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Assistantes maternelles Handicap Marie-Jo Klein distinguée page 5 Gens du voyage Des solutions en marche page 6 Opération façades Gagnant-gagnant ! page 3 Des nounous d’enfer ! Pennois déc 2008 N° 142 Le www.pennes-mirabeau.org

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Assistantesmaternelles

HandicapMarie-Jo Kleindistinguée

page 5

Gens duvoyageDes solutions enmarchepage 6

OpérationfaçadesGagnant-gagnant !

page 3

Des nounous d’enfer !

Pennoisdéc 2008 N° 142

Lewww.pennes-mirabeau.org

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UrgencesPolice municipale : 04 42 10 60 13Police nationale : 04 91 65 03 31Pompiers : 04 42 02 70 18

Permanences mairiePERMANENCE DU MAIRESur rendez-vous pour la 1ère permanencedu mois et sans rendez-vous pour laseconde à l’Hôtel de ville des Pennes-Mirabeau et à la mairie annexe de laGavotteHôtel de ville.......................04 42 02 24 24

ORDRE DES AVOCATSConsultations gratuites pour les moins de18 ans le mercredi de 14h30 à 16h30Palais de justicePlace Verdun Aix-en-Provence ................04 42 21 72 30

MEDIATEUR DE LA REPUBLIQUEM. Vincensini reçoit, à Aix-en-Provencesur rendez-vous, les administrés quis’estiment victimes d’undysfonctionnement des services publicset assimilésmairie : 7 rue Pierre et Marie Curie........................................04 42 91 93 95MJD (lundi et mardi matin) : bât i2, 2 rue Raoul Follereau........................................04 42 20 90 32

OFFICE NOTARIALPermanence le 1er jeudi de chaque moisde 10h30 à 12h00 à l'office notarial desPennes-Mirabeau (51 av. Plan deCampagne)..............................................04 42 46 99 99

CONCILIATEUR DE JUSTICEM. Maury reçoit à la mairie annexe de laGavotte le 1er et le dernier mercredi dumois de 14h15 à 18h00 sur rendez-vous..............................................04 42 02 24 24

CONSULTATION JURIDIQUEPermanence assurée le mercredi 17décembre à la mairie annexe de la Gavotte,de 8h30 à 12h00. Sur rendez-vous..............................................04 42 02 24 24

Actions socialesCENTRE COMMUNAL D’ACTION SOCIALEChef-lieu..............................04 42 10 62 92Gavotte...............................04 91 09 77 04

Renseignements sur les mesures mises àdisposition par la commune ou sespartenaires sociaux : demi-tarif cantine,gratuité des transports scolaires,chèqued’accompagnement personnalisé...

DON DU SANGL’Amicale des donneurs de sangbénévoles organise une collecte de sang lesamedi 06 décembre au foyer desCadeneaux de 8h à 13h au profit duTéléthon.

MEDIATION FAMILIALELes permanences du CAFC ont lieu auCCAS, avenue V. Hugo, les 2èmes et 4èmes

mercredis du mois de 9h à 12h.Renseignements et inscriptions au 04 42 20 47 09.

CRAMAgences de retraite de Marseille et desautres communes des Bouches-du-Rhône : du lundi au vendredi de 8h30 à16h00...................................0821 10 13 20pour les particuliers...............................................0821 10 13 13pour les professionnels

PERMANENCE SECURITE SOCIALEUne permanence de la Sécurité Socialese tient chaque mardi de 9h30 à 10h30au CCAS des Pennes et de 14h30 à15h30 à la mairie annexe desCadeneaux.

PERMANENCE APAPermanence du Conseil généralconcernant l'allocation personnaliséed'autonomie tous les 1ers lundis dechaque mois au CCAS Gavotte de 14h30à 17h30.

AIDE AUX VICTIMESLes permanences de l'APERS continuentde se dérouler le 2ème samedi matin et le4ème vendredi matin de chaque mois, de9h à 12hPolice nationale de La Gavotte.............................................. 04 42 52 29 00

Emploi / logementASSEDICLes demandeurs d'emploi de lacommune sont accueillis à l'antenneAssédic de MarignaneLe Gabian du Moulin

Avenue René Dubois BP 77

“Le Pennois” - reproduction partielle ou totale, autorisée avec mention de l’origine. Direction de la publication : Michel Amiel. Rédaction : Philippe Gallo, Philippe Bonhomme . Photographie :Fabien Mignot. Conception maquette et mise en page : Célia Netter. Suivi distribution : service communication. Impression / publicité : SPI Imprimerie, Z.I. du Pré de l’aube, 13240 Septèmes(04 91 09 53 43). Tirage à 8000 exemplaires distribués aux particuliers et aux entreprises de la commune. Dépôt légal : mai 2005.

2 Le Pennois

Médecins de garde

AmbulancesArc en ciel ambulance..................04 42 02 82 78Ambulances Horizon....................04 91 51 67 36

13 et 14/12Dr Pasqualetto 04 42 02 77 78

04 42 02 96 3927 et 28/12Dr Marron

03 et 04/01/2009Docteur Tonda

Le 1er/01/2009Dr Amiel 04 42 02 86 66

04 91 51 05 0804 42 02 70 75

25/12 (Noël)Dr Amadeï 04 91 46 38 30

20 et 21/12Dr Balzano

13721 Marignane cedex

..............................................0 811 01 01 13

Accueil libre le matin de 8h30 à 12h30 dulundi au vendredi. Accueil sur rendez-vous l’après-midi : de 12h30 à 15h00 dulundi au jeudi.

MISSION LOCALE / BUREAU DE L’EMPLOICentre Marcel Cerdan.......04 91 65 82 20

Informations sur la recherche d’emploi, laformation, le logement ou les questionsde santé : accueil du public du lundi auvendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h.

PIJ (Point Information Jeunesse)Centre Marcel Cerdan

Tel :...........................................04 91 65 82 27

Fax :..........................................04 91 65 82 26

CAISSE D’ALLOCATIONS FAMILIALES (CAF)Le Centre social assure une permanencede la CAF tous les jeudis matin de 9h à11h30. Réception des usagers sansrendez-vous par un agent administratif etsur rendez-vous par une assistantesociale (le lundi, mardi et jeudi matin et lemercredi après-midi en contactant le04 91 05 54 97)Centre Social 93

avenue François Mitterrand

La Gavotte.........................04 91 51 08 60

ADIL L’Agence Départementale pourl’Information sur le Logement desBouches-du-Rhône assurera unepermanence tous les 1ers mardis dechaque mois de 9h30 à 12h30 et de13h30 à 17h00 Antenne de Vitrolles : bâtiment la

Ginestière (quartier des Plantiers)

ADIL des Bouches-du-Rhône

............................................04 96 11 12 00

DATES D'INSCRIPTION CENTRE DE LOISIRS

Pour les mercredis de janvier et février etles vacances de février : lundi 15, mardi16 et jeudi 18 décembre de 8h30 à 12het de 13h à 17h30, ainsi que le vendredi19 décembre de 8h30 à 12h. Lesinscriptions se font à l'Accueil de LoisirsJean Giono, uniquement aux joursindiqués ci-dessus. Aucune inscriptionn'est prise par téléphone.

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Le Pennois 3

Casser la grève, à quelprix ?Le jeudi 20 novembre dernier, une grèveimportante de l'Education Nationale aconduit à la fermeture de plusieursécoles sur la commune. En août dernier,le gouvernement a voté une loi imposantaux communes d'accueillir les enfantsdans les écoles en cas d'arrêt de travailde plus de 25 % des enseignants. Cetteloi, qui a pour objectif politicien de casserles grèves de l'Education Nationale, poseen réalité de nombreux problèmes auxcommunes. Le premier d'entre eux, c'estle délai pour mettre en oeuvre desmesures exceptionnelles. Alors quel'Education Nationale doit nous prévenirau moins 48 heures avant, nous n'avonsreçu l'avis de grève que le mardi matinprécédent en fin de matinée. Quand onsait qu'il n'y a pas classe le mercredi, onimagine à quel point il est faciled'organiser un système de garde et de lecommuniquer aux parents. Dans le casd'une grève de grande ampleur, il fautégalement trouver rapidement dupersonnel en nombre suffisant pourgarder les enfants en sécurité, pour nepas les laisser livrés à eux-mêmes. Lespersonnels qui sont dans les écolessavent faire cela, c'est leur métier. Quid'autre pouvons-nous employer ? Despersonnels des services techniques parexemple, des policiers municipaux, descantonniers ? Outre le fait qu'ilsn'assureraient pas leurs missions, ils nesont pas formés pour surveiller desenfants dans les écoles. Comment legouvernement peut-il avoir l'audace dedire que si un accident survenait lescommunes ne seraient pas tenues pourresponsables ? Il ne s'agit pas d'unproblème de responsabilités, il s'agit dela sécurité des enfants. On ne peut pasfaire de la politique politicienne sur le dosdes enfants. C'est irresponsable. Pournotre part, nous respecterons la loi, nousassurerons ce service quand il seraraisonnable pour la sécurité des enfantsde le faire. Pas dans n'importe quellecondition pour faire plaisir à un ministreparce qu'on est du même bord politique.

Michel AMIEL

Maire des Pennes-Mirabeau

Urbanisme

Le “gagnant-gagnant”de l'opération façades

Embellir encore la ville. L'opérationa été lancée en 2006 et se pour-

suivra jusqu'en 2012. Les propriétai-

res qui envisagent dans les mois àvenir d'améliorer les façades “visiblespar le public” de leurs maisons peu-vent être aidés dans certaines condi-tions. Aide non négligeable puisque

Edito

les subventions cumulées de la villeet de la Communauté du Pays d'Aixpeuvent atteindre 66% du montantdes travaux. A noter que le propriétai-re peut choisir de n'engager les tra-vaux que si le projet est validé, ceciafin de diminuer nettement lesrisques financiers. Pour étaler l'opéra-tion dans le temps, certains secteursde la commune ont été déclarés suc-cessivement prioritaires. Après lesecteur du centre ancien de la ville,c'est au tour du haut de La Gavottede devenir secteur prioritaire.Prioritaire ne voulant pas dire unique,il ne faut pas hésiter à se renseigner.Le marché avec la ville est gagnant-gagnant car les propriétaires peuventrénover à peu de frais l'extérieur deleur habitat, ce que la loi pourrait unjour imposer. Tandis que le paysageurbain de notre commune devientsans cesse plus attractif. Pour lesdétails précis de cette opération, ilfaut contacter le Pact Arim le deuxiè-me mercredi du mois, de 9h à 12h

dans les locaux du service de l'urba-nisme (04 91 09 52 00) et le quatriè-me mercredi du mois de 13h30 à16h30 à la mairie annexe des Pennes-Mirabeau (04 42 10 62 92).

Pact Arim : être aidé pour rénover sa façade, uneautre façon d'embellir notre environnement !

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4 Le Pennois

Découverte

Caroline : “rubis surl'ongle”

A 30 ans,C a r o l i n eBartolini adéjà troisfilles de 8,7et 2 ans. Etune passiondévorantepour l'es-thét ique.Nichée nonloin du parc

des Barnouins, sa toute petite entre-prise se nomme Rubis sur l'ongle.Nom explicite quand on s'occupedes ongles des pieds et des mains.“Je peux également installer dustrass sur les dents”, ajoute la jeunefemme, qui allie dynamisme et minu-tie. Son activité fait partie de CapeAdije, une couveuse d'entreprises deVitrolles. Mais Caroline se bat becs etongles pour que le succès soit telqu'elle puisse bientôt s'émanciper.Rubis sur l'ongle, tel : 06 72 01 16 93

Laura : accueilpour la forme

Jacky et Patricia Gouedard ont quit-té la Drôme il y a quelques moispour ouvrir sur la commune unesalle de sport et de remise enforme, près du complexe Aqua City.Laura, 20 ans, est chargée d'ac-cueillir le visiteur dans les locaux deKeep Cool. “Entre le sport, les sor-ties, mon BTS de management àpréparer, confie la jeune fille, j'avoueque je n'ai pas une minute à moi,mais j'adore l'ambiance convivialequ'on trouve ici”.

Keep Cool, route de Septèmes, LePetit Péage, ouverture 7 j / 7 de 6hà 23h, tel : 04 91 69 08 03

Deux sessions pour un circuit dedécouverte du Périgord noir. L'une,

du 25 au 30 mai et l'autre du 13 au 18octobre ont permis à près de 80 de nos“têtes blanches” de participer à un véri-table séjour gourmand dans le Sud-Ouest. Nos seniors garderont un souve-nir ému des visites de la magnifique citémédiévale de Sarlat, puis des sites deRocamadour, et du gouffre naturel dePadirac, sous la houlette d'Arlette

Cinéma

de Marcel à 8 ans. Aprèsla diffusion, Maxime seprésente ensuite à un cas-ting pour le film LesEnfants de Timpelbach,de Nicolas Bary. Il est rete-nu pour jouer le rôle deBobby le Scribe. “C'estl'histoire d'une ville déser-tée par les parents qui enont assez des bétises desenfants, raconte Maxime.Nous avons tourné en

Belgique et au Luxembourg du 15 septem-bre au 10 décembre 2007 en alternant tour-nage, école, repos hebdomadaire, c'était unemini colonie !”Le résultat ? On le verra dèsle 17 décembre au complexe Pathé de notrecommune. Outre Maxime, on verra dans cefilm Armelle, Carole Bouquet, GérardDepardieu. Josianne, la maman de Maximereste lucide : “il a des souvenirs inoubliables,mais ne perd pas de vue qu'il faut allier tra-vail scolaire et tournages.”

Chauvot. Tout comme de la promenadesur la Dordogne en gabarre (embarcationtraditionnelle). Il restera dans leur mémoi-re la balade au coeur de villages préhisto-riques, et le gavage des oies et canardsdans la conserverie. Et la bonne ambian-ce des repas gastronomiques où cassou-let rime à l'infini avec foie gras et magret.Des séjours comme celui-là, nos seniorsen redemandent !

Maxime Riquier un jeune Pennoiscomme les autres ? Assurément. Né

le 16 mai 1996, il termine son premier tri-mestre de 5ème au collège Lacordaire àMarseille. Plusieurs concours de circonstan-ces ont fait que ce jeune homme a étéremarqué il y a deux ans par Thierry Chabertqui tournait deux téléfilms de 90 minutesinspirés des oeuvres de Marcel Pagnol : leTemps des amours et le Temps des secrets.Maxime jouait le rôle de Paul Pagnol, frère

Maxime de “Timpelbach”

Foie gras et gabarreau programme senior

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Tradition de l'échange de voeux. Mais c'est aussi à une rencontre conviviale quele maire et son équipe invitent la population, à la salle Tino Rossi le 16 janvier dès

18h30. Encore de la politique ? C'est vrai au sens premier de vie de la cité. Occasionsurtout de réunir des Pennois géographiquement très morcelés et de les inviter às'exprimer. Comme le fera l'équipe municipale. La population mal-entendante n'estjamais oubliée : l'ensemble des discours sera traduit en langue des signes.

Voeux à la population

Le Pennois 5

24 janvier au Jas Rod

Lui était dans la mécanique et elle aide-can-tinière au collège Jacques Monod. Ex prési-dent fondateur de l'Amicale Bouliste de LaVoilerie, Louis a gardé cette passion pour lejeu de boules qu'il pratique régulièrement.Mariés depuis le 24 mai 1958, Colette etLouis, installés depuis 35 ans à La Voilerie,ont dignement fêté leurs noces d'or.

L'échange nécessaire

Les magiciens jouent cartes sur table

Colette et Louis d'or

Décoration

Distinction nationalepour Marie-Jo Klein

Le 13 novembre dernier, Marie-JoKlein, présidente de l'association

Nouveau Regard sur le Handicap a étédécorée en mairie de la médaille de l'or-dre national du mérite. Son action a ainsiété distinguée par le ministère du travailet des affaires sociales. Michel Amielrappelait “le formidable travail de terrainque réalise l'équipe de NRH, titillée sanscesse par la pugnacité de Marie-Jo saprésidente.” C'est Robert Malatesta,

Le Marseillais Christophe Trouilleux, 40 ans,installé à La Gavotte depuis 10 ans, adoredécorer murs et plafonds : tapisseries, pein-tures essuyées ou anciennes, n'ont aucunsecret pour lui. Son épouse Corinne est can-tinière à l'école de La Renardière. Le travailfini, Christophe adore le foot et la pêche. Etconsacre ses journées à la décoration. Pourles entreprises et les particuliers.

C.T. Peinture, tel : 06 76 99 22 69

Christophe, ledéco-passionné

Avez-vous déjà été convive d'un repas où un manipulateur vient à votre table vous émerveilleravec cartes, briquets, pièces ou foulards ? C'est la formule dite du “Magicorama”, que les

Magiciens Pennois ont souhaité faire vivre aux Pennes Mirabeau où cela n'avait jamais été fait.Associée pour l'occasion avec le club des Magiciens de Provence, ce qui est également unepremière, l'école de magie 13 vous convie à ce grand repas-spectacle le 24 janvier dès 20h auJas Rod. Attention ! il n y aura que 140 convives, répartis autour de 20 tables, servies par defaux serveurs et authentiques magiciens. Pour les réservations obligatoires, au tarif unique de20 €, contactez le Syndicat d'Initiative au 04 42 02 55 14. Renseignements au 06 77 75 50 39.

ancien directeurgénéral adjointde la solidaritéau Conseil géné-ral des Bouches-du-Rhône, qui aprocédé à laremise de cettedistinction quir é c o m p e n s eégalement sonaction nationaleau service del'intégration pro-

fessionnelle des non-voyants.L'ensemble des prises de parole étaittraduit en langue des signes. En conclu-sion, Marie-Jo Klein associait toute sonéquipe et indiquait que “les besoinsactuels au niveau des transports de per-sonnes handicapées sur la communesont toujours aussi importants. Il fautcontinuer à agir, jour après jour.”Nouveau Regard sur le Handicap :04 42 02 98 94.

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6 Le Pennois

Ils sont peut-être 500 000 enFrance, regroupés en peti-tes communautés noma-

des. La loi Besson de 1990impose aux communes deplus de 5000 habitants de pré-voir l'accueil des gens du voya-ge. La loi de sécurité intérieu-re de 2003 crée par ailleurs ledélit d'installation illicite sur unterrain public ou privé, et lapossibilité d'expulsion quijusque là ressortait d'une déci-sion de tribunal. La gestion desaires d'accueil pour les gensdu voyage est l'une des com-pétences facultatives choisiespar la Communauté du Paysd'Aix. La ville n'a jamais vouluéluder le problème et traite ledossier en profondeur.L'option actuellement retenueest un terrain situé non loin dela zone de Plan de Campagne.Michel Boyer, maire deSimiane, est l'élu communau-taire chargé de ce dossier etAngelo Bassi, est le directeurde l'accueil des gens du voya-

ge. Tous deux en accord avecMichel Amiel souhaitent finali-ser dans les meilleurs délais lamise en oeuvre de ce terraind'accueil. En attendant, les cir-constances obligent bien sou-vent à agir immédiatement.

Le parking du Jas’RodoccupéRappel des faits. Le premieroctobre, un rapport de la poli-ce municipale signale l'arrivéedes gens du voyage et leurinstallation illicite sur le parkingdu Jas Rod. Ce terrain n'estpas équipé pour l'accueil descaravanes et ce n'est pas dutout sa destination initiale. Lemême jour, Me Olivier Burtez,avocat de la mairie est saisipour engagement d'une pro-cédure. Le 3 octobre, unerequête est déposée auprèsdu tribunal de grande instanced'Aix en Provence, lequelordonne le 9 octobre l'expul-sion dans un délai de 24 heu-res suivant la signification de la

décision par l'huissier. Le jugeétait fondé à demander cetteexpulsion, la ville ayant réser-vé un terrain et donc satisfaità ses obligations d'accueil.L'ordonnance de référé n'apas été suivie d'effet. Le 23octobre dernier, MaîtreSouhami, huissier, signifie à lacommunauté le commande-ment de quitter les lieuximmédiatement et sans délai.Nouveau refus d'obtempérer.Le maire demande alors leconcours de la force publique,par une demande de réquisi-tion auprès de la Sous-

Des solutions en marche

Gens du voyage

L’aire de stationnement de Miramas

Préfecture. Il n'est pas tou-jours nécessaire de recourir àla force, car bien souvent, lesnomades quittent d'euxmêmes le terrain. C'est ce quis'est passé aux PennesMirabeau le 17 novembre der-nier et la communauté évan-gélique est partie vers d'autrescieux . Ces exemples de brasde fer entre nomades etsédentaires sont légions. AuxPennes, on a opté pour le strictrespect de la loi, pour une atti-tude ferme et une actionimmédiate. Pour la sécurité etle bien-être de tous.

Ils peuvent être européens, tziganes, yéniches, manouches ou roms. S'ils se reconnaissent dans les termes de“peuple en marche” ou de “gens du voyage”, c'est parce qu'ils ont choisi la non sédentarité comme leurs ancêtres.On est loin du 17ème siècle où ils ont été contraints de choisir les services saisonniers et le commerce ambulant.Cependant leur arrivée sur une commune ne passe toujours pas inaperçue et ne va pas en général sansgrincements de dents. Exemple récent aux Pennes-Mirabeau.

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Le Pennois 7

Il est né en décembre 2007, le Pointd'Information Jeunesse du centre Marcel

Cerdan. Mais il n'a réellement pris son envolqu'au mois d'avril 2008, avec les journées“jobs d'été”. Dès l'ouverture, le succès étaitau rendez-vous. Daniel Rospedowski,responsable du PIJ, explique : “J'ai reçuplus de 60 jeunes en deux jours, et j'avais110 offres d'emploi saisonnier à pourvoir”.Comme dans les 1600 PIJ en France, tousles sujets qui intéressent les jeunes peuventêtre abordés. A tout moment. “Ce quirevient le plus souvent, précise Daniel, cesont les demandes de renseignements surle BAFA, l'aide à la lettre de motivation ouà la réalisation du CV, la santé, mais égale-ment tout ce qui touche aux études à l'é-

tranger ou aux séjours euro-péens. Je reçois chaque jeuneprès de 45 minutes, car parfoisil faut prendre son temps etdécrypter la demande réelle audelà de celle qui est formulée. Sila demande n'entre pas dansles attributions du PIJ, je peuxrediriger la personne sur lebureau de l'emploi ou sur la mis-sion locale qui sont dans lesmêmes locaux.” Pour l'orienta-tion après la classe de 3ème le PIJ disposed'un logiciel en accès libre qui permet à cha-cun d'accèder à une base de données deplus de 1000 métiers. Depuis le mois d'a-vril dernier, ils sont déjà plus de 140 garçons

La municipalité se bat pouréviter des survolssupplémentaires de lacommune ainsi que denouveaux tracés aériensgénérateurs de nuisancessonores. Explications.

et filles à avoir franchi les portes du PIJ.PIJ, 3 chemin des Fraises, Centre MarcelCerdan (04 91 65 82 20), e-mail :[email protected] ouverture du lundi auvendredi 8h30-12h et 14h-17h30.

Point d'Information Jeunesse

140 jeunes ont déjà tout pigé !

Mory

C'est en Normandie il y a deux siècles queNicolas Toussaint Mory fonda la société Mory

qui allait devenir dans le monde entier un importantpartenaire européen dans les domaines de la logis-tique et du transport. Et notamment aux Pennes-Mirabeau depuis une quinzaine d'années dans lequartier des Jonquiers. Christian Féraud a la respon-sabilité du siège pennois. “A l'occasion du bicente-naire de la société, explique Patricia Despiau, assis-tante de direction, nous avons organisé le 18 octob-re une manifestation dans nos locaux pour recevoirdans une ambiance festive les 60 employés et leursfamilles, mais également clients et fournisseurs.”

Les autorités aéroportuaires, cons-cientes du problème environne-

mental, ont participé avec toutes lesparties concernées aux travaux d'ungroupe de travail sur le sujet de lamaneuvre d'atterrissage à l'aéroport

Marseille Provence. D'où un ensem-ble de propositions concrètes qui viseà faire diminuer le trafic au dessus dela ville de Vitrolles sans gêner davan-tage les autres communes. Ce plansatisfait l'ensemble des parties pre-nantes et obtient tout notre soutien.Cependant, une association vitrollai-se, l'ADEV, s'est mobilisée et a faitd'autres propositions de nouveauxtracés aériens qui aboutiraient à uneaugmentation du trafic sur les com-munes de Gignac, St Victoret, LeRove, Cabriès et Les PennesMirabeau. Une réunion de défense de notreenvironnement a eu lieu le vendredi21 novembre à 18h30 à Gignac laNerthe. Elle a réuni de nombreuxPennois autour de Michel Amiel etdes maires des villes concernées.Demande expresse a été faite auxautorités compétentes d'entériner leplan initialement prévu qui ne pénali-sait aucune des communes prochesde l'aéroport.

Mobilisationpennoise

200 ans detransport etlogistique!

Survol aérien

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“ce qui tombe bien car lesassistantes maternelles ontcette volonté de se profes-sionnaliser”, ajoute AnnieLlopis, puéricultrice auService des modes d’accueilde la petite enfance du CGdes Bouches-du-Rhône.Ainsi, après avoir retiré undossier d’agrément, les candi-dat(e)s peuvent assister à unepremière journée d’informa-

8 Le Pennois

L ’histoire de NancyChallier, habitante desPennes-Mirabeau, res-

semble à celle de beaucoupde parents : une activité pro-fessionnelle prenante, unenfant pas encore en âge d’al-ler à l’école et pas de place encrèche… “Je me suis alorstournée vers les assistantesmaternelles et je vous avoueque j’ai connu un grandmoment de solitude face à laliste de noms. Qui appeler ?Comment choisir ?”, se sou-vient-elle, cinq ans après cettepremière expérience.Mais, aujourd’hui, elle en sou-rit car depuis ce “parcoursinitiatique”, elle a comprisque les assistantes maternel-les sont plus qu’un recours,plutôt une vraie solution pourla garde d’enfants. La preuve :pour son deuxième bébé, ellea directement opté pour une“nounou” !

Une professionnali-sation accruePour autant, il serait stupided’en conclure qu’un mode degarde est plus performantque l’autre. Ils sont tout sim-

plement différents. En toutcas, depuis un peu plus detrente ans, l’activité d’assis-tante maternelle se profes-sionnalise régulièrement. Eneffet, si l’envie d’accueillir desenfants demeure la premièredes motivations, elle n’estpas suffisante pour avoir ledroit d’exercer cette activité,devenue un vrai métier. Il fautobtenir un agrément délivrépar le Conseil général. Le par-cours est d’ailleurs très balisé,

tion. Puis, après le dépôt deleur dossier, le Conseil géné-ral dispose de trois mois pourrendre son verdict, à savoir ladélivrance ou pas du fameuxagrément. Durant ce trimest-re d’instruction vont alors sesuccéder un premier entre-tien entre le candidat et lapuéricultrice. Cette dernièreprofite de cette rencontrepour connaître les motiva-

Pour faire garder leurs enfants pendant leurs

journées de travail, les parents ont deux

solutions : les crèches ou les assistantes

maternelles. Ces dernières appelées aussi

“nounous” sont au nombre de 47, aux

Pennes-Mirabeau. Gros plan sur une

profession originale et bien encadrée, en

particulier dans notre commune.

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Le Pennois 9

tion de l’agrément ne signifiepas autorisation immédiatede garde des enfants. Eneffet, la future assistantematernelle doit suivre 60 pre-mières heures de formationobligatoires (60 autres serontdispensées dans les deuxans qui suivent). Cette forma-tion aborde des questions denutrition, de communicationavec les parents, de gestesde puériculture, mais aussi decadre juridique. “On y passe,aussi, le brevet de secouris-te”, ajoute Evelyne Attard,assistante maternelle auxPennes (cf. encadré ci-cont-re). Bref, autant d’étapesincontournables et surtoutrassurantes pour les nou-nous… et les parents.

Un soutien perma-nentMais, pour encore mieuxaccompagner ces deuxpublics, certaines communesaident à la création et au déve-loppement d’un “Relais assis-tantes maternelles”. LesPennes-Mirabeau font partiede celles-ci partageant lerelais “Planète bébé” avecVitrolles et Rognac*. Et c’estune chance car depuis ledébut des années 2000, descentaines de nounous et de

tions, mais également fournirles modalités d’instruction dudossier, aborder les ques-tions administratives et desécurité très précises (tra-vaux à effectuer, interdictionde posséder un chien decatégorie 1, questions médi-cales…). Le candidat a troismois pour réaliser les aména-gements nécessaires à sondomicile et y recevoir encoreà deux reprises la puéricultri-ce qui juge de l’évolution destravaux et en profite pourapporter des informations surl’accueil et la prise en chargedes enfants. “A la suite dutroisième entretien, j’informele ou la candidate de mon avisqui sera ensuite transmis auchef de service qui délivreraou pas l’agrément”, préciseAnnie Llopis. Mais, l’obten-

parents ont pu trouver au seinde cette structure, gérée par“Léo Lagrange Animation”,un véritable soutien. “Pour lesparents, il n’est pas toujourssimple de choisir le mode degarde le plus adapté. Nous neprivilégions pas l’un par rap-port à l’autre. Nous expli-quons en fonction de leursdesiderata, des contraintesprofessionnelles. Puis, si lesparents choisissent l’optionassistante maternelle, nouspouvons leur fournir une listeactualisée des nounousagréées”, explique MaryseTeboul, responsable du relais.Mais, les infos ne s’arrêtentpas là car faire le choix d’uneassistante maternelle signifie,

Evelyne AttardUne nouvelle vie

Evelyne Attard est fébrile. Eneffet, cette habitante desCadeneaux est dans l’attente.Des appels téléphoniques deparents et, surtout, du premierenfant à garder. Car EvelyneAttard est autorisée à accueillirdes enfants uniquementdepuis le 3 octobre dernier, àla fin de la première partie desa formation. Une “délivran-

ce” après plusieurs mois d’un long parcours. “Du premierentretien jusqu’à la formation obligatoire au Lycée Nord deMarseille, j'ai franchi toutes les étapes”, précise cette mamande deux grands enfants (15 et 19 ans). La nouvelle vied’Evelyne Attard commence. Elle est convaincue qu’elle sera“très belle”.

Denis MarzouvanlianEt si c’était un homme…

“Quand on enseigne lamusique, qu’on est pèred’une petite fille de 9 ans,qu’on aime les enfants etqu’on a envie d’avoir unmétier plus stable… çaaide !”. Sans oublier undernier atout pour DenisMarzouvanlian : sonépouse, Christel, assis-tante maternelle depuis2005. Des prédisposi-tions donc, mais peut-être un handicap, celuid’être un homme… “uneoriginalité”, corrige-t-il

immédiatement. “Il est certain que lors de la formation, maprésence n’était pas banale. Mon choix étonne certaines per-sonnes, mais à chaque fois j’explique que devenir assistantmaternel était, pour moi, une évidence”. L’est-elle aussi pourles parents ? Denis Marzouvanlian est honnête et consta-te que son épouse reçoit plus d’appels que lui. Mais, il estvite passé au-dessus des préjugés pour se plonger dans lapratique d’autant que depuis, avril 2008, il est autorisé àaccueillir deux enfants - “j’ai même demandé l’agrément pourun troisième” - et qu’Enzo, âgé de deux ans et demi, est lepremier d’entre eux… en attendant deux autres à mi-tempsdès ce mois de décembre. Un petit Enzo très heureux avec“son” nounou et ses petits copains, dont l’assistante mater-nelle est Christel Marzouvanlian. Un travail d’équipe finale-ment pour un mari et sa femme qui reconnaissent finir leursjournées très fatigués, mais heureux de leurs choix.

Maryse Teboul

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aussi, devenir employeuravec son lot de démarchesadministratives, mais aussid’aides à connaître (avantagesCAF, déductions fiscales).Côté assistantes maternel-les, le relais est là pour leurdonner des informations surles droits et la réglementationde leur profession (sécuritésociale, congés payés…).

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“Nous leur apportons égale-ment écoute et conseils. Ellespeuvent avoir des difficultésavec un enfant, des parents.Nous pouvons être un média-teur”, note Maryse Teboul.Mais au-delà de ces besoinsponctuels, le relais organisedes réunions d’échange afinque les nounous confrontentleurs expériences acquises

sur le terrain en présence deprofessionnels de la petiteenfance. Une sorte de forma-tion continue. Ainsi, un vend-redi matin sur deux, aux

Pennes-Mirabeau, les assis-tantes maternelles qui le dési-rent se retrouvent pouréchanger tandis que lesenfants dont elles ont la gardesuivent des activités animéespar une éducatrice spéciali-sée. “C’est un moment privi-légié très apprécié, car il per-met de rompre l’isolement del’assistante maternelle et d’ai-der un peu plus à la construc-tion de leur identité profes-

sionnelle”, ajoute MaryseTeboul. Alors, assistantesmaternelles mais égalementfuturs ou jeunes parents,n’attendez plus, rendez-vous

au relais, vos nombreusesquestions y trouveront desréponses !

* Une permanence estassurée à la halte-garderieLa Petite Farandole à laGavotte un lundi matin surdeux (tel : 04 91 51 74 82).Les autres jours, l’accueil alieu à la Maison de quartierLa Frescoule à Vitrolles (tel :04 42 77 56 94).

“Les assistantes maternelles seretrouvent pour échanger, et ainsimieux construire ensemble leurpropre identité professionnelle”

Jéromine GhigonettoPrendre des enfants parla mainQuand on pénètre dans la maison de Jéromine Ghigonetto,tout paraît normal… Mais, il ne faut jamais se fier aux appa-rences car en approchant de sa très grande véranda, tout chan-ge : des jouets un peu partout, puis c’est l’accès à un vérita-ble jardin d’enfants avec ses jeux de plein air. Il faut dire quel’on est ici chez la plus ancienne - mais pas la moins passion-née - des assistantes maternelles des Pennes-Mirabeau. “Jesuis agréée depuis 1985, mais je dis souvent que c’est le

métier d’assistante maternelle qui m’a choisie”, sourit-elle. Eneffet, au début des années 80, Jéromine Ghigonetto faisaitbeaucoup de bénévolat, notamment pour des enfants. Uneassistante sociale le remarque et lui conseille de devenir assis-tante maternelle. Et voilà depuis 23 ans, de 8h à 20h30,Jéromine Ghigonetto se voue corps et âme à son métier-pas-sion. Cette année, elle garde son soixante-troisième enfant !“Je n’ai pas changé, mon expérience ne me donne aucun droit.Je reste professionnelle, je ne tutoie jamais les parents et sur-tout je ne me mets jamais à leur place !”. Un professionnalis-me qui n’empêche pas la proximité. Elle est même marrainede l'un d'entre eux qui a aujourd'hui 17 ans. Son mari, Jean-Paul est témoin de la passion de sa femme pour son métier :“C’est un métier fatigant, confient-ils en choeur. Mais lorsqu’onn’a pas les petits, nous sommes malheureux, on s’ennuie…Ils sont notre joie de vivre !”.

Sur le site de la ville (www.pennes-mirabeau.org), larubrique Entre Pennois, mise en service il y a 6 mois, créedu lien social en mettant en relation les habitants de la com-mune autour de quelques thèmes de la vie quotidienne. Lagarde d'enfants en est un, et cette catégorie est à la dispo-sition des parents qui recherchent des assistantes mater-nelles pour leur progéniture. Et de celles-ci lorsqu'elles veu-lent proposer leurs services.

Les ASMAT sur le serviceEntre Pennois

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Conseil général ////////////// Basketball

De nombreuses associationssportives ou culturelles ont

signé une convention avec leconseil général pour faciliter l'ac-cès de leur activité à nos collé-giens. Le chéquier L'Attitude 13comporte 14 chèques d'unevaleur totale de 100 €. La nou-veauté 2008-2009, c'est qu'il estpossible d'utiliser un chèque de25 € pour payer la licence spor-

tive et un chèque de 25 € pour faire un stage sportif. Lebon de commande du chèquier est à récupérer sur le sitewww.lattitude13.fr

“A 12 ans, précise Matthias Manca, j'étais attiré par le handball et jesuis resté deux ans à l'école sportive des Pennes-Mirabeau de hand-

ball avant de goûter aux joies du basket par hasard”. A 15 ans, pris aujeu, il s'occupe de la section des petits de l'ESPM basket, et il y reste-ra 5 saisons, comme animateur puis initiateur. En janvier 2008, il obtientun diplôme d'arbitrage et le titre d'arbitre régional. A 20 ans, Matthiasvient de partir à Lyon en contrat d'apprentissage minibasket. Il partagedonc son temps entre un club de basket où il est entraîneur et la prépa-ration en deux ans d'un Diplôme Universitaire de gestion d'organisationsportive. Le Pennois a déjà deux grands projets : créer une école d'ar-bitrage au sein de son club lyonnais et développer à Lyon le basket fémi-nin de haut niveau. “Et puis continuer à jouer en senior dans mon club”,conclut Matthias, “car je suis vraiment passionné”.

L'Attitude 13,sésame collégien

Matthias, lehaut du panier

Salle Tino Rossi Salle Jean Roure Salle d’escrime

sam. 3 Le Chat botté18h00

dim. 4 FNACA15h00

ven. 9 JSPM21h00

sam. 10 Pennes-Mirabeau Cadeneaux Rugby20h00

COS18h30

dim. 11 Association culturelle arménienne15h00

ven. 16 Ecole Primaire de la Voilerie19h00 (sous réserve)

APE des Bouroumettes18h30

sam. 17 Cancer espoir18h00

dim. 18 ESPM Basket16h00

ven.23 APEL Saint-Elizabeth19h00

sam. 24 JSPM21h00

dim. 25 Le Souffle c’est la vie15h00

La Foulée pennoise15h00

sam. 31 Pennes Amitié15h00

dim. 28 FNACA15h00

Février 2009 | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | || | | | | | | | | | | | | | | | | |

Janvier 2009 | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | | || | | | | | | | | | | | | | | | | |

Lotos //

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OUI ! l’insécurité existe bien aux Pennes Mirabeau ! A notre pro-position de généralisation sur toute notre commune de la vidéo-surveillance, la mairie répond d’une façon irresponsable et cavaliè-re en marquant nettement son incompétence dans l’analyse etl’anticipation des besoins. De plus, le soutien des élus d’oppositionà notre action nous conforte dans notre démarche. A bavardage iln’y pas de résultat et pas de décision, c est une tactique habituel-le. La distribution du “Pennois” est effectuée par une société pri-vée, qui distribue en même temps des prospectus pour la grandedistribution, notamment, des publicités que nous jetons la plupartdu temps… Sachant que la dite société découpe les territoirescommunaux en un certain nombres de zones de distribution, donten particuliers des secteurs de faible densité urbaine, baptisées“HORS ZONE”, qui très souvent ne font pas parties des secteurstraités, tout simplement faute de distributeurs… il en résulte qu’unbon nombre de Pennois (certainement plusieurs milliers defoyers…) n’ont pas accès à l’information municipale officielle !Voilà, la valeur qui est donnée à notre mensuel municipal, et voilàun exemple concret de désinvolture à l’égard de nos concitoyens,de la part de nos responsables municipaux… Et, cerise sur legâteau, le journal annuel du forum des associations financé par lamunicipalité, a été également distribué avec la même rigueur quenotre “Pennois”. Pour en savoir plus consultez notre site internet.Nous souhaitons à tous les Pennois(es) de joyeuses fêtes de find’année.Pour nous contacter : tel : 06.14.61.20.35Mail : [email protected] Site: www.umpennois.com

Geneviève Cheiffaud-Battini – Robert Roméra

Fin d’année morose ! Les situations internationale et nationale lais-sent augurer de fêtes de Noël tout en retenue, les questions quechacun se pose au sujet de ses revenus futurs l’obligeant à beau-coup de prudence. Ces situations individuelles ont en parallèle l’in-quiétude des collectivités territoriales quant à leurs enveloppesbudgétaires pour l’année 2009 avec comme répercussion immé-diate le choix à faire parmi les projets d’investissement à venir.Notre commune n’échappera pas à cette situation, et ses élus ,tous ses élus, devront faire preuve de solidarité afin que soient éta-blies des priorités dans la poursuite ou le démarrage des chantierscommunaux. Les rentrées fiscales ( taxes professionnelles en pre-mier lieu) et les dotations ne seront pas à la hauteur des prévisionset vont obliger les conseillers, aidés dans leur réflexion par les ser-vices municipaux, à faire des choix dictés par l’intérêt général.Gageons qu’ils sauront le faire sans arrière-pensée ni démagogie,attachés qu’ils sont à leur territoire et au bien-être de sa population.Malgré ce voile gris qui semble s’installer sur notre horizon proche,le groupe Pennes Avenir souhaite à tous les Pennois de passer lesmeilleures fêtes de fin d’année qu’il soit possible d’envisager.

Serge Baroni et Marc Galland

Certains d’entre vous ont peut-être entendu dire que suite à lacrise financière de nombreuses collectivités, particulièrementdes mairies, sont en grave difficulté financière. Ces problèmesimportants, qui sont effectivement survenus, sont dûs à unendettement consécutif à des emprunts que la presse a qualifiésde “toxiques”. En fait, certaines banques, la quasi-totalité d’ent-re elles, proposent depuis des années aux communes ce qu’el-les appellent des prêts structurés. Terme peu clair qui désignedes montages financiers complexes qui aboutissent à voir destaux d’intérêt plus faibles mais indexés sur l’évolution de certainsindices : prix du pétrole, taux de change, etc. et parfois mêmefarfelus. Notre municipalité n’a jamais souhaité souscrire ce typed’emprunt. Pourtant, on nous l’a proposé souvent et à des tauxd’intérêt a priori très avantageux. Mais voilà. Si nous ne savionspas qu’un jour cette crise aurait lieu, nous savions en revancheque malgré ce que les banques nous assuraient, il y avait unrisque. Cet argent que nous remboursons quand nous investis-sons dans un projet est celui des Pennois. Nous ne prenons pasde risques avec cela, ni avant, ni maintenant, ni dans le futur.Aujourd’hui, nous en sommes récompensés.

Suite à un problème de communication informatique, cet articlen’a pu paraître dans le Pennois du mois de novembre.

Encore un grave accident dans le quartier des Barnouins, le 23septembre, entre le chemin du Pont de Vallot et le pavillon cyné-gétique.En cause, des virages successifs dangereux sans signalisation.Nous proposons les mesures suivantes :1) Installation de panneaux rappelant la limitation de vitesse et (ou)de panneaux indiquant les virages dangereux. Ces panneaux pour-raient être lumineux et clignotants.2) Si possible, ralentisseurs sur la ligne médiane blanche ou sur lachaussée.3) Compte tenu des nombreux excès de vitesse, constatés par lesriverains, mise en œuvre de contrôles plus fréquents.Pour le bien être des utilisateurs de la RD60A et des riverains,nous espérons un aménagement rapide sécurisant la circulationdans ce secteur.

Gilbert Poussel

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Les Pennes-Mirabeau unis pour l’avenir Ensemble pour les Pennes-Mirabeau

GROUPE UMP Groupe Pennes-avenir

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La tournée de chants de Noëlorganisée par le Conseil géné-

ral passera le jeudi 11 décembrepar la ville voisine de Cabriès. Lethème retenu est “Noël en fête”.Entrée gratuite salle de LaBergerie (La Trébillane) dès20h30.Renseignements : 04 42 94 90 50.

Tournée

Programmation variée etéclectique pour la grande

salle des Cadeneaux ce mois-ci. Jugeons-en avec le 13décembre à 20h30 un cabaretspectacle de La Porte desEtoiles, suivi le 19 à 20h30 parle concert du collectif duJas’Rod avec les groupesTokamak, Président KingKong, Dissonante Nation. Le20 décembre à 20h30, c'esttoute l'équipe de StudioMélodie qui évoquera les

Jas’Rod

Syndicat d’Initiative

Renseignements 35 bis, avenue Victor HugoTel : 04 42 02 55 14Fax : 04 42 02 94 [email protected]

Les bonnes vibrations

Marche de Noël

Ne serait-il pas bon que plusieurs fois dans l'année, nous fassions émer-ger nos traditions provençales ? Après tout, elles valent bien celles

des Bretons, des Basques ou des Corses, qui y sont si attachés. Une nou-velle occasion de renouer avec la tradition se profile le 24 décembre.L'ensemble “Lou Gai farandoulaïre” sera là pour faire apprécier la 5ème mar-che de Noël, au rythme des danses et des galoubets. Pourquoi ne pas revê-tir ce jour là un costume d'antan, retrouver d'autres Pennois dès 16h30près du moulin et entamer la descente vers l'église Saint-Blaise où lamesse de Noël est programmée dès 18h.

grandes pages de la chansonfrançaise. Enfin le 21, dès14h, B-Boy Contest fera vib-rer la scène du Jas Rod avecun grand battle hip-hop. Parailleurs, Patrice Manfredi,responsable des lieux, invitetous les groupes locaux de larégion à le contacter sansdélai. En vue de préparerpour les 20 et 21 février pro-chains le plus grand et le plusdéjanté Loco Festival jamaisprogrammé.

Chants de Noël

Fiers d'être provençaux

LA FOIRE AUX SANTONS

Les 15 et 16 novembre,un public enthousiastea franchi les portes dela salle Tino Rossi pourdécouvrir les petitesmerveilles d'argile etles nombreux accessoi-res : du moulin dont lesailes tournent, à la fon-taine qui coule sans

cesse, jusqu'au détail des draps dans la petite armoi-re, tout n'était que régal pour les yeux des grands etdes petits. Les enfants ont adoré les ateliers de pein-ture et création qui leur étaient destinés, et plus enco-re la gentillesse du Père Noël venu deux jours desuite leur faire une petite visite.

VIDE-GRENIER 2009 / période mai-juin, date à fixer

Sondage exclusivement réservé aux habitants de lacommune Oui, je serais intéressé(e) par un stand lors du vide-grenier 2009

Nom ......................................................................................

Prénom .................................................................................

Adresse .................................................................................................................................13170 Les Pennes-Mirabeau

Tel ................................... e-mail .....................................

Date et signature ................................................................

A faire parvenir avant le 31 décembre 2008 par courrierpostal (35 bis, avenue Victor Hugo), par e-mail([email protected]), par fax (04 42 02 94 66)au Syndicat d'Initiative (renseignements 04 42 02 55 14) ouen le déposant sur place.

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Le Pennois 15

Chemin de La Capelane - 13170 Les Pennes-Mirabeau - Tel : 04 42 46 62 70 / Fax : 04 42 46 62 71E-mail : [email protected]

Centre de Développement Culturel

UN APRÈS-MIDI D’AVRILCie Tableau de Service

Un tour de chant “tango” pour sillonner l’histoire du mouvement des Mères de laPlaza de Mayo qui sont, un après-midi d’avril, allées demander des comptes sur leurs

enfants disparus…Deux comédiennes, une accordéoniste,trois paroles, des récits… gravesdéraisonnables, poétiques, parsemés derires, de larmes, d’ironie… et des tangosqui sont l’écho, le contrepoint, l’harmoniquede ces récits qui émergent comme deslambeaux de mémoire.

MARDI 16 DECEMBRE A 19H30

A La Capelane aux Pennes-mirabeauCabaret/Théâtre - Tout public - Entrée libre surréservation (04 42 46 62 70)SPECTACLE ACCUEILLI DANS LE CADRE D’UNE TOURNÉEDE LA COMMUNAUTE DU PAYS D’AIX

Salon du livre

Du 12 au 14 décembre, les Amis desArts nous proposent la 16ème édition

du salon du livre, qui est également la troi-sième consécutive consacrée à la jeunes-se. Michèle Nicolaï, présidente de l'asso-ciation Les Amis des Arts, met cette annéel'accent sur la thématique de l'eau, parceque ce sujet nécessite une urgente prisede conscience pour la préservation desgénérations futures.Tout commence par un concert sur lethème de l'eau au théâtre Henri Martinet,le 12 à 20h45 avec notamment Evelina Pittiau piano (5 euros l'entrée, réservation au04 42 02 95 13). Samedi 13, à 17h, à LaCapelane, remise des prix du grandconcours salon du livre jeunesse, qui pro-pose aux jeunes d'exercer leur créativité etleur imagination au travers de genres aussi

Le livre au fil de l'eaudifférents que l'illustration, la poésie etla nouvelle. Une soirée contes débute-ra ensuite à 19h, dans le même lieu etpour tout public dès 6 ans. Un destemps forts se situera le dimanche àl'Espace Tino Rossi de 10h à 19h. Lesauteurs jeunesse seront présents avecleurs éditeurs. Moments de rencontreset d'échanges, bien au delà de la sim-ple dédicace. Des ateliers, animations etspectacles ponctueront toute la journéedu dimanche. Les animatrices desbibliothèques, qui ont effectué enamont toute une série d'actions dans lesécoles, les collèges, et les accueils deloisirs espèrent un public nombreux etde tout âge pour les trois jours de cetévénement.Renseignements : 04 42 02 95 13.

Noël

Bambins en fête

Des animations sont prévues ce mois-ci dans toutes les structures multi-accueil : le mardi16 à partir de 16h30, la crèche de La Gavotte sera la première à faire la fête. Le lende-

main mercredi 17, ce sera au tour de la crèche de La Renardière dès 16h30. Vendredi 19,les animations ont lieu à La Petite Farandole le matin et l'après-midi et à la crèche desBouroumettes après 16h30.

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