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Pays Basque-Béarn-Landes Numéro 7 Gratuit Partenaire Partenaire Surfrider Surfrider Père Noël Interview Interview exclusive exclusive Vos trucs et astuces Vos recettes bios Vos jeux Tout sur la Tout sur la Bio Électricité Bio Électricité Planète Habitat Planète Habitat Préparer Préparer son son corps corps au au repas de fête repas de fête Planète Santé Planète Santé La voiture électrique Planète News Planète News Prendre soin Prendre soin de de ma ma peau peau en hiver en hiver Planète Beauté Planète Beauté Mon Mon noël vert noël vert Planète Société Planète Société Planète Gastronomie Planète Gastronomie Recettes sucrées Recettes sucrées pour les enfants pour les enfants

Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

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Magazine gratuit traitent de l'écologie et de l'environnement

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Page 1: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

Pays Basque-Béarn-Landes Numéro 7 Gratuit

PartenairePartenaireSurfriderSurfrider

Père Noël

InterviewInterviewexclusiveexclusive

Vos trucs et astucesVos recettes bios

Vos jeux

Tout sur laTout sur laBio ÉlectricitéBio Électricité

Planète HabitatPlanète Habitat

Préparer Préparer son son corpscorps au au repas de fêterepas de fête

Planète Santé Planète Santé

La voiture électrique

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Prendre soinPrendre soin dede ma ma peaupeau en hiver en hiver

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Page 3: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

Édito

Vive le vent, vive le vent d’hiver !! Et quel hiver !!! Ce temps rigoureux

nous incite à rester bien au chaud et à organiser les fêtes de fi n d’année.

Avec ce guide vert que nous vous avons concocté, vous n’aurez plus

d’excuses pour ne pas prendre soin de vos préparatifs… et de vous : Un

Noël vert, une peau protégée, un corps fi n prêt aux repas riches qui nous

attendent, en voilà de bonnes idées !!!

Vous pensiez avoir fait le tour de ce que l’on peut mettre en bio ?

Détrompez-vous : l’électricité bio, ça existe ! Pour vos sols, misez éga-

lement sur le recyclable et le naturel avec ce petit tour d’horizon des

revêtements bons pour vous et pour la planète.

Et dans notre garage, notre voiture électrique, bien sûr ! Pas encore

adepte ? Pourtant tout le monde s’y met, y compris les 4x4, les voitures

au cinéma, même les 24h du Mans n’y échappent pas !!

Un bon point pour vous si vous recyclez mais comment réduire encore

plus nos déchets ? Car la réduction des déchets est nécessaire, tout

autant que le recyclage. Vous l’apprendrez dans Planète News.

De quoi à nouveau, satisfaire nos appétits écologiques dans ce numéro

de Planète EKOLOGIE et pour étancher notre soif de résolutions vertes,

vous trouverez comme toujours, en fi n de magazine tous les prestataires

présents dans ce magazine.

Bonne lecture et bonnes fêtes de fi n d’année !

Planète Ekologie Planète Ekologie

Distribué dans plus de 300 dépôtsPays Basque, Béarn, Landes

Planète Ekologie est réalisé par la SARL BAB’S Éditions

21, quartier Amotz64310 Saint-Pée -sur-Nivelle

[email protected]

05 59 23 25 92

Directeur de Publication et Rédacteur en Chef

Christopher George

Rédacteur Adjoint et MarketingSuzanne George

Maquette et InfographisteCompo-Méca - 64990 Mouguerre

Nous [email protected]

Publicité Pascal Guillard

[email protected]

Photosfr.fotolia.com, www.stock.xchng.com, www.photl.com, www.caradisiac.com

ISSN 2103-9194Planète EKOLOGIE est une marque déposée,

tous droits réservés

Planète EkologieDistribué dans plus de 300 dépôts

Pays Basque, Béarn, Landes

Planète Ekologie est réalisé par la SARL BAB’S Éditions

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21, quartier Amotz64310 Saint-Pée -sur-Nivelle

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Ce magazine est réalisé avec du papier aux normes PEFC

Imprimé en CEE

• Village du "Grand mail" (face au Centre E. Leclerc)504, rte de la Bernadère – 40990 Saint-Paul-les-Dax

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Page 4: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

Sommaire

Carnet de bord

7 PUBLI REPORTAGE LIEUX DE VIE

24 PUBLI REPORTAGE ÉCO'VIE

46 VOS TRUCS & ASTUCES

47 JEUX

50 ANNUAIRE DES ANNONCEURS

7 PUBLI REPORTAGE UBLI LIEUX DE VIE

2424 PUBLI REPORTAGE RE ÉCO'VIE

46 VOS TRUCS & ASTUCES

47 JEUX

50 ANNUAIRE DES ANNONCEURS

Planète Habitat 5 La bio-électricité

9 Votre empreinte écolo dans le sol

Planète News 13 Recyclage

et traitement des déchets

Interview

17 Père Noël

Planète News 21 La France accélère

vers la voiture électrique

Planète Société 26 Mon Noël vert

Planète Jardin 31 Mon jardin bio en hiver

Planète Bien-être et santé 34 Préparer son corps

aux repas de fêtes

37 Votre fi che détox d'hiver

Planète Beauté 38 Prendre soin de sa peau en hiver

Planète Gastronomie 42 Les recettes

37 Fiche détox

31 Mon jardin bio

9 Votre empreinte écolo

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On l’appelle bio-électricité ou électricité bio-compatible. Elle est à l’électricité ce que la bio est à l’alimentation et repose sur quelques règles qu’il vaut mieux connaître pour vivre sainement dans sa maison et éviter ainsi les pollutions électriques.La bio-électricité nous sert à concevoir, réaliser, assainir une installation électrique, afi n de réduire, voir supprimer les effets néfastes provoqués par une exposition prolongée aux champs électriques, magnétiques et hyperfréquences qu’elle dégage.

Mais qu’est-ce que des... ?Champs électriques ils émanent de nos appareils et conducteurs mis sous tension (volts), par exemple lorsqu’on branche un séchoir à cheveux, ou une lampe dans une prise de courant. Plus on s’éloigne d’une source de champ électrique, plus la force du champ diminue.

Les champs électriques sont habituellement bloqués ou affaiblis par la présence d’éléments conducteurs d’électricité, comme les arbres, les édifi ces, voir même la peau humaine.

Champs magnétiques ils sont émis par nos appareils et conducteurs parcourus par un courant élec-trique (ampère) ; lorsque le courant électrique circule dans un fi l ou un autre dispositif électrique. Ainsi, le fait de mettre une cafetière en marche provoque un champ magnétique. Comme dans le cas des champs électriques, le fait de s’éloi-gner de la source du champ magnétique en diminuera la force. Par contre, contrairement aux champs électriques, les champs magnétiques traversent la plupart des matières, incluant les arbres, les édifi ces et la peau humaine.

Hyperfréquences elles sont rayonnées par les systèmes de communication sans fi ls (GSM, téléphone sans fi l, portable, wi-fi , alarmes,….)

Attention les cervelles, les CEM (champs électromagnétiques) attaquent ! Protégez-vous avec l’électricité bio-compatible, nommée aussi bio-électricité. Suivez le guide.

Habitat

La bio-électricitépour un habitat sain

Quelques règles pour éviterles pollutions électromagnétiques

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Prise de terreL’initiation à l’électricité bio-compatible commence par la connaissance et la maîtrise de la prise de terre. C’est le « tout à l’égout » de l’installation, donc à ne surtout pas négli-ger. Elle assure non seulement une fonction de sécurité par rapport aux risques d’électrocution, mais garantit aussi la neutralisation des champs électriques.Sur des installations électriques anciennes, il arrive qu’elle soit inexistante. Il est alors primordial d’y remédier. Sa qua-lité dépend de sa résistance (qui s’exprime en ohms) – qui doit être suffi samment faible pour laisser passer le courant et assurer une bonne liaison à la terre – et de son emplace-ment, sans perturbation électrique.

Mode d'emploiLa résistance varie selon la surface de contact entre le métal et la terre. Le piquet de terre enfoncé à une profondeur de plusieurs mètres permet parfois d'atteindre des couches géologiques de plus faible résistance. La nature et l’humi-dité du sol sont aussi des facteurs de variation. Ainsi, un sol rocheux ou sablonneux l’augmente. À l’inverse, une terre végétale ou argileuse la diminue.Pour rendre la terre plus conductrice, on peut ajouter de la terre végétale, du charbon en poussière ou de la limaille métallique. La prise de terre doit être enfouie à une pro-fondeur d'environ un mètre pour être effi cace par tous les temps.

Dans le nouveau et l'ancienPour une nouvelle construction, la meilleure solution est de réaliser un ceinturage à fond de fouille par un câble en cuivre nu de 25 mm2 de section relié au tableau électrique. Pour une habitation existante, le choix se fait entre le conducteur en tranchée (un câble en cuivre nu de section 25 mm2 est enterré à un mètre dans une tranchée), les piquets en acier galvanisé enfoncés à deux mètres et reliés entre eux par un câble de cuivre et les piquets de cuivre. Pour cette troisième technique, on peut récupérer un tambour de machine à laver toujours relier par le fi l de cuivre.

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Blindez-vous contre le malLe réseau électrique étant le plus souvent encastré dans les cloisons, les murs, les planchers et les plafonds, maîtri-ser les champs électriques implique automatiquement de tenir compte de la nature des matériaux. En cas de forte conduction, le blindage des fi ls et des câbles électriques permet d’annuler l’émission de champs électriques sur tout le parcours des conducteurs.

Conseils d’expertLes murs à ossature en bois sont fortement diffuseurs, quel que soit le matériau de remplissage. Les cloisons sèches (Placo ou Fermacel) à ossature bois ou métallique le sont également. « Sur la longueur d’un conduit électrique, on peut rencontrer différents matériaux, précise Claude Bossard, électricien spécialiste des environnements électro-magnétiques : mur en brique, poutre en bois, huisseries en bois, cloison sèche. C’est alors le matériau qui a l’indice le plus élevé qui détermine le niveau de protection à choisir. »On peut aussi enfermer les fi ls électriques dans une gaine blindée. Dernier produit en date : la gaine Flex-a-ray, dispo-nible dans trois diamètres couramment utilisés et facile à mettre en œuvre.Enfi n, boîtiers et coffrets faradisés protègent aussi des champs électriques. Le boîtier, c’est l’enveloppe encastrée de l’inter-rupteur et de la prise de courant. Pour les blinder, ils sont enduits d’une peinture au graphite. Pour le tableau électrique qui centralise le réseau de la maison (le coffret), c’est pareil.

Quels sont les risques des pollutions électromagnétiques pour notre santé ?Il apparaît au travers de plusieurs études médicales que l’ex-position aux pollutions électromagnétiques aggraverait les problèmes comme la nervosité, les troubles du sommeil, problèmes de peau, pathologies sanguines…. en affaiblis-sant le potentiel immunitaire.

Mais il ne faut pas perdre de vue que la nature des pro-blèmes de santé est différente d’une personne à l’autre, et que la sensibilité à cette exposition électromagnétique est différente d’un individu à l’autre. Ainsi, il ne nous est pas permis d’assurer que cette pollution électromagnétique est responsable de tous nos maux. ■

Sources : www.bioetbienetre.fr, http://electricite.suite101.fr

Lieux de Vie – Qui êtes-vous et que faites-vous ?Lieux de Vie est une agence conseil en architecture intérieure, spécialisée en écobiologie. Cela reprend très exactement mes deux passions : l’harmonie dans l’ha-bitat et l’écologie.Après avoir créé Lieux de Vie pour exercer mon activité de décoration d’intérieur, j’ai décidé d’étudier les fonde-ments de l’habitat écologique, car je suis depuis toujours convaincue de l’infl uence que peut avoir la qualité de l’habitat sur la santé des habitants. C’est ainsi que j’ai suivi une formation en Biologie de l’Habitat® sur deux années et obtenu ma certifi cation en Juin 2007 après avoir consacré un mémoire à la création d’un concept d’har-monisation d’intérieur et de décoration écologique.

Sur quels critères ou principes plus ou moins connus vous basez-vous pour réaliser l’architecture inté-rieure « écologique » et l’harmonisation d’intérieur ?La méthode originale de Lieux de Vie pour l’harmoni-sation d’intérieur reprend un ensemble de paramètres à la fois anciens et modernes, très fortement liés à notre culture afi n de créer un lien entre l’habitat, le lieu sur lequel il est situé et le rôle qui lui est propre, ainsi qu’avec la personnalité de son ou ses occupants.L’harmonisation d’intérieur est le point d’orgue apporté à l’ensemble des paramètres qui précèdent afi n que les lieux traités soient en totale harmonie non seulement avec l’environnement, avec la santé des occupants mais aussi avec leur personnalité.La santé des habitants, le respect total de l’environne-ment et la fusion avec lui, le soin de préserver et déve-lopper le bien-être des cinq sens et de l’esprit à l’inté-rieur du bâti, sont les maîtres mots de l’harmonisation d’intérieur.

Catherine Allain

Présence auSalon Eco’Vie à Biarritz

du 28 au 30 janvier 2011

Salon Ecosystèmes à Daxles 5 et 6 février 2011

Catherine ALLAIN Catherine ALLAIN Architecte d’intérieur, Architecte d’intérieur,

spécialisée en écologiespécialisée en écologie

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Sols souplesLe grand retour du linoVague écolo oblige, le linoléum naturel est le plus connu des revêtements de sols souples recyclables (attention, il existe aussi un linoléum synthétique) et fait son grand retour.Mélange d’huile de lin, de farine de bois, de chaux et de jute, il est biologique, biodégradable et se nettoie en deux temps trois mouvements. Confortable et résistant, il est souvent installé dans les chambres d’enfants, la cuisine, la salle de bains. Cependant, sa pose demande une grande minutie. Comme le linoléum doit être collé sur un sol parfaitement plat, souvent un ragréage s’impose.

Laine de mouton et poil de chèvre…La moquette, c’est le choix du confort et de l’isolation acous-tique et thermique, pour une ambiance chaleureuse et reposante. Agréable au toucher, c’est « le » sol moelleux par

excellence, parfait dans les chambres, le salon ou l’escalier.La solution écolo et antiallergénique : les moquettes en laine de mouton ou en poil de chèvre (une des fi bres naturelles les plus résistantes), vendues par rouleaux de quatre mètres. Pour l’entretenir, « passez l’aspirateur une à deux fois par semaine et procédez à un nettoyage périodique annuel par injection-extraction », conseille Corinne Impellizzeri de l’Union française pour les tapis et moquettes.

Le choix d’un revêtement de sol ne relève pas uniquement de la décoration intérieure, il a aussi des répercussions sur la santé. Les émissions de composés organiques volatiles toxiques, contenus dans les sols synthétiques favorisent l’asthme, les allergies et ont même un effet sur la fertilité… sans parler de l’impact sur l’environnement. Un revêtement écologiquement correct et non toxique pour la santé,

c’est possible. À condition de choisir des matériaux naturels et recyclables comme le linoléum, le cuir, le liège, la moquette en poils de chèvre, les fi bres végétales, le parquet ou la pierre naturelle.

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Papier recyclé, jonc de mer, jute, sisal et coco : exotiquesPour une note plus dépaysante, les alternatives aux moquettes conventionnelles sont pléthore. Outre la moquette en papier recyclé, originale en diable mais, avouons-le, diffi cile à trouver et assez fragile, vous pou-vez opter pour une moquette en fi bres végétales. Carrément tendance, le lin, jonc de mer, coco, jute, sisal existent en mailles simples, doubles, tressages ou chevrons et donnent une note d’exotisme à votre intérieur. On les trouve facilement sous forme de tapis prédécoupés, mais on peut se les faire couper sur mesure, pour couvrir toute la pièce en une seule pose.

Intéressantes en termes de rapport qualité-prix, les moquettes en fi bres végétales

sont de surcroît résistantes, antistatiques et hypoallergéniques et sont parfaites pour des pièces à grand passage comme l’en-trée et les escaliers. L’intervention d’un professionnel est parfois nécessaire puisque ce type de revêtement doit être collé au sol et fi xé aux quatre coins par des bandes adhésives. Et si certains n’apprécient pas de marcher dessus pieds nus, beaucoup trouvent ce mas-sage de la voûte plantaire très agréable. À éviter dans la salle de bain à cause

de l’humidité et dans la cuisine car ces moquettes sont des nids à poussière.

Sols dursLe parquet : noble et sensuel

Le parquet reste le sol dur le plus apprécié. Ce matériau naturel, noble et durable est idéal et offre un

grand choix d’essences. Confortable, il rend une bonne acoustique. Sa pose est aisée et il est souvent disponible en lames à « clipser ». Idéal dans les étages, le salon et les chambres, il est bien évidemment à proscrire dans une salle de bains. Pour parfaire l’isolation phonique, pensez à poser une sous-couche de liège.

Habitat écolo. Le carrelage s’éco-certifie !80 % des Français considèrent leur habitat comme « un véritable havre de paix »... Mais il serait encore plus si nous utilisions des matériaux écolo pour le bâtir et le revêtir ! En effet, en dépit des normes et des labels de sécurité exis-tants pour les carrelages intérieurs, l’industrie du carrelage a un impact important sur l’environnement. Heureusement, pour les éco-citoyens friands de ce revêtement, il existe aujourd’hui un Label spécialement conçu pour les carre-lages... écolo !

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Carrelage écolo : les entreprises s’engagentLe carrelage, quelque soit sa couleur, sa forme et sa taille, est le revêtement du sol favori des Français, et passe même devant la moquette. À la fois stylé, solide et facile à entretenir, le carre-lage ne cesse d’évoluer et s’adapte aussi bien dans la cuisine que dans la salle de bain mais aussi dans les pièces à vivre.Cette fi lière developpe désormais des produits plus res-ponsables, et ce, de la fabrication à la fi n de la durée de vie du produit. Ainsi, actuellement, de plus en plus d’entre-prises s’engagent à améliorer leur procédé de fabrication.En France, on peut nommer la société Novoceram qui s’est spécialisée dans le carrelage éco-certifi é. En effet, les produits Novoceram sont conçus de façon respectueuse de la planète, de la sélection des matières premières à la destruction, en passant par les processus de production.Pour toutes ces délicates attentions en faveur de Dame nature, Novoceram a obtenu la marque Écolabel, certi-fi cation attestant l’écocompatibilité de produits de grande consommation.

Le caralium 100 % recyclable, le caralium®, se présente comme une nouvelle alternative écologique au carrelage. Composé à 80 % de matière minérale et 20 % de com-posite, ce nouveau type de carreaux vous permet de pro-fi ter des avantages de la céramique sans pour autant en avoir les inconvénients. Très résistants, ils offrent une bonne isolation thermique et phonique, tout en étant solides et légers. Facile à installer et à entretenir, ce nouveau type de carrelage semble avoir de beaux jours devant lui malgré son tarif de 35€ le m².

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Qu’est-ce qui rend un carrelage écolo ?Pour qu’un carrelage puisse bénéfi cier de l’écolabel euro-péen, il doit bien évidemment satisfaire un cahier des charges très précis. Voici les différents groupes de critères :

• La consommation d’eau et d’énergie lors de la fabrication est limitée,

• Les résidus de substances dangereuses pour la santé et l’environnement sont réduits au minimum,

• Les émissions nocives pour l’air et pour l’eau sont limitées,

• Le produit s’accompagne d’instructions sur la gestion des déchets.

D’autre part, le produit subira une analyse de son cycle de vie pour identifi er les différentes pollutions qu’il produira tout au long de sa vie de l’extraction des matières premières à sa mise en décharge en passant par sa production et son conditionnement.Actuellement seulement 30 % des produits présents sur le marché soit éligibles à l’écolabel, qui est valable de 3 à 5 ans.

Les nouveautés en matière de carrelage écoloQui aurait cru que le carrelage puisse être à la fois écolo-gique et original ? En effet, vous pouvez dorénavant trouver dans le commerce, différents types de carreaux associant style et respect de la planète :

• Des carreaux en verre recyclé en format 30 ✕ 30,

• Des carreaux en composite légers et recyclables : carbo-nate de calcium + résine,

• Le réemploi de restes de carrelages pour créer de nou-veaux carreaux.

Par ailleurs, certains types de carreaux comme les carreaux en composite peuvent être disposés avec un autocollant pour éviter d’utiliser de la colle. Alors, à vos carrelages ! Et sans culpabiliser s’il vous plaît... ■

Sources : www.quelle-sante.com, www.consoglobe.com

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Page 13: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

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Recyclage et traitement des déchets

Pourtant cette évolution rapide du traitement des déchets n’est pas toujours aisée à suivre et il est parfois encore compliqué, pour les consommateurs, de recycler leurs déchets.

Le recyclage des déchets part d’un constat : toute activité humaine génère sa part de déchets. L’accroissement démo-graphique et le développement de la société de consom-mation ont multiplié la quantité de ces déchets, qui ont doublé en 40 ans, pour atteindre 480 kg par an et par per-sonne en France.D’où la nécessité de mettre en place une gestion des déchets pour s’occuper des problèmes engendrés par leur accumulation : papier, carton, verre, plastique, métaux... Ces déchets représentent d’abord un risque sanitaire puis éner-gétique et enfi n environnemental. Le recyclage est donc très important.

Traitement des déchets de plus en plus effi caceFace à l’augmentation des déchets ménagers, les tech-niques de traitement des déchets ont dû évoluer. Le développement des technologies et des fi lières de retrai-tement, poussé par l’évolution de la réglementation et la prise de conscience écologique, ont augmenté les taux de recyclage tout en diminuant les volumes incinérés et stockés.Avec l’explosion des déchets ménagers, le traitement des déchets a dû évoluer. Mais cette évolution rapide du trai-tement des déchets n’est pas toujours aisée à suivre et il est parfois encore compliqué, pour les consommateurs,

de recycler ses déchets. Les initiatives d’informations et de sensibilisation se multiplient donc pour corriger cet état de fait.

Les déchets et vousCe qu’est un déchetSelon le Code de l’Environnement (art. L 541-1), un déchet est « tout résidu d’un processus de production, de trans-formation ou d’utilisation, toute substance, matériau, pro-duit ou plus généralement tout bien, meuble abandonné ou que son détenteur destine à l’abandon ». Autrement dit, tout élément qui est abandonné est un déchet. Ce n’est pas pour autant que cet élément est inutilisable, en l’état ou après modifi cation. Seuls les déchets qualifi és d’ultimes sont réellement inutilisables et doivent être stockés pour éviter des pollutions de l’environnement.

Avec l’explosion du volume des déchets, les techniques de recyclage des déchets ont dû évoluer. L’amélioration de la gestion des déchets, en particulier les déchets ménagers (recyclage du papier et du carton, recyclage du verre, plastique, métaux ou déchets organiques), la rationalisation du cycle de vie des déchets ainsi que la sensibilisation grâce aux emballages et logos recyclage ont permis d’avancer

vers un meilleur traitement des déchets. Mais c’est surtout le développement des technologies qui a augmenté les taux de recyclage tout en diminuant les volumes incinérés et stockés.

News

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Quantité de déchets produite et recycléeChaque français produit 354 kg d’ordures ménagères par an, ce qui représente 20 millions de tonnes par an, soit deux fois ce qui était produit il y a 40 ans. Pour l’ensemble des déchets ménagers, le chiffre monte à 31 millions de tonnes, soit 3,5 % de la totalité des déchets produits en France : 868 millions de tonnes par an.À ces 354 kg, il faut ajouter les 125 kg de déchets placés en déchetterie pour un total de près de 480 kg par an et par habitant. 150 kg de ces déchets sont encore évitables par la prévention (40 kg par compostage domestique, réduction des impressions…) et 100 kg (dont 20 de verre) pourraient être recyclés s’ils étaient mieux triés.Au fi nal, 33,5 % des déchets ménagers sont recyclés (valo-risation de la matière et compostage) et 29 % sont valorisés énergétiquement (incinération). Les 37,5 % restants sont stockés dans des décharges : les Installation de Stockage des Déchets Non Dangereux (ISDND) et les Installation de Stockage de Déchets Inertes (ISDI).Un tiers des déchets sont valorisés énergétiquement, un peu plus d’un tiers sont stockés ou incinérés sans valori-sation et le petit tiers restant est recyclé ou composté. © Ademe 2007.

Les objectifs gouvernementaux et européensLe Grenelle de l’Environnement a fi xé pour objectif de réduire les ordures ménagères et assimilées de 7 % sur 5 ans en privilégiant pour y parvenir la prévention de la production des déchets, puis le recyclage et enfi n la valori-sation organique. L’objectif est de réduire in fi ne les volumes incinérés, valorisés énergétiquement mais producteurs de fumées toxiques, et stockés.

Plus en détails, il est prévu d’atteindre en 2012 :

• Un taux de recyclage de 35 %, puis de 45 % en 2015, pour les déchets ménagers et assimilés (contre 24 % en 2004) ;

• Un taux de recyclage de 75 % pour les emballages ménagers ;

• Une réduction de 15 % des déchets enfouis ou incinérés.

Que contiennent nos poubelles ?Les déchets ménagers sont toujours les mêmes. Le contenu des poubelles domestiques a peu évolué depuis la dernière enquête, en 1993. Les principales différences portent sur les textiles sanitaires (lingettes, couches…), qui ont augmenté, et sur les déchets toxiques qui ont diminué.

Dans le détail, les déchets ménagers comprennent :

• 32,2 % de matières organiques ;

• 21,5 % de papiers-cartons ;

• 12,7 % de verre ;

• 11,2 % de plas-tiques ;

• 3 % de métaux ;

• 19,4 % d’autres éléments.

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Les enjeux environnementauxLa gestion des déchets est une étape cruciale. Si l’on se contentait d’entreposer ses déchets dans des décharges, le problème de leur accumulation se poserait (et se pose) car, suivant leur nature, ils peuvent se dégrader, et donc dispa-raître, très lentement.

Pour une bonne gestion des déchets, on doit faire une dis-tinction des déchets suivant leur temps de dégradation dans le sol. Les éléments biodégradables, c’est-à-dire à base de matières organiques (déchets verts, papiers…) disparais-sent en moins d’un an, mais il faut 10 ans pour le métal et de 100 à 1 000 ans pour les plastiques, polystyrènes et autres matières synthétiques assimilées.

En outre, la gestion des déchets n’est pas anodine : certains déchets peuvent être nocifs pour la santé humaine et pour l’environnement.

Pour éviter de se retrouver envahis par ces déchets et limiter les risques de pollutions et d’intoxications qui en découle-raient, des procédés de traitements des déchets sont mis en place. Les principes appliqués, avant et après la production des déchets, sont la réduction des volumes, la diminution de leur toxicité, l’amélioration de leur recyclage (potentiel et réalisé) et la mise en décharge sécurisée des déchets ultimes.

Comme ces procédés sont coûteux, la part belle est faite à ceux qui permettent de valoriser les déchets.

Problèmes environnementaux et sanitairesL’accumulation des déchets engendre quatre types de nuisances.

• Une dégradation du cadre de vie causée par les nui-sances visuelles (sacs plastique accrochés dans les arbres, macro-déchets sur les plages) ou olfactives (matière organique en décomposition, combustion de matières chimiques).

• Un impact économique dû à la perte de l’attractivité d’un site suite à cette dégradation du cadre de vie et/ou à la diminution de sa productivité, dans le cas d’une zone de pêche ou d’un terrain agricole. À cela peuvent s’ajouter les surcoûts causés par la dépollution, dans le cas de la potabilisation de l’eau par exemple, et par les conséquences sociétales des intoxications : traitements médicaux, arrêts de travail, etc.

• Car il y a aussi un risque sanitaire suite aux blessures (tessons de vert, seringues…), aux intoxications (pollu-tion des eaux, de l’air…) et aux maladies (proliférations bactériennes, infestation de parasites, de rats…).

• Enfi n, la pollution de l’environnement et les dégrada-tions écologiques lors de l’eutrophisation des milieux, les intoxications, étouffements ou blessures causés à la faune lorsqu’elle absorbe ou s’accroche aux déchets.

Plus indirectement, les déchets sont le refl et de la société de consommation et de son exploitation des ressources naturelles et énergétiques. Leur traitement dans un but de valorisation est un moyen de compenser l’épuisement de ces ressources et les dégradations liées à leur exploitation.

Quel est le cycle de vie de nos déchets ? Au commencement était le produit… enfi n presque, puisque celui-ci est lui-même issu de procédés de trans-formation de matières premières. Après son acquisition, ce produit est utilisé jusqu’à son abandon du fait de la perte de son utilité technique (défaillance) ou de l’évolution du contexte social (mode, évolution réglementaire, etc.). Il devient alors un déchet.

Ce déchet est, selon les cas, trié, vendu, donné ou collecté, retrié, réparé ou rechargé ou encore transformé.Une fraction des déchets ne peut être, en l’état des tech-nologies actuelles et de la faisabilité économique, valorisée. Cette fraction forme les déchets ultimes qui, après réduction éventuelle de leur toxicité, sont stockés dans des centres spécialisés. Ces centres de stockage des déchets ultimes (CSDU) ou d’enfouissements techniques (CET) ont pour but d’empêcher toutes fuites dans l’environnement qui pourraient engendrer des pollutions ou affecter la santé humaine.Comme ces centres techniques, autrefois appelés plus vul-gairement décharge seront légués aux générations futures, la mise en décharge ne cadre pas avec les principes du développement durable. Le Grenelle de l’Environnement a donc fi xé comme objectif de réduire de 15 % les déchets destinés à l’enfouissement ou à l’incinération à l’horizon 2012.

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Réduction des déchets : une nécessitéLa réduction des déchets est nécessaire, tout autant que le recyclage. « Le déchet le moins polluant et le moins cher à traiter est celui que l’on ne produit pas. » Telle pourrait être la devise des gestionnaires de déchets. C’est d’ailleurs l’objectif qui transparaît du Grenelle de l’Environnement : réduire la production d’ordures ménagères et assimilées de 7 % sur 5 ans. Cette politique de la réduction des déchets privilégie donc la prévention de la production de déchets. Le

recyclage des matériaux et la valorisation organique ne vien-nent qu’en seconde position pour diminuer les quantités de déchets incinérées et stockées.

Réduction des déchets : comment faire ?L’adoption de geste simple lors des achats permet de divi-ser par deux les déchets engendrés par un chariot d’em-plettes, selon une étude de l’Ademe réalisée en 2009. Ces gestes d’éco-consommation reposent notamment sur le refus des produits jetables et des suremballages, mais aussi sur le recours à d’autres modes de consommations (location, sobriété…). D’autre part, le choix de produits biodégradables, recyclables ou recyclés (pour soute-nir les fi lières du recyclage) est encouragé pour réduire et faciliter le traitement des déchets. Les éco-labelles NF Environnement ou européens sont là pour faciliter ces choix.Les industriels intègrent cette logique en développant l’éco-conception qui réduit l’empreinte environnemen-tale de leurs produits tout au long de leur cycle de vie ainsi qu’en intégrant les démarches de labellisation et de qualité environnementales. Par exemple, un sac de caisse pèse actuellement 6 grammes, soit une réduction de son poids de 75 % en 20 ans. Le sac jetable tend d’ailleurs à disparaître au profi t de sacs réutilisables ou éventuelle-ment biodégradables. ■

Source : www.futura-sciences.com

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Que pense le Père Noël de l’écologie ? Je suis concerné et soucieux car les enjeux écologiques sont de taille et la tâche rude à mener. Il y a des catastrophes, pro-voquées par l’homme, qui sont inadmissibles et évitables. Des marées noires, des espèces animales décimées, des mers qui vont disparaître avec leurs faunes et leurs fl ores, des eaux pol-luées, la liste est tellement longue. Des milliards d’années peuvent être anéanties en seulement 2 siècles, ça fait réfl échir.

Au fur et à mesure que le temps passe, trou-vez-vous que les gens sont de plus en plus concernés par l’écologie ?Oui et je dois dire que cela me rassure tout de même. Il y a encore beaucoup de chemin à parcourir, mais je constate que les gens sont de plus en plus concernés par la protection de l’environnement. Cela se ressent dans

leur attitude au quotidien mais aussi dans les changements de leur habitation. Dans le monde occidental, je vois de plus en plus de maisons équi-pées de panneaux solaires, de récupérateurs d’eau. Je parcoures le monde régulièrement et je peux vous dire que les ressources de la pla-nète ne sont pas inépuisables, elles sont des tré-sors que chacun doit chérir et préserver.

Avez-vous constaté un changement de de-mande de cadeaux dans la lettre au Père Noël que vous écrivent les enfants ?Effectivement, les enfants, grâce à leurs parents, à l’édu-cation mais aussi aux médias, sont éveillés à l’écologie et ressentent le besoin de faire des choses pour la planète.

Interview

Interview Père Noël

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Ils vont grandir avec cet engouement et les gestes de recy-clage, d’économie des énergies deviendront des automa-tismes pour eux. Mais parfois, j’ai l’impression que c’est les enfants qui apprennent aux parents. Parents qui n’ont pas été en contact avec cet enjeu écologique dans leur jeu-nesse. Alors, ce sont les enfants qui leur expliquent dans quelle poubelle va la bouteille en plastique ! Je trouve cela rassurant pour le futur. Dans leur liste, ils sont nombreux à demander des jouets en bois, des poupées de chiffon et également des jeux de société qui ont le mérite de rester longtemps dans la famille et de procurer toujours autant de joie, en ça ils sont écologiques !

Quels sont les gestes écologiques que le Père Noël recommande et applique quoti-diennement ?Eh bien, disons que la vie du Père Noël est différente car elle est entourée de magie. Mais je suis très concerné par l’en-vironnement et je porte une très grande estime aux enfants faisant attention à la planète. Je suis un fervent partisan du

recyclage, fais très attention à ne pas gaspiller l’eau et je favorise les démarches éco-responsables le plus souvent possible. Je suis également très sensible au réchauffement planétaire, après tout, je vis au Pôle Nord. Bien évidemment, je recommande, au-delà de tous ces enjeux, de maintenir vivant l’esprit de Noël, qui est, ne l’oublions pas, basé sur le respect, la générosité et la paix. Cela va sans dire que ces règles sont tout aussi applicables à son prochain qu’à la terre qui nous loge.

Vous vous déplacez dans tous les foyers du monde en une seule nuit, vous utilisez une méthode écologique pour accomplir un tel prodige ?Oui, j’utilise un traîneau, qui est poussé par mes amis, 9 rennes qui se prénomment Tornade, Danseur, Furie, Fringuant, Comète, Cupidon, Éclair, Tonnerre et Rudolph. C’est bien sûr un attelage peu ordinaire car il est magique. Je ne peux pas vous révéler le secret mais c’est en partie l’esprit de Noël et tous les enfants qui croient en moi qui font voler mon traîneau aussi rapidement. C’est la magie de la nuit de Noël, elle est inexplicable, il faut juste y croire.

Quelle est votre actualité 2010/2011 ?Je fi nis les préparatifs de ce Noël, cette année a été parti-culièrement riche en lettres, j’en ai reçues énormément et j’ai donc beaucoup de travail pour la nuit du 24 décembre. Ensuite, je vais bien sûr rentrer chez moi et commencer à préparer le Noël 2011. C’est un emploi à plein temps vous savez, d’être le Père Noël.

Que pensez-vous du magazine Planète EKOLOGIE ?Je trouve ce magazine très bien fait et nécessaire dans ce quotidien où les gens doivent se sentir responsables de l’impact de leur vie et de leurs gestes sur la planète. Planète EKOLOGIE permet d’expliquer et d’informer un plus grand nombre sur les comportements écologiques dans bien des domaines. Le magazine est agréable à lire et les photos très belles. Vous êtes les seuls dans votre région à avoir créé un magazine comme cela. Félicitations ! ■

Interview Suzanne George

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Le 5e combat de Surfrider : la protection des vagues07-12-2010 par Grégory Le Moigno, Chargé de mission environnement, SFE

Protéger et valoriser les vagues dans le mondeCette ambition, c’est maintenant un des 5 axes de travail de Surfrider Foundation Europe (SFE). Parce que les vagues ne sont pas simplement un phénomène naturel complexe. Elles sont aussi une des plus belles représentations de la force de la nature. Et, du coup, représentent un patrimoine environnemental, économique et social de grande valeur. C’est pourquoi SFE a l’ambition de devenir un catalyseur d’initia-tives autour des vagues

Cette ambition, c’est maintenant un des 5 axes de travail de Surfrider Foundation Europe (SFE). Parce que les vagues ne sont pas simplement un phénomène naturel complexe. Elles sont aussi une des plus belles représentations de la force de la nature. Et, du coup, représentent un patrimoine environnemental, économique et social de grande valeur. C’est pourquoi SFE a l’ambition de devenir un catalyseur d’initia-tives autour des vagues.

Les divers programmes de travail que nous avons mis en œuvre ces dernières années nous permet-tent déjà d’être effectifs sur la protection des vagues et l’amélioration de la connaissance des pressions existantes. Les programmes Gardiens de la côte (GDC) et nos laboratoires de suivi des zones d’activités nautiques constituent deux axes forts de la lutte que nous menons pour la préservation des spots de surf reconnu localement ou internationalement.

Pourtant, des 5 combats de Surfrider (déchets aquatiques, artifi cialisation du littoral, transports maritimes et infrastructures pétrolieres, qualité des eaux et santé, patrimoine et vagues), la défense des vagues comme patrimoine est le défi le plus nouveau. Tout est à faire : développer une expertise sur les aspects économiques, mais aussi sociaux et environnementaux. Dépeindre précisément ce qui caractérise la valeur que l’on peut donner à une vague ou spot de surf. Dans ces multiples tâches, un partenaire peut faire la différence, l’UNESCO, au travers de son « patrimoine immatériel » dans lequel les vagues devraient s’insérer. A charge ensuite pour Surfrider de réaliser ce qu’elle sait très bien faire : une veille de la qualité sanitaire et environnementale des zones géographiques abritant des vagues identifi és comme remarquables.

Nous ne travaillerons pas seuls : l’enjeu est énorme. Nous nous appuierons notamment sur notre réseau international de Surfrider (Afrique, Australie, Etats Unis, Japon) ainsi que sur les autres plateformes asso-ciatives (Save The Waves, Surfer Against Sewage) pour généraliser cette démarche, mettre en évidence la valeur des vagues et communiquer sur ces enjeux.

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clean ! La Newsletter de SurfRiderwww.surfrider.eu

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Bulletin d’adhésion mensuel à compléter et à renvoyer à Surfrider Foundation Europe

OUI, j’autorise l’établissement teneur de mon compte à prélever sur celui-ci le montant correspondant à mon soutien à Surfrider Foundation :

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66% du montant de votre adhésion à Surfrider Foundation est déductible de vos impôts, dans la limite de 20% de vos revenus imposables. Donner 10€/mois à Surfrider ne vous «coûte» que 3,40€/mois.

J’ai bien noté que je m’engage à soutenir Surfrider tous les mois. Je peux modifi er, suspendre ou arrêter ce prélèvement à tout moment par simple courriel avant le 20 du mois pour être effectif le mois suivant. Merci de joindre un RIB ou RIP.Association bénéfi ciaire : Surfrider Foundation Europe. N° national d’émetteur : 46 56 19

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En adhérant, je recevrai ma carte et mon sticker membre d’ici un mois, le journal trimestriel et la newsletter mensuelle de Surfrider, une invitation et un droit de vote à l’Assemblée Générale, mon reçu fi scal chaque année en mars pour les contributions de l’année précédente.

Surfrider Foundation Europe - 120 avenue de Verdun 64200 Biarritz - Tél. 05 59 23 54 99

Conformément à la loi informatique et libertés du 6 janvier 1978, vous pouvez accéder aux informations vous concernant, demander leur rectifi cation, suppression, ou vous opposer à ce qu’elles soient échangées ou cédées (Surfrider Foundation Europe n’échange pas les coordonnées de ses adhérents).

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La France accélère vers

la voiture électrique

Jean-Louis Borloo et Christian Estrosi ont dévoilé le 13 avril 2010 le plan de développement des véhicules électriques et hybrides en France.

Dans ce but, ils ont signé une charte avec douze collectivi-tés territoriales « pilotes » et les constructeurs automobiles PSA (Peugeot - Citroën) et Renault, pour s’engager sur le déploiement, dès 2010, d’infrastructures de recharge des véhicules électriques et hybrides rechargeables accessibles au public. Une condition sine qua non pour que la voiture électrique se développe dans l’Hexagone.

Jean-Louis Borloo, rappelant avoir présenté, le 1er octobre 2009, un plan national avec 14 actions concrètes pour favo-riser le développement de voitures électriques et hybrides rechargeables, a annoncé que ce plan connaissait désor-mais des avancées « majeures », notamment dans trois domaines : le déploiement des infrastructures de recharge, le soutien à la demande et les aides à l’achat de véhicules.

De leurs côtés, Renault et PSA s’engagent à être en mesure de commercialiser 60 000 véhicules électriques en France en 2011-2012, en ciblant notamment les agglomérations qui développent un réseau d’infrastructures de recharge suffi sant.

Et pour les accompagner, l’État lance la 1re grande commande groupée de 50 000 véhicules électriques d’une autonomie d’au moins 150 km. Cette commande passe par un grou-pement de clients publics ou privés composés des sociétés ADP, Air France, Areva, Bouygues, EDF, ERDF, Eiffage, France Télécom, GDF-Suez, Suez Environnement, GRT Gaz, GRDF,

La Poste, la RATP, la SAUR, la SNCF, SPIE, l’UGAP, Vinci et Veolia. La procédure d’appel d’offres sera lancée le 23 avril.

À cette occasion les ministres ont confi rmé le super-bonus de 5 000 euros pour l’achat de véhicules jusqu’en 2012 dont les émissions de CO2 sont inférieures ou égales à 60 g/km. Les hybrides, dont les émissions de CO2 sont infé-rieures ou égales à 135 g/CO2/km peuvent, elles, bénéfi cier d’un bonus de 2 000 euros, comme les véhicules au GPL ou au gaz naturel de ville.

Le gouvernement a dévoilé, en avril 2010, son plan de développement des véhicules électriques et hybrides. Il s’appuie sur l’engagement de 12 collectivités à installer les premières prises dès 2010 et sur le lancement de la première commande de 50 000 véhicules électriques.

News

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La crise fi nancière mondiale pourrait, devrait marquer un tournant dans notre histoire, celle de l’automobile et des compagnies pétrolières : Les gouvernements ont vu juste en prêtant de l’argent aux constructeurs automobiles qui se retrouvent dans l’obligation de développer les premiers véhi-cules électriques et de les commercialiser prochainement : ainsi les différents constructeurs ou plus exactement ce qu’il en reste promettent de mettre en vente les premiers véhi-cules sur le marché de 2011. Ainsi General Motors, qui avait combattu la première crise du pétrole à coup de Pick-up et de véhicule anti-écolo se voit dans l’obligation de rectifi er le tir : L’idée de l’administration Obama pour la fi rme semble simple : imposer l’idée et la consommation de véhicule vert de masse dans le monde. La faillite du pilier de l’automobile américain annonce l’avènement d’une nouvelle plus propre et plus sûr de l’automobile mondial.

Même la compagnie pétrolière Exxon Mobil se met à la page et annonce un modèle de véhicule électrique pour 2011. Les grands manitous du pétrole prêt à se reconvertir dans l’électrique ?! Yes We can !!

En France, Renault et Edf annoncent aussi les premiers modèles pour 2012. Le constructeur français a pour ambi-tion de présenter trois modèles de voitures électriques au salon de Francfort de septembre. Il y aura une Renault Mégane électrique, la kangoo be bop ze et un autre modèle encore inconnu mais possiblement basé sur la plateforme de la Renault-Nissan B ou encore la Nissan cube. La marque française présentera également ses modèles maison de batteries électriques. Côté recharge, le système Quick Drop devrait permettre d’échanger ses batteries aux stations ser-vices plutôt que de les recharger. Temps prévu : 3 minutes. L’automobile n’échappera donc toujours pas à la consom-mation de masse et, au lieu d’unifi er les modèles pour en simplifi er la fabrication, ce sont quelques centaines de

voitures électriques qui verront le jour d’ici 5 ans. Combien plairont et seront les voitures de demain ? Ceci est une autre histoire. La voiture électrique est un but presque atteint.

Un 4x4 solaire ? Oui, et il s’appelle RockyRocky. C’est un nom bien ambitieux que Murad Badigeonner, designer automobile, a donné à son concept de 4x4 solaire. Et alors que le marché du véhicule électrique fl ambe et que les constructeurs de 4x4 ne semblent plus savoir où donner du greenwashing, Rocky fait fi gure de dissident au milieu de ses collègues énergivores.

Quatre personnes, des bagages et aucune crainte des pentes les plus escarpées, Rocky semble n’avoir peur de rien. Sa coque est en carbone, lui assurant un poids mini-mal, et toute sa structure, pare-brise compris, est recouverte de panneaux solaires semi transparents qui permettent de capter un maximum de lumière. Les batteries se chargent ainsi durant le trajet et lorsque Rocky s’arrête, ce sont des éoliennes situées à l’arrière du toit qui prennent le relais. Son créateur, convaincu de l’avenir de son Rocky, l’imagine déjà servir de moyen de transport à des scientifi ques ou à des touristes désireux d’atteindre des endroits diffi ciles d’ac-cès sans pour autant taper dans les réserves de pétrole.

Tarif conseillé au 05/05/10, 2 000 € de bonus écologique déduits (selon les modalités prévues par la loi de finances 2010). Prix du modèleprésenté CR-Z Hybrid 1.5 i-VTEC Luxury avec peinture métallisée (400 €) et jantes 17” Pack Electra (990 €) : 25 190 €, 2 000 € de bonus éco-logique déduits. Consommation mixte : 5 l/100 km. Emissions de CO2 : 117 g/km. *Donnez vie à vos rêves

G A M M E C R - Z H Y B R I DÀ PA R T I R D E 2 0 5 0 0 €

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La voiture électrique aura sa revanche au cinéma en 2011Tous les passionnés de véhicules électriques connaissent bien le docu-mentaire de Chris Paine, « Who Killed the Electric Car ? », sorti en 2006, retra-çant la mort prématurée de l’EV1 de General Motors et enquêtant sur les lobbies pétroliers dans l’état de Californie.

En 2011, la voiture électrique devrait avoir sa revanche puisque Chris Paine s’apprête à sortir un nouveau docu-mentaire sur le sujet baptisé « Revenge of the Electric car ».

Ce fi lm s’intéressera à la résurrection du véhicule électrique, avec notamment l’arrivée de nouveaux constructeurs spéciali-sés, dans un contexte où l’augmentation du prix du pétrole et le réchauffement climatique envahissent la conscience collective.

Les principaux freins à l’évolution et à l’émergence du véhi-cule électrique seront également abordés et « Revenge of the Electric car » se résume fi nalement en une seule question : la voiture électrique peut-elle remettre en question un règne de plus de 100 ans des moteurs à combustion et des pétro-dollars ?

Le fi lm sera produit à Los Angeles. Rendez-vous en 2011 pour le découvrir...

Du 100 % électrique sur la piste en 20112010 sera donc une année d’échauffe-ment avant le grand saut qui aura lieu l’an prochain, pour la 79e édition. C’est là qu’Yves Courage, passionné des 24 Heures, d’abord derrière le volant

avant de devenir constructeur de ses propres bolides, s’élancera du haut de ses

62 ans à bord de la première voiture 100 % électrique à participer à une course d’endurance.

Une prouesse technologique qui fait rêver le futur pilote de la Courage M0.11 : « Rouler à 300 km/h, dans le silence, est un instant dont je rêve déjà ».

Engagé vraisemblablement hors compétition, ce prototype fonctionnera avec un système de packs de batteries au lithium, d’une autonomie de 30 minutes en condition de course, qui seront changées lors des arrêts au stand. L’objectif affi ché ? Terminer la course ! Mais Yves Courage attend plus de son nouvel éco-bolide. Un régime moteur de 15 000 tours par minute, une vitesse maximum de 315 km/h, le tout pour boucler le tour de la piste mancelle en 3’55.Au moment où les annonces des constructeurs grands publics se multiplient, cette initiative fait fi gure d’exemple dans le monde des courses automobile. Un exemple qui pourrait se pérenniser dans les années à venir, avec une catégorie « électrique » à part entière dans la plus presti-gieuse des courses d’endurance. ■

Sources : www.latribune.fr www.come4news.com

www.mobilite-durable.org www.avem.fr

Le saviez-vous ?La courageuse voiture électrique des 24 Heures du Mans• Les 24 Heures du Mans font fi gure de temple de la course automobile, où de gros engins engloutissent les litres d’essence comme

les kilomètres d’asphalte. Mais cet événement majeur de la saison automobile est également un haut lieu de l’innovation, une tri-bune mondiale pour les constructeurs, petits ou grands, qui viennent y étalonner des technologies d’avant-garde, devenant parfois le quotidien de l’industrie dans les années qui suivent.

• Ainsi Michelin lançait son pneu radial sur la piste sarthoise en 1951, deux ans avant que Jaguar ne teste les freins à disque, en 1953. Plus proche de nous, en 1991, Mazda remportait la course avec un surprenant moteur rotatif, et Audi l’imitait avec une première victoire sur moteur diesel, en 2006.

• Ce laboratoire, comme aiment à le décrire les organisateurs des 24 Heures, ne pouvait pas rester imperméable à l’engouement technologique et environnemental que suscitent les véhicules électriques.

La courageuse voiture électrique des 24 Heures du MansurageuseLa c• Les 24 Heures du Mans font fi gure de temple de la course automobile, où de gros engins engloutissent les litres d’essence commeHeure

les kilomètres d’asphalte. Mais cet événement majeur de la saison automobile est également un haut lieu de l’innovation, une tri-tres dbune mondiale pour les constructeurs, petits ou grands, qui viennent y étalonner des technologies d’avant-garde, devenant parfoisle quotidien de l’industrie dans les années qui suivent.

• Ainsi Michelin lançait son pneu radial sur la piste sarthoise en 1951, deux ans avant que Jaguar ne teste les freins à disque, en 1953.Plus proche de nous, en 1991, Mazda remportait la course avec un surprenant moteur rotatif, et Audi l’imitait avec une premièrevictoire sur moteur diesel, en 2006.

•Ce laboratoire, comme aiment à le décrire les organisateurs des 24 Heures, ne pouvait pas rester imperméable à l’engouementtechnologique et environnemental que suscitent les véhicules électriques.

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Le salon Eco'vie a été offi ciellement accepter dès sa deuxième édition dans le cercle fermé des membres de la charte éthique des foires et salons écologique biolo-giques et alternatifs auprès des salons Asphodèle (Pau), Biocybèle (Gaillac), Biozone (Mur de Bretagne), Foire Eco-bio d’Alsace (Colmar), Prairial (Aytré), Primevère (Lyon) et Valériane (Belgique), garantie de qualité pour les visiteurs et les exposants.

Ce salon s’organisera autour de 5 pôles d’exposition dis-tincts : l’éco-habitat, l’alimentation bio, l’espace santé et bien-être, l’espace développement durable, et enfi n le pôle loisirs verts.

La portée pédagogique du salon reste une priorité avec encore de nombreux ateliers et conférences pour apprendre aux petits comme aux grands « à vivre mieux, à consommer différemment,à mieux respecter la vie pour devenir éco-citoyen ».

Eco'vie réalise son bilan carbone®.Ce Salon étant organisé dans le but de promouvoir un mode de vie plus sain, plus équilibré, non polluant, économe en énergie et en matières premières, l’organisation elle-même s’engage dans cette voie : pas de moquette, lampes à économie d’énergie, covoiturage, tri des déchets et bilan carbone avec l’ADEME. Un état des lieux des impacts sur le climat du salon sera dressé afi n de défi nir les actions à entreprendre pour encore plus progresser pour les éditions futures…

Venez tous avec vos paniers !

Regroupant l’an dernier plus de 8 000 visiteurs, le 3e salon de la vie écologique du Pays Basque se déroulera cette année du 28 au 30 janvier 2011 à la halle d’Iraty de Biarritz. Ce salon s’organisera autour de 5 pôles d’expo-sition : éco-habitat, alimentation bio, santé et bien-être, développement durable, et loisirs verts, pour regrouper au total plus de 170 exposants, ainsi que 90 ateliers et conférences.Avec la participation exceptionnelle de Françoise Reiveillet, écrivain spécialisé dans le bien-être et la philosophie du quotidien et auteur de plusieurs livres (10 minutes pour soi, petites pensées pour vivre plus léger), la journée du 29 janvier sera dédié au thème : « Retrouver son état de santé, quand, comment et à quel prix ? ».

Une journée complète de conférences organisées par l’association Ref-France qui regroupera des profes-sionnels tels que Roland Solere, Michel Léon, Jacques Surbeck, Alexandre Krassoulia, Marie-Odile Soyer-Gobillard et Frédérique Honoré. De la prévention jusqu’aux traitements, ces spécialistes vous démontreront les effets de différentes médecines sur notre santé au tra-vers de thèmes comme : l’attitude bien-être, l’ostéopathie, la médecine, morphologique et anti-âge, précaution santé, thalassothérapie, hypnose Ericksonnienne.

Invitations à tarif réduit, renseignements, horaires et pro-gramme complet sur le www.salonecovie.com

Éco'Viele salon de la vie Écologique

Tous ensemble pour une santé durable à Eco’vie, le salon de la vie écologique de Biarritz !

La troisième édition d'Eco'vie, le salon de la vie écologique au Pays Basque et du Sud des Landes, rassemblera durant 3 jours plus de 170 exposants certifi és, 90 conférences et ateliers pour accueillir à nouveau cette année des milliers de visiteurs. L’édition 2011 se déroulera donc dans la halle d’Iraty de Biarritz (site central

de 5 400 m² situé entre autoroute, centres-villes et aéroport du BAB). Cette année, pour une ambiance plus familiale et chaleureuse, on retrouvera 4 restaurants et 2 buvettes bio sur 600 m2 d'espace, afi n de pouvoir rester sur place passer une bonne journée en famille.

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Du 28 au 30Janvier 2011

Halle d’Iraty Biarritz

"Respectons la vie, devenons éco-citoyen"

www.salonecovie.com

Du 28 au 30Janvier 2011

Halle d’Iraty Biarritz"Respectons la vie,

devenons

éco-citoyen"

Le salon de la vie écologique

www.salonecovie.com

3° édition

Entrée à Tarif réduit6€ 4€

Document imprimé avec des encres végétales sur du papier issu de forêts gérées durablement

Halle

"Re

w

En

vous offre votre entrée à tarif réduit

Le salon de la vie écologique

Vendredi, Samedi et Dimanche 10h - 19 h

3° édition

Nom:

CP:

Prénom:

E-mail:

4 restaurants bio

80 ateliers et conférences

170 exposants certifiés

grand marché bio

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Le sapin naturelContrairement aux idées reçues, choisir un sapin naturel n’est pas anti-écologique.En effet, les plantations de sapin de Noël participent à la stabilité des sols et les jeunes arbres transforment le gaz carbonique en oxygène.Préférez bien entendu un sapin avec le label FSC, recommandé par Greenpeace. Mais, l’Associa-tion Française du Sapin de Noël Naturel (AFSNN) rappelle que normalement les sapins commer-cialisés sur le marché français en décembre ne sont pas coupés dans les forêts mais issus d’une production agricole raisonnée.Veillez toutefois à réduire l’impact pol-luant du transport en achetant un sapin « local ».Sapin bio : vous trouverez des arbres cultivés sans aucun engrais chimique dans les magasins botanic.

Quel sapin choisir ?Pour changer du sapin coupé, vous pouvez aussi opter pour un sapin bêché puis mis en pot ou un sapin ayant grandi en pot (en conteneur), que vous pourrez ainsi

replanter dans son milieu naturel au mois de mars. Préférez dans ce cas le sapin cultivé en conteneur, ses racines seront intactes ; il pourra donc être replanté

dans de meilleures conditions ou conservé en conteneur pour l’année suivante.

Le sapin en motte est, quant à lui, arraché avec ses racines, ce qui permet de le conser-ver plus longtemps mais pas de le replanter.

Les espèces les plus courantes de sapins de Noël :

• L’épicea : le + : son parfum et son prix.

• Le nordmann : le + : sa conservation, le – : son prix.

• Le nobilis : le + : sa conservation.

• L’omorika : le + : sa forme.

Mon Noëlvert

V ous voulez vos fêtes de fi n d’année respectueuse de l’environnement ! Que bien vous fasse ! Voici quelques points sur lesquels vous pourrez faire la différence et choisir écolo. Au cœur de Noël, symbole du retour de la lumière, notre beau sapin est la manifestation de la vie qui perdure. Or, cette célébration de la vie doit tout faire, sauf du mal à la planète.

Société

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Astuces pour faire durer son sapin

• Évitez les chocs thermiques. Faites-lui passer quelques jours dans le garage par exemple avant de le mettre dans la maison. Placez-le loin des sources de chaleur.

• Arrosez les racines et pour les sapins coupés : recoupez le tronc.

• Vaporisez de l’eau sur les branches.

Et après ? Quoi de plus triste que ces arbres abandonnés qui jon-chent les trottoirs les fêtes terminées ? Assimilé aux ordures ménagères, le transport et l’incinération du sapin de noël est également polluant. Pourtant, vous pouvez vous débarrasser de votre sapin de manière écologique-ment intelligente :

• Compostez-le ou transformez-le en copeaux de bois.

• Apportez-le au rayon « déchets verts » de votre déchet-terie qui le compostera pour refertiliser les terres. Selon la commune où vous habitez, des initiatives pour collecter les sapins après Noël seront peut-être organisées.

• Fendez-le en bûches pour votre poêle ou votre cheminée.

Le sapin artificiel Le sapin de Noël en plastique pré-

sente de nombreux points néga-tifs :

• Il est souvent fabriqué à l’étran-ger par une main-d’œuvre mal payée et son transport sur de longues distances est très polluant.

• Il est en plastique, donc en dérivé de pétrole et autres produits chimiques et, en fi n de vie, c’est un déchet non-biodégradable.

Si vous optez toute-fois pour cette solu-

tion, promettez de vous en resservir au moins une

quinzaine d’an-nées, son « empreinte

écologique » pourra alors concurrencer celle de l’arbre naturel (pas de transport chaque année pour acheter

un nouvel arbre).

Dernière option : fabriquez vous-même votre sapin de Noël en utilisant du bois, du carton ou d’autres matériaux que vous aurez récupérés dans votre grenier.

Les actions écologiques des enseignes autour du sapin de Noël :

• Le sapin « IKEA » : l’enseigne suédoise est associée depuis 2003 à l’ONF (Offi ce National de Forêts), dans une démarche visant à protéger les espaces naturels fores-tiers. Pour concilier geste écologique et geste caritatif : le sac à sapin. Vendu au profi t de « Handicap International », le sac à sapin est pratique et biodégradable. Pour les détails, consultez : www.handicap-international.fr.

Mon sapin s’habille de lumière…Pour la décoration de votre sapin, vous pou-vez rendre vos lumières de Noël plus écolo-giques en réduisant votre consommation d’énergie. Achetez des lumières des fêtes à DEL. Elles consomment moins d’énergie et durent plus longtemps. Servez-vous d’une minu-terie pour éteindre les lumières et assurez-vous de les éteindre lorsque vous vous couchez la nuit.

Une activité créatrice à faire en famille ! Souvent, il suffi t de laisser aller notre imagination pour trouver de superbes idées de bricolage pour le temps des Fêtes. Inspirez-vous des objets que vous n’utilisez plus à la maison, et ceux que vous avez récupérés tout au long de l’année, dans le but de les recycler. Demandez aux principaux intéressés (c’est-à-dire vos enfants) s’ils ont des

idées pour agrémenter le sapin de Noël cette année. Ça peut être toutes sortes de personnages et objets liés au temps des Fêtes, tel un petit renne fait de tissus récupérés sur des vête-ments rendus trop petits, et que votre petit dernier adorait, des petits anges fabriqués avec des rouleaux vides de papier hygiénique et du papier d’aluminium, un bonhomme pains d’épices en papier kraft ou découpé d’un sac de papier brun et décoré de boutons, bule de Noël à partir d’un vieux CD,décoration pour sapin de Noël : accroche-cœur, boule de Noël fait main, des biscuits au gingembre en guise de décoration, une étoile en pomme de pin, des tranches d’oranges ou autres fruits séchés et suspendus par un joli fi l de couleur, etc.

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Dans nos petits souliers…Cette année, pour Noël, pourquoi ne pas offrir des cadeaux responsables, écologiques et équitables ? Voici plusieurs idées qui vous aideront à choisir le cadeau idéal pour les enfants et les adolescents de votre entourage.

On off re des CD, des films, des livres qu’on a aimés…Nous avons des neveux, nièces ou des enfants d’amies qu’on a envie de gâter, on peut leur offrir le livre ou le fi lm qui nous ont vraiment marqués dans notre jeunesse. Souvent on garde ce genre de chose au fond de notre bibliothèque ou de notre discothèque, au lieu de le laisser prendre la poussière, pourquoi ne pas partager notre coup de cœur avec un enfant qu’on aime. Et si on n’a plus le fameux fi lm qui nous a fait rêver enfants ou la musique qui nous a tant fait danser, les librairies et disquaires qui vendent des livres et disques usagés en ont sûrement encore une copie. Nos petits bouts de choux peuvent aussi participer, en sélection-nant eux-mêmes des livres, CD et fi lms qu’ils n’utilisent plus en les offrant à leurs copains, cousins et cousines.

Cours de toutes sortes… On dit que les enfants ne bougent pas assez, et bien voilà une bonne façon de les sortir de devant l’ordinateur ou la télé. Bien sûr, on parle avec l’enfant de ses intérêts et aptitudes et on l’inscrit pour le mois de janvier à une activité sportive, à un cours de cuisine pour enfants, à des cours de théâtre, enfi n à une activité qui saura cap-ter son attention. Et si on veut aussi faire un cadeau à ses parents, on offre d’accompagner l’enfant à ses cours chaque semaine !

Abonnement à une revueLes enfants aiment recevoir du courrier et si en plus cela les incite à lire et à découvrir tout plein de nouvelles choses, c’est franchement un plus. De nos jours, les magazines pour enfants et adolescents sont aussi diversifi és dans leurs thé-matiques que les enfants dans leurs intérêts.

Durée de viePréférer les jouets en bois. Certains jouets trop sophistiqués ou fragiles risquent très rapidement de devenir de nouveaux déchets. Pour cela, il est préférable d’acheter des jouets conçus en matériaux nobles, comme le bois, qui garantit une durée de vie plus longue. Des ateliers spécialisés dans ce domaine ont pour rôle de redonner une deuxième jeunesse aux jouets détériorés.Lorsque ces derniers ne sont plus d’actualité pour l’en-

fant, les offrir à une association ou les échanger sont parfois des solutions alternatives. Pour être sûr du choix pour nos bam-bins, les jeux et les jouets peuvent s’emprunter, ou se louer pour une somme modique, dans une ludo-thèque qui permet aux enfants de se rencontrer et de tester le jeu avant de les acquérir. Entre autres, offrir un peu de temps aux enfants ou des produits consommables sont parfois des idées très judicieuses : une acti-vité sportive ou créative, une place de cirque ou de théâtre, un stage à la ferme, un abonnement à une revue…

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La règle n° 1 des cadeaux écologiques est simple : achetez moins !

• Jouez au Père Noël secret ! En organi-sant un échange de cadeaux, vous pou-vez acheter seulement un cadeau pour les membres de la famille élargie cette année. Voici comment ça fonctionne : le nom des membres adultes de la famille sont placés dans un chapeau et chaque participant tire un nom. Le nom de la personne tiré sera le récipiendaire du cadeau. N’oubliez pas d’imposer une limite de dépenses.

• Pour réduire le fouillis des déchets, évi-tez les cadeaux génériques. Réfl échissez plus à votre cadeau avant de choisir une chose personnalisée.

• Économisez de l’argent et des ressources précieuses en visitant votre détaillant local d’objets usagés. Vous y trouverez beaucoup d’idées de cadeau, par exemple, des livres, des CD, des DVD, des jeux de société et beaucoup d’autres choses.

• Pourquoi ne pas faire don d’une expé-rience ? Donnez à ceux que vous aimez un certifi cat-cadeau pour leur restaurant préféré, des billets pour voir une partie sportive, des billets au théâtre ou un cer-tifi cat-cadeau à un spa.

• Enveloppez vos cadeaux dans du papier d’emballage recyclé. Encore mieux, utili-sez du papier qui peut être recyclé par la suite, par exemple du papier journal ou des sacs en papier brun et demandez à vos enfants d’y faire des dessins. Les sacs réutilisables sont une autre option favorable à l’écologie.

Et pour les tout petits…Au lieu de jeter les vêtements trop abî-més pour les envoyer dans des friperies, on peut les garder et sélectionner les morceaux les plus doux afi n de faire une belle couverture en patchwork, qui suivra l’enfant toute son enfance. On peut aussi faire une poupée ou un toutou tout à fait original avec des bouts de tissus recyclés. Plusieurs modèles de poupées de tissus se trouvent sur le web. À ne pas oublier également les entreprises commer-cialisant des jouets ou des vête-ments fabriqués avec des matières issues de l’agriculture biologique. Ainsi, vous offrez aux tout petits des cadeaux bons pour leur peau, bons pour la planète mais également issus d’une production où les conditions de travail et la rémunération sont respectées.

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Ma réception de NoëlCette année, dans le temps des Fêtes, essayez de garder l’environnement à l’esprit en changeant vos habitudes !Voici un petit guide de pistes de changement simples à adopter lorsqu’on reçoit dans le temps des fêtes. L’important, c’est de commencer quelque part !

Les invitations

• Envoyez vos invitations par courriel électronique plutôt que par la poste ; de cette façon, vous économiserez de l’argent et vous générerez moins de déchets de papier.

• Si vous tenez absolument à envoyer des cartes d’invi-tation, couper les anciennes cartes de souhaits de Noël et utilisez la partie où il n’y a pas d’écriture. Vous pou-vez aussi prendre des papiers d’emballage-cadeau épais récupérés pour faire les enveloppes.

• Si vous avez acheté de nouvelles cartes de souhaits ou d’invitations, préférez celles qui sont faites de papiers recyclés à 100 % ou celles de l’Unicef. Incluez aussi une note pour encourager le réemploi de la carte.

• Dans vos invitations, encouragez votre famille et vos amis de faire du covoiturage, à prendre les transports en commun, ou s’ils n’habitent pas trop loin, à venir à votre fête à pied.

La décoration

• Évitez d’acheter des décorations jetables comme les banderoles de papier. Au lieu de cela, faites vos propres décorations à partir de papier récupéré tout au long de l’année, ou achetez des décorations issues du commerce équitable.

• Pour votre table, utiliser quelques décorations de votre sapin ci et là. Vous pouvez faire également un centre de table naturel avec des fruits et légumes de saison agré-menté de quelques bougies.

Enfi n, de manière générale, essayer de faire travailler l’éco-nomie locale pour le plus grand nombre de vos achats. Décider de donner à une œuvre de charité les cadeaux que vous aurez reçus et qui ne vous plaisent pas. Il n’y a pas de raisons de ne pas en faire profi ter ceux qui sont dans le besoin. Et n’oubliez pas que Noël est une fête où le plus important est d’être entouré de sa famille et de ses amis. Pensez donc à ceux qui sont seuls à ce moment de l’année, une invitation à partager le repas de Noël dans la chaleur d’un foyer reste le plus beau des cadeaux… ■

Sources : www.greenzer.fr,

www.arehn.asso.fr,

www.zetika.com

Le saviez-vous ?• Petits jouets mais gros déchets :

Les emballagesPour les rendre plus volumineux et avoir un meilleur pouvoir attractif, les jouets sont souvent suremballés : plusieurs couches d’emballage papier ou carton et plastiques en tout genre. Ces emballages* sans intérêt fi nissent directement à la poubelle. Il est donc raisonnable de trier ces déchets pour la collecte sélective. Néanmoins, l’achat de jouets dans des magasins spécialisés limite la quantité d’emballage.* Les emballages représentent 23 %, soit le quart, du poids de nos ordures ménagères.

• Petits jouets mais gros déchets :tits jouetPeLes emballagess emball

Pour les rendre plus volumineux et avoir un rendrPomeilleur pouvoir attractif, les jouets sont souvent suremballés : plusieurs couches d’emballage papier ou carton et plastiques en tout genre. Ces emballages* sans intérêt fi nissent directement à la poubelle. Il est donc raisonnable de trier ces déchets pour la collecte sélective. Néanmoins, l’achat de jouets dans des magasins spécialisés limite la quantité d’emballage.* Les emballages représentent 23 %, soit le quart, du poids de nos ordures ménagères.

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Les fleurs de décembreLa clématite d’hiver à feuillage caduc délicatement mou-cheté (clematis armandii) est particulièrement attrayante avec ses fl eurs blanches et ses effl uves de vanille tout comme le chèvrefeuille (Lonicera henryi) et le jasmin d’hi-ver aux fl eurs très parfumées, la glycine, le lierre ou la vigne vierge. Elles maintiennent une frondaison verte au cœur de l’hiver. Couverts de givre, ces végétaux offrent un paysage agréable et égaient le jardin d’hiver. Ils sembleront renaître tant le spectacle qu’ils fourniront sera délicat.

Toutefois, une plante n’est vraiment résistante au froid qu’à partir de sa deuxième ou troisième année de culture au jardin. N’oubliez pas de la protéger notamment au niveau de la souche, au cours des premiers hivers qui suivent la plantation, avant les premières gelées avec un morceau de paille cousue (paillasson) incliné entre le sol et le haut du mur. Un matelas de feuilles mortes ou de frondes de fou-gères sur la souche isolera les racines du gel. Pour éviter que de jeunes plants ne pâtissent des vents sibériens, il suffi t de les protéger en plantant verticalement dans le sol une ou plusieurs tuiles qui feront mur aux vents dominants.

en hiver Q ue faire dans notre jardin quand les premières

gelées et le froid arrivent ? Voici quelques conseils pour protéger vos plantes, fl eurs et potager et les retrouver, épanouis une fois l’hiver parti.

Jardin

Mon Jardin Bio

eurs b

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Ne nettoyez pas trop le jardin car les tiges mortes protègent du froid. Les graminées, les monardes, les infl orescences pointues des astil-bes, les pièces transparentes des monnaies-du-pape donne du volume au jardin dans des teintes dorées et argentées du plus bel effet.

Parmi les graminées, le Miscanthus aussi appelé roseau du Japon, garde ses plumeaux argentés après des tem-pératures négatives. Le givre va les recou-vrir. Avec l’hiver, les sédums perdent leurs couleurs vives. Leurs fl eurs en forme de larges

têtes plates et sombres demeurent en place. Le contraste entre la blancheur du givre et le noir du feuillage est superbe. Les pétales des pavots sont tombés et font place à une coque brune, ronde et dure qui contient toutes les graines. Certaines clématites forment des graines entourées de plumeaux argentés et décorent une bonne partie de l’hi-ver. Des variétés d’hortensias représentent un élément de décoration incontournable dans le jardin. Dans un premier

temps, elles prennent une couleur verdâtre puis beige ou rouge intense au fur

et à mesure de leur dessèche-ment. Les pétales ne tom-

bent pas et prennent la texture du papier. Les

grosses boules fl o-rales deviennent immortelles et tra-versent les grands froids. Impossible de rester indiffé-rent à la beauté des hellébores.

Elles enchantent le jardin de leur

superbe fl oraison blanche, anis, rose ou

chocolat. On leur pardon-nera pour ne pas être tou-

jours ponctuelles le jour de Noël. Elles résistent sans problème à – 15 °C

et demandent peu d’attention, hormis une petite taille qui supprime les vieilles feuilles en décembre. Installez-les à l’ombre à l’abri des vents froids et desséchants. Un empla-cement sous des arbres ou des arbustes caducs s’avère idéal. Et retenez qu’une fois installée, l’hellébore n’aime pas être déplacée.

N’attendez pas les premières gelées pour protéger vos plantes. Paillez le pied des plantes fragiles installées en pleine terre et emmitoufl er les fl eurs vivaces. La plupart sont très résistantes au froid. Même quand leur feuillage est détruit par le gel, la souche survit sans problème : hos-tas, ancolies, physalis … d’autres doivent cependant être protégées du sol : c’est le cas du Dicentra ou Cœur de Marie ou du pélargonium. Rabattez les plantes au niveau du sol et couvrez-les d’un matelas aéré de feuilles mortes sèches, de paille, de mulch de cacao, de fougères et recou-vrez l’ensemble de léger branchages. Rabattez vos tiges de chrysanthèmes au ras du sol. Protégez les souches sous des feuilles de fougères. Taillez les plantes grimpantes telles que les clématites à grandes fl eurs, les glycines et vignes d’or-nement. Les plantes à coussinets et espèces velues redou-tent l’humidité hivernale, mais elles risquent de manquer d’air sous un paillis. Pour les protéger, couvrez-les plutôt d’une plaque de verre soutenue par des piquets ou deux blocs rocheux, ou d’une tente canadienne formée par deux plaques de verre. Pensez à récupérer les vieux carreaux et portes-fenêtres pour cet usage. En fi n d’hiver, tassez la terre au pied des plantes déchaussées par le gel. Si vous

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possédez une rose de Noël au jardin, assurez-vous qu’elle soit à l’abri du vent et à la pénombre. Son feuillage coriace formera d’intéressantes bordures longtemps après que les fl eurs auront disparu. Elle sera la meilleure compagne des légumes d’hiver, accompagnée des arums, des bergénias, des crocus, des perce-neige et des aconits d’hiver. Coupez le gui et préparez-en des petits bouquets pour décorer la maison. Contrôler et nettoyez les bulbes de dahlias, de can-nas et de glaïeuls entreposés à la cave. Mettez les jacinthes conservés dans le bac du réfrigérateur ou à la cave dans une chambre froide à la lumière et habituez les petit à petit à des températures plus clémentes. Elles mettront une semaine pour s’épanouir et libérer leur fl oraison et leur parfum. Elles enchanteront votre table à Noël. Sachez qu’un bulbe de jacinthe peut fl eurir sur un verre d’eau. Leur multipli-cation se fait par la séparation des petits bulbes situés à la périphérie du bulbe mère. Plus le calibre est gros, plus la fl eur sera belle. Une fois le bulbe défl euri, coupez les fl eurs fanées, conservez les feuilles et replantez-le en pleine terre pour qu’il reconstitue ses réserves avant de s’endormir. Il fl eurira au printemps prochain.

Les rosiersIls ont à présent besoin d’un petit coup de rafraîchis-sement. Ôter les fl eurs fanées et coupez les vieilles tiges afi n de faciliter leur taille au début du printemps. Enlevez les mau-vaises herbes avec une binette. Évitez de bêcher autour des pieds, au risque de blesser les racines du porte-greffe et de susciter l’apparition des rejets, confi squant la sève à leur profi t. Traiter préventivement contre l’oïdium en particulier les sujets qui ont été malades. Le souffre est bien utile en pulvérisa-tions associé à d’autres fongicides à base de cuivrol. Planter de nouveaux spécimens si la terre n’est pas gelée et si le temps n’est pas pluvieux. Il convient lors de l’achat de s’adresser à un pépiniériste spécialisé sérieux qui vous fournira les indica-tions concernant la rusticité et vous orientera vers des cultivars adaptés aux conditions climatiques de votre région. Adoptez l’églantier sauvage robuste au feuillage sain et dense. Beaux à la fl oraison, comme à la fructifi cation, ils serviront d’abri aux oiseaux et aux petits mammifères en formant une barrière infranchissable. ■

Sources : http:// jardin-bio.org

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Cependant, il est possible de préparer son organisme au choc de cette période de libations : La première chose à faire est de suivre une vie régulière : heures de repas, sommeil, activité physique, loisir… et de s’organiser en prévision de tout ce qu’il y aura à faire au moment des fêtes pour stresser le moins possible.L’alimentation est toujours essentielle pour une bonne pré-paration de son organisme. Elle devra être légère, faite sur-tout de légumes verts et d’un peu de légumineuses (len-tilles, petits pois, haricots blancs…) agrémentés de poissons ou de viandes blanches. Pour les pressés, les salades toutes prêtes ou/et des potages en brique sont déjà une bonne solution. Les fruits seront à consommer de préférence entre les repas, en cas de petite faim.Il peut être utile de prendre un peu de magnésium, de gelée royale ou de spiruline pour retrouver ou maintenir sa forme. Mais surtout, il faut procéder à un petit nettoyage de son organisme avec une préparation composée de 60 ml d’aloé arborescent (à défaut de l’aloé véra) mélan-gés à 500 g de miel bio et 2 cuillères à soupe d’alcool fort. Il convient de bien mélanger l’ensemble et de prendre 1 cuillère à soupe de ce mélange avant chaque repas (si possible quinze minutes avant).

Une activité physique, voire sportive, complétera ce net-toyage et contribuera à se détendre. Il conviendra enfi n de bien veiller à ses temps de sommeil. Huit heures permet-tent une bonne récupération, sans oublier qu’une heure de sommeil avant minuit valent deux heures après minuit !

son corps aux repas de fêtes

Bien-être & Santé

Les fêtes de fi n d’année sont très rapprochées : il y a le réveillon de Noël avec son lendemain, le jour de l’an, sans oublier les dimanches intercalés, les chocolats reçus en cadeau, les restes des repas à terminer, le dîner chez Tante Yvonne qui ne pouvait pas venir à Noël et les amis qui profi tent des fêtes pour nous rendre visite… Bref, le foie et la vésicule biliaire vont être, comme tous les ans, mis à rude épreuve…

Préparer

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Les fêtes au top !Les fêtes de fi n d’année sont un véritable mara-thon : course effrénée des cadeaux de Noël, prépa-ration et dégustation de repas plantureux, libations joyeuses…Sans oublier que la beauté, la fraîcheur et la sophistica-tion sont de mise entre le 24 décembre et le premier jan-vier. Voici une sélection d'astuces beauté à réaliser avec le contenu de votre frigo, qui contrairement au porte-monnaie, est bien rempli en fi n d’année…

Astuce Énergie +Passez à la centrifugeuse quatre pommes bio coupées en morceaux, 500 g de chair de potiron et un citron. Mixez le tout avec de la glace pilée jusqu’à l’obtention d’une consis-tance mousseuse et homogène. Buvez ce cocktail tous les matins et vous vous sentirez revigorée.

Teint brouillé Les plaisirs sybaritiques (vins & bonne chère) sont souvent synonymes de teint brouillé. Retrouvez un teint écla-tant avec la carotte !

Astuce teint fraisRéduisez en purée au mixeur une carotte* et un bouquet de persil* (feuilles et tiges incluses). Appliquez le tout sur le visage et le cou en une couche épaisse. Gardez ce masque 20 minutes puis enlevez-le à l’eau tiède.Ce masque épure la peau de ses toxines et lui redonne fi nesse, élasticité et souplesse.

Cheveux ternesExcès en tout genre + fatigue, voilà l’équation parfaite pour obtenir des cheveux ternes. Faites confi ance au romarin pour redonner de l’éclat à votre crinière !

Astuce cheveux resplendissantsFaire bouillir l’équivalent d’un gros bol fermier d’eau. Éteignez le feu au premier bouillon et jetez dans l’eau une poignée de romarin et une poignée de sauge rouge séchée. Laissez infuser 10 minutes, passez et servez-vous de ce liquide en dernier rinçage (après un rinçage soigneux à l’eau fraîche) après chaque shampooing jusqu’à amélioration.

Recettes tirées du livre Les secrets de beauté d’autrefois, par le docteur Henry Puget et Régine Teyssot.

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Vite, un ventre plat !Lors des soirées de fêtes, nous aimons tous avoir une belle présentation. Or, un ventre plat est toujours un élément important de la silhouette. Quelques petits conseils peu-vent améliorer une situation défavorable, en quelques jours. D’abord, il faut retendre les muscles abdominaux. Pas besoin de milliers d’heures de sport pour cela. Faites quelques mouvements respiratoires, plusieurs fois par jour, en expi-rant à fond tout en rentrant le ventre au maximum pendant quelques secondes. Tous les matins, faites une dizaine (pas plus) de mouvements d’abdominaux sur votre descente de lit, toujours en souffl ant en rentrant le ventre (c’est le secret). Vous verrez que déjà le ventre aura tendance à se rentrer au bout de quelques jours !

Il est aussi important de stimuler son transit intestinal : fruits, légumes (cuits ou crus) et eaux de source sont importants. Enfi n, pour éviter les ballonnements pensez à manger len-tement et surtout à mastiquer. Les légumes secs (fl ageolets, pois chiches...), les choux, les fromages gras, les fruits ou les légumes crus peuvent quelquefois être responsables de la formation de gaz. Mais, la prise de charbon végétale amé-liorera la situation comme la Carbolevure® ou le Charbon Belloc® (1 gélule aux 3 repas). ■

Sources : www.femininbio.com

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Bien-être & Santé

Votre fichedétox d’hiver

En hiver, votre corps a tendance à marcher au ralenti et à accumuler les toxines comme un moteur encrassé qui a du mal à démarrer avec le froid. Une cure détox va l’aider à se remettre en route en douceur…

L’intérêt d’une cure en hiverAvant ou après les fêtes, le régime détox va servir de régulateur pour votre corps en drainant les déchets et les excès.Suivre une détox renforce vos défenses immunitaires, davantage sollicitées en hiver, en apportant des nutriments essentiels. Votre corps ainsi rééquilibré, éliminera les signes de fatigue chronique et de nervosité.

Le top 10 des aliments détox d’hiver• La pomme : anti-cholestérol

• Le kiwi : antioxydant, bonne source de vitamine C

• Le kaki : possède des enzymes qui facilitent la digestion

• Le chou chinois : riche en antioxydants, sa teneur en potassium permet d’équilibrer le PH du sang

• L’avocat : contient un antioxydant, le glutathion

• La mâche : riche en oméga 3 et en potassium

• Le poireau : nettoie les intestins

• Le céleri : draine les reins

• L’épinard : antioxydant gorgé de vitamines et minéraux

• L’ail : antioxydant, lutte contre les troubles circulatoires

Un menu équilibréLe matin

• Commencez votre journée par un jus purifi ant : deux pommes (70 kcal pour 150 g), trois carottes (33 kcal pour 100 g).

• Un bol de céréale (muesli bio) accompagné de lait de soja.

• Du thé vert non sucré.

Le midi

• Une salade de mâche (14 kcal pour 100 g) et d’avocat (160 kcal pour 100 g). Assaisonnement : fi let d’huile de colza (riche en oméga 3) et ail.

• Un poisson blanc en papillote aromatisé aux herbes (coriandre, per-sil) pour un bon apport de protéines accompagné d’épinards à la vapeur et d’un fi let d’huile de colza (riche en oméga 3).

• Un kiwi en dessert.

Le soir

• Un jus purifi ant à base de céleri (30 kcal pour 100 g) et de carottes.

• Du chou bouilli, une portion de 50 g de glucides (riz complet, quinoa), une portion de 50 g de protéines. ■

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Le matin, appliquez cette huile régénérante que vous pré-parerez vous-même par un massage léger avant d’apposer votre crème habituelle.

Versez l’ensemble dans un petit fl acon en verre et mélangez.

Pour un traitement réellement effi cace, protégez aussi votre peau de l’intérieur en prenant 2 gélules (dosées à 500 mg) d’huile d’onagre et de bourrache midi et soir.

N’oubliez la levure en saupoudrage sur vos salades et crudités, une bonne ration de graines germées pour les vitamines et les minéraux, des fi bres (pruneaux, fi gues, céréales complètes, fruits et légumes) pour une élimina-tion optimale et bien sûr l’emploi d’huiles de première pression à froid, non raffi nées pour les précieux omega 3 et 6.

Comment bien hydrater sa peau ?Votre peau souffre des frimats de l’hiver ? Laissez-vous tenter par un programme d’hydratation optimale fait maison !

EnvironnementSi vous vivez ou travaillez dans un local surchauffé, à l’air très sec, pensez à placer un humidifi cateur sur la source de chaleur.

DiététiqueEau : l’hydratation cutanée dépend étroitement de l’hydra-tation de l’organisme lui-même. Donc pensez à boire suffi -samment (1,5 litre d’eau par jour dans l’idéal). Acides gras : la peau sèche peut résulter d’un déséqui-libre alimentaire. Consommez suffi samment d’huiles riches en acides gras insaturés (olive, colza, tournesol...), crues, dans des salades, des marinades, par exemple. Si votre peau est très sèche, atone, faites une cure d’huile en capsule (onagre, bourrache, poissons des mers froides...), pendant 1 à 2 mois.

de sa peau en hiverPrendre soin

D ès le début de l’hiver, chouchoutez votre peau afi n qu’elle soit en beauté et puisse affronter en toute quiétude le froid hivernal particulièrement précoce en cette fi n d’année et supporter sans souffrir les brusques changements de température – du bureau ou magasin surchauffé au gel du dehors.

Beauté

Ingrédients• 10 cl d’huile de rose

musquée

• 5 cl d’huile de bourrache

• 1 c à c d’huile d’argousier

• 10 gouttes d’huile essentielle de géranium

• 10 gouttes d’huile essentielle de ciste

• 5 gouttes d’huile essentielle de néroli

• 5 gouttes d’huile essentielle de carotte

• 5 gouttes d’huile essentielle de tea-tree

• 10 cl d’huile de rose cl d’hmusquéeée

• 5 cl d’huile de bourrache

• 1 c à c d’huile d’argousier

• 10 gouttes d’huile essentielle de géranium

• 10 gouttes d’huile essentielle de ciste

• 5 gouttes d’huile essentielle de néroli

• 5 gouttes d’huile essentielle de carotte

• 5 gouttes d’huile essentielle de tea-tree

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Soins quotidiensLes pertes en eau sont permanentes, la peau a donc besoin d’être hydratée au quotidien (matin et soir). Certaines optent pour des gels ou des émulsions très fl uides tandis que d’autres préfèrent appliquer une huile.Entre ces deux extrêmes, il est préférable d’employer des crèmes à la composition équilibrée, apportant à la fois des agents hydratants gras et non gras, fi lmogènes et humec-tants comme les émulsions eau dans huile.

GommageLe gommage n’est pas un geste indispensable en termes d’hydratation cutanée. Toutefois, en stimulant le renouvelle-ment cutané, il contribue à maintenir la qualité de la peau.

Masques hydratantsCes masques, à pratiquer une ou deux fois par semaine, auront pour but d’apporter à la peau une grande quantité d’actifs nutritifs et hydratants. Ils permettront également de corriger, le cas échéant, les déséquilibres de certains soins quotidiens (voir tableau ci-dessous). Dans tous les cas, on laissera poser 10 à 15 minutes.

Votre choix au quotidien

Les ingrédients de vos masques

A

Gels, crèmes hydra-tantes très fl uides non grasses (huile dans eau). Bien masser pour faire pénétrer.

Huiles végétales, beurres végé-taux, jaune d’œuf, crème fraîche, chair d’avocat.

B

Émulsions hydratantes grasses (eau dans huile), équilibrés gras/non gras.

Au choix, selon le besoin ressenti : fruits, yaourt, miel, huiles... Privilégier les mélanges

CHuile pure, beurre de karité, cérats, crèmes surgrasses

Gel d’aloès, fruits (pulpe, jus), glycé-rine, miel, yaourt.

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Émulsion hydratante express à l’aloès

MéthodeMélangez simplement les ingrédients dans le creux de la main.Appliquez immédiatement sur le visage en guise de crème (matin et/ou soir).

Le plusSimple, économique et effi cace !

Masque nourrissant surgras (convient pour A et B)

MéthodeMélangez les ingrédients en émulsionnant.Appliquez en couche épaisse en massant pour bien faire pénétrer.Rincez à l’eau claire tiède.

Le plusSi vous êtes pressée, contentez-vous d’appliquer une huile fi ne ou du beurre de karité en couche épaisse et laissez poser 15 min. avant d’essuyer le surplus.

Masque hydratant au miel et au yaourt (convient pour B et C)

MéthodeAvec un petit fouet, incorpo-rez l’huile, puis le miel et la glycérine.

Le plusCe masque est très complet en termes d’agents hydra-tants ! Si vous êtes dans le cas de fi gure A, vous pouvez employer ce masque, mais en employant 2 cuillères à café de yaourt et 2 cuillères à café d’huile.

Ingrédients• 1 noisette de gel d’aloès (de préférence

forme cosmétique en tube)

• La quantité équivalente d’huile végétale au choix (argan, amande, abricot, sésame...)

• 1 noisette de gel d’aloès (de préférence oisettforme cosmétique en tube)cosm

• La quantité équivalente d’huile végétale au choix (argan, amande, abricot, sésame...)

Ingrédients• 1 jaune d’œuf ou 2 cuillères à café de chair

d’avocat (bien mûr) mixée

• 1 cuillère à café d’huile riche (germe de blé, onagre, bourrache, argan...)

• 1 jaune d’œuf ou 2 cuillères à café de chair une dd’avocat (bien mûr) mixéecat (b

• 1 cuillère à café d’huile riche (germe de blé, onagre, bourrache, argan...)

Ingrédients• 1 cuillère à soupe de yaourt nature doux

(de préférence de consistance épaisse)

• 1 cuillère à café de miel liquide

• 1 cuillère à café d’huile riche (voir ci-dessus)

• ½ cuillère à café de glycérine

• 1 cuillère à soupe de yaourt nature doux uillère(de préférence de consistance épaisse)éfére

• 1 cuillère à café de miel liquide

• 1 cuillère à café d’huile riche (voir ci-dessus)

• ½ cuillère à café de glycérine

Allées Marines - 1er étage(à côté de la salle municipale)

CAPBRETON

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Régénérer la peau et illuminer le teintQu’est-ce qui fait que le teint est frais et que la peau nous paraît rayonnante ? C’est la régénération des cellules cutanées.

Structurée en couches, la peau se renouvelle constam-ment ; les couches les plus profondes étant composées des cellules les plus récentes. Une peau qui se régénère bien paraît plus belle et aussi plus jeune car les couches les plus profondes de la peau sont les plus lisses.

Aider sa peau à se régénérer, c’est permettre aux couches les plus profondes et donc les plus jeunes d’apparaître à la surface.

Ne nous le cachons pas, les moyens les plus effi caces pour faire apparaître ces couches jeunes de la peau sont les peelings tels qu’ils sont pratiqués par les spécialistes de médecine et de chirurgie esthétique et les dermatologues. Ces peelings sont réalisés à l’aide de substances telles que l’acide glycolique concentré. Ils sont aussi réalisés à l’aide de laser ou d’appareils de dermabrasion.

Ces techniques ne nécessitent généralement pas d’hos-pitalisation, leur inconvénient est qu’il faut dans cer-tains cas attendre plusieurs jours avant d’être à nouveau présentable…

Voici pour la manière forte ; mais si vous lisez cet article c’est certainement que vous êtes une adepte de la beauté bio et donc des méthodes douces. Vous avez bien raison, car il existe des moyens d’exfolier la peau pour en lisser le grain et faire rayonner votre teint tout en douceur.

Parmi les mesures de beauté nature il y a les gommages. Un bon gommage fait à la maison peut se révéler très effi cace pour réveiller le teint et donner bonne mine. Vous pouvez concocter votre propre gommage avec des matières natu-relles telles que le rassoul ou encore des cristaux de sel marin.

Un gommage se réalise en moyenne une fois par semaine, il doit être doux pour ne pas agresser l’épiderme. Si vous avez la peau sèche ou sensible réduisez la fréquence des gommages. Il est aussi conseillé de réduire la fréquence des gommages en hiver car le froid augmente la sensibilité de la peau.

Vous pouvez aussi vous servir de l’action des acides de fruits pour révéler un teint plus éclatant. Les acides de fruits agis-sent en détachant les cellules les unes des autres, élimi-nant ainsi les couches superfi cielles de l’épiderme. Les fruits riches en acides sont les fraises, les citrons ou encore la pomme. Préférez des fruits bio pour en faire des masques. Les vinaigres sont aussi une bonne source d’acides de fruits.

Vous avez deux autres alliés pour vous aider à régénérer votre peau. Le premier est la vitamine A qui participe activement au renouvellement cellulaire. On en trouve entre autres dans les produits laitiers, les œufs, la mâche et les carottes.

Enfi n, ne négligez pas votre sommeil, c’est un très bon ami de la peau car celle-ci se renouvelle surtout la nuit lorsque l’organisme est au repos. ■

Sources : www.femininbio.com

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Les vacances de fi n d’année sont là et on profi te de ces moments en famille pour cuisiner à nos têtes blondes des petites douceurs hivernales ! On prépare ces recettes avec du miel bio, fabuleuse

source de vitamine, de sels minéraux : fer, phosphore, calcium. De plus, il favorise la croissance et fortifi e le squelette.

Ingrédients • 250 g de miel

• 250 g de farine

• 100 g de sucre en poudre

• 1 sachet de levure chimique

• 2 œufs

• 10 cl de lait

• 1 cuillère à café d’anis vert moulu

• 1 cuillère à café de muscade râpée

• 1 cuillère à café de cannelle en poudre

• 1 cuillère à café de gingembre en poudre

• 1 cuillère à café de quatre-épices

• 1 sachet de sucre vanillé

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• 100 g de sucre en poudre

• 1 sachet de levure chimique

• 2 œufs

• 10 cl de lait

• 1 cuillère à café d’anis vert moulu

• 1 cuillère à café de muscade râpée

• 1 cuillère à café de cannelle en poudre

• 1 cuillère à café de gingembre en poudre

• 1 cuillère à café de quatre-épices

• 1 sachet de sucre vanillé

1. Faites chauffer le miel à la casserole (ou au micro-ondes), puis versez-le bien chaud dans un saladier sur la farine, mélangée à la levure chimique, les deux sucres et 1 cuillère à café de chaque épice : anis vert, muscade râpée, cannelle, gingembre.

2. En remuant cette préparation avec une cuillère en bois, incorpo-rez petit à petit les œufs, puis le lait juste tiède pour amalgamer le tout. Versez la préparation dans un moule à cake bien beurré et fariné. Enfournez le pain d’épices dans le four à 160 °C (ther-mostat 5-6), sans le préchauffer au préalable, et laissez cuire pendant 1 heure à 1 h 15.

3. Démoulez le pain d’épices lorsqu’il a totalement refroidi. Attendez 24 heures au minimum avant de le déguster. Il se garde au moins une semaine, enveloppé dans du papier d’aluminium.

Préparation

Gastronomie

En toastAvec du foie gras, parfois de la charcuterie, et souvent des fromages. La douceur et les épices se marient superbement avec les saveurs fortes et franches, les textures qui ont du caractère.

En plats salésC’est un ingrédient clé des carbonnades fl amandes ! Il est aussi utilisé pour réaliser des panures, dans les recettes à base de gibier (une tranche moutardée ou émiettée dans la sauce), dans la réalisation de certaines farces ou encore en crumble salé.

Avec le fromageChèvre, maroilles, roquefort, fromage frais, gorgonzola... beaucoup de fromages se marient très bien avec. Fondus ou juste « à la croque », on peut aussi les paner au pain d’épices...

En dessertC’est l’avalanche ! Pain d’épices façon pain perdu, millefeuille de pain d’épices, tiramisu, charlotte, cheese-cake, verrines, crumble... Juste émietté sur des pommes poêlées, 1 min. sous le grill et vous avez un dessert express, croustillant, léger et impressionnant.

Que faire avec un pain d’épices ?Les bonnes associations... On peut le manger seul bien sûr, mais c’est aussi un ingrédient à part entière !

Pain d’épiceau miel

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Avec de nombreuses variétés anciennes et nouvelles, les pommes issues d’agriculture biologique surprennent souvent par la densité de leur goût que l’on peut mettre à contribution de

l’entrée au dessert… Comme dans cette mousse légère dont la recette peut se décliner toute l’année avec des fruits en coulis ou compote, des sucres différents, et/ou fromage blanc ou crèmes de soja à la place du yaourt.

Gastronomie

1. Faire une compote avec les pommes coupées, l’agar agar, le miel.

2. Écraser fi nement ou mixer, tiédir légèrement et mélanger intimement avec le yaourt battu.

3. Mettre en coupes et au frais.

4. Décoration possible avec amandes effi lées grillées et miel coulant.

Préparationet au miel

Ingrédients• 500 g de pommes (fuji, boskoop,

elstar...)

• 2 cuillères à soupe de miel de pays

• 2 yaourts

• 2 g d’agar agar

• 500 g de pommes (fuji, boskoop, 0 g deelstar...))

• 2 cuillères à soupe de miel de pays

• 2 yaourts

• 2 g d’agar agar

Mousseaux pommes

Sources : www.aufeminin.com www.femininbio.com

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Page 44: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

Les recettes de Philippe

gratinde macaroni

fumé

1. Cuire les macaroni al dente à l’eau bouillante salée.

2. Détailler la ventrèche en fi ns lardons.

3. Les mélanger avec les œufs, poivre du moulin, noic nam, estragon et le vieux brebis râpé.

4. Huiler le plat au four.

5. Ranger en parallèle les macaroni.

6. Parsemer le mélange sur les macaroni.

7. Gratiner à four très chaud jusqu’à coloration.

8. Découper en bande étroite.

Préparation

Mot de Philippe« Vous pouvez remplacer l’estragon par une autre herbe de saison de votre choix. »

Mon meilleur

Ingrédients (4 pers.)• 500 g de macaroni

• 1/2 botte d’estragon

• 80 g de ventrèche paysanne fumée

• Noic nam

• Huile d’olive extra vierge

• 100 g de vieux brebis

• 2 œufs

(4 pers.)

• 500 g de macaroni0 g de

• • 1/2 botte d’estragon botte

• 80 g de ventrèche paysanne fumée

• Noic nam

• Huile d’olive extra vierge

• 100 g de vieux brebis

• 2 œufs

Restaurant Philippe30, av. du Lac-Marion • 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 23 13 12 • www.restaurantphilippe.fr

Page 45: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

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Planifier son budget de Noël sur l’annéeIl est désormais un peu tard pour concocter votre budget de Noël. Il faut être plus rigoureux et commencer à imaginer un budget total dès le début de l’année.Par exemple, pour Noël 2010, vous commencerez à mettre de côté 50 euros par mois pour une enveloppe de 600 euros. Il faut toujours anticiper ce genre de dépenses. C’est comme pour les vacances. N’attendez pas le dernier moment, sinon vous allez vous retrouver avec le couteau sous la gorge.

Établir un budget de Noël sans argent disponibleVotre compte en banque voit rouge alors même que vous n’avez pas commencé les dépenses de Noël. Vous avez plusieurs possibilités : vous mettre à découvert, faire un emprunt ou bien être astucieuse et faire preuve d’imagination.

Les deux premières hypothèses sont à bannir. Vous allez en revanche développer votre côté débrouille.

Côté cadeaux, il est toujours facile de faire plaisir sans trop dépenser. Pensez, par exemple, à faire une mini-exposition d’objets présents chez vous et que vous aimeriez trans-mettre. Faites choisir vos invités.

Il existe aussi les cadeaux utiles. Et si au lieu d’offrir un énième foulard à mamy, vous lui faisiez cette année un bon pour une pâtisserie livrée à domicile par vos soins tous les mois. Elle sera ravie d’avoir une visite régulière. N’hésitez pas à faire des « Bons pour… » (un concert, une exposi-tion, une foire ou un salon…). Vous pourrez ainsi étaler vos dépenses.

Côté repas, c’est un peu plus délicat car il faut privilégier la qualité. Demandez aux invités une participation plutôt qu’un cadeau. Préférez un bon vin rouge plutôt qu’un mauvais champagne. Optez pour du poulet plutôt que de la dinde. Proposez un menu couleurs en orange avec un velouté de potiron, une purée de carotte aux zestes d’orange ou encore un menu de Noël écolo à base de recyclage, d’échange et de transmission. ■

Sources : www.femmeactuelle.fr

Trucs & Astuces

Entre les cadeaux, la décoration et le repas, les fêtes de fi n d’année sont la période où le budget des familles est le plus mis à mal. Quelques astuces pour éviter d’être dans le rouge.

Comment gérer votre budgetde Noël ?

Page 46: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

Le réveillon de Noël avance à grands pas et les premiers préparatifs battent leur plein. Voici nos conseils pour une table de Noël bien décorée

Une coutume hongroise veut que de petits fagots de paille soient placés à côté de chaque convive à table.

Allons plus loin : pourquoi ne pas fabriquer des marque-

places personnalisés ? De quoi ravir les enfants : un bonhomme

de neige marque-place. Vous aurez besoin de deux boules de polystyrène

reliées par un cure-dent en bois pour faire la tête et le corps. Des perles enfi lées sur des épingles feront offi ce de nez, bras et yeux. Un morceau de ruban de décoration de Noël peut servir d’écharpe. Les bonhommes de neige pourront tenir un cahier de chant en bristol blanc contenant le nom de l’invité.Plus chic, les fagotins porte-photos pour marquer les places. Fabriquez un petit fagot en attachant des petites branches avec de la fi celle. Coupez un fi l de fer de 30 cm environ, enroulez l’une des extrémités du fi l sur lui-même et confec-tionnez un crochet avec l’autre extrémité, de façon à l’ac-crocher au fagotin. Ajoutez de la colle pour que le fi l de fer reste bien accroché au fagotin. Collez enfi n des éléments de décoration sur les branches, type petites boules de verre, du houx et des morceaux de ruban. Glissez enfi n une photo dans l’escargot en fi l de fer pour indiquer les places à vos invités.

Développez leur créativité en proposant à vos enfants de réaliser des objets écolo et rigolos. Amusement garanti !

Un photophore pour réveillonnerVoilà une idée brillante, à la portée de tous les enfants, même les moins manuels.

Pour 1 photophore : 1 petit pot en verre de récupération, 1 feuille de papier Décopatch rouge et or, 1 pot de colle Décopatch, 1 pinceau, 1 paire de ciseaux, 1 petite bougie chauffe-plat.1. Votre enfant doit commencer par déchirer de petits morceaux de papier.2. Demandez-lui ensuite d’enduire le petit pot de colle et de coller le papier.3. Pour donner l’effet d’un vernis, vous pouvez l’aider à repasser une couche de colle sur le papier positionné.4. Laissez sécher environ 5 minutes et demandez-lui de dépo-ser la bougie chauffe-plat (éteinte) dans le pot en verre. ■

Source : www.femininbio.com

Trucs & Astuces

Quelques idées pour noël

AAnene

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Page 47: Magazine Planète EKOLOGIE Numéro 7

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Mots-Mêlés

P V U F L D I F Z P F F L E U R S E T T E N D A N C E S U N S R E D N A W K I K E T B O O Y A I N I X H J H C Y V U F I A Y A D I R H A L A T Z V P K B G V X H D W P P I H R O Y D A N A C J B X U K I Z V N K E G Y O N R T B V A A K L O L O N I A S O S I D Q Z I E A M R V H C O M Q K X S G C M F H G S E L L A H T I V P L Z T C U C U E V L T B J Y E G V B Y C C X H M Z O C I Y G D U E Y A S S A I N C O N C E P T P S S C I T A M I L C O E G Q X I F I Q W H H K T C T V O T V R X D L Q W Y C K M X H A O E H E P I C E R I E V E R T E R O V R B D H A D V R V W E J A W U V L P T M B O Z W X I D H D D F V G L A I F J Z N X W A B P D J W V S G W F S X U V P S E R W T O Z N C X I U P O U F I X N C R X N G Z Y U N O D T B S E E N E R Y P S I O B N O I T C U R T S N O C Q I O A U O N I R O L L A C S A P P Y Z D N P V H I V R O G A V F T D B M D P L A N E T E E K O L O G I E T R E W E P B M E W C I I A D N O H A O F Z D D Y Q W F F M L H P T S I G P R X V O O T F Y H T K A B R A S L E C O E U R Z S D J X S H T U J L I L T W E D X D K P G Z J H P V L I R H K X Y S R Y H T Y A N E Y N L G F N K W E M I B A U U P S W M C X Q K Y A O I U S N A K V I G Z O B C A R R I E R E D U B A R B E Q B Q L R T T I C Q B I W K Q W I T N R V U D Y Z Q X Y K I N I B O E I O L O C E T A M Q Z O K B I O E T I K A C R M E Z T R A N T E T T I F A L E I R E N I D R A J J C J G D O S Y A Y B C U E J J Z W Y N X I G A R M E G O K I Q N C N U J B T G T E T R E D I R F R U S G G I V L T B I A B K U M L C H P M C E L R K V V P X A R C N B B V X N E A L I E U X D E V I E V H R T A R O N O H O J K G D A T N T E M Z Q U Z N D K C T A F J B A S T O N E O O Q X N W N B D Z R L L U B A W G T Y H S M S M W Y P H I L I P P E R E S T A U R A N T Q U V T P Z I I F E B U S X I N D P E P I U J A M M G S M L W U X L E F P Q

Vous devez retrouver les 33 mots cachés dans la grille ci-dessus. Les mots vont de droite à gauche, de gauche à droite, de bas en haut ou de haut en bas.

Mots à trouver : 1) CONSTRUCTION BOIS PYRENEES2) PHILIPPE RESTAURANT 3) FLEURS ET TENDANCES4) JARDINERIE LAFITTE5) CARRIERE DU BARBE6) DEBO BIO INSTITUT7) PLANETE EKOLOGIE8) STUDIO LAURENCE9) UNIVERT HABITAT10) ASSAIN CONCEPT

11) EPICERIE VERTE12) A BRAS LE COEUR13) GEOCLIMATIC 14) PASCAL LORIN 15) TALAHRIDAYA 16) LIEUX DE VIE 17) SURFRIDER18) VITHALLES19) BIOETIKA20) KIKETBOO 21) MATECOLO22) HONORAT

23) ISOSAIN24) NATEXEA 25) WANDERS26) ECOVIE27) EGOKI28) FEBUS 29) GODIN30) HONDA31) CANA32) FLD33) IES

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PlanètePlanète

Point sur le sommet Point sur le sommet de Cancunde Cancun

Mon balcon écoloMon balcon écolo

Une Saint-Valentin BioUne Saint-Valentin Bio

Stimulez votre immunitéStimulez votre immunitéTout savoir Tout savoir sur la chromothérapie, sur la chromothérapie, thérapie par la couleurthérapie par la couleur

Samossas au chèvre et épinards, Samossas au chèvre et épinards, émincés de dinde aux brocolisémincés de dinde aux brocolis

Planète NewsPlanète News

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Toutes les réponses des jeux sont sur le site www.planete-ekologie.fr

Faci

le

Moy

en

Diffi

cile

Squaro

Le but du Squaro : trouver les ronds à remplir. Pour cela il y a dans chaque case un chiffre, de 0 à 4, qui correspond au nombre de ronds à remplir parmi ceux situés aux quatre coins de cette case.Par exemple la grille suivante :

Toutes les grilles présentes possèdent une solu-tion unique.

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HabitatNATEXEA • 636 chemin de Bignaou 40400 Begaar • Tél. : 06.06.47.04.34 [email protected] ..........................................................................................2IES • Installations Énergie Solaire – 523, avenue Jean Barbé – 40360 Pomarez • Tél. : 05 58 55 36 41 ........................................................................................2CARRIERE DU BARBE • Route de Guiche– Bidache • Tél. : 05 59 56 00 58 • www.cheminee-carrieresdubarbe.com ......................................................4FÉBUS • Bureau d’études thermiques • 69, rue Saint-Gilles – 64300 Orthez • Tél. : 09 66 12 50 86 ............................................................5CHEMINEE GODIN • Artisanat marocain – 5, rue Joseph Cugnot – Lescar • Tél. : 05 59 81 01 62 ................................................................................................6LIEUX DE VIE • Constructions, Rénovations, Matériaux écologiques • 9, av. de la Division-Leclerc – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 45 68 24 ....7GEOCLIMATIC • Étude, réalisation, SAV de solutions solaires géothermie, aérothermie31, rue Chapelet – ZAC Négresse – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 54 86 74.....................................................................................................................................8CONSTRUCTION BOIS DES PYRENEES • Travaux de charpente, couverture, maison ossature bois • Chemin de Bordaxuenia 64310 – St-Pée-sur-Nivelle • Tél. : 06 86 54 06 22 ............................................................................................................................................................8ISOSAIN • Isolation Ouate de Cellulose • ZAC des 2 Pins – 40130 Capbreton • Tél. : 05 58 47 65 16 ...............................................................8ASSAIN CONCEPT • Constructeur de piscines naturelles • 40, impasse des Hirondelles – 40900 Saint-Avit • Tél. : 06 17 53 56 90 ...........9PASCAL LORIN • Construction Bois • Rue de la Ferronnerie, Z.I – 40600 Biscarrosse • Tél. : 05 58 78 12 96 ........................................10MATÉCOLO • Matériaux de construction écologiques • 300, route de la Fontaine – 40400 Tartas • Tél. : 05 58 73 35 60 ......................11UNIVERT HABITAT • Matériaux d’écoconstruction, Peintures, Décorations Naturelles, Bio Électricité • 3 bis, rue de l’Abbé-Grégoire – 64140 Billère • Tél. : 05 59 13 48 84 ......................................................................................................................12WANDERS • Poêle à bois, poêle scandinave. Poêle granulés. Insert à bois à granuléZAC du Golf • 64200 Bassussarry • Tél. : 05 59 29 61 88 ............................................................................................................................................52

Bien-être et santéKIK&BOO • 1621, chemin d’Ostalapea – 64210 Ahetze • www.kik-boo.com [email protected] ........................................................................29FRÉDÉRIQUE HONORAT • Réfl exologue, Hypnose, Reiki Usui • Tél. : 06 87 52 82 61 ..........................................................................................34DEBO BIO INSTITUT • 45, route de Tercis – Dax • Tél. : 06 25 33 10 66 .................................................................................................................35PASCALE DUSSIN TALAHRIDAYA • Coach Sportif et Thérapeute ayurvédique à domicile • Tél. : 06 72 17 49 95 ..................................36CANA • Collège Alternatif de Naturopathie et d’Aromathérapie • 9, rue Etxalde – 64500 St-Jean-de-Luz • Tél. : 09 53 88 46 58 ..........51

JardinFLEURS ET TENDANCES • 39, allées Marines – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 59 65 601, rue du Bois-Belin – 64600 Anglet • Tél. : 05 59 03 08 80 • av. Maréchal-Soult – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 57 00 67 ...........31JARDINERIE LAFITTE • Rond point de Maignon – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 42 24 42 ........................................................................32

BeautéVIT’HALLES • Soins, Massage, Fitness Coatching • 3, carrefour de l’Hélianthe – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 22 12 13 ...........................39STUDIO LAURENCE • Allées Marines – 1er étage (à côté de la salle municipale) – Capbreton • Tél. : 05 58 73 30 69 ...........................40

GastronomieÉPICERIE VERTE • Épicerie Bio – Av. A.-Nobel, Rte de Morlaàs – 64000 Pau • Tél. : 05 59 40 24 35 / 15, av. des Frères Montgolfi er – Pau-Lons • Tél. : 05 59 32 70 36 / 3, av. St-Cricq-Oloron-Ste-Marie • Tél. : 05 59 39 65 23 ..................................................................................43RESTAURANT PHILIPPE • 30, avenue du Lac Marion – 64600 Biarritz • Tél. : 05 59 23 13 12 .......................................................................44BIO ETIKA • Alimentation Bio • 7, av. du Maréchal-Juin – 64100 Bayonne • Tél. : 05 59 55 00 82 ...................................................................51

DiversFLD • Village du Grand mail – 504, rte de la Bernadère – 40990 Saint-Paul-Les-Dax – Centre orthopédique – RN 117 – 64270 Puyoo • Tél. : 05 59 65 14 61 • www.fl d.fr • www.style-confort-fdl.fr • e-mail : contact@fl d.fr ...................................................................3SURFRIDER • Association, Protection de l’Océan et du Littoral • R 120, av. Verdun – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 23 54 99 .................20 EGOKI FORMATION • 50, rue du Chapelet – 64200 Biarritz • Tél. : 06 99 90 65 28.............................................................................................22HONDA • Concessionnaire - Garage Franco-Américain • 44, av. de Bayonne – 64600 Anglet • Tél. : 05 59 43 51 51...............................23ÉCO VIE • Du 28 au 30 Janvier 2011, Halle d’Iraty – 64200 Biarritz • Tél. : 06 99 90 65 28 ................................................................24 et 25À BRAS LE CŒUR • 27, rue Gambetta – 64200 Biarritz • Tél. : 05 59 22 25 42 .....................................................................................................28

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