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NOUVEAUTÉ MARS 2015 A NTONÍN D VORÁK R EQUIEM , O P . 89 Ilse Eerens – Bernarda Fink – Maximilian Schmitt – Nathan Berg Collegium Vocale Gent Philharmonie Royale de Flandre Philippe Herreweghe – LPH 016 – Outhere S.A. · rue de l’Épargne 29 · B-1000 Bruxelles tél. : +32 2 373 82 00 · fax : +32 2 373 82 09 vente & marketing: [email protected] · communication: [email protected] www.outhere-music.com 2CD tt: cd1: 50’49 — cd2: 42’33 également disponible –LPH 014 – – LPH 009 – V UN EXTRAIT ICI ! Philippe Herreweghe est né à Gand et a cumulé des études universitaires et une formation de piano auprès de Mar- cel Gazelle. Il fonda le Collegium Vocale Gent en 1970 et en 1977 La Chapelle Roy- ale. De 1982 à 2002, il a été directeur des Académies musicales de Saintes. Durant cette période, il a fondé l’Ensemble Vo- cal Européen et l’Orchestre des Champs- Élysées. À l’invitation de la prestigieuse Accademia Chigiana (Sienne), et depuis 2011 sous l’impulsion du programme cul- turel de l’Union européenne, Philippe Herreweghe travaille en compagnie du Collegium Vocale Gent à la constitution d’un grand choeur symphonique de niveau européen. Toujours à la recherche de nouveaux défis musicaux, Philippe Herreweghe est depuis quelque temps très actif dans le répertoire sympho- nique. Depuis 1997, il est le chef attitré de deFilharmonie (Or- chestre philharmonique des Flandres, Anvers) et, depuis 2008, il est chef invité à la Radio Kamer Filharmonie des Pays-Bas. Philippe Herreweghe est à la tête d’une discographie impres- sionnante de plus de cent enregistrements. En 2010, il a fondé son propre label PHI afin de jouir d’une liberté complète dans la constitution d’un catalogue varié. Le Collegium Vocale Gent, deFilharmonie et Philippe Herreweghe s’associent une fois encore pour proposer un monument du répertoire de musique vocale et sym- phonique sacrée : le Requiem, op. 89, d’Antonín Dvorák. Si cette oeuvre datant de 1890 fait partie de celles qui marquent l’entrée du compositeur dans une nouvelle phase de création musicale, dans laquelle il se reconnaît « autant comme poète que comme musicien », elle nous révèle en outre la véritable nature d’un compositeur sans contrainte, n’étant probablement ni une commande, ni une composition de circonstance. Philippe Herreweghe nous offre une interprétation aussi dense et concentrée que l’exige l’écriture de cette oeuvre magistrale.

Lph016: Antonín Dvorák: Requiem , Op. 89 - FR

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Ilse Eerens, soprano Bernarda Fink, soprano Maximilain Schmitt, ténor Nathan Berg, baryton - basse Collegium Vocale Philharmonie Royale de Flandre Philippe Herreweghe

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n o u v e a u t é m a r s 2 0 15

an t o n í n Dv o r á k

re q u i e m , op. 89Ilse Eerens – Bernarda Fink –

Maximilian Schmitt – Nathan Berg

Collegium Vocale GentPhilharmonie Royale de Flandre

Philippe Herreweghe

– LpH 016 –

O u t h e r e S . A . · r u e d e l ’ É p a r g n e 2 9 · B - 10 0 0 B r u x e l l e s

t é l . : + 3 2 2 3 7 3 8 2 0 0 · f a x : + 3 2 2 3 7 3 8 2 0 9

v e n t e & m a r k e t i n g : d o m i n i c @ o u t h e r e - m u s i c . c o m · c o m m u n i c a t i o n : j u l i e n @ o u t h e r e - m u s i c . c o m

w w w. o u t h e r e - m u s i c . c o m

2CDtt: cd1: 50’49 — cd2: 42’33

également disponible

–LpH

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– Lp

H 00

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un extrait ici !The Collegium Vocale Gent, the Royal Flemish Phil-harmonic and Philippe Herreweghe join forces once again for a monument of the sacred choral repertoire: Antonín Dvorák’s Requiem, Op. 89. This work, dating from 1890, is one of those that marked a new phase in the composer’s musical creation, in which he recog-nized himself ‘as much a poet as well as a musician’. In addition, this reveals the veritable nature of a composer without constraint, probably being neither a commis-sion nor an occasional work. Philippe Herreweghe of-fers us an interpretation as dense and concentrated as the writing of this masterpiece requires.

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Philippe Herreweghe est né à Gand et a cumulé des études universitaires et une formation de piano auprès de Mar-cel Gazelle. Il fonda le Collegium Vocale Gent en 1970 et en 1977 La Chapelle Roy-ale. De 1982 à 2002, il a été directeur des Académies musicales de Saintes. Durant cette période, il a fondé l’Ensemble Vo-cal Européen et l’Orchestre des Champs-

Élysées. À l’invitation de la prestigieuse Accademia Chigiana (Sienne), et depuis 2011 sous l’impulsion du programme cul-turel de l’Union européenne, Philippe Herreweghe travaille en compagnie du Collegium Vocale Gent à la constitution d’un grand choeur symphonique de niveau européen. Toujours à la recherche de nouveaux défis musicaux, Philippe Herreweghe est depuis quelque temps très actif dans le répertoire sympho-nique. Depuis 1997, il est le chef attitré de deFilharmonie (Or-chestre philharmonique des Flandres, Anvers) et, depuis 2008, il est chef invité à la Radio Kamer Filharmonie des Pays-Bas. Philippe Herreweghe est à la tête d’une discographie impres-sionnante de plus de cent enregistrements. En 2010, il a fondé son propre label PHI afin de jouir d’une liberté complète dans la constitution d’un catalogue varié.

Le Collegium Vocale Gent, deFilharmonie et Philippe Herreweghe s’associent une fois encore pour proposer un monument du répertoire de musique vocale et sym-phonique sacrée : le Requiem, op. 89, d’Antonín Dvorák. Si cette oeuvre datant de 1890 fait partie de celles qui marquent l’entrée du compositeur dans une nouvelle phase de création musicale, dans laquelle il se reconnaît « autant comme poète que comme musicien », elle nous révèle en outre la véritable nature d’un compositeur sans contrainte, n’étant probablement ni une commande, ni une composition de circonstance. Philippe Herreweghe nous offre une interprétation aussi dense et concentrée que l’exige l’écriture de cette oeuvre magistrale.

an t o n í n Dv o r á kre q u i e m, op. 89

CD 1

introitus1. Requiem æternam – Kyrie eleison 10’44

graduale2. Requiem æternam 04’38

sequentia3. Dies iræ 02’284. Tuba Mirum 08’355. Quid sum miser 06’026. Recordare, Jesu pie 07’037. Confutatis maledictis 04’428. Lacrimosa 06’33

CD 2

offertorium9. Domine Jesu Christe 10’5210. Hostias 10’13

11. sancte – benedictus 05’54

12. pie jesu 04’19

13. agnus dei 11’11

– LpH 016 –

O u t h e r e S . A . · r u e d e l ’ É p a r g n e 2 9 · B - 10 0 0 B r u x e l l e s

t é l . : + 3 2 2 3 7 3 8 2 0 0 · f a x : + 3 2 2 3 7 3 8 2 0 9

v e n t e & m a r k e t i n g : d o m i n i c @ o u t h e r e - m u s i c . c o m · c o m m u n i c a t i o n : j u l i e n @ o u t h e r e - m u s i c . c o m

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n o u v e a u t é m a r s 2 0 15

Ilse Eerens commence ses études à l’âge de quatorze ans au Lem-mensinstituut de Louvain. En 2002, elle entre à la Nieuwe Opera Academie d’Amsterdam / La Haye dans la classe du célèbre profes-seur de chant Jard van Nes. Elle a interprété notamment le rôle de Marianne lors de la première mondiale de Geschichten aus dem Wienerwald au Festival de Bregenz, celui de La seconde fille lors de la première mondiale à La Monnaie de Au Monde de Philippe Boesmans, celui de Despina lors d’une production semi-scénique de Cosi fan tutte avec l’Orchestre du XVIIIème Siècle, le rôle-titre de Cunning Little Vixen de Janáček à l’Opéra National de Lyon et

le rôle du Marmiton dans Rusalka au Royal Opera House de Covent Garden. Ilse Eerens a travaillé avec de nombreux chefs d’orchestre tels que Yannick Nézet-Séguin, Hartmut Hae-nchen, Paolo Olmi, Michael Schønwandt, Mark Wigglesworth et Jaap van Zweden.

Bernarda Fink, d’origine slovène, est née à Buenos Aires et se forme à l’Instituto Superior de Arte del Teatro Colón. Aujourd’hui, elle se produit régulièrement aux côtés de Daniel Barenboim, Her-bert Blomstedt, Semyon Bychkov, Riccardo Chailly, John Eliot Gar-diner, Valery Gergiev, Bernard Haitink, Nikolaus Harnoncourt, Philippe Herreweghe, René Jacobs, Mariss Jansons, Riccardo Muti, Simon Rattle, ou encore Franz Welser-Möst, sur les scènes de Vi-enne, Amsterdam, Londres, Berlin, New York et Buenos Aires. Ses enregistrements ont gagné de nombreux prix tels que le Diapason

d’Or ou le Grammy Award. Elle a reçu la Médaille autrichienne des Sciences et des Arts et partage avec son frère Marcos la récompense culturelle slovène la plus prestigieuse, celle de la fondation Prešeren.

C’est très jeune que Maximilian Schmitt découvre son amour pour la musique, au sein du choeur d’enfants de la cathédrale de Ratisbonne. Fin 2012, il débute à l’Opéra d’Amsterdam en tant que Tamino dans la célèbre production de Simon McBurney, qui sera à nouveau représentée en 2015 grâce à son énorme succès. Il ouvrira sa saison 14/15 dans le rôle de Belmonte dans L’Enlèvement au sé-rail de Mozart, sous la baguette de René Jacobs et l’Akademie für Alte Musik Berlin. En concert, son répertoire riche et varié s’étend de Monteverdi à Mendelssohn en passant par Mozart, et il est ré-

gulièrement invité par des chefs tels que Franz Welser-Möst, Andrew Manze, Daniel Hard-ing, Thomas Hengelbrock, Fabio Luisi, Philippe Herreweghe, Marcus Creed, Trevor Pin-nock, René Jacobs, Robin Ticciati,…

À ce jour, la carrière de Nathan Berg a embrassé un large panel de styles et de répertoires, aux côtés de certains des plus grands chefs tels que Kurt Masur, Esa-Pekka Salonen, William Christie, Roger Norrington, Hans Graf, Philippe Herreweghe, Vasily Petren-ko, Vladimir Ashkenazy et Michael Tilson Thomas. Nathan s’est fait connaître à ses débuts grâce à ses interprétations magistrales d’œuvres baroques et pré-classiques, tant à l’opéra qu’en concert. Plus tard, il interprètera les rôles principaux d’opéras de Mozart tels que Don Giovanni ou Le nozze di Figaro à New York, Londres, Paris

et Vancouver. Récemment, Nathan élargit encore son répertoire en s’attaquant au rôle-titre du Hollandais volant, ou en se glissant dans la peau d’Alberich (L’Or du Rhin) ou encore du Médecin (Wozzeck) avec le BBC Scottish Symphony Orchestra.

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