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VOLUME 6 ÉDITION 1 - Janvier 2008 Volume 6 Édition 3 | Mars 2008 1652, boul. Ste-Adèle, Ste-Adèle Qc 450 .229.5444 1 . 866 .602.8349 DOLBEAU À DUBAÏ Michel Lauzière Bach for the future MORIN-HEIGTHS Michel Plante Maire de Morin-Heigths LES BÂTISSEURS Guy Chevrefils Metro Chevrefils TENDANCE MUSIQUE Étienne Grégoire Directeur musical et animateur Yael naim - Pastel CINÉMA Tom Fermanian Pine-Opera REPENTIGNY Linda Mallette Chambre de Commerce de Renpentigny EN VEDETTE Le magazine des Laurentides 1652, boul. Ste-Adèle, Ste-Adèle Qc 450 .229.5444 1 . 866 .602.8349

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VOLUME 6 ÉDITION 1 - Janvier 2008 Volume 6 Édition 3 | Mars 2008

1652, boul. Ste-Adèle, Ste-Adèle Qc 450.229.5444 1. 866.602.8349

• DOLBEAU À DUBAÏ •Michel LauzièreBach for the future

• MORIN-HEIGTHS •Michel PlanteMaire de Morin-Heigths

• LES BÂTISSEURS •Guy ChevrefilsMetro Chevrefils

• TENDANCE MUSIQUE •Étienne GrégoireDirecteur musicalet animateurYael naim - Pastel

• CINÉMA •Tom FermanianPine-Opera

• REPENTIGNY •Linda MalletteChambre de Commercede Renpentigny

• EN VEDETTE •

L e m a g a z i n e d e s L a u r e n t i d e s

1652, boul. Ste-Adèle, Ste-Adèle Qc 450.229.5444 1. 866.602.8349

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Volume 6 Édition 3 | Mars 2008 w w w . f l e c h e m a g . c o m2

SOMMAIRE Mars2008 Volume 6 Édition 3

6

8

12

14

23

25

Projets domiciliaires2 Domaine St-Loup

3 Les Boisés Champêtres Val-Morin Val-David

7 Le Scandinave de Saint-Sauveur

11 Groupe Cholette

12 Domaine Vert Nature

13 Les Hauteurs Ste-Adèle

14 Domaine Estérel

15 Boisé Mont-Rolland

15 Domaine Deauville sur le lac Rond

16 Domaine du Refuge

17 Les Grands Boisés de la Rivière

18 La Vallée des Pins

21 Le Clos St-François

21 Vallée Gillespie Ste-Agathe-des-Monts

23 Les Constructions S. Primeau

26 Les Habitations de l’Orée

26 Val-David Domaine des Merveilles

28 Les Résidences du P’tit Train du Nord

29 Les Berges de la rivière l’Achigan

32 Eagles Ridge Tremblant Lakes Resort

Agents et courtiers en immobilier4-5 Christiane Perreault & Marc Pâquet

6 Denise Lalonde

8 Jean-Louis Demers & Lise Lavigne

9 Gina Beaulieu

9 Bernard Payette

10 Danièle Normand & Philippe Normand

10 Christiane Saindon

12 Allan Vaillancourt

15 Claudette Chartrand

20 France Rado

25 Marie-Noël Mailloux & Chantal Lacroix

Entrepreneurs généraux6 Structures de bois rond Harkins inc.

8 La Seigneurie de Citeplex Lafontaine

9 Timber Block

13 Maisons de Cèdres Lindal Cedar Homes

14 Centre international de l’usinée inc.

19 Altamax

20 Batitech

23 Construction Sylvain Labrie inc.

& Lemax Construction inc.

27 Le Chalet signé Diane Bergeron inc.

28 Maisons Usinées Côté

30 Habitations André Taillon

31 Habitations André Taillon

Divers3 DMT Direct

8 Co. A. C. H. Conseiller Auto-Constructeurs

en Habitation

20 Solmatech inc.

21 Dubé Cooke Pedicelli inc.

22 Elle & Elle home staging

27 Desjardins Caisse Populaire des Pays-d’en-Haut

11 Un peu de Littérature

16 Flèche Cuisine… Bon Appétit !

17 Salut ! «Santé ou simplement

«à la bonne vôtre !»

19 Cinéma « Primeur »20 En forme

21 En forme

26 Touristiquement vôtre !

22

24

FlècheMagMédiaestpubliéà25000exemplairesparéditionetdistribuégratuitement100%endépôtdeRosemèreàTremblantetdeTerrebonneàLachute.LecontenupublicitairedeFlècheMagMédianepeutêtrereproduitentoutouenpartiesansautorisationécritedel’éditeur.Lecontenudespublicitésn’engagequeleurauteuretenaucuncasFlècheMagMédianepourraêtretenuresponsabledeleurincidence.

Personnalité des LaurentidesMichel Lauzière

Tendance MusiqueÉtienne Grégoire

M. Le MaireMichel Plante

Bâtisseur des LaurentidesGuy Chevrefils

Achat ! Négo ! Financement…Peggy Tassignon

28-29D.G. Chambre de CommerceRepentigny | Linda Mallette

Home StagingLyne Bouchard

É d i t e u r s J e a n - P i e r r e C h a r l a n d & B r i g i t t e L a t o u r P u b l i c i t é ( d é p a r t e m e n t d e s v e n t e s )NatalieLévesque,VanessaTanguay,AnnieLanglois,StéphanieAubin&MartineForgetDirecteurdeproductionKarlMorrisseauGraphisteNancyArsenaultCoordonnatriceDanyRiopelJournalisteKathleenFillionCollaborateursJoséeDubois,SylvieCondrain,IsabelleLatour,PeggyTassignon,Jean-HuguesMousseau,LyneBouchard,ÉtienneGrégoire&MXPhotographeComptabilitéLiseBenoitDistributionSylvainCharbonneau(Bonneau)&GœrgesCharbonneau

… To

ut l’

mond

e en

parle

!

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L’humoriste fait partie des rares performers à pouvoir faire rire les 7 à 77ans, toutes cultures, toutes classes sociales. Un de ses « classiques » à luiest ce numéro où il revêt une salopette justement, pourvue de 18 klaxonsde bicyclette et dans lequel il joue une pièce musicale connue, se mouvantafin d’actionner les trompettes. Un numéro que peut apprécier un Vietnamienautant qu’un Allemand. Il est de surcroît le sketch préféré de Lauzière. Saconnaissance du répertoire «classique» ainsi que sa très vaste compréhensionmusicale, participent à le rendre universel, intemporel, en conséquenceindémodable. Donc d’une inspiration à la fois populaire et savante, émaneune musique. C’est le fruit de cette culture hybride qui, unanimement etultimement est salué de par le monde. De même, le Laurentien de 54 ansconvie à un voyage hors du temps et des sentiers battus.

Dans le cadre de son passage à David Letterman sur les ondes de CBS,Lauzière avait exécuté un numéro qui consistait à faire entendre la 4e

Symphonie de Beethoven en heurtant 284 bouteilles d'eau, le long de la 53e

Rue, cela à l’aide de baguettes accrochées à ses patins à roues alignées. Ilavait été vu par cinq millions de téléspectateurs. Le performer présentaitce numéro en public pour la première fois, en plein cœur de la Grosse Pomme!Un exercice de précision maintes fois pratiqué dans des parcs laurentiensnotamment ! « C’était très spécial, j’ai des flashs pendant que j’en parle,des images urbaines, un secteur de New-York pendant quelques minutesimmobile, comme paralysé, le temps de la mélodie, c’était une atmosphèrebien particulière. » C’est en effet assez fascinant…

Dès lors, Michel Lauzière, «patenteux»et mélomane précoce, prédit qu’il

jouera du Bach ou du Mozart à partir d’objets, de choses, de babioles et bidules,de «cossins» et machins puis autres trucsanodins et domestiques, mais sans lienavec la musique. Il part de loin. Est pournous laborieuse la seule pensée desobstacles surmontés, leur quantité leurenvergure! Faut-il aimer assez la musique?Parallèlement l’aspirant virtuose poursuit

des études en psychologie avec un faible intérêt. C’est pour la musique quele jeune autodidacte possède l’ambition. Au passage, une croyance révèleque les cantates de Jean Sébastien Bach peuvent entretenir l’espérance. Autravail l’acrobate !

Grâce à sa détermination certes, à la singularité de son art aussi, et à sacélèbre salopette de klaxons, il se fait connaître sur les cinq continents. Cen’est pas moins de 45 pays qu’il a visités. Humoriste, fantaisiste, musicien,il est surtout un performer inventeur qui à ce jour, a présenté des spectaclesen anglais, en espagnol, en italien, en allemand et en japonais. D'autre part,pour de brèves prestations, il lui arrive d'apprendre de courts gags issusaussi de langues étrangères.

Il aspire à devenir musicien, à faire les études appropriées. Tant et si passionnément qu’il finit par supplier ses parents delui acheter un instrument de musique. On le lui refuse, son père est formel: «Fabrique s’en si t’en veux!» Le jeune part doncdu constat qu’il est seul avec son désir de musique. Sans l’étudier, et c’est mot pour mot que s’applique le cas de figure ici,il apprend sur le tas avec les moyens du bord…

Aucune critique capitaliste portant sur la surabondance, le matériel, à traversvotre approche artistique ? Comme votre forme d’art trouve son essencedans le quotidien, on peut se demander de quelle manière vous percevez lemonde qui vous entoure? Le polyglotte de répondre « Je ne fais que proposerun divertissement puissant sur le plan visuel et sonore. Je ne pratique pasun art engagé. Je veux créer une fête à chacun des spectacles. Mais dans lavie je me pose un tas de questions, j’ai bien 2 ou 3 grandes inquiétudessociales, l’influence des médias par exemple. Je trouve qu’ils font du feed-backpar-dessus feed-back. On parle et reparle de ce dont on avait parlé lasemaine dernière créant souvent de gros abcès. Bref je me méfie. On se laissepiéger parfois, en fixant sur les LCN et compagnie, le sensationnalisme s’insin-ue. Les vrais malheurs demeurent le génocide et le terrorisme. J’écrirais unessai sur les médias si j’avais le temps. » L’humour, l’honnêteté et le showbusiness sont conciliables? «Je crois. Car on a tous plus ou moins des occasionsde tourner les coins ronds ou pas dans notre existence, peu importe lesdomaines de nos vies, et donc sans porter de message officiel on véhiculetout de même quelque chose. Nous portons ce que nous sommes. Qu’est-cequi va faire pencher la balance entre le positif et le négatif ? En ce qui meconcerne je pense qu’à quelque part je contribue davantage à quelque chosede positif dans la vie. Je suis un authentique dans un métier où il est difficilede le rester. Exemple, les faux rappels. Vous voyez un peu ? Faire semblantqu’on ignorait, et revenir sur scène en état de surprise. Alors qu’on sait qu’ilssont systématiques maintenant les rappels. Si je parle d’honnêteté c’estjusque-là, c’est jusqu’au fond. »

Depuis 20 ans que l’artiste vogue sur ce flot créatif, sans cesse renouvelépar des trouvailles extravagantes. Sa musique semble indéfinissable, etmalgré l’incongruité des objets choisis pour la jouer, il est évident - pourpreuve son succès -, qu’elle offre une belle facture classique avec un «timing»d'horlogerie. L’ensemble confère à l’artiste une griffe unique. Michel Lauzièrec’est aussi une jolie histoire. Pour des renseignement sur sa tournée québécoise : www.michellauziere.com

Michel Lauzière se produit de Dolbeau à Dubaï, avec des créations qui ont vu le jour dans son atelier des Laurentides.

PERSONNALITÉ DES LAURENTIDES

BACH FOR THE FUTUR

Par: Kathleen Fillionpour Flèche Mag Media

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TENDANCE MUSIQUELa musique est bien sûr une question de goûts personnels, mais selon moi il s'agit aussi d'ambiance et de style. On entend souvent les mêmes chansons d’artistes oude groupes, mais dans plusieurs cas, ça vaut la peine d’aller plus loin…

Tiens… ce mois-ci, j’ai envie de sortir des sentiers battus et de vraiment vous faire DÉCOUVRIR deux nouvelles artistes…YAEL NAIM : la fille est née à Paris et baigne dans la musique depuis l’âge de 4 ans. Elle décided’apprendre le piano après avoir vu le film « Amadeus » et se rendra au conservatoire. Plustard elle laisse la musique classique et passe sous les influences des Beatles et d’ArethaFranklin qui en ont marqués plusieurs… L’écoute de la pop, du folk et du jazz font aussi d’elleune artiste complète, et ça n’en prenait pas plus pour qu’elle se mette à composer.

Avec le temps, Yael a évoluée au sein d’un groupe «Anti collision» qu’elle a créée, a fait unsaut en théâtre musical dans «Les 10 commandements», et au cinéma pour la bande originaledu film «Harrison’s Flowers». En 2001, son 1er album solo « In a man’s womb» parait, et c’esten octobre dernier qu’elle nous donne le chef-d’œuvre « New soul » dont vous avez proba-blement déjà entendu la pièce titre, dans une publicité ou à la radio… Un album à écouter lesamedi soir autour de la table: un pur délice! yaelweb.com

PASTEL : je reviens chez nous maintenant pour vous parler d’une auteure-compositrice de 22 ans native de Mont-Tremblant. Après avoir pris de l’expérience comme choriste au sein dela formation « Maïa », avoir étudié le chant (toujours dans la région) et joué de quelquesinstruments (notamment de la flûte traversière), elle se lance en solo. Son premier album«Painting fears» n’est disponible que depuis le 4 février dernier et déjà Pastel suscite de bonnesréactions. Loin de vouloir faire une comparaison arrêtée, je vous dirais qu’elle me rappelleNorah Jones (dans la voix) et quelques fois Sarah McLachlan (dans la signature musicale).

Pop, soul et folk se côtoient sur ce disque qu’elle a entièrement produit, et qui a été enregistrédans le studio Sound City à Los Angeles, un endroit mythique où les Beatles et Nirvana ontdéjà travaillés. La pièce que l’on entend actuellement est «Painting fears» et j’avoue avoireu un coup de cœur pour «Feed your soul». Bonne écoute! myspace.com/pastelmusique

Par: Étienne Grégoire, Directeur musical et animateur Je reviens Chez Nous etle Décompte en rappel : du lundi au jeudi de 16h à 19h | [email protected]

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UN PEU DE LITTÉRATURE Par: Brigitte [email protected]

Les brunchesPâques arrive à grand pas ! Quoi de mieux que de recevoir sa famille ou ses amis en leur proposant un brunch ? Cet ouvrage vous fournit une multitude d'idéespour préparer des plats originaux.

Il semble arriver un certain moment dans la vie où l'on se met à préférer la compagnie charmante de ses amis intimes aux grandes réceptions mondaines ouaux nuits endiablées. Le confort de notre foyer, un véritable oasis de calme… Donc pourquoi pas un brunch dominical ?

Réunir un petit groupe autour de savoureux plats et, tout simplement, passer un bon moment ensemble. La formule du brunch est de plus en plus prisée par leshôtes. En avant-midi, vos convives seront plus détendus, mais aussi plus joyeux et plus énergiques. Vous aurez ensuite toute la journée pour profiter de leur présence…

Rachel Lee, chef et journaliste californienne, vous offre ici plus de 90 recettes exotiques et diversifiées à concocter pour vos invités. Les plats qu'elle proposepeuvent être préparés la veille afin de faciliter le service matinal. On ajoute une petite touche finale… et vous n'avez qu'à laisser vos convives s'émerveillerdevant tant de saveurs inhabituelles ! Une sélection de vin accompagne chacune des recettes afin que votre brunch soit une parfaite réussite…

Auteur : Rachel Lee

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découvre peu à peu « pince sans rire » !

Un biochimiste permanent à la ville se forme présentement uneéquipe afin de pouvoir organiser le contrôle total des fosses septiques, et maintenir la qualité des sols. Impliqué sur le plan del’environnement Monsieur Plante est aussi interpellé par les jeunesen difficulté dans sa communauté. « Et bien je connais beaucoup demonde forcément et quand je constate que ça ne va pas pour un écolier,une famille, j’ai l’air comique comme ça, mais je sais avoir toute ladélicatesse du monde pour intervenir discrètement, j’essaie de voirpar où je peux aider ces personnes. » Présent de tous les instants, lemaire se préoccupe également du décrochage scolaire et de lajeunesse en général. Il est très fier de sa fille par ailleurs, qui envisagedes études en médecine. « Par le biais du tournoi de golf du maire,nous réussissons à financer un tas de choses. Le soutien de notre CPEnotamment et on essaye d’appuyer d’autres organismes. On a deplus une course de ski pour enfants qui vise à recueillir des fonds. »Ce ne sont pas les activités qui manquent dans la petite localité, où les deux seuls grands employeurs sont Ski Morin-Heights (MontSaint-Sauveur international) et le Gourmet du Village (qui fait dansl’industrie du cadeau), ce dernier compte 150 employés.

L’endroit est considéré récréo-touristique grâce à l’éclosion

justement du tourisme de détente etdes sports de plein air. En pleineexpansion, d'importants développe-ments résidentiels continuent d'attirerde nouveaux résidants. La vie commu-nautaire et familiale est très présentedans le village de 3 326 âmes. De toustemps, la protection de l'environ-

nement naturel a été une priorité à Morin-Heights. La devise ?« L'harmonie, c'est dans notre nature », est éloquent. Le maire dela municipalité, Michel Plante, confirme: «En effet, mais l’harmoniedans tous les sens, nos règlements sur la protection des rives sontfermes. Ils visent la régénération des rives, le reboisement, de mêmeque l’aspect visuel. Notre conseil de ville, quelques résidents tel queRobert Charlebois, plein de gens se sont impliqués dans ce dossier.Alors voilà, le gouvernement demande aux riverains de n’aménagerleur terrain qu’à partir de 10 mètres des rivières. Alors que nous c’estfixé à 20 mètres en tout. Sérieusement on regarde tout ça de près,pas d’algues bleues chez-nous ! » de poursuivre un maire qu’on

Petit village bilingue niché au cœur des Laurentides, à une heure au nord de Montréal, nouvelle capitale du spa, lieu incontesté du ski de fond, refuge d’une poignée d’artistes disséminées dans les montagnes, avec à sa barre un maire bonvivant et très humain. La jolie petite municipalité est invitante. Morin-Heights, un brin cosmopolite, éveille le goûtd’oxygène et de repos…

L’ancienne voie ferrée du secteur est devenue la piste cyclable et deski de fond très fréquentée, connue sous le nom de CorridorAérobique. La 36e édition du Loppet Viking de Morin-Heights a eulieu en février dernier. Cette célébration annuelle des fondeurs est devenu tradition dans le village. Le Club de ski Viking et la municipalité de Morin-Heights, vraiment surnommée capitale du skide fond, unissent leurs forces chaque année afin de renouvelerl’événement. Le terme Loppet signifie « course » en anglais.

Morin-Heights c’est également 2 500 villégiateurs. « J’adore monvillage » exprime le maire, installé dans le nord depuis 1984. Natifde Joliette, le père de trois enfants, passionné de golf, est arrièregrand-père depuis la semaine dernière seulement ! Tout un événement dans la vie de l’homme. Plus sombre événement celui-là, la perte récente de sa femme. Il importe à Monsieur le maire dele mentionner publiquement par respect, mais aussi pour la qualitédes soins dont elle a pu bénéficié au CSSS des Sommets. « Elle a été traitée comme une reine à L’Hôpital de Sainte-Agathe, par unpersonnel attentionné et sensible se rappelle-t-il, je tiens à les enremercier. » a-t-il poursuivi, invitant du même coup la populationlaurentienne à contribuer financièrement à la Fondation médicaledes Laurentides et des Pays-d’en-Haut afin que non seulement seperpétue cette qualité de traitements, mais aussi, que leséquipements continuent de se moderniser. « C’est important,tellement important. » a terminé l’homme, rappelant que l’humourest aussi très important dans la vie… Un maire spécial, et touchant.

Petite capsule francophile : le gentilé est Morin-Heights-Hers.Amusant pour un village bilingue. Pas d’équivalent français pour lesrésidents de la municipalité ;-)

Flèche rencontre Michel Plante, maire de Morin-Heights

M. LE MAIRE

AUTHENTIQUE ET IMPLIQUÉ

Par: Kathleen Fillionpour Flèche Mag Media

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Volume 6 Édition 3 | Mars 2008 w w w . f l e c h e m a g . c o m14

À ce jour, le chiffre d’affaires des supermarchés atteint plus de 100 millionsde dollars par année. Considéré comme un modèle d’entrepreneuriat,l’établissement est même cité en exemple aux étudiants en administrationdes affaires au HEC, l’École des Hautes Études Commerciales et il a faitl’objet d’une étude sur l’entreprise familiale.

Émery Chevrefils avait participé à la création même de la bannière Métro.Il faisait partie d’un groupe de marchands en alimentation qui visaitsolidairement à se doter d’un meilleur pouvoir d’achat auprès des diversfournisseurs. C’est ce regroupement d’hommes qui avait donné naissanceà la chaîne d’alimentation Métro. Guy Chevrefils a appris les rudimentsde la profession auprès de son père, de son oncle et même de son grand-père. Dès l’âge de sept ans, il accompagne son père au travailajoutant que c’était la meilleure façon d’être avec lui puisqu’il travaillaitpratiquement toujours.

« Nous on voulait innover et le chemin à prendre pour ça est pas toujoursrentable tout de suite, donc il fallait y croire, c’est comme ça qu’on aintroduit les poissonneries dans nos épiceries. C’est simplement unemanière de penser. Deux choses importantes d’abord, qu’est-ce qui ferala différence ? Ensuite, il s’agit d’aller de l’avant. Développer prendredes avenues, être à l’écoute, arriver avec des projets surprises ! Je mesouviens quand on a ouvert à Sainte-Adèle, il fallait transporter les

Le passé ainsi évoqué ressemblepresque à une fiction tant il est vrai

que ces entreprises qui traversent lesâges peuvent parfois être fascinantes…Point de départ historique de l’entreprisefamiliale, c’était en 1936, en plein cœurdu plateau Mont-Royal. Soixante-dixans plus tard les « maîtres épiciers »regroupent aujourd’hui cinq supermarchéstous dans les Laurentides sauf celui deMontréal qui n’a jamais cessé d’opérer.

Les autres étant situés à Sainte-Adèle, Sainte-Agathe-des-Monts,Saint-Sauveur et Mont-Tremblant.

Gilles et Jacques frères, et fils d’Émery, se sont attachés à poursuivrele travail de qualité « Chevrefils » en se partageant la propriété. « Monpère est Gilles mais ce sont mes deux patrons et je suis au service de lacompagnie depuis 35 ans. La petite salaison du Plateau marque le pointde départ, poursuit le dg, mais la véritable expansion a débuté en ‘79avec la construction de celui de Sainte-Adèle. C’est vraiment l’implan-tation dans le nord qui a donné l’envol » explique Guy Chevrefils.

fromages fins et le poisson nous même dans le nord, il n’y avait aucuneinfrastructure à cette époque » raconte le jeune cadre.

Amoureux, inconditionnels des Laurentides, les Chevrefils on stimulé lesecteur de l’alimentation de toute la région. «Je crois qu’on agit beaucouppar instinct émotif… l’acquisition de certaines succursales par exemple,sont des histoires d’amis de la famille qui voulaient se départir de leurmagasin en perte de vitesse, on pourrait appeler ça des acquisitionssentimentales ! » poursuit-il. Plus récemment en 2003, l’entreprise s’accroît de nouveau en achetant le Métro de Mont-Tremblant, dont les ventes étaient à la baisse. Les Chevrefils se lancent dans une restruc-turation complète. À trois reprises, l’ajout d’une poissonnerie a prouvécombien les Chevrefils était précurseurs et à l’avant-garde dans ledomaine. L’expertise est bien développée. «Dans les épiceries on a sansdoute été les pionniers en matière de poissonneries, fruits de mer etc. »résume Guy Chevrefils.

Après avoir gravi un à un les échelons, le dg d’aujourd’hui fut d’abordassistant gérant au magasin de Montréal avant d’être nommé directeurgénéral pour l’ensemble des activités de l’entreprise. Il a appris dansl’action et insiste sur le fait que dans le domaine de l’épicerie «le terrain»est le seul vrai lieu, la meilleure école. Réputation acquise, les épiciersChevrefils laissent maintenant libre cours à toute leur expertise accumuléeau fil des années… C’est un réel engouement pour l’alimentation etd’autant plus intéressant quand on sait que les Québécois sont plussensibles à l’importance d’une saine alimentation… non ? « Voilà, puisc’est juste on a nos connaissances, mais l’écoute du consommateurnous mène toujours vers d’autre défis justement… ça nous suit, c’estune passion. Lors de voyages par exemple, je m’attarde à observerd’autres façons de faire, je rentre dans les marchés et les épiceries, biendavantage que le touriste ordinaire bien sûr. Car c’est mon métier ! » determiner Guy Chevrefils, fort sympathique d’ailleurs…

Guy Chevrefils, directeur général et administrateur des sociétés pour les Métro Chevrefils

BÂTISSEURS DES LAURENTIDES

5 succursales, 3 générations, 1 passion : l’alimentation !

Par: Kathleen Fillionpour Flèche Mag Media

Guy Chevrefils, directeur général, administrateur des sociétés pour les Métro Chevrefils, raconte les débuts modestes deson grand-père, Émery Chevrefils, fondateur des notoires supermarchés: «Mon grand-père était boucher, ma grand-mèreLucienne elle, était coiffeuse depuis plusieurs années et elle se débrouillait bien. Pour aider son mari à louer un local etl’appuyer dans son désir d’opérer une épicerie, parce qu’il n’avait pas d’argent, elle a vendu sa police d’assurance vie decinq cent dollars ! Puis c’est grâce à cette liquidité que mon grand-père a pu démarrer ce que l’on connaît aujourd’hui… »

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FLÈCHE CUISINE… BON APPÉTIT !

Ingrédients :

- 1 Endive- 125 ml de crème 35% cuisson- 1 c.s. Brandy- 1 à 2 tranches de jambon- Un peu de fromage râpé

(suisse ou gruyère)

Méthode :

Coupez l’endive à la base pour pouvoir retirer les feuilles entières sans les briser. En générale, pour chaquecoupe, vous pouvez retirer de 4 à 7 feuilles. Recommencez jusqu’à avoir retiré toutes les feuilles.

Ensuite faites chauffer une poêle et flambez le brandy, puis, par la suite, mettre les feuilles d’endive et lacrème. Réduire la crème à feu doux pendant quelques minutes jusqu’à l’obtention de l’épaisseur désirée.

Après, mettez le jambon dans une assiette allant au four et versez le mélange de crème et d’endives par-dessus. Couvrir de fromage et gratiner au four

Et voilà c’est aussi simple que ça !

Bon appétit

Par: E. Giovinazzo, Chef de la Crêperie La Quimperlaise11, chemin Tour du Lac, Sainte-Agathe-des-Monts 819.326.1776

Le chicon au gratin… un plat typiquement breton !

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SALUT! « SANTÉ ! » OU SIMPLEMENT « À LA BONNE VÔTRE ! »

Je n’suis pas un fin connaîsseur

ou sommelier, je suis comme

plusieurs d’entre-vous un amateur

de bons vins et j’aime partager

le plaisir de découvrir. Si vous

découvrez, communiquez avec moi

et nous partagerons avec nos lecteurs.

Par: Jean-Pierre [email protected]

«Suggestion d’un expert»

NNeebbbbiioolloo M’Malgra Coste Della Sesia1144..9955$$J’ai toujours apprécié les grands vins comme les Baroloprovenant du Piémont, en Italie (30.00$ et plus). Une bellenouveauté fraîchement arrivée en produit courant, il s’agit duNebbiolo M’Malgra Coste Della Sesia pour $14.95. Ici onretrouve le même cépage soit le Nebbiolo et la même origine,du Piémontais. OK c’est pas aussi corsé et enveloppant quel’original mais on y retrouve quand même ces beaux parfumsde cerises et de prunes suivi d’une touche de tomates séchées.Servir avec pizza, spaghetti, veau ou poulet grillé.

Jean Desrosiers, Conseiller en vin accrédité S.A.Q.,Sainte-Adèle, 1145 boul. Sainte-Adèle

LLaammuurraa NNeerroo DD''AAvvoollaa 22000066Sicilia «Casa Girelli Spa»

1122..3300$$À ma S.A.Q de Sainte-Adèle, Jean conseiller en vinaccrédité, plus que sympathique, m'interpelle et mesuggère ce beau rouge. «Fais-toi plaisir, à ce prix là,c'est toute une trouvaille !» Et bien oui, comme toujoursJean est en plein dans le mille. Je cherchais quelquesbonnes bouteilles pour «La gang» qui venait se taperun festin antipasto, osso-bucco et comme «La gang»sait ouvrir plusieurs bouteilles... ben à ce prix là...

Faites-vous plaisir à votre tour !

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Volume 6 Édition 3 | Mars 2008 w w w . f l e c h e m a g . c o m18

> Eau de source > Aspirateur> Prévost> St-Sauveur

REST

O

> Paysagement

PRO

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PINE-OPERAVous êtes les premiers à savoir. Et serai parmi les rares Québécois àpouvoir voir en exclusivité, Tom vous confie sa dernière trouvaille…

Tom : Vous êtes les premiers à qui j’en parle…

Flèche : Merci nous apprécions sincèrement, mais vite raconte… !

Tom : Bon, d’ici la fin avril début mai approx, Le Cinéma Pine va proposerla retransmission de trois grandes œuvres qui vont avoir été jouées àla Scala de Milan lors de la dernière saison.

Flèche : La Scala ? La plus célèbre maison d’opéra italienne ? Genre derésidence secondaire à Pavarotti ?

Tom : Yesss, là où ont chanté les plus grands de ce monde, et où lesplus grandioses opéras sont joués chaque année.

Flèche : Quel est l'avantage d'une telle solution par rapport aux retrans-missions à la télévision, qualité de l’image et du son j’imagine ?

Tom : Exact. Et du haute définition 5 pistes dolby numérique.

Flèche : Ok, en français tu veux bien ;-) ?

Tom : L’impression hallucinante que tu es vraiment là, à la Scala deMilano. Écoute l’une des plus prestigieuse salle d’opéra au monde.

Flèche : Le mélomane pointilleux, va avoir les jambes sciées, ce seraloin d’être un supplice pour les maniaques d’opéra. Mais les non-initiés,

les néophytes en matière d’opéra, plein de monde trouvent çaennuyant comme la pluie l’opéra ? Non ?

Tom : Ils vont découvrir.

Flèche : C’est vrai au fond, c’est une culture à laquelle on a pas peuaccès ici, peut-être qu’ainsi, je veux dire aussi proche de la réalité,sur tes écrans et avec ta sono, le non-initié va apprivoiser, se mettreà apprécier cet art lyrique ? On ne peut aller voir la Traviata en Italiecomme on va au dépanneur, tandis que sur nos télés c’est nul. Toi tuarrives avec le doux compromis…

Tom : Je crois que le néophyte ou le récalcitrant à ce genre, va aumoins avoir une chance de découvrir cet art. Ben pour eux c’est unaccès comme tu dis à l’opéra, le vrai, dans la qualité.

Flèche : D’autres avaient déjà mis en place ce type de programme ?

Tom : Seul le Metropolitan Opera de New-York avait produit un telévénement auparavant. Le Metropolitan avait déjà retransmis dansdes villes américaines dans le passé je crois… Outre-Atlantique, non,pas à ma connaissance.

Flèche : C’est super. On peut être étonnés en plus, peut-être qu’il y abeaucoup plus de connaisseurs qu’on ne le croit et qui seront trèsheureux de ton initiative.

Tom : On propose un pan de culture. C’est de l’art avec un grand A. Tusais qu’en Italie c’est la sortie mondaine par excellence ?

Flèche : C’est réglé les modalités ettout ? Quels seront les horaires ?

Tom : Ce sera les dimanches après-midipuis les mercredis après-midi. Comme jele disais vers la fin avril. Les modalitéssont entendues, mais ne reste que la programmation et quelques dédalles àdealer avec La Scala. N’eût été du fameuxdécalage horaire, l’année prochaine onprésentait les œuvres live, imagines-tu…Mais bon là, on va fonctionner avec les fuseauxhoraires ! On a pas le choix…

Flèche : Donc quelle est la programmation ?

Tom : Oui oui j’ai les titres de spectacles

AIDA, par Giuseppe Verdi. Durée : 2hrs 37minutesLA TRAVIATA, par Giuseppe Verdi. Durée : 2hrs 20minutesMARIA STUARDA, par Gaetano Donizetti. Durée : 2hrs 45minutes

Flèche : Plus de détails lors de notre prochaine édition ? Nous donnerons le résumé-synopsis des œuvres, ça marche ?

Tom : Avec plaisir !

Bonnes vacances Tom…

TOM FERMANIANPropos recueillis

par Kathleen Fillion

I N F O F I L M 2 4 H : 4 5 0 . 2 2 9 . P I N E ( 7 4 6 3 ) - 1 . 8 6 6 . 7 3 9 . P I N E ( 7 4 6 3 ) - W W W . C I N E M A P I N E . C O M

> Rénovations > Construction > Architecture > Arpenteur-géomètre> Recyclage> Excavation

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Volume 6 Édition 3 | Mars 2008 w w w . f l e c h e m a g . c o m20

www.thefitnessfactoryonline.com

EN FORME Par: Sylvie Condrainprop. Fitness Factory Piedmont

exercice et surtout très bénéfique.

Le bienfait du ré enlignement postural et le renforcement mus-culaire de la méthode Pilates font de celle-ci un excellent com-plément soit à la réhabilitation physique via la physiothérapie,

suite en page 21

Le Pilates sur table ajoute un élément particulier à laméthode Pilates traditionnelle sur tapis car nous ajoutons

une tension musculaire via des ressorts de différentes tensionset des poulies. Le tout ressemble vraiment à une table de tortureà première vue mais je vous assure que c’est très doux comme

Le Pilates (épelé Pi-la-tèze), a été inventé par un homme nommé Joseph Pilates. Sa philosophie étant d’obtenir un corpsparfaitement équilibré entre l’esprit mental et le physique. Son approche analytique de la mécanique du corps humain,la posture ainsi que la respiration jumelée avec son « bagage » d’arts martiaux, de gymnastique et un peu de Yoga fontde la technique Pilates une combinaison excellente de renforcement musculaire et d’étirement pour tous peu importe l’âge

Le Pilates sur table ? C’est quoi çà ?

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grâce aux artistes Hollywoodiens et par les « stars » de sportprofessionnel. Tiger Woods étant l’athlète modèle chantantles louanges du Pilates à chaque entrevue lorsqu’on lui demande comment il fait pour se garder en forme. La mus-culation est une grande partie de son régime d’entraînementainsi que des sessions de Pilates.

Pour éliminer les douleurs au dos, pourobtenir une silhouette plus affiné pour unventre plus fort et plus ferme… Essayez laméthode Pilates sur table et jugez par vous-même.

l’ostéopathie et la chiropratie sans oublier naturellement, lamusculation en salle pour ceux et celles qui ne font pas desession d’étirements sur une base régulière.

La méthode Pilates a été amenée à New York par Joseph Pilatesen 1925 lorsqu’il arriva en Amérique par bateau où il rencontrasa femme Clara. Tous deux, ils ont ouvert leur premier studiopeu de temps après leur arrivée, et ils ont tous les deux pratiqué la «contrologie», ce que nous connaissons aujourd’huisous de nom de Pilates, en traitant leurs clients pendant plusde 35 ans.

La méthode a connu beaucoup de succès depuis les 20dernières années, surtout au Etats-Unis et plus précisémenten Californie. Le Pilates devenant de plus en plus populaire

Volume 6 Édition 3 | Mars 2008POUR UNE PUBLICITÉ DANS FLÈCHE MAG COMPOSEZ 1.866.602.8349

Le Pilates sur table ? C’est quoi ça ? (suite de la page 20)

21

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22

LE HOME STAGING, UN ATTRAPE-NIGAUD, OUI OU NON ? Publi-Reportage

Les Québécois, peu habitués encore à ce nouveauvenu dans l’immobilier, sont perplexes et hésitantsà faire appel à des spécialistes en home staging.Encore une autre dépense, un attrape-nigaudpeut-être ? Eh bien non, détrompez-vous !

Le home staging est, en réalité, un investissementintelligent, non une dépense. Bien sûr, il y a toujoursun risque, comme dans tout placement financier,mais avouons que le risque est minime. Environ 85%des propriétaires qui ont profité d’un home stagingen ont eu pour leur argent. Ils ont vendu plus vite etsouvent à un meilleur prix, entre 3 et 6% plus élevé.En plus, les dépenses d’un tel service ne dépassent

guère 2% de la valeur marchande d’une propriété,sans compter que les éventuels beaux objets déco-ratifs et nouveaux meubles achetés au cours dustaging vous appartiennent et embelliront votrenouvelle demeure. Qu’avez-vous à perdre ? À notreavis, pas grand-chose. Les chances de gagner sontplutôt de votre côté.

Il s’agit bien d’une stratégie de vente immobilièreet elle fait l’affaire de tous, aussi bien celle desagents immobiliers que celle des vendeurs. Unepropriété vendue plus vite veut dire moins de publicitéà payer et une meilleure réputation pour l’agent, etpour le vendeur, moins d’hypothèque à payer. Si, de

surcroît, la propriété se vend plus cher, la commissionsera plus intéressante pour l’agent, et le vendeur seretrouvera lui aussi avec plus d’argent dans sespoches.

N’oublions pas l’acheteur ! Lui non plus n’est pasperdant dans cette affaire. Il aura acquis une maisonqui l’aura séduit. N’est-ce pas ce qu’il cherchait,maison après maison ! On aura donc fait, grâce auhome staging, un bout de chemin pour lui dans ladécoration de son nouveau domicile, réparationsmineures ou peinture de certaines pièces, par exemple.

L’achat d’une propriété est, en fait, une affaire decœur, car on n’achète pas une propriété que l’on

n’aime pas. Dans un marché de l’acheteur commeaujourd’hui, le home staging devient un choixincontournable, si vous voulez qu’un visiteur enquête d’un chez-soi à son goût arrête sa recherchechez vous.

Basses-Laurentides, Laval, Montréal514 777.7150 450 664.7932

[email protected]

Volume 6 Édition 3 | Mars 2008 w w w . f l e c h e m a g . c o m

Le nouveau maire de Sainte-Adèle Claude Descôteaux était tout sourire quelques minutes après

avoir appris la confirmation de son élection dimanche le 24 février dernier. Il est entouré de deux

de ses candidats élus soit : Victor Mainville, dictrict # 1 et Nicole Durand, district # 6.

Tant qu’au district # 2, il a été remporté par Jean-Pierre Parizeau .

C’est par une merveilleuse température que s’est déroulée la course de

chiens Rona-Dagenais sur le lac des Sables à Sainte-Agathe-des-

Monts la fin de semaine du 16 et 17 février dernier.

La région touristique des Laurentides recevra du gouvernement du Québec un million de dollars afin dedévelopper le tourisme de villégiature quatre saisons. Les responsables de cette entente sont : David Whissell,ministre du travail et ministre responsable de la région des Laurentides, Charles-Alain Carrière, président ducomité régional ACCORD, Diane Leblond, directrice générale de l’ATL et présidente du comité du créneau, etMichel Lagaçé, maire de Saint-Sauveur et représentant la CRÉ.

Même si la saison des cours de ski achève, l’enthousiasme des moniteurs est encore

indéniable. Remarquez le plaisir que ce groupe de moniteurs du Chantecler reflète lors

de la prise de photo de groupe annuelle.

Quelquefois il y a des signes ..avant coureurs’’ du printemps qui approche. Ce jeune s’est

présenté ainsi habillé à la course de chiens qui se tenait sur le lac des Sables à

Sainte-Agathe-des-Monts. On peut parier qu’on le reverra cet été avec une tuque sur la tête…

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Volume 6 Édition 3 | Mars 2008POUR UNE PUBLICITÉ DANS FLÈCHE MAG COMPOSEZ 1.866.602.8349 23

ACHAT ! NÉGO ! FINANCEMENT… Par: Peggy Tassignon, agent immobilier affilié, consultante en financement hypothécaire

[email protected]

Découvrez avec moi de quelle façon un consultanthypothécaire joue un rôle clé lorsqu’il s’agit d’aider sesclients à comprendre l’influence importante de leur côtede solvabilité dans l’obtention d’un prêt hypothécairepour l’achat d’une première maison, le renouvellement oule refinancement de celle-ci.

Avant d’accorder un prêt à une personne les prêteurss’assurent des pratiques de remboursement de celle-ci,de sa capacité de payer, de sa stabilité d’emploi et étudientses antécédents en matière de crédit.

Au Canada, les deux principales agences d’évaluation decrédit sont Équifax et Trans Union.

La méthode de calcul repose sur le modèle d’évaluationBeacon. Une cote variant de 300 à 900. Une cote entre

700 et 800 est excellente. Au Canada la cote moyenneoscille entre 660 et 699.

Elle comprend 5 facteurs. Les habitudes de paiement(faillites, paiements en retard, recouvrement, etc..). Lesmontants dus (solde des comptes, la proportion du soldepar rapport à la limite de crédit totale). La durée desantécédents en matière de crédit (durée écoulée depuisl’ouverture des comptes, durée écoulée depuis le derniermouvement de compte). Nouveau crédit (nombre desenquêtes de solvabilité récentes, nombres de compte decrédit ouverts récemment). Types de crédit, nombre descomptes divers (cartes de crédits, prêts….)

En mots simples : le bureau de crédit tient compte de l’utilisation du crédit, du nombre d’enquêtes de solvabilité

récentes, le changement d’adresse au cours des 2 dernièresannées et le nombre de comptes de crédit ouverts, pourémettre une cote, un bulletin comme à l’école.

Par exemple, le solde de la limite de crédit accordé parune société émettrice de cartes de crédit, devrait depréférence être remboursé intégralement chaque mois.Les consommateurs qui effectuent un paiement partielne devraient pas dépasser 60 % de la limite autorisée. Sice pourcentage est régulièrement dépassé, cela réduirala cote de solvabilité.

De plus, les enquêtes de crédit trop fréquentes sontégalement à proscrire, le plus souvent les gens ne s’enrendent même pas compte. Chaque fois que vous faitesune demande de crédit, une enquête est réalisée. Le

simple fait de vous renseigner de la possibilité d’acheterun ordinateur avec paiements mensuels peut avoir uneffet négatif sur votre cote Beacon même si vous n’avezaucune intention de l’acheter.

Même scénario pour les cartes de crédits ou comptesinactifs depuis longtemps. Fermez-les tout simplementparce que cela peut nuire à votre cote de solvabilité.

Évitez les déménagements trop fréquents durant unecourte période, cela aussi peut nuire à votre historiquede crédit.

À suivre… dans Flèche Habitation du mois de mars.

Pour toute question, n’hésitez pas à m’écrire, je vousrépondrai personnellement ou par le biais de Flèche Mag.

L’historique de crédit du consommateur.

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Volume 6 Édition 3 | Mars 2008 w w w . f l e c h e m a g . c o m24

C A L E N D R I E R S O R T I ECentre d’art La petite église St-Eustachewww.lapetiteeglise.com

Xavier Caféïne 14 marsIma 15 marsGaret Mason 20 marsVasti Jackson 28 marsMimi Blais 4 avril

Théatre St-Sauveurwww.theatrestsauveur.com

À partir du 11 juin 2008 Comptant ?…Content ! Avec Diane Lavallée et plusieurs autres

Théâtre Lionel-Groulxwww.theatrelg.com

Marie-Mai 8 mars3 gars su’l sofa 13 marsNanette Workman 15 mars

Bourbon Streetwww.bourbonstreetclub.com

Atomic 10 marsHigh Five 17 marsI’m too Sexy For 23 mars

Théâtre Le Patriotewww.theatrepatriote.comLaurent Paquin 24 maiLouis-José Houde 31 maiJean-Marc Chaput 6 juinJean-Marx Parent 7 juin

Chapiteau Saint-Sauveurwww.chapiteaux.ca

Stéphane Rousseau 25-28 juin 2008 16 juillet au 02 août 2008Jean-Marc Parent 02-12 juillet 2008Peter Macleod 13-14 juin 2008

Théâtre du Vieux Terrebonnewww.theatreduvieuxterrebonne.com

Patrick Groulx 12 marsSylvain Cossette 14 marsPeter Mcleod 19 marsJean-François Mercier 21 mars

En Scène www.enscene.ca

Laurent Paquin 15 marsMartin Matte 20 marsPeter Mecleod 27 mars

Théatre Ste-Adèlewww.theatrestsauveur.com

À partir du 11 juin 2008 La main dans l’sac !Avec Michel Forget et plusieurs autres.

De l’autre côté du petit pont à Val-Morin on aperçoit le bâtiment centenaire, un vrai cliché decarte postale ! Sonia Piché, une fille du nord, opère à temps plein l’établissement depuis quatre

ans. «Le conseil d’administration, une bande de jeunes retraités et moi travaillons en synergie. FrançoisMartel membre du CA, a œuvré à la diffusion de spectacles sa carrière durant. Son expertise est trèsprécieuse ! Des agences comme Spectra aujourd’hui nous reconnaissent au Marais. Le théâtre a finipar s’insérer sur les listes d’agences ! Nous faisons partie du circuit des petites salles intimes. »

Le Théâtre du Marais qui compte 120 sièges, ne génère aucun salaire, il est né d’une corporation doncsans but lucratif, ni subventions. On comprend que les cachets offerts ne sont pas mirobolants, maisle cachet du lieu, la beauté des Laurentides attire les Marc Déry, Daniel Bélanger etc. Puis Sonia Pichésait recevoir on s’en doute. « Quant à la clientèle, c’est de constater la confiance acquise au fil dutemps. Aujourd’hui, les gens se déplacent pour entendre des voix connues. Or le Marais avec ses soirées« artistes d’ici » a développé sa propre clientèle autour d’un noyau d’intéressés, d’artistes émergents,d’amis. » Apparemment Zalesek (musique sénégalaise), est un bon exemple, les gens ont répondu,ils sont venus… »

RIDEAUTHÉATRE DU MARAIS À VAL-MORIN

À L’AFFICHE… THÉATRE DU MARAIS Par: Kathleen Fillionpour Flèche Mag Media

Peux-tu nous annoncer quelques uns de tes invités pour la saison 2008-2009 ? « Je pense bien oui…elle m’énumère tout de go: Tricot Machine, Jorane, Daniel Lavoie entre autres et un coup de cœur,Gaëlle. Une vraie soie les gens vont craquer. Et plein d’autres. Les gens savent maintenant que notreproposition culturelle est constituée de « têtes d’affiche ». Les « artistes d’ici », c’est un peu la quintessence du théâtre, la richesse ! » poursuit la coordonnatrice. Une grande passionnée de lanature qui ne fait pas dans les demi teintes : « Dans un chalet sans électricitél’hiver, très important le « sans électricité » c’est un pré requis à mes Club Medété-hiver Laurentien. Mon travail me prend beaucoup de temps, mais je réus-sis à faire de l’horticulture, de la peinture. Le Théâtre du Marais de Val-Morinme donne l’opportunité de coordonner pleins de moments magiques et uniquespratiquement à toutes les semaines, et j’en suis plus que ravie. »

Toujours agréable de rencontrer des gens aussi comblés que semble l’être cettepersonne ! Bonne chance au Théâtre du Marais…

Sonia Piché,Coordonnatrice

aux événements

Daniel Bélanger16-17 mai 2008

Roman Zavada16 mars 2008

Luc De Larochellière08 mars 2008

Jorge Martinez07 juin 2008

Elle03 mai 2008

Damien Robitaille12 avril 2008

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LES CRÉATEURS D’AMBIANCE - La couleur des murs

514.816.8643

Pour favoriser la vente rapide et profitable de votre propriété, ilest incontournable de créer une ambiance qui séduise l'acheteurpotentiel. Vous devez susciter chez le visiteur des émotions parlesquelles il pourra s'imaginer vivre dans votre propriété.

Pour créer à peu de frais une ambiance favorable, rien de telqu’une nouvelle couleur de peinture sur les murs. C’est ce quiinstalle l’atmosphère dans une pièce.

Les intérieurs dépourvus de coloration dégagent de la froideur etne suggèrent aucune image mentale positive. À l’opposé, un salonprésenté dans une couleur chaude inspire convivialité et détente.Le visiteur s’imaginera y prendre l’apéro avec ses amis.

En Home Staging, les teintes neutres sont recommandées. Elles s’agencent avec tout type de mobilier. Les nuances choisiesdevront mettre en valeur les éléments architecturaux, tels foyer,moulures, et être en harmonie avec le mobilier en place. Le choixjudicieux d’éléments décoratifs complètera le décor.

Quelques principes :

• La peinture appliquée sur une grande surface paraît plus foncéeque sur un petit échantillon.

• Pour choisir les bonnes teintes, recréez les mêmes conditions delumière présentes lorsque les couleurs seront appliquées.

• Prenez le temps de choisir les couleurs à la lumière naturelle.

L’idéal est d’apporter les échantillons sélectionnés à la maison.Agencez-les aux éléments de votre décor.

• Des couleurs trop foncées et contrastantes assombrissent unepièce étroite.

Tout acheteur potentiel désire pouvoir emménager sans devoirrepeindre immédiatement. Donnez-lui ce qu’il recherche. Cetatout majeur dans votre jeu encouragera les offres d’achat.

Volume 6 Édition 3 | Mars 2008POUR UNE PUBLICITÉ DANS FLÈCHE MAG COMPOSEZ 1.866.602.8349

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TOURISTIQUEMENT VÔTRE ! Par: Jean-Hugues MousseauLes Minibus de luxe Nord-Sud

Bienvenue chez-nous !Découvrons un petit trésor de St-Sauveur. Si pourvous, il est important de vivre une expérience demagasinage différente, d’être accueilli amicalement,de rigoler de parler avec des experts ; La SavonnerieOlivier de St-Sauveur est l’endroit idéal pour vous !

En 1996 Isabel Gagné a compris comment la santé, labeauté et le mieux-être pouvaient s’agencer avec lesprincipes biologiques et le respect de la planète. Elle adonc créée la Savonnerie Olivier. Fabricant de produitsparamédicaux pour les soins de la peau, son entreprisea vécu une progression fulgurante. De plus, elle a étérécipiendaire de nombreux prix.

Pourquoi le nom Olivier ? L’arbre bénit des Dieux

l’Olivier peut vivre au-delà de 1000 ans il est l’emblèmede la pureté et de la vitalité qui symbolise la sagesseet l’immortalité. De l’antiquité jusqu'à nos jours, onreconnaît la valeur nutritive de l’huile d’olive etégalement ses propriétés médicinales et cosmétiques.Les soins thérapeutiques Olivier sont créés à partird’huile d’olive pressée à froid..

La fabrication des produits Olivier est basée sur lesavoir. Savoir comment travailler avec la nature pourélaborer des produits les plus naturels au monde pourles soins de la peau. Exemples : L’eczéma. De façon àremplacer la cortisone, la conseillère vous suggèrerala crème Mon Bébé, jumelée à l’huile thérapeutique

Olivier qui est conçu pour soulager immédiatement lesirritations de la surface cutanée, l’utilisation de la crèmeMon Bébé pourrait s’avérer d’une efficacité surprenante.

Il s’agit d’une crème protectrice versatile pour lecorps, antibiotique et entièrement naturelle.Soulagement immédiat pour les coupures, blessures,plaies et rash.

Vous trouverez sur place également plus de 140 produits.Savon à la vitamine E, à l’eucalyptus, au Romarin,lait corporel etc. De plus, un shampooing au Blé Fraisà l’action crémeuse et légèrement exfoliante sauravous charmer si vous possédez un type de peau mixte.

Lors de votre prochaine visite au 328 rue Principale à

St-Sauveur, peut être aurez-vous le bonheur et lachance de rencontrer la propriétaire Mme HerminieBoudreau. Femme de tête et femme d’écoute, ellesaura vous conseiller au niveau des nombreuxproduits naturels présents sur place.Savonnerie Olivier 450.227.7702www.savonolivier.comContinuer à nous écrire vos commentaires ; ceux-cisont lus avec attention [email protected]

www.tourisme-laurentides.ca

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Linda Mallette, directrice générale de la Chambre de commerce Pierre-Le Gardeur De Repentigny

CHAMBRE DE COMMERCE EN ACTION Par: Kathleen Fillionpour Flèche Mag Media

Qu’on le veuille ou non, les gens qui oeuvrent au sein des chambres de commerce demeurent des personnes à l’emploid’OSBL. Or pour bien honorer un poste de direction de chambrede commerce, la passion est une condition « sine qua non ».Nous présumons à tort, que dans le monde des professions,toute personne touchant de près ou de loin à l’univers desaffaires dans le cadre de son travail, jouit de revenus plusrémunérateurs que le reste des travailleurs, tout acabit, saufprofessions libérales, s’entend.

QU’EST-CE QUI ATTIRE LE SUCCÈS ? LErreur. Il n’en est rien en ce qui a trait aux postes cadre des chambresde commerce. C’est un détail auquel on s’arrête assez peu… « Ah

non il faut être passionné c’est clair! Les chambres sont des organismesau même titre que les autres et une bonne part de notre travail c’est dubénévolat. » d’éclairer Linda Mallette, DG de la CCPGR, sans aucuneacerbité cependant, ni regret, car, s’empresse-t-elle d’indiquer, «c’estune sorte de deuil à faire, dès lors que tu aimes ce travail, que tu aimesrendre service et voir au développement, l’équation n’est pas longue.J’ai un certain nombre de compétences, de la motivation, je n’ai plus20 ans, j’ai de grands enfants. Certes je pourrais me trouver un travailplus lucratif à Montréal, conditions en or, salaire confortable. Turéfléchis. »

Pour Linda Mallette ce fut clair, elle choisi la qualité de vie. Passer dutemps de qualité avec les siens, et mieux profiter de son environnement.C’est exactement cela, faire un deuil, mais néanmoins, trouver un emploirentable sur le plan humain. Une décision éclatante de logique qui réfèreà toute la question des priorités dans la vie. Et surtout un question-nement si répandu de nos jours, cette espèce de tiraillement entre travailler en ville ou préférer la qualité de vie de nos belles régions. « Età partir de ce moment, tu es bien dans ta peau, ça fonctionne. T’aimesta job ! »

« Tous nos comités de travail ont lieu soit le soir ou le matin, à nousd’être disponible ». En effet, les dg de chambres sont tributaires desheures d’affaires et ne peuvent rencontrer leurs membres qu’après leursjournées de travail à eux. On parle toujours de 5 à 7, de déjeuners d’affaires. « Maintenant il faut bien comprendre que je précise le toutnon pas pour rouspéter, mais plutôt pour informer.

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La directrice explique par ailleurs que le CA donne vraiment le ton à unechambre de commerce « On a beau avoir le ou la DG qu’on voudra, si leCA n’est pas derrière à développer de nouveaux projets de concert avecnous, de même qu’à approuver nos actions, nous risquons de rencontrerdes différends. C’est sûr que la dynamique s’installe en fonction del’ambiance des CA, les interactions doivent être saines. On a connu nous,une progression marquée: de 380 à 530 membres en 2 ans. Très bon ! »Preuve qu’à la CCPGR, les communications sont bonnes…

De l’avis de la DG, le peu de ressources, est le lot des chambres de commerce et des OSBL. Le nerf de guerre, c’est le financement. En postedepuis bientôt trois ans, L. Mallette est bachelière en administrationen plus d’avoir une formation en tourisme. « J’ai toujours travailler encommunication marketing, coordination d’événements, service auxmembres, dont dix ans pour la Touristique régionale de Lanaudière. Ànotre chambre nous gérons de plus les bureaux d’informations touris-tiques. » Elle apprécie la confrérie entre les chambres, la qualifiant derelations frères & sœurs. Elle explique que chacune agit dans son patelin,organise le même genre d’événements à quelques différences près, mais

toujours avec le même objectif soit celui de se réseauter. À ce titre, laCCPGR possède sa propre publication, un journal nommé Version affaires.« Chez-nous c’est particulier sur le plan commercial, on trouve énor-mément de travailleurs autonomes dans les secteurs les plus variés, depetites entreprises, graphistes, comptables, juristes, chiropraticiens,plein de services professionnels, pas de grosses industries , à partGeneral dynamics, qui est une usine de fabrication d’armement pourles corps policier, l’armée, et leur enseignement respectif. Cette entreprisegénère 800 emplois. »

Native de Mascouche, la dame possède une vaste connaissance de sonterritoire. Et d’un tas d’autres choses j’ajouterais, cela transperce sondiscours. Âgée de 57 ans, elle est mère de deux grands enfants très actifs, dont une fille étudiante en relations publiques, et un garçonattiré par l’ingénierie. Tous deux par ailleurs très sportifs.

Envie de terminer l’entrevue Mme Mallette ? Pourquoi 500 gens d'affaires provenant de toute la MRC sont-ils devenus membres chez-nous?« Parce que, et c’est là mon petit leitmotiv ; le succès attire le succès !

La formule est peut-être simple, mais elle est applicable, et à tous lesdomaines de l’existence. Quand on aime ce que l’on fait c’est censéfonctionner ! Remarquez dans la vente, une représentante qui a du succès, ses collègues l’encerclent pour avoir des trucs. Quand on souritles gens deviennent souriants, quand on est heureux dans ce qu’on fait,on est censé être bons. » a conclu la DGavec un sourire dans la voix. Abstractionfaite du métier pratiqué, on sait bienque le sourire possède plus que des vertuscommerciales. Il est capital. Et dans lemeilleurs des cas, transmissible !

www.ccrepentigny.qc.ca

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