vous conduire dans notre chambre d’hôtes et je vais aller chercher votre filleule. Vous aurez toute l’après-midi pour faire connaissance et il faudra nous la rendre lorsque la cloche de la prière de dix-huit heures retentira.

– Merci, ma Mère.

***

La chambre d’hôtes était plus grande et un peu moins spartiate que la pièce précédente ; elle comprenait un grand lit, une chaise, un prie dieu faisant face à un crucifix, des martinets accrochés au mur et... un bidet dans un coin de la pièce !

La Mère Supérieure entra en tenant par la main une petite fille à l’allure sage, élégamment vêtue d’un chemisier blanc sans manche, d’une jupe courte noire à pois blancs et d’un foulard noir à pois blancs noué autour du cou. Elle portait aussi un bandeau blanc dans ses cheveux châtain.

– Voici Line, elle vient juste d’avoir neuf ans et elle est très ouverte et très docile, n’est-ce pas Line ?

– Oui, ma Mère !

– Bon, je vous laisse ! Je compte sur toi pour satisfaire ce Monsieur qui a fait un don substantiel à notre orphelinat.

– Oui, ma Mère ! dit-elle en faisant une révérence et en baissant les yeux.

Dès que la Mère Supérieure fut sortie, la petite se détendit et me fit un grand sourire. Je m’assis sur le lit et lui fit signe d’approcher ; j’étais bien plus ému qu’elle ! Je la pris dans mes bras et la serrai maladroitement contre moi en mettant mon nez dans ses cheveux longs qui sentaient si bon. Je posai une main timide sur ses fesses et me mis à les caresser doucement, elle semblait ne pas porter de culotte, je glissai ma main sous sa jupe et frémis au contact de la peau nue de son entrejambe.

– Tu ne portes pas de culotte ?

– Bah non, faudrait la mettre et la retirer tout le temps.

– Pourquoi ?

– D’abord, il y a Sœur Elizabeth mais on l’appelle Sœur Zézette parce qu’elle touche tout le temps à nos minettes. Et puis il y a le curé, il est gros, il est tout rouge et quand il parle son haleine sent le vin de messe. En plus il tripote tout le temps nos fesses avec ses gros doigts boudinés.

– Il ne fait que vous tripoter ?

– Non, des fois il sort sa bite, elle est encore plus boudinée que ses doigts et plus rouge que son visage ! Il nous fait nous pencher en avant et retrousser nos jupes puis il la frotte dans notre craquette et il nous demande de nous retourner et de la mettre en bouche juste avant de cracher. Des fois on ne va pas assez vite et sa bite gicle toute seule et ça fait une grosse tache sur sa soutane et il n’est pas content !

– J’adore tes histoires et ta façon de la raconter et je comprends que des gens aiment te toucher car tu es vraiment sexy !

– Vous le pensez vraiment ?

– Cent pour cent ! Regarde ma bite est toute dure à cause de toi.

– Vous voulez que je la suce ?

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– Je n’osais pas te le demander.

J’ouvris ma braguette et mon chibre turgescent jaillit comme un lapin du chapeau d’un magicien. La petite Line s’agenouilla et se mit à l’ouvrage avec un savoir-faire étonnant pour une gamine de son âge ; Slurp ! Slurp ! Slurp ! Caresses câlines sur mes couilles ! Quel talent ! Elle vint à bout de sa mission en quelques minutes et avala en souriant l’hommage reconnaissant que lui distillèrent mes burnes en fusion.

– Tu as un véritable talent, c’est trop bon ! Il y a longtemps que tu vis à l’orphelinat ?

– J’y suis pratiquement née ! Ma mère m’a déposée dans un berceau devant la porte juste après ma naissance et est partie, je ne connais ni ma mère ni mon père.

– Comment es-tu devenue experte pour donner du plaisir aux hommes ?

– C’est une longue histoire ! Dans l’orphelinat, il y a le dortoir des Saintes Nitouche où les petites filles sont vierges et ignorent tout du sexe, elles étudient et font des prières toute la journée et sont destinées à devenir des bourgeoises en épousant des hommes riches. Et puis il y a le dortoir des Marie-Madeleine dont la mission divine est de soulager la misère sexuelle des hommes. Il n’y a aucun contact entre les pensionnaires des deux dortoirs ! Au début, je dormais dans le dortoir des Saintes Nitouche et, un jour, je venais d’avoir six ans, un homme politique très influent et très riche a proposé de faire un don important à l’orphelinat à condition de pouvoir déflorer la plus belle des Saintes Nitouche. J’ai été choisie, ça m’a fait vraiment très mal et après j’ai changé de dortoir ! Depuis, je me suis faite une raison ; une Sainte Nitouche peut faire le bonheur d’un seul homme alors qu’une Marie-Madeleine peut rendre des centaines d’hommes heureux et je suis fière d’en être une !

– Et je suis trop heureux de t’avoir rencontrée ! Je voudrais que tu réalises mon rêve ; voir une petite fille de neuf ans toute nue qui ouvre ses jambes et sa petite minette rien que pour moi.

– Mon Maître, vos désirs sont des ordres !

Line se déshabilla et ouvrit sa petite charnière en grand. Le visage à quelques centimètres de son coquillage, j’en étudiai les moindres détails en me demandant comment ma grosse queue pourrait trouver sa voie dans cette petite crevasse rose. Après avoir sniffé et goûté ce fabuleux joyaux, j’escaladai son corps menu et réussis à enfiler son bénitier jusqu’au fond ! Le pied absolu ! Faisant fi de tout scrupule, je me mis à pomper comme un malade alors que Line se cramponnait à moi des quatre fers et la crampe libératrice fut à la hauteur du chalenge ; intense et productive !

Line fit la toilette de ma virilité apaisée à petits coups de langue puis elle alla nettoyer sa crèche sur le bidet. J’adore voir une fille faire sa toilette intime sur un bidet ; son buste penché gracieusement, sa tête attentive fixant la crevasse de son entrejambe bien ouverte par ses cuisses écartées en grand, ses doigts qu’elle introduit au plus profond de son vagin et qu’elle fait tourner pour aller déloger les plus infimes grumeaux de sperme qui s’y terrent et qui seraient susceptibles de la féconder si elle les négligeaient. Bien sûr, Line était trop jeune pour procréer mais elle avait déjà acquis la technique primordiale de la toilette post coïtale à cette époque où la contraception n’existait pas encore.

Ma tension sexuelle étant retombée, il était temps de jouir « intellectuellement » du corps juvénile qui m’était offert. Allongés côte à côte sur le lit, je caressais l’ensemble de son corps ; sa peau avait la douceur de la soie la plus précieuse et je la couvrais de baisers, je humais aussi des endroits précis aux flagrances envoûtantes, ses aisselles, ses aines, ses orteils, la plante de ses pieds. Puis je la retournais et contemplais son derrière ; récompense suprême ! Avec une pensée émue pour le fils du jardinier, j’écartais les fesses de Line ; son petit œil rose et plissé me regardait avec bienveillance. Alors je me suis mis à le lécher, encore et encore... Line réagit :

– Oooh, j’adore quand on me suce les fesses ! C’est une caresse rare que trop peu de gens pratiquent !

– Tu me le feras aussi, alors ?

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– C’est promis ! Euh... vous pouvez aussi mettre votre bite dedans si le cœur vous en dit.

– C’est vrai ?

– Oui, si on se met en petites cuillers ça sera mieux car comme ça je pourrais jouer avec ma zézette pendant que vous m’enculez, j’ai encore envie !

– Tu m’aimes bien ?

– Oui, vous êtes beau ! C’est la première fois que je fais l’amour avec un homme aussi jeune et j’aime bien ça !

Charmé par cette connivence, j’ai limé doucement la tendre croupe enfantine de Line pendant que ces doigts faisaient des clapotis dans sa craquette mouillée. J’ai bien ressenti son orgasme aux spasmes de son anus ponctués de petits cris étouffés. Ma mission étant accomplie, je me suis laissé aller à vider mes couilles au fond de son rectum et... nous nous sommes endormis l’un dans l’autre...

La cloche de la prière de dix-huit heures nous a réveillés et Line s’est précipitée sur le bidet pour laver ses fesses puis elle s’est habillée à toute vitesse et m’a embrassé en me soufflant d’un air contrit :

– C’est dommage, je n’ai pas eu le temps de mettre ma langue dans vos fesses.

– Je crois qu’on se reverra !

– C’est vrai ? Chic alors !

Et elle sortit. Je me rhabillai et attendis que l’on vienne me chercher. La Mère supérieure apparut dix minutes après :

– Comment s’est passée cette entrevue avec votre filleule ?

– C’était parfait ! Et je vous remercie pour votre accueil ! Je dispose de quelques liquidités et je crois de mon devoir de continuer à parrainer les enfants de votre orphelinat.

– Je vous en remercie ! Dans ce cas, je vous propose de revenir samedi prochain avant midi, vous aurez l’occasion de voir l’ensemble de nos pensionnaires.

– Merci, ma Mère !

***

Le samedi suivant, je me présentai à onze heures trente à la porte de l’orphelinat où Sœur Emmanuelle m’accueillit avec un grand sourire :

– La Mère Supérieure m’a chargée de vous présenter nos pensionnaires.

– Elles sont nombreuses ?

– Actuellement, nous hébergeons cent douze orphelines âgées de quelques mois à treize ans.

– Que deviennent-elles après treize ans ?

– Si elles ne sont pas adoptées, elles sont transférées dans un autre orphelinat situé au cœur d’une grande ville où elles peuvent suivre des études secondaires ou supérieures.

– J’ai cru comprendre que les fillettes étaient réparties dans deux dortoirs ?

– En fait, il y a trois dortoirs ; le « dortoir du Petit Jésus » où se trouvent les bébés et les très petites filles jusqu’à l’âge de cinq ans, après, de six à treize ans, elles sont réparties en deux dortoirs selon qu’elles aient conservé leur innocence et leur virginité ou qu’elles soient plus ou moins initiées aux pratiques sexuelles.

– Les Saintes Nitouche et les Marie-Madeleine ?

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– En fait l’appellation Sainte Nitouche a été inventée par les occupantes du « dortoir de Marie-Madeleine » car le dortoir des vierges s’appelle le « dortoir de la Vierge Marie ».

– Combien y a-t-il d’orphelines dans chaque dortoir ?

– Environ cinquante chez les toutes petites, et une trentaine dans chaque dortoir des grandes.

– Trente Marie-Madeleine ? Cela fait beaucoup de fillettes de six à treize ans qui ont déjà perdu leur virginité !

– Il y a plusieurs raison à cela ; certaines orphelines ont été violées dans leurs familles d’accueil, d’autres ont fugué et fait de mauvaises rencontres ou ont dû vendre leur corps pour subsister, il y a enfin celles qui se dévouent pour apporter des compensations voluptueuses aux généreux donateurs qui assurent la pérennité de notre établissement grâce leur soutien financier.

– Comme cela est bien dit !

– Je vois que vous savez de quoi je parle ;-) La Mère Supérieure vous a demandé de venir aujourd’hui car le samedi matin est réservé aux activités sportives ; volley-ball et badminton et, à midi, les filles prennent leur douche et comme le règlement nous interdit d’introduire un homme dans le dortoir des filles, vous allez avoir le privilège de les voir nues sous la douche.

– Mais... elles ne vont rien dire ?

– Elles n’en sauront rien ! Nous avons aménagé des cabines d’observations avec des glaces sans tain qui permettent de voir sans être vus, suivez-moi !

J’étais abasourdi par cette révélation ! Décidément, l’orphelinat de la résurrection gagnait à être connu ! Je suivis Sœur Emmanuelle dans un dédale de couloirs sombres puis elle ouvrit une porte et nous pénétrâmes dans un local sombre éclairé par une sorte de baie vitrée qui était en fait une glace sans tain donnant sur une salle carrelée en bleu qui comportait des lavabos collés contre la glace, une rangée de pommes de douches sur la gauche, des vestiaires sur la droite, et des cabines de WC à la turque sans portes juste en face. Sœur Emmanuelle me souffla à voix basse :

– C’est la salle de douches et les toilettes du dortoir des Saintes Nitouche !

– Pourquoi n’y a-t-il pas de portes aux WC ?

– Il est primordial pour nous de pouvoir surveiller nos pensionnaires dans TOUTES les situations pour éviter les dérives malheureuses qui se produisent dans d’autres orphelinats.

– Quel genre de dérives ?

– Des violences physiques ou sexuelles des grandes sur les petites, des rackets, l’usage de drogues, etc. Nous tenons à ce que nos fillettes soient irréprochables pour que les éventuelles familles adoptantes n’aient pas trop de soucis avec elles.

Pendant que Sœur Emmanuelle parlait, une nuée de gamines de six à douze ans en sueur et en tenue de sport envahirent les lieux en piaillant. Elles se débarrassèrent de leurs chaussures, socquettes, polos blancs, shorts bleus et petites culottes roses et se retrouvèrent nues en un clin d’œil. Voir une trentaine de fentes juvéniles et de petits culs exposés d’un seul coup, cela fait un drôle de choc ! Les plus âgées avaient du duvet au bas du ventre et leurs seins commençaient à bourgeonner, mais la majorité d’entre elles avait un buste plat et un abricot lisse.

Certaines se précipitèrent sous les douches pendant que d’autres allèrent s’accroupir dans les toilettes laissant un filet de liquide doré fuser de leur petite encoche entrouverte. Elles se relevèrent et furent remplacées par d’autres, mais deux d’entre elles restèrent accroupies en grimaçant ; il s’agissait là d’une grosse commission et des colombins bruns se mirent à sourdre lentement de leurs anus distendus.

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Pendant ce temps, la plupart des autres gamines se shampouinaient et se savonnaient sans oublier leur entrejambe et la raie de leur fesse qu’elles astiquaient consciencieusement en écartant leurs jambes. Le spectacle était prenant au niveau de la libido et une tente s’était formée dans ma braguette. Je jetais un œil sur Sœur Emmanuelle qui ne semblait pas non plus indifférente au spectacle ; ses yeux étaient humides et sa poitrine montait et descendait à un rythme soutenu !

Je mourrais d’envie de libérer ma bite pour me soulager et, miraculeusement, la main de Sœur Emmanuelle vint se poser sur ma bosse ! Son regard était toujours braqué sur les fillettes et je décidai de libérer ma queue à laquelle elle s’agrippa comme si elle avait peur de perdre l’équilibre. Elle se mit à me branler pendant que les gamines nues se lavaient, pissaient et chiaient sous nos yeux. Lorsque trois d’entre elles, après s’être lavées et rincées, vinrent se coiffer en se regardant dans la glace derrière laquelle nous nous trouvions, le visage à la hauteur de ma queue, c’en était trop ! Je déchargeai avec des grognements étouffés et les giclées de sperme vinrent éclabousser l’envers du miroir à la hauteur des lèvres des petites fées innocentes qui se miraient dedans.

Petit à petit, les fillettes finirent leur toilette et s’en allèrent. Je rangeai mes attributs guerriers sans oser regarder Sœur Emmanuelle. Ce fut elle qui apaisa la situation :

– Ne soyez pas embarrassé ! La vocation d’une religieuse est d’apporter du réconfort à son prochain.

– Je vous remercie sincèrement pour votre attitude « charitable » à mon égard, vous êtes une Sainte, ma Sœur !

– N’en dites pas trop ! Au fait, que pensez-vous de nos Saintes Nitouche ? En avez-vous remarqué une qui ferait plus particulièrement battre votre cœur ?

– Mon dieu, il me faudra revenir ! Je ne sais où avais-je la tête mais je n’ai presque pas vu leurs visages !!!

Sœur Emmanuelle éclata de rire, puis dit :

– Je vais vous conduire à la Mère Supérieure pour que vous choisissiez votre prochaine filleule.

– Euh, merci... euh... vous m’avez bien dit que vous aviez une trentaine de Marie-Madeleine âgées de six à treize ans ?

– C’est exact !

– Cela veut donc dire que vous avez des orphelines âgées de seulement six ans et qui ne sont plus vierges ?

– Nous en avons effectivement deux dans cette situation, souhaiteriez-vous en rencontrer une ?

– Euh... oui ! Fis-je en rougissant quand même un peu.

***

Nous allâmes à la rencontre de la Mère Supérieure à qui je remis l’enveloppe de « parrainage ». Après avoir pris connaissance de ma requête, elle l’approuva :

– Je vous remercie de votre générosité et, surtout, de vous intéresser à nos très jeunes pensionnaires. Il est rare que nos « parrains » s’occupent des plus jeunes d’entre elles, ce sont pourtant celles qui en ont le plus besoin.

– J’espère que je serai à la hauteur de ses espérances.

– Vous ne le regretterez pas ! La filleule que je vais vous présenter est tout à fait adorable et en grand manque d’affection masculine.

– Je vais faire de mon mieux pour la combler, ma Mère.

***

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La petite poupée qui me fut amenée dans la chambre d’hôtes était complètement craquante ! Imaginez un petit bout de chou d’un peu plus d’un mètre de haut, pesant moins de vingt kilos, avec un visage poupin aux grands yeux bleus encadré par deux tresses de cheveux blonds. Elle était vêtue d’une petite robe boule très courte et usée et portait des souliers trop grands pour elle. Elle courut vers moi, je la soulevai de terre pour la serrer contre moi et la posai sur le lit :

– Comment tu t’appelles, ma puce ?

– Je m’appelle Johanne et toi ?

– Appelle-moi Tonton !

– Tu vas me faire l’amour ?

– Oui, si tu en as envie.

– Oh chic ! Ça fait tellement longtemps qu’un homme n’a pas fait l’amour dans ma zézette !

Elle avait dit ça en haussant les épaules et en poussant un gros soupir. Nous nous allongeâmes sur le lit face à face et je la serrai contre moi en lui faisant des bisous dans le cou et sur les lèvres tout en caressant ses petites fesses sous sa robe. Je lui demandai doucement :

– Tu veux bien me raconter ton histoire ?

– Mes parents sont morts dans un accident de voiture quand j’étais toute petite et j’ai été placée dans une famille d’accueil, je les appelais Papa et Maman. Papa avait l’habitude de sucer ma zézette tous les soirs avant de m’endormir, je pensais que c’était normal et que tous les Papas faisaient ça avec leur fille surtout que Maman nous regardait faire et qu’elle ne disait rien, et puis en plus c’était bon ! Quand j’ai eu trois ans, Papa m’a appris à sucer sa bite et à boire son jus, je n’aimais pas trop le goût mais il était content et, surtout, il disait que toutes les petites filles faisaient ça avec leur Papa, et comme Maman disait la même chose, c’était donc normal ! Puis, vers cinq ans, il m’a fait prendre un médicament un soir et je me suis endormie. Quand je me suis réveillée, Papa était couché sur moi et sa bite était enfoncée dans ma zézette, je ne croyais pas que c’était possible, mais si ! Après il me l’a fait tous les soirs, au début ça faisait mal mais au bout de quelques semaines c’est devenu super bon, encore meilleur que quand il me suçait. Maman nous regardait en mettant sa main dans sa culotte et, des fois, je demandais à Papa de me le faire deux fois de suite tellement c’était bon.

– Comment ça s’est terminé ?

– C’est de ma faute ! Je croyais que toutes les petites filles faisaient la même chose et quand je suis allée à l’école maternelle, j’en ai parlé avec mes copines mais, un jour, la police est venue et ils ont mis Papa et Maman en prison et ils m’ont amenée ici !

– Tu n’es pas heureuse ici ?

– Si, les Sœurs sont gentilles, surtout Sœur Zézette qui m’aide à m’endormir quand je suis trop triste mais il n’y a pas d’hommes, depuis six mois que je suis ici, vous êtes le premier avec qui je peux enfin m’amuser ! Je peux voir votre bite ?

– D’accord, on va se mettre à l’aise !

Je me déshabillai complètement pendant qu’elle retirait ses souliers, je l’aidai ensuite à enlever sa robe boule par le haut, elle ne portait dessous qu’une culotte blanche en coton dont elle se débarrassa. La petite encoche tant espérée apparut mais je fus aussitôt saisi d’un sentiment de malaise ; son corps était trop menu et sa choupinette était si étroite que je me demandais comment il était possible de lui faire l’amour sans la blesser ou la faire souffrir. Je n’osai plus la toucher et je lui dis :

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– Tu sais, je n’ai jamais fait l’amour avec une petite fille aussi jolie et aussi jeune que toi et je ne sais pas trop comment m’y prendre alors dis-moi ce que je dois faire ! Je suis à tes ordres, c’est toi la Chef !

– Hihihi, d’accord ! Couche-toi, je veux jouer un peu avec ta bite, d’abord.

Je m’allongeai et elle s’assit en tailleur entre mes cuisses. Ses menottes se baladèrent sur ma queue à demi bandée et flattèrent mes couilles, j’observai son visage attentif qui exprimait un mélange de fascination et de dévotion. Elle me branla doucement et ma bite reconnaissante se redressa pour saluer son savoir-faire. Elle me décalotta ensuite doucement et se pencha pour sniffer mon gland avant de faire glisser l’extrémité de sa langue sur mon méat suintant. Elle savait vraiment y faire, la coquine ! Elle commenta :

– Je suis trop contente de pouvoir jouer à nouveau avec une bite, j’avais oublié que ça sentait si bon ! Elle est un peu plus grosse que celle de mon Papa d’avant, mais ça va aller.

Elle me suça ensuite abondamment pour lubrifier la hampe puis elle bascula sur le dos, ouvrit ses cuisses en grand et écarta les babines de sa minette avec ses doigts en me faisant signe de venir la couvrir. Je l’enjambai en tremblant de désir et de craintes. Appuyé sur les coudes et les genoux, je survolai son petit corps sans le toucher et je pointai l’extrémité luisante de ma gaule au centre de sa minuscule échancrure.

À ma grande surprise, les petites chairs roses s’ouvrir et se dilatèrent et mon cylindre de chair s’immisça inexorablement dans sa vulve distendue à la limite de la déchirure. Elle respirait très fort et ses petites mains étaient crispées sur mes flancs. Lorsque je fus complètement en elle, je m’immobilisai. Sa respiration s’apaisa doucement et un sourire victorieux apparut sur ses lèvres ; le plus dur était fait !

Elle m’attira contre elle avec ses mains et j’abaissai mon corps sans l’écraser, son visage étant à la hauteur de ma poitrine, elle se mit machinalement à suçoter un de mes tétons. Ce fut comme une décharge électrique qui se propagea jusqu’à mon bas-ventre et leva mon inhibition ! Je me mis à la besogner doucement et elle ponctua chaque coup de rein d’un son nasal approbateur. Le rythme monta progressivement en puissance et elle me prit au dépourvu lorsqu’elle abandonna mon téton et émit une longue plainte tandis que son vagin se contractait convulsivement et qu’elle me griffait avec ses ongles ; elle jouissait !

Je libérai aussitôt les vannes pour ne pas être en reste et nous nous regardâmes comme si nous nous découvrions pour la première fois. Puis de grosses larmes sont apparues dans ses yeux, j’étais inquiet :

– Je t’ai fait mal ?

– Non... snif... c’est trop bon... tu peux me le faire encore ?... s’il te plait !

Je bus les larmes de ses yeux et me remis à l’œuvre. Nous avons baisé pendant près d’une heure ! J’ai joui quatre fois, le dernier orgasme était sec ! Elle a joui plus que moi, je ne saurais dire combien de fois elle a crié, m’a griffé, puis s’est agrippée à nouveau à moi pour relancer la machine. Je me suis finalement écroulé et nous nous sommes endormis rassasiés et apaisés.

La cloche de la prière de dix-huit heures nous a réveillés et Johanne a couru essorer sa minouche ruisselante dans le bidet. Puis, elle me fit promettre qu’on se reverrait avant de me quitter.

***

Lorsque la Mère Supérieure vint me chercher, elle avait un visage radieux :

– Vous avez une ascendance extraordinaire sur la petite Johanne ! C’est la première fois que je la voie rayonnante et épanouie depuis qu’elle est à l’orphelinat.

– Elle a énormément besoin d’amour... euh... masculin !

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– Et vous avez su la combler... elle avait les yeux bien cernés ! Peut-être pourriez-vous songer à l’adopter ?

– L’adopter ? J’avoue que je n’aurais jamais osé imaginer une telle hypothèse.

– L’adoption est une forme de résurrection pour une orpheline ; une manière de démarrer une nouvelle vie et nous n’avons aucune objection sur le type de relation qui va lier l’orpheline avec la personne qui l’adopte à la condition qu’il s’agisse d’Amour. Que cet Amour soit de type parental ou marital ne change pas grand-chose à l’affaire !

– Cela m’ouvre des horizons nouveaux, mais je crains de n’être encore qu’un papillon qui aime à butiner de pistil en pistil.

– Ces créatures de Dieu sont également nécessaires à la survie de notre espèce.

– Merci, ma Mère, je reviendrai donc samedi prochain !

– Vous serez toujours le bienvenu, mon fils !

***

Quelques jours après, je me promenais dans le jardin de notre propriété lorsque je fus abordé par notre jardinier, il avait l’air embarrassé ! Il enleva sa casquette et la fit tourner machinalement entre ses mains pendant qu’il semblait avoir des difficultés à trouver ses mots :

– Euh... Monsieur... euh... c’est à propos de mon fils.

– Je n’y ai pas touché depuis la dernière fois.

– Je sais... je sais... ce n’est pas ça... il adorait les pâtisseries que vous lui donniez et il dit que c’est de ma faute si il n’en a plus... il pleure... il m’en veut et... avec les restrictions nous n’avons pas les moyens de lui acheter des sucreries... il est malheureux !

– Que suggérez-vous ?

– Je ne sais pas, Monsieur... euh... mon fils m’a juré que vous ne lui aviez jamais fait de mal et... je suis désolé de la façon dont tout ça s’est passé... et surtout... je m’excuse d’en avoir parlé à Monsieur votre Père !

– Vous n’avez pas à vous excuser ! C’est moi qui ai tous les torts dans cette affaire ! Votre fils est bien élevé et très mignon et je serais complètement incapable de lui faire le moindre mal, même si j’admets que mon comportement ait été plus que discutable, mais j’étais tellement heureux de le voir dévorer les gâteaux que je lui apportais... Bon ! Voilà ce que je propose ; comme votre fils est le seul enfant qui vit dans cette propriété, je vais donner des instructions à la cuisinière pour qu’elle lui prépare tous les jours un petit dessert qu’il pourra aller chercher à l’office lorsqu’il rentre de l’école, je vais également prévenir mon Père comme cela ce sera officiel et acquis !

– Comment vous remercier, Monsieur ?

Le jardinier mit un genou à terre et embrassa mes mains comme si j’avais été le Pape ! Bien que mes fantasmes se soient délocalisés vers l’orphelinat de la résurrection, je n’avais pas oublié la frustration que j’avais ressentie lorsqu’il m’avait surpris au moment où j’allais pénétrer l’adorable petit cul de son fils et comme il n’était pas dans mes habitudes d’abandonner une tâche inachevée, je répondis :

– Relevez-vous, s’il vous plaît ! Comme ma relation complice avec votre fils a été interrompue de façon plutôt brutale et certainement traumatisante pour lui, je souhaiterais passer un moment d’intimité avec lui pour le convaincre que vous n’y êtes pour rien, que vous l’aimez, et que je l’aime aussi bien au-delà de nos jeux interdits.

– Merci, Monsieur ! Je vais vous le chercher.

– Et je vais chercher son goûter, je crois que notre cuisinière a préparé un flanc au caramel...

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Je me retrouvai dans la cabane à outils du jardin muni de ma récompense sucrée. Le jardinier amena son fils qui se jeta dans mes bras et nous laissa ensemble sans dire un mot. Tout en tripotant avidement les fesses du garçonnet, je lui annonçai :

– N’en veux pas à ton père, il t’aime autant que moi ! Tu ne manqueras plus jamais de bons gâteaux.

– Oui, Papa me l’a dit, vous êtes trop gentil, je vous aime !

– Tu sais que j’adore tes petites fesses ! Pour moi, ce sont les plus belles du monde !

– Et vous voudriez mettre votre bite dedans ?

– J’aimerais bien te le faire au moins une fois, ça te fait peur ?

– Bah... non, Papa il le fait souvent à Maman et elle a l’air de bien aimer ça.

Je souris, la sodomie était le moyen de contraception le plus usité dans les familles modestes, l’enfant continua :

– Et puis Papa il m’a donné ça pour que ça me fasse pas mal.

Il sortit un tube de vaseline entamé de la poche de sa culotte courte et je compris que le jardinier était loin d’être né de la dernière pluie ! Le petit baissa sa culotte courte et s’allongea sur la table, les jambes en l’air et bien ouvertes pour m’offrir sa virginité rectale.

Je me déshabillai en un clin d’œil et lubrifiai abondamment mon manche avec la pommade que son père utilisait pour enculer sa mère et j’entamai le sacrilège. Le petit posa ses deux mains sur mes cuisses pour essayer de me contenir mais il était déjà vaincu ! Sa respiration s’accéléra et des larmes coulèrent sur ses joues mais la pénétration ne s’arrêta que lorsque mes couilles velues reposèrent sur la peau satinée de ses petites fesses.

Après une pose indispensable pour que les choses se mettent en place, j’entamai ma course au plaisir en pensant aux orifices infantiles que j’avais perforé depuis quelques jours ; la chatte et le cul de Line, neuf ans, la mini chatte de Johanne, six ans, et maintenant le cul virginal d’un jeune puceau de huit ans. Si ma préférence sexuelle allait naturellement vers les filles, les fesses musclées du garçon et le spectacle de sa bistouquette que l’enculage rigidifiait et qui ballottait de tous les côtés étaient loin de me laisser indifférent. Il se mit à se branler pendant que je finissais de le déniaiser et nous arrivâmes pratiquement à jouir ensemble.

Après avoir déculé, j’essuyai le sperme qui s’échappait de son anus et dégoulinai entre ses cuisses avec mon mouchoir pendant qu’il dégustait voluptueusement sa part de flanc, puis nous nous quittâmes après nous être roulé une pelle fervente, comme de vrais amants !

***

Le samedi suivant je retrouvai Sœur Emmanuelle, la belle cicérone de mon Paradis ! Je lui demandai :

– Grâce à votre aide bienveillante, et à celle de votre Mère Supérieure, j’ai pu avoir le privilège de parrainer deux ravissantes filleules du groupe des Marie-Madeleine et j’avoue que c’est une expérience inoubliable que je souhaite ardemment renouveler. Je me posais la question des Saintes Nitouche que j’ai « entrevues » samedi dernier ! Peut-on les parrainer aussi ?

– Les Saintes Nitouche sont avant tout destinées à l’adoption et nous essayons d’en faire des petites filles modèles. Il est toutefois possible de les « parrainer » à deux conditions ; le parrain doit être connu de notre communauté pour ses qualités humaines, sa douceur, et son amour sincère des enfants, je crois que c’est votre cas ! La seconde condition est à débattre avec notre Mère Supérieure car la défloration d’une Sainte Nitouche est un acte irréversible qui chamboule l’avenir de la fillette de manière définitive, et nous espérons une compensation financière à la hauteur de la portée de l’acte mais je ne suis pas qualifiée pour vous en dire plus.

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– Je comprends ! Pouvons-nous retourner voir les Saintes Nitouche sous la douche pour que je puisse les observer plus attentivement que la dernière fois et, éventuellement, en choisir une ?

– Suivez-moi !

Nous arrivâmes dans la cabine d’observation juste avant que la salle de douche ne soit envahie par les gamines dévêtues. J’éliminais les plus grandes et les plus petites ; au-dessus de dix ans, les fillettes entraient dans une phase de préadolescence qui amenuisait leur candeur et les rendaient moins « spontanées », et entre six et huit ans leur corps était trop menu pour que l’on puisse espérer jouir sans réserve de leur défloration. Mon idéal se situait plutôt vers huit, neuf ans. Une bonne dizaine de fillettes appartenaient à ce créneau et les observais l’une après l’autre et... le coup de foudre se produisit !

Elle avait un visage déluré encadré d’une abondante chevelure brune et éclairé par des grands yeux bleus clairs très vifs. J’avais remarqué le dessin parfait de sa petite fente lorsqu’elle s’était accroupie pour faire son pipi d’ange, mais c’étaient ses longues jambes et ses petites fesses bien rondes et manifestement musclées qui captaient le regard. Après être passée une première fois sous la douche, elle savonna méticuleusement l’ensemble de son corps puis écarta les jambes en se penchant légèrement en avant pour frotter longuement sa vulve, elle cambra ensuite son petit cul craquant pour en nettoyer la raie et l’œil brun de son anus. Complètement couverte de mousse, elle shampouina ensuite ses longs cheveux noirs avant de retourner sous la douche où elle s’abandonna voluptueusement, les yeux clos, au plaisir de l’eau tiède ruisselant sur son corps immature.

Elle s’essuya ensuite et ébouriffa longuement sa longue chevelure avec une serviette éponge avant de venir se coiffer en face du miroir derrière lequel je me trouvais. Sa tête arrivait à la hauteur de ma poitrine et ma bite, que j’avais libérée, pointait vers son nombril. Comme la fois précédente, Sœur Emmanuelle m’offrit son aide charitable pour soulager la tension sexuelle qui me submergeait sauf que, cette fois, elle s’agenouilla et utilisa ses deux mains ; la droite pour me branler et la gauche pour caresser mes couilles. Mes yeux transitaient sans cesse entre les yeux clairs de la fillette et la naissance de sa fente. C’était extraordinaire ! Nos corps se faisaient face à trente centimètres l’un de l’autre et je n’avais d’yeux que pour elle sans qu’elle en ait conscience. Le plaisir arriva grâce au talent de la Sœur et je fixai la petite dans les yeux pendant que j’éclaboussai la glace sans tain d’un orgasme prolifique.

J’étais beaucoup plus à l’aise que la semaine précédente avec les gestes intimes de Sœur Emmanuelle et, après mon orgasme, j’osai lui demander :

– Jusqu’où une Sœur peut-elle aller pour aider son prochain dans ce domaine très particulier ?

– Chaque religieuse à ses propres limites ! Pour moi, les « coups de main » et la sodomie sont acceptables, mais pas plus !

– La sodomie aussi ?

– Oui ! La bouche est sacrée car elle reçoit le corps du Christ lors de la communion, le vagin est également sacré car il est destiné à la procréation et à donner la vie ; une religieuse doit rester vierge car elle a fait vœu de chasteté en dédiant sa vie au Seigneur. Mais le rectum est profane, sa fonction est de participer à la vie du corps en éliminant les déchets, on peut aussi y introduire un thermomètre, des doigts, et pourquoi pas un sexe d’homme ? Cela ne compte pas ! D’ailleurs, le Seigneur a pourvu le sexe des femmes d’un hymen qui témoigne de leur virginité alors que l’accès à l’anus est libre et non « contrôlé ».

– Merci, ma Sœur ! Vous êtes si belle et si généreusement impliquée dans le bien être de vos prochains que j’espère bien pouvoir bénéficier un jour de l’hospitalité de votre orifice profane !

Sœur Emmanuelle baissa ses yeux malicieux en rougissant et dit :

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– J’ai oublié de vous dire que la petite Saint Nitouche qui vous fait craquer s’appelle Manon et qu’elle a huit ans et demi ! Voulez-vous rencontrer la Mère Supérieure ?

– Oui, s’il vous plait.

***

La Mère Supérieure informée de mon choix me tendit un petit papier mentionnant une somme conséquente, étant largement dans les limites de mes moyens, j’acquiesçai. Elle m’informa alors des conditions particulières de déniaisement d’une Sainte Nitouche :

– La perte de son innocence est un évènement majeur dans la vie d’une fillette et pour donner un peu de « lustre » à cette épisode, nous disposons d’une chambre nuptiale où Manon, habillée d’une robe de mariée et accompagnée d’une demoiselle d’honneur, pourra recevoir votre hommage charnel après avoir partagé une coupe de champagne avec vous, autant pour célébrer l’union que pour atténuer ses inhibitions. Toutefois, il nous faut un peu de temps pour préparer ce projet et je propose qu’il ait lieu samedi prochain. En attendant, vous pourriez choisir une Marie-Madeleine pour passer le temps.

– Non merci, ma Mère ! Je préfère me réserver pour mon union avec Manon.

– Dans ce cas, je vous propose d’assister à un rite hebdomadaire propre à notre institution ; la punition des Marie-Madeleine qui ont commis des péchés capitaux pendant la semaine.

– Les Saintes Nitouche n’en commettent jamais ?

– Beaucoup moins ! Elles sont très surveillées, obéissantes, et ont conservé une grande partie de leur candeur et de leur innocence alors que les Marie-Madeleine, qui sont au contact des réalités et des dépravations du monde adulte, ne possèdent pas encore une notion bien claire des limites entre le tolérable et l’inacceptable compte tenu de leur jeune âge. Sœur Emmanuelle va vous conduire dans un poste d’observation où vous pourrez jouir d’un point de vue exceptionnel sur notre salle de correction.

***

La salle de correction était en fait une salle de classe avec des tables et des bancs où étaient assises l’ensemble des Marie-Madeleine. Sur l’estrade se trouvait un bureau occupé par la Mère Supérieure et une chaise sur laquelle était assise une Sœur corpulente à l’allure sévère. Trois gamines agenouillées sur le sol étaient dans l’attente de leur châtiment.

La Mère Supérieure annonça la première sentence :

– Lucie, sept ans, a commis plusieurs fois le péché capital de gourmandise en chapardant de la nourriture dans les assiettes de ses camarades. La gourmandise mène à l’obésité qui amoindrit le pouvoir de séduction et l’aptitude d’une petite fille à charmer et à satisfaire son prochain. Lucie devra donc recevoir une fessée à mains nues ; douze claques sur chacune de ses fesses après quoi elle devra exposer son postérieur endolori à ses camarades !

La petite à l’air résigné se dirigea vers la grosse Sœur. Sœur Emmanuelle me souffla à l’oreille que la Sœur qui administrait les punitions s’appelait Sœur Martine, mais que tous les enfants l’appelaient la Mère Tape Dur ! Lucie dut enlever sa petite culotte et s’allongea sur les genoux de la grosse Sœur qui retroussa sa jupe. D’où nous étions, la vue sur les deux globes fessiers et le petit abricot fendu entre les cuisses serrées de la fillette était parfaite.

Les claques commencèrent à pleuvoir, la petite devait les compter à haute voix. Les premières rougeurs apparurent dès la sixième claque et les sanglots vers la dixième. À la fin de la punition, Lucie pleurait à chaudes larmes et ses fesses étaient devenues aussi rouges qu’une pastèque, contrastant ainsi avec la pâleur de son abricot. Elle dut ensuite se mettre à quatre pattes au bord de l’estrade le

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dos tourné à ses camarades exposant ainsi en sanglotant son fondement froissé et sa petite vulve lisse.

La Mère Supérieure annonça la seconde sentence :

– Silvie, neuf ans, s’est rendue coupable du péché capital de paresse en refusant de mener à terme une fellation sur son parrain, compromettant ainsi l’orgasme qui devait récompenser sa générosité. En conséquence de quoi elle a été condamnée à recevoir vingt coups de martinet et devra exposer son fondement meurtri à ses camarades pendant cinq minutes !

Les lanières de cuir du martinet avaient un effet bien plus dévastateur que la main nue sur la peau tendre des fesses des fillettes ! Dès les premiers coups ponctués par des cris de douleur, des marques longilignes rouges s’imprimaient de façon durable sur le séant de la coupable. L’intensité des cris augmentait alors que Silvie tentait d’esquiver les coups en tortillant ses fesses, ce qui avait aussi pour conséquence d’exposer parfois sa vulve ultra-sensible à un coup de lanière provoquant un cri de douleur encore plus pathétique.

Je n’étais pas particulièrement porté sur le sadisme mais le spectacle du sillon de la vulve de la gamine qui se déformait dans tous les sens en essayant d’échapper aux coups alors que ses fesses devenaient rouge sombre, tout cela ponctué de cris de désespoir, m’excitait au plus haut point et je me mis à bander. Lorsque Silvie se mit à quatre pattes pour exposer son déshonneur à ses camarades, je sortis ma bite et posai ma main sur les fesses de Sœur Emmanuelle qui ne réagit pas.

La Mère Supérieure annonça la dernière sentence :

– Sophie, douze ans, a commis les péchés capitaux d’envie, de jalousie et de colère envers deux de ses camarades. Elle recevra cinquante coups de martinet après quoi elle sera exposée de façon humiliante devant l’ensemble de ses camarades pendant dix minutes afin qu’elle retrouve la componction, la modestie et le désir authentique de satisfaire son prochain qui sied à une véritable Marie-Madeleine.

Pendant que la punition commençait, Sœur Emmanuelle releva sa robe de religieuse sous laquelle elle ne portait pas de culotte et se cambra pour bien faire ressortir ses fesses pâles, puis elle me souffla :

– Fessez-moi ! Je le mérite !

Tout en me branlant doucement de la main gauche, je me mis à claquer le baigneur de la nonne dont la cornette saluait chaque coup porté. Au bout d’une vingtaine de coups, la Sœur écarta ses fesses cramoisies avec ses mains et me supplia de l’enculer. Je crachai dans ma main pour lubrifier mon chibre profane et enfilai Sœur Emmanuelle à grands coups de reins extatiques.

Pendant ce temps, la Mère Tape Dur finissait de martyriser le cul de la jeune Sophie, et, après le cinquantième coup, elle lui enfonça le manche du martinet dans le cul pour l’humilier encore davantage et quand la gamine dut se mettre à quatre pattes devant ses camarades les lanières du martinet qui pendaient de son cul la faisaient ressembler à une jument !

Devant ce spectacle, j’agrippai les hanches de Sœur Emmanuelle et balançai de copieuses giclées de foutre au fond de ses entrailles ce qui la fit jouir si fort qu’elle ne put se retenir de me pisser sur les couilles !

***

La manière dont s’était terminée ma dernière visite à l’orphelinat avec Sœur Emmanuelle m’avait laissé dans un état dubitatif ! Certes, nous nous étions quittés normalement, tout sourire, avec les formules de politesse respectueuses habituelles, mais comment oublier cet instant de folie où elle m’avait offert ses fesses que j’avais forniquées avec passion et, surtout, la puissance de son orgasme quasi animal... Je m’interrogeais sur la personnalité et le passé de cette jolie religieuse qui me laissait de moins en moins indifférent.

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Plus tard, mon Père me convoqua pour me parler :

– Alors, comment se passent tes activités d’arrière-boutique ?

– De quelle arrière-boutique veux-tu parler ?

– De l’orphelinat, pardi ! Tout le monde a ses arrière-boutiques, c’est là qu’on peut y faire ses petites magouilles ou satisfaire ses besoins inavouables à l’insu de tout le monde comme tu le fais dans la cabane à outils du jardin où dans la chambre d’hôtes de l’orphelinat.

– Comment sais-tu tout cela ?

– Parce que je suis un Chef et qu’on ne peut être un Chef si l’on n’a pas au moins un train d’avance sur tous les autres ! Et justement, j’aurais besoin que tu deviennes aussi un Chef car j’ai un projet important : Ouvrir le premier supermarché libre-service de la région ! Cela existe aux États-Unis depuis les années trente et je suis sûr que ça va marcher en France.

– Je suis prêt à t’aider, Papa.

– Je n’en doute pas mais j’ai déjà cinquante-cinq ans et j’aimerais te transmettre mon petit empire d’ici quelques années à condition que tu acquières un statut social respectable d’ici là ! Que tu ailles troncher de temps en temps une petite orpheline dans la pénombre d’une cellule de couvent ne dérange personne à condition que tu ne t’en vantes pas, mais nous sommes des bourgeois de province et nous nous devons d’avoir une image conforme à l’idée que les personnes modestes se font de nous. Bref, tu as vingt-cinq ans, il est temps que tu te trouves une femme belle, aimable, et de bonne éducation et que tu lui fasses des enfants !

– ...

– Je te laisse le temps d’y réfléchir mais ne traîne pas trop !

– Bien, Papa.

***

Le lendemain, je retournais à l’orphelinat sans but précis. Je n’y étais attendu que le samedi suivant mais je devenais morose à force de ressasser les conseils de mon Père sans trouver de proposition valable à lui faire, et j’avais besoin de me changer les idées.

Le sourire de Sœur Emmanuelle illumina mon cœur, elle me dit tout de suite :

– Il faut que vous voyiez la Mère Supérieure car elle a des soucis avec la petite Manon qu’elle vous avait promis pour samedi prochain.

– D’accord !

La Mère Supérieure me reçut dans son bureau et me déclara avec un sourire contrit :

– Je crains que nous devions annuler l’union prévue entre vous et la petite Manon car elle est entrée dans une phase de profond désespoir lorsque je lui en ai parlé, elle m’a même dit qu’elle préférerait mourir plutôt que de perdre sa virginité. Elle a de hautes valeurs morales et affirme avoir la vocation ; elle souhaite consacrer sa vie à l’adoration de notre Seigneur.

– Ainsi soit-il ! Fis-je.

– Merci pour votre compréhension, mon fils ! Souhaiteriez-vous que Sœur Emmanuelle vous aide à choisir une autre Sainte Nitouche ?

– Non ! Je ne voudrais pas être impliqué dans un acte irréversible s’il n’est pas accepté. En attendant, je préfère me consoler dans les bras bienveillants d’une Marie-Madeleine.

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– Décidément vous allez penser que j’exagère, mais je souhaiterais vous demander un autre service à propos justement d’une Marie-Madeleine. Vous vous souvenez de la petite Johanne de six ans que vous aviez su ressusciter il y a quelques temps ?

– Bien sûr, comment l’oublier ?

– Eh bien elle est retombée dans sa morosité et son mutisme. Je ne sais pas comment faire avec elle, elle a désespérément besoin de l’attention d’un homme même si je pense que ce ne sera que temporaire.

– Comment cela ?

– Son père a abusé d’elle lorsqu’elle n’avait que cinq ans et elle a aimé le plaisir sexuel que ça lui procurait, c’était une sensation agréable et nouvelle dont elle s’est retrouvée privée brutalement et, depuis, elle en a fait une fixation qui l’empêche de s’intéresser à autre chose ! Il ne fait aucun doute que si elle a de nouveau un accès régulier au plaisir sexuel, à la condition que l’adulte qui lui dispense ne fasse que répondre à ses demandes sans aucune coercition, cette pratique finira par se banaliser et reprendra peu à peu une place anodine dans sa vie et son développement. Ensuite, comme la plupart des jeunes filles, elle aimera tester son pouvoir de séduction auprès des garçons de son âge et finira par tomber amoureuse et aura une vie normale et sans séquelles.

– Que me conseillez-vous ?

– De venir la voir régulièrement, par exemple une fois par semaine. Lorsqu’il sera acquis, dans sa tête, qu’un homme qu’elle aime bien viendra la bercer et la cajoler à date fixe, ce sera un souci de moins pour elle et elle pourra reprendre le fil d’une vie normale avec l’école, les camarades, le sport, etc.

– Je comprends ! On commence aujourd’hui ?

– Vous êtes formidable, mon fils !

– Vous aussi, ma Mère !

***

Sœur Emmanuelle me conduisit dans la chambre d’hôtes, et, avant qu’elle n’aille chercher Johanne, je lui demandai timidement :

– Pourrais-je vous poser quelques questions si vous me le permettez ?

– Euh... bien sûr... c’est à propos de ce qui s’est passé entre nous la dernière fois ?

– En partie, oui, bien que ce ne soit pas l’essentiel pour moi, mais autant en parler un peu ; j’avoue que j’ai adoré l’épisode mais qu’il a épaissit les mystères qui auréolent votre vie.

– Ma vie est beaucoup plus banale que vous ne le pensez ! Je suis heureuse que vous ayez adoré l’acte mais je vous jure que c’était totalement impromptu et que je ne l’avais jamais fait avant avec quiconque. Je suis authentiquement vierge et j’entends le rester aussi longtemps que je serai religieuse ou, si le destin en décide autrement, jusqu’à la nuit de noces avec mon futur époux. Ceci dit, je n’ignore rien du sexe ; vous avez remarqué tous ces cabinets qui permettent d’observer discrètement ce qui se passe dans les différentes salles de l’orphelinat. Au départ ils avaient été créés pour veiller au comportement irréprochable des orphelines, mais avec les Marie-Madeleine, les faveurs accordées aux bienfaiteurs de l’institution, les dérives de notre curé confesseur, j’ai pu apprendre des tas de choses sur ce qu’un homme et une femme pouvaient faire ensemble dans l’intimité.

– Et vous avez décrété que la bouche et le sexe d’une religieuse étaient sacrés mais que son anus était profane ?

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– Oui, c’est une théorie personnelle, certainement très discutable au niveau théologique, mais elle m’a permise de me laisser aller à cet acte avec vous sans trop craindre les foudres du ciel. J’ajoute que j’ai également adoré ce que vous m’avez fait !

– Merci pour votre franchise ! J’ai d’autres questions car je souhaiterais faire plus ample connaissance avec vous, vous êtes de plus en plus présente dans mes pensées.

– J’en suis flattée ! Que désireriez-vous savoir ?

– Vous êtes jeune, belle, et bien éduquée, comment êtes-vous devenue religieuse ?

– À cause de la guerre ! Je suis issue d’une famille aisée, mon père était notaire, ma mère était violoniste et mon frère aîné faisait des études de droit et était destiné à prendre la succession du cabinet de mon père. Lorsqu’il a eu dix-huit ans en 1943, il est parti à Londres avec son meilleur ami que je considérais alors comme mon fiancé bien que je n’avais que quatorze ans à l’époque, ils entrèrent dans la RAF et devinrent membres de l’équipage d’un B17 qui fut abattu au-dessus de l’Allemagne en 1944. Trois mois après, notre maison fut détruite par un bombardement allié accidentel alors que j’étais à l’école et mes deux parents furent tués. Je suis aussitôt rentrée en tant que novice dans ce couvent, il y a huit ans déjà !

– Mon Dieu !

– Ne soyez pas triste ! La résilience existe bel et bien et ma grande chance a été que ce couvent fut aussi un orphelinat et j’ai découvert que je n’étais pas la plus à plaindre dans ce bas monde ! Beaucoup de nos pensionnaires n’ont même pas connu l’amour d’un proche depuis qu’elles sont sur terre !

– D’accord, ne parlons plus du passé. Je voudrais vous parler d’avenir mais les choses sont encore un peu embrouillées dans ma tête.

– Prenez votre temps ! Vous connaissez la citation de Nicolas Boileau ?

– « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. »

– Bravo ! Lorsque vous serez prêt, cela viendra tout seul et... ma réponse ne vous décevra pas... Bon, je vais chercher Johanne...

Elle se leva et se retourna vivement pour cacher son visage rouge pivoine.

***

Johanne se précipita dans mes bras :

– Oh, c’est toi, Tonton ?

– Bonjour, ma Chérie ! Comment vas-tu ?

– Il y a longtemps que tu n’es pas venu !

– Tu sais quoi ? Je vais venir te voir chaque semaine à la même heure, je te le promets !

– Ouaou ! C’est super ! Tu n’as pas oublié d’amener ton zizi avec toi ?

– Oh, j’espère que non ! Vérifie s’il est bien là.

Johanne avait retrouvé sa bonne humeur de petite fille insouciante, elle se précipita sur ma braguette pour en extraire son jouet. Je l’observais pendant qu’elle manipulait mon service trois pièces, comme elle était belle ! Je caressais ses longs cheveux blonds et ses beaux yeux bleus attentifs et rieurs éclairaient son visage. Malheureusement elle était fagotée comme l’as de pique ; une robe usée aux couleurs passées et bien trop grande pour elle quant à ses chaussures, c’était encore pire, une des semelles baillait ! Je me promettais de m’occuper de sa garde-robe sans que ce ne soit trop ostensible pour ne pas provoquer de jalousie auprès de ses camarades.

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– Regarde Tonton, ton zizi est tout droit maintenant !

– C’est normal, il t’aime aussi fort que moi !

Je la déshabillai et serrai son corps menu contre moi ; j’étais de plus en plus amoureux d’elle et ce n’était pas seulement sexuel. Je lui ouvris les jambes pour sniffer sa zézette ; elle était déjà moite ! Je la broutai goulûment et, comme ma gourmandise n’avait pas de limites, je voulus inclure son petit anus plissé au menu du jour mais elle réagit vivement :

– Pas là, Tonton, c’est sale !

– Mais j’aime bien aussi !

– Le cucul c’est pour faire caca, la zézette c’est pour faire tagada !

– Oui, tu as raison, mais j’aime bien le chocolat !

– Beurk !

Je me concentrai sur le nectar que distillait son petit ruisseau rose, elle gigotait bien ; un mélange de plaisir et de chatouilles. Je glissai insidieusement un doigt dans ses fesses pendant que je la gougnottai, elle ne dit rien, quand mon doigt fut bien entré, je chantonnai gaiement :

– Turlututu, chapeau pointu, j’ai mis mon doigt dans ton cucul !

– Hihihi, mon Tonton est un cochon !

– Tu me fais une turlutte ?

– D’accord !

Elle me suça et mouilla soigneusement ma bite sur toute sa longueur pour bien la lubrifier puis elle bascula sur le dos les cuisses bien écartées, ses yeux brillaient de désir ; elle était prête !

Comme la dernière fois, je l’ai aimée doucement au début puis son premier orgasme a brisé tous les tabous et nous avons forniqué comme des bêtes jusqu’au drainage intégral de mes burnes qui se sont retrouvées flétries comme des pruneaux d’Agen.

Tout en restant tendrement enlacés nous nous sommes laissé glisser vers un sommeil réparateur. Pendant que Johanne dormait à poings fermés, je somnolais en fantasmant à ce que pourrait être ma vie idéale ; je me voyais marié avec Sœur Emmanuelle, elle avait le profil de la femme belle et bien éduquée dont rêvait mon père, elle était encore pleine de mystères mais je me sentais bien avec elle, je l’admirais et j’étais sûr qu’elle pourrait nous donner des enfants magnifiques et, en attendant, nous pourrions adopter Johanne...

La cloche de la prière de dix-huit heures retentit et Johanne courut sur le bidet pour faire disparaître toutes les traces douteuses de sa craquette afin qu’elle ressemble à nouveau à une choupinette de petite fille puis elle m’embrassa en me lançant un joyeux :

– À la semaine prochaine mon gentil Tonton, je t’aime bien tu sais !

– Moi aussi, je t’aime ! Travaille bien à l’école et sois gentille avec tes copines !

– C’est promis !

***

Lorsque la Mère Supérieure vint me chercher j’étais encore perdu dans mes pensées, elle dit joyeusement :

– Johanne a retrouvé sa joie de vivre, elle se sent si bien avec vous ! Vous êtes sûr de ne pas vouloir l’adopter ?

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– J’y réfléchis, ma Mère ! Cette petite est mignonne et je m’entends bien avec elle, mais une adoption est un acte grave qui m’engagera pour une douzaine d’années au moins et je ne veux pas prendre cette décision à la légère avant d’être sûr de pouvoir l’assumer. Mais je vous confirme que j’espère bien pouvoir adopter Johanne dès que j’aurai stabilisé ma situation familiale.

– Je prierai pour que vos espoirs se concrétisent, mon fils.

– Merci, ma Mère... euh... j’aimerais vous poser une question à propos de Sœur Emmanuelle.

– Si ce n’est pas trop personnel, je vous répondrai, nous n’avons rien à cacher !

– Voilà ! Je ne connais pas bien les vœux religieux et leur « portée » ou leur « hiérarchie ».

– Il peut y avoir des différences suivant les ordres religieux mais chez nous, une femme désirant consacrer sa vie au service du Christ commence par effectuer un noviciat qui dure un an et pendant lequel elle ne prononce aucun vœu religieux, il s’agit d’une période probatoire où la novice va s’initier au changement radical de la vie consacrée. À l’issue de cette période, elle pourra devenir religieuse en prononçant des vœux temporaires de pauvreté, de chasteté et d’obéissance valables deux ans et renouvelables plusieurs fois jusqu’au moment où elle prononcera ses vœux définitifs.

– Je ne savais pas qu’il existait des vœux temporaires.

– Ils n’existaient pas à l’origine mais ont été créés dans le code de droit canonique au début du vingtième siècle. Il faut savoir que les motivations des personnes qui souhaitent intégrer une communauté religieuse peuvent être très variées ! En allant d’un extrême à l’autre ; cela peut aller d’une jeune fille qui a eu une révélation pendant son enfance et dont la foi n’a cessé de se fortifier depuis, jusqu’à une femme traumatisée qui a dû chercher refuge dans un couvent pour survivre à une épreuve dramatique, en passant par toutes les situations intermédiaires. Il est bien évident que la qualité de la foi n’est pas comparable et qu’il serait irréaliste d’exiger un engagement permanent systématique dans des cas aussi différents.

– Sœur Emmanuelle m’a un peu parlé de son passé et cela n’a pas dû être facile pour elle !

– Oui, elle vivait heureuse au sein d’une famille aimante et avait des projets d’avenir avec un beau jeune homme, et elle a tout perdu en quelques semaines alors qu’elle n’avait que quatorze ans. Le couvent lui a permis d’avoir le gîte, le couvert et la présence fraternelle des autres sœurs. Elle a effectué son noviciat et se trouve encore maintenant sous le régime des vœux temporaires. Elle a beaucoup changée depuis son arrivée au couvent, grâce à l’orphelinat d’une part, mais aussi grâce à sa propre maturation personnelle, elle vient d’avoir vingt et un ans.

– Quand doit-elle renouveler ses vœux ?

– Le mois prochain !

– Vous pensez qu’elle les renouvellera ?

– Cela, c’est une question personnelle à laquelle je refuse de répondre ! Mais... à votre place... je tenterai ma chance...

Et la Mère Supérieure me raccompagna en souriant.

***

Le lendemain je traînais au lit, j’avais le vertige ! D’après les réactions de Sœur Emmanuelle et de la Mère Supérieure, il semblait que personne ne serait surpris si je demandais la main de Sœur Emmanuelle et que j’avais même des chances de recevoir une réponse positive ! Bon, admettons qu’elle soit d’accord ! Quid des réactions de mes parents ? Ma mère ne dira rien, comme d’habitude ! Elle est sous l’emprise de mon père depuis qu’ils se sont connus. Mais que dira mon père ? Inutile de lui en parler avant de la lui présenter ; sa classe et sa beauté seront des arguments incontournables

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et feront sûrement pencher la balance du bon côté ! Donc tout va passer par l’acceptation ou non de ma demande en mariage par Sœur Emmanuelle.

Et si elle acceptait, accepterait-t-elle aussi l’adoption de Johanne ? C’est moins sûr ! En tous cas, si je dois faire une demande en mariage officielle, autant bien faire les choses ! Serais-je à la hauteur ? Je me posais toutes ces questions car c’était la première fois de ma vie — jusqu’alors complètement futile et insouciante — où je me trouvais au pied du mur ! Je devais prendre et assumer des décisions importantes et ça m’effrayait un peu.

Je me levai presque à regret ! Dans le couloir, la jeune bonne, que j’avais dépucelée et que je pinais à l’occasion, frottait le sol en marbre à quatre pattes ; son postérieur cambré oscillait de gauche à droite à contretemps des mouvements de son bras. Je passai à côté d’elle sans même lui mettre la main au cul, elle en fut si surprise qu’elle me lança un regard inquiet ; comme si elle redoutait que je sois malade où qu’il me soit arrivé quelque chose.

Il n’était pas loin de midi et je me rendis à l’office, la cuisinière venait juste de sortir du four une superbe tarte à la rhubarbe meringuée ; une véritable splendeur ! Je repensai au fils du jardinier et j’eus tout à coup envie de le revoir ; il symbolisait l’insouciance « d’avant » ! Pourquoi voulais-je le voir maintenant ? Était-ce pour enterrer ma vie de garçon ? Je pris deux parts de tarte et me dirigeai vers la cabane à outils du jardin. Le jardinier qui taillait les troènes me vit et me fit un sourire complice, il m’amena son fils quelques minutes après, le garçon tenait un tube de vaseline à la main.

Nous nous sommes galochés un bon moment, je pelotai ses fesses à deux mains pendant qu’il tripotait ma bite à travers le pantalon. Lorsque nos lèvres se décollèrent, je lui demandai d’un ton léger :

– Comment vas-tu ?

– Ça va bien, maintenant je dors dans le lit de mes parents.

– Pourquoi ?

– Après que vous me l’ayez fait, Papa m’a demandé si j’aimais me faire enculer et... j’ai dit oui. Alors il a sorti sa bite, elle est moins longue que la vôtre mais un peu plus épaisse et il l’a mise aussitôt dans mes fesses, ça m’a fait mal au début mais après c’était bon et il a juté dedans. Maman nous a surpris et elle a dit ; « Eh ben bravo !... Ça va enfin me faire des vacances ! » Depuis je couche entre Papa et Maman, j’aime bien toucher et téter les gros roploplos de Maman, ils sont si doux ! Et puis elle me fait mettre ma main entière dans sa chatte pour jouir. Pendant ce temps-là, Papa m’encule ; il aime trop ça, il me le fait tous les soirs avant de s’endormir et tous les matins avant de se lever.

– Tu suces sa bite aussi ?

– Oui, et aussi ses couilles et... son derrière.

– Waou, j’adore ça ! Tu peux me le faire ?

– Bien sûr !

J’enlevai mon pantalon et mon caleçon, il en fit autant avec sa culotte courte et son slip. J’écartai mes jambes en grand et me pliai en deux en prenant appuis sur la table. Le petit s’accroupit derrière moi, il écarta mes fesses avec ses mains et je sentis avec délice sa petite langue agile virevolter sur mon anus avant de se vriller au centre de mon sphincter pour en forcer l’entrée. Le muscle annulaire céda doucement en envoyant des aiguillons de plaisir dans ma queue raidie et lorsque la petite langue tendue fut entièrement enfilée dans mon cul, j’étais au bord de l’éjaculation. Je le dis au gamin :

– Oh, c’est trop bon ! Arrête, je vais décharger ! Je préfèrerais jouir dans toi, tu veux bien ?

– OK !

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Le garçon lubrifia ma queue et s’allongea sur la table, les jambes en l’air, et j’enfilai aussitôt sa petite rondelle qui s’était tellement agrandie depuis la dernière fois que je me retrouvai en butée sans aucun effort ! Je me mis à ramoner son trou mignon méthodiquement et sans me presser pour ne pas jouir trop vite.

En fermant les yeux, mon esprit se mit à vagabonder et je m’imaginais maintenant en train d’enculer Sœur Emmanuelle... Comme j’avais changé ! Mais on ne peut pas empêcher la nature de s’exprimer et je dus me cramponner aux hanches de mon petit page pendant que ma lance à foutre aspergeait copieusement ses boyaux.

Il n’y a rien de tel que de se vider les couilles un bon coup pour s’éclaircir les idées et, après avoir dégusté nos parts de tarte, j’embrassai chaleureusement le gamin, nous nous rhabillâmes, et je décidai de prendre mon destin en main !

***

Par l’intermédiaire de notre chauffeur, je fis délivrer un message à la Mère Supérieure de l’Orphelinat de la Résurrection la priant de m’accorder une audience « importante » avec Sœur Emmanuelle samedi après-midi à l’heure qui lui conviendrait le mieux. Le chauffeur revint en me disant que le rendez-vous avait été accepté et fixé à quinze heures.

J’allais ensuite faire des courses en commençant par la bijouterie. J’avais imaginé faire deux cadeaux à Sœur Emmanuelle ; une chaîne en or avec une croix chrétienne pour rendre hommage à son passé et une bague de fiançailles avec un diamant pour solenniser notre avenir. Je n’eus aucune difficulté à trouver une jolie chaîne en or ainsi qu’une croix de baptême en or à l’allure dépouillée et moderne.

Après avoir choisi une bague en or sobre munie d’un diamant blanc très pur, le bijoutier me demanda le diamètre du doigt de la fiancée. Fichtre, j’avais négligé ce détail ! En me plongeant dans mes souvenirs, j’estimai que le diamètre de l’annulaire de Sœur Emmanuelle devait se situer entre celui de mon index et celui de mon petit doigt. Le bijoutier souriant fit l’interpolation et m’assura que la bague pourrait être ajustée à posteriori s’il y avait un problème de taille.

Avant de sortir de la boutique, j’eus une pensée pour la deuxième personne qui avait pris place dans mon cœur ; la petite Johanne ! Je lui achetai une petite chaîne en or blanc à porter autour du cou, cela ressemblait à une chaîne en argent bon marché mais c’était beaucoup plus précieux ; comme l’amour secret que je lui portais !

***

Le samedi suivant, à l’heure convenue, je me présentai en grande tenue à la porte du couvent. La Sœur qui m’ouvrit m’était inconnue mais elle me conduisit dans le bureau de la Mère Supérieure :

– Bonjour, ma Mère ! Je me suis permis de solliciter un rendez-vous solennel avec vous pour une démarche au caractère exceptionnel concernant... Sœur Emmanuelle.

– Je vais la chercher.

Elle sortit et revint quelques minute plus tard et là j’ai eu le choc de ma vie ! Sœur Emmanuelle n’était plus religieuse ! Elle était devenue une jeune fille moderne ; cheveux longs en queue de cheval, robe rose à pois blancs sans manches avec un grand col blanc et une large ceinture blanche qui affinait sa taille, le bas de sa robe était à hauteur des genoux et très évasé laissant voir un jupon blanc qui donnait du volume à l’ensemble, elle portait des chaussures à talons et son beau visage juvénile était mis en valeur par un léger maquillage. Elle était d’une beauté à couper le souffle ! J’avais d’ailleurs le souffle coupé et je l’admirais la bouche ouverte en étant incapable de proférer un son. La Mère Supérieure expliqua :

– Vous êtes un garçon qui a du mal à cacher ses sentiments et nous savions que vous aimiez Sœur Emmanuelle et que vous rêviez de l’épouser. Comme il eut été incongru et fort déplacé que nous vous laissions demander la main d’une religieuse, j’ai obtenu de l’évêque de notre diocèse la

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permission de libérer Sœur Emmanuelle de ses vœux temporaires, elle est redevenue une jeune fille libre et je me suis permise d’utiliser une partie de l’argent que vous nous aviez donné pour lui constituer un petit trousseau.

– Merci, ma Mère ! N’ayez aucun souci pour l’argent, je souhaite mettre en place une contribution financière mensuelle et pérenne à votre établissement pour que vous puissiez nourrir et habiller convenablement vos pensionnaires.

– Merci, mon fils ! Bon, je vous laisse, vous avez sûrement pas mal de choses à vous dire...

Je contemplais Emmanuelle les yeux humides tellement j’étais ému, je mis un genou à terre et pris sa main :

– Belle Emmanuelle, veux-tu m’épouser ?

– Oui, je le veux !

Je lui remis les bijoux que j’avais apportés ; la chaîne et la croix autour du cou et la bague de fiançailles à son annulaire gauche. L’anneau lui allait parfaitement et j’y vis là un signe de bon augure pour notre union.

– J’ai hâte de te présenter à mes parents.

– Que faisons-nous pour Johanne ?

– Ce n’est pas évident de l’intégrer dans notre couple, compte tenu des relations très particulières que j’ai eu avec elle.

– Oui, mais il n’y a qu’avec toi qu’elle reprend goût à la vie, et je l’aime beaucoup aussi, et puis nous sommes assez grands tous les deux pour pouvoir gérer ça, non ?

– Tu as raison, va la chercher !

Emmanuelle revint avec Johanne quelques minutes plus tard et je m’aperçus que tout avait été préparé à l’avance à mon insu ; Johanne était bien coiffée et vêtue d’une jolie robe imprimée à fleurs rouge toute neuve et chaussée de sandales assorties. Elle sauta dans mes bras :

– C’est vrai que vous allez vous marier et que vous allez m’adopter ?

– Oui, ma chérie.

– Alors je vais avoir le Papa le plus gentil du monde et la Maman la plus jolie du monde ?

– Bah oui ! C’est sûrement parce que tu les mérites !

Je lui remis la petite chaîne en or blanc que je lui avais choisie et elle se mit à pleurer de bonheur.

Nous allâmes saluer la Mère Supérieure et nous partîmes en emportant une petite valise en carton qui contenait tous les avoirs d’Emmanuelle et de Johanne.

***

Mon Père tomba des nues lorsque nous pénétrâmes tous les trois de son bureau. Je lui racontais longuement la genèse de notre relation et le passé d’Emmanuelle et de Johanne en omettant toutefois les détails les plus scabreux... Il était fasciné par la beauté et la personnalité d’Emmanuelle et n’arrêtait pas de lui poser des questions sur la guerre, la religion, les enfants, la famille, nos projets de mariage, etc. À la fin, il avait l’air pleinement satisfait et il résuma la situation :

– Bon, si je comprends bien vous êtes à la rue maintenant, alors bienvenue chez nous ! Mon fils va vous conduire dans nos chambres d’amis et je vais donner des instructions à la cuisinière pour nous préparer un repas de fête pour ce soir.

Emmanuelle et Johanne remercièrent mon Père et lui firent une révérence avant de sortir. Mon Père me prit à part et me dit :

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– Alors là, chapeau ! Je t’avais sous-estimé ! Me présenter une jeune femme aussi belle, ayant autant de classe et nantie d’une moralité irréprochable, puisqu’elle a passé son adolescence dans un couvent, c’est déjà énorme ! Mais qu’en plus tu aies réussi à convaincre cette beauté de t’épouser et d’adopter ta petite maîtresse clandestine, ça me laisse sans voix !

– C’est à la fois plus simple et moins pervers que tu ne le croies, mais c’est aussi une affaire de chance et j’avoue que j’ai été très chanceux sur ce coup-là !

– La chance est un facteur de réussite non négligeable dans les affaires ! Si l’on y ajoute un peu de talent, le pouvoir de séduire et la faculté de convaincre, on a réuni tous les ingrédients du succès, félicitations mon fils !

***

Près de ma chambre se trouvaient trois chambres d’amis, j’installai Emmanuelle dans la plus grande. Johanne qui avait l’habitude de dormir dans un dortoir à l’orphelinat eut peur de dormir seule dans la chambre d’une maison qu’elle ne connaissait pas, nous lui installâmes donc un lit dans la chambre d’Emmanuelle et, comme il m’était difficile de dormir seul alors que la chambre adjacente était occupée par les deux filles que j’aimais le plus au monde, je m’invitai aussi dans la même pièce...

Les journées étaient plutôt bien remplies entre les démarches pour notre mariage, l’adoption de Johanne et ma formation professionnelle dans le groupe de mon Père qui avait décidé que je passerai par tous les échelons du métier ; du manutentionnaire au directeur. Emmanuelle avait trouvé une école privée catholique pour Johanne et l’emmenait et allait la chercher tous les jours tout en suivant des cours de droit du travail ; mon Père, toujours dans son train d’avance, avait pensé que ses qualités la destinaient à devenir la future directrice des ressources humaines du groupe qu’il était en train de construire.

Après le dîner en famille, la nuit était un moment d’intimité précieux. Emmanuelle avait très intelligemment fixé les règles du jeu de notre trio singulier ; elle souhaitait que je respecte la parole donnée à Johanne de lui donner du plaisir sexuel une fois par semaine et cela se passait le dimanche matin pendant la grasse matinée, Johanne grimpait dans notre lit, je grimpais sur elle et elle jouissait en me griffant les flancs.

Les autres jours, nous attendions que Johanne s’endorme — ce qui arrivait assez vite car Emmanuelle lui avait appris à caresser sa zézette pour apaiser ses tensions — et je pouvais jouir tranquillement de l’orifice profane de ma future femme en respectant son désir de rester vierge jusqu’à notre nuit de noces.

***

Notre mariage eut lieu à l’église trois mois plus tard. Ma mère me conduisit à l’autel en premier. Emmanuelle, étant orpheline, remonta la nef au bras de mon père accompagnée par la marche nuptiale de Wagner jouée à l’orgue. Elle avait le visage recouvert d’un voile de tulle transparent pour montrer qu’elle était restée vierge et portait une superbe robe blanche avec une longue traîne tenue par Johanne, notre demoiselle d’honneur en robe de princesse blanche. Le fils du jardinier étant devenu depuis peu la coqueluche du curé de notre paroisse (on se demande bien pourquoi...) faisait l’enfant de cœur habillé d’une aube blanche et tenant un gros cierge à la main. La Mère Supérieure et une partie des Sœurs de l’orphelinat étaient également présentes à la cérémonie ainsi que notre famille, nos amis et notre personnel.

Après la liturgie de la parole, nous échangeâmes nos consentements et je pus relever le voile d’Emmanuelle et le rabattre sur son dos pour contempler son visage inondé de bonheur. Nous mîmes nos alliances, le prêtre bénit notre union et nous échangeâmes un baiser fervent. Après avoir signé les registres de la paroisse sur l’autel, nous reçûmes les félicitations de nos invités puis Emmanuelle déposa son bouquet de fleurs d’orangers devant une statue de la Vierge Marie, et la marche nuptiale de Mendelssohn accompagna notre sortie de l’église en tant que mari et femme.

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***

Le reste de la journée fut tout aussi réussi et la nuit de noces que j’attendais depuis une éternité arriva enfin ! Pour l’occasion, Johanne avait accepté d’aller dormir dans la chambre que nous avions décorée amoureusement pour elle depuis plusieurs semaines mais qu’elle n’avait pas encore voulu occuper.

Emmanuelle me fit un striptease très sensuel pour solliciter ma libido qui n’en avait pas besoin ; je bandais déjà comme un cerf on songeant au sanctuaire virginal que j’allais enfin pouvoir profaner. L’abricot d’Emmanuelle était lisse comme celui d’une petite fille ; elle l’épilait en permanence pour qu’il conserve son pouvoir de séduction auprès de moi et de mes inclinaisons sexuelles particulières.

Je plongeai mon visage entre ses cuisses blanches largement ouvertes pour faire connaissance avec cette vulve immaculée. Je la humai, l’embrassai et la goûtais. Si elle avait l’aspect d’une minette impubère, le goût de sa cyprine était un appel puissant au sexe ; les hormones qui se concentraient depuis plusieurs années exsudaient une liqueur à la saveur luxurieuse pour attirer le mâle qui viendrait enfin faire don de sa semence pour donner la vie.

Le moment était arrivé ; mon gland humide était à l’entrée du temple et nous nous regardions dans les yeux. Emmanuelle ferma les yeux pour me donner le feu vert. Je poussai, elle étouffa un cri, une larme perla de ses paupières, j’étais au fond d’elle. Elle me serra fortement dans ses bras et me sourit. Je me mis en action sur un rythme crescendo.

Je jouis une première fois et continuai sans m’arrêter ; son bassin s’anima, ses cuisses s’ouvrirent davantage et elle croisa ses jambes autour de ma taille. Mon second orgasme déclencha le sien. Nous fîmes une pose où je restais soigneusement enfoncé au fond d’elle puis, comme il me restait quelques ressources, je me remis à l’œuvre doucement pour déposer le restant de mon sperme dans son utérus au cours d’un dernier orgasme.

Emmanuelle poussa un soupir comblé et me souffla :

– Je suis dans une période fertile et tu m’as donné tellement de semence que je crains d’avoir des jumeaux.

– Cela ne fait rien, je les aimerai autant que toi et Johanne.

Nous nous endormîmes en rêvant à notre nouveau monde enchanté. Le lendemain, Johanne entra gaiement dans notre chambre et sauta dans notre lit dans lequel nous étions nus. Emmanuelle lui demanda :

– Tu n’as pas eu peur de dormir toute seule dans ta chambre ?

– Pas du tout ! J’ai même fait des beaux rêves. J’aime bien ma nouvelle chambre, je crois que je vais dormir dedans toutes les nuits. Maman, tes nénés sont super beaux, tu crois que j’en aurai des comme ça quand je serai grande ?

– Bien sûr ! Cela ne fait aucun doute. Tu veux que Papa te fasse l’amour ?

– Ce n’est pas la peine, Maman, il doit être bien fatigué ! Au fait, il a ouvert ta zézette ?

– Oui, ma chérie, il a même fait mieux que ça ; il a déposé une petite graine dans mon ventre et, dans neuf mois, tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur. Qu’est-ce que tu préférerais ?

– Peu importe ! Si c’est une petite sœur, elle deviendra ma meilleure amie, et si c’est un petit frère, je pourrai faire plein de bêtises avec lui...

Voilà ! La page était tournée et je n’avais aucun regret.

FIN